Alex G. a écrit 651 commentaires

  • # format Raw

    Posté par  . En réponse à la dépêche Création de OpenRaw.org. Évalué à 2.

    Question : Tiff et Png étant en général utilisés avec des compressions non destructives, pourquoi les appareils ne proposent-ils pas de mettre le RAW (donc la valeur des capteurs sans traitement) dans du tiff ou png ?
    Est-ce parce que les couleurs sont encodés avec plus de bits que ne le permettent ces formats ?
  • [^] # Re: mouais....

    Posté par  . En réponse à la dépêche PC-BSD : Un système FreeBSD pour le grand public. Évalué à 4.


    Si tu n'es pas d'accord avec ça, c'est que tu n'aimes pas ou ne comprends pas le libre.

    Là tu y vas un peu fort. Certes on peut le faire et ça fait partie des libertés offertes. Ceci dit cela ne veut pas dire qu'il est souhaitable de le faire.
    Un fork est toujours à considérer prudement et si vraiment il y a d'abord tractative de discussion qui n'aboutit pas (ex: Xfree86/X.org ou Sodipodi/Inkscape plus polémique). Car il y a aussi l'éthique Hacker.
    Bref Apple est bien dans son droit mais on peut tout de même lui reprocher sa conduite qui n'est pas très coopérative.
    KHTML à été pour eux une formidable économie et leur à permis de rattraper un certains retard qu'ils avaient pris en laisant IE s'installer même sur Mac. Il aurait été logique qu'ils fassent un geste plus large envers la communauté.
  • [^] # Re: Petites critiques à l'égard de RMS

    Posté par  . En réponse à la dépêche La réaction de Richard Stallman aux récents évènements autour de BitKeeper. Évalué à 1.

    A ce propos, je pense que (cf un commentaire au dessus), le libre est un gros avantage pour l'utilisateur, pas forcément pour l'éditeur.
    Le libre peut surtout être développé
    - soit parcequ'une entreprise à de toute façon besoin du logiciel et doit en payer la fabrication (ex : eclipse)
    - soit parceque ceux qui ont de l'interêt pour un logiciel regroupe leurs efforts.
    Dans ce sens je crois beaucoup que des entités tels des GIE (Groupement d'Intérêt Economique (sorte de coopérative)) pourraient faire beaucoup. Par exemple si plusieurs entreprises se regroupent pour faire un ERP, elles peuvent vite trouver leur intérêt.
    L'idée pour une entreprise éditrice serait peut-être alors de créer des souscriptions. Les entreprises clientes, n'auraient pas intérêt à diffuser gratuitement le produit puisque ce serait une perte pour elles-même.
    Note : Je ne pense pas que la GPL permette à quelqu'un de voler le logiciel sans se mettre hors la loi.
    Pour des domaines particuliers, un mix permet aussi d'avoir une partie libre sans s'exposer trop à la concurrence : genre jeux avec moteur libre et images/son sous copyright (ce qui je pense ne va pas conter l'idée de RMS, qui ne militte que pour le logiciel libre).
  • [^] # Re: Petites critiques à l'égard de RMS

    Posté par  . En réponse à la dépêche La réaction de Richard Stallman aux récents évènements autour de BitKeeper. Évalué à 1.

    Certes les temps ne sont peut-être pas mûrs. Mais je pense que si le libre progresse et que Decision Gnagna ou 01 informagnagna commencent à expliquer aux décideurs l'avantage des contributions au libre (notamment, comme tu le dis, le fait d'avoir un code robuste, etc...) je pense que tes patrons ne te regarderons plus avec de tels yeux la prochaine fois.
    Perso pour une SSII, la concurence sur le code est une mauvaise excuse, ce qui fait sa force étant la compétence de ses concepteurs et developpeurs.
    Sans oublier le grand avantage de la GPL : elle force tes concurrents à rester sur le même terrain.
    Je suis tout de même d'accord que la GPL c'est plus facile si c'est le client qui la demande. (A quand les administrations et PME comprendrons-t-elle qu'elles ont tout a y gagner à le demander ?)
  • [^] # Re: Mon avis :)

    Posté par  . En réponse à la dépêche [débat] Pourquoi Sun rejette la GPL. Évalué à 2.

