Claude SIMON a écrit 560 commentaires

  • # Ma propre expérience, bien que pas très instructive...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Mon retour d'expérience sur l'auto-hébergement. Évalué à 4. Dernière modification le 20 novembre 2014 à 09:34.

    Il y a à peu prés 15 ans, comme je m'étais acheté un nouvel ordinateur, j'ai décidé de recycler mon ancienne machine en serveur internet. J'avais envisagé d'y installer Windows (NT 4.0 à l'époque, si je ne m'abuse), mais elle n'était pas assez puissante. C'est à cette occasion que j'ai installé ma première distribution GNU/Linux, que je connaissais déjà, mais que je n'avais jamais utilisé. Depuis, je n'ai jamais cessé de m'auto-héberger.
    Il me semble que j'avais déjà quelques pages Web hébergées par mon FAI, et je me rappelle plus la raison pour laquelle j'ai décidé de mettre en ligne mon propre serveur Web, toujours est-il que j'avais développé peu après une application Web codée en C++, et qu'aucun FAI à l'époque (et de nos jours encore me semble-t-il) n'acceptait d'héberger une application codée en C++. Du coup, le fait d'avoir mon propre serveur internet m'a permis de mettre cette application en ligne.
    J'ai connu quelques mésaventures, comme un piratage de mon serveur au travers d'une faille du serveur DNS. Depuis, je n'ai plus jamais installé de serveur DNS sur ma machine :-) (et je suis plus attentif aux alertes de sécurité de ma distribution). J'ai également perdu mon nom de domaine de l'époque, parce que l'adresse e-mail que j'avais donné comme adresse de contact pour mon domaine n'était plus valide au moment de le renouveler (bon, ce n'est pas directement lié au fait de m'auto-héberger, mais cela s'inscrivait quand même dans ce contexte). Mais sinon, mis à part la phase initiale d'installation, qui est certes chronophage, mais que je trouve sans difficultés particulières, je ne consacre que quelques minutes par semaine (généralement pour lancer les mises à jour suite à une alerte de sécurités) à la maintenance de mon serveur…
    A l'époque, je ne pense pas qu'il y avait possibilité pour un particulier de louer un serveur dédié, du moins à un tarif raisonnable (je n'avais pas cherché non plus), donc je n'avais guère le choix. De nos jours, vu les tarifs, si je continue de m'auto-héberger, c'est plus par habitude que pour d'autres raisons, qu'elles soient financières, techniques ou autres…

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  • [^] # Re: Gestionnaire de projets

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Retour aux sources. Évalué à 1.

    En fait, j'avais regardé http://fr.wikipedia.org/wiki/CMake et m'était arrêté à : [CMake] est comparable au programme Make… (et cela correspondait à ce que je croyais savoir de CMake). Il est vrai que la description qui en est faite dans la suite de l'article présente de fortes similarités avec ce que réalisent mes scripts.
    Ceci dit, l'avantage de ma démarche, c'est que je parvenais au résultat désiré juste en utilisant des outils qui n'étaient très familiers, et un fichier dont j'avais la maîtrise totale du contenu (modulo la structure due à l'utilisation de XML) et de sa signification. Mais ce qui est un avantage pour moi, parce que j'ai développé ces scripts, n'en serait pas un pour une tierce personne…

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  • [^] # Re: Gestionnaire de projets

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Retour aux sources. Évalué à 1.

    On peut trouver un exemple de 'Project.xml' à cette adresse : http://hg.savannah.gnu.org/hgweb/epeios/file/tip/tools/expp/CLI. Le Makefile situé à la même adresse a d'ailleurs été généré à partir de ce 'Project.xml'. On peut trouver d'autres 'Project.xml', et les Makefile correspondants, disséminés un peu partout dans ce même dépôt.
    Les XSL ne sont par contre pas hébergés sur un dépôt.

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  • [^] # Re: Gestionnaire de projets

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Retour aux sources. Évalué à 2.

    D'après ce que j'en sais, cmake est similaire, dans son usage, à make, donc utilisé pour la compilation. Or, je ne lance pas mes scripts pour compiler le logiciel, mais pour générer les fichiers permettant cette compilation. La compilation proprement dite se fait à l'aide d'outils traditionnels (Visual Studio, make…). Donc, je ne pense pas que l'on puisse qualifier mes scripts de 'cmake-like'. Ils seraient plutôt, toutes proportions gardées, 'automake-like'.
    Concernant Visual Studio, la dernière version est capable d'utiliser tel quel ou de convertir les fichiers issus de certaines précédentes versions. Cependant, j'ai modifié mes scripts lorsque j'ai changé de version, et ce ne devait pas être bien compliqué, car la seule chose dont je me souvienne, c'est d'avoir modifié le contenu de l'attribut qui semble correspondre à la version de Visual Studio. En tout cas, après modification de la valeur ce cet attribut ('ToolsVersion'), Visual Studio acceptait le fichier généré par mes scripts tel quel, sans demande de conversion.
    Je n'ai jamais utilisé C::B…

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  • [^] # Re: Gestionnaire de projets

