Pour eux, il faudrait peut être une distribution sans gestionnaire de paquets, avec des logiciels qui s'installent indépendamment avec toutes leurs dépendances liés statiquement...
Il me semble qu’il y en avait une de ce genre-là (avec chaque logiciel installé dans son propre répertoire avec toutes ses dépendances), mais je ne me souviens plus de son nom.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Encore faudrait-il une distribution en rolling release adaptée à l’utilisateur lambda.
Une qui te dit « le démon cups s’appelle dorénavant cupsd, vous devriez modifier rc.conf », ça me va très bien, mais je ne suis pas sûr pour les Michu...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Tout ce que tu cites, c'est des features, jusqu'à ce que quelqu'un puisse prouver le contraire (genre : d'après les tests de Red Hat, 80% des utilisateurs débranchent leur PC parce qu'ils ne trouvent pas comment l'étendre).
Exemple bidon juste pour illustrer, non ?
Ça prête un peu à confusion, certains de ceux qui ont répondu semblent le prendre au sérieux, mais dans ce cas, il manque la référence...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Je pencherai plutôt pour ceux qui doivent maintenir Alt.
Sinon, avec un environnement correct, quand tu appuies sur l’interrupteur, il apparaît un menu qui te demande de confirmer si tu veux arrêter ton PC (ou éventuellement redémarrer, hiberner...).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Ah on y revient, la fameuse technique du "esperons que la concurrence fera moins bien, avec un peu de chance on recuperera qq utilisateurs".
Et tu suggères quoi ?
Rendre les distributions Linux compatibles avec tous les crapwares pour qu’elles conviennent à Jean-Kevin ?
Excuse-moi, mais si un jour elles en sont là, c’est peut-être moi qui irait voir ailleurs.
Alors après, une distribution plus léchée permettrait peut-être de récupérer les gens qui passent sur Mac. Mais je ne suis pas Marc Shuttleworth : je n’ai pas la même influence pour ça, ni le même intérêt à ce que les gens utilisent une distribution Linux.
Je dis seulement que ce n’est pas la peine de perdre son temps avec les gens qui veulent installer tous les crapwares qui passent. Si quelqu’un se complaît dans la merde, ça ne sert à rien d’essayer de l’en arracher.
Et pour les autres, même si je pense que Linux est le bon choix, je ne vais pas les forcer non plus.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Tu peux les utiliser de la même façon que ta liste d'onglet: avec les écrans larges il y a la place pour afficher les marques-pages sur le côté (CTRL-b). Y a plus qu'à cliquer sur la petite étoile pour les onglets que tu veux garder pour plus tard (je sais pas s'il y a un raccourci ?
Problème : les marque-pages ne gardent ni la position dans la page ni l’historique.
Donc, pas possible pour une doc en cours de lecture si elle est du style tout sur une page.
Et si tu viens de suivre une vague d’articles intéressants sans les approfondir, avec un onglet, tu pourras remonter l’historique plus tard ; mais pour passer en marque-pages, il te faut remonter l’historique et marquer chaque page intéressante.
L’idéal pour moi serait la fusion des marque-pages et des onglets, qui seraient juste des marque-pages non classés (enfin quand même avec une arborescence à la Tree Style Tabs), tous les marque-pages conservant la position et l’historique (le tout évidemment avec un chargement uniquement à la consultation, mais à partir de la version 8, Firefox le propose déjà directement dans les préférences pour les onglets).
Enfin ce serait moins joli que Panorama, alors...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
chaque logiciel doit se mettre à jour tout seul ce que peu font.
Ça fait encore beaucoup trop dans certains cas.
J’ai vu récemment un vieux portable sous XP avec 512 Mo (souvenons-nous : les premières machines sous XP ont été vendues avec ça) : inutilisable pendant un certain temps après l’ouverture de session. Il y a un certain nombre de logiciels (Adobe Reader, Java...) qui lancent chacun de son côté une vérification de la disponibilité d’une mise à jour sans demander son avis à l’utilisateur ; ça fait swapper la machine pendant un bon moment !
À côté, la consommation mémoire de yum, c’est le rêve : 200 Mo pour ça, c’est calamiteux, mais il ne s’en lance pas une demi-douzaine en même temps !
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Exit les distribs fourres-tout qui supportent autant GNOME que KDE ou Fluxbox tout en se disant orientée desktop.
Je pense au contraire que l’arrivée de Gnome 3 montre pourquoi il faut choisir une distribution suffisamment agnostique par rapport à l’environnement : d’un jour à l’autre un environnement peut devenir complètement n’importe quoi. Et là, si on utilise une distribution qui ne supporte qu’un seul environnement, ça veut dire qu’on est condamné à supporter le n’importe quoi ou à changer de distribution et devoir retrouver ses marques sur la nouvelle distribution.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Comme dirait l'autre, plus haut, le problème c'est éco-système. L'enfant qui a acheté un magazine contenant un CD avec un EXE, l'achat d'un périf qui ne fonctionnera qu'à 100% sur du win, le super logiciel/jeu qui tue qui vient juste de sortir, le bonus dispo sur un cd audio sous forme d'exe, le super site de VOD qui ne fonctionne qu'avec silverlight, etc ... etc ...
Les virus aussi sont majoritairement faits pour Windows. À partir de là, c’est un choix.
Il faut laisser mûrir les utilisateurs qui installent toutes les cochonneries qu’ils trouvent et les laisser pourrir leur Windows. Quand ils en auront marre de ces conneries et voudront se concentrer sur les activités qui leur servent vraiment avec un système en état de les faire marcher correctement, il sera temps de leur suggérer Linux.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Bonjour, en fait le fichier n'avait pas les droits en lecture.
Il lui faudra aussi les droits en exécution.
Étant en 64 bits sous archlinux, je vois peu de chance que ça marche.
Il faut commencer par ajouter le dépôt multilib pour pouvoir installer les bibliothèques 32 bits nécessaires (juste décommenter les deux lignes qui le concernent dans /etc/pacman.conf et refaire l’indexation (pacman -Syy)).
Je ne sais pas quelles librairies partagées il peut utiliser.
ldd est ton ami : ldd .juniper_networks/network_connect/ncsvc
Il te restera ensuite à trouver (pacman -Ss libmachin) et installer les paquets de multilib (donc notés multilib/nom_du_paquet dans le résultat de la recherche) les fournissant.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Pas wicd : j'en viens, de wicd, et j'essaie justement de le quitter suite à de trop nombreuses instabilités
Mon expérience avec NetworkManager est que la stabilité s’est plutôt dégradée avec le passage à la version 0.9 et encore plus avec la dernière révision (0.9.2) : j’en arrive à devoir relancer le démon pour récupérer le réseau, même avec du filaire !
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
il y a déjà un lien [^] vers le parent de chaque commentaire.
Merci, tu as raison.
J’avais toujours cru que ça ne remontait qu’au commentaire précédent, parce que quand j’avais essayé, le commentaire parent était juste le précédent...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Non, même si l’on est sensible à l’aspect sécuritaire, il y a plein de raisons de ne pas voter Sarko :
– pour commencer, le décalage entre l’obsession sécuritaire affichée et l’inefficacité de son action sur ce plan (faire quelque chose de réellement efficace sur le sujet difficile de la délinquance, ça demanderait beaucoup d’efforts et de moyens, tout ça pour scier la branche sur laquelle l’UMP est assise) ;
– le pouvoir surtout pour servir les potes, et plus généralement avantager les plus riches et écraser un peu plus les autres ;
– la désignation de boucs émissaires ;
– au delà de l’orientation politique, le grand n’importe quoi général de l’action du gouvernement (en même temps, le critère principal de la sélection de ses ministres semble être qu’ils soient plus cons que lui, pour ne pas qu’ils risquent de le contredire de manière pertinente) ;
– la forte prédominance de l’apparence sur la réalité...
C’est un fait connu, tout ceux qui respecte cette phrase : « la liberté des uns commence là où s’arrête celle des autres » sont des électeurs UMP !
