Arthur Accroc a écrit 2084 commentaires

  • [^] # Re: Chanceux!!

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le support de Redhat Enterprise Linux passe à 10 ans. Évalué à 3.

    Après en entreprise, tu choisis pas forcément. Les réponses courantes : RHEL 5 fonctionne bien, démerdez vous avec.

    Un crétin prend des décisions idiotes, et sûrement pas uniquement à ce niveau. Ce sont les dégâts de l’application du Principe de Dilbert

    Ca fonctionne bien certes sauf que tu travailles sur des outils avec des versions obseletes

    À mon avis, choisir RHEL 6 pour avoir neuf ans de stabilité quitte à utiliser des outils périmés d’un an ou un an et demi se défend. Choisir RHEL 5 pour perdre trois ans de support et avoir des outils trois ans plus vieux, c’est complètement idiot. Cela dit, si c’est pour intégrer dans un projet existant tournant sur RHEL 5, là il n’y a pas le choix.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Fils ?

    Posté par  . En réponse au journal Plus intéressant qu'Apple : Mozilla sort Collusion. Évalué à 2.

    Et pourquoi pas des fils de discussion, comme sur un client mail/news correct ou sur LinuxFr ?

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Multilib

    Posté par  . En réponse au journal Ubuntu et les kernel non-pae. Évalué à 6.

    Sinon, toutes les grandes distributions pas basées sur Debian ont proposé le multilib dès leur première version pour x86-64…

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  • [^] # Re: Chanceux!!

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le support de Redhat Enterprise Linux passe à 10 ans. Évalué à 7. Dernière modification le 01 mars 2012 à 18:28.

    Sauf quand tu as des nouveaux projets qui arrivent et qu'on t'oblige à utiliser RHEL 5 …

    Le principe, c’est quand même d’utiliser la version la plus récente au démarrage de ton projet, sinon tu as les inconvénients (logiciels obsolètes, déjà au départ dans ce cas) sans les avantages (stabilité et support à très long terme).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Papier

    Posté par  . En réponse au journal RIP Open Silicium. Évalué à 4.

    L'éditorial du rédac chef (qui s'étend sur 5 colonnes) mentionne quelques changements dans la formule : la couverture (amélioration bienvenue) et le papier.

    Et il est comment le nouveau papier ?

    J’en suis resté au précédent changement de papier : un super papier brillant, ils étaient super contents d’eux, ça faisait nettement plus classe que le papier précédent.
    Pour lire avant de m’endormir, je passais une partie de mon temps à ajuster l’orientation du magazine pour ne pas avoir le reflet de la lampe. Pénible, pire qu’avec un portable à écran brillant : il n’y a pas de rétro-éclairage !
    C’est une des raisons qui m’ont fait arrêter de l’acheter.

    Et rien n'y est dit pour justifier l'augmentation de prix !

    Peut-être est-ce pour compenser une perte de lecteurs...

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Effectivement

    Posté par  . En réponse au journal RIP Open Silicium. Évalué à 9.

    Par contre, chères éditions diamon, la prochaine fois, vous pourriez croiser vos données et vous rendre compte que quand quelqu'un est abonné à linux magazine, lui envoyer un linux magazine en remplacement d'open silicium, c'est inutile ?

    Effectivement. N’importe quel éditeur un minimum professionnel aurait prolongé ton abonnement. J’ai déjà vu le cas il y a bien 15 ou 20 ans, avec l’informatique de l’époque pour gérer les abonnements, et pas pour des journaux à plus gros tirage que Google/Linux Magazine.

    Si tu n’arrives pas à les ramener à la raison, tu devrais t’arranger avec le Belge qui a des problèmes pour s’abonner.

    Ils auraient peut-être mieux fait de chercher un service Google pour remplacer leur plate-forme d’abonnement plutôt que leur serveur mail...

    Cette année, les Éditions Diamond sont en passe de remplacer Voyages-SNCF.com sur LinuxFr.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Pas concerné

    Posté par  . En réponse au journal Nous, les enfants nés avec le réseau, par Piotr Czerski. Évalué à 2.

    Quand j’étais petit, le président de la république a lancé le plan « téléphone pour tous », parce qu’avant, il fallait attendre très longtemps pour l’obtenir (ça pouvait atteindre un an).

    Donc, « Nous, les enfants nés avec le réseau »...

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Startpage et Ixquick

    Posté par  . En réponse au journal Google m'a tuer !. Évalué à 5.

