Vous avez tout les deux raisons. Cela dépend des logiciels, en fait.
Et il y en a bien qui sont sous licence acceptée par l'OSI tout en étant soumis par défaut à un embargo sur l'exportation (qui se résume par un enregistrement de compte nécessaire et une déclaration de pays destinataire). Il doit s'agir (hypothèse de ma part, rien de plus) d'un automatisme de deux principaux sites de distributions de logiciels. -> Sur le dépôt GITHUB c'est bien plus clair, puisque plus filtré (moins de softs dispo que les sites NASA)
Même constat ici, et non pas avec un document comportant une centaine de pages, mais avec des documents à la mise page "complexe", très cadrée et précise (entièrement réalisé sour LibreOffice) : c'est super lent à ouvrir… Faut patienter 20 bonnes secondes lors du clickou sur un doc \o/
OnlyOffice ouvre le même document de manière instantanée. C'est ballot pour du pur OpenDocument bien propre sur lui :-/
Rien de plus génial que les redirections et les pipes, par exemple. C'est peut être pour cela entre autre que nous sommes nombreux à préférer largement la ligne de commande et les shells unix. Il y est tellement simple de réaliser un flux de tâches complexes.
Discipline visant à une harmonisation de l'environnement humain, depuis la conception des objets usuels jusqu'à l'urbanisme.
Ergonomie (source : Larousse)
Étude quantitative et qualitative du travail dans l'entreprise, visant à améliorer les conditions de travail et à accroître la productivité. (Le but de cette science est de tenter d'adapter le travail à l'homme en analysant notamment les différentes étapes du travail industriel, leur perception par celui qui exécute, la transmission de l'information et, de façon parallèle, l'apprentissage de l'homme qui doit s'adapter aux contraintes technologiques.)
Lean (source : Wikipedia)
L'école de philosophie du lean est marquée (dans la lignée du taylorisme) par la recherche de la performance (en matière de productivité, de qualité, de délais, et enfin de coûts), censée être plus facile à atteindre par l'amélioration continue et l'élimination des gaspillages (muda en japonais), afin d'améliorer la valeur globale.
J'ajoute volontairement le lean car nous ne sommes pas devant une machine pour effectuer une tâche, mais pour effectuer de multiples tâches qui souvent sont organisées à l'intérieur d'un ensemble dont la structure est souvent le temps (faire b après a) et/mais parfois d'autres dépendances (si a fait comme cela alors b sera contraint ainsi) : les workflows, flux de travaux, sont parfois simples, parfois complexes, mais tout ou partie est réalisée sur un seul et même outil physique. Ajouter lean a du sens il me semble car il complète par des exigences l'ergonomie du poste en prenant en compte l'organisation des flux de travaux.
On les confond tellement, design & ergonomie, que les designers eux mêmes sont devenus des ergonomes. Bien que la distinction existe toujours, on peut constater il me semble que le design inclu souvent de facto l'ergonomie comme pan essentiel à une réalisation réussie. On peut ajouter qu'il est intéressant de constater que les designers ont pris le pas sur les ergonomes : cela reflète assez bien que les notions de "beau" et de "joli", difficilement quantifiables car assez subjectives, de plus très évolutives et mouvantes, sont, malgré ces difficultés à être stables, prises comme condition première.
GNOME a (il me semble, c'est un ressenti post-usage et non une affirmation qu'il y a une volonté du projet) effectivement pris cette approche en démarche centrale de sa refonte.
Et perso je rêve que l'on rendent hommage aux bibliothèques, qu'elles aient toutes un nom, un logo, bref une identité. Que l'on déporte cette identification, donc quelque part cette reconnaissance dans les deux sens de ce mot, des GUI vers les bibliothèques.
Le chemin serait long, car même dans le Libre beaucoup de logiciels sont réalisés selon le précepte de l'entité indépendante. Un logiciel = une GUI, une ou des biblio, un nom et un logo. Kdenlive n'est pas un ensemble de fonctions transformant la GUI de base de lecture de vidéos en logiciel de montage, mais un logiciel et un projet à part. Krita n'est pas un ensemble de fonctions permettant au visualiseur d'image de se transformer en fantastique outil de création, mais un logiciel et un projet à part. Je rêve que ces projets à part continuent comme cela, mais en changeant simplement leur vision de la GUI : passer vers l'intégration des fonctions sur le socle de base initial : que "images" (gwenview) puisse charger tout cela à la demande.
Ce n'est pas anodin, et pas seulement une question de design, d'intégration, d'identité visuelle : c'est également de l'ergonomie qui permettrait d'améliorer significativement l'usage du bureau graphique en simplifiant drastiquement les GUI par une réduction de leur nombre.
C'est aussi une question de lean, d'organisation des flux : j'ouvre une image pour la voir avec x, puis j'y fait des retouches de luminosité avec le logiciel y, et je l'intègre à un texte comme illustration avec le logiciel z. 3 logiciels lancés, 3 sauvegardes à faire, 3 GUI différentes à utiliser, avec inhérent à cela : perte de temps, perte d'espace, apprentissage de 3 logiciels.
Si le logiciel propriétaire est fortement lié à cet état de fait, parce qu'il a (très très souvent) la nécessité d'être livré en entité autonome où l'identification se fait ur un ensemble complet (GUI+bib), le logiciel Libre est beaucoup moins impacté par ces contraintes. De plus les bureaux propriétaires doivent laisser de la place à ces logiciels propriétaires, ils intègrent, mais un peu, pas beaucoup, pas question d'avoir un logiciel de montage vidéo complet intégré au bureau, pour reprendre cet exemple. Seul le libre peut arriver à recentrer les GUI sur les besoins fondamentaux des utilisateurs : importer - faire - exporter. Seul le libre peut se permettre de proposer un bureau où il serait naturel d'importer un texte, quelque soit son format d'origine, pour le travailler avec de classiques outils de traitement de texte, le mettre en forme avec des outils vectoriels de pao, puis le calibrer pour impression, le tout depuis une seule et même gui chargeant les fonctions à la demande, et sans jamais avoir à faire "ouvrir - quitter" plus d'une seule fois.
Bref, seul un bureau libre peut être lean.
(pour reprendre ce terme àlamode parfois contreversé, mais ici sans jugement de valeurs autre que le gain d'une meilleure organisation des flux de travaux)
GNOME Shell prends, il me semble, ce chemin, "documents" par exemple commence à être vraiment sympa à utiliser (fusionnant les outils de visionnage, de recherches et de classement automatique). Mais on est encore loin d'un bureau intégré. Et l'on voit encore beaucoup de gui à part, voir de biblio qui sont développées sur un besoin d'une gui.
Je voulais finir en casant "super héros" pour les développeurs de biblio, mais je ne trouve pas la phrase ;-) ha si, tiens, c'est fait! Mes 2 cents
Peut être que cela dépend pas mal de la personne. Autre exemple pour compléter le tiens : auparavant, et pendant longtemps, j'ai utilisé des terminaux séparés et organisés sur mon écran, et pour moi c'était très intuitif. Depuis peu je dois utiliser mobaxterm et ses onglets sont sources d'erreurs, c'est bien moins intuitif utiliser des onglets, et demande plus de concentration / de vérification pour savoir où je suis, que des espaces à séparations visibles.
Autre exemple : certains s'astreignent à n'être connecté qu'à une seule machine à la fois (ce qui pour moi est abérant)
En fait, faut peut être laisser le choix de l'outillage aux intervenants, car chacun aura une perception différente de ce qui lui convient pour être efficace. Non ?
Les derniers ChromeBooks, malheureusement pas tous disponibles en France, permettent d'ores et déjà d'utiliser le Google Play Store donc d'installer tout les logiciels qui y sont disponibles.
ChromeOS, la Gentoo personnalisée par Google, a la réputation d'être le système d'exploitation existant le plus sécurisé, et continue son bout de chemin sans faire de vagues, challenge après challenge personne n'arrive à le casser ni à passer root de manière insidieuse sur un ChromeBook neuf.
On peut ajouter que cela fait plaisir de voir l'équipe de GRsec, naguère moquée, se retrouver aujourd'hui au centre des discussions entre Intel, Google et le noyau lui même, où les idées et certains patchs sont inclus (au moins dans chromiumos, parfois chez kernel.org), les discussions appaisées aujourd'hui, Linus himself y compris (par exemple en ce moment ça cause kaslr et de l'hibernation sur x86, mais aussi de l'amélioration du vieux hidepid=2 sur procfs)
Sans faire de bruit, ChromeOS continue son avancée. Et si on ne la voit que peu par ici, en fr_fr, cela ne veut pas dire que ce système est marginal ailleurs. Google est en train de réussir ce que Microsoft a échoué : ligguer beaucoup de constructeurs autour de specs et d'exigences très précises. Pour un système particulièrement agréable à utiliser aujourd'hui, très simple, encore plus réussi de ce point de vue que osX / MacOS, et sans jamais nous tacler, nous les libristes, puisque Google a un développement ouvert bien sûr, mais surtout il nous laisse toute lattitude de hackage (au plus bas niveau y compris : le bios, c'est vraiment bien)
ChromeBook, what's else ?
Alors je ne vais pas prédire une arrivée massive des ChromeBooks dans les entreprises françaises et européennes, car il y a une certaine défiance via à vis de Google. Mais les éléments qui ont créés cette défiance sont aujourd'hui à égalité présents chez Microsoft. Il faut donc s'attendre à un ré-équilibrage lent en faveur de Google.
Entre les deux systèmes, ChromeOS commence à montrer de sérieux avantages en ayant les inconvénients équivalents.
C'est une très bonne nouvelle. Mais saviez vous qu'une concurrence était désormais présente, et particulièrement séduisante ?
Le logiciel ci-dessus est OnlyOffice qui a le bon goût d'être GPL, qui importe parfaitement tout les fichiers de MS Office, qui ne fait pas de ratures lorsqu'il en modifie et/ou complète, qui est léger comme une plume, qui se lance genre 10 fois plus vite que LibreOffice, et dont l'ergonomie est … sans commune mesure. Et il se paie le luxe d'être joli en plus. Alors je suis bien désolé pour le format apporté par OpenOffice, puis maintenu par la DocumentFondation, avec LibreOffice, mais la qualité du logiciel passe avant. Pragmatisme.
OnlyOffice est un petit bijou, et l'absence de support des formats OpenDocument est un certes un regret mais le logiciel est tellement supérieur à l'usage (et la compatibilité tellement agréable) que je ne risque pas de revenir à LibreOffice pour le moment…
Ce type de textes de loi est un aveu d'échec. L'échec de la prévention, du discours social, de l'éducation populaire en ce qu'elle a de massive, de commune.
Quelques mots qui ne sont consensuels que parcequ'ils relatent des faits : la grossesse involontaire peut être dramatique, pour la femme, son éventuel compagnon, et le potentiel futur enfant. L'avortement est une solution d'urgence, parfois traumatisante, réellement, et tout le temps perturbante, culpabilisatrice (plus ou moins intériorisé). Un mal personnel contre un mal partagé.
La liberté d'expression n'a que peu de frontières, en mettre d'autres réduise son champ et place une morale là où justement il ne faudrait que tolérance, écoute ou désintérêt. Le discours de lqdn a du sens de ce point de vue : malgré le consensus partagé probablement par un grand nombre de proches de son champ d'action, il n'est finalement pas à propos de parler du fond mais pour une fois de s'attacher à rester sur la forme : restreindre la liberté d'expression n'est jamais bon. Jamais.
Rien n'oppose ces deux discours. Rien.
Il s'agit de deux sujets totalement différents, et qui auraient dû le rester si la parole explicative en faveur de l'ivg était mieux portée.
Mais plutôt que d'investir pour que les acteurs de la prévention d'une part, et du domaine médical et para-médical d'autre part, puissent avoir un impact plus grand et plus fort aujourd'hui avec les moyens modernes que sont internet et ses sous-ensembles, tel qu'il a pu être il y a 40 ans, les législateurs choisissent de museler un peu plus la liberté d'expression. Cela coûte moins cher. Parait il. Lorsqu'on ne compte qu'en nombre de billets.
Effet bonus : cela monte les gens les uns contre les autres.
On ne combat pas la bêtise en l'interdisant, mais en se donnant les moyens de promouvoir la connaissance.
Posté par bubar🦥 .
En réponse à la dépêche Fedora 25 est disponible !.
Évalué à 3.
Dernière modification le 23 novembre 2016 à 20:37.
Jamais utilisé, yum & dnf ont tjs permis le passage sans soucis d'une version à l'autre, via un simple "update" après mise à jour à la main des fiches de dépôts. Et ce, y compris pendant le passage à dnf (et également pendant et avec drpm) Un mauvais souvenir de pre-upgrade qui reste, peut être … Bref, update fonctionne :-)
Posté par bubar🦥 .
En réponse à la dépêche Fedora 25 est disponible !.
Évalué à 7.
Dernière modification le 23 novembre 2016 à 20:08.
Ma machine principale, dite "de gamer", vient de passer sous F25, via une méthode peu recommandée : dnf update. Et comme d'habitude, ça se passe sans aucun soucis… zéro, nibe, nada, que dalle. Malgré la présence, sur cette machine, du blob nvidia (et de steam, et de pas mal de softs compilés localement genre les derniers Octave) Je change les $releasever et 24 par 25 dans yum.repos.d/*, je met à jour. C'est tout. (La seconde machine, le LibreBook, est passé de F23 a F25 direct, même méthode. Elle vient de F18 comme ça.)
ça fait longtemps qu'il ne faut pas le dire, mais quand même … Fedora c'est vraiment le niveau au dessus. oupss.
ps : le thème de sddm est vraiment très réussi. bravo.
ps2 : la mise à jour vers arimo10 est aussi très réussie.
Depuis 3 ou 4 versions, et via le dépôt F-Droid, Firefox ne fonctionnait plus. En fait il fonctionnait pendant les 10 premières minutes, puis plantait à jamais. Ré-install : pareil. Nettoyage complet : pareil. Ceci sur AOSP sans rien de Google installé.
Et là, ô bonheur, il fonctionne parfaitement.
C'est quant Firefox n'est plus là que l'on se rend compte à quel point il manque. Surtout sur Android.
Netstat est déprécié aussi :) au profit de ss
Cependant, pour ça, je préfère toujours netstat.
Ifconfig n'est même plus installé par défaut (paquet iputils) sur les Fedora & CentOS & Red Hat récentes. En fait il faut préciser : les usages courant de ifconfig sont dépréciés au profit de nmcli (outils qui est über bien fait, quelque soit l'avis sur NetworkManager), et les usages plus avancés de ifconfig sont dépréciés au profit de ip.
Une touche d'humour en disant que "nmcli pour les admins système & ip pour les admins réseaux et admins avancés" (désolé, pardon aux mamans, toussa :)
fuites = usage incorrect (demande illégitime par social engineering [souvent simple copinage en bon français] par exemple, mais aussi constitution de fichiers transverses locaux non-répertoriés pour pallier localement aux difficultés d'accès et absence de centralisation, etc ..) Donc pas "les fuites par vols" mais toutes les "fuites par usages illégaux" plus généralement, dont beaucoup sont tolérées aujourd'hui, malheureusement.
En effet, mais ce n'est pas la taille qui compte : c'est la fréquence.
La fréquence des fuites.
La question posée est über pertinente, en re-posant clairement le contexte de l'existant.
actuellement l'accès au stics est tracé par le "qui" et le "quant" mais le "pourquoi" reste facultatif. En quasi accès libre, dans les faits, pour tout personnel justice. Nombreuses fuites.
les fiches s sont souvent ajoutées, rarement revues fautes de moyens.
les casiers 1 & 3 sont en quasi accès libre, dans les faits, pour tout personnel justice. Nombreuses fuites.
ces informations sont probablement centralisées par nos partenaires, et seuls nous n'en avons pas de centralisation, un comble.
les résidences enregistrées peuvent être désynchronisées entre fichiers
toutes ces informations existent, il n'y en pas de nouvelles à priori (par exemple l'employeur, pensez vous, quel intérêt de savoir qu'un condamné pour abus de bien social bossait avant pour x !)
…
En résumé : oui toutes ces informations existent déjà, et elles sont dispersées. Les centraliser améliore simplement la situation. La question essentielle devrait se situer sur les moyens d'accès, les habilitations d'accès, la traçabilité de ces accès, et le contrôle à postériori de l'historique de ces accès. Who watch the watchmen
Faire croire que c'est une révolution, que ça y est "on est toutes et tous fichés" est un discours au mieux évangélisateur et/ou philosophique, au pire manipulateur. C'est pas gênant, ça ?
ps : je ne donne pas mon avis sur ce fichier, et le fichage en général, simplement sur cette impression "d'histoire de pierre et le loup"
En conclusion, revenir sur ce point : "la fréquence d'usage, par qui, pourquoi, quand et qui a droit de regard sur ces éléments" !
En rendant tout public.
Tout, pas seulement nos certitudes, nos choix, nos bonheurs, nos difficultés, nos questions mais aussi nos états d'âmes, nos contradictions, nos avis du moment qui peuvent changer, ce que nous pensons vraiment, à tel instant puis à tel autre après avoir écouté et s'être enrichis de l'avis des autres, nos revenus, nos feuilles d'impôts, nos désirs, bref ce que nous sommes. Tout.
Nous apprendrons à être plus tolérants envers les autres, car finalement nous ne sommes pas si différents, et souvent ce que nous cachons n'est rien d'autre que l'expression d'une pudeur lointaine ancrée dans l'inconscient collectif, et n'as pas d'intérêt à être caché pas plus qu'à être mis en valeur. Nous apprendrons que l'autre n'est pas différent, et finalement nous apprendrons à nous connaitre.
Le danger, il est réel, est que le faux semblant ne soit pas une étape mais un masque qui perdure, par le poids d'une pression sociale et/ou économique nous empêchant de mettre sur un canal public de communication ce que nous sommes vraiment, pour simplement laisser la place à ce que nous croyons être : ce que d'autres veulent de nous.
Mais qui n'affronte pas le danger n'évolue pas.
Libérer le code source social.
hop, mes 2 cents, vous pouvez moinsser.
J'essaie d'expliquer d'abord le contexte économique et politique de la surveillance, afin que l'interlocuteur n'ai pas une vision réduite de celle-ci. La principale surveillance s'opère par des boites privées américaines, c'est un fait à se remémorer, tout le temps. Puis les intérêts, donc le pourquoi de cette surveillance, afin là encore de ne pas perdre le fil conducteur et de permettre à mon interlocuteur de se faire son propre avis, "consentant et éclairé".
Bref, c'est long, et c'est un chemin semé d'embuches.
Bien plus long et compliqué à parcourir que ce discours de libertarien américain criant au scandale sur la surveillance étatique, alors qu'il baisse son pantalon devant la surveillance économique. Facebook, Google, Microsoft, sont les principaux acteurs, et le font pour des objectifs mercantiles sans aucun soucis de l'humain derrière le chiffre. Pas de juges, pas de contre pouvoir, pas de démocratie, ils sont tranquilles. Avec en alliés ces gens beuglant contre la surveillance d'état et participant à la destruction de celui-ci.
Enfin j'expose clairement ma confiance envers un système judiciaire et ma défiance envers un système dirigé par le seul argent.
Voilà, mes deux cents.
« Une société dans laquelle les gens peuvent être surveillés à tout moment est une société qui pousse à la conformité, l’obéissance et la soumission, et c’est pourquoi tous les tyrans recherchent un tel système. »
Ce bijou vaut aussi, et avant tout, pour les acteurs économiques. Bien plus que pour la puissance publique servant les intérêts communs.
C'est de moi cette modification pour faire une introduction. Il n'y avait aucun sous-entendu dedans. Le seul fait d'appuyer l'importance du sujet et que les firmwares de "nos enfances" étaient aujourd'hui devenu des blobs de 8Mo : le sujet mérite d'être traité avec attention.
Donc je te présente mes excuses si cette modification ne t'as pas convenu, et pour la prochaine fois prévient sur la ³bune puisque cela a été fait en coord, ou à défaut : par la suite, et cela sera rectifié en conséquence.
la vidéo a un long moment non coupé, elles sont lentes à booter leurs bios ces dedibox 2016, pas coupé, pas de triche, hein je n'utilise pas la centos fournie par oneline sas, mais un iso bien propre du projet
[^] # Re: Freely ?
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal La nasa offre sa troisième fournée de logiciel libre et gratuit. Évalué à 3.
Vous avez tout les deux raisons. Cela dépend des logiciels, en fait.
Et il y en a bien qui sont sous licence acceptée par l'OSI tout en étant soumis par défaut à un embargo sur l'exportation (qui se résume par un enregistrement de compte nécessaire et une déclaration de pays destinataire). Il doit s'agir (hypothèse de ma part, rien de plus) d'un automatisme de deux principaux sites de distributions de logiciels. -> Sur le dépôt GITHUB c'est bien plus clair, puisque plus filtré (moins de softs dispo que les sites NASA)
[^] # Re: Lenteur de LibreOffice
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Sortie de LibreOffice 5.3. Évalué à 6.
Même constat ici, et non pas avec un document comportant une centaine de pages, mais avec des documents à la mise page "complexe", très cadrée et précise (entièrement réalisé sour LibreOffice) : c'est super lent à ouvrir… Faut patienter 20 bonnes secondes lors du clickou sur un doc \o/
OnlyOffice ouvre le même document de manière instantanée. C'est ballot pour du pur OpenDocument bien propre sur lui :-/
# LibreOffice en ligne
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Sortie de LibreOffice 5.3. Évalué à 8. Dernière modification le 19 février 2017 à 01:22.
LibreOffice en ligne, avec Collabora & NextCloud, c'est un régal (en plus d'être très mignon) :
[^] # Re: Mon positionnement
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Le libre et l'expérience utilisateur. Évalué à -2.
Si en plus certains trouvent cela très limité, alors le shell a encore de beaux jours devant lui ;-)
[^] # Re: Mon positionnement
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Le libre et l'expérience utilisateur. Évalué à 2.
Rien de plus génial que les redirections et les pipes, par exemple. C'est peut être pour cela entre autre que nous sommes nombreux à préférer largement la ligne de commande et les shells unix. Il y est tellement simple de réaliser un flux de tâches complexes.
[^] # Re: Mouais
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Le libre et l'expérience utilisateur. Évalué à 6.
Perso ce qui tue gnome shell chez moi : son incapacité à fonctionner correctement au travers de SSH.
[^] # Re: Mouais
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Le libre et l'expérience utilisateur. Évalué à 5. Dernière modification le 12 février 2017 à 10:32.
Désign (source : Larousse)
Ergonomie (source : Larousse)
Lean (source : Wikipedia)
J'ajoute volontairement le lean car nous ne sommes pas devant une machine pour effectuer une tâche, mais pour effectuer de multiples tâches qui souvent sont organisées à l'intérieur d'un ensemble dont la structure est souvent le temps (faire b après a) et/mais parfois d'autres dépendances (si a fait comme cela alors b sera contraint ainsi) : les workflows, flux de travaux, sont parfois simples, parfois complexes, mais tout ou partie est réalisée sur un seul et même outil physique. Ajouter lean a du sens il me semble car il complète par des exigences l'ergonomie du poste en prenant en compte l'organisation des flux de travaux.
On les confond tellement, design & ergonomie, que les designers eux mêmes sont devenus des ergonomes. Bien que la distinction existe toujours, on peut constater il me semble que le design inclu souvent de facto l'ergonomie comme pan essentiel à une réalisation réussie. On peut ajouter qu'il est intéressant de constater que les designers ont pris le pas sur les ergonomes : cela reflète assez bien que les notions de "beau" et de "joli", difficilement quantifiables car assez subjectives, de plus très évolutives et mouvantes, sont, malgré ces difficultés à être stables, prises comme condition première.
GNOME a (il me semble, c'est un ressenti post-usage et non une affirmation qu'il y a une volonté du projet) effectivement pris cette approche en démarche centrale de sa refonte.
Et perso je rêve que l'on rendent hommage aux bibliothèques, qu'elles aient toutes un nom, un logo, bref une identité. Que l'on déporte cette identification, donc quelque part cette reconnaissance dans les deux sens de ce mot, des GUI vers les bibliothèques.
Le chemin serait long, car même dans le Libre beaucoup de logiciels sont réalisés selon le précepte de l'entité indépendante. Un logiciel = une GUI, une ou des biblio, un nom et un logo. Kdenlive n'est pas un ensemble de fonctions transformant la GUI de base de lecture de vidéos en logiciel de montage, mais un logiciel et un projet à part. Krita n'est pas un ensemble de fonctions permettant au visualiseur d'image de se transformer en fantastique outil de création, mais un logiciel et un projet à part. Je rêve que ces projets à part continuent comme cela, mais en changeant simplement leur vision de la GUI : passer vers l'intégration des fonctions sur le socle de base initial : que "images" (gwenview) puisse charger tout cela à la demande.
Ce n'est pas anodin, et pas seulement une question de design, d'intégration, d'identité visuelle : c'est également de l'ergonomie qui permettrait d'améliorer significativement l'usage du bureau graphique en simplifiant drastiquement les GUI par une réduction de leur nombre.
C'est aussi une question de lean, d'organisation des flux : j'ouvre une image pour la voir avec x, puis j'y fait des retouches de luminosité avec le logiciel y, et je l'intègre à un texte comme illustration avec le logiciel z. 3 logiciels lancés, 3 sauvegardes à faire, 3 GUI différentes à utiliser, avec inhérent à cela : perte de temps, perte d'espace, apprentissage de 3 logiciels.
Si le logiciel propriétaire est fortement lié à cet état de fait, parce qu'il a (très très souvent) la nécessité d'être livré en entité autonome où l'identification se fait ur un ensemble complet (GUI+bib), le logiciel Libre est beaucoup moins impacté par ces contraintes. De plus les bureaux propriétaires doivent laisser de la place à ces logiciels propriétaires, ils intègrent, mais un peu, pas beaucoup, pas question d'avoir un logiciel de montage vidéo complet intégré au bureau, pour reprendre cet exemple. Seul le libre peut arriver à recentrer les GUI sur les besoins fondamentaux des utilisateurs : importer - faire - exporter. Seul le libre peut se permettre de proposer un bureau où il serait naturel d'importer un texte, quelque soit son format d'origine, pour le travailler avec de classiques outils de traitement de texte, le mettre en forme avec des outils vectoriels de pao, puis le calibrer pour impression, le tout depuis une seule et même gui chargeant les fonctions à la demande, et sans jamais avoir à faire "ouvrir - quitter" plus d'une seule fois.
Bref, seul un bureau libre peut être lean.
(pour reprendre ce terme àlamode parfois contreversé, mais ici sans jugement de valeurs autre que le gain d'une meilleure organisation des flux de travaux)
GNOME Shell prends, il me semble, ce chemin, "documents" par exemple commence à être vraiment sympa à utiliser (fusionnant les outils de visionnage, de recherches et de classement automatique). Mais on est encore loin d'un bureau intégré. Et l'on voit encore beaucoup de gui à part, voir de biblio qui sont développées sur un besoin d'une gui.
Je voulais finir en casant "super héros" pour les développeurs de biblio, mais je ne trouve pas la phrase ;-) ha si, tiens, c'est fait! Mes 2 cents
[^] # Re: couleur
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal De l'importance (des tests réguliers) des sauvegardes. Évalué à 2. Dernière modification le 02 février 2017 à 09:03.
Peut être que cela dépend pas mal de la personne. Autre exemple pour compléter le tiens : auparavant, et pendant longtemps, j'ai utilisé des terminaux séparés et organisés sur mon écran, et pour moi c'était très intuitif. Depuis peu je dois utiliser mobaxterm et ses onglets sont sources d'erreurs, c'est bien moins intuitif utiliser des onglets, et demande plus de concentration / de vérification pour savoir où je suis, que des espaces à séparations visibles.
Autre exemple : certains s'astreignent à n'être connecté qu'à une seule machine à la fois (ce qui pour moi est abérant)
En fait, faut peut être laisser le choix de l'outillage aux intervenants, car chacun aura une perception différente de ce qui lui convient pour être efficace. Non ?
[^] # Re: ChromeOS & Android
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal 2017 : l'année où Linux atteindra les 5% de parts de marché. Évalué à 5.
Oui tu as raison, la formule est maladroite, merci de la correction.
# ChromeOS & Android
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal 2017 : l'année où Linux atteindra les 5% de parts de marché. Évalué à 10. Dernière modification le 22 janvier 2017 à 13:13.
Les derniers ChromeBooks, malheureusement pas tous disponibles en France, permettent d'ores et déjà d'utiliser le Google Play Store donc d'installer tout les logiciels qui y sont disponibles.
ChromeOS, la Gentoo personnalisée par Google, a la réputation d'être le système d'exploitation existant le plus sécurisé, et continue son bout de chemin sans faire de vagues, challenge après challenge personne n'arrive à le casser ni à passer root de manière insidieuse sur un ChromeBook neuf.
On peut ajouter que cela fait plaisir de voir l'équipe de GRsec, naguère moquée, se retrouver aujourd'hui au centre des discussions entre Intel, Google et le noyau lui même, où les idées et certains patchs sont inclus (au moins dans chromiumos, parfois chez kernel.org), les discussions appaisées aujourd'hui, Linus himself y compris (par exemple en ce moment ça cause kaslr et de l'hibernation sur x86, mais aussi de l'amélioration du vieux hidepid=2 sur procfs)
Sans faire de bruit, ChromeOS continue son avancée. Et si on ne la voit que peu par ici, en fr_fr, cela ne veut pas dire que ce système est marginal ailleurs. Google est en train de réussir ce que Microsoft a échoué : ligguer beaucoup de constructeurs autour de specs et d'exigences très précises. Pour un système particulièrement agréable à utiliser aujourd'hui, très simple, encore plus réussi de ce point de vue que osX / MacOS, et sans jamais nous tacler, nous les libristes, puisque Google a un développement ouvert bien sûr, mais surtout il nous laisse toute lattitude de hackage (au plus bas niveau y compris : le bios, c'est vraiment bien)
ChromeBook, what's else ?
Alors je ne vais pas prédire une arrivée massive des ChromeBooks dans les entreprises françaises et européennes, car il y a une certaine défiance via à vis de Google. Mais les éléments qui ont créés cette défiance sont aujourd'hui à égalité présents chez Microsoft. Il faut donc s'attendre à un ré-équilibrage lent en faveur de Google.
Entre les deux systèmes, ChromeOS commence à montrer de sérieux avantages en ayant les inconvénients équivalents.
hop, les deux cents.
[^] # Re: In french please!
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal WhatsApp, sa porte discrète du fond et les backdoors de Signal. Évalué à 2. Dernière modification le 21 janvier 2017 à 10:07.
fait (le lien vers reflets.info aussi)
# Concurrence
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal LibreOffice fait évoluer son interface. Évalué à 4. Dernière modification le 13 décembre 2016 à 23:21.
C'est une très bonne nouvelle. Mais saviez vous qu'une concurrence était désormais présente, et particulièrement séduisante ?
Le logiciel ci-dessus est OnlyOffice qui a le bon goût d'être GPL, qui importe parfaitement tout les fichiers de MS Office, qui ne fait pas de ratures lorsqu'il en modifie et/ou complète, qui est léger comme une plume, qui se lance genre 10 fois plus vite que LibreOffice, et dont l'ergonomie est … sans commune mesure. Et il se paie le luxe d'être joli en plus. Alors je suis bien désolé pour le format apporté par OpenOffice, puis maintenu par la DocumentFondation, avec LibreOffice, mais la qualité du logiciel passe avant. Pragmatisme.
OnlyOffice est un petit bijou, et l'absence de support des formats OpenDocument est un certes un regret mais le logiciel est tellement supérieur à l'usage (et la compatibilité tellement agréable) que je ne risque pas de revenir à LibreOffice pour le moment…
# aveu d'échec
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Désolé, la Quadrature, mais tu fais fausse route. Évalué à 10. Dernière modification le 02 décembre 2016 à 17:29.
Ce type de textes de loi est un aveu d'échec. L'échec de la prévention, du discours social, de l'éducation populaire en ce qu'elle a de massive, de commune.
Quelques mots qui ne sont consensuels que parcequ'ils relatent des faits : la grossesse involontaire peut être dramatique, pour la femme, son éventuel compagnon, et le potentiel futur enfant. L'avortement est une solution d'urgence, parfois traumatisante, réellement, et tout le temps perturbante, culpabilisatrice (plus ou moins intériorisé). Un mal personnel contre un mal partagé.
La liberté d'expression n'a que peu de frontières, en mettre d'autres réduise son champ et place une morale là où justement il ne faudrait que tolérance, écoute ou désintérêt. Le discours de lqdn a du sens de ce point de vue : malgré le consensus partagé probablement par un grand nombre de proches de son champ d'action, il n'est finalement pas à propos de parler du fond mais pour une fois de s'attacher à rester sur la forme : restreindre la liberté d'expression n'est jamais bon. Jamais.
Rien n'oppose ces deux discours. Rien.
Il s'agit de deux sujets totalement différents, et qui auraient dû le rester si la parole explicative en faveur de l'ivg était mieux portée.
Mais plutôt que d'investir pour que les acteurs de la prévention d'une part, et du domaine médical et para-médical d'autre part, puissent avoir un impact plus grand et plus fort aujourd'hui avec les moyens modernes que sont internet et ses sous-ensembles, tel qu'il a pu être il y a 40 ans, les législateurs choisissent de museler un peu plus la liberté d'expression. Cela coûte moins cher. Parait il. Lorsqu'on ne compte qu'en nombre de billets.
Effet bonus : cela monte les gens les uns contre les autres.
On ne combat pas la bêtise en l'interdisant, mais en se donnant les moyens de promouvoir la connaissance.
[^] # Re: Comme d'habitude
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Fedora 25 est disponible !. Évalué à 3. Dernière modification le 23 novembre 2016 à 20:37.
Jamais utilisé, yum & dnf ont tjs permis le passage sans soucis d'une version à l'autre, via un simple "update" après mise à jour à la main des fiches de dépôts. Et ce, y compris pendant le passage à dnf (et également pendant et avec drpm) Un mauvais souvenir de pre-upgrade qui reste, peut être … Bref, update fonctionne :-)
# Comme d'habitude
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Fedora 25 est disponible !. Évalué à 7. Dernière modification le 23 novembre 2016 à 20:08.
Ma machine principale, dite "de gamer", vient de passer sous F25, via une méthode peu recommandée : dnf update. Et comme d'habitude, ça se passe sans aucun soucis… zéro, nibe, nada, que dalle. Malgré la présence, sur cette machine, du blob nvidia (et de steam, et de pas mal de softs compilés localement genre les derniers Octave) Je change les $releasever et 24 par 25 dans yum.repos.d/*, je met à jour. C'est tout. (La seconde machine, le LibreBook, est passé de F23 a F25 direct, même méthode. Elle vient de F18 comme ça.)
ça fait longtemps qu'il ne faut pas le dire, mais quand même … Fedora c'est vraiment le niveau au dessus. oupss.
ps : le thème de sddm est vraiment très réussi. bravo.
ps2 : la mise à jour vers arimo10 est aussi très réussie.
# C'est quant il n'est plus là ..
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Firefox 50 Cent. Évalué à 4.
Depuis 3 ou 4 versions, et via le dépôt F-Droid, Firefox ne fonctionnait plus. En fait il fonctionnait pendant les 10 premières minutes, puis plantait à jamais. Ré-install : pareil. Nettoyage complet : pareil. Ceci sur AOSP sans rien de Google installé.
Et là, ô bonheur, il fonctionne parfaitement.
C'est quant Firefox n'est plus là que l'on se rend compte à quel point il manque. Surtout sur Android.
Merci !
[^] # Re: ip link et pas ifconfig
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal [Tuto/HowTo] SSHFS : mises en place et montage. Évalué à 7.
Netstat est déprécié aussi :) au profit de
ss
Cependant, pour ça, je préfère toujours netstat.
Ifconfig n'est même plus installé par défaut (paquet iputils) sur les Fedora & CentOS & Red Hat récentes. En fait il faut préciser : les usages courant de ifconfig sont dépréciés au profit de
nmcli
(outils qui est über bien fait, quelque soit l'avis sur NetworkManager), et les usages plus avancés de ifconfig sont dépréciés au profit deip
.Une touche d'humour en disant que "
nmcli
pour les admins système &ip
pour les admins réseaux et admins avancés" (désolé, pardon aux mamans, toussa :)[^] # Re: Je ne suis pas sur de comprendre le probléme
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Comme d'habitude, l'UMP l'a voulu, le PS l'a fait, et vice versa. Évalué à 2. Dernière modification le 02 novembre 2016 à 13:23.
fuites = usage incorrect (demande illégitime par social engineering [souvent simple copinage en bon français] par exemple, mais aussi constitution de fichiers transverses locaux non-répertoriés pour pallier localement aux difficultés d'accès et absence de centralisation, etc ..) Donc pas "les fuites par vols" mais toutes les "fuites par usages illégaux" plus généralement, dont beaucoup sont tolérées aujourd'hui, malheureusement.
[^] # Re: Je ne suis pas sur de comprendre le probléme
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Comme d'habitude, l'UMP l'a voulu, le PS l'a fait, et vice versa. Évalué à 2. Dernière modification le 02 novembre 2016 à 13:19.
En effet, mais ce n'est pas la taille qui compte : c'est la fréquence.
La fréquence des fuites.
La question posée est über pertinente, en re-posant clairement le contexte de l'existant.
En résumé : oui toutes ces informations existent déjà, et elles sont dispersées. Les centraliser améliore simplement la situation. La question essentielle devrait se situer sur les moyens d'accès, les habilitations d'accès, la traçabilité de ces accès, et le contrôle à postériori de l'historique de ces accès. Who watch the watchmen
Faire croire que c'est une révolution, que ça y est "on est toutes et tous fichés" est un discours au mieux évangélisateur et/ou philosophique, au pire manipulateur. C'est pas gênant, ça ?
ps : je ne donne pas mon avis sur ce fichier, et le fichage en général, simplement sur cette impression "d'histoire de pierre et le loup"
En conclusion, revenir sur ce point : "la fréquence d'usage, par qui, pourquoi, quand et qui a droit de regard sur ces éléments" !
# Bon, comment fait-on pour échapper à cette surveillance ?
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche surveillance:// Entretien avec son auteur Tristan Nitot et 10 livres à gagner. Évalué à -1. Dernière modification le 28 octobre 2016 à 21:24.
En rendant tout public.
Tout, pas seulement nos certitudes, nos choix, nos bonheurs, nos difficultés, nos questions mais aussi nos états d'âmes, nos contradictions, nos avis du moment qui peuvent changer, ce que nous pensons vraiment, à tel instant puis à tel autre après avoir écouté et s'être enrichis de l'avis des autres, nos revenus, nos feuilles d'impôts, nos désirs, bref ce que nous sommes. Tout.
Nous apprendrons à être plus tolérants envers les autres, car finalement nous ne sommes pas si différents, et souvent ce que nous cachons n'est rien d'autre que l'expression d'une pudeur lointaine ancrée dans l'inconscient collectif, et n'as pas d'intérêt à être caché pas plus qu'à être mis en valeur. Nous apprendrons que l'autre n'est pas différent, et finalement nous apprendrons à nous connaitre.
Le danger, il est réel, est que le faux semblant ne soit pas une étape mais un masque qui perdure, par le poids d'une pression sociale et/ou économique nous empêchant de mettre sur un canal public de communication ce que nous sommes vraiment, pour simplement laisser la place à ce que nous croyons être : ce que d'autres veulent de nous.
Mais qui n'affronte pas le danger n'évolue pas.
Libérer le code source social.
hop, mes 2 cents, vous pouvez moinsser.
[^] # Re: Merci
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche surveillance:// Entretien avec son auteur Tristan Nitot et 10 livres à gagner. Évalué à 5. Dernière modification le 28 octobre 2016 à 20:52.
Bonsoir,
J'essaie d'expliquer d'abord le contexte économique et politique de la surveillance, afin que l'interlocuteur n'ai pas une vision réduite de celle-ci. La principale surveillance s'opère par des boites privées américaines, c'est un fait à se remémorer, tout le temps. Puis les intérêts, donc le pourquoi de cette surveillance, afin là encore de ne pas perdre le fil conducteur et de permettre à mon interlocuteur de se faire son propre avis, "consentant et éclairé".
Bref, c'est long, et c'est un chemin semé d'embuches.
Bien plus long et compliqué à parcourir que ce discours de libertarien américain criant au scandale sur la surveillance étatique, alors qu'il baisse son pantalon devant la surveillance économique. Facebook, Google, Microsoft, sont les principaux acteurs, et le font pour des objectifs mercantiles sans aucun soucis de l'humain derrière le chiffre. Pas de juges, pas de contre pouvoir, pas de démocratie, ils sont tranquilles. Avec en alliés ces gens beuglant contre la surveillance d'état et participant à la destruction de celui-ci.
Enfin j'expose clairement ma confiance envers un système judiciaire et ma défiance envers un système dirigé par le seul argent.
Voilà, mes deux cents.
Ce bijou vaut aussi, et avant tout, pour les acteurs économiques. Bien plus que pour la puissance publique servant les intérêts communs.
# l'introduction modifiée
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Point d’étape sur le matériel et nos libertés. Évalué à 9. Dernière modification le 25 octobre 2016 à 22:00.
C'est de moi cette modification pour faire une introduction. Il n'y avait aucun sous-entendu dedans. Le seul fait d'appuyer l'importance du sujet et que les firmwares de "nos enfances" étaient aujourd'hui devenu des blobs de 8Mo : le sujet mérite d'être traité avec attention.
Donc je te présente mes excuses si cette modification ne t'as pas convenu, et pour la prochaine fois prévient sur la ³bune puisque cela a été fait en coord, ou à défaut : par la suite, et cela sera rectifié en conséquence.
[^] # Re: De meilleurs liens ( font de meilleurs amis )
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal CVE-2016-5195 Dirty COW. Évalué à 3.
Oui c'est peut être selinux, mais ça pourrait être autre chose. Je n'y comprends rien, vais aller relire les docs sur les exploits.
[^] # Re: Critique
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche ONLYOFFICE ouvre le code source des éditeurs de bureau. Évalué à 7.
OnlyOffice fonctionne tellement bien que je viens de désintaller LibreOffice.
[^] # Re: Exploitable sur CentOS 7 ????? pas sûr
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal CVE-2016-5195 Dirty COW. Évalué à 2. Dernière modification le 23 octobre 2016 à 15:26.
Ton
sudo cp
se fait tout seul ?Chez moi ça ne marche toujours pas :-( Voir en vidéo, si vous voulez
la vidéo a un long moment non coupé, elles sont lentes à booter leurs bios ces dedibox 2016, pas coupé, pas de triche, hein
je n'utilise pas la centos fournie par oneline sas, mais un iso bien propre du projet