Je ne vois pas pourquoi le lectorat dlfp qui a été dédaigner dès le départ devrait te donner son soutien pour un projet purement personnel.
Parce que je veux implémenter une fonctionnalité utile ?
Tu as voulu plus de liberté pour toi et tu as fait l’erreur (généreuse) d’investir du temps pour l’apporter au peuple.
Hors le peuple a plus peur de la liberté de son voisin qu’il ne tient à la sienne (pourquoi crois-tu que l’UMP gagne des élections ?), donc tout ce que tu récoltes, c’est une opposition virulente.
La bonne démarche pour résoudre ton problème, c’est de demander à devenir modérateur. La plèbe supporte de ses seigneurs beaucoup plus qu’elle ne supporte de son voisin.
Et comme dans la vraie vie, tant pis pour ceux qui ne sont pas dans ce cas. :-(
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
On me dit que toute édition casse la cohérence de la discussion. Mais même l'édition dans les 5 minutes et sans réponse casse cette cohérence !
Pourquoi tu leur as dit, malheureux ?
Je pense que c'est un cas relativement mineur (on pourrait envisager d'ailleurs de mettre en place un avertissement pour la personne écrivant sa réponse)
Ce serait pas mal. Ça pourrait même justifier de relever la limite de 5 mn, parce que ce qui est vraiment gênant, c’est de poster une réponse à un commentaire qui n’est plus celui que tu as lu (si c’était pour indiquer une faute d’orthographe qui n’existe plus, autant en faire carrément l’économie). Qu’un commentaire sans réponse soit modifié après 5 mn, 15 mn ou 1 h, ça ne casse pas la cohérence.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Le truc c'est que si on prend les commentaires de ce journal, les gens sont assez d'accord sur le fait de ne pas être pour permettre l'édition des commentaires au delà de ce qui est actuellement permis.
Pas tous (argument souvent utilisé dans l’autre sens).
Après, si on prend les commentaires de ce journal, ça montre que la majorité des gens déterminés est contre. Le nombre d’intervenants est trop faible pour être représentatif de l’ensemble du lectorat.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Et même dans un contexte d'édition, il faut bien à un instant T figer le texte pour publier.
Oui, mais un éditeur correct prend en compte les correctifs quand il réédite.
Et pour regarder plutôt du côté de l’édition électronique, pas mal de blogueurs ajoutent aussi des correctifs dans leurs articles quand des commentaires leur signalent des erreurs (et ils l’indiquent en bas de l’article).
Dans les deux cas, c’est une amélioration de la qualité.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
donc il fauudrait aussi donner au gens le droit de dépertinenter après coup ce qu'il avait pertinenter a priorie .
Même sans la possibilité de modifier les commentaires, pouvoir dépertinenter ou désinutiler serait une petite fonctionnalité intéressante :
– ça arrive de se tromper de bouton ;
– ça arrive de s’apercevoir en seconde lecture qu’un commentaire qu’on avait trouvé drôle craint un peu ou au contraire qu’en lisant vite on a raté un aspect intéressant sur un commentaire.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
En présence d'un historique, ça ne veut pas dire que je n'assume pas, la personne visée a tout à fait le droit de poster le lien vers l'ancienne révision de mon message pour montrer que, à chaud, je me suis comporté comme un rustre.
Ça devrait être systématique avec sur tout commentaire (sauf de premier niveau) un petit bouton vers le commentaire parent.
Et ce serait bien utile même sans la possibilité de modification, pour retrouver à quoi répond le « oui, moi aussi » ou le « n’importe quoi ! » sans avoir un mètre de commentaires à remonter.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Comment?! Tu m'insultes!
Voilà.
Bon courage pour rattraper le coup. Si tu penses qu'on va tous aller regarder l'historique de chaque commentaire pour être bien sûr qu'on comprend ce qui se passe, je crois que tu rêves un peu. Aujourd'hui, d'un clic, on sait que la dernière ligne citée n'y était pas!
Effectivement, il faudrait un système de citation facilité et blindé pour que ne puisse apparaître comme citation que des portions du message auquel on répond. Gros boulot en perspective (même si la première partie serait aussi utile sans la possibilité de modifier les commentaires).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
j'avais fait cela en y mettant les formes (ajout de édition : + commentaire précisant ce que j'avais fait et aussi réponse au commentaire indiquant que j'avais fait une modif' :D).
