Code34 a écrit 1035 commentaires

  • # Re: Aide sur des termes pour le brevet logiciel.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Aide sur des termes pour le brevet logiciel.. Évalué à 2.

    Si j'ai bien compris

    Mmm la contribution technique se différencie de l'état de la technique comme ça:

    1 - tu as une technique antérieur déjà existante, (etat de la technique)
    2 -tu te poses un probleme,
    3 - tu crées une invention qui le resoud. (Contribution technique)

    C'est ce cheminement qui permet d'évaluer si à partir de cette technique anterieur, et du probleme posé, il aurait été possible à une autre personne qui travaille dans le meme domaine technique que toi, de resoudre le probleme.

    Seulement avec ce système se pose un certains nombres de problemes. Imaginons ça

    1 - tu as une technique antérieur déjà existante
    2 - tu te poses un probleme,
    3 - l invention qui le resoud est déjà crée mais pour resoudre un autre probleme.

    La création n'est donc plus au niveau de la phase 3 (creation de l invention) mais au niveau de la phase 2: formulation du probleme.

    Si j'ai bien compris le texte européen va donc dans plusieurs sens:
    1 - il évalue la qualification technique de l'inventeur qui a découvert l'invention pour etre certains que le passage de l'étape 1 à l'étape 3, n'aurait pas pu etre trouvé par quelqu'un qui a les memes qualifications dans ce domaine technique

    2 - il évalue la contribution technique sur l'état de la technique ce qui veut dire que pour qu'il y est brevet il faut imperativement que l'invention (etape 3) n'existe pas encore.

    3- Une contribution (non technique) ne peut pas etre breveté si elle découle d'un art (non technique)

    Je fais un copié collé c est plus rapide ;)

    Conformément à la jurisprudence de l'OEB, une contribution technique peut résulter :
    * du problème sous-jacent et être résolu par l'invention revendiquée;
    * des moyens, c'est-à-dire des caractéristiques techniques constituant la solution au problème sous-jacent;
    * des effets obtenus dans la résolution du problème sous-jacent;
    * de la nécessité de prendre en considération des aspects techniques pour aboutir à l'invention mise en oeuvre par ordinateur telle que revendiquée.

    http://europa.eu.int/smartapi/cgi/sga_doc?smartapi!celexplus!prod!C(...)
    http://droit-internet-2001.univ-paris1.fr/pdf/vf/Bensoussan_A.pdf(...)
  • [^] # Re: Il est impossible de s'asseoir

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche P2P : Quelle utilisation pour quels usages ?. Évalué à 1.

    Le processus de création est différent pour chaque être, il n'y a pas de recettes ou de méthodes miracle.

    Un enfant avant de savoir lire, et ecrire peut barbouiller, dessiner sur une feuille de papier. C'est une langue charnel innée qui lui permet de representer, d'apprehender, de dialoguer avec le monde qui l'entoure sans se heurter à la barrière du langage naturel acquis.

    Le rapport de l'artiste avec son oeuvre est proche de nos rapports amoureux. La femme et l'homme savent comment proceder, mais ils excellent lorsqu'ils ont l'impression de vivre la meme sensibilité.

    L'artiste travaille sur ce penchant excitatoire de symbiose. Il a plus de dispositions et donc de libertés à s'exprimer à travers son oeuvre, qu'a travers les autres languages.

    Il recherche à travers la technique à projeter sa sensilibité dans son oeuvre. L'oeuvre qui réflechira à son tour à ceux qui la contemple l'image de leur propres sensibilité.

    L'art libre désigne pour moi cette forme d'art, des artistes qui ont été contraint de se libérer des langages communs pour s'épanouir dans leur art, et dans leur vie en communiquant à d'autres personnes, des sentiments (parfois inexpliqué, sans nom) qui les transportaient.
  • [^] # Re: Il est impossible de s'asseoir

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche P2P : Quelle utilisation pour quels usages ?. Évalué à 4.

    Je ne suis pas certains d'avoir bien saisi la question.

    Je pense que les artistes ne sont pas des intellectuels. Ce qui n'est pas formel car il y a eu des artistes intellectuels.

    Les intellectuels raisonnent, tandis que les artistes ont une sensibilité exarcerbée et se font écho, amplificateur de la sensibilité, et de l'état mentale d'une société. Ils révèlent aux monde avec talent, comment ils perçoivent le monde.

    A partir du moment, ou on canalise, conditionne l'énergie créatrice des artistes, on modèle par la meme occasion, la propre perception de ce que la société à l'impression d'éprouver.

    L'art ce sont des representations de sensations à travers des mots, des dessins, des musiques. Les intellectuels travaillent sur le sens des mots, les artistes sur les sensations qui les habillent.

