les modèles pour les supernova ont vraisemblablement dû utiliser la théorie de la relativité (ou des résultats dépendant de ...) (...) un raisonnement circulaire ...
Non, pas forcément. Il s'agit d'un cadre d'application.
"Le meilleur moyen de voir un trou dans une boite est d'être dans la boite", dans l'esprit. La théorie de la relativité restreinte est un cadre. De ce cadre les postulats sont exacts. Jusqu'au jour de la "faille"/découverte, menant à la construction permettant de définir un cadre plus large. Par exemple la relativité générale. Qui ne contredit pas directement la première, qui s'applique à un autre cadre.
Utiliser une mesure, un postulat, un cadre, et avec lui trouver sa propre faille, ne semble pas aberrant en soi. Non ?
Peut être qu'un jour un physicien, ou une équipe, construiront une relativité globale s'appliquant à la fois au quantique et au classique, ré-unifiant les deux.
Au delà de l'humour, de la poésie, et de l'intérêt "projectif" faisant basculer vers la science-fiction (ou plus précisément, voir à posteriori, l'anticipation), il y a un intérêt certain à ce type d'annonce "à l'américaine" :
-> Intéresser le public (à autre chose, de plus important, que le dernier iphone), et vulgariser pour nous (du moins, pour moi) l'accès à des résultats d'expériences dont il serait erroné de croire qu'elles n'intéressent qu'un petit microcosme (mos). La flambée de l'information prouve le contraire, en tout cas : il y a une demande du public pour suivre ces gens là.
Pour replacer dans le contexte, lire ce journal documenté de patrick_g : Rumeurs de Higgs daté de Avril 2011. Bien que pas directement en rapport avec le sujet ici (ça cause de l'évènement de higgs, ha non pardon, on dit boson) ça permet d'avoir des informations plus intéressantes que la plupart des sites, au sujet plus global du CERN.
Oui pour moi aussi
Mais en écoutant les gens, j'ai mis de l'eau dans mon vin.
D'où le "rolling release".
mais effectivement, un peu de /opt et de biblio en deus ne sera pas un mal, parès tout, pourquoi ne suivrions nous pas la confiance accordée aux projets de la même manière que la confiance accordée aux distribs ? Cela mulitplie potentiellement les problèmes, oui (j'écoute) mais bon, à un moment ou à un autre, il faudra revenir sur ce paradigme central, mais bloquant. Ou alors une rolling ...
j'ai déformé le contexte : à ce moment là je n'étais pas en train de re-démarrer l'ordi, j'avais simplet ouvert un terminal sur un mac. C'est tout.
Maintenant, même avec un contexte déformé, j'ai du mal à comprendre le "tu m'étonnes qu'il t'ai dit de dégager", dans ce contexte déformé là (...) les ordis en expositions sont là pour être essayés.
Si le vendeur n'est pas content avec ça qu'il aille cracher sur sa direction, pas sur ses clients.
énorme plus un.
oui, justement, la démo on l'a dans un pays pas loin.
où le politique a failli totalement démissionné, et il se rends compte maintenant que la solution n'est pas là.
pourtant, la différence majeure est que dans ce pays une bonne partie de la dette a été crée par le manque de nationalisme de la plupart des entrepreneurs (et de la religion et de l'armée, chose soulevée ici, et visiblement intéressantes) : soit le je_m_en_foutisme, et la fraude fiscale massive à tout les niveaux. Ce qui donne, pourtant, un excellent argument en faveur d'un remboursement pur et simple de la dette. Mais même dans ce cas précis, le politique se rend bien compte du "trop gros, passera pas". Ils cherchent ensemble d'autres solutions. Ce qu'il se passe en Grêce en particulièrement pertinent pour nous, car ils partent de plus loin, et avec un handicap, mais pourtant le politique a compris l'enjeu...
les personnes éjectées d'un manda sont ensuite recasées
Hum, c'est une obligation de notre système politique. Dès lors que la politique est devenue un métier, fait par des professionnels (et non un engagement citoyen, avec le parachute), il s'est mis en place de type de mécanismes. C'est pas évident lorsque tu as occupé un poste de rang assez important et assez en vue, reconnaissable, de pouvoir se recaser tout seul dans le privé par la suite. Ou alors, au prix de ne pas être recasable dans le privé, mais uniquement dans le public. Nous retomberions alors sur un problème plus grave (d'après moi) : n'avoir que des politiques issus du public, alors qu'avoir des politiques issus du secteur privé et/ou du secteur associatif est uen vraie force (il me semble).
Bref c'est pas évident. Le recasage amical est vraiment un dégat co-latéral assez inévitable dans notre système.
Je préfère nettement ta proposition au dessus : les rendre pénalement responsable de la bonne gestion, tout comme ils peuvent être pénalement responsable en cas d'accidents. Ceci dit, cela pose le problème du jugement de ce qui doit être une bonne gestion. Comme le système judiciaire est encore assez largement inféodé au système politique, il faudrait d'abord avancer sur ce sujet là : une vraie indépendance de la justice, avant de pouvoir avancer sur l'autre.