Il y a respecter cette phrase et la surinterpréter...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Je ne vois pas pourquoi le lectorat dlfp qui a été dédaigner dès le départ devrait te donner son soutien pour un projet purement personnel.
Parce que je veux implémenter une fonctionnalité utile ?
Tu as voulu plus de liberté pour toi et tu as fait l’erreur (généreuse) d’investir du temps pour l’apporter au peuple.
Hors le peuple a plus peur de la liberté de son voisin qu’il ne tient à la sienne (pourquoi crois-tu que l’UMP gagne des élections ?), donc tout ce que tu récoltes, c’est une opposition virulente.
La bonne démarche pour résoudre ton problème, c’est de demander à devenir modérateur. La plèbe supporte de ses seigneurs beaucoup plus qu’elle ne supporte de son voisin.
Et comme dans la vraie vie, tant pis pour ceux qui ne sont pas dans ce cas. :-(
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
On me dit que toute édition casse la cohérence de la discussion. Mais même l'édition dans les 5 minutes et sans réponse casse cette cohérence !
Pourquoi tu leur as dit, malheureux ?
Je pense que c'est un cas relativement mineur (on pourrait envisager d'ailleurs de mettre en place un avertissement pour la personne écrivant sa réponse)
Ce serait pas mal. Ça pourrait même justifier de relever la limite de 5 mn, parce que ce qui est vraiment gênant, c’est de poster une réponse à un commentaire qui n’est plus celui que tu as lu (si c’était pour indiquer une faute d’orthographe qui n’existe plus, autant en faire carrément l’économie). Qu’un commentaire sans réponse soit modifié après 5 mn, 15 mn ou 1 h, ça ne casse pas la cohérence.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Le truc c'est que si on prend les commentaires de ce journal, les gens sont assez d'accord sur le fait de ne pas être pour permettre l'édition des commentaires au delà de ce qui est actuellement permis.
Pas tous (argument souvent utilisé dans l’autre sens).
Après, si on prend les commentaires de ce journal, ça montre que la majorité des gens déterminés est contre. Le nombre d’intervenants est trop faible pour être représentatif de l’ensemble du lectorat.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Et même dans un contexte d'édition, il faut bien à un instant T figer le texte pour publier.
Oui, mais un éditeur correct prend en compte les correctifs quand il réédite.
Et pour regarder plutôt du côté de l’édition électronique, pas mal de blogueurs ajoutent aussi des correctifs dans leurs articles quand des commentaires leur signalent des erreurs (et ils l’indiquent en bas de l’article).
Dans les deux cas, c’est une amélioration de la qualité.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
donc il fauudrait aussi donner au gens le droit de dépertinenter après coup ce qu'il avait pertinenter a priorie .
Même sans la possibilité de modifier les commentaires, pouvoir dépertinenter ou désinutiler serait une petite fonctionnalité intéressante :
– ça arrive de se tromper de bouton ;
– ça arrive de s’apercevoir en seconde lecture qu’un commentaire qu’on avait trouvé drôle craint un peu ou au contraire qu’en lisant vite on a raté un aspect intéressant sur un commentaire.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
En présence d'un historique, ça ne veut pas dire que je n'assume pas, la personne visée a tout à fait le droit de poster le lien vers l'ancienne révision de mon message pour montrer que, à chaud, je me suis comporté comme un rustre.
Ça devrait être systématique avec sur tout commentaire (sauf de premier niveau) un petit bouton vers le commentaire parent.
Et ce serait bien utile même sans la possibilité de modification, pour retrouver à quoi répond le « oui, moi aussi » ou le « n’importe quoi ! » sans avoir un mètre de commentaires à remonter.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Comment?! Tu m'insultes!
Voilà.
Bon courage pour rattraper le coup. Si tu penses qu'on va tous aller regarder l'historique de chaque commentaire pour être bien sûr qu'on comprend ce qui se passe, je crois que tu rêves un peu. Aujourd'hui, d'un clic, on sait que la dernière ligne citée n'y était pas!
Effectivement, il faudrait un système de citation facilité et blindé pour que ne puisse apparaître comme citation que des portions du message auquel on répond. Gros boulot en perspective (même si la première partie serait aussi utile sans la possibilité de modifier les commentaires).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
j'avais fait cela en y mettant les formes (ajout de édition : + commentaire précisant ce que j'avais fait et aussi réponse au commentaire indiquant que j'avais fait une modif' :D).
Je me rappelle de ton commentaire. Le « ne pas » manquant et le contresens qu’il provoquait sur une phrase le rendait moins facile à comprendre (jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’il devait manquer « ne pas »).
J’ai trouvé très bien que tu l’édites. Et j’aimerais justement pouvoir faire la même chose sur les miens.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: De drôles d' a priori...
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Le Libre peut-il rendre libre?. Évalué à 2.
Il me semble qu’il y en avait une de ce genre-là (avec chaque logiciel installé dans son propre répertoire avec toutes ses dépendances), mais je ne me souviens plus de son nom.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Rolling release
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Le Libre peut-il rendre libre?. Évalué à 2.
Encore faudrait-il une distribution en rolling release adaptée à l’utilisateur lambda.
Une qui te dit « le démon cups s’appelle dorénavant cupsd, vous devriez modifier rc.conf », ça me va très bien, mais je ne suis pas sûr pour les Michu...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Réel ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Petite réflexion sur le futur du desktop. Évalué à 3.
Exemple bidon juste pour illustrer, non ?
Ça prête un peu à confusion, certains de ceux qui ont répondu semblent le prendre au sérieux, mais dans ce cas, il manque la référence...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # 80 %
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Petite réflexion sur le futur du desktop. Évalué à 4.
Je pencherai plutôt pour ceux qui doivent maintenir Alt.
Sinon, avec un environnement correct, quand tu appuies sur l’interrupteur, il apparaît un menu qui te demande de confirmer si tu veux arrêter ton PC (ou éventuellement redémarrer, hiberner...).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Machines à laver...
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Mutualiser ses abonnements en logement collectif. Évalué à 7.
Peut-être aussi parce qu’en « blindant » la machine, tu tassais trop le linge.
Pour une grande machine, il faut probablement plus de produit à la base.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Mûrissement...
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Linux est-il prêt pour le desktop?. Évalué à 2.
Et tu suggères quoi ?
Rendre les distributions Linux compatibles avec tous les crapwares pour qu’elles conviennent à Jean-Kevin ?
Excuse-moi, mais si un jour elles en sont là, c’est peut-être moi qui irait voir ailleurs.
Alors après, une distribution plus léchée permettrait peut-être de récupérer les gens qui passent sur Mac. Mais je ne suis pas Marc Shuttleworth : je n’ai pas la même influence pour ça, ni le même intérêt à ce que les gens utilisent une distribution Linux.
Je dis seulement que ce n’est pas la peine de perdre son temps avec les gens qui veulent installer tous les crapwares qui passent. Si quelqu’un se complaît dans la merde, ça ne sert à rien d’essayer de l’en arracher.
Et pour les autres, même si je pense que Linux est le bon choix, je ne vais pas les forcer non plus.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Marque-pages
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Plus besoin de quitter Firefox. Évalué à 3.
Problème : les marque-pages ne gardent ni la position dans la page ni l’historique.
Donc, pas possible pour une doc en cours de lecture si elle est du style tout sur une page.
Et si tu viens de suivre une vague d’articles intéressants sans les approfondir, avec un onglet, tu pourras remonter l’historique plus tard ; mais pour passer en marque-pages, il te faut remonter l’historique et marquer chaque page intéressante.
L’idéal pour moi serait la fusion des marque-pages et des onglets, qui seraient juste des marque-pages non classés (enfin quand même avec une arborescence à la Tree Style Tabs), tous les marque-pages conservant la position et l’historique (le tout évidemment avec un chargement uniquement à la consultation, mais à partir de la version 8, Firefox le propose déjà directement dans les préférences pour les onglets).
Enfin ce serait moins joli que Panorama, alors...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Mises à jour
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Le Libre peut-il rendre libre?. Évalué à 4.
Ça fait encore beaucoup trop dans certains cas.
J’ai vu récemment un vieux portable sous XP avec 512 Mo (souvenons-nous : les premières machines sous XP ont été vendues avec ça) : inutilisable pendant un certain temps après l’ouverture de session. Il y a un certain nombre de logiciels (Adobe Reader, Java...) qui lancent chacun de son côté une vérification de la disponibilité d’une mise à jour sans demander son avis à l’utilisateur ; ça fait swapper la machine pendant un bon moment !
À côté, la consommation mémoire de yum, c’est le rêve : 200 Mo pour ça, c’est calamiteux, mais il ne s’en lance pas une demi-douzaine en même temps !
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Au contraire
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Petite réflexion sur le futur du desktop. Évalué à 10.
Je pense au contraire que l’arrivée de Gnome 3 montre pourquoi il faut choisir une distribution suffisamment agnostique par rapport à l’environnement : d’un jour à l’autre un environnement peut devenir complètement n’importe quoi. Et là, si on utilise une distribution qui ne supporte qu’un seul environnement, ça veut dire qu’on est condamné à supporter le n’importe quoi ou à changer de distribution et devoir retrouver ses marques sur la nouvelle distribution.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Mûrissement...
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Linux est-il prêt pour le desktop?. Évalué à 1.
Les virus aussi sont majoritairement faits pour Windows. À partir de là, c’est un choix.
Il faut laisser mûrir les utilisateurs qui installent toutes les cochonneries qu’ils trouvent et les laisser pourrir leur Windows. Quand ils en auront marre de ces conneries et voudront se concentrer sur les activités qui leur servent vraiment avec un système en état de les faire marcher correctement, il sera temps de leur suggérer Linux.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# etc !
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message gestion du touchpad. Évalué à 2.
Si tu ne veux pas que ça risque de sauter à la mise à jour, mieux vaudrait mettre ta version modifiée dans /etc/X11/xorg.conf.d .
Sinon, ça n’est pas courant un article de forum qui donne une solution plutôt que de poser une question. Il est vrai que ça peut servir à d’autres.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: fichier 32 bits sur OS 64 bits.
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message juniper network connect - help me please. Évalué à 2.
Il lui faudra aussi les droits en exécution.
Il faut commencer par ajouter le dépôt multilib pour pouvoir installer les bibliothèques 32 bits nécessaires (juste décommenter les deux lignes qui le concernent dans /etc/pacman.conf et refaire l’indexation (pacman -Syy)).
ldd est ton ami : ldd .juniper_networks/network_connect/ncsvc
Il te restera ensuite à trouver (pacman -Ss libmachin) et installer les paquets de multilib (donc notés multilib/nom_du_paquet dans le résultat de la recherche) les fournissant.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Stabilité
Posté par Arthur Accroc . En réponse au message nm-applet like. Évalué à 1.
Mon expérience avec NetworkManager est que la stabilité s’est plutôt dégradée avec le passage à la version 0.9 et encore plus avec la dernière révision (0.9.2) : j’en arrive à devoir relancer le démon pour récupérer le réseau, même avec du filaire !
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Une petite fonctionnalité qui serait utile
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 1.
Merci, tu as raison.
J’avais toujours cru que ça ne remontait qu’au commentaire précédent, parce que quand j’avais essayé, le commentaire parent était juste le précédent...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Sympa
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Un modèle β pour le Raspberry Pi. Évalué à 3.
C’est ça ou un château médiéval.
Parce que sinon, les murs intérieurs en granit, ce n’est pas très courant...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Destructeurs
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Calendriers de l'avent Perl 5 et Perl 6. Évalué à 2.
Des destructeurs ?