    L'artiste compose, recompose avec des ingrédients différents ce qui existe depuis toujours: l'amour, l'amitié, la compassion, la peur, la haine etc ...

    L'artiste enrichit le vécu affectif/sensible des gens, modifient leur perception du monde, en étant toujours esclave de sa propre perception, sensibilité.

    L'intellectuel lui opère un travail de fond, une reflexion sur sa pensée et ses emotions.

    La citation de Goebels est tendancieuse mais découle logiquement des idées exposées dans Mein Kampf sur la propagande nazis.

    Les gens ont besoin d'idées simples, de sentiments simples, auquel ils peuvent adherer facilement, qui se substituent à leur reflexion sur eux meme.

    Dans ce cadre, l'artiste devient un instrument de guerre qui comble ce manque éprouvé, non avoué, non désiré.

    C'est en partie pour cela que les intellectuels durant la seconde guerre mondiale, se sont rapprochés des artistes pour leur souffler des idées évocatrices de haine, de joie, de peur, de revoltes, et impregner les gens d'idées qui n'auraient pas été digestibles tel quelles.

    A travers l'art libre, l'artiste retranscrit des émotions et les condensent, en échapant à ce qui pourrait influer sur sa pensée et donc tronquer sa sensibilité, ce qui provoque l'interrogation, la curiosité, la (in)compréhension le rejet de ceux qui le visitent.

    L'homme face à l'art se regarde, s'écoute, et se découvre.

    Pour moi, le patrimoine artistique est là. Une multitudes d'humeurs, de sensibilitées qui ont été retranscrite le plus fidèlement possible par des artistes à travers les époques, et qui continue de nous interroger.

    Après, il y a certes de nombreux sujets connexes et complexes, comme celui que tu as évoqué, l'art se sert-il du patrimoine dans le processus de création ?

    Je n'ai pas de réponses à apporter, je pense que le patrimoine a sans doute servi à des mouvements symboliques qui voulaient synthétisés des idées fortes, et orienter l'interpretation des personnes qui le découvrait.

    Et que la patrimoine a sans doute permis aux artistes d'en apprendre plus sur la technique, mais aussi de ressentir en eux des émotions qui les ont sans doute imprégnées, et inspirées pour d'autres oeuvres.
  • [^] # Re: P2P : Quelle utilisation pour quels usages ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche P2P : Quelle utilisation pour quels usages ?. Évalué à 2.

    ""Loin de moi cette idée. Mais sans faire l'apologie des maisons de disques il ne faut pas faire le contraire en croyant qu'elles ne servent qu'à prendre des sous. Leur boulot est réel.
    Je pense que beaucoup d'artiste les utilisent par choix. Tout le monde n'a pas envie de faire l'homme d'affaire, le chef du personnel, le commercial, le .... surtout dans le milieu artistique. ""

    Les artistes n'utilisent pas les maisons de disques par choix, ils sont obligés de passer par les maisons disques pour que leurs oeuvres soient distribuées, diffusées au grand publique.

    Ou du moins, on leur suggère ça. Comme tu le dis, maintenant etre artiste ça signifie qu'il faut avoir des commerciaux derrière soit, devenir un homme d'affaire etc ...

    Voila pourquoi je disais au dessus que les licences art libre, et que le format numérique sont de véritables révolutions, car elles libèrent les artistes d'organisations qui se sont imposées à eux, et qui les ont séparés du monde.

    ""Quelle est ta définition d'indépendante ? Sony est indépendant d'apres ma définition de dico, mais je suppose que tu voulais parler plutot de "petite maison de disque qui n'appartient pas à une grosse".
    C'est à dire la classique peur du gros, comme quoi un gros c'est forcément pire qu'un petit. ""

    Je ne vois pas en quoi une société qui a un objectif principal de profit peut etre indépendante dans son domaine, etant donné qu'a la base son objectif n'est pas de servir son domaine mais de faire du profit. Je n'exclue pas la rentabilité tant qu'elle reste au service de l'objectif principal qui est de produire un artiste.

    Si on prend par exemple sony (meme si ça n'a rien à voir avec l'industrie musicale), sony fait de la chaine hifi en série, et vend du bas de gamme . Sony est une marque surexposée qui brasse le grand publique, tout le monde a la projection d'une grande marque, mais c'est peu reconnu par les audiophiles.

    ""Comment ca se passe à ton avis ? c'est la grosse qui vient manger la petite peut etre ? ben non, c'est la petite qui se vend volontairement à la grosse. ""

    Les maisons de disque ne se vendent pas par consentement, elles sont récupérées suite à des pressions boursières et des faillites, qui sont elles meme occasionné par les grosses maisons de disque qui influent sur la sacem, sur les médias, sur les boites qui pressent les supports, sur les lieux d'expositions supermarché, fnac, salle de concerts.