(phrase passée à la trappe)
Il existe forcément des mécanismes pour éviter d'en arriver là (soit avant des problèmes sociaux majeurs). Personne ne peut accepter une faillite, aucune des parties. Maintenant écoutons voir les politiques, surtout chez nous à un moment si charnière, nous l'expliquer...
Ne soyons pas si défaitistes ;-) Les banques sont dans une situation assez similaires, et elles elles ne peuvent compter que sur nous, comme assurance finale. Crois tu vraiment qu'elles vont mettre le couteau sous la gorge de leur assurance finale ? Non non non. Même des pays en développement se sont révoltés. Chez nous, on appliquera la maxime bien connue :
"trop gros, passera pas"
Nous sommes parfaitement d'accord, et tu dis "n'importe quoi".
Il y a quelque chose qui m'échappe dans ta démarche, mais c'est pas grave.
Pour "sans l'Etat il n y' a plus rien" je présume que tu aussi parfaitement compris le sous-entendu (sans impots, pas de possiblités d'emprunts, sans possibilités d'emprunts, etc etc) Mais c'est pas grave non plus. Juste je te renvoit pas la balle de la même manière, au lieu de "n'importe quoi" je dis "nous sommes bien d'accord" (rien n'empêche de renégocier)
Il y aura également la question du "comment" pour la résolution du problème.
Sans l'états, il n'y a plus rien. Etat = impôts. La crise a fait admettre cela même aux plus libéraux parmi les libéraux. Sans régions il n'y a presque plus d'état, la décentralisation est passé par là. Le rapport de force entre emprunteurs et créanciers est clairement posé.
Alors, au delà de "qui a accepter de signer ces saloperies, dans quel contexte et pourquoi" se pose la question "maintenant, comment sortir de cette merde". Et là, on va vraiment voir les politiques à l'oeuvre. Ceux qui vont accepter sans broncher le calendrier de remboursement imposé, au détriment d'une part majoritaire d'un budget, donc au détriment du développement commun. Et ceux qui vont négocier d'une main de fer. Rien, absolument rien, nulle part, aucun texte légal ou de droit économique (ou alors qu'on me le montre) interdit la ré-négociation.
Donc, la question à poser à nos femmes et hommes politique est la suivante : quel plan de renégociation avez vous ? quelle sera la part maximale, du budget global, de remboursement que vous accorderez ?
Et là, ça être popcorn, ils risquent d'être nombreux à se défiler sur la question. Pourtant c'est leur boulot.
tu pardonnes une ville qui croule sous les dettes, et emprunte encore?
Clairement : non, non plus !
Par contre devant la difficulté de l'investissement en politique, et devant le choix possible dans les équipes se présentant, cela peut être très délicat de se dire "je vais les sanctionner par les urnes", car cela se fera au risque d'avoir une équipe encore pire ensuite. Bref, tout comme les situations des emprunts semblent être diverses, les solutions sont tout aussi diverses. Il ne semble pas pouvoir y avoir une réponse unique de type "sanctions par les urnes".
La réponse unique pourrait être l'OpenData dès lors que cela se fait en amont, et non pas après. Mais à voir des situations locales bien concrètes, j'ai des doutes sur la réelle faisabilité. Un exemple "en bas de chez moi" : ils construisent un tramway. Ok. Tout a été annoncé largement en avance. Il y a eu des réunions publiques. Il y a eu des affichages publiques, tout les 50m dans mon quartier, afin de montrer le tracé, d'informer sur les travaux et leur durée. Bref, le politique est aller bien plus loin que son obligation légale en terme d'information au public, et il a chercher très en amont à ce que les habitants remontent des informations avant les travaux, avant même la validation du calendrier. Résultat ? Une association alacon de défense des commerçant rale maintenant et bloque l'avancée des travaux. Des commerçants du genre ultralibéraux. Que personne n'a jamais vu aux réunions préalables aux travaux. Bon voilà, c'est pas que je sois pessimiste, mais s'intéresser à la vie de la cité comme le fait www.regardscitoyens.org est extrêmement rare et précieux. Beaucoup de gens ne font que raler au pied du mur.
La remarque n'est pas globale.
C'est au cas par cas. Zenitram aussi résume bien le problème, "une ville qui croule sous les dettes, et emprunte encore?", c'est une ville, au cas par cas. Chaque situation semble être différente.
Alors, commençons à virer les incompétents de la mairie, qui signent des choses qu'ils ne comprennent pas et ne veulent pas comprendre, non?
Oui, malheureusement oui.
Mais d'une part c'est facile de râler, difficile de s'engager. Combien de communes vont chercher les futurs conseillers ? Combien de communes n'arrivent pas à avoir un engagement suffisant ? Un engagement, même pour une petite commune, c'est un investissement très conséquent, que très peu de gens sont prêts à réaliser. Parceque cela veut dire de montrer au grand jour sa préférence politique, et rien que ça, beaucoup chie dans leur froc. Et d'autre part la quantité de travail, et de compétences nécessaires, est ahurissante.
