Boa Treize a écrit 3449 commentaires

  • [^] # Re: Arch: un programme de gestion de version prometteur.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Arch: un programme de gestion de version prometteur.. Évalué à 4.

    le noyau Linux est openSource et ne se contente pas de peu... (je vous laisse deviner quel soft il utilise...)

    L'utilisation de BitKeeper pour gérer les sources du noyau est justement sujette à controverse. Ceci dit, CVS n'était manifestement plus à la hauteur, et Linus n'avait peut-être pas beaucoup de choix.
  • [^] # Re: Arch: un programme de gestion de version prometteur.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Arch: un programme de gestion de version prometteur.. Évalué à -1.

    J'avais en tête le contraste classique, et toujours valable en immense majorité, entre les gros projets commerciaux, où l'on jette des millions dans tous les aspects du processus, y compris le gestionnaire de versions, et la plupart des projets open source (y compris des gros), où l'on a historiquement toujours fait avec les moyens du bord, en général un peu moins bons sur certains aspects professionnels (fiabilité absolue, vitesse, interface, documentation, etc.), mais amplement suffisants à la tâche, et souvent plus simples et plus évolutifs que le "concurrent" commercial.
  • [^] # Re: À votre bon coeur

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Arch: un programme de gestion de version prometteur.. Évalué à 4.

    C'est pas le premier exemple ceci dit. Il y a un developpeur d'Abiword (...)

    Il y a aussi Bram Moolenaar, l'auteur de Vim et d'A-A-P, je crois. Il consacre presque tout son temps aux logiciels libres, et se débrouille mystérieusement pour survivre. (Le projet A-A-P est financé par une association à but non lucratif et est en quelque sorte un emploi pour lui. En contrepartie il a des gens à convaincre, et des objectifs à tenir.)
  • [^] # Re: À votre bon coeur

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Arch: un programme de gestion de version prometteur.. Évalué à 6.

    Il y a surtout une part de naïveté, notamment quand il dit arch can (with a little more development) save the industry millions in licensing fees for proprietary revision control systems. IBM, Red Hat, HP/C, United Linux members, Apple, potential business partners with capital: I'm talking to you! Send me email. Il s'imagine que ces sociétés vont tomber sur son bout de page et bondir à son secours ? Il pourrait peut-être se faire financer par une de ces entreprises, mais ça ne viendra qu'après qu'il les ait activement (et longuement, probablement) baratiné (au sens positif du terme).

    Par ailleurs, il se refuse à suivre l'évolution du marché du travail : il ne cherche que des jobs de programmation C/Scheme/sh/awk, et affirme n'avoir jamais touché à PHP, SQL, Java, etc. Il doit encore exister de tels jobs, mais dans une région où le chomage frappe durement, ce n'est pas en restant chez soi à coder arch que l'on a une chance de les décrocher.

    Bref, ce gars là a toute ma sympathie, c'est un bon codeur et il a contribué significativement à la cause, mais je ne peux m'empêcher de me dire qu'il faut aussi savoir gérer sa propre vie, et que s'il va droit dans le mur, c'est en bonne partie de sa faute. L'informatique évolue, il faut évoluer avec elle.
  • [^] # Re: Arch: un programme de gestion de version prometteur.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Arch: un programme de gestion de version prometteur.. Évalué à 3.

    1) un projet open source ne peut pas etre professionnel

    On peut l'interpréter comme ça, mais ce n'est clairement pas ce que j'ai voulu dire.

    2) un projet open source se contente de peu par rapport à d'autres projets

    C'est vrai et c'est souvent une source de fierté (mais nous n'avons probablement pas la même idée de ce que signifie se contenter de peu).
  • [^] # Re: KISS ??? -> à corriger dans le texte de la nouvelle

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Arch: un programme de gestion de version prometteur.. Évalué à 0.

    stupidement simple, ce serait stupidly simple, et simplement stupide, ce serait simply stupid.
  • [^] # Re: Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre. Évalué à 0.

    > Tu dis que la GFDL est une licence non libre. Pour commencer GFDL signifie Gnu FREE documentation licence.
    Donc parce que RMS l'a dit, cette licence est libre ?
    Ça vire carrément au grotesque.


    Et parce que Debian le dit, cette license n'est pas libre ?
    À chacun sa définition. Je propose d'utiliser dorénavant GNU/Libre et Debian/Libre.

    Debian ne fait pas de concessions idéologiques. Aucune.

    Debian est intégriste.
  • [^] # Re: Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre. Évalué à 1.

    la GFDL restreint le champ d'application du document

    Ça veut dire quoi ?
  • [^] # Re: Arch: un programme de gestion de version prometteur.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Arch: un programme de gestion de version prometteur.. Évalué à -2.

    > ne sont critiques que sur des projets professionnels
    > arch est suffisant pour des développements open source
    Hem hem.


    Tu pourrais développer un peu ? Je ne comprends pas ce que tu as pu vouloir dire.
  • # À votre bon coeur

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Arch: un programme de gestion de version prometteur.. Évalué à 10.

    Ça fait un petit choc de lire le tutoriel, d'être dans un bon trip technique, et de se voir soudain rappeler à une réalité plus sombre. L'auteur d'arch est au chomage depuis plus d'un an, il a épuisé toutes ses réserves d'argent et il est surendetté.

    http://regexps.srparish.net/tutorial-tla/little-help.html(...)
  • [^] # Re: Arch: un programme de gestion de version prometteur.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Arch: un programme de gestion de version prometteur.. Évalué à 10.

    Un des développeurs de Subversion se félicite de l'existence des deux projets, attend avec impatience de voir si Arch va vraiment marcher, car il incorpore plein d'idées sympa, et explique que le but de Subversion a toujours été de corriger CVS, et non pas de réinventer la roue (dans le sens positif du terme).

    Par ailleurs, un certain nombre de personnes rappellent que Subversion est compatible avec CVS, au niveau de la syntaxe, mais surtout au niveau des repositories. Pour les gens qui ont un CVS qui tourne depuis des années et dont le repository fait des centaines de méga, c'est capital.

    http://slashdot.org/comments.pl?sid=27540&cid=2958923(...)
    http://slashdot.org/article.pl?sid=02/02/05/2155215(...)
  • [^] # Re: Arch: un programme de gestion de version prometteur.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Arch: un programme de gestion de version prometteur.. Évalué à 1.

    Comparaison arch - bitkeeper

    En résumé, BitKeeper est meilleur, mais les avantages qu'il a sur arch ne sont critiques que sur des projets professionnels (fiabilité des données, vitesse, interface utilisateur, etc.) arch est suffisant pour des développements open source, il gère aussi la fiabilité des données (mais de manière moins poussée que BitKeeper), il est moins rapide (mais s'est nettement accéléré), et n'a pas d'interface graphique (dommage, mais c'est pas la mort).

    Comparaison CVS, Meta-CVS, arch, Subversion, DARCS, OpenCM, monotone, Codeville

    Effectivement, arch a l'air d'être le meilleur d'entre eux (mais l'auteur admet que sa comparaison est biaisée). En tout cas, c'est un des rares à être disponible en version supérieure à 1.0.

    Comparaison arch - subversion

    arch semble être meilleur que subversion. Attention toutefois, encore une fois cette comparaison est biaisée, et comme toutes les comparaisons ci-dessus, elle ne se base que sur la description des capacités des différents systèmes, et non pas sur une expérience pratique !

    Je reste surpris que arch semble meilleur que subversion, qui est en quelque sort le futur remplacement officiel de cvs, avec on imagine tout plein de gros cerveaux derrière (alors que arch semble n'avoir été créé que par une personne).
  • [^] # Re: Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre. Évalué à 1.

    Pour prendre un cas extrême, je peux prendre un passage d'un discours d'un homme politique, pour l'utiliser dans un article le critiquant. Le même texte, dans le premier cas, sera au premier degré, défendant le discours, et dans le second cas détruira les idées défendues parce que le contexte fera apparaitre leur incohérence ou leurs défauts.

    Tu n'as pas besoin de licence pour faire ça. Il s'agit de citations, cas prévu par les traités et les lois sur le copyright. Tu peux faire un bouquin entier en citant point par point la thèse de tes adversaires.

    Un travail dérivé n'a rien à voir avec le travail original sur le fond. Rien ne l'impose, c'est donc a priori différent.

    Ah ouais ? (Je me marre.) Je pense au contraire que la majorité des travaux dérivés seront très proches de l'original, tout simplement parce que s'éloigner significativement de l'original requiert beaucoup de boulot. Dans la majorité des cas, le travail dérivé consistera en une mise à jour ou une poursuite du travail original abandonné par son auteur, et il sera similaire à l'original.
  • # Re: Station HP C110

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Station HP C110. Évalué à 1.

    Euh, tu es sûr que la carte graphique permet de faire mieux que 256 couleurs ?
  • [^] # Re: Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre. Évalué à 0.

    Après Suse sapusaipalibre, je lance Debian sapusaidaipsychorigides ! :-D
  • [^] # Re: Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre. Évalué à 1.

    Si quelqu'un veut interdire les travaux dérivés se basant sur un de ses documents, il fait ce qu'il veut, mais il ne peut pas prétendre que c'est libre.

    Libre selon ta définition particulière. Pour moi, si un texte est librement diffusable, il est libre.

    Le document résultant est techniquement un travail dérivé, mais n'a rien à voir sur le fond, sur le plan des idées exprimées.

    Ah bon ?! En quoi est-ce un travail dérivé alors ? Soit le document dérivé reprend des portions du document original, et reprend donc une partie du fond, une partie des idées exprimées ou des raisonnements suivis, soit il n'en reprend rien, mais quel est alors son rapport avec l'original ? Si j'applique ta phrase logiquement, un travail dérivé ne peut être qu'un mélange aléatoire des mots composant le document original.
  • [^] # Re: Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre. Évalué à 1.

    Si la licence va a l'encontre de la législation, la licence est invalide. Si la législation évolue, je ne sais pas ce que devient la licence, ça dépend sans doute du texte de la loi ; en tous cas, il n'est plus possible de publier de nouveaux travaux tant que cette licence n'est pas adaptée au nouvel environnement juridique.

    La licence ne peut "renforcer" la législation que si ce renforcement est légal.

    Je ne sais pas s'il l'on peut légalement s'accorder à supprimer tout référence au créateur d'une oeuvre ; n'est-ce pas un droit inaliénable en France ? Bien sûr, je sais qu'il existe des licences qui contiennent de telles dispositions, mais ça n'en fait pas des lois.
  • [^] # Re: Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre. Évalué à 1.

    Debian utilise ses DFSG et ne fait pas de différences entre logiciels, documentations

    Ils font ce qu'ils veulent, mais ils me font bien marrer.

    Par ailleurs, comme le dit RMS :

    « The GFDL is meant as a way to enlist commercial publishers in funding free documentation without surrendering any vital liberty. »

    La GFDL s'assure donc que l'oeuvre qu'elle régente respecte des critères de base (fruits de longs siècles de pratique) jugés indispensable à la publication de celle-ci. Il est nécessaire pour ce faire de sacrifier quelques libertés (ah, ces fameuses sections invariantes), mais les libertés fondamentales de l'oeuvre sont respectées, notament sa libre diffusion et la libre modification du coeur de l'ouvrage.
  • [^] # Re: Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Pour Debian, la GNU FDL n'est pas libre. Évalué à 1.

    une licence de documentation peut être utilisée pour un article, et inversement

    Ça dépend sans doute du contenu des licences. On peut tout à fait imaginer que la licence de la documentation parle de versions livre de poche, du nombre de tomes maximum en lesquels elle sera publiée, et que la licence de l'article parle de la manière dont l'article sera traité dans un magazine (taille, position, section, etc.). Ou alors, les deux licences traitent de documents textuels de manière générale, et s'appliquent indifféremment et interchangeablement aux deux types de documents, et dans ce cas on ne peut pas parler de « licence de documentation » ou de « licence d'article ».

    dans le libre, quand on parle de modifier, ça ne veut pas dire modifier l'original, ça veut dire réaliser un travail dérivé

    Dans la plupart des cas, le travail dérivé est une addition au texte original, l'effacement d'une portion de celui-ci, ou une re-rédaction, une correction ou une mise à jour. Tu peux aller demander dans la rue, tout le monde te dira qu'il s'agit de « modifications de l'original ». Bien sûr, techniquement, ou plutôt légalement, il s'agit de la « création d'un travail dérivé », mais je préfère être franc et ne pas jouer sur les mots. La question pratique qui se pose à l'auteur est : « Vais-je autoriser d'autres personnes à modifier ce que j'ai écrit ? » Il choisira une licence en fonction de sa réponse à cette question.

    si un auteur a peur d'être associé à tort à un travail dérivé, il lui suffit d'exiger dans la licence la suppression de toute référence à l'original

    Si l'original est connu, personne ne manquera de faire le lien. Et sinon, un petit tour sur Google permet de retrouver rapidement les sources de tels travaux dérivés. (Cas pratique : retrouver les « sources » d'une copie d'élève.) De toute façon, je ne pense pas qu'un tel cas, où un auteur veut autoriser d'autres personnes à modifier son travail tout en dissimulant le lien de parenté entre son travail original et la version modifiée, soit très fréquent. Par contre, vouloir empêcher d'autres personnes de bénéficier de la réputation du travail original (en modifiant un petit paragraphe et rajoutant leur nom en gros) est certainement une problématique très présente dans les milieux universitaires, mais elle ne se résoud certainement pas en dissimulant le nom de l'auteur de l'original, bien au contraire !

    si un auteur a peur ... il lui suffit ... Ce problème peut être traité sans difficulté ... Si l'auteur n'accepte même pas ça, c'est qu'il a une approche propriétaire

    Je caricature ton propos : « Si X a un problème ... il y a une solution simple ... très simple ... Si X n'est pas capable de faire ce petit sacrifice, c'est qu'il n'est pas dans notre camp. » Ça me rappelle des mauvais souvenirs.

    ils [la FSF] trouvent suffisant de diffuser leurs articles sans permission de modification. Que ce soit par choix, ou parce qu'ils ne se sont pas vraiment posés la question, ces documents ne sont pas libres

    Je crois que c'est plutôt qu'ils trouvent important (voire capital) de diffuser leurs articles sans permission de modification. Et c'est de toute façon clairement un choix, pas une négligeance. Il en va de même pour la GPL.
  • [^] # Re: hallucinant

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal hallucinant. Évalué à 1.

    Mais c'est tellement beau.

    Merci ! D'une part, ce court-métrage est excellent, d'autre part ça m'a permis de vérifier que ma config RealPlayer fonctionnait bien. :)
  • [^] # Thema d'Arte

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal hallucinant. Évalué à 1.

    C'était sur quoi ?
  • # n00b

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal hallucinant. Évalué à 1.

    hallucinant

    Tu as encore beaucoup à apprendre, petit scarabée.
  • [^] # Re: Login "pseudo graphique"

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Login "pseudo graphique". Évalué à 1.

    Ben, KDM. Tu peux mettre des "photos d'identité" (ou n'importe quoi, bien sûr), pour chaque utilisateur, et tu peux aussi lui dire d'ignorer les mots de passe de certains utilisateurs.
  • [^] # Re: [orthographe] (en passant)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vous voulez tester ZSH. Évalué à 2.

    Et comme l'ascii ne permet pas de le faire (ah, ces américains), et bien la convention veux qu'on ne mette pas d'espace...

    Houla la fumette ! Bon, déjà on enlève l'ASCII, on ne voit pas très bien ce que ce jeu de caractères vient faire dans une discussion sur l'espacement des caractères. Ensuite, on regarde autour de soi, on ouvre un bouquin au hasard, et on s'aperçoit que tous les documents écrits en français et en France comportent une espace avant et après les deux points. Bien sûr, les imprimeurs et les logiciels de mise en page haut-de-gamme s'assurent que l'espace qui précède les deux points est un peu moins large que celle que les suit. Mais ce n'est pas parce que nos outils ne nous permettent pas de reproduire ce raffinement qu'il faut pour autant faire disparaître l'espace !

    Ta confusion d'esprit vient peut-être du fait qu'aux États-Unis et au Canada, on ne met pas d'espace avant les deux points, ni avant les points virgule, les points d'exclamation et les points d'interrogation d'ailleurs. Elle peut venir également de cette tolérance que l'on s'accorde en France, dans le cadre des polices à chasse fixe : dans ce cas uniquement, quand l'espace horizontal est une denrée précieuse, typiquement dans les applications informatiques dont la sortie s'effectue sur un terminal, on peut ne pas mettre d'espace avant les deux points ; ce n'est même pas une obligation.

    Tant qu'on en est à se corriger les uns les autres : remplace tes points de suspension par un point, car ils ne servent à rien dans leur contexte ; on dirait que tu es effrayé de finir ta phrase.
  • [^] # Re: Linuxfr.org from imode?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Linuxfr.org from imode?. Évalué à 1.

    Tu peux pas suivre les liens sur imode ?