Je me rappelle de ton commentaire. Le « ne pas » manquant et le contresens qu’il provoquait sur une phrase le rendait moins facile à comprendre (jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’il devait manquer « ne pas »).
J’ai trouvé très bien que tu l’édites. Et j’aimerais justement pouvoir faire la même chose sur les miens.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Par contre il y a un petit truc que je n'ai pas compris : concrètement, ça apporte quoi ? La correction des fautes d'orthographe ?
Il arrive aussi que quelqu’un fasse un contresens dans un commentaire assez complexe (genre en changeant un bout de phrase pour un qui a le sens contraire, oublier de mettre une tournure négative dans l’autre bout de la phrase).
Du coup, le commentaire est incohérent.
Et quand tu lis le suivant où il dit « oups, je voulais dire ça », tu t’es déjà cassé la tête à essayer de comprendre le premier.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Je suis pour la possibilité d’édition.
Je pourrai corriger les fautes faites en écrivant un commentaire alors que je suis « dans le gaz » (quand j’ai un gros coup de barre, au lieu de foirer quelque chose d’utile, je fais un tour sur LinuxFr ; et puis comme gasche, je n’aime pas laisser des fautes).
J’espère que d’autres en profiteront aussi, surtout quand l’orthographe d’un commentaire est pourrie au point de le rendre difficilement compréhensible.
"et s'il y a des abus ?"
Tant mieux si les gens ont peur du risque d’abus : ça leur apprendra à citer ce à quoi il répondent. Ça évitera d’avoir à remonter un mètre de commentaire pour savoir ce que concerne le « oui, je suis bien d’accord avec toi ».
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Il y a des cas beaucoup plus triviaux : un collègue te demande quelque chose, tu oublies de le faire parce que tu n’as pas de trace écrite, mais lui non plus n’a pas de trace comme quoi il te l’a demandé...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Et a vouloir grapiller 20 centimes sur le pack de 6 yaourt, ca va avoir des conséquences sur les producteurs de lait.
Les entreprises de l’agroalimentaire et la grande distribution étranglent déjà les producteurs. C’est juste que ce n’est pas au consommateur que ça profite.
La grande distribution, elle s'est pas réveillee un beau matin en se disant "tiens, je vais tuer tout le monde et forcer tout le monde a acheter mes produits", elle a commence petite et elle a grandi parce que les gens étaient contents du service.
Elle a commencé en proposant les produits nettement moins cher que dans le commerce traditionnel et c’est pour ça qu’elle s’est développée.
D’après un article (que je serais malheureusement incapable de retrouver), à l’époque où Leclerc a ouvert son premier magasin, le rapport moyen entre le prix payé au producteur et le prix payé par le consommateur était de 4 (je pense que ça concernait l’alimentaire), du fait des nombreux intermédiaires dans le commerce traditionnel.
Maintenant que la grande distribution s’est imposée et concentrée, le rapport est à nouveau de 4. La différence tombe seulement dans moins de poches...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Edit: je viens de voir qu'on peut modifier un commentaire
Pas moi. J’ai cliqué sur modifier pour essayer (j’aurais ajouté du gras) et j’ai eu droit aussitôt à la page « Accès interdit – Vous ne passerez pas. ».
Édit : ah si, sur celui-ci ça marche. Donc des fois c’est possible et des fois c’est pas possible (temps limite ? autre chose ?).
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Non, je ne le soupçonne pas d’être compétent (en tout cas pas en un mot), c’est juste que sa société a eu droit à un beau cadeau du gouvernement fait avec l’argent public (curieux, je croyais qu’il fallait faire des économies).
Voir cet article, plus particulièrement le paragraphe titré « Un marché cher payé » (il s’agit du marché du vote électronique pour les élections professionnelles de la fonction publique) :
Nos interrogations se sont prolongées avec l'examen du marché public décroché par Atos, d'un montant de 4,5 millions d'euros [...]. Cela reste cher payé pour une élection professionnelle, fut-elle au service d'un million d'électeurs, comme nous l'ont expliqué plusieurs prestataires spécialisés. « Ce n'est pas le nombre de votants qui fait le montant de la facture mais bien la qualité et la fiabilité de l'infrastructure de vote », précise Erwan Léauté, directeur commercial de RDI-Univote. Or, à un coût moyen de 5 euros par électeur, nous sommes ici bien au dessus des tarifs pratiqués en matière d'élection professionnelle par voie électronique.
Auparavant, les élections professionnelles étaient organisées en interne avec de bêtes bulletins papier. Ça coûtait nettement moins cher et ça posait moins de problèmes (voir le reste de l’article). Quant au temps de travail perdu pour les personnes chargées de l’organisation du scrutin, je le soupçonne d’être très en dessous de la somme de celui perdu par chaque fonctionnaire pour le jeu de piste de ce vote électronique.
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Je vois les banques comme les entreprises: donne-leur un bouton, et elles appuient dessus ; laisse-les jouer avec le levier et elles le poussent à fond.
Si on n'a pas de législation sur le travail, elles exploitent sans remord.
Si on n'a pas de législation sur l'économie, elles flinguent l'environnement.
Si on n'a pas ou peu de règles du jeu sur la finance, elle nous foutent le boxon qu'on a aujourd'hui.
Et le pire, c'est qu'elles sont dirigées par des êtres humains comme toi et moi. Faut croire qu'on n'est pas fait pour avoir trop de pouvoir sur les autres.
Oui, enfin dans un système de compétition favorisant les égoïstes, il n’est pas non plus très étonnant que ce soit des égoïstes qui obtiennent les postes clés : il s’opère une sélection par la compétition...
Après, la question est de savoir si on peut trouver un autre système ou s’il faut se contenter de réguler celui-ci, mais il ne faut pas être surpris de ce qu’on obtient si on le dérégule.
Problème: les élections approchent dangereusement, et je ne vois aucune figure capable de redresser le pays (c'est-à-dire avec une vision, du charisme, de la volonté, et un bon réseau relationnel) émerger.
Dans les présidentiables (c’est-à-dire les candidats potentiels des grands partis), j’aurais eu un tout petit espoir dans Aubry : pas plus à gauche qu’Hollande, peut-être pas plus inspirée, mais avec des couilles. Mais bon, un vote plus loin...
C’est marrant : les espagnols sortent de la gauche molle et se figurent que la droite arrangera les choses. Nous, nous sortons de la droite (avec une plus mauvaise situation que la Belgique qui n’avait pas de gouvernement !) et nous nous figurons que la gauche molle arrangera les choses.
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Le monde des années 70 n'est pas le même que le monde d'aujourd'hui...
Justement. C’est le moment de constater que la plupart des changements initiés par nos dirigeants ne sont que dans l’intérêt des grosses entreprises et de la minorité la plus riche et pas du reste de la population :
– le libre-échange et la libre circulation des capitaux pour contourner les règles sociales, environnementales et fiscales en passant par l’étranger (on a bien vu la concurrence libre, on attend toujours la concurrence non faussée (par une différence de règles sociales et autres)) ;
– la liberté des prix pour favoriser la concurrence là où ça arrange les puissants (entre les petits producteurs, les sous-traitants...) et pas là où ça arrangerait le consommateur (le petit nombre de grand groupes qui font le gros du secteur agro-alimentaire, le petit nombre de chaînes de la grande distribution, d’entreprise de téléphonie, etc. évite une réelle concurrence entre ces entreprises) ;
– la stabilité monétaire pour favoriser l’économie de rente ;
– le carcan de l’euro et des traités européens pour garantir la pérennité de cette situation...
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Je n’aimerai pas être un pauvre en U.K. en ce moment, avec leur politique monétaire qui bloque les salaire et monte les prix...
Le principe, pour les amis des riches qui gouvernent, c’est d’enrichir les riches et d’appauvrir les pauvres. Après, baisser les salaires avec des prix fixes ou fixer les salaires avec des prix qui montent, c’est plus de l’ordre du style...
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Le meilleur bien sûr : il n’appauvrit que les pauvres (bon, au sens large : je compte aussi les crétins qui pensent faire partie des riches parce qu’ils ont presque réussi à finir de payer leur propre logement).
c'est-à-dire le retour à l'équilibre budgétaire, qui ne supprimera pas immédiatement la récession
Non, ça va l’entretenir ; c’est du keynésianisme à l’envers : on appauvrit les pauvres, donc ils consomment moins, donc on doit produire moins, donc on licencie, donc il y a moins de consommateurs solvables, donc on doit produire moins...