Aussi, que cela à droite ou à gauche, normalement le politique est là pour garantir une bonne marché de la nation (ou de la région / communauté de communes / communes). À droite ou à gauche c'est normalement la condition basique, les différences (politique) se jouant ailleurs. Or force est de constater qu'une bonne partie de la classe politique aujourd'hui ne travaille plus pour la nation. Un exemple est la destruction des pouvoirs d'intervention de l'Etat, avec parfois un joli papier cadeau autour.
Je sais que cela fait "enfonceur de portes ouvertes" de dire cela, mais on a trop tendance à l'oublier un peu vite afin d'avoir un bouc émissaire facilement désignable, et contre lequel on ne craint rien. Par exemple va dire "sarkozy est un gros con", on a le droit et Sarkozy n'a jamais empeché la liberté de parole. Mais va dire "le patron de ma boite est un gros con (il vient de refiler le pouvoir à un groupe d'actionnaire majoritairement composé de représentant de fonds), tu risques gros, très gros. Comme il est plus facile de taper sur le politique, les gens ne se genent pas, mais pour taper sur ceux qui aujourd'hui ont vraiment le pouvoir, il n'y a plus grand monde.
Taper sur le politique, oui, mais si c'est pour à la place mettre encore pire... Exemple de la Seine Saint Denis : sous entendu "les électeurs devraient virer l'équipe en palce", mais pour mettre qui ? une équipe qui va ratiboiser totalement les actions sportives, sociales et culturelles ? Qui va confier la gestion de l'eau au privé ? Superheu ...
Super article explicatif résumant la situation sur le fonctionnement général de ce type d'emprunt. On pourrais regretter cependant qu'il n'y ai aucun approfondissement quand à la teneur des négociations lors des signatures de ces emprunts. Là, on pourrait se laisser aller à penser "bouh les vilains politiques qui ont signés n'importe quoi", alors que dans certains cas aucun autre choix ne leur étaient proposés alors que leur région/ville/communauté de communes avait besoin d'un emprunt. Mais faire cela c'est mission impossible pour un journal. Ça incombera à chacun de demander des comptes sur la situation exacte au moment de la signature : y avait il vraiment nécessité ? si oui, quelle marge de manoeuvre avaient ils avec d'autres propositions existantes ? La Seine Saint Denis est reprise plusieurs fois en "exemple" or il me semble qu'ils n'ont eu aucun autre choix de que de prendre cette construction là. Bref, piégé par les banques.
On pourra aussi applaudir la décentralisation réalisée sous la forme d'un désengagement global de l'Etat central : ratio totalement déséquilibré entre transfert des charges et transfert de recettes. Les régions assument plus de rôles, financiers, sans avoir récupérer l'équivalent en rentrées fiscales.
Bref, on sait grosso modo qui remercier.
Bientôt dans tout les sens du terme...
une réponse :
Dans un Boulanger : non, les vendeurs s'occupant de ces rayons et voisins ne m'ont jamais rien dit. mais ils me connaissent un peu : ce sont toujours les mêmes vendeurs depuis des années.
Dans un Saturn : me suis fait aggressé par un vendeur de type armoire à glace : tu installes des virus pornographiques, fout le camp ! j'ai foutu le camp et n'ai jamais rien racheté chez eux.
Gageons que le rachat de Saturn par Boulanger fasse monter le niveau des vendeurs de Saturn à celui de Boulanger :p
Depuis j'utilise HDT sur une clef usb : ça va bien plus vite à booter et on a les informations qu'on souhaite avoir en moins de 20 secondes.
ils peuvent tout casser.
tant qu'ils ne changent pas les paradigmes des utilisateurs. C'est à dire : le changement invisible. Le changement que l'on laisse découvrir "ha tiens une nouvelle option". Bref laisser les fonctions et les icones à leur place.
"C'est en changeant d'objet qu'on accepte de changer d'habitudes."
tiens là j'en ai une avec kde4, en version stable :
ils ont décidés de virer les bureaux virtuels pour les rempalcer par le concept "d'activités" : énorme bullshit. Du coup paf ça commence à rempalcer les bureaux virtuels. Et ça apporte quoi ? Rien, absolument rien, que dalle en vrai IRL, que du "concept". Kde me permet déjà de configurer chaque bureau comme je veux, kde me permet déjà de lancer telle appli sur tel bureau, kde me permet déjà de définir des noms au bureau. Bref, encore un truc "on se demande à quoi ça sert de changer"
a chaque fois qu'ils commençaient a avoir un desktop stable, ils ont tout cassé, ça ne me rend pas très optimiste pour l'avenir.
+1
on revient là sur le "bureau linux" chez le particulier.
la totalité des pc linux que j'avais installés chez des gens ont finis en /dev/null après des années d'utilisation sans problème majeur, et avec la satisfation de tout les utilisateurs.
les seuls pc linux qu'il me reste, ce sont les pc de mes parents. avec tout le côté affectif qui rends la chose moins objectives.