    Je pense aussi que la LGPL est une bonne licence pour certains projets qui ne veulent pas trop de contraintes. Elle permet de distribuer un standard à beaucoup et garantit que ce standard ne sera pas capturé
    On peut utiliser du code LGPL dans un projet GPL. Par contre on ne pourra pas utiliser du code GPL. Cest très bien surtout pour des briques de bases.
    Avec des standards qui ont des bibliothèques LGPL, on peut très facilement construire les programmes GPL concurrents aux logiciels propriétaires.
    Faire le choix de la GPL est intéressant quand on veut vraiment se poser en concurrent du logiciel proprétaire (ce qui est aussi un bien pour faire progresser le libre).
    Bref plutôt que les licences BSD, je préfère la LGPL qui évite de donner le baton pour se faire battre. Dans le débat sur la *BSD plus libre que GPL* N'oublions pas que la notions de liberté pour RMS est celle de l'utilisateur et non du producteur, en effet le logiciel doit être au service de l'utilisateur et non de son concepteur !
    Les licences types CPL on pour moi le désavantage d'être incompatible GPL. Or il est important de regrouper les efforts. La GPL n'est pas la propriété de la FSF et tente de jouer un rôle de service. Certes elle fonctionne comme une sorte d'enclos mais c'est pour protéger le libre du propriétaire. Pour moi c'est une sorte de défense non violente. La réaction de SUN semble dire : "c'est pas juste, y se laissent pas bouffer tout cru par nous", je trouve ça ecoeurant de mauvaise fois de faire ce genre de discours.
  • # Courage !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de la version 0.6 de la solution ERP Neogia. Évalué à 2.

    Juste un petit mot d'encouragement.
    J'ai bossé un peu autour d'un PGI propriétaire il y a quelques années. Je suis convaincu que c'est un secteur ou moyennant un effort de départ, il peut y avoir une véritable envolée du libre.
    L'association de plusieurs entreprises en une association qui possède le copyright me semble vraiment la structure adapté pour réussir ce pari.
    Si vous avez le courage, et la chance de pouvoir mener le projet de l'avant vous allez faire un carton. J'en suis sûr ! L'apport du libre (partage des modifs, suivi clair des bugs, possibilité d'évolutions, adaptations) est un facteur déterminant que seul le libre peut apporter a ce secteur.
  • # vas-y Pierre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Templeet certifié J2EE. Évalué à -1.

    Ca fait plaisir de voir que Pierre Tramo suis de près ce qui se passe autour de Templeet !
  • # Je ne vous jette pas la pierre, Pierre

    Posté par  . En réponse à la dépêche OpenOffice.org version 2.0 et Java. Évalué à 5.

    Juste un petit commentaire pour dire que selon moi il faut être un peu pragmatique.
    Je suis complêtement Stallman lorsqu'il rapelle que Java n'est pas encore libre, car il est important de le rappeller. Toutefois je salut aussi RedHat qui fait des efforts pour faire aboutir gcj et classpath.
    En effet, la communauté Java est pleine de projets libres et de développeurs qui ont été attiré par les idées du libre. Or Java représente presque une communauté avec une certaine culture. Cette culture est composée d'idées partagées aussi par d'autres communautés et d'autres plus différentes, mais le fait est qu'il y a une forte marque identitaire. (parmis ces idées : Ejb, serveur d'appli, Junit, design pattern, forte présence de xml...)
    Il ne faut donc pas "cracher" sur ces communautés (ou ce qu'elles produisent) mais bien comprendre comment les intégrer, comment se libérer de la dépendence au propriétaire.
    Sûr qu'une libération de la jvm de Sun ou de IBM serait une super nouvelle. En attendant, je pense vraiment que classPath est une initiative a booster. En effet, si elle passe les tests de compatibilité de la jvm, elle aura le droit aux brevets.
    Quoiqu'il en soit, Sun pour l'instant s'est montré tolérant envers gcj et je pense qu'il le resterons (je suis d'accord qu'il y a toujours un risque).

    Bien sur pour ma part, beaucoup plus que Java, Python R0x0R à donf !
  • [^] # Re: Vers une division de GNU/Linux ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Interview de Miguel de Icaza par O'reilly. Évalué à 1.

    Ce que j'entendais surtout c'est que mySQL est né du libre, Novell pas forcément et je n'aurais pas une confiance absolu (ils viennent à Linux parceque c'est leur dernier espoir, mais sont-ils convaincu par le modèle libre ?)
    Tu as raison de souligner que si Novell retourne sa veste, il y a tout les moyens habituels de faire un fork, et qu'il sont donc bien conforme à la GPL (abus de langage de ma part).
  • [^] # Re: Vers une division de GNU/Linux ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Interview de Miguel de Icaza par O'reilly. Évalué à 3.

    Ça donne le droit à Novell de changer de licence. Ça parait anodin ...

    Moi ça me gène vachement cette clause ! Demander au gens de contribuer à un logiciel GPL pour ensuite pouvoir prendre sois tous les droits ce n'est pas conforme à l'esprit copy-left. Au minima tu garantit une license LGPL !
    Pour moi, c'est du détournement de la GPL.
    Comme quelqu'un le disait plus haut, Novell n'a pas la culture du libre encore chevillée au corps comme RedHat et ça pourrait jouer des sacrés tours.
  • [^] # Re: Le Net rendu à son concept

    Posté par  . En réponse à la dépêche Vers un accès libre aux résultats de la recherche…. Évalué à 1.

    J'ai oublié un point : les conférences qui restent un moyen de qualifier le contenu et la qualité du travail d'un auteur. (exemple Pycon actuellement en cours)
  • [^] # Re: Le Net rendu à son concept

    Posté par  . En réponse à la dépêche Vers un accès libre aux résultats de la recherche…. Évalué à 2.

    Personellement je ne pense pas que les éditeurs soit inutiles.
    Quoi qu'il en soit je pense aussi que l'on est loin d'avoir exploré les possibilités offertes par internet. Google n'est pas tout !
    Par exemple, intéressé par python, je lis différents blog de python qui par un renvoie de l'un sur l'autre, des pages d'agrégation (daily python url) me donnent une source d'information très pertinante et fiable.
    De même si un site publiait des articles scientifiques ils pourraient très bien être modérés sur le modèle de TribuneLibre ou autre, ces systèmes restants à perfectionner.
    Le système de commentaires d'un article (comme sur linuxfr) permet souvent aussi de le contrebalancer.
    Pourquoi pas des système avec comparaisons statistiques de profils utilisateurs sur le style de irate (irate.sourceforge.net) pour faire du push.
    On pourrai aussi faire une base de donnée qui reprenne le système actuel de notation des revues pour les sites et les articles : la note d'un articles dépends de ses citations pondérées par le poids des articles qui le citent.
    Il reste surement encore d'autre techniques à tester. Ce qui est sûr avec internet, on donner à la contribution de chaque individu une portée universelle et non limitée aux abonnés.
  • # hourra !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Création de l'Association Francophone Python. Évalué à 2.

    YEEEEPEEEE ! \ ^_^ /
    Longue vie à votre association.
    Je suis sûr que Python est un langage qui a énormément à apporter.
    ~~~~~~~~~o-<
  • [^] # Re: Oeuvres du domaine publique

    Posté par  . En réponse à la dépêche GRAC 0.1a : vérificateur grammatical. Évalué à 3.