Bien sûr, on sait que le keynésianisme ne fonctionne pas : ce sont nos dirigeants corrompus qui font tout pour le casser depuis des dizaines d’années qui le disent.
mais permet de sauver les meubles
Tu veux dire les riches.
Le scénario "planche à billets" avec une fuite en avant jusqu'au bout, entrainant la dévaluation de la monnaie et au final une situation extrèmement grave, avec notamment l'impossibilité d'importer les matières premières nécessaires à l'économie.
Quand j’étais adolescent, c’était déjà la Crise, avec à l’époque de l’inflation et même des dévaluations monétaires.
Eh bien à tout prendre, je préfère ce genre de crise !
Mais vous n’êtes pas obligés de me croire. Entre la droite corrompue et la gauche soumise (les deux tendances pour lesquelles votent les veaux), on a peu de chances que nos dirigeants nous évitent la déflation, vous pourrez tester en « live ».
Je vous souhaite bien du plaisir.
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Une analyse avec fdisk montre que les partitions ne sont plus cohérentes au niveau logique et physique. D'ailleurs les partitions sont alignées comme suit:
part1 1 à 887
part2 887 à 1018
C’est peut-être seulement que les partitions ne sont pas alignées sur les limites de « cylindres ». Pour peu qu’avec une version de fdisk elle soit vue par défaut avec son partitionnement natif et avec une autre en LBA. Ça pourrait aussi expliquer le nombre de « cylindres » différents (fdisk n’affiche probablement pas un cylindre incomplet).
En plus de remarquer qu'elles se chevauchent, la carte ne déclare plus que 1017 cylindres au lieu des 1018, 123 têtes au lieu de 128 et 62 secteurs au lieu de 63 (4GB).
Les clés USB ont quelquefois une géométrie curieuse. Es-tu sûr des valeurs précédentes ? Il faudrait comparer avec une autre clé du même modèle.
Sans ça, c’est difficile de savoir ce qui est normal et ce qui est lié au problème.
J'ai une carte SD (2 parts: FAT & EXT2) qui s'affiche soudainement sous Android comme "corrompue".
Ne serait-ce pas le partitionnement qui était un peu bizarre et que tu l’aurais montée sur un système qui l’aurait mal géré (les partitions FAT sont sensée être alignées sur les cylindres) ?
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Ma première clé USB, une 256 Mo USB 2 sans marque de l’époque où elles commençaient juste à être moins chères que deux clés de 128 Mo, est passée un beau jour de 256 Mo à 128 Mo.
Le nombre de cylindres reporté par fdisk avait diminué de moitié, les fichiers au delà des 128 premiers Mo étaient illisibles, mais pas de problème pour les autres et après repartitionnement et reformatage à 128 Mo, elle fonctionne sans problème.
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C'est rare de voir quelqu'un sous arch ne pas cracher sur systemd au profit de l'init classique à la BSD.
J’utilise SystemD sous Arch aussi (qu’est-ce qu’on gagne ? ;-) ), donc ce n’est peut-être pas si rare que ça (ce serait une idée de sondage... sauf que ce serait limité aux utilisateur d’Arch, ce qui n’est pas (encore ?) le cas de tous les visiteurs de LinuxFr).
Je l’ai même mis en mode natif (pas pour les services, qui le sont de toute façon, mais par rapport à la configuration, que d’origine il reprend dans le fichier rc.conf).
Par contre, je me suis gardé aussi la possibilité de démarrer en BSD (en cas de doute par rapport à un service qui poserait problème).
Comparé à la Fedora 15 de ma machine du boulot, qui démarre obligatoirement sous SystemD, mais avec la grosse majorité des services en mode compatible... dans un cas, je choisis ma chaise et dans l’autre j’ai le cul entre les deux chaises.
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Par contre, je n'ai pas vu de grande différence sur le temps de lancement...
Moi non plus, mais avant je lançais quasiment tous les services en tâche de fond au mépris des dépendances (enfin j’intercalais d’autres services entre deux services dépendants l’un de l’autre) pour accélérer le démarrage. Du coup avec systemd, c’est plus propre.
Par contre, le temps d’arrêt est nettement plus court.