    Startpage est un proxy anonymisant pour Google, comme l’était Scroogle.
    Mais Ixquick, qui fournit ce service, propose aussi un méta-moteur sous son nom, avec les mêmes conditions (celles d’Ixquick, celles de Startpage ; on peut même remarquer les élisions qui restent dans la version française, par exemple sur « La position d’Startpage »).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Décorations gérées par l’application

    Posté par  . En réponse à la dépêche Pourquoi Wayland veut remplacer X. Évalué à 7.

    ça a des conséquences:comment iconifier la fenetre si le client ne répond pas?

    Comme on le sait, aucune application ne part jamais en sucette. D’ailleurs, sous Windows, qui laisse les applications gérer ça, il n’y a jamais de fenêtre bloquée au milieu de l’écran...

    C’est donc idiot, comme le disait Tanguy.

    Bon, je ne dis pas non d’avance à Wayland, mais pour ce qui est du compositeur par défaut, ce n’est même pas la peine. Peut-être avec un qui gère vraiment les fenêtres...

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # CD or not CD?

    Posté par  . En réponse au journal Pourquoi les magazines Linux et GNU/Linux pratiquent-ils la vente liée ?. Évalué à 5.

    Après, possible que la situation convienne parfaitement à la majorité des lecteurs, et qu'on ne soit qu'une minorité à ne pas vouloir le CD/DVD...

    Il y a encore un CD avec Linux Mag ? Je ne savais même pas.

    À une époque, l’abonnement avait été proposé moins cher sans CD.
    Et puis ils ont supprimé cette option... et je n’ai pas renouvelé mon abonnement.

    Au moins n’ai-je pas reçu dans ma boîte « DÉBARRASSEZ-VOUS DE VOTRE SERVEUR MAIL ! GRÂCE À Google » (majuscules d’origine)...
    J’attends maintenant « DÉBARRASSEZ-VOUS DE LINUX MAG ! GRÂCE À Google », qui expliquera que si vous remplacez votre informatique personnelle par une tablette Android et les services Google, vous n’avez plus besoin d’acheter de magazine technique.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Le non et la fin de l’Europe... ne sont pas liés !

    Posté par  . En réponse au journal ACTA ou comment se passer des parlements et de l’exécutif !. Évalué à 6.

    Justement, ce peuple ne veut pas assumer la conséquence du choix du non au TCE, et crie qu'il n'est pas content de son choix...

    Tu te trompes, je suis très content de mon choix.
    Même en l’état, il a évité d’ériger en constitution un traité en bonne partie économique, de diminuer le champ de compétence du parlement européen (c’était prévu dans le TCE ; la seule instance élue gêne), et il a dévoilé la mascarade de la démocratie dans l’Union Européenne et l’illusion de la représentativité. C’est déjà franchement positif pour un choix « irresponsable ».

    Sinon, j’attends toujours le cataclysme que les castes politiques et journalistiques nous avaient promis en cas de victoire du non... Alors ? Menteurs ! manipulateurs ! ordures !

    En réalité, pour ce qui est d’un cataclysme, je suis sûr que je verrai de mon vivant l’effondrement de l’Union Européenne, probablement dans des révolutions ou des nationalismes. Pas du tout à cause du non, mais à cause de sa nature-même de l’Union Européenne. La caste politique qui l’a construite en faisant passer l’économie et les intérêts de la minorité qui la dirigent avant les intérêts des peuples a oublié de la faire au moins viable. Le processus a déjà commencé. La révolte gronde en Grèce, le nationalisme monte dans les pays où des politiciens ou journalistes (surtout des politiciens d’extrême droite, mais les journalistes participent plus largement) peuvent désigner les autres peuples comme boucs émissaires.
    Je ne sais pas si on est loin ou pas du point de rupture, mais on s’y dirige inexorablement.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Démocratie... ou pas.

    Posté par  . En réponse au journal ACTA ou comment se passer des parlements et de l’exécutif !. Évalué à 6.

    Ça veut dire que le peuple doit assumer ses choix

    Ah ? Quand est-ce que le peuple pourra « assumer » le choix du non au TCE ?

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  • # Plus sûr

    Posté par  . En réponse à la dépêche État d'insécurité chez PHP. Évalué à -4. Dernière modification le 06 février 2012 à 08:15.

    Il y a pourtant très peu à changer à PHP pour avoir quelque chose de sûr, juste une lettre, et seulement pour celle qui la précède dans l’alphabet : PGP, c’est très sûr...

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  • [^] # C’est pourtant clair !

    Posté par  . En réponse au journal Les Nons-humains, tome 2. Évalué à 3. Dernière modification le 02 février 2012 à 08:29.