Et eux aussi ont énormément souffert de ça : un kde 3 qui fonctionnait, auquel ils s'étaient habitués, avec kmail et tout. Tout a roulé pendant longtemps, il ne s'agit d'une expérience de quelques semaines d'un gros kéké qui te sort "c'est une distrib très pro" en 3 tours de mains.
Et paf kde 4.
Plus de support kde 3 dans la distrib. Obligé de passer à kde 4.
ça merdait de partout, les applets plantait, la barre plantait, le bureau plantait. Et impossible de faire fonctionne correctement kmail. Quant à konqueror, on oublie il était devenu trop lent.
Résultat ?
kmail remplacé par gmail
konqueror remplacé par google-chrome
kde remplacé par gnome. grosses ralantes, ce n'est plus pareil.
résultat concret ? une défiance vis à vis de l'ordinateur. Non ce n'est pas tout le monde qui peut ou veut ré-apprendre des choses basiques comme "où se trouvent truc dans le menu" ou encore "pourquoi le copier coller fonctionne pas, là"
C'est la rançon de l'obligation de porosité entre versions stables et de dev, nécessaire pour faire venir des gens au dev, mais un grand mal pour les utiisateurs.
le potentiel est là.
il manque une équipe d'intégration (vous embauchez ? lol)
le mois dernier j'ai eu à faire avec une boite avec 100% de postes avec linux.
mon contact avait un laptop de dotation elle. j'ai vu son bureau et fear
mon dieu que c'est moche : un vieux gnome par défaut, les couleurs affreuses et sombres, les polices trop grosses par rappor à l'écran 14'. Et ça affiche les miniatures des documents posés sur le bureau, résultat des miniatures de pdf, illisibles, qui prennent chacune 10% de l'espace bureau.
Cette charmante personne ne disait écoeurée par son laptop. Et chez elle, elle est bien contente d'avoir un joli windows.
clique sur le lien youtube, c'est ce qu'ils ont fait :
tu "boites" le téléphone sur le couple clavier-écran, et l'ordi c'est le téléphone. Son écran s'éteint et il sert en mode tactile comme le touchpad de "l'ordi"
tu "boites" de la même manière le même téléphone au dos d'une "tablette". Et hop.
ils se sont même amusés à faire un joystick : tu "boites" le téléphone dedans.
redhat ne vend pas du vent, il vend de l'expertise et du code.
derrière le code il y a le codeur.
penser qu'un système peut s'imposer pour le grand public en étant juste communautaire c'est se fourrer le doigt dans l'oeil.
c'est l'échec du modèle gratuit auquel nous assistons. en avant première, comme souvent dans le libre. regarde canonical : ils ne se font toujours pas de sous. résultat ? ils ne codent pas assez, ne participent pas assez, se font parfois mal voir des autres communautés, et se prennent les pieds dans le tapis comme tout les autres lors des mises à jour, par manque de moyens, de tests. Et sans mise à jour quasi-parfaite, pas de desktop linux Enfin ils n'arrivent pas a retenir leur dev. un exemple en vogue ? Matthew Garrett était chez canonical avant de passer chez redhat. lui aussi.
Le problème est qu'ils ont canibaliser les autres tentatives de distributions grand public ayant un modèle pas 100% gratuit. Maintenant c'est trop tard. Le seul salut serait avec des accords oem, pour se faire du bénéf' avec le desktop linux Autrement dit, une impasse.
[^] # Re: Upload
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal La rue Valois (la Culture) ouvre un wiki pour remplacer l'Académie Française. Évalué à 5.
envoyer
j'vois pas pourquoi on irait chercher des nouveaux noms alors que les déf' de ceux existants sont suffisamment larges pour être applicables.
j'envoi une pierre
j'envoi un lettre
j'envoi un fichier
les cadres d'utilisation suffisent à percevoir les différences de définitions.
non ?
[^] # Re: bookmark pour bookmark
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal [journal bookmark] Et hop, c'est fait. Évalué à 5.
Non, pas forcément. Il s'agit d'un cadre d'application.
"Le meilleur moyen de voir un trou dans une boite est d'être dans la boite", dans l'esprit. La théorie de la relativité restreinte est un cadre. De ce cadre les postulats sont exacts. Jusqu'au jour de la "faille"/découverte, menant à la construction permettant de définir un cadre plus large. Par exemple la relativité générale. Qui ne contredit pas directement la première, qui s'applique à un autre cadre.
Utiliser une mesure, un postulat, un cadre, et avec lui trouver sa propre faille, ne semble pas aberrant en soi. Non ?
Peut être qu'un jour un physicien, ou une équipe, construiront une relativité globale s'appliquant à la fois au quantique et au classique, ré-unifiant les deux.