Cela dit, j’ai l’impression que le processus de démarrage de systemd est assez générique par rapport aux distributions et je le soupçonne de prendre un peu de temps à régler des trucs pas forcément indispensables et dont Arch se dispensait, ou de séparer certains petits trucs en services pour faire propre conceptuellement, alors qu’avec le script d’init type BSD, ils étaient faits directement dans le script principal...
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Je peux bien comprendre que ce n'est pas d'une nécessité absolue, mais il faut arrêter de le descendre dès qu'on voit le nom de Lennart.
Là, tu inverses la cause et la conséquence.
Historiquement, certains utilisateurs n’aiment pas Lennart à cause de PulseAudio.
Et c’est à ses productions plus récentes (notamment SystemD) que ça cause du tort.
Moi-même, si je suis passé à SystemD, c’est parce que j’attendais une init de ce genre, mais le même auteur que PulseAudio était plutôt un élément dissuasif.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
ballot -> "c'est ballot" est d'usage trop courant comme expression
D’un autre côté, c’est la première traduction de « bundle » selon le dictionnaire en ligne que je viens de consulter et il n’est pas déjà utilisé pour désigner autre chose.
Il faut voir aussi que si tous les termes informatiques anglais sonnent informatique pour nous français, pour les anglais, ce sont des termes de la langue « normale » qui sont détournés.
Certains leur paraissent probablement curieux aussi dans le contexte la première fois qu’ils les utilisent, ou sont peut-être des mots inusités lorsqu’il s’est agi de trouver un terme différent pour une notion un peu différente.
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[^] # Peuple
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Tu as voulu plus de liberté pour toi et tu as fait l’erreur (généreuse) d’investir du temps pour l’apporter au peuple.
Hors le peuple a plus peur de la liberté de son voisin qu’il ne tient à la sienne (pourquoi crois-tu que l’UMP gagne des élections ?), donc tout ce que tu récoltes, c’est une opposition virulente.
La bonne démarche pour résoudre ton problème, c’est de demander à devenir modérateur. La plèbe supporte de ses seigneurs beaucoup plus qu’elle ne supporte de son voisin.
Et comme dans la vraie vie, tant pis pour ceux qui ne sont pas dans ce cas. :-(
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Cohérence
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Pourquoi tu leur as dit, malheureux ?
Ce serait pas mal. Ça pourrait même justifier de relever la limite de 5 mn, parce que ce qui est vraiment gênant, c’est de poster une réponse à un commentaire qui n’est plus celui que tu as lu (si c’était pour indiquer une faute d’orthographe qui n’existe plus, autant en faire carrément l’économie). Qu’un commentaire sans réponse soit modifié après 5 mn, 15 mn ou 1 h, ça ne casse pas la cohérence.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Des clous! et un Putsch
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Pas tous (argument souvent utilisé dans l’autre sens).
Après, si on prend les commentaires de ce journal, ça montre que la majorité des gens déterminés est contre. Le nombre d’intervenants est trop faible pour être représentatif de l’ensemble du lectorat.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Édition
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Oui, mais un éditeur correct prend en compte les correctifs quand il réédite.
Et pour regarder plutôt du côté de l’édition électronique, pas mal de blogueurs ajoutent aussi des correctifs dans leurs articles quand des commentaires leur signalent des erreurs (et ils l’indiquent en bas de l’article).
Dans les deux cas, c’est une amélioration de la qualité.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Une autre petite fonctionnalité qui serait intéressante
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Même sans la possibilité de modifier les commentaires, pouvoir dépertinenter ou désinutiler serait une petite fonctionnalité intéressante :
– ça arrive de se tromper de bouton ;
– ça arrive de s’apercevoir en seconde lecture qu’un commentaire qu’on avait trouvé drôle craint un peu ou au contraire qu’en lisant vite on a raté un aspect intéressant sur un commentaire.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Une petite fonctionnalité qui serait utile
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 2.
Ça devrait être systématique avec sur tout commentaire (sauf de premier niveau) un petit bouton vers le commentaire parent.
Et ce serait bien utile même sans la possibilité de modification, pour retrouver à quoi répond le « oui, moi aussi » ou le « n’importe quoi ! » sans avoir un mètre de commentaires à remonter.
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[^] # Re: en effet
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 3.