    Tu va à la fnac, t'as 50 disques produits par des maisons de disques différentes noyés au milieu de 20 000 disques vendus par la meme maison de disque.

    Aucune maison de disque ne se cède dans la joix et la bonne humeur comme tu le laisses entendre. Il suffit de te réferer à l'élocution de noir désir quand Barkley a été racheté par Vivendi.

    ""Oui, et c'est tres bien. Mais contrairement à ce que tu penses ca ne fait qu'appuyer mes propos. Si ces filières existent ca renforce le fait que sauf exceptions (genre la star académy sous contrat avant meme d'apprendre à chanter) les artistes souscrivent volontairement aux maisons de disque, et parce qu'elles rendent un besoin/service utile/nécessaire avec un rapport prix/activité pas si mauvais par rapport à tes labels "indépendants". ""

    Oui c'est essentiellement ça la différence.

    Il y a comme tu dis des filières, qui ne sont rien d'autres que des gens affranchis d'un dogme qui leur a été imposé, et qui se consacrent à leur art, car l'appat du gain etait une conscession trop importante.

    Ces gens modestes vivent avec des salaires bas ou importants, et sont reconnus comme des artistes par des artistes dans leur domaine, car ils font de l'art.

    A coté il y a une industrie musicale qui fait du profit sur l'illusion de l'art reconnu. Demain, si tu te mets à coté d'une formule1 avec un casque, que et tu passes à la télé, pour peu que la voiture soit belle, tout le monde t'envieras, et te reconnaitra comme pilote.

    Tu me saisis ?

    Aujourd'hui cette industrie musical est devenue obèse, aseptisée, normalisée et fonctionne sur ces clichés. On fait tourner les jeunes clones polaroïds, et on recycle les anciens qu'on arrive pas évacuer car le publique y est trop attaché.

    Je ne le dis pas, ce sont les artistes eux meme, qui dénnoncent le monde clôturé, factice qu'on a construit médiatiquement en France autour d'eux.

    Le plus gros probleme de cette industrie, est donc de reussir à reimplanter fermement dans la (in)conscience global, l'envie de consommer à travers la suggestion de l'information qu'elle a commencé à perdre lors de la libération de la communication entre les individus sur internet.

    Et le probleme pour les artistes ou pseudo artistes maintenant, c'est de créer, quelque chose de vrai en somme...
  • [^] # Re: P2P : Quelle utilisation pour quels usages ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche P2P : Quelle utilisation pour quels usages ?. Évalué à 2.

    Bah justement les "whites labels" c'est diffusé de la mano à la mano. Le plus souvent le prix de vente est égale au coup de fabrication du support (vynil ou cd), plus une petite retribution.

    Après pour les droits d'auteurs, ça depend. Il y en a qui s'envoit à eux meme des lettres, d'autres qui lachent leurs morceaux dans la nature.

    C'est vrai , il y a des opportunistes connus qui s'approprient les morceaux whites label en se faisant passer pour les auteurs, et les vendent dans le commerce. Dans ces cas là, soit l'auteur peut prouver qu'il est bien l'auteur, soit il l'a dans le baba.

    Jouer en white label permet de se forger une réputation grace au bouche à oreille, genre je passe ma zik à quelqu'un, qui va la repasser à quelqu'un d'autre en donnant en meme temps le nom de l'artiste (notoriété, réputation).

    A la base le white label vient des sounds system. L'origine la plus lointaine est le dub dans les années 60, les artistes jouaient des disques appellés dub-plates, et toastaient dessus.Terme qui a été crée en référence au style de King Tubby, et de Duke Reid .

    Les dub plates sont de vulgaires disques de plastiques (acetate) qui ont été inventé pendant la seconde guerre mondiale par les us, pour remplacer les disques d'aluminium qui étaient recyclés pour l'effort de guerre.

    Les disques d'aluminium étaient gravés par une aiguille et avaient une durée de vie illimitée, contrairement aux disques d'acetate qui se détérioraient au fur et à mesure de la lecture, et du plastique qui se désechait.

    King Tubby ingénieur audio a été l'inventeur de ce qu'on appelle plus courrament le mix aujourd'hui. Il a été le premier a isoler les instruments, des voix, pour pouvoir travailler indépendamment sur deux pistes, et presser des disques d'acetate en créant un veritable style de musique.

    Il créait des effets: Ralentir le beat, mettre de l'echo, rajouter des sons, retirer - rajouter des voix, jouer sur l'équalisation etc ...

    Dans le dub, les dub plates sont considérés comme des marques de reconnaissances, de commémorations (on désigne encore de nos jours globalement les vynils comme des dub plate). Ils sont produit à la suite d'événements spéciaux comme des clashs entre sound système (mise à l'épreuve et approbation du sound système par le publique), et exhibés comme des trophées.

    Le Dub-plate a été par la suite adopté par le mouvement rap, interpellé par les techniques de mixage. Les dub plates étaient souvent constitués d'une face vocal + instrument, et d'une autre face uniquement instrumentale.

    Les dub plates s'érrodaient beaucoup plus vite sur les fréquences basses lors d'une partie de in-out , ils devenaient un outil incontournable pour faire du scratch.

    Le Dub plate, est la première mouture d'un vynil. Les zikos utilisaient ça, car ils pouvaient eux meme graver leur dub plate, et qu'a petit nombre c'était beaucoup moins honereux que de presser sur vynil.

    Il a été ensuite réapproprié par la mouvement techno libre dans les années 80, sous le nom de test pressing. Le test pressing c'est le premier pressage d'un disque vynil qui est fait a partir du lacquer (un disque en alu-plastique) qui sert encore(accesoirement) à faire le dub-plate. Il est effectué pour juger de la conformité du vynil.

    Il s'agit de vynils qui sont de qualité équivalente aux vynils finaux, si l'artiste ne demande pas de corrections.

    Le test pressing a été beaucoup utilisé par les indépendants surtout grace à la "contrebande". Les zikos pouvait faire presser leurs propres vynils en petits nombres à des prix très bas à l'étranger par rapport aux prix pratiqués en france, ou aux us.

    Puis ensuite réapproprié par des artistes et labels commerciaux qui trouvaient ça hipe de faire du white label à 2000 exemplaires, et qui plantaient quand meme leur label et leur nom sur les pochettes de test pressing...

    Les "white label" ce sont:

    - Soit dans leurs formes pures des disques ultra fragile(qui nécessite une platine spéciale) une face avec un ou deux morceaux dessus (pour 7 à 8 minutes de zik), tirés à des exemplaires très limités (5 disques aux max), que s'approprient les puristes, ou que les djs des sounds system conservent car ils connaissent la valeur de l'artiste, et la nature perrissable du disque.

    - Soit des tests pressing, dont les tirages sont limités car les artistes qui font du white n'ont aucun moyens. C'est des petites séries genre 10 - 100 vynils qui partent à des relations, des amis.

    Mais il faut bien comprendre que la zik electronique découle du mix et du sample, et que c'est grace à ça ces disques, et cette histoire du support et de la création que les artistes composent leur morceau.

    C'est pour ça que des nouvelles licences comme artlibre, et les technologies numériques sont de véritables aubaines pour les artistes indépendants.

    Les artistes peuvent lacher leur zik librement dans la nature et l'accompagner d'une licence qui protège leurs droits d'auteur tout en restant en harmonie avec le principe du white label.

    Mais bon quoi qu'il en soit, il faut toujours une preuve qu'on est bien l'auteur du morceau pour faire valoir ses droits (copyright->copyleft).

    Dans la musique électronique indépendante, la licence art libre commence à se rependre. Le plus gros probleme c'est que les artistes ne connaissent pas l'existence de cette licence, mais ça fait progressivement l'effet boule de neige.
  • [^] # Re: P2P : Quelle utilisation pour quels usages ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche P2P : Quelle utilisation pour quels usages ?. Évalué à 7.

    Je viens de me relire, désolé pour les fautes d'orthographes, j'étais un peu pressé lorsque j'ai écris le texte.

    Je ne veux pas faire l'apologie d'un mouvement radical hors système. Je voulais juste mettre en évidence que l'industrie musicale de part son mode de fonctionnement écarte systématiquement un grand nombre d'artistes.

    Cela signifie que des artistes ont été obligés pour garder leur indépendance de pratiquer dans l'illégalité leur art.

    Aujourd'hui, la technologie, et les différents systèmes de protection des oeuvres de l'esprit leur donnent enfin une possibilité d'exercer, et distribuer leur art sans rentrer dans ce cycle d'écraimage prolifique: "Je suis produis car je vais vendre 500 000 albums etc ..."

    Donc effectivement dire que la perte des pouvoirs des maisons de disque est négative pour les artistes est un non sens.
  • [^] # Re: P2P : Quelle utilisation pour quels usages ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche P2P : Quelle utilisation pour quels usages ?. Évalué à 8.

    Il faut arreter de délirer en faisant l'apologie des maisons de disque, et de dire que sans elle, les artistes n'arriveraient pas à s'en sortir.