    Je dis peut-être une bétise mais je ne vois pas ce qui nous empècherais d'utiliser des textes qui ne sont pas du domaine publique pour le second corpus. Le problème serait seulement de ne pas pouvoir les publier, autrement dit ce n'est pas libre, si l'on considère la base d'init faisant partie des sources.
    Sinon on pourrait recopier des phrases exemples de livres de grammaires ou de bouquins scolaires qui théoriquement devraient être assez proche du langage recherché et bien corrigés. Peut-on aussi trouver des manuels scolaires hors copyright (à vos greniers).
    Pour s'affranchir du copyright on peut aussi imaginer de copier des phrases individuellement (disons par exemple en prenant un phrase sur dix et en mélangeant), je pense que ça doit être permi (à vérifier).
    Ce qui est intéressant c'est que dans un premier temps, même si le corpus reste à améliorer on peut avoir un correcteur qui aide déjà beaucoup et au fur et à mesure le corpus peut-être amélioré.
    Quid de passer le correcteur sur son propre corpus (qui pourrait y trouver des fautes à cause de redondances).
    Enfin, il me semble que si Grac arrive à un niveau d'utilisation dans un logiciel tel thunderbird ou ooo, il serait intéressant d'y intégrer un outil de feedback qui permettrait de signaler des erreurs faites par la bestiole.
    Bon courage...
  • [^] # Re: Miam

    Posté par  . En réponse à la dépêche GRAC 0.1a : vérificateur grammatical. Évalué à 2.

    Super idée. Surtout qu'à mon avis même si au début le corpus est imparfait il pourra au moins permettre de faire des tests de montée en charge du Grac.
  • [^] # Re: Reponse France2

    Posté par  . En réponse à la dépêche Émission sur les brevets logiciels à la télévision française. Évalué à 1.

    tout pareil.
    Je pense qu'il doivent avoir quelques lettres types (ou paragraphes types) ce qui est assez normal pour un service après vente. De plus s'isl ont reçu plus d'un courrier sur ce thème c'est logique qu'ils fassent la même réponse.
    L'important c'est que ça répond à la question assez clairement tout de même (même si ça n'excuse pas !).
  • # à propos de classpath

    Posté par  . En réponse à la dépêche Brèves Java. Évalué à 3.

    Rapport à calsspath, j'imagine que c'est un projet complexe car on aborde des sujets très différents et toujours de spécialiste (dans le sens qu'on va au détail des implémentations).
    Y-a-t-il de la réutilisation de bouts de codes d'autres projets GPL. Mono et classpath font-il un peu de travail commun ? (les api sont très différentes mais travaillent sur le même type d'objets, exemple opur faire le module sur les polices d caractères il faut un spécialiste des polices et du code surement proche dans les deux cas).
    Je demande ça car je me demande toujours si la réutilisation du code est une utopie ou on y arrive parfois ?
  • [^] # Re: Albert

    Posté par  . En réponse au sondage Citation. Évalué à 1.

    Ah, non les premiers c'était les hommes de néandertale/cromagnon/ce_que_vous_voulez qui se sont installés là et ont donné naiscance au peuple américain primitif. (dans le sens de premier).

    Yiiippppeee >>----->
  • [^] # Re: Pimentgest

    Posté par  . En réponse à la dépêche La fièvre de l'Open Source gagne le marché des ERP. Évalué à 1.

    Ta dernière remarque est assez juste.
    Toutefois, peut-être considèrent-t-ils les besoins que tu cites plus de l'ordre du travail du comptable (souvent externalisé).
    L'idée d'un logiciel libre est que si tu l'utilises tu puisse y contribuer en développant de nouvelles fonctionnalités (en payant peut-être un développeur pour cela) et cela profitera à tout le monde, non ?
    Ceci dit j'ai regardé rapidement PimenGest et je doute que ce soit très ergonomique et aboutit.
  • # voyager et consort....

    Posté par  . En réponse au sondage Mon activité favorite pendant les vacances. Évalué à 2.

    Profiter des vacances pour connaîtres d'autres personnes, participer à des actions de solidarité, approfondir des valeurs humanistes et spirituelles, ne pas oublier la famille...
  • [^] # Re: Compiere ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche ERP5: un logiciel libre élu meilleur projet de la catégorie ERP aux trophées 2004 Décision Informatique. Évalué à 3.