    Dingo, c’est son ami ; c’est Pluto son chien.
    (C’est dommage que l’orthographe clarifie, non ?)

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Tranquille

    Posté par  . En réponse à la dépêche Vulnérabilité dans sudo. Évalué à 6.

    Disponible depuis le 31/01/2012 sur Arch Linux.
    Merci la rolling release !

    La mienne n’a jamais eu cette vulnérabilité : j’aime pô sudo, j’l’ai pô installé.
    Merci les dépendances réduites.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Pourquoi ?

    Posté par  . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 8.

    Quel est l'intérêt du logiciel libre pour vous ?

    À la base, avoir la maîtrise de ses données et de ses traitements.

    À partir du moment où les deux sont externalisés (là, en ce qui concerne le mail), ce n’est pas la peine d’avoir des logiciels libres pour accéder au service, une borne web fait aussi bien l’affaire. Je rejoins Zenitram sur le fait qu’externaliser, c’est avoir encore moins de maîtrise qu’en utilisant du logiciel propriétaire.

    Je ne dis pas que je ne fais pas moi-même sur certains points le choix de la facilité plutôt que de la liberté, mais il ne me viendrait pas l’idée d’en faire un journal ici ou un article dans GLMF.

    Après, tant qu’à faire héberger mon mail (à part pour une boîte à spam), j’éviterais :
    – tout service situé sur un territoire où sévit Echelon (et c’est encore plus critique pour une entreprise travaillant à l’international, les américains étant coutumiers de l’espionnage commercial) ;
    – et encore plus particulièrement le géant de la concentration et de l’analyse de l’information sur ses utilisateurs.

    J’avoue que pour le mail, je me contente de mon FAI, principalement parce que ça m’ennuierait de faire tourner un serveur en permanence rien que pour ça (j’ai déjà mis en place et administré un serveur mail professionnellement, la difficulté technique n’est donc pas un obstacle ; par contre, je n’ai pas l’intérêt de l’acquisition d’une expérience supplémentaire). Je ne considère pas pour autant que c’est pleinement satisfaisant et je n’irai donc pas prodiguer de conseils sur comment jeter son mail autohébergé et se contenter de son FAI (même à des non-libristes en fait).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Novlangue

    Posté par  . En réponse au journal Vidéoprotection c'est efficace - témoignage.. Évalué à 10.

    C'était la minute "ils nous prennent vraiment pour des cons".

    Et ça commence dès le mot : « vidéoprotection », c’est de la novlangue ; ça travestit déjà la réalité.

    Et ce terme est bêtement repris par beaucoup de « journalistes »... Ça, c’est de la propagande qui marche. Si un dirigeant fait une phrase, il y a une chance que les journalistes réfléchissent avant de la reprendre. Si sa propagande tient dans le mot lui-même, il évite cet écueil.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # La diapo est morte, Kodak l’a tuer.

    Posté par  . En réponse au journal Industrie de la photographie en péril.. Évalué à 6.

    L'argentique n'est pas mort, il existe toujours un marché de niche : il concerne les gens qui préfèrent la qualité.

    Encore faut-il qu’elle soit assurée.

    J’ai longtemps fait de la diapo. La pleine définition de la pellicule projetée sur plus d’1 m de large, ni la photo papier ni le numérique n’arrivaient à rivaliser (et même de nos jours, la définition des vidéoprojecteurs est à la traîne).

    Et puis, il y a maintenant plusieurs années, Kodak et Fujifilm ont trouvé qu’il était hyper-urgent de fermer les labos de développement à cause du numérique et se sont entendus pour en garder un seul (Fujifilm en l’occurence) pour toute la France.

    Comme c’était insuffisant à l’époque, il était débordé et bâclait le travail.
    Il m’a donc renvoyé mes dernières diapos pleines de taches.
    J’ai réclamé auprès de mon photographe, mais il ne m’a rien proposé (ni gratuit, ni payant), alors qu’il aurait suffi de refaire le rinçage.

    Rappelons que l’intérêt de la diapo, c’était la qualité (parce que bon, d’un point de vue pratique...).
    Alors, j’ai arrêté la diapo et je me suis contenté pendant quelques années d’un compact numérique 2 M pixels : au moins, il n’y avait pas de jean-foutre pour me saloper le résultat après coup.

    Dans quelle mesure les sociétés qui ont enterré la diapo avant qu’elle ne soit morte peuvent-elles se plaindre légitiment de la mort de l’argentique ?
    Dans quelle mesure les photographes qui n’assuraient aucun service peuvent-ils se plaindre de la désaffection de leurs clients ?