    Les grandes maisons de disques sont de veritables pompes à frics, qui rémunèrent en dernier ressort les artistes. Le but de la maison de disque mère n'est pas de produire un artiste, mais de se développer en produisant au coup par coup un artiste qui marche, le trasher, et le remplacer par quelqu'un d'autre en prenant un minimun de risques.

    Si tu y regardes d'un peu plus près, tu verras que les "artistes" sont dans des maisons de disques indépendantes. D'ailleurs ces maisons de disques se font par la suite rebouffer par la maison de disque mère qui n'a fait qu'amasser de l'argent, non pas pour payer ces artistes mais pour avoir un contrôl total sur l'industrie musical.

    Il existe aussi depuis des années en france des mouvements parrallèle qui se développent, créent et distribuent de la musique sous ce qu'on appelle des "Whites label".

    Les whites labels se sont des disques vendus de la main à la main sans nom d'auteur. Seul la réputatuion de l'auteur suit le disque.

    Quand tu vas en boite, ou dans un concert electro, dans un truc pas trop nanard, tu écoutes essentiellement du white label.

    Pourquoi ?

    - Tout simplement parce que les artistes indépendants ne sont pas produit par des maisons de disques qui ont des exigences commerciales, qualitatives préformatés, des exigences politiques/idéologiques neutres/convenables, etc ...

    - Parce que les artistes indépendants avaient plusieurs choix avant la démocratisation du graveur, du web, des autres formats numériques, soient ils se faisaient raqueter d'importantes sommes par des maisons spécialisées qui gravent des cd à des prix colossaux, soient ils faisaient pressés des vynils dans les pays de l'est au black pour une misère ...

    - Parce que les artistes indépendants ne sont pas forcemment pour la tva pratiquée sur la distribution de leur disque, et ils préfèrent court circuiter le système en le vendant de la main à la main.

    - Parce que les droits d'auteurs sont beaucoup trop restrictif, et que les auteurs ont été obligés de distribuer leur musique sans nom, pour que d'autres puissent l'écouter ou la redistribuer...

    - Parce que les artistes indépendants ne veulent pas protéger leur droit d'auteurs, ou engraisser le système sacem. C'est d'ailleurs pour ça que la Licence art libre est une véritable révolution.

    etc ... Enfin il y a un nombre incalculables de raisons qui expliquent pourquoi l'artiste ne veut pas, ou plus passer par des grosses maisons de disque, ni par la sacem.
  • [^] # Re: MC Carthy accélère la procédure: Vote le 30 juin !!!

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mc Carthy accélère la procédure : vote le 30 juin 2003 !. Évalué à 5.

    Il n'y a pas d'infractions. Les brevets ne sont pas légalisés, ça ne veut pas dire que ceux qui en deposent ou enregistrent commettent des infractions, et qu'on a pas le droit d'en déposer.

    Les brevets informatique en Europe ont aucune valeur juridique, c'est bien ça le probleme des pro propriétaires. Ils ont commencés à déposer des brevets bien avant que le débat soit ouvert.

    C'est un peu comme une certification si vous voulez. Un organisme qui n'a aucune délégation enregistre le brevet et certifie que selon son domaine de compétence (expertise en brevet), que l'entreprise X est bien inventrice du logiciel etc ...

    En gros, on peut remettre plusieurs choses en cause:

    - la validité des 20 000 brevets qui ont été déposé en Europe car
    * ces brevets ont été enregistré par un organisme qui n'avait pas le pouvoir de le faire
    * l'enregistrement, et la validité de ces brevets, ne se conforme a aucune legislation et n'a pas été consenti par les pays membre de la ce,
    * pratique anti concurrentielles, des entreprises ont déposés des brevets bien avant que d'autres entreprises aient pris connaissance que c etait legal de le faire. Ce qui peut amener à ce poser des questions sur de potentiels dépot de brevets antérieurs.

    On peut transposer aussi,
    Si on parle d'une uniformisation des brevets americains, japonais, avec les européens:
    * pratique anti concurrentielle des entreprises étrangères qui ont vérrouillées le marché, alors que les entreprises européenes ne pouvaient pas enregister de brevets.

    etc ...

    Mais bon la chose très interressante aussi , c'est la phrase au dessus concernant les pro propriétaires:

    Ils veulent que les brevets soient légaux, et en même temps enregistré de façon sauvage sans limitation, ou legislation.

    Ils demandent que ce projet se calque sur un organisme qui a agit de façon indépendante (certification) jusqu'a maintenant.

    En fait , ils veulent juste que le brevet soit légiféré, reconnu , sans cadre défini, ce qui montre bien l'absurdité et l'extremisme de la démarche.

    La position du logiciel libre est d'apporter des élements contradictoires, de discuter du cadre défini de ces brevets et de leur enregistrement, voir meme de s'opposer à la legislation du brevet tant que le sujet restera vaporeux, et profitera à une minorité du monde informatique "les pro propriétaires".