Enfin ça, c’est pour quasiment tous les langages orientés objets par rapport à Ruby...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Peuple
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Non, même si l’on est sensible à l’aspect sécuritaire, il y a plein de raisons de ne pas voter Sarko :
– pour commencer, le décalage entre l’obsession sécuritaire affichée et l’inefficacité de son action sur ce plan (faire quelque chose de réellement efficace sur le sujet difficile de la délinquance, ça demanderait beaucoup d’efforts et de moyens, tout ça pour scier la branche sur laquelle l’UMP est assise) ;
– le pouvoir surtout pour servir les potes, et plus généralement avantager les plus riches et écraser un peu plus les autres ;
– la désignation de boucs émissaires ;
– au delà de l’orientation politique, le grand n’importe quoi général de l’action du gouvernement (en même temps, le critère principal de la sélection de ses ministres semble être qu’ils soient plus cons que lui, pour ne pas qu’ils risquent de le contredire de manière pertinente) ;
– la forte prédominance de l’apparence sur la réalité...
Il y a respecter cette phrase et la surinterpréter...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Peuple
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Tu as voulu plus de liberté pour toi et tu as fait l’erreur (généreuse) d’investir du temps pour l’apporter au peuple.
Hors le peuple a plus peur de la liberté de son voisin qu’il ne tient à la sienne (pourquoi crois-tu que l’UMP gagne des élections ?), donc tout ce que tu récoltes, c’est une opposition virulente.
La bonne démarche pour résoudre ton problème, c’est de demander à devenir modérateur. La plèbe supporte de ses seigneurs beaucoup plus qu’elle ne supporte de son voisin.
Et comme dans la vraie vie, tant pis pour ceux qui ne sont pas dans ce cas. :-(
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Cohérence
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Pourquoi tu leur as dit, malheureux ?
Ce serait pas mal. Ça pourrait même justifier de relever la limite de 5 mn, parce que ce qui est vraiment gênant, c’est de poster une réponse à un commentaire qui n’est plus celui que tu as lu (si c’était pour indiquer une faute d’orthographe qui n’existe plus, autant en faire carrément l’économie). Qu’un commentaire sans réponse soit modifié après 5 mn, 15 mn ou 1 h, ça ne casse pas la cohérence.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Des clous! et un Putsch
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Pas tous (argument souvent utilisé dans l’autre sens).
Après, si on prend les commentaires de ce journal, ça montre que la majorité des gens déterminés est contre. Le nombre d’intervenants est trop faible pour être représentatif de l’ensemble du lectorat.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Édition
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Oui, mais un éditeur correct prend en compte les correctifs quand il réédite.
Et pour regarder plutôt du côté de l’édition électronique, pas mal de blogueurs ajoutent aussi des correctifs dans leurs articles quand des commentaires leur signalent des erreurs (et ils l’indiquent en bas de l’article).
Dans les deux cas, c’est une amélioration de la qualité.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Une autre petite fonctionnalité qui serait intéressante
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Même sans la possibilité de modifier les commentaires, pouvoir dépertinenter ou désinutiler serait une petite fonctionnalité intéressante :
– ça arrive de se tromper de bouton ;
– ça arrive de s’apercevoir en seconde lecture qu’un commentaire qu’on avait trouvé drôle craint un peu ou au contraire qu’en lisant vite on a raté un aspect intéressant sur un commentaire.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Une petite fonctionnalité qui serait utile
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Ça devrait être systématique avec sur tout commentaire (sauf de premier niveau) un petit bouton vers le commentaire parent.
Et ce serait bien utile même sans la possibilité de modification, pour retrouver à quoi répond le « oui, moi aussi » ou le « n’importe quoi ! » sans avoir un mètre de commentaires à remonter.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: en effet
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 3.
Effectivement, il faudrait un système de citation facilité et blindé pour que ne puisse apparaître comme citation que des portions du message auquel on répond. Gros boulot en perspective (même si la première partie serait aussi utile sans la possibilité de modifier les commentaires).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: En fait, tout le monde veut éditer ses commentaires !
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 4.
Je me rappelle de ton commentaire. Le « ne pas » manquant et le contresens qu’il provoquait sur une phrase le rendait moins facile à comprendre (jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’il devait manquer « ne pas »).
J’ai trouvé très bien que tu l’édites. Et j’aimerais justement pouvoir faire la même chose sur les miens.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone