Tous de même, l'Etat considére que 50% des foyés sont incapables de survivre économiquement, et les exempt d'Impots. Et cet impot et bien plus lourd que les autres, et ce même dans les tranches les plus basses (expérience perso d'un smicar).
Pourquoi "justifier" ?
Devrais-je me justifier de ne pas avoir les même idées que toi ?
(Et au passage, je crois que nous sommes une majorité en France...)
Et d'apres toi, cela sert a quoi un député ? Un député s'occupe du pouvoir législatif. Il a donc en charge de déterminer la loi. C'est donc bien a lui qu'il faut ce plaindre. Toutefois, tu a aussi raison, si on veux ce faire entendre, il ne faut pas seulement raller, il faut expliquer ce qui ne va pas, argumenter, proposer des solutions et mobiliser un maximum de personnes pour montrer que tu n'ai pas la seul personnes a partager ce point de vue. Deplus, une mobilisation massive, c'est aussi et surtout un moyen de pression pour ce faire écouter. Un groupe organisé est bien plus puissant que le même nombre d'individus mais chacun dans sont coin.
Ca c'est completement idiot. Autoriser un état a entrer dans la vie privé des gens c'est d'abord demontrer que l'on ne fait pas confiance aux gens et donc a les deresponsabiliser. Ce qui entraine des dérives des la part des gens ainsi qu'une passivité dangeureure tous cela pour quelques terroristes. Evidemment c'est toujours comme cela que l'on manipule les faibles d'esprits, on leur montre un grand mechant et on en profite pour leur retirer leur droit.
Ensuite, il ne faut pas oublier que l'état n'a pas toujours raison ou qu'il est impartial (si tu pense cela, alors tu es vraiment bete : l'état c'est des hommes et des femmes comme toi et quand quelques choses les ennuies, ils sont tentés d'avoir recours aux facilités qui leurs sont offertes). Immagine que tu soit dans un état nazi/pediphile... dans ces conditions, tu sera surement bien content que des personnes s'opposes aux agissement de l'état. Seulement si l'état est très organisé et qu'il peut surveiller voir faire condammer sur n'importe quoi, il est sur de rester en place.
Enfin, je ne suis pas contre les lois, elles sont utiles mes je me méfis de celles qui vont trop loin. Je suis pour un état qui n'aurai rien à cacher. Toutefois, il faut bien dire que tous le monde enfrain la loi car la loi est compliqué et des fois stupide. On peut donc facilement condammer n'importe qui, ou tout du moins le trainer tout le temps en justice jusqu'à ce qu'il craque. Alors ne pense pas que parce que tu n'a rien a te reprocher tu ne peux pas avoir de problemes. Mais il est vrai que si tu ne fait rien alors il y a peux de chance que l'on se préoccupe de toi. Sache quand même que les gens qui ne font rien ne font pas avancer une société et que donc si il n'y avait que des "je ne suis pas intéressant", il n'y aurait pas de société.
Moi non plus j'ecoute pas de musique, d'ailleurs j'ai meme pas de chaine Hi-Fi pour ecouter des CD audio. Alors je propose plutot qu'ils mettent une taxe sur les chaines Hi-Fi.
Pourquoi vous battent comme chiffonniers alors que l'Europe vient de d'entrer dans sa phase grabataire précédant la mort lors du "sommet" de Nice ? Dans deux à quatre ans on ne parlera plus d'Europe mais on aura une monnaie unique et des OGM à bouffer. Quant aux républiques bananières nous y sommes déjà (l'affaire des Lycées d'Ile-de-France est la dernière connue à ce jour et tous y trempent); un pour tous, tous pourris est un slogan qui devrait nous poousser à grimper dans ce train bananier plutôt que rester sur le quai de gare à respirer les effluves pestilencielles qui se dégage du train. A grande vitesse, on ne sent pas les odeurs...
j'ai eu aussi plein de pbs avec perl. C'est du a
un conflit entre perl-5.004 et perl-5.6. Moi
je fais:
dpkg -r perl
apt-get install perl-5.6 et tout rentre dans l'orde.
Là je commence à trouver que les riches ont bon dos !
NB : je ne suis pas riche
Je pense qu'un riche paye beaucoup plus d'impôt que quiconque en France, quand il a le courage de rester dans son pays : je ne parle pas de la pauvre anecdote ISF, je parle de la TVA et de son train de vie. Un "riche" qui se casse à Londres, et bien c'est tout son train de vie et ses dépense qui se cassent. N'oublions pas que l'industrie du luxe nécessite des salariés... et que les salarié du luxe ne roulent pas sur l'or !
bref, le stéréotype de l'oncle Picsou a bon dos ! faut arrêter les Mickey Parade :)
Là je commence à trouver que les riches ont bon dos !
NB : je ne suis pas riche
Je pense qu'un riche paye beaucoup plus d'impôt que quiconque en France, quand il a le courage de rester dans son pays : je ne parle pas de la pauvre anecdote ISF, je parle de la TVA et de son train de vie. Un "riche" qui se casse à Londres, et bien c'est tout son train de vie et ses dépense qui se cassent. N'oublions pas que l'industrie du luxe nécessite des salariés... et que les salarié du luxe ne roulent pas sur l'or !
bref, le stéréotype de l'oncle Picsou a bon dos ! faut arrêter les Mickey Parade :)
ouai cool, mais bon TSR était recconnu pour avoir plagié des création d'internautes, sous prétexte que leurs jeu était sous copyright et les pauv' gars qu'ont développés des modules et autres extentions se sont fait avoir (j'ai vu ça sur des archives sur le net qui datent de 1997) par le monstre (tsr) dont les règlement internes à la boite ont fait fuire plus d'un. Donc un site (ou plusieurs) c'est bien mais je pense qu'il faut quand même faire gaffe !!!
Sinon j'ai un pote qui à traduit byakhee (le générateur de persos pour Cthulhu (Le grand) qu'on peut trouver sur www.tentacules.net et son site s'appelle TOC (trouver Objet Caché)...Par contre, ça tourne sous Zin, mais kénafoutrema, y'a Vmware !!! :o)
Pas de blèm, ma poule mais j'ai simplement trouvé qu'il était important de préciser l'erreur de frappe...uniquement pour ceux qui à l'instar des autres(?) ne connaissait pas le site. Pour l'info en elle-même, ben je pense que même 6 mois après la sortie du jeux tu seras vivement convier à en faire tout un étalage, ça fait près de 20 ans (bon 17 en fait) que je joue à donj', donc no blèm...
Le temps réel ça consiste à faire une ou plusieurs tâches qui donnent un résultat juste vis à vis de l'application mais dont le résultat est disponible dans un intervalle de temps parfaitement spécifié. Si le résultat est disponible trop tôt, ou trop tard, il n'est pas/plus intéressant pour l'application visée. Un exemple pas trop dur à comprendre est celui de la centrale nucléaire, on doit, par exemple ajuster -en temps-réel- la position des barres de contrôle afin d'avoir la puissance nominale, mais ni que le réacteur s'éteigne (cela prive les gens d'électricité) ni que le réacteur s'emballe (risque de catastrophe écologique et aussi de détérioration de l'installation). On connait l'inertie du système, donc on connait le temps que doit mettre l'application pour délivrer le résultat. S'il arrive trop tôt, on compense trop, s'il arrive trop tard, on ne compense pas assez. Dans les deux cas le résultat risque d'être catastrophique. Il existe 3 types de temps réel :
1) le temps-réel critique : tout écart peut provoquer un problème majeur que l'on ne peut pas se permettre. Ce sont des système où les contraintes de déterminisme sont telles qu'on ne peut pas toujours utiliser un système d'exploitation.
2) le temps réel "mou" : une erreur dans les délais provoque une gène acceptable (genre une image qui saute dans une transmission TV, etc..). C'est une domaine où l'on peut parfaitement utiliser un OS bien conçu pour accomplir cette tâche (genre pas un OS ordinaire genre Windows, Linux, BSD, Mac OS ou autre).
3) le temps réel commercial : juste pour faire croire au gogo que grace à son super-processeur de la mort, il n'aura plus à attendre que son ordinateur ait fini une tâche qu'il lui a confié. Cela n'a rien à voir avec le temps réel, puisque le temps-réel, ça ne veux pas dire que ça va vite (ça pourrait même être très lent), cela signifie simplement que les délais d'attendre peuvent être prévus, ainsi que les taux d'échecs.
Pour répondre à un autre commentaire, le temps-réel, le vrai, c'est compliqué, absolument pas trivial et d'ailleurs c'est sur ce problème que porte ma thèse.
Dernière(s) balise(s) avant mutation
Pour que la Liberté soit une idée neuve en Europe
Par Frédéric Couchet, Benjamin Drieu et Aris Papathéodorou
"Finalement, le mouvement du logiciel libre prend racine dans un idéal qui postule la liberté absolue et le caractère universel du savoir et de l'information ; idéal qui n'est pas exclusif au logiciel.
Les atteintes régulières infligées à cet idéal ne sont pas l'exclusivité du logiciel et l'actualité brûlante de la brevetabilité du savoir ou du vivant en est un exemple frappant.
L'un des derniers outrages subis fût le renoncement de Munich, devant les pratiques de l'Office Européen des Brevets. Les renoncements de Munich «à peine constatés que le sommet de Nice se pointe à l'horizon... Par la modification de l'article 133 du traité d'Amsterdam, on vise à ramener «les services, les investissements et les droits de la propriété intellectuelle» dans le «champ d'application de la politique commerciale» c'est-à-dire, en particulier, à exclure ces questions du domaine du vote à l'unanimité, pour leur appliquer un vote à la majorité qualifiée qui induira, automatiquement, des solutions ultra-libérales, c'est-à-dire anti-européennes."
Désolé mais une taxe ça ne va pas forcément à l'état : une taxe contrairement à l'impôt est destiné à un but précis... ici c'est pour rémunérer les artistes/producteur/auteur, ici l'état ne touchera rien (à part la TVA mais là si tu ne la veux pas change de système économique...)
> Par contre Nice, même si ca peut avoir une
> influence sur le calibre des tomates que mange
> mon admin système, bon je m'en bas un peu les...
tant pis/mieux pour toi
j'espere cependant que tu t'en contre-fou moins de pouvoir réagir sur un forum de facon libre.
Je pense plutot que ce sont tes conneries qui sont sensees partir a la puberte. La grammaire ameliore la qualite de l'information (valoriser l'information tu connais non ?), et ca c'est international...
Par contre les accents c'est pas genial pour l'international. Meme sur un page francaise.
Par Ariel Kyrou
[ Trouvé le 12 novembre sur samizdat.net et minirezo.net ]
À la fin du mois doctobre 2000, Napster a annoncé la signature dun accord avec le monstre Bertelsmann, accord qui fera bientôt de lentreprise californienne un service de «distribution musicale en ligne, sécurisée et sur abonnement». Est-ce la fin du téléchargement gratuit de musique en ligne dont Napster était le symbole ? Et que vont faire les 38 millions de «Napstériens» recensés ?
Cette capitulation ne changera rien au désir des internautes de dénicher par tous les moyens de la zique gratos sur le Net sans se préoccuper des droits dauteur. Les emmerdes ne font que commencer pour les majors du disque et cest tant mieux. Mais il y a urgence à trouver des voies originales pour assurer laccès de tous à la culture sans torpiller les artistes, et ces voies, parentes des chemins du logiciel libre, devront refuser sans ambiguïté la logique du profit.
La capitulation de Napster face aux majors
Napster ? Depuis mai 1999, son logiciel permettait aux internautes du monde entier de séchanger sans bourse déliée toutes les musiques du monde. À partir dun catalogue centralisé par le logiciel, de disque dur à disque dur, les internautes troquaient les vocalises de Madonna contre les pilonnages de Daft Punk, sans que la famille SACEM ni les dragons Universal, Emi et Warner ne touchent leur royale obole.
Nous sommes aux derniers jours doctobre 2000. Sonne le deuxième Acte de lépopée de la musique en ligne : après quatre mois de procès avec la RIAA (lAssociation de lindustrie musicale américaine), et avant même que cette sarabande judiciaire ne soit close, la société Napster rentre dans le rang. Le petit e-moustique californien qui piquait les e-vaches des majors du disque annonce une alliance avec lun de ces mastodontes qui lavait placé devant les juges : Bertelsmann. Et les quelques 38 millions de «Napstériens» de notre planète connectée ? Demain, sils veulent continuer à troquer leurs coups de cur musicaux sous format de compression numérique mp3, ils devront verser 38 francs par mois dans le porte-monnaie de la société qui naîtra de laccord de Napster et de Bertelsmann...
Le désir de musique gratuite plus fort que Napster
Une question se pose : ces « Napstériens « vont-ils payer pour puiser dans le catalogue de Bertelsmann et sans doute demain des autres majors ? Non. Seule une minorité de gugusses passera à la caisse. Car le succès de Napster repose sur le mariage dune technologie et dun appétit de musique gratuite. Enlevez le fleuve sans limites de jazz, de techno, de pop et de hip hop, et vous naurez que loutil sans lusage. Mettez-y des barrages, des péages et des douaniers, et vous verrez les nageurs et bateliers emprunter les rivières, gratuites et libres de tout flicage. Ce qui nempêchera pas les plus fortunés de prendre de temps à autre le fleuve bien policé par les majors, histoire de se payer une balade confortable et de donner le change avant de reprendre des cours deau plus franchement hérétiques...
Demain le haut débit : que les majors frémissent !
Nos 38 millions de « Napstériens «, pour la plupart, navaient pas daccès au Net en haut débit. Et il leur fallait des heures pour télécharger titres ou surtout albums en mp3, et les nuits leur étaient très fructueuses. Demain, surfant en toute fluidité grâce aux ondes et aux tuyaux du haut débit, ils téléchargeront sans coup férir en mode TGV. Pensez-vous quils choisiront le site payant marqué du sceau des majors ou le site de musique gratuite dans lesprit de feu Napster ?
Freenet et Gnutella : des communautés, pas des entreprises !
Car Napster a dores et déjà des petits frères qui peaufinent des technologies plus «rebelles» encore, même si pas toujours simples daccès : Gnutella et Freenet. Là où Napster supposait le passage par un centre serveur avant que les internautes ne se livrent à leurs échanges de disque dur à disque dur, Gnutella et Freenet sont des logiciels décentralisés, opérés par des zozos repartis sur lensemble du réseau et bien souvent anonymes... Enfin, là où Napster revendiquait un statut dentreprise, Gnutella et Freenet ne se veulent que des communautés. Et ce petit détail change tout...
Impossibles à localiser car sans le moindre centre, Freenet et Gnutella ne recherchent pas le profit, mais agissent pour le libre accès de tous à la culture. Sils refusent de payer à la SACEM et ses équivalents dans le monde des droits dauteur, cest au nom dune éthique, refusant toutes censures et rêvant peut-être dune société de créateurs pirates. Et demain, sachez-le, à la musique sous mode mp3 sajouteront des films en format de compression DivX.
Quelle sera la réponse des institutions et des monstres du loisir ? La répression policière et cyber-policière ? Certes, mais comment remonter aux coupables ? Dans limpossibilité de traquer les maîtres de Freenet et Gnutella, vont-ils traquer chez eux les «consommateurs» allergiques au copyright ? Big brother es-tu là ?
Ce nest pas le Net mais la musique de merde qui tue la musique
Déjà, dans le passé, les maisons de disque ont crié haro sur la cassette enregistrable ! Elle allait tuer la musique, quils disaient. Selon Bono, leader du combo U2 interrogé début octobre 2000 par Libération, le Net nassassinera pas plus la musique que la cassette audio ne la desservie. Ce qui tue la musique, cest «la musique de merde». Jamais, dailleurs, les ventes de Cd aux Etats-Unis ne se sont aussi bien portées quau moment où Napster cassait la baraque. Comment, en ce cas, se prononcer contre lidée que des jeunes sans le sou se servent du Net pour découvrir des milliers de musiques quils nauraient pu découvrir autrement ? Bono vote pour. Et nous aussi. Mais lartiste dajouter : le seul problème, ce serait que «Mr Napster» se serve de son logiciel et de ses échanges entre 38 millions damis pour faire grimper son cours au Nasdaq. Et là, Bono frappe juste : laccès gratuit de tous à la culture est une mission de service public, sûrement pas un modèle économique...
Les internautes et les artistes indépendants contre les majors ?
En octobre 2000 toujours, un jeune homme de 26 ans a écopé de 20.000 francs damende et de 4 mois de prison avec sursis pour avoir proposé depuis son propre site web des liens vers des sites de téléchargement gratuit de musique en format mp3. Une honte, démontrant sil en était besoin la tendance naturelle du juriste à protéger le puissant crapaud contre le têtard citoyen, lentreprise dépensant des millions en placards de pub contre le site indépendant profitant du «bouche à mail» et des liens hypertextes pour attirer à lui les internautes.
Enfin, si lon prend le point de vue de lauteur ou du label indépendant, vaut-il mieux condamner létudiant désargenté à la diète musicale et cinéphile ou lui permettre de se construire une culture dans lespoir quil ait demain les ronds pour apporter son obole aux artistes ? Et puis selon quel principe absurde les intermédiaires tels les mastodontes de la SACEM et les triceratops du loisir seraient-ils incontournables pour récolter les droits ? Le Net permet de se passer deux. Oublions-les.
Plaidoyer pour un service public iconoclaste
Au lieu de réprimer, pourquoi ne pas applaudir aux multiples échanges de musique sur le Net ? Pourquoi ne pas les encourager mais selon une logique de service public ? Un service public au sens noble du terme... Pas le service public de France Telecom ou des couloirs de lANPE mais celui des bibliothèques municipales où chacun peut emprunter des CD sans bourse délier. Un service public sans rond-de-cuir, une organisation virtuelle de lère de Linux et de la Licence Art Libre de «Copyleft Attitude». Outre sa simple fonction daccès à la culture sous mp3, il guiderait linternaute vers des artistes rares et plus difficiles, proposerait des samples et des références historiques, ferait découvrir de bons vieux ancêtres, ouvrirait lhorizon de tous...
Premières pistes pour une construction libre et salutaire
Le financement de ce service public inédit ? Et le paiement des artistes ? Saviez-vous quà chaque cassette audio achetée, vous payez une taxe qui va dans la poche des intermédiaires du disque. Pourquoi ne pas étendre ce principe au CD enregistrable mais au bénéfice de notre nouveau service public ? Enfin, chaque usager de ce service universel de téléchargement gratuit pourrait décider, en cas dextase musicale et dune santé financière lui permettant cet acte généreux, de donner des deniers à tel ou tel artiste après avoir puisé gratuitement dans locéan de musiques... Comme un pourboire dun nouveau style, électronique et libre.
De façon générale, lemprunt se ferait en mp3, et serait donc plutôt de lordre du cadeau, mais quimporte ? Quil sagisse de linternaute mettant ses musiques sur CD ou des Napster du futur, le problème des droits ne se poserait quen cas de plus-value du lycéen ou de lentreprise. Lorsque lun vendrait à ses potes des CD copiés à 80 balles au lieu des 10 balles de support, ou quand lautre en profiterait pour négocier de la pub et faire grimper ses actions. Sinon, foin de copyright ! Et houra pour le bazar des toutes les musiques, les plus costard cravate comme les plus delirium très mince ! Sur un site de service public, mondial of course.
[^] # Re: Alors la bravo !!!
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à 0.
[^] # Re: Alors la bravo !!!
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à 0.
Devrais-je me justifier de ne pas avoir les même idées que toi ?
(Et au passage, je crois que nous sommes une majorité en France...)
[^] # Re: Donc, cette fois-ci, c'est pas du pipeau?
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à 0.
[^] # Re: ...
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Convention sur le Cybercrime : le Conseil de l'Europe se moque des droits de l'homme. Évalué à 0.
Ensuite, il ne faut pas oublier que l'état n'a pas toujours raison ou qu'il est impartial (si tu pense cela, alors tu es vraiment bete : l'état c'est des hommes et des femmes comme toi et quand quelques choses les ennuies, ils sont tentés d'avoir recours aux facilités qui leurs sont offertes). Immagine que tu soit dans un état nazi/pediphile... dans ces conditions, tu sera surement bien content que des personnes s'opposes aux agissement de l'état. Seulement si l'état est très organisé et qu'il peut surveiller voir faire condammer sur n'importe quoi, il est sur de rester en place.
Enfin, je ne suis pas contre les lois, elles sont utiles mes je me méfis de celles qui vont trop loin. Je suis pour un état qui n'aurai rien à cacher. Toutefois, il faut bien dire que tous le monde enfrain la loi car la loi est compliqué et des fois stupide. On peut donc facilement condammer n'importe qui, ou tout du moins le trainer tout le temps en justice jusqu'à ce qu'il craque. Alors ne pense pas que parce que tu n'a rien a te reprocher tu ne peux pas avoir de problemes. Mais il est vrai que si tu ne fait rien alors il y a peux de chance que l'on se préoccupe de toi. Sache quand même que les gens qui ne font rien ne font pas avancer une société et que donc si il n'y avait que des "je ne suis pas intéressant", il n'y aurait pas de société.
[^] # Re: Et dans les autres pays ?
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à 0.
# Europe
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Convention sur le Cybercrime : le Conseil de l'Europe se moque des droits de l'homme. Évalué à 0.
[^] # Re: La musique en ligne ? Un service public !
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à 0.
Phrases bien tournées, idées bien étayées. Et même l'orthographe est irréprochable.
Un regret : il faut vraiment aller "tout en bas" pour lire ce texte qui est à mon avis un des plus intéressants du "thread"
[^] # Re: Perl 5.6
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Nouvelles hebdo Debian - 12 décembre 2000. Évalué à 0.
un conflit entre perl-5.004 et perl-5.6. Moi
je fais:
dpkg -r perl
apt-get install perl-5.6 et tout rentre dans l'orde.
[^] # Re: Lobby pour une taxation intelligente
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à -1.
NB : je ne suis pas riche
Je pense qu'un riche paye beaucoup plus d'impôt que quiconque en France, quand il a le courage de rester dans son pays : je ne parle pas de la pauvre anecdote ISF, je parle de la TVA et de son train de vie. Un "riche" qui se casse à Londres, et bien c'est tout son train de vie et ses dépense qui se cassent. N'oublions pas que l'industrie du luxe nécessite des salariés... et que les salarié du luxe ne roulent pas sur l'or !
bref, le stéréotype de l'oncle Picsou a bon dos ! faut arrêter les Mickey Parade :)
[^] # Re: Lobby pour une taxation intelligente
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à 0.
NB : je ne suis pas riche
Je pense qu'un riche paye beaucoup plus d'impôt que quiconque en France, quand il a le courage de rester dans son pays : je ne parle pas de la pauvre anecdote ISF, je parle de la TVA et de son train de vie. Un "riche" qui se casse à Londres, et bien c'est tout son train de vie et ses dépense qui se cassent. N'oublions pas que l'industrie du luxe nécessite des salariés... et que les salarié du luxe ne roulent pas sur l'or !
bref, le stéréotype de l'oncle Picsou a bon dos ! faut arrêter les Mickey Parade :)
# marrant
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Escrocs mais pas trop. Évalué à 0.
je connais pas trop l'univers de WA, mais je vous conseil franchement d'aller voir ce film
[^] # Re: Youpi
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche jeux de rôle multi-plateformes et multijoueur.... Évalué à 0.
# oublier nt4, à oublier
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Y-a que du bon à la télé !. Évalué à 0.
[^] # Re: A propos de connaisseur
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche jeux de rôle multi-plateformes et multijoueur.... Évalué à 0.
Sinon j'ai un pote qui à traduit byakhee (le générateur de persos pour Cthulhu (Le grand) qu'on peut trouver sur www.tentacules.net et son site s'appelle TOC (trouver Objet Caché)...Par contre, ça tourne sous Zin, mais kénafoutrema, y'a Vmware !!! :o)
[^] # Re: A propos de connaisseur
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche jeux de rôle multi-plateformes et multijoueur.... Évalué à 0.
[^] # Re: tu t'es planté
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche jeux de rôle multi-plateformes et multijoueur.... Évalué à 0.
[^] # Re: linux embarque
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Linux temps réel. Évalué à 0.
1) le temps-réel critique : tout écart peut provoquer un problème majeur que l'on ne peut pas se permettre. Ce sont des système où les contraintes de déterminisme sont telles qu'on ne peut pas toujours utiliser un système d'exploitation.
2) le temps réel "mou" : une erreur dans les délais provoque une gène acceptable (genre une image qui saute dans une transmission TV, etc..). C'est une domaine où l'on peut parfaitement utiliser un OS bien conçu pour accomplir cette tâche (genre pas un OS ordinaire genre Windows, Linux, BSD, Mac OS ou autre).
3) le temps réel commercial : juste pour faire croire au gogo que grace à son super-processeur de la mort, il n'aura plus à attendre que son ordinateur ait fini une tâche qu'il lui a confié. Cela n'a rien à voir avec le temps réel, puisque le temps-réel, ça ne veux pas dire que ça va vite (ça pourrait même être très lent), cela signifie simplement que les délais d'attendre peuvent être prévus, ainsi que les taux d'échecs.
Pour répondre à un autre commentaire, le temps-réel, le vrai, c'est compliqué, absolument pas trivial et d'ailleurs c'est sur ce problème que porte ma thèse.
mata ne
--
luigi
mailto:luigi@fleming.u-psud.fr
[^] # Re: ???
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Opera en béta 4. Évalué à 0.
[^] # Re: Alors la bravo !!!
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à 0.
# J'ai trouvé le lien entre Linux et Nice
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Nice 2000 : le résumé. Évalué à 0.
http://www.samizdat.net/infos/article.php3?sid=34&mode=threaded(...)
Dernière(s) balise(s) avant mutation
Pour que la Liberté soit une idée neuve en Europe
Par Frédéric Couchet, Benjamin Drieu et Aris Papathéodorou
"Finalement, le mouvement du logiciel libre prend racine dans un idéal qui postule la liberté absolue et le caractère universel du savoir et de l'information ; idéal qui n'est pas exclusif au logiciel.
Les atteintes régulières infligées à cet idéal ne sont pas l'exclusivité du logiciel et l'actualité brûlante de la brevetabilité du savoir ou du vivant en est un exemple frappant.
L'un des derniers outrages subis fût le renoncement de Munich, devant les pratiques de l'Office Européen des Brevets. Les renoncements de Munich «à peine constatés que le sommet de Nice se pointe à l'horizon... Par la modification de l'article 133 du traité d'Amsterdam, on vise à ramener «les services, les investissements et les droits de la propriété intellectuelle» dans le «champ d'application de la politique commerciale» c'est-à-dire, en particulier, à exclure ces questions du domaine du vote à l'unanimité, pour leur appliquer un vote à la majorité qualifiée qui induira, automatiquement, des solutions ultra-libérales, c'est-à-dire anti-européennes."
[^] # Re: taxe ou pas, copier un cd audio est légal
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à 0.
[^] # Re: Et pour Nunux ?
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à 0.
[^] # Re: Alors la bravo !!!
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à 0.
> influence sur le calibre des tomates que mange
> mon admin système, bon je m'en bas un peu les...
tant pis/mieux pour toi
j'espere cependant que tu t'en contre-fou moins de pouvoir réagir sur un forum de facon libre.
[^] # Re: Illimité?
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Script d'envoi de SMS gratuits sur tout portable. Évalué à 0.
Par contre les accents c'est pas genial pour l'international. Meme sur un page francaise.
Des fois...
# La musique en ligne ? Un service public !
Posté par Anonyme . En réponse à la dépêche Les CD vierges surtaxés en janvier. Évalué à 0.
[ Trouvé le 12 novembre sur samizdat.net et minirezo.net ]
À la fin du mois doctobre 2000, Napster a annoncé la signature dun accord avec le monstre Bertelsmann, accord qui fera bientôt de lentreprise californienne un service de «distribution musicale en ligne, sécurisée et sur abonnement». Est-ce la fin du téléchargement gratuit de musique en ligne dont Napster était le symbole ? Et que vont faire les 38 millions de «Napstériens» recensés ?
Cette capitulation ne changera rien au désir des internautes de dénicher par tous les moyens de la zique gratos sur le Net sans se préoccuper des droits dauteur. Les emmerdes ne font que commencer pour les majors du disque et cest tant mieux. Mais il y a urgence à trouver des voies originales pour assurer laccès de tous à la culture sans torpiller les artistes, et ces voies, parentes des chemins du logiciel libre, devront refuser sans ambiguïté la logique du profit.
La capitulation de Napster face aux majors
Napster ? Depuis mai 1999, son logiciel permettait aux internautes du monde entier de séchanger sans bourse déliée toutes les musiques du monde. À partir dun catalogue centralisé par le logiciel, de disque dur à disque dur, les internautes troquaient les vocalises de Madonna contre les pilonnages de Daft Punk, sans que la famille SACEM ni les dragons Universal, Emi et Warner ne touchent leur royale obole.
Nous sommes aux derniers jours doctobre 2000. Sonne le deuxième Acte de lépopée de la musique en ligne : après quatre mois de procès avec la RIAA (lAssociation de lindustrie musicale américaine), et avant même que cette sarabande judiciaire ne soit close, la société Napster rentre dans le rang. Le petit e-moustique californien qui piquait les e-vaches des majors du disque annonce une alliance avec lun de ces mastodontes qui lavait placé devant les juges : Bertelsmann. Et les quelques 38 millions de «Napstériens» de notre planète connectée ? Demain, sils veulent continuer à troquer leurs coups de cur musicaux sous format de compression numérique mp3, ils devront verser 38 francs par mois dans le porte-monnaie de la société qui naîtra de laccord de Napster et de Bertelsmann...
Le désir de musique gratuite plus fort que Napster
Une question se pose : ces « Napstériens « vont-ils payer pour puiser dans le catalogue de Bertelsmann et sans doute demain des autres majors ? Non. Seule une minorité de gugusses passera à la caisse. Car le succès de Napster repose sur le mariage dune technologie et dun appétit de musique gratuite. Enlevez le fleuve sans limites de jazz, de techno, de pop et de hip hop, et vous naurez que loutil sans lusage. Mettez-y des barrages, des péages et des douaniers, et vous verrez les nageurs et bateliers emprunter les rivières, gratuites et libres de tout flicage. Ce qui nempêchera pas les plus fortunés de prendre de temps à autre le fleuve bien policé par les majors, histoire de se payer une balade confortable et de donner le change avant de reprendre des cours deau plus franchement hérétiques...
Demain le haut débit : que les majors frémissent !
Nos 38 millions de « Napstériens «, pour la plupart, navaient pas daccès au Net en haut débit. Et il leur fallait des heures pour télécharger titres ou surtout albums en mp3, et les nuits leur étaient très fructueuses. Demain, surfant en toute fluidité grâce aux ondes et aux tuyaux du haut débit, ils téléchargeront sans coup férir en mode TGV. Pensez-vous quils choisiront le site payant marqué du sceau des majors ou le site de musique gratuite dans lesprit de feu Napster ?
Freenet et Gnutella : des communautés, pas des entreprises !
Car Napster a dores et déjà des petits frères qui peaufinent des technologies plus «rebelles» encore, même si pas toujours simples daccès : Gnutella et Freenet. Là où Napster supposait le passage par un centre serveur avant que les internautes ne se livrent à leurs échanges de disque dur à disque dur, Gnutella et Freenet sont des logiciels décentralisés, opérés par des zozos repartis sur lensemble du réseau et bien souvent anonymes... Enfin, là où Napster revendiquait un statut dentreprise, Gnutella et Freenet ne se veulent que des communautés. Et ce petit détail change tout...
Impossibles à localiser car sans le moindre centre, Freenet et Gnutella ne recherchent pas le profit, mais agissent pour le libre accès de tous à la culture. Sils refusent de payer à la SACEM et ses équivalents dans le monde des droits dauteur, cest au nom dune éthique, refusant toutes censures et rêvant peut-être dune société de créateurs pirates. Et demain, sachez-le, à la musique sous mode mp3 sajouteront des films en format de compression DivX.
Quelle sera la réponse des institutions et des monstres du loisir ? La répression policière et cyber-policière ? Certes, mais comment remonter aux coupables ? Dans limpossibilité de traquer les maîtres de Freenet et Gnutella, vont-ils traquer chez eux les «consommateurs» allergiques au copyright ? Big brother es-tu là ?
Ce nest pas le Net mais la musique de merde qui tue la musique
Déjà, dans le passé, les maisons de disque ont crié haro sur la cassette enregistrable ! Elle allait tuer la musique, quils disaient. Selon Bono, leader du combo U2 interrogé début octobre 2000 par Libération, le Net nassassinera pas plus la musique que la cassette audio ne la desservie. Ce qui tue la musique, cest «la musique de merde». Jamais, dailleurs, les ventes de Cd aux Etats-Unis ne se sont aussi bien portées quau moment où Napster cassait la baraque. Comment, en ce cas, se prononcer contre lidée que des jeunes sans le sou se servent du Net pour découvrir des milliers de musiques quils nauraient pu découvrir autrement ? Bono vote pour. Et nous aussi. Mais lartiste dajouter : le seul problème, ce serait que «Mr Napster» se serve de son logiciel et de ses échanges entre 38 millions damis pour faire grimper son cours au Nasdaq. Et là, Bono frappe juste : laccès gratuit de tous à la culture est une mission de service public, sûrement pas un modèle économique...
Les internautes et les artistes indépendants contre les majors ?
En octobre 2000 toujours, un jeune homme de 26 ans a écopé de 20.000 francs damende et de 4 mois de prison avec sursis pour avoir proposé depuis son propre site web des liens vers des sites de téléchargement gratuit de musique en format mp3. Une honte, démontrant sil en était besoin la tendance naturelle du juriste à protéger le puissant crapaud contre le têtard citoyen, lentreprise dépensant des millions en placards de pub contre le site indépendant profitant du «bouche à mail» et des liens hypertextes pour attirer à lui les internautes.
Enfin, si lon prend le point de vue de lauteur ou du label indépendant, vaut-il mieux condamner létudiant désargenté à la diète musicale et cinéphile ou lui permettre de se construire une culture dans lespoir quil ait demain les ronds pour apporter son obole aux artistes ? Et puis selon quel principe absurde les intermédiaires tels les mastodontes de la SACEM et les triceratops du loisir seraient-ils incontournables pour récolter les droits ? Le Net permet de se passer deux. Oublions-les.
Plaidoyer pour un service public iconoclaste
Au lieu de réprimer, pourquoi ne pas applaudir aux multiples échanges de musique sur le Net ? Pourquoi ne pas les encourager mais selon une logique de service public ? Un service public au sens noble du terme... Pas le service public de France Telecom ou des couloirs de lANPE mais celui des bibliothèques municipales où chacun peut emprunter des CD sans bourse délier. Un service public sans rond-de-cuir, une organisation virtuelle de lère de Linux et de la Licence Art Libre de «Copyleft Attitude». Outre sa simple fonction daccès à la culture sous mp3, il guiderait linternaute vers des artistes rares et plus difficiles, proposerait des samples et des références historiques, ferait découvrir de bons vieux ancêtres, ouvrirait lhorizon de tous...
Premières pistes pour une construction libre et salutaire
Le financement de ce service public inédit ? Et le paiement des artistes ? Saviez-vous quà chaque cassette audio achetée, vous payez une taxe qui va dans la poche des intermédiaires du disque. Pourquoi ne pas étendre ce principe au CD enregistrable mais au bénéfice de notre nouveau service public ? Enfin, chaque usager de ce service universel de téléchargement gratuit pourrait décider, en cas dextase musicale et dune santé financière lui permettant cet acte généreux, de donner des deniers à tel ou tel artiste après avoir puisé gratuitement dans locéan de musiques... Comme un pourboire dun nouveau style, électronique et libre.
De façon générale, lemprunt se ferait en mp3, et serait donc plutôt de lordre du cadeau, mais quimporte ? Quil sagisse de linternaute mettant ses musiques sur CD ou des Napster du futur, le problème des droits ne se poserait quen cas de plus-value du lycéen ou de lentreprise. Lorsque lun vendrait à ses potes des CD copiés à 80 balles au lieu des 10 balles de support, ou quand lautre en profiterait pour négocier de la pub et faire grimper ses actions. Sinon, foin de copyright ! Et houra pour le bazar des toutes les musiques, les plus costard cravate comme les plus delirium très mince ! Sur un site de service public, mondial of course.