Au delà de l'humour, de la poésie, et de l'intérêt "projectif" faisant basculer vers la science-fiction (ou plus précisément, voir à posteriori, l'anticipation), il y a un intérêt certain à ce type d'annonce "à l'américaine" :
-> Intéresser le public (à autre chose, de plus important, que le dernier iphone), et vulgariser pour nous (du moins, pour moi) l'accès à des résultats d'expériences dont il serait erroné de croire qu'elles n'intéressent qu'un petit microcosme (mos). La flambée de l'information prouve le contraire, en tout cas : il y a une demande du public pour suivre ces gens là.
[^] # Re: Fascinant !
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal [journal bookmark] Et hop, c'est fait. Évalué à 4.
Gruik
?
[^] # Re: Mesures ? ...
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal [journal bookmark] Et hop, c'est fait. Évalué à 4.
ouhai ouhai, ils doivent être en train de vérifier que le radar était correctement positionné, bon angle, toussa :p
# avril, cern, contexte
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal [journal bookmark] Et hop, c'est fait. Évalué à 3.
Pour replacer dans le contexte, lire ce journal documenté de patrick_g :
Rumeurs de Higgs daté de Avril 2011. Bien que pas directement en rapport avec le sujet ici (ça cause de l'évènement de higgs, ha non pardon, on dit boson) ça permet d'avoir des informations plus intéressantes que la plupart des sites, au sujet plus global du CERN.
[^] # Re:
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal de l'utilisation Desktop de Linux . Évalué à 2.
Oui pour moi aussi
Mais en écoutant les gens, j'ai mis de l'eau dans mon vin.
D'où le "rolling release".
mais effectivement, un peu de /opt et de biblio en deus ne sera pas un mal, parès tout, pourquoi ne suivrions nous pas la confiance accordée aux projets de la même manière que la confiance accordée aux distribs ? Cela mulitplie potentiellement les problèmes, oui (j'écoute) mais bon, à un moment ou à un autre, il faudra revenir sur ce paradigme central, mais bloquant. Ou alors une rolling ...
[^] # Re: Je ne comprends pas bien
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Windows 8 aime l'opensource !. Évalué à 7.
j'ai déformé le contexte : à ce moment là je n'étais pas en train de re-démarrer l'ordi, j'avais simplet ouvert un terminal sur un mac. C'est tout.
Maintenant, même avec un contexte déformé, j'ai du mal à comprendre le "tu m'étonnes qu'il t'ai dit de dégager", dans ce contexte déformé là (...) les ordis en expositions sont là pour être essayés.
Si le vendeur n'est pas content avec ça qu'il aille cracher sur sa direction, pas sur ses clients.
[^] # Re: article explicatif
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Et vous, vos collectivités territoriales ont-elles des emprunts toxiques ?. Évalué à 2.
s/démissionné/abdiqué
[^] # Re: article explicatif
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Et vous, vos collectivités territoriales ont-elles des emprunts toxiques ?. Évalué à 4.
énorme plus un.
oui, justement, la démo on l'a dans un pays pas loin.
où le politique a failli totalement démissionné, et il se rends compte maintenant que la solution n'est pas là.
pourtant, la différence majeure est que dans ce pays une bonne partie de la dette a été crée par le manque de nationalisme de la plupart des entrepreneurs (et de la religion et de l'armée, chose soulevée ici, et visiblement intéressantes) : soit le je_m_en_foutisme, et la fraude fiscale massive à tout les niveaux. Ce qui donne, pourtant, un excellent argument en faveur d'un remboursement pur et simple de la dette. Mais même dans ce cas précis, le politique se rend bien compte du "trop gros, passera pas". Ils cherchent ensemble d'autres solutions. Ce qu'il se passe en Grêce en particulièrement pertinent pour nous, car ils partent de plus loin, et avec un handicap, mais pourtant le politique a compris l'enjeu...
[^] # Re: usuriers?
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Et vous, vos collectivités territoriales ont-elles des emprunts toxiques ?. Évalué à 2.
Hum, c'est une obligation de notre système politique. Dès lors que la politique est devenue un métier, fait par des professionnels (et non un engagement citoyen, avec le parachute), il s'est mis en place de type de mécanismes. C'est pas évident lorsque tu as occupé un poste de rang assez important et assez en vue, reconnaissable, de pouvoir se recaser tout seul dans le privé par la suite. Ou alors, au prix de ne pas être recasable dans le privé, mais uniquement dans le public. Nous retomberions alors sur un problème plus grave (d'après moi) : n'avoir que des politiques issus du public, alors qu'avoir des politiques issus du secteur privé et/ou du secteur associatif est uen vraie force (il me semble).
Bref c'est pas évident. Le recasage amical est vraiment un dégat co-latéral assez inévitable dans notre système.
Je préfère nettement ta proposition au dessus : les rendre pénalement responsable de la bonne gestion, tout comme ils peuvent être pénalement responsable en cas d'accidents. Ceci dit, cela pose le problème du jugement de ce qui doit être une bonne gestion. Comme le système judiciaire est encore assez largement inféodé au système politique, il faudrait d'abord avancer sur ce sujet là : une vraie indépendance de la justice, avant de pouvoir avancer sur l'autre.
bisou-nours
[^] # Re: article explicatif
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Et vous, vos collectivités territoriales ont-elles des emprunts toxiques ?. Évalué à 3.
(phrase passée à la trappe)
Il existe forcément des mécanismes pour éviter d'en arriver là (soit avant des problèmes sociaux majeurs). Personne ne peut accepter une faillite, aucune des parties. Maintenant écoutons voir les politiques, surtout chez nous à un moment si charnière, nous l'expliquer...
[^] # Re: article explicatif
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Et vous, vos collectivités territoriales ont-elles des emprunts toxiques ?. Évalué à 2.
Ne soyons pas si défaitistes ;-) Les banques sont dans une situation assez similaires, et elles elles ne peuvent compter que sur nous, comme assurance finale. Crois tu vraiment qu'elles vont mettre le couteau sous la gorge de leur assurance finale ? Non non non. Même des pays en développement se sont révoltés. Chez nous, on appliquera la maxime bien connue :
"trop gros, passera pas"
[^] # Re: article explicatif
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Et vous, vos collectivités territoriales ont-elles des emprunts toxiques ?. Évalué à 1.
Nous sommes parfaitement d'accord, et tu dis "n'importe quoi".
Il y a quelque chose qui m'échappe dans ta démarche, mais c'est pas grave.
Pour "sans l'Etat il n y' a plus rien" je présume que tu aussi parfaitement compris le sous-entendu (sans impots, pas de possiblités d'emprunts, sans possibilités d'emprunts, etc etc) Mais c'est pas grave non plus. Juste je te renvoit pas la balle de la même manière, au lieu de "n'importe quoi" je dis "nous sommes bien d'accord" (rien n'empêche de renégocier)
[^] # Re: article explicatif
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Et vous, vos collectivités territoriales ont-elles des emprunts toxiques ?. Évalué à 6.
Il y aura également la question du "comment" pour la résolution du problème.
Sans l'états, il n'y a plus rien. Etat = impôts. La crise a fait admettre cela même aux plus libéraux parmi les libéraux. Sans régions il n'y a presque plus d'état, la décentralisation est passé par là. Le rapport de force entre emprunteurs et créanciers est clairement posé.
Alors, au delà de "qui a accepter de signer ces saloperies, dans quel contexte et pourquoi" se pose la question "maintenant, comment sortir de cette merde". Et là, on va vraiment voir les politiques à l'oeuvre. Ceux qui vont accepter sans broncher le calendrier de remboursement imposé, au détriment d'une part majoritaire d'un budget, donc au détriment du développement commun. Et ceux qui vont négocier d'une main de fer. Rien, absolument rien, nulle part, aucun texte légal ou de droit économique (ou alors qu'on me le montre) interdit la ré-négociation.
Donc, la question à poser à nos femmes et hommes politique est la suivante : quel plan de renégociation avez vous ? quelle sera la part maximale, du budget global, de remboursement que vous accorderez ?
Et là, ça être popcorn, ils risquent d'être nombreux à se défiler sur la question. Pourtant c'est leur boulot.
[^] # Re: article explicatif
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Et vous, vos collectivités territoriales ont-elles des emprunts toxiques ?. Évalué à 6.
Clairement : non, non plus !
Par contre devant la difficulté de l'investissement en politique, et devant le choix possible dans les équipes se présentant, cela peut être très délicat de se dire "je vais les sanctionner par les urnes", car cela se fera au risque d'avoir une équipe encore pire ensuite. Bref, tout comme les situations des emprunts semblent être diverses, les solutions sont tout aussi diverses. Il ne semble pas pouvoir y avoir une réponse unique de type "sanctions par les urnes".
La réponse unique pourrait être l'OpenData dès lors que cela se fait en amont, et non pas après. Mais à voir des situations locales bien concrètes, j'ai des doutes sur la réelle faisabilité. Un exemple "en bas de chez moi" : ils construisent un tramway. Ok. Tout a été annoncé largement en avance. Il y a eu des réunions publiques. Il y a eu des affichages publiques, tout les 50m dans mon quartier, afin de montrer le tracé, d'informer sur les travaux et leur durée. Bref, le politique est aller bien plus loin que son obligation légale en terme d'information au public, et il a chercher très en amont à ce que les habitants remontent des informations avant les travaux, avant même la validation du calendrier. Résultat ? Une association alacon de défense des commerçant rale maintenant et bloque l'avancée des travaux. Des commerçants du genre ultralibéraux. Que personne n'a jamais vu aux réunions préalables aux travaux. Bon voilà, c'est pas que je sois pessimiste, mais s'intéresser à la vie de la cité comme le fait www.regardscitoyens.org est extrêmement rare et précieux. Beaucoup de gens ne font que raler au pied du mur.
[^] # Re: article explicatif
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Et vous, vos collectivités territoriales ont-elles des emprunts toxiques ?. Évalué à 2.
La remarque n'est pas globale.
C'est au cas par cas. Zenitram aussi résume bien le problème, "une ville qui croule sous les dettes, et emprunte encore?", c'est une ville, au cas par cas. Chaque situation semble être différente.
[^] # Re: usuriers?
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Et vous, vos collectivités territoriales ont-elles des emprunts toxiques ?. Évalué à 9.
Oui, malheureusement oui.
Mais d'une part c'est facile de râler, difficile de s'engager. Combien de communes vont chercher les futurs conseillers ? Combien de communes n'arrivent pas à avoir un engagement suffisant ? Un engagement, même pour une petite commune, c'est un investissement très conséquent, que très peu de gens sont prêts à réaliser. Parceque cela veut dire de montrer au grand jour sa préférence politique, et rien que ça, beaucoup chie dans leur froc. Et d'autre part la quantité de travail, et de compétences nécessaires, est ahurissante.
Aussi, que cela à droite ou à gauche, normalement le politique est là pour garantir une bonne marché de la nation (ou de la région / communauté de communes / communes). À droite ou à gauche c'est normalement la condition basique, les différences (politique) se jouant ailleurs. Or force est de constater qu'une bonne partie de la classe politique aujourd'hui ne travaille plus pour la nation. Un exemple est la destruction des pouvoirs d'intervention de l'Etat, avec parfois un joli papier cadeau autour.
Je sais que cela fait "enfonceur de portes ouvertes" de dire cela, mais on a trop tendance à l'oublier un peu vite afin d'avoir un bouc émissaire facilement désignable, et contre lequel on ne craint rien. Par exemple va dire "sarkozy est un gros con", on a le droit et Sarkozy n'a jamais empeché la liberté de parole. Mais va dire "le patron de ma boite est un gros con (il vient de refiler le pouvoir à un groupe d'actionnaire majoritairement composé de représentant de fonds), tu risques gros, très gros. Comme il est plus facile de taper sur le politique, les gens ne se genent pas, mais pour taper sur ceux qui aujourd'hui ont vraiment le pouvoir, il n'y a plus grand monde.
Taper sur le politique, oui, mais si c'est pour à la place mettre encore pire... Exemple de la Seine Saint Denis : sous entendu "les électeurs devraient virer l'équipe en palce", mais pour mettre qui ? une équipe qui va ratiboiser totalement les actions sportives, sociales et culturelles ? Qui va confier la gestion de l'eau au privé ? Superheu ...
# article explicatif
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Et vous, vos collectivités territoriales ont-elles des emprunts toxiques ?. Évalué à 6.
Super article explicatif résumant la situation sur le fonctionnement général de ce type d'emprunt. On pourrais regretter cependant qu'il n'y ai aucun approfondissement quand à la teneur des négociations lors des signatures de ces emprunts. Là, on pourrait se laisser aller à penser "bouh les vilains politiques qui ont signés n'importe quoi", alors que dans certains cas aucun autre choix ne leur étaient proposés alors que leur région/ville/communauté de communes avait besoin d'un emprunt. Mais faire cela c'est mission impossible pour un journal. Ça incombera à chacun de demander des comptes sur la situation exacte au moment de la signature : y avait il vraiment nécessité ? si oui, quelle marge de manoeuvre avaient ils avec d'autres propositions existantes ? La Seine Saint Denis est reprise plusieurs fois en "exemple" or il me semble qu'ils n'ont eu aucun autre choix de que de prendre cette construction là. Bref, piégé par les banques.
On pourra aussi applaudir la décentralisation réalisée sous la forme d'un désengagement global de l'Etat central : ratio totalement déséquilibré entre transfert des charges et transfert de recettes. Les régions assument plus de rôles, financiers, sans avoir récupérer l'équivalent en rentrées fiscales.
Bref, on sait grosso modo qui remercier.
Bientôt dans tout les sens du terme...
[^] # Re: Je ne comprends pas bien
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Windows 8 aime l'opensource !. Évalué à 4.
une réponse :
Dans un Boulanger : non, les vendeurs s'occupant de ces rayons et voisins ne m'ont jamais rien dit. mais ils me connaissent un peu : ce sont toujours les mêmes vendeurs depuis des années.
Dans un Saturn : me suis fait aggressé par un vendeur de type armoire à glace : tu installes des virus pornographiques, fout le camp ! j'ai foutu le camp et n'ai jamais rien racheté chez eux.
Gageons que le rachat de Saturn par Boulanger fasse monter le niveau des vendeurs de Saturn à celui de Boulanger :p
Depuis j'utilise HDT sur une clef usb : ça va bien plus vite à booter et on a les informations qu'on souhaite avoir en moins de 20 secondes.
[^] # Re: LSB..
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal de l'utilisation Desktop de Linux . Évalué à 2.
ils peuvent tout casser.
tant qu'ils ne changent pas les paradigmes des utilisateurs. C'est à dire : le changement invisible. Le changement que l'on laisse découvrir "ha tiens une nouvelle option". Bref laisser les fonctions et les icones à leur place.
"C'est en changeant d'objet qu'on accepte de changer d'habitudes."
tiens là j'en ai une avec kde4, en version stable :
ils ont décidés de virer les bureaux virtuels pour les rempalcer par le concept "d'activités" : énorme bullshit. Du coup paf ça commence à rempalcer les bureaux virtuels. Et ça apporte quoi ? Rien, absolument rien, que dalle en vrai IRL, que du "concept". Kde me permet déjà de configurer chaque bureau comme je veux, kde me permet déjà de lancer telle appli sur tel bureau, kde me permet déjà de définir des noms au bureau. Bref, encore un truc "on se demande à quoi ça sert de changer"
[^] # Re: LSB..
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal de l'utilisation Desktop de Linux . Évalué à 1.
+1
on revient là sur le "bureau linux" chez le particulier.
la totalité des pc linux que j'avais installés chez des gens ont finis en /dev/null après des années d'utilisation sans problème majeur, et avec la satisfation de tout les utilisateurs.
les seuls pc linux qu'il me reste, ce sont les pc de mes parents. avec tout le côté affectif qui rends la chose moins objectives.
Et eux aussi ont énormément souffert de ça : un kde 3 qui fonctionnait, auquel ils s'étaient habitués, avec kmail et tout. Tout a roulé pendant longtemps, il ne s'agit d'une expérience de quelques semaines d'un gros kéké qui te sort "c'est une distrib très pro" en 3 tours de mains.
Et paf kde 4.
Plus de support kde 3 dans la distrib. Obligé de passer à kde 4.
ça merdait de partout, les applets plantait, la barre plantait, le bureau plantait. Et impossible de faire fonctionne correctement kmail. Quant à konqueror, on oublie il était devenu trop lent.
Résultat ?
kmail remplacé par gmail
konqueror remplacé par google-chrome
kde remplacé par gnome. grosses ralantes, ce n'est plus pareil.
résultat concret ? une défiance vis à vis de l'ordinateur. Non ce n'est pas tout le monde qui peut ou veut ré-apprendre des choses basiques comme "où se trouvent truc dans le menu" ou encore "pourquoi le copier coller fonctionne pas, là"
C'est la rançon de l'obligation de porosité entre versions stables et de dev, nécessaire pour faire venir des gens au dev, mais un grand mal pour les utiisateurs.
[^] # Re: Je pense que j'ai mal expliqué le coté moins bon sous Linux
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal de l'utilisation Desktop de Linux . Évalué à 3.
le potentiel est là.
il manque une équipe d'intégration (vous embauchez ? lol)
le mois dernier j'ai eu à faire avec une boite avec 100% de postes avec linux.
mon contact avait un laptop de dotation elle. j'ai vu son bureau et fear
mon dieu que c'est moche : un vieux gnome par défaut, les couleurs affreuses et sombres, les polices trop grosses par rappor à l'écran 14'. Et ça affiche les miniatures des documents posés sur le bureau, résultat des miniatures de pdf, illisibles, qui prennent chacune 10% de l'espace bureau.
Cette charmante personne ne disait écoeurée par son laptop. Et chez elle, elle est bien contente d'avoir un joli windows.
[^] # Re: C'est mathématique
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal de l'utilisation Desktop de Linux . Évalué à 2.
pas assez, visiblement :-(
[^] # Re: Mobiles et serveurs
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal de l'utilisation Desktop de Linux . Évalué à 2.
clique sur le lien youtube, c'est ce qu'ils ont fait :
tu "boites" le téléphone sur le couple clavier-écran, et l'ordi c'est le téléphone. Son écran s'éteint et il sert en mode tactile comme le touchpad de "l'ordi"
tu "boites" de la même manière le même téléphone au dos d'une "tablette". Et hop.
ils se sont même amusés à faire un joystick : tu "boites" le téléphone dedans.
[^] # Re: Mobiles et serveurs
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal de l'utilisation Desktop de Linux . Évalué à 2.
c'est un troll et dont feed the troll, mais...
redhat ne vend pas du vent, il vend de l'expertise et du code.
derrière le code il y a le codeur.
penser qu'un système peut s'imposer pour le grand public en étant juste communautaire c'est se fourrer le doigt dans l'oeil.
c'est l'échec du modèle gratuit auquel nous assistons. en avant première, comme souvent dans le libre. regarde canonical : ils ne se font toujours pas de sous. résultat ? ils ne codent pas assez, ne participent pas assez, se font parfois mal voir des autres communautés, et se prennent les pieds dans le tapis comme tout les autres lors des mises à jour, par manque de moyens, de tests. Et sans mise à jour quasi-parfaite, pas de desktop linux Enfin ils n'arrivent pas a retenir leur dev. un exemple en vogue ? Matthew Garrett était chez canonical avant de passer chez redhat. lui aussi.
Le problème est qu'ils ont canibaliser les autres tentatives de distributions grand public ayant un modèle pas 100% gratuit. Maintenant c'est trop tard. Le seul salut serait avec des accords oem, pour se faire du bénéf' avec le desktop linux Autrement dit, une impasse.