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Accès

    Posté par  . En réponse à la dépêche Free lance son offre mobile : ce que ça change. Évalué à 4.

    j'ai du mal à comprendre comment je peux considérer que j’accède à ce "réseau de réseau" si je ne peux que consulter du contenu et ne pas en fournir

    En un sens, si : tu as accès à Internet... mais tu n’en fais pas partie.
    C’est comme un accès à Internet par modem RTC : à l’époque, le débit ridicule et le paiement au temps réduisaient énormément la possibilité d’utiliser ça pour faire tourner des serveurs.

    Ou c’est comme un accès à une bibliothèque : tu peux consulter les ouvrages, mais pas écrire un livre et le mettre dedans.

    Là ce qu’on te propose est justement plus un accès à Internet qu’Internet tout court (et encore que tu es moins bridé que dans mes deux exemples).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Pourtant

    Posté par  . En réponse au journal UEFI Secure Boot et les tablettes/téléphones Windows 8 - conclusion ?. Évalué à 4.

    Pourtant, avec ton avatar, on se serait plutôt attendu à ce que tu dises que « c’est pas faux ». :-)

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # « au niveau fichier » ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Mozilla Public License 2.0. Évalué à 4.

    « copyleft au niveau fichier »

    C’est-à-dire ?
    Quelle est la particularité par rapport à une licence « copyleft » tout court ?

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Testdisk !

    Posté par  . En réponse au journal Connaissez-vous Murphy ?. Évalué à 4.

    Si c’est possible et si c’est proposé au public, ce n’est sûrement pas dans les moyens d’un particulier.

    Déjà, quand on connait les tarifs d’Ontrack (la boîte de référence) pour la récupération normale... Il y a bien un technicien qui a monté sa petite boîte avec des tarifs abordables pour les particuliers, mais je ne le vois pas faire de la récupération 7 niveaux.

    Et puis il faut considérer qu’un fichier a pu être réécrit une ou plusieurs fois suivant les secteurs. Pour chercher une preuve, tu peux mettre un spécialiste à chercher un bout intéressant et à chercher après les autres morceaux du fichier dont il faisait partie, mais de là à restaurer toutes les données d’un disque d’1 To...

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Navigateur web ?

    Posté par  . En réponse au journal Premier contact avec l'Archos 35 DECT. Évalué à 2.

    Le raccordement Internet WiFi est facile, mais je n'ai jamais pu obtenir quoi que ce soit depuis une Fonera, codage WPA. En revanche, pas de problème Freebox WEP.

    Si ça ne supporte que le WEP, c’est quand même un problème.

    On peut jouer à Angry Birds, lire du PDF (Acrobat installé).

    Y a-t-il au moins un navigateur web ?
    Sinon, l’intérêt serait limité.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Testdisk !

    Posté par  . En réponse au journal Connaissez-vous Murphy ?. Évalué à 2.

    Le niveau d'après c'est la salle blanche.

    La salle blanche, ça n’a d’intérêt que si le disque a une panne matérielle : ils remontent les plateaux dans une mécanique qui fonctionne.
    Si le disque n’a pas de problème matériel autre que des plateaux usés, ddrescue récupérera le contenu autant que possible.

    Si les dégâts ont été faits de manière logicielle, tout le problème est d’arriver à restaurer une structure cohérente au système de fichiers ou à extraire les données...

    Ontrack a peut-être des logiciels qu’on n’a pas pour ce genre de trucs (et encore, si les données ont été bien massacrées, il ne feront probablement pas de miracle non plus ; et c’est en considérant qu’on n’utilise pas un système de fichiers trop exotique), mais pour un tel cas il passeront directement à cette étape sans passer par la case salle blanche, inutile (ça coûtera déjà très cher quand même, Ontrack n’est clairement pas une œuvre de charité !).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Points de suspension

    Posté par  . En réponse au journal wps cassé. Évalué à 2.

    J’ai dû mal à comprendre, je ne vois pas en quoi les points permettent de mieux maîtriser dans ce cas-là… (Ni en quoi on ne maîtrise pas si on n’imprime pas soi-même.)

    Parce que celui qui lit ta page web ou qui imprime ton document n’a pas forcément la même police que toi...

    Alors qu’avec des points normaux, si tu veux être vraiment sûr qu’ils soient espacés, tu intercales des espaces insécables fines. . . (enfin pour les utilisateurs d’IE 6 ou de smartphone, il paraît que ça fait autre chose).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone