Vous en avez rêvé, vous l'avez réclamée... Elle est là :
LA dépêche cinéma sur le tout premier film de Garth Jennings : H2G2 Hitch Hicker's Guide to the Galaxy, en français : H2G2 Le Guide du Voyageur Galactique.
Ce film est - comme tout bon geek qui se respecte le sait - l'adaptation au cinéma d'une émission radiophonique créée par Douglas Adams. Entre temps, on a eu le droit à cinq romans (constituant une trilogie...), une série TV, un jeu vidéo.
Mais je m'égare : pour résumer le film (mais encore une fois est-ce bien là peine ?), on suit donc les pérégrinations intergalactiques du terrien Arthur Dent, après que la terre a été rayée du système solaire. Celui-ci est accompagné du président de la galaxie, de Ford Prefect, un ami extraterrestre en provenance d'une petite planète près de Bételgeuse, de sa petite amie qui l'a lâché quelques heures après l'avoir rencontré, et de Marvin, un robot dépressif.
Et tout ça, pour quoi me demanderez-vous ? Mais voyons, trouver la question ultime de la vie, l'univers et tout le reste.
The Island
Le 17 août 2005 est sorti sur vos grands écrans le dernier film de Michael Bay : The Island. (ndla : L'île).
Disons le tout de suite, vous ne verrez pas vraiment une île paradisiaque avec plage de sable fin et cocotiers à perte de vue.
Non, car l'heure est grave : un cataclysme a ravagé la planète, qui se trouve maintenant contaminée.
Heureusement, certaines personnes survivent et sont ramenées dans une colonie fermée où vivent nos deux héros, incarnés respectivement par Ewan McGregor et Scarlett Johansson.
Pour illuminer une vie qui serait trop désespérante, chaque personne participe à une loterie, qui permet à son heureux gagnant de quitter la colonie pour une fabuleuse île (non contaminée), où la vie est plus douce.
Mais bientôt, notre cher Ewan commence à se poser des questions et va découvrir la réalité terrifiante de The Island ....
Disons le tout de suite, vous ne verrez pas vraiment une île paradisiaque avec plage de sable fin et cocotiers à perte de vue.
Non, car l'heure est grave : un cataclysme a ravagé la planète, qui se trouve maintenant contaminée.
Heureusement, certaines personnes survivent et sont ramenées dans une colonie fermée où vivent nos deux héros, incarnés respectivement par Ewan McGregor et Scarlett Johansson.
Pour illuminer une vie qui serait trop désespérante, chaque personne participe à une loterie, qui permet à son heureux gagnant de quitter la colonie pour une fabuleuse île (non contaminée), où la vie est plus douce.
Mais bientôt, notre cher Ewan commence à se poser des questions et va découvrir la réalité terrifiante de The Island ....
Guerre des Mondes à la sauce Spielberg
Sorti le 29 juin 2005 dans le monde entier, « La Guerre des Mondes » est l'adaptation par Steven Spielberg du roman de H. G. Wells publié en 1898.
Grosse production américaine, avec Tom Cruise à l'affiche, le film évite malgré tout avec brio les écueils de bon nombre de ses prédécesseurs à grand spectacle, en ne donnant ni dans la toute-puissante Amérique en sauveur du monde, ni dans la débauche d'effet spéciaux appliqués sans imagination à un scénario poussif.
Spielberg nous livre ainsi un film où l'humanité est reléguée au rang de spectateur de son propre désastre, avec un Tom Cruise incarnant le loser américain moyen, qui n'a comme berceuse à offrir à sa fille qu'une chanson vantant les mérites de son beau coupé noir, apparemment son unique centre d'intérêt dans la vie.
Grosse production américaine, avec Tom Cruise à l'affiche, le film évite malgré tout avec brio les écueils de bon nombre de ses prédécesseurs à grand spectacle, en ne donnant ni dans la toute-puissante Amérique en sauveur du monde, ni dans la débauche d'effet spéciaux appliqués sans imagination à un scénario poussif.
Spielberg nous livre ainsi un film où l'humanité est reléguée au rang de spectateur de son propre désastre, avec un Tom Cruise incarnant le loser américain moyen, qui n'a comme berceuse à offrir à sa fille qu'une chanson vantant les mérites de son beau coupé noir, apparemment son unique centre d'intérêt dans la vie.
Film d'animation 3D libre !
La Blender Foundation, menée par Ton Roosendale, lance un projet plus qu'intéressant. Sous le nom de « Orange Project » se cache la réalisation d'un court-métrage d'animation à base de logiciels libres, en particulier Blender. La finalité de l'opération est un DVD (avec Making-Of, et surtout, les fichiers et programmes utilisés pour la création !), une vidéo téléchargeable sur le net et surtout... partir à l'assaut des festivals de court-métrage (le festival de Cannes est même mentionné dans la présentation !).
Le film se fera grâce à une communauté d'artistes et de développeurs à travers le monde.
Après une année 2004 plus que chargée en développement de Blender, la fondation ne pouvait pas se reposer sur ses lauriers. Ce nouveau challenge sera donc l'occasion de tester la viabilité professionnelle du logiciel. Une équipe de 6 personnes, la "core team" (rémunérée et basée à Amsterdam), dirigera le projet.
Les inscriptions pour participer au projet se feront à partir du 15 juin.
Le film se fera grâce à une communauté d'artistes et de développeurs à travers le monde.
Après une année 2004 plus que chargée en développement de Blender, la fondation ne pouvait pas se reposer sur ses lauriers. Ce nouveau challenge sera donc l'occasion de tester la viabilité professionnelle du logiciel. Une équipe de 6 personnes, la "core team" (rémunérée et basée à Amsterdam), dirigera le projet.
Les inscriptions pour participer au projet se feront à partir du 15 juin.
Le Cauchemar de Darwin
Non, ceci n'a rien à voir avec Mac OS X. Je vais vous parler cinéma :)
"Le Cauchemar de Darwin" est un documentaire franco-austro-belge de Hubert Sauper. Il a reçu de nombreux prix : Grand Prix du Meilleur film au Festival de Copenhague, Prix du Meilleur documentaire au Festival de Montréal, Prix Europa Cinémas à la Mostra de Venise et Grand Prix Documentaire au Festival du film de l'environnement de Paris.
Il a pour décor les alentours du lac Victoria en Tanzanie. Si vous connaissez la théorie de l'évolution de Darwin, vous savez qu'on peut plus ou moins la qualifier de "Loi du plus fort". C'est ce que ce documentaire nous montre en présentant l'histoire d'un poisson, la perche du Nil, qui a été introduite "par mégarde" dans le lac Victoria il y a quelques dizaines d'années. Avant les années 60, ce lac regorgeait de diverses espèces faisant de ce lac un lieu d'une richesse incroyable. Mais la perche du Nil, terrible prédateur, a totalement dévoré les autres espèces et actuellement elle est une des seules espèces de poisson vivant encore dans ce lac (sinon la seule).
Mais cette histoire n'est qu'un prétexte pour montrer les ravages de la mondialisation. Suite à cette abondance de perche du Nil, un commerce énorme a pris place et ce sont des tonnes de filets de ce poisson qui partent chaque jour en avions cargos pour l'Occident (principalement l'Europe). En arrière plan de ce commerce, les tanzaniens meurent de la famine. Pour survivre ils se prostituent entraînant ainsi une progression exponentielle du SIDA. Et ces avions-cargos qui partent plein de nourriture pour l'Occident, qu'amènent-ils en Afrique ? Je vous laisse le découvrir.
Ce documentaire est à voir et à inciter à voir. Il nous montre ce contraste énorme entre cette Afrique exploitée et instrumentalisée, et l'Occident qui en bon prince envoie de l'aide humanitaire et est pourtant totalement responsable de la situation désastreuse dans ce continent qui se meurt. Est-ce cela la théorie de l'évolution à l'échelle mondiale ? En effet c'est un cauchemar, mais il est malheureusement bien réel.
"Le Cauchemar de Darwin" est un documentaire franco-austro-belge de Hubert Sauper. Il a reçu de nombreux prix : Grand Prix du Meilleur film au Festival de Copenhague, Prix du Meilleur documentaire au Festival de Montréal, Prix Europa Cinémas à la Mostra de Venise et Grand Prix Documentaire au Festival du film de l'environnement de Paris.
Il a pour décor les alentours du lac Victoria en Tanzanie. Si vous connaissez la théorie de l'évolution de Darwin, vous savez qu'on peut plus ou moins la qualifier de "Loi du plus fort". C'est ce que ce documentaire nous montre en présentant l'histoire d'un poisson, la perche du Nil, qui a été introduite "par mégarde" dans le lac Victoria il y a quelques dizaines d'années. Avant les années 60, ce lac regorgeait de diverses espèces faisant de ce lac un lieu d'une richesse incroyable. Mais la perche du Nil, terrible prédateur, a totalement dévoré les autres espèces et actuellement elle est une des seules espèces de poisson vivant encore dans ce lac (sinon la seule).
Mais cette histoire n'est qu'un prétexte pour montrer les ravages de la mondialisation. Suite à cette abondance de perche du Nil, un commerce énorme a pris place et ce sont des tonnes de filets de ce poisson qui partent chaque jour en avions cargos pour l'Occident (principalement l'Europe). En arrière plan de ce commerce, les tanzaniens meurent de la famine. Pour survivre ils se prostituent entraînant ainsi une progression exponentielle du SIDA. Et ces avions-cargos qui partent plein de nourriture pour l'Occident, qu'amènent-ils en Afrique ? Je vous laisse le découvrir.
Ce documentaire est à voir et à inciter à voir. Il nous montre ce contraste énorme entre cette Afrique exploitée et instrumentalisée, et l'Occident qui en bon prince envoie de l'aide humanitaire et est pourtant totalement responsable de la situation désastreuse dans ce continent qui se meurt. Est-ce cela la théorie de l'évolution à l'échelle mondiale ? En effet c'est un cauchemar, mais il est malheureusement bien réel.
Sondage Parmi ces films, le plus naze est
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Hackers :
1040(31.8 %)
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The Net :
241(7.4 %)
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Antitrust :
291(8.9 %)
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Wargames :
102(3.1 %)
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Tron :
124(3.8 %)
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Takedown :
61(1.9 %)
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The lawnmower man :
167(5.1 %)
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Matrix :
485(14.8 %)
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On a perdu la 7ème compagnie :
761(23.3 %)
Total : 3272 votes
Fahrenheit 9/11 de Michael Moore
5ème film de Michael Moore, Fahrenheit 9/11 nous entraîne dans les méandres du système américain mais plus précisément dans celui de Bush.
Ce film, Palme d'Or au festival de Cannes, est un véritable condensé de ses deux derniers livres (dont notamment « Tous aux abris » (ed. La découverte) ).
Le film retrace l'ascension d'un texan fils à papa qui n'a jamais réussi à percer par lui même sans aides extérieures jusqu'à son arrivée au pouvoir dans les conditions que l'on sait.
Ce film est à la fois drôle, percutant et aussi très émouvant.
Le passage du « 11 septembre » a été filmé de tel sorte qu'un frisson vous parvient même en ayant vu 10 000 fois les séquences des crashs.
Un film (documentaire ?) que je vous conseille de voir absolument.
Ce film, Palme d'Or au festival de Cannes, est un véritable condensé de ses deux derniers livres (dont notamment « Tous aux abris » (ed. La découverte) ).
Le film retrace l'ascension d'un texan fils à papa qui n'a jamais réussi à percer par lui même sans aides extérieures jusqu'à son arrivée au pouvoir dans les conditions que l'on sait.
Ce film est à la fois drôle, percutant et aussi très émouvant.
Le passage du « 11 septembre » a été filmé de tel sorte qu'un frisson vous parvient même en ayant vu 10 000 fois les séquences des crashs.
Un film (documentaire ?) que je vous conseille de voir absolument.
tempus fugit & apocalypse
Il est de ces films ou l'on ressort avec un sentiment nous envahissant, nous submergeant d'une sensation rare, approchant le bonheur suprême. Cette sensation se produit bien souvent, lors d'événements importants, de sensations fortes.
Il est de ces films où le budget si faible soit il permet de faire des choses grandioses. Ces films sont des chefs d'oeuvres. ces films marquent une vie. je voudrais en parler d'un que je viens de voir : le jour d'après
Il est de ces films où le budget si faible soit il permet de faire des choses grandioses. Ces films sont des chefs d'oeuvres. ces films marquent une vie. je voudrais en parler d'un que je viens de voir : le jour d'après
Mercano le martien
Voici un petit (1h15) film d'animation bien sympatique qui nous vient d'Argentine. Le graphisme est un mélange entre Happy Tree Friends et Southpark, avec certains passages en images de synthèse.
L'histoire, pleine d'humour, débute par la mort de l'animal de compagnie de notre héros, écrasé par la sonde Voyager. Mercano se rend alors sur terre, où il se retrouve comme un clochard, dans les égouts de Buenos Aires, suite à une panne de sa soucoupe.
Mais le récit commence à partir en vrille quand il récupère un ordinateur portable, et qu'il crée son monde virtuel inspiré par la nostalgie de sa planète. Cela intéresse alors une multinationale en quête de domination mondiale, contrée par le fils du patron et des alter-mondalistes anti-technologie qui commandent leurs bières par Internet...
Ça saigne, ça gicle, ça fait rire, mais c'est aussi une réflexion sur le pouvoir grandissant des monopoles de "l'entertainment" et de la communication, l'aliénation à la technologie, et le rôle de l'informatique dans tout cela.
Un film qui devrait plaire aux geeks, même si il manque un déclic pour parler de chef d'oeuvre, ça reste un très agréable divertissement, et quand on sait que le film n'a été réalisé qu'avec 250 000 $, on ne peut que dire bravo.
L'histoire, pleine d'humour, débute par la mort de l'animal de compagnie de notre héros, écrasé par la sonde Voyager. Mercano se rend alors sur terre, où il se retrouve comme un clochard, dans les égouts de Buenos Aires, suite à une panne de sa soucoupe.
Mais le récit commence à partir en vrille quand il récupère un ordinateur portable, et qu'il crée son monde virtuel inspiré par la nostalgie de sa planète. Cela intéresse alors une multinationale en quête de domination mondiale, contrée par le fils du patron et des alter-mondalistes anti-technologie qui commandent leurs bières par Internet...
Ça saigne, ça gicle, ça fait rire, mais c'est aussi une réflexion sur le pouvoir grandissant des monopoles de "l'entertainment" et de la communication, l'aliénation à la technologie, et le rôle de l'informatique dans tout cela.
Un film qui devrait plaire aux geeks, même si il manque un déclic pour parler de chef d'oeuvre, ça reste un très agréable divertissement, et quand on sait que le film n'a été réalisé qu'avec 250 000 $, on ne peut que dire bravo.
La Grande séduction
Après les invasions barbares, voici le nouvel opus du cinéma québécois : La Grande séduction : une fable sociale teintée d'humour. L'action se passe à Sainte-Marie-La-Mauderne, un petit village de 125 habitants. Par le passé, les gens vivaient de la pêche, mais depuis quelques années ce type de vie n'est plus en phase avec le système. Ainsi les habitants se retrouvent tous au RMI local. La solution pour que le village continue à vivre est l'implantation d'une usine, mais pour qu'une usine décide de s'implanter dans le village, il lui faut un docteur. Or Saint-Marie n'en dispose pas. Le village, conduit par Germain, va tout faire pour en avoir un : c'est là que débute la grande séduction.
Après Les Invasions Barbares, voici un autre chef d'oeuvre du cinéma québécois !
Après Les Invasions Barbares, voici un autre chef d'oeuvre du cinéma québécois !
Kiki, la petite sorcière
Kiki a 13 ans, elle est apprentie sorcière. Pour parfaire sa formation elle doit quitter sa famille pendant un an et s'installer dans une grande ville, afin de mettre ses pouvoirs magiques au service des gens.
Mais Kiki n'est pas très douée en magie, elle se passionne surtout pour le vol à cheval sur son balai. Qu'à cela ne tienne, elle va monter un service de livraison de colis à travers la ville.
Kiki est accompagnée de Jiji, son chat noir qui parle (seule Kiki peut le comprendre) et dont les mimiques en font un personnage incontournable. Kiki est loin d'être l'héroïne parfaite ; en fait elle ressemble à n'importe quelle fille de son âge, hormis le fait qu'elle vole sur un balais. Surtout, elle n'a pas la prétention de dominer son entourage d'une quelconque supériorité. Ici, pas de concours où il le seul but serait de gagner plus de points que le concurrent, pas de jeu débile où il faut poursuivre des boules en balais volant.
Une histoire simple, la magie banalisée se fond dans le décor (les gens ne semblent pas surpris de voir Kiki voler) rendent ce film incroyablement crédible. Le réalisateur n'est autre que le grand Hayao Miyazaki connu également pour « Princesse Mononoke », « le Voyage de Chihiro » et « Laputa, le Château dans le Ciel ». Le film est sorti au Japon en 1989 et est apparu dans nos salles obscures seulement le 31 mars dernier.
Ce film rafraîchissant ravira petits et grands.
Mais Kiki n'est pas très douée en magie, elle se passionne surtout pour le vol à cheval sur son balai. Qu'à cela ne tienne, elle va monter un service de livraison de colis à travers la ville.
Kiki est accompagnée de Jiji, son chat noir qui parle (seule Kiki peut le comprendre) et dont les mimiques en font un personnage incontournable. Kiki est loin d'être l'héroïne parfaite ; en fait elle ressemble à n'importe quelle fille de son âge, hormis le fait qu'elle vole sur un balais. Surtout, elle n'a pas la prétention de dominer son entourage d'une quelconque supériorité. Ici, pas de concours où il le seul but serait de gagner plus de points que le concurrent, pas de jeu débile où il faut poursuivre des boules en balais volant.
Une histoire simple, la magie banalisée se fond dans le décor (les gens ne semblent pas surpris de voir Kiki voler) rendent ce film incroyablement crédible. Le réalisateur n'est autre que le grand Hayao Miyazaki connu également pour « Princesse Mononoke », « le Voyage de Chihiro » et « Laputa, le Château dans le Ciel ». Le film est sorti au Japon en 1989 et est apparu dans nos salles obscures seulement le 31 mars dernier.
Ce film rafraîchissant ravira petits et grands.
"Big fish" de Tim Burton
C'est l'histoire des relations entre un père et un fils
à la sauce burtonienne !
Big fish qui est sorti mercredi dernier est le nouveau film de Tim Burton (le réalisateur de "Edward aux mains d'argent", de "Ed wood", de "Mars attacks" et de plein d'autres bijoux du cinéma).
Le film raconte les relations complexes entre un père affabulateur et son fils. Ce dernier a eu son enfance baignée par les histoires à dormir debout que lui racontait son père au coin du lit des histoires de géants et de sorcières ; maintenant qu'il est adulte et que son père meurt d'un cancer, il prend conscience qu'il ne le connaît pas réellement.
Il va donc essayer de lui soutirer la vérité avant qu'il ne meurt.
Le casting est prestigieux : Ewan McGregor, Helena Bonham Carter, Danny DeVito, Steve Buscemi, Albert Finney, Jessica Lange, et Marion Cotillard, la frenchie décidément aussi talentueuse que jolie.
Big fish qui est sorti mercredi dernier est le nouveau film de Tim Burton (le réalisateur de "Edward aux mains d'argent", de "Ed wood", de "Mars attacks" et de plein d'autres bijoux du cinéma).
Le film raconte les relations complexes entre un père affabulateur et son fils. Ce dernier a eu son enfance baignée par les histoires à dormir debout que lui racontait son père au coin du lit des histoires de géants et de sorcières ; maintenant qu'il est adulte et que son père meurt d'un cancer, il prend conscience qu'il ne le connaît pas réellement.
Il va donc essayer de lui soutirer la vérité avant qu'il ne meurt.
Le casting est prestigieux : Ewan McGregor, Helena Bonham Carter, Danny DeVito, Steve Buscemi, Albert Finney, Jessica Lange, et Marion Cotillard, la frenchie décidément aussi talentueuse que jolie.
Blueberry et les Rivières Pourpres
Deux films français pour le prix d'un !
D'un côté, "Blueberry, l'expérience secrète" est l'histoire d'un marshall qui voit sa vie basculer le jour où sa ville se transforme en brasier (avec sa dulcinée de l'époque). BlueBerry va aller à sa poursuite, sans se douter qu'il va affronter ses pires démons.
De l'autre, voici la suite du film de Mathieu Kassowitz (mais pas réalisé par ce dernier), où Pierre Niémans se retrouve avec une affaire d'homme emmuré dans un monastère ; de son côté, Reda, un jeune capitaine de police, sauve un illuminé qui se prend pour le christ.
Deux affaires qui ne vont pas tarder à se rejoindre...
D'un côté, "Blueberry, l'expérience secrète" est l'histoire d'un marshall qui voit sa vie basculer le jour où sa ville se transforme en brasier (avec sa dulcinée de l'époque). BlueBerry va aller à sa poursuite, sans se douter qu'il va affronter ses pires démons.
De l'autre, voici la suite du film de Mathieu Kassowitz (mais pas réalisé par ce dernier), où Pierre Niémans se retrouve avec une affaire d'homme emmuré dans un monastère ; de son côté, Reda, un jeune capitaine de police, sauve un illuminé qui se prend pour le christ.
Deux affaires qui ne vont pas tarder à se rejoindre...
Pixar quitte Disney
Le célèbre studio d'animation qui nous a livré de très grands succès s'apprête à se séparer de son partenaire et distributeur : Disney.
Certains pourront dire que ce n'est pas forcément un mal, ça nous évitera sûrement les chansons toutes roses et toutes niaises en plein milieu d'un film. À noter cependant que Disney conserve évidemment les droits sur Toy Story et autres coproductions...
NdM : oui c'est hors sujet.
NdM : oui c'était plein de fautes (désolé)
Certains pourront dire que ce n'est pas forcément un mal, ça nous évitera sûrement les chansons toutes roses et toutes niaises en plein milieu d'un film. À noter cependant que Disney conserve évidemment les droits sur Toy Story et autres coproductions...
NdM : oui c'est hors sujet.
NdM : oui c'était plein de fautes (désolé)
Lost in translation
L'histoire : deux personnages apparemment très différents se rencontrent dans un grand hôtel à Tokyo : il a la cinquantaine, il est déprimé, c'est un acteur sur le déclin, elle a une vingtaine d'année, jeune diplômée, son jeune mari la laisse plantée à l'hôtel pendant son travail. Leur point commun : ils sont perdus dans un univers qui leur est totalement étranger. Leur rencontre de quelques jours va bouleverser leur vie.