Journal Les informaticiens précoces

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7
nov.
2005
En flânant sur le Web. J'ai été surpris par l`âge d'un des développeurs de FireFox. Il s'agit du célèbre Blake Ross, âgé de 20 ans seulement. Comment peut on être chef d'entreprise et développeur à cette âge? J'ai du mal à comprendre. La moyenne d'âge pour un diplômé bac+5 doit être de 24 ans environ. À moins d'être très en avance. Je pense que ces informaticiens précoces ne sont pas une bonne chose. Cela semble courant aux EU: développeur web (…)

L'OSDL créé le Mobile Linux Initiative

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20
oct.
2005
Mobile
L'OSDL (Open Source Development Labs), un consortium visant à « accélérer l'adoption de Linux » a annoncé ce lundi 17 octobre la formation d'un nouveau groupe de travail, le "Mobile Linux Initiative"(MLI).
Comme son nom l'indique ce projet a pour but d'accélérer l'adoption de GNU/Linux sur le marché des téléphones mobiles.

L'OSDL a créé MLI en réponse à la demande de ses adhérents (en effet, Motorola, PalmSource, Nokia, Ericsson, Alcatel etc.. sont adhérents de l'OSDL) et à la demande globale croissante pour les terminaux à base de Linux.

Pour mémoire, la firme Ovum rapporte que les ventes mondiales de téléphones mobiles se sont accrues de 31% en 2004 et que plus de 2.8 milliards de téléphones sont prévus pour être utilisés d'ici 2009.

Selon Stuart Cohen, président de l'OSDL "Linux fournit aux constructeurs de téléphones mobiles une plateforme puissante et interopérable inégalée pour fournir de nouvelles possibilités dans des combinés avancés [..] nous croyons que MLI créera le forum idéal où les fabricants de dispositifs, les opérateurs réseaux et les développeurs pourront se concentrer spécifiquement sur Linux et les applications Open-Source pour amener les téléphones mobiles à un autre niveau de fonctionnalité et de rentabilité"

Sortie du noyau Linux 2.6.13

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29
août
2005
Noyau
Linus Torvalds vient d'annoncer la sortie de la version 2.6.13 du noyau Linux qui est au coeur de toutes les distributions GNU/Linux. Le cycle de test a été particulièrement long puisqu'il n'a pas fallu moins de sept versions de déverminage (RC ou Release Candidate).

Parmi les nouveautés, on remarquera les points suivants :
  • l'inclusion de l'architecture microprocesseur Xtensa pour l'embarqué
  • Inotify qui remplace Dnotify pour surveiller en temps réel les événements concernant le système de fichiers
  • Kexec qui permet lors d'un crash système de charger un nouveau noyau et de démarrer dessus rapidement sans passer par le BIOS
  • Kdump qui facilite l'examen d'un noyau défaillant
  • l'horloge d'interruption (Timer interrupt) est désormais configurable et passe par défaut à 250 Hz au lieu de 1000 Hz pour l'architecture i386
  • CFQ, l'ordonnanceur d'entrées-sorties (IO scheduler) souvent utilisé par défaut dans les distributions, est grandement amélioré avec sa version 3 et supporte maintenant la gestion des priorités
  • les processeurs de type i386 utilisent désormais le code générique de configuration du bus PCI pour découvrir les ressources éventuelles qui n'auraient pas été configurées par le BIOS
  • etc.

NdM : merci à YodaBZH pour avoir également proposé une dépêche à ce sujet.

Journal Linux a 14 ans !

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25
août
2005
Linux a 14 ans ! La première version est sortie il y a 14 ans...
Bon anniversaire à mon kernel préféré

*From: torvalds@klaava.Helsinki.FI (Linus Benedict Torvalds)
Newsgroups <http://www.pcinpact.com/definition_146.htm>:(...) comp.os.minix
Subject: What would you like to see most in minix?
Summary: small poll for my new operating system
Message-ID: <1991Aug25.205708.9541@klaava.Helsinki.FI>
Date: 25 Aug 91 20:57:08 GMT
Organization: University of Helsinki*

/Hello everybody out there using minix -
I'm doing a (free) operating system (just a hobby, won't be big and
(…)

Linux en tant que marque, ça se défend

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24
août
2005
Justice
Le Linux Mark Institute (LMI par la suite) agissant au titre de Linus Torvalds souhaite faire reconnaître la marque Linux en Australie. Le LMI a pour cela fait connaître les coûts afférents à l'utilisation du terme Linux, seul ou accolé à un nom de produit, pour les entreprises commerciales australiennes souhaitant utiliser le terme Linux pour leur propre marque.
L'utilisation du terme Linux dans le cadre des logiciels libres pour les entreprises non commerciales (LUG, association à but non lucratif, développeur de logiciel libre, utilisateur final...) est considéré comme un usage en règle (fair-use), pas besoin de déposer leur nom (d'où pas besoin d'une sous-licence).

Cette nouvelle a été prise initialement pour un canular alors qu'elle est bien réelle : il s'agit de défendre Linux lorsqu'utilisé en tant que marque déposée (trademark) tout comme le fait Debian pour son nom et logo ou la fondation Mozilla pour Firefox en estampillant les paquets reconnus et officiels avec son logo.

L'article de Groklaw explique clairement la situation ainsi que la réponse de Linus Torvalds : il s'agit de promouvoir la marque Linux.

Il faut bien voir qu'une marque - si elle n'est pas défendue - risque de devenir publique et n'importe qui pourrait profiter de la notoriété de Linux, même à l'encontre des finalités du projet.

Vous pouvez consulter, pour des compléments, l'article de wikipedia sur les contraintes de maintien d'une marque [en] vu que l'article en français de wikipedia sur la marque déposée est encore à l'état d'ébauche (s'il y a des juristes dans l'assistance).

Journal Linux , marque déposée, donc ne pas toucher SVP

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20
août
2005
Mr Linus Benedict Torvalds a demandé des royalties à diverses compagnies qui utilisaient le nom "Linux". Il demande précisemment 5000$
Ce sont plus de 90 sociétés que Mr Torvalds vise.
Bien entendu les LUGS ne sont pas visées


http://www.theinquirer.net/?article=25529(...) (en)
http://osnews.com/comment.php?news_id=11612(...) (en)

Nouvelles du noyau : Git et modèle de développement

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9
août
2005
Noyau
LinuxFr a largement couvert l'affaire qui avait conduit à l'abandon de la version gratuite de BitKeeper par BitMover. BitKeeper était alors utilisé par les développeurs du noyau pour gérer les sources de ce dernier. Ceux-ci, autour d'un prototype développé par Linus Torvalds ont créé leur propre système de gestion des sources, adapté à leurs besoins : Git.

Depuis, le développement de cet outil a suivi son cours, s'améliorant, se voyant doté d'interfaces graphiques ou de scripts évolués. Linus Torvalds a décidé fin juillet de passer la main pour la maintenance et l'évolution de cet outil à Junio Hamano. En effet, Linus a expliqué qu'il avait « toujours dit qu'il ne voulait pas vraiment le maintenir sur le long terme ». Ceux qui s'intéressent à Git pourront lire le Kernel Hackers' Guide to git, suivre la liste de discussion, ou même consulter la toute nouvelle homepage du projet.

Par ailleurs, depuis le Kernel Summit, également couvert sur LinuxFr, Linus a décidé de modifier sensiblement le modèle de développement du noyau. Désormais, suite à la sortie d'une version du noyau, des ajouts de fonctionnalités et modifications importantes ne seront acceptés que pendant deux semaines. Au delà de ce délai, et jusqu'à la sortie de la prochaine version, le travail des développeurs sera consacré à la correction de bugs.

Enfin, toujours suite aux discussions ayant eu lieu durant le Kernel Summit, Andrew Morton, mainteneur de la branche -mm, a publié son weekly report. Dans celui-ci, il liste les grands changements qui sont intégrés pour la prochaine version du noyau, ainsi qu'une estimation de la date de sortie de ce dernier. Il doit permettre aux mainteneurs des différents sous-systèmes du noyau d'être mieux tenus au courant des évolutions en cours.

Comment des vendeurs essaient de breveter les solutions à des failles de sécurité qui leur sont fournies

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14
juil.
2005
Sécurité
Une série de failles ont été découvertes dans le protocole ICMP (et non pas ses implémentations) par l'argentin Fernando Gont, professeur, administrateur système et chercheur en réseau. Il a tenté dès le début, en août 2004, d'en informer tous les auteurs d'implémentation du protocole ICMP avant de publier les failles sur Internet. Il a commencé par écrire un document qu'il a envoyé à l'IETF. Il a également contacté CERT/CC et NISCC, les auteurs de systèmes d'exploitation libre (OpenBSD, NetBSD, FreeBSD, Linux, etc.), ainsi que Microsoft, Cisco et Sun Microsystems. Il a décrit chaque faille pour leur permettre de corriger les implémentations avant de publier ses découvertes.

Fernando a alors commencé à recevoir des e-mails de Cisco demandant des informations techniques précises. Deux mois plus tard, il a reçu un e-mail d'un avocat de Cisco disant que Cisco allait breveter son travail ! L'avocat n'a pas voulu donner plus de détails. Encore deux mois plus tard, il y a eu un échange de mails entre Cisco, Linus Torvalds et David Miller où Fernando a été mis en copie. David a fait remarquer que Linus Torvalds utilisait déjà depuis plusieurs années le « sequence tracking » dans Linux et par là même, le brevet ne pouvait être déposé pour cause d'antériorité du travail de Linus.

Cisco a alors accusé Fernando de coopérer avec les terroristes alors qu'en même temps Cisco voulait breveter son travail. Plus tard Cisco a aussi demandé à Fernando qu'il travaille pour CERT/CC.

Aujourd'hui Cisco a abandonné son idée de brevet, mais ça laisse quand même réfléchir sur le fait de publier anonymement ses failles ou non !

Journal Mercurial, un autre SCM qui se cherche une place

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5
juil.
2005
Hello journal,

Même si j'ai été obligé de me vendre dans les forums pour gagner des XP et pouvoir poster ce journal... je t'en veux pas trop de m'avoir bouder en m'empêchant de te parler.

Bref tout cela pour dire que j'ai continué à tester des SCM depuis mon dernier journal. La victime suivante a été Mercurial (http://www.selenic.com/mercurial).(...)

C'est un sympathique projet en Python qui basé sur les mêmes idées que GIT (de linus torvalds) tente de réparer des (…)

Linus Torvalds sur le futur des logiciels propriétaires

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22
juin
2005
Presse
Dans une interview dans le Good Morning Silicon Valley du 20 juin 2005, Linus Torvalds défend bien le mouvement Open Source face aux solutions propriétaires, sans pour autant diaboliser ces dernières. En résumé, l'Open Source fait doucement sa place dans un marché en évolution où les deux modèles de développements devront coexister et, surtout, se faire oublier (commodity thing).

Nouveau rebondissement dans l'affaire du pilote PWC

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31
mai
2005
Noyau
Le début de l'affaire du pilote pwc remonte à août 2004. Jusqu'à cette époque, la partie libre de ce pilote pour webcams basés sur des chipsets Philips était disponible dans la version officielle du noyau Linux. Toutefois, ce pilote ne permettait de gérer que les modes de basse qualité des webcams, un module supplémentaire propriétaire, pwcx, étant nécessaire pour accéder aux modes évolués qui nécessitaient des routines de décompression.

En août 2004, un différent opposa les développeurs du noyau Linux au développeur du pilote. En effet, le module libre mettait en place un hook spécifique dans le noyau permettant au module non-libre de mettre à disposition ses fonctionnalités avancées de décompression. Or, les développeurs noyau, et en particulier Linus Torvalds, ne souhaitaient pas mettre à disposition un hook particulier pour les besoins d'un module propriétaire : "if a change is needed to be made to the kernel in order to get a closed source module to work, that module must be made opensource".

L'auteur du pilote a alors fait savoir que ce hook existait depuis longtemps et qu'il ne comprenait pas cette décision. Au final, la discussion a amené l'auteur à demander le retrait du pilote.

Le noyau Linux ne disposait alors plus de pilote pour les webcams à base de composants Philips, pourtant très répandues. Heureusement, un français, Luc Saillard, a repris le développement de ce dernier. À la mi-septembre 2004, il envoie un patch contenant une nouvelle version du pilote, entièrement libre, et permettant d'utiliser certains modes de décompression qui n'étaient auparavant utilisables qu'avec le module propriétaire, grâce à de l'ingénierie inverse. Tout semblait donc s'arranger.

Mais, tout récemment, nouveau coup de théâtre : le développeur originel du pilote demande de nouveau le retrait de ce dernier, arguant du fait que le pilote de Luc Saillard aurait été réalisé plus par décompilation du pilote propriétaire que par ingénierie inverse. Après une investigation plus poussée, Alan Cox a trouvé que les remarques de l'auteur originel étaient recevables. Il a par ailleurs eu une discussion amicale avec Philips qui a abouti au retrait du code litigieux des décompresseurs.

À ce jour, le noyau Linux supporte donc toujours les webcams à base de composants Philips, mais uniquement dans les modes basiques. Toutefois, ce rebondissement n'est certainement pas le dernier dans cette saga, et l'espoir de disposer un jour d'un pilote complètement libre et dégagé de tout problème reste présent.

M. Tridgell publie son client libre pour Bitkeeper

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22
avr.
2005
Linux
Alors que les esprits sont toujours chauds suite à la décision de la société BitMover de modifier la licence de son logiciel célèbre Bitkeeper, Andrew Tridgell vient de publier Sourcepuller, le logiciel à l'origine de toute « l'affaire ».
On se souvient que Bitkeeper est un logiciel propriétaire, choisi par Linus Torvalds pour gérer le développement (hautement distribué) du noyau Linux. M Tridgell, trouvant inacceptable la licence imposée par BitMover pour utiliser le logiciel, avait entrepris de développer un logiciel libre permettant d'interagir avec Bitkeeper. Cette initiative avait été fortement condamnée par la société, qui a modifié la licence de Bitkeeper, obligeant Linus à chercher une autre solution pour gérer le développement du noyau (logiciel « GIT » en cours de développement).

M. Tridgell venant de publier son logiciel, espérons que cela aura pour effet de recadrer le débat et de mettre en évidence la portée réelle de cette initiative : simple besoin d'interopérabilité ou volonté de concurrencer BitKeeper ? M. Tridgell, qui était resté très silencieux auparavant, donne son opinion au sujet de cette polémique, explique ses motivations et confirme qu'il n'a pas utilisé le logiciel BitKeeper pour développer son logiciel.

Le développement du noyau continue autour de Git

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21
avr.
2005
Noyau
Suite à l'annonce de l'arrêt de la version gratuite de BitKeeper, Linus Torvalds et quelques autres développeurs ont travaillé sur un nouveau système pour gérer le développement du noyau, appelé Git.

Ce week-end, deux développeurs du noyau ont réussi chacun de leur côté à importer la totalité de l'historique du noyau dans Git, l'un à partir de CVS, l'autre à partir de BitKeeper. Ces trois ans d'historique représentaient 3.2 Go de données une fois importées dans Git, ce qui pour Linus Torvalds est tout à fait raisonnable et conforme à ses prédictions.

Toutefois, Linus a proposé de ne pas importer tout l'historique dans Git, mais de repartir de zéro. Cette proposition n'a pas rencontré d'opposition et le développement du noyau a donc repris en utilisant Git. Depuis, plusieurs dizaines de patches ont été intégrés, aboutissant à la sortie de la version 2.6.12-rc3 du noyau. Cette version est la première utilisant le nouveau système de gestion des sources Git.

Par ailleurs, Tony Luck a annoncé qu'il avait rédigé un guide pour les débutants de Git et des développeurs ont annoncé l'existence de deux interfaces Web pour Git : gitweb et wit.

Face au changement de politique de la société BitMover, il est intéressant de constater la vitesse à laquelle l'équipe de développement du noyau a créé un nouvel outil et l'a rendu utilisable pour continuer le travail et sortir de nouvelles versions.

Andrew Tridgell interviewé par NewsForge

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13
avr.
2005
Samba
Le site web Newsforge a interviewé Andrew Tridgell à l'occasion de son embauche par l'OSDL (une organisation qui emploie par ailleurs Linus Torvalds) dans le cadre de son travail sur Samba.
Il explique que le développement de Samba lui prenait de plus en plus de temps et que c'est ce qui a motivé son passage chez OSDL, où il pourra se consacrer à plein temps au développement du logiciel d'interopérabilité entre Windows et le reste du monde.

L'interview aborde les fonctionnalités de Samba 4 et les problèmes soulevés par les brevets logiciels, mais ce qui est amusant c'est que cet entretien a sans doute eu lieu alors que M. Tridgell n'avait pas encore fait parler de lui lors de l'affaire BitKeeper. En effet, c'est bien le développement -sur son temps libre- d'un logiciel permettant de contourner la licence BitKeeper qui a conduit la société BitMover à modifier sa politique.

Pas un mot donc sur ce qui a conduit à l'abandon du logiciel de gestion de code source, pourtant fortement apprécié des développeurs du noyau et de Linus en particulier.

Linus développe un remplaçant original à BitKeeper

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12
avr.
2005
Gestion de versions
Moins d'une semaine après l'annonce de l'arrêt de la version gratuite de BitKeeper et de son abandon simultané par de nombreux développeurs du noyau (dont Linus Torvalds bien sûr, mais aussi Greg Kroah-Hartman pour n'en citer qu'un), le développement du noyau reprend progressivement, avec des méthodes de travail légèrement modifiées.

Linus Torvalds a passé ces derniers jours à tester différentes solutions SCM [source code management] et a commencé à écrire un content tracker nommé git pour remplacer BitKeeper. D'autres développeurs ont contribué des idées et du code à ce petit outil, au point qu'au bout de moins d'une semaine, il est prêt pour un test grandeur nature. Andrew Morton vient d'envoyer un email titré "Incoming" sur la linux-kernel mailing-list, suivi de deux centaines de patches, qui vont être intégrés à l'arbre officiel par l'intermédiaire de git.

Espérons que les développeurs du noyau pourront être aussi efficaces avec git qu'ils l'étaient avec BitKeeper. La rapidité de ce changement d'outils laisse à penser que l'on peut être optimiste à ce sujet.