    PGI = Progiciel de Gestion Intégré.
    En gros c'est un logiciel qui prend en compte tous les aspects de l'entreprise (les employés travaillent 60% de leur temps avec).
    Il te permet de faire les commandes aux fournisseurs, faire les factures, faire la compta, suivre le stock, suivre la production. Ce dernier point est peut-être le plus compliqué, ce qui en anglais s'appelle ERP (Enterprise Resource Planning = planification des ressources) : combien de temps me faut -il pour produire tel objet, quel matières premières et quelle main d'oeuvre me demande-t-il, comment organiser la production, quelle en est le coût, les délais.
    Tous ces aspects sont trés fortement liés dans l'entreprise : les commandes des clients conditionnent la production et les achats qui conditionnent les coûts, la comptabilité provient des tous ces chiffres.... d'où l'intérêt d'un logiciel qui intègre tous ces aspects.
    Les grandes difficultés :
    • faire un logiciel qui respecte la loi (et aide à la respecter),

    • faire un logiciel flexible (qui fonctionne bien avec les habitudes des l'entreprise)


    Le deuxième point est sûrement le plus complexe. Souvent les entreprises changent leur organisation en fonction du logiciel ! La mise en adéquation est un défi majeur pour l'entreprise. Les coûts sont énormes et de plus l'entreprise ne peut pas se permettre un loupé (où c'est tout qui s'arrête)
    Pour ma part je pense que dans ces domaines le logiciel libre peut vraiment libérer les entreprises du "joug" de certains éditeurs.
  • [^] # Re: Pourquoi en seconde page?

    Posté par  . En réponse à la dépêche ERP5: un logiciel libre élu meilleur projet de la catégorie ERP aux trophées 2004 Décision Informatique. Évalué à 5.

    Tout à fait d'accord.
    C'est avec ce genre de logiciel que le logiciel libre peut entrer de plein pied dans l'entreprise (notament PME-PMI).
    D'après mon expérience personnelle, c'est vraiment le point névralgique pour une entreprise industrielle ou commerciale (plus encore que les logiciels de bureautique - groupware).
    Je ne savais pas qu'il existait un tel projet, aussi avancé et en plus en Python (roxor) (je ne connaissait que compiere dépendant encore de Oracle (CPASLIBRE)).
    Espérons qu'il y ai vite plein de clients, longue vie à eux \o/
  • [^] # Re: Bis repetita

    Posté par  . En réponse à la dépêche Red Hat revient sur les postes clients. Évalué à 1.

    Il ya des produits du marché, faits pour la prod qui se basent sur Tomcat. Par exemple le produit de gestion d'annuaire Calendra.
  • # Re: Le format JPEG sous le coup d'un brevet

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le format JPEG sous le coup d'un brevet. Évalué à 0.

    Quelqu'un sait-il si ce brevet qui touche le JPEG touche aussi le JPEG2000 qui, si je ne m'abuse, est à base d'ondelette ? Ou bien la compression ondelette appliquée aux images est sous le coup d'un autre brevet ?
    En tout cas on voit que le groupe qui a promus le JPG n'a pas tenu compte du problème de brevet. Peut-être existait-il un accord implicite avec Compression Labs. Le problème est que le monde capitaliste (et ses rachats intempestifs) ne garantie rien sur le futur !

    Autre chose : quelqu'un connait-il des formats libres qui prennent en compte le CMJN (Cyan magenta jaune noir) utilisé en impression ?
  • [^] # Re: Inkscape : nouveau leader open source du dessin vectoriel ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Inkscape : nouveau leader open source du dessin vectoriel ?. Évalué à 1.

    bravo !
    Il y a déjà un bug report sur le sujet (la version 0.37 windows en était inutilisable en français). C'est bien un problème de localisation mais cet endroit à du être oublié donc bon bug report.