    Alors en effet, c'est triste de lire que les élements contradictoires venant du logiciel libre ne doivent pas etre interprété comme recevable, car ils ne sont pas économiquement palpable.
  • [^] # Re: MC Carthy accélère la procédure: Vote le 30 juin !!!

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mc Carthy accélère la procédure : vote le 30 juin 2003 !. Évalué à 4.

    Oui, c'est une note qui préconise de ne pas prendre en compte les 150 000 avis émanant du logiciel libre, car les acteurs du logiciels libres jouent un role minime dans l'essort du développement économique de l'informatique à comparer des 12 entreprises indifférentes/non informées qui ont été sondées.

    J'apprecie beaucoup la tournure de phrase, "ils sont pour l'interdiction des brevets", alors qu'on est contre la legalisation des brevets.

    Ca montre qu'eux meme pensent que le brevet (veritable arme strategique de monopole) engendrent des préjudices graves dans la profession, et que des gens qui connaissent le sujet, sont succeptibles de se mobiliser pour leur interdiction.
  • # Re: MC Carthy accélère la procédure: Vote le 30 juin !!!

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mc Carthy accélère la procédure : vote le 30 juin 2003 !. Évalué à 6.

    Voila comment le dossier est présenté: " Les imprécisions sur les limites de la brevetabilité ont des effets très négatifs sur l'industrie. Toutefois, les avis diffèrent largement sur la question des mesures à prendre: certains souhaitent voir imposer des limites strictes aux brevets liés aux logiciels (ou même une interdiction totale), d'autres sont partisans d'une harmonisation à un niveau plus ou moins proche du statu quo défini par la pratique actuelle et la jurisprudence de l'OEB. Les réponses individuelles émanaient principalement des partisans des logiciels libres dont les points de vue allaient de l'interdiction totale des brevets de logiciel à la position "officielle" de l'Alliance Eurolinux opposée au dépôt de brevet sur les logiciels destinés aux ordinateurs standards. En revanche, les propositions qui reprenaient d'une manière générale l'approche adoptée par le document de consultation émanaient le plus souvent d'organisations régionales ou sectorielles représentant de nombreuses entreprises de toutes tailles, telles que l'Union des confédérations de l'industrie et des employeurs d'Europe (UNICE), l'Association des industries européennes des technologies de l'information et des communications (EICTA) et la European IT Services Association. Des réponses ont également été reçues de diverses grandes organisations, d'autres associations industrielles et des professionnels de la propriété intellectuelle. Ainsi, même si les réponses dans cette catégorie ont été beaucoup moins nombreuses que celles en faveur de l'approche "libre", il semble évident que le poids économique mesuré par le nombre d'emplois concernés et l'importance des investissements nécessaires, fait pencher la balance en faveur de l'harmonisation au sens du document de consultation." Vous imaginez la suite ...
  • [^] # Re: L'histoire des sites (suite)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal L'histoire des sites (suite). Évalué à 2.

    Ouai ;( J'ai déjà fait le deuil mais j'ai réussi à recuperer des fichiers mpg, flash alors pourquoi pas ???
  • [^] # Re: Jeux sous Linux...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Jeux sous Linux.... Évalué à 1.

    Bof, Frozzen bubble s'implante dans la lignée des jeux d'arcades, controle simple, intelligible dès les premières secondes, grand publique.

    Il y a des centaines de personnes qui y jouent, et si effectivement Frozzen est un jeu qui represente le style de jeu qu'on peut trouver sous linux, je ne vois pas en quoi ça peut derranger.

    Le jeu est une industrie.

    C'est d'ailleurs pour ça que des jeux styles Frozzen bubble, progressent sous linux, contrairement à d'autres qui n'aboutissent jamais.

    La qualité d'un jeux est en partie proportionnelle à la gestion des moyens investis.

    Les développeurs de frozzen se sont fixés sur un principe simple, efficace, et mènent tranquillement leur projet à terme.

    On ne peut pas comparer free civ à Call to power ... Call to power, il y a eu une centaine de développeurs, des millions investies sur un développement de deux ans.

    Tout ça pour dire qu'il n'y a pas de honte à presenter des jeux efficaces qui travaillent sur le fond, sur des concepts de jeux, plutot que des jeux édulcorés qui travaillent sur la forme.

    Le jeux sous linux est divisé donc en plusieurs parties:
    - Il y a les développeurs indépendant qui créent leur jeux avec leurs moyens (il y a du bon comme du mauvais),
    - et les boites de jeux qui essaient d'implanter leur bizness en portant leurs jeux (il y a du bon comme du mauvais, et surtout bien moins de créativité qu'il y a 15 ans).