Effectivement, il faudrait un système de citation facilité et blindé pour que ne puisse apparaître comme citation que des portions du message auquel on répond. Gros boulot en perspective (même si la première partie serait aussi utile sans la possibilité de modifier les commentaires).
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[^] # Re: En fait, tout le monde veut éditer ses commentaires !
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 4.
Je me rappelle de ton commentaire. Le « ne pas » manquant et le contresens qu’il provoquait sur une phrase le rendait moins facile à comprendre (jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’il devait manquer « ne pas »).
J’ai trouvé très bien que tu l’édites. Et j’aimerais justement pouvoir faire la même chose sur les miens.
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[^] # Re: Ni pour ni contre, bien au contraire …
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 1.
Il arrive aussi que quelqu’un fasse un contresens dans un commentaire assez complexe (genre en changeant un bout de phrase pour un qui a le sens contraire, oublier de mettre une tournure négative dans l’autre bout de la phrase).
Du coup, le commentaire est incohérent.
Et quand tu lis le suivant où il dit « oups, je voulais dire ça », tu t’es déjà cassé la tête à essayer de comprendre le premier.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Citer
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'édition des commentaires sur LinuxFR, ou pas ?. Évalué à 6.
Je suis pour la possibilité d’édition.
Je pourrai corriger les fautes faites en écrivant un commentaire alors que je suis « dans le gaz » (quand j’ai un gros coup de barre, au lieu de foirer quelque chose d’utile, je fais un tour sur LinuxFr ; et puis comme gasche, je n’aime pas laisser des fautes).
J’espère que d’autres en profiteront aussi, surtout quand l’orthographe d’un commentaire est pourrie au point de le rendre difficilement compréhensible.
Tant mieux si les gens ont peur du risque d’abus : ça leur apprendra à citer ce à quoi il répondent. Ça évitera d’avoir à remonter un mètre de commentaire pour savoir ce que concerne le « oui, je suis bien d’accord avec toi ».
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Logs
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Athos interdit les mails en interne. Évalué à 6.
Il y a des cas beaucoup plus triviaux : un collègue te demande quelque chose, tu oublies de le faire parce que tu n’as pas de trace écrite, mais lui non plus n’a pas de trace comme quoi il te l’a demandé...
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[^] # Grande distribution
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'Europe est en récession.. Évalué à 2. Dernière modification le 01 décembre 2011 à 09:37.
Les entreprises de l’agroalimentaire et la grande distribution étranglent déjà les producteurs. C’est juste que ce n’est pas au consommateur que ça profite.
Elle a commencé en proposant les produits nettement moins cher que dans le commerce traditionnel et c’est pour ça qu’elle s’est développée.
D’après un article (que je serais malheureusement incapable de retrouver), à l’époque où Leclerc a ouvert son premier magasin, le rapport moyen entre le prix payé au producteur et le prix payé par le consommateur était de 4 (je pense que ça concernait l’alimentaire), du fait des nombreux intermédiaires dans le commerce traditionnel.
Maintenant que la grande distribution s’est imposée et concentrée, le rapport est à nouveau de 4. La différence tombe seulement dans moins de poches...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Modifier un commentaire
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Athos interdit les mails en interne. Évalué à 2. Dernière modification le 01 décembre 2011 à 09:23.
Pas moi. J’ai cliqué sur modifier pour essayer (j’aurais ajouté du gras) et j’ai eu droit aussitôt à la page « Accès interdit – Vous ne passerez pas. ».
Édit : ah si, sur celui-ci ça marche. Donc des fois c’est possible et des fois c’est pas possible (temps limite ? autre chose ?).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Petits arrangements entre amis ou l’oligarchie en marche
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Athos interdit les mails en interne. Évalué à 10.
Et puis grâce à Thierry Breton, Atos marche bien.
Non, je ne le soupçonne pas d’être compétent (en tout cas pas en un mot), c’est juste que sa société a eu droit à un beau cadeau du gouvernement fait avec l’argent public (curieux, je croyais qu’il fallait faire des économies).
Voir cet article, plus particulièrement le paragraphe titré « Un marché cher payé » (il s’agit du marché du vote électronique pour les élections professionnelles de la fonction publique) :
Auparavant, les élections professionnelles étaient organisées en interne avec de bêtes bulletins papier. Ça coûtait nettement moins cher et ça posait moins de problèmes (voir le reste de l’article). Quant au temps de travail perdu pour les personnes chargées de l’organisation du scrutin, je le soupçonne d’être très en dessous de la somme de celui perdu par chaque fonctionnaire pour le jeu de piste de ce vote électronique.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: c'est marrant
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'Europe est en récession.. Évalué à 5.
Oui, enfin dans un système de compétition favorisant les égoïstes, il n’est pas non plus très étonnant que ce soit des égoïstes qui obtiennent les postes clés : il s’opère une sélection par la compétition...
Après, la question est de savoir si on peut trouver un autre système ou s’il faut se contenter de réguler celui-ci, mais il ne faut pas être surpris de ce qu’on obtient si on le dérégule.
Dans les présidentiables (c’est-à-dire les candidats potentiels des grands partis), j’aurais eu un tout petit espoir dans Aubry : pas plus à gauche qu’Hollande, peut-être pas plus inspirée, mais avec des couilles. Mais bon, un vote plus loin...
C’est marrant : les espagnols sortent de la gauche molle et se figurent que la droite arrangera les choses. Nous, nous sortons de la droite (avec une plus mauvaise situation que la Belgique qui n’avait pas de gouvernement !) et nous nous figurons que la gauche molle arrangera les choses.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Libéralisme
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'Europe est en récession.. Évalué à 6.
Justement. C’est le moment de constater que la plupart des changements initiés par nos dirigeants ne sont que dans l’intérêt des grosses entreprises et de la minorité la plus riche et pas du reste de la population :
– le libre-échange et la libre circulation des capitaux pour contourner les règles sociales, environnementales et fiscales en passant par l’étranger (on a bien vu la concurrence libre, on attend toujours la concurrence non faussée (par une différence de règles sociales et autres)) ;
– la liberté des prix pour favoriser la concurrence là où ça arrange les puissants (entre les petits producteurs, les sous-traitants...) et pas là où ça arrangerait le consommateur (le petit nombre de grand groupes qui font le gros du secteur agro-alimentaire, le petit nombre de chaînes de la grande distribution, d’entreprise de téléphonie, etc. évite une réelle concurrence entre ces entreprises) ;
– la stabilité monétaire pour favoriser l’économie de rente ;
– le carcan de l’euro et des traités européens pour garantir la pérennité de cette situation...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: du côté des rentiers / LEAP....
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'Europe est en récession.. Évalué à 6.
Le principe, pour les amis des riches qui gouvernent, c’est d’enrichir les riches et d’appauvrir les pauvres. Après, baisser les salaires avec des prix fixes ou fixer les salaires avec des prix qui montent, c’est plus de l’ordre du style...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# La voix de son maître
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal L'Europe est en récession.. Évalué à 4.
Le meilleur bien sûr : il n’appauvrit que les pauvres (bon, au sens large : je compte aussi les crétins qui pensent faire partie des riches parce qu’ils ont presque réussi à finir de payer leur propre logement).
Non, ça va l’entretenir ; c’est du keynésianisme à l’envers : on appauvrit les pauvres, donc ils consomment moins, donc on doit produire moins, donc on licencie, donc il y a moins de consommateurs solvables, donc on doit produire moins...
Bien sûr, on sait que le keynésianisme ne fonctionne pas : ce sont nos dirigeants corrompus qui font tout pour le casser depuis des dizaines d’années qui le disent.
Tu veux dire les riches.
Quand j’étais adolescent, c’était déjà la Crise, avec à l’époque de l’inflation et même des dévaluations monétaires.
Eh bien à tout prendre, je préfère ce genre de crise !
Mais vous n’êtes pas obligés de me croire. Entre la droite corrompue et la gauche soumise (les deux tendances pour lesquelles votent les veaux), on a peu de chances que nos dirigeants nous évitent la déflation, vous pourrez tester en « live ».
Je vous souhaite bien du plaisir.
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# Difficile de savoir
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Quand les cartes SD se mettent à perdre des cylindres !. Évalué à 2.
C’est peut-être seulement que les partitions ne sont pas alignées sur les limites de « cylindres ». Pour peu qu’avec une version de fdisk elle soit vue par défaut avec son partitionnement natif et avec une autre en LBA. Ça pourrait aussi expliquer le nombre de « cylindres » différents (fdisk n’affiche probablement pas un cylindre incomplet).
Les clés USB ont quelquefois une géométrie curieuse. Es-tu sûr des valeurs précédentes ? Il faudrait comparer avec une autre clé du même modèle.
Sans ça, c’est difficile de savoir ce qui est normal et ce qui est lié au problème.
Ne serait-ce pas le partitionnement qui était un peu bizarre et que tu l’aurais montée sur un système qui l’aurait mal géré (les partitions FAT sont sensée être alignées sur les cylindres) ?
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# Réduction
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Quand les cartes SD se mettent à perdre des cylindres !. Évalué à 5.
Ma première clé USB, une 256 Mo USB 2 sans marque de l’époque où elles commençaient juste à être moins chères que deux clés de 128 Mo, est passée un beau jour de 256 Mo à 128 Mo.
Le nombre de cylindres reporté par fdisk avait diminué de moitié, les fichiers au delà des 128 premiers Mo étaient illisibles, mais pas de problème pour les autres et après repartitionnement et reformatage à 128 Mo, elle fonctionne sans problème.
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[^] # Un de plus
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Lennart casse les logs!. Évalué à 2.
J’utilise SystemD sous Arch aussi (qu’est-ce qu’on gagne ? ;-) ), donc ce n’est peut-être pas si rare que ça (ce serait une idée de sondage... sauf que ce serait limité aux utilisateur d’Arch, ce qui n’est pas (encore ?) le cas de tous les visiteurs de LinuxFr).
Je l’ai même mis en mode natif (pas pour les services, qui le sont de toute façon, mais par rapport à la configuration, que d’origine il reprend dans le fichier rc.conf).
Par contre, je me suis gardé aussi la possibilité de démarrer en BSD (en cas de doute par rapport à un service qui poserait problème).
Comparé à la Fedora 15 de ma machine du boulot, qui démarre obligatoirement sous SystemD, mais avec la grosse majorité des services en mode compatible... dans un cas, je choisis ma chaise et dans l’autre j’ai le cul entre les deux chaises.
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[^] # Temps
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Lennart casse les logs!. Évalué à 2.
Moi non plus, mais avant je lançais quasiment tous les services en tâche de fond au mépris des dépendances (enfin j’intercalais d’autres services entre deux services dépendants l’un de l’autre) pour accélérer le démarrage. Du coup avec systemd, c’est plus propre.
Par contre, le temps d’arrêt est nettement plus court.
Cela dit, j’ai l’impression que le processus de démarrage de systemd est assez générique par rapport aux distributions et je le soupçonne de prendre un peu de temps à régler des trucs pas forcément indispensables et dont Arch se dispensait, ou de séparer certains petits trucs en services pour faire propre conceptuellement, alors qu’avec le script d’init type BSD, ils étaient faits directement dans le script principal...
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[^] # Inversion
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Lennart casse les logs!. Évalué à 5.
Là, tu inverses la cause et la conséquence.
Historiquement, certains utilisateurs n’aiment pas Lennart à cause de PulseAudio.
Et c’est à ses productions plus récentes (notamment SystemD) que ça cause du tort.
Moi-même, si je suis passé à SystemD, c’est parce que j’attendais une init de ce genre, mais le même auteur que PulseAudio était plutôt un élément dissuasif.
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[^] # Je vote pour « ballot »
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Chakra 2011.11. Évalué à 5.
D’un autre côté, c’est la première traduction de « bundle » selon le dictionnaire en ligne que je viens de consulter et il n’est pas déjà utilisé pour désigner autre chose.
Il faut voir aussi que si tous les termes informatiques anglais sonnent informatique pour nous français, pour les anglais, ce sont des termes de la langue « normale » qui sont détournés.
Certains leur paraissent probablement curieux aussi dans le contexte la première fois qu’ils les utilisent, ou sont peut-être des mots inusités lorsqu’il s’est agi de trouver un terme différent pour une notion un peu différente.
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[^] # PulseAudio et Gnome
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Lennart casse les logs!. Évalué à 10.
La dépendance de Gnome à PulseAudio était un peu gênante avant Gnome 3.
La solution de rendre Gnome inutilisable à fait que ce n’est plus un soucis...
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