Boa Treize a écrit 3449 commentaires

  • [^] # Re: Mac OS X a un problème de vieillissement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage MacOS X. Évalué à 1.

    Ce n'est pas un produit de luxe, c'est un produit haut-de-gamme. (Et donc oui, c'est relativement cher.)
  • # Vocabulaire

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Qemu 0.12.1 mais sans kqemu. Évalué à 6.

    [Le module] a été marqué comme déprécié par les développeurs

    s/déprécié/obsolète/
  • [^] # Re: Reprise des calculs

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Fabrice Bellard bat le record des décimales de Pi. Évalué à 2.

    Ça a l'air d'être le cas, à ceci près qu'il faudrait alors changer les disques durs et la RAM, parce que manifestement il les a bien remplis lors de son calcul.
  • [^] # Re: est un bon système, mais...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage MacOS X. Évalué à 2.

    Pareil. Ça fait quatre ans que je n'éteins pratiquement plus mon portable boulot, sauf pour les quelques mises à jour de sécurité qui l'exigent. Mis en veille à chaque fois que je me déplace avec (au moins deux fois par jour), mis en veille toutes les nuits, pratiquement aucun souci (juste un problème de pilote sur le modèle que j'ai depuis cet été : corruption du son à la sortie de veille, environ une fois sur cent, corrigée par une remise en veille).
  • [^] # Re: CES 2010 et smartphone

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Google sort "son propre" smartphone. Évalué à 9.

    Bonne année tankey, et bienvenue en 2010 ! :-)
  • [^] # Re: Ordinateur de bureau

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Fabrice Bellard bat le record des décimales de Pi. Évalué à 5.

    J'aurais quand même plutôt tendance à appeler ça une station de travail.
  • [^] # Re: Film pourri par les verrous numériques

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mieux vaut Avatar qu'un navet. Évalué à 2.

    Un autre avantage, il me semble, est que si le flux de données est corrompu en un point, tu perds une image, et non pas toute une série (classique et fort moches « traînées numériques » à la télé). Dans une salle de cinéma, c'est peut-être rédhibitoire ?
  • [^] # Re: une tendance générale

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mieux vaut Avatar qu'un navet. Évalué à 2.

    Merci pour ta réponse, même si en fait je n'aurais pas dû écrire ce matin, vu que le débat avait déjà trop dévié, en relisant je m'aperçois que je n'ai fait qu'aggraver la déviation. ;-)

    Pour moi Avatar n'est pas un film « à thèse » ou un « brûlot dénonciateur », ou tout autre épithète grandiloquent que des admirateurs inexpérimentés pourraient lui accoler. Donc rien ne sert de se disputer là dessus, je suis tout à fait d'accord avec ce que tu cites, notamment Mononoke (meilleur qu'Avatar) et surtout Aquablue (extrêmement proche d'Avatar y compris dans le côté caricatural / divertissant).

    Avatar est un agréable divertissement, qui traite effectivement de l'avidité humaine et du mépris de l'environnement, entre autres nombreux thèmes et intérêts : la notion d'avatar, probablement pas assez explorée, la notion de gaia et de connexion neuronale inter-espèces, les notions de tribus et de métissage (franchement sous-exploitées), etc.
  • [^] # Re: syndrome apple

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mieux vaut Avatar qu'un navet. Évalué à 2.

    Sauf que dans Matrix (le 1) il y a quand même une histoire assez solide.

    Oh ben pas plus que dans Avatar. Je pense avoir apprécié à peu près autant ces deux divertissements lors de leurs sorties au cinéma, et je pense continuer à apprécier Avatar autant que j'apprécie Matrix, c'est à dire en tant que bons divertissements pas super originaux mais bien efficaces dans leur synthèse d'ingrédients.

    Je pense même qu'Avatar va un peu moins vieillir que Matrix, qui est bien daté fin années 90 quand même (heureusement que son scénario intègre ça).

    Reste à espérer des œuvres dérivées qui transcendent l'original, comme Animatrix ou les comics carte blanche Matrix.
  • [^] # Re: une tendance générale

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mieux vaut Avatar qu'un navet. Évalué à 3.

    > met en scène une thèse qui a déjà été vue, vue et revue (et probablement de manière bien plus efficace)

    Des noms ! Des noms ! Trop facile de dire que rien n'est original et de ne pas citer les originaux ! Trop facile d'être négatif !
  • [^] # Re: syndrome apple

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mieux vaut Avatar qu'un navet. Évalué à 2.

    > Cameron n'est pas Kubrick

    Cameron n'est pas non plus Roland Emmerich, il ne faut pas l'oublier. ;-)
  • [^] # Re: syndrome apple

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mieux vaut Avatar qu'un navet. Évalué à 4.