    Dans le milieu le probleme est reconnu. L'industrie du jeu vidéo méprise l'aspect créatif, et l'affuble de "french touch". Contrairement à ce que pense le grand publique, le terme french touch est très péjoratif aux Us.

    Ca veut dire en quelque sorte un jeu trop spécial, ou trop original pour etre accepté, et acheté par le grand publique (tout ce qui sort de l'arcade, et du déjà vu)

    La french touch fait donc peur , l'industrie du jeux vidéos préfère travailler sur des concepts déjà sur exploité comme les fps, ou les jeux de roles à la final fantasy.

    Perso, les jeux ou j'ai plus pris mon pied sont des jeux pc isolés (et non console), genre pirates, civ, elite, ufo, alone in the dar etc qui sortaient des chemins battus, et qui ont été à l'origine des clonages ... Pour ainsi dire les graphismes passaient en second plan, tant l'ambiance, le scénario, le concept était prenant.

    Par contre, quand je voulais de l'action, je faisais un petit street fighter sur ma console 16 bits et zou ...

    Tout ça pour dire que effectivement , il y a des jeux en décalage par rapport à ce qu'on peut trouver sous windows.

    Mais développer le meme marché bloqué sous linux que sous windows, en développant le meme besoin (gamer stéréotypé -> je veux de l'action que ça explose), c'est peut etre asphixié l'opportunité de voir de nouvelles formes de jeux vidéos apparaitre.
  • [^] # Re: Jeux sous Linux...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Jeux sous Linux.... Évalué à 2.

    T'abuses Ploom sur frozzen bubble. Tu devrais laisser le soin aux joueurs de ce style de jeu de débattre si c'est oui ou non un grand jeu dans sa categorie.

    Je crois que frozzen bubble est un jeu abouti, qui mérite d'être dans la section grand jeu. Si on entend par grand jeu, jeu abouti qui procure de l'amusement, près à l'emploi.

    Bien que je trouve que séparer les jeux par section grand jeu , petit jeu n'apporte vraimment rien, et que les critères de sélection soient plutot obscures, subjectifs.

    Personnellement, je m'amuse plus à jouer à frozzen, gnuchess qu'a ut2003. Est ce que ut2003 est pour autant un petit jeu? Ce sont des jeux simples , mais efficaces.

    Pour la vocation commerciale, ça sort du cadre , un jeu n'est pas dit de qualité simplement par le fait qu'il est commercial, ou vendu à des milliers d'exemplaires, visuellement spectaculaire.

    Ping pong, space invader, Pacman, Puzzle bobble, Chuchu rocket, donkey kong, Tetris l'ont déjà démontré.

    Il suffit de regarder des jeux comme m.tr.x, t.xi, sous license vendu comme des petits pains et qui sont de veritables d....

    Nb. C'est pas moi qui m'amuse à changer frozzen de section, mais je comprends la motivation des gens qui le font.
  • [^] # Re: OOo 1.02

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal OOo 1.02. Évalué à 1.

    Mouai, j'avais un pc qui freezait uniquement lorsque je compilais Kde.

    J'ai diminué de 4 dans le bios le fsb (40 mhz), et hop plus de freeze. Comme quoi dès fois, ça peut tenir à pas grand chose.
  • # Re: OOo 1.02

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal OOo 1.02. Évalué à 1.

    Quand l'ordi freeze, ça peut venir du matériel, et ça n'a aucun rapport avec le système ;)
  • [^] # Re: Licences de musique libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Licences de musique libre. Évalué à 7.

    Effectivement, c'est super contraignant. Encore pour un programme c'est compréhensible, car la base du programme c'est le source, donc c'est facile à publier sans efforts supplémentaires.

    Hors pour un morceau de musique, le processus de création est inverse, il y a peu de zikos qui commencent par écrire des partitions. Généralement , ils prennent leurs instruments ou fredonnent quelques notes, et c'est le savoir faire, et l'instrument qui permet de modeler le son, ou de construire le morceau au fur et à mesure au feeling.

    Donc si on procedait avec la musique comme avec les programmes (qui n'ont rien d'artistique), il faudrait produire un veritable travail supplémentaire à l'envers, sampler indépendamment tout les sons, faire la convertion en tablature, partition, expliquer le savoir faire -> comment j'ai réussi à produire telle note, avec telle tessiture et dynamique etc ...

    C'est une vrai galère, mais bon ça se fait déjà chez les professionnels. Mais est ce que pour un artiste qui écrit un morceau de musique tout les 6 mois , c'est utile ?

    Je veux dire cet artiste qui a publié son morceau sous licence libre, il a pas forcement envie de se prendre la tete à fournir ce travail. Lui ce qui l'interresse c'est de jouer sa musique et pas de plancher sur le truc rebarbatif.
  • # Re: Yopy 3700 : Vous prendrez bien un peu de Linux dans votre PDA ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Yopy 3700 : Vous prendrez bien un peu de Linux dans votre PDA ?. Évalué à 1.

    Quand est il pour les tablettes pc ?

    Le pda c'est bien mais c'est quand meme hyper limité à côté de ces nouveaux petits pc portables qui proposent beaucoup plus d'options, notamment la reconnaissance vocale, reconnaissance d'écriture avec stylet, carte wifi intégrée etc ...

    J'ai dernièrement utilisé un tablette pc compaq avec un processeur transmeta (et windows xp pro version tablette), est ce possible d'utiliser linux dessus ?
  • # Re: A la recherche d'un site web...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal A la recherche d'un site web.... Évalué à 1.

    pour le cinéma:

    http://www.allocine.fr/(...)
  • # Re: Selon Gartner, les systèmes de détection d'intrusion (IDS) seraient inutiles

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Selon le Gartner Group, les systèmes de détection d'intrusion (IDS) seraient inutiles. Évalué à 10.

    Pas trop compris le sens de l'article, je me sers d'un IDS (snort) à ma mesure comme un système de log assez élaboré, et à coté j'utilise netfilter.

    Snort ne me sert pas à stopper les attaques, mais à comprendre comment elles ont pu passer à travers netfilter.

    Ce sont deux outils complémentaires, que dire de plus ?
  • [^] # Re: Les pénibles du net

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les pénibles du net. Évalué à 3.

    Je l'ai mis provisoirement en mirroring sur mon serveur web:

    http://monsiteweb.ath.cx/~cache/(...)
  • [^] # Re: Armée et liberté

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Inquiètude sur l'indépendance informatique du pays. Évalué à 1.

    "Personnellement, j'ai plutôt tendance à démolir Virilio parce qu'il raconte n'importe quoi."

    Je trouve ça parfaitement compréhensible son texte sur le progrès a grand spectable.

    Il ne parle pas de progrès en tant qu'illusion. Il dit que le progrès projette l'homme dans des illusions, et que ça l'empeche de relativiser par rapport à son échelle d'homme, ça transforme ces rapports avec les autres.

    Pour lui, l'homme ne change pas. C'est d'ailleurs pour ça qu'il parle de nain affligés de gigantisme. Il y a le progrès et l'homme. L'homme reste homme, tandis que le progrès est sa propre fuite en avant, qui lui permet de modeler sa perception des choses, et de se masquer sa nature finie.

    En quelque sorte, l'homme n'est pas émoustillé par ce qu'il est mais par la representation de son devenir.

    Enfin , il y a beaucoup de choses discutables/contestables, mais c'est quand meme bien planté.
  • [^] # Re: "Linux" cible de pub pour Microsoft

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche "Linux" cible de pub pour Microsoft. Évalué à 7.

    Multimania est bien placé pour ce genre de pubs agressives. Il y a un mois, ils inseraient carrement à la volée des boutons (genre les boutons posts), et des liens dans le code html des pages. C'était des liens vers des sites de rencontres ... La première fois que j'ai vu ça , j'ai cru que je m'étais fais défacé mon site. Imaginez si moi meme je crois à un piratage en regardant ma propre page, comment l'utilisateur qui vient sur mon site peut ne pas se faire duper ?
  • [^] # Re: ... et Free dégroupe à Lyon et Grenoble.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Accélération du rythme de déploiement de l'ADSL. Évalué à 1.

    Le S vhs c'est un format numérique, c'est les anciennes cassettes à bande utilisé dans les vieux camescopes. Effectivement la qualité est médiocre à coté de ce que tu peux maintenant avoir avec un camescope dv.

    La plus part des camescopes s vhs utilisaient des sorties composites rca, c'est en partie pour ça que le signal était détériorié.

    Le S-video c'est un signal fidèle qui peut etre utilisé avec toute forme de format, je crois d'ailleurs que la xbox est en s vidéo. Le y/c est un signal amélioré du s video.

    Pour le yuv, il s'agit de signaux utilisé generalement entre plusieurs appareils pour faire du traitement de l image, de l insert d'effets, ou autres...
  • [^] # Re: ... et Free dégroupe à Lyon et Grenoble.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Accélération du rythme de déploiement de l'ADSL. Évalué à 0.

    La routine en somme.
  • [^] # Re: ... et Free dégroupe à Lyon et Grenoble.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Accélération du rythme de déploiement de l'ADSL. Évalué à 1.

    Selon la doc de la freebox c'est du Y/C, c'est donc de la bonne qualité.