    Ce sera un bon film si on le regarde dans 10 ans en le trouvant bon.

    Voilà une définition bien restrictive de « bon ».

    Pour moi, si à deux jours d'écart, à tête reposée, en ayant lu plein de critiques et de commentaires (qui m'ont donc apporté des points de vue que j'aurais pu ne pas voir pendant la séance), je reste satisfait de mon expérience, si je continue à penser au film et à l'histoire que l'on m'a raconté, alors le film est bon.

    Et donc Avatar est bon, parce que j'y pense encore. :-)

    Un film qui reste visible 10 ans après est « très bon ». ;-)

    Comme je l'ai dit dans un autre commentaire, j'ai revu Terminator 2 récemment. Certains effets spéciaux ont un peu vieilli (le T1000 en métal liquide), mais ça reste tout à fait regardable 18 ans après, parce que les bases du film étaient solides. Je pense qu'Avatar a ce même genre de bases.
  • [^] # Re: James Horner

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Avatar. Évalué à 3.

    Je ne connais pas ce monsieur, mais j'ai été très agréablement surpris par la musique du film, au sens où je l'ai à peine remarquée, elle n'était en aucun cas gênante.

    Bien sûr, on peut regretter de ne pas avoir une musique marquante mémorable. Mais rien que d'éviter :

    - les gros flons-flons,
    - les lourdes sirupeuseries,
    - les chansons d'artistes à la mode que les personnages écoutent sur leur radio en arrière-plan

    c'est déjà très bien !

    Au final, je n'ai remarqué qu'une chanson au générique (vu qu'il n'y a plus que ça à remarquer), encore une fois pas mémorable, mais pas gênante pour deux sous.

    P.S. : De manière générale, le film ne contient aucun placement de produits de marque, ce qui est presque un exploit de nos jours.
  • [^] # Re: dès la bande annonce...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Avatar. Évalué à 2.

    Hé ben moi j'ai revu Terminator 2 il n'y a pas longtemps (entre autres), et malgré quelques effets spéciaux qui ont un peu vieilli (le T1000 en métal liquide), il reste un excellent divertissement tout à fait regardable une vingtaine d'années après.

    Je suis sûr qu'Avatar va avoir une belle durée de vie, car au delà de la prouesse technique, il est solide et efficace, et surtout il utilise des effets spéciaux, il ne les met pas en avant au dessus de l'histoire. Du divertissement, mais du bon.
  • [^] # Re: Quoi quoi quoi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Avatar. Évalué à 4.

    Quand il a fait son premier film, il avait pour simple objectif de faire un film avec un jeune héros inexpérimenté qui va sauver une princesse et lutter contre un méchant empereur et son redouté chevalier noir... dans un contexte de science-fiction. C'est tout. Et c'est pour ça que ça a très bien marché.
  • [^] # Re: Et par rapport aux films entièrement de synthèse ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Avatar. Évalué à 3.

    Alors j'aimerais savoir pour ceux qui ont déjà vu des films photoréaliste entièrement en image de synthèse (final fantasy the spirits within , 2001, et final fantasy advent children, 2005) : quelle est la différence (excepté la 3D) avec avatar ?

    Avatar est tout simplement un cran au dessus en terme de réalisme, au niveau du rendu 3D bien sûr, mais également et notamment au niveau des mouvements des personnages.

    Cameron a développé une nouvelle technique de prise de vue, enfin de prise de mouvement, pour les scènes virtuelles, et je pense que ça y contribue beaucoup.

    À quasiment aucun moment du film, je n'ai pensé « tiens, c'est de l'image de synthèse ». Soit j'étais trop pris par le développement de l'histoire (certes simple, mais agréable), soit c'était suffisamment réaliste pour que je pense plus à la beauté de la nature qu'au fait que tout à été modélisé et texturé et calculé.
  • [^] # Re: SUPERQUALIFRAGILISTIQUE

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Avatar. Évalué à 2.

    À Nantes par exemple, au Gaumont du centre-ville, c'est du polarisé, mais à Saint-Seb (« banlieue sud » de Nantes) c'est de l'obturateur.
  • [^] # Re: La 3D au cinéma

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mieux vaut Avatar qu'un navet. Évalué à 2.

    Ça ne me surprend pas. :-)

    Je me rends compte que mon explication est basée sur le cas concret de lunettes à verres polarisés. Les lunettes LCD sont certainement plus chères que 1 €, et certainement recyclées.
  • [^] # Re: syndrome apple

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mieux vaut Avatar qu'un navet. Évalué à 5.

    Un film est un tout, aller le voir juste pour quelques paysages jolis en serrant les dents parce que le resque est horripilant, c'est ridicule.

    Absolument !

    Heureusement, Avatar est un bon film, avec un scénario qui ne fait certes pas mal à la tête, mais qui est efficace et honorable, et servi par une excellent réalisation.

    (Et puis par ailleurs, Avatar est une étape majeure dans le tournage de scènes virtuelles.)
  • # La 3D au cinéma

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mieux vaut Avatar qu'un navet. Évalué à 10.

    la 3D. Vous connaissiez les magazines présentant des dinosaures que vous pouviez voir en 3D avec des lunettes spéciales (un œil couvert par un film d'une couleur particulière), James Cameron a appliqué cette idée à son film.

    Hé bien pas du tout, c'est complètement raté en termes d'explication de contexte !

    D'une part économiquement, Cameron n'est pas le premier sur le sujet, ça fait un ou deux ans que tous les studios hollywoodiens s'y accrochent comme au Saint Graal, qui leur permettrait de lutter contre le piratage puisqu'on ne peut pas avoir de 3D chez soi (pour l'instant...). Donc sur le pur sujet de faire un film en 3D, Cameron ne fait que ce qui est attendu aujourd'hui d'une grosse production.

    En termes de lunettes, c'est aussi complètement faux. Les technologies utilisées au cinéma n'emploient pas de verres bicolores (déjà présents au cinéma dans les années 80 d'ailleurs) et qui gâchent les couleurs du film.

    Le principe reste bien sûr toujours de diffuser deux images « en même temps ». Avec le bicolore, c'est vraiment en même temps, c'est pour ça qu'on utilise deux couleurs, et que chaque œil est filtré pour n'en voir qu'une. Mais maintenant, on préfère doubler le nombre d'images par seconde, en mettant une image sur deux pour l'œil gauche, l'autre pour l'œil droit. L'avantage c'est qu'on n'a pas de souci de couleur.

    Actuellement, il y a deux technologies : la moins chère, c'est les verres polarisés, avec un projecteur qui projette des images polarisées, chaque œil ayant un filtre polarisé qui bloque l'image réservée à l'autre œil. Expérience pratique amusante avec un ami, chacun ayant mis ses lunettes, regardez l'autre dans les yeux : c'est là qu'on voit l'effet concret des filtres. L'autre technologie, supérieure mais plus chère, c'est des verres à cristaux liquides (avec une petite batterie donc), qui s'obscurcissent en rythme avec les images à l'écran. Les deux sont utilisés actuellement.

    Hier j'ai vu Avatar avec des verres polarisés, ça marchait très bien, mais je garde une mémoire émue de la première fois que j'ai utilisé des verres à cristaux liquides (dans une géode en 1993... un film 3D dans une géode, ça tape).

    Précisons au passage que les salles de cinéma font payer 3 € de plus les séances 3D : 2 € pour les « frais » et 1 € pour l'achat de la paire de lunettes (donc si vous la gardez soigneusement, vous pouvez payer 1 € de moins pour les autres séances 3D).

    Bon, et puis surtout en termes de technologie, quand on va jusqu'au bout du générique, on voit un truc du genre « film réalisé avec la technologie Schmurtz / Cameron ». Kezako ? Hé bien Cameron estimait que les techniques de tournage 3D existantes, notamment au niveau de la capture des mouvements, étaient catastrophiques, il a donc spécifié et fait développer un nouveau système. Je ne connais pas tous les détails, mais en gros :

    - d'une part les capteurs des mouvements des acteurs fonctionnent sur une belle distance ; manifestement auparavant, l'acteur devait rester proche des capteurs, presque au cœur de la machine, ce qui gênait beaucoup les mouvements et le naturel du jeu ;

    - d'autre part et surtout, la caméra se fait virtuelle, très grossièrement ce n'est plus qu'un écran LCD, dont la position et l'orientation sont mesurées, et un rendu temps-réel de la scène du film est effectuée sur cet écran, en fonction de la position des acteurs et de la caméra ; ça permet donc au réalisateur de voir immédiatement le jeu des acteurs au sein du décor virtuel, et d'adapter ce jeu, et les mouvements de sa caméra, à ce décor virtuel ; c'est ce qui fait je pense le réalisme de nombreux mouvements de caméra dans la jungle.

    Et bien sûr, j'espère que tout ça tourne sous Linux ! :-)
  • # DGFiP

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche L'envolée de Thunderbird dans l'administration française. Évalué à 3.

    La DGFiP (direction générale des finances publiques) va déployer pas moins de 130.000 postes sous Thunderbird.

    Pour ce que j'en ai vu, c'est déjà commencé, notamment dans les services informatiques.

    Au revoir Notes, tu ne seras pas vraiment regretté. :-)

    Ce sont des raisons de coûts et d'harmonisation qui ont conduit la DGFiP, résultante de la fusion de la DGI (direction générale des impôts) et de la DGCP (direction générale de la comptabilité publique), à choisir la solution standard libre.

    Ça, et aussi le fait que la DGFiP est orientée open-source (comme le reste du gouvernement en théorie) depuis quelques années, avec utilisation croissante d'OpenOffice (pas juste un effet d'annonce, mais réellement pour de vrai sur le terrain), et tout un stack open-source au niveau des serveurs d'applications Java (JBoss, Eclipse, une tonne de libs Apache, etc.)

    Reste que Rational Rose comme grosse lourdeur propriétaire (mais difficile à égaler), ainsi qu'Oracle, mais là ça se justifie un peu plus facilement quand même.
  • # C'était quand le dernier Windows update ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage L'uptime de ma machine principale. Évalué à 2.

    Bien vu comme choix de sondage, car ça me correspond tout à fait.

    Ma machine principale (portable boulot, Windows) n'est rebootée quasiment qu'à cause de ça ; tout le reste du temps, c'est mise en veille matin, midi et soir (le temps de la transporter entre chez moi et le boulot, et pendant la nuit).

    Ma machine annexe Linux (pc fixe) n'est bootée que selon les besoins, son uptime maximum est donc de quelques heures, maximum une journée.
  • # Qui se sert encore des clients lourds ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Thunderbird 3.0 est sorti. Évalué à 7.

    C'est bien de voir que Thunderbird réussit encore un peu à avancer, mais j'ai la forte impression, quand je regarde en dehors des cercles de geeks, que les webmails ont pris une place prépondérante en termes de parts de marché, GMail en tête.

    Thunderbird s'améliore, c'est bien, mais cela va-t-il lui permettre de récupérer un grand public ? J'en doute.
  • [^] # Re: Quelques questions

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Nouvelle version 2.6.32 du noyau Linux. Évalué à 5.

    Au niveau de la taille des pilotes, quelques affirmations en vrac (pas le temps de faire mieux) :

    - un pilote peut être plus ou moins bien codé, et donc être plus ou moins gros, indépendamment de sa qualité

    - ce qui prend de la place, c'est de gérer tous les cas particuliers ; un pilote spécifique à un matériel, et un pilote générique à des matériels dont les constructeurs respectent bien les normes appropriées, n'ont pas de raison d'avoir des complexités très différentes (parce que dans le deux pilotes, on ne gère en fait qu'un seul "cas") ; le pire en théorie c'est un pilote générique qui essaie de dialoguer avec des matériels tous subtilement différents

    - comme l'a dit patrick_g, seuls les pilotes correspondant au matériel présent dans la machine sont chargés en mémoire ; les autres pilotes prennent de la place sur le disque dur, c'est tout

    - un pilote, c'est n'est pas qu'un bout de code qui s'exécute dans le noyau ; souvent, il faut aussi des bibliothèques de fonction, pour que les programmeurs ne se prennent pas trop la tête avec les détails, et des programmes pour que l'utilisateur soit face à un truc potable pour gérer son matériel ; sous Linux, c'est très standardisé, grâce à l'open source, par exemple Sane pour gérer tout ce qui ressemble à un scanner ; sous Windows, quand il n'y a pas de bibliothèque standard pour gérer quelque chose, les constructeurs sont souvent obligés de les coder eux-même ; pareil pour les programmes, c'est ce qui fait la distinction entre les constructeurs, donc chacun fait son truc de gestion avec plein d'images, de fonctionnalités, de modèles, de trucs lourds divers... Tout ça pèse nettement plus que le pilote de base ! Exemple, pilote HP "complet" pour ma LaserJet : 600 Mo (grosse appli lourde autour du pilote) ; pilote HP "light" (juste le pilote, et l'utilisateur se contentera des fenêtres standard Windows pour gérer son imprimante) : 15 Mo (et au sein de ces 15 Mo, le pilote lui-même ne représente peut-être que 1 ou 2 Mo)

    Bref, le poids des pilotes sous Windows, c'est surtout lié à la "valeur ajoutée" du fabricant, à tous les programmes qu'il fournit "en plus" du "vrai pilote".

    Oh, et les pilotes Windows sont "souvent" programmés avec des budgets limités, avec du temps limité, pas forcément par les meilleurs des meilleurs, avec juste le temps de pondre une version initiale et c'est tout ; bref, dès que le "gros truc" est pondu, on arrête et on passe à autre chose (surtout valable pour le matériel no-name taïwanais ou les entreprises géantes qui créent de nouveaux modèles en tous genres à tour de bras...)
  • [^] # Re: Et aussi

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Suppression d'un fichier, suppression des données du fichier. Évalué à 3.

    Devrait être bien efficace en théorie, bien plus que le classique remplissage du disque par des zéros. Remarque qu'il ne fonctionne que sur un système de fichiers monté en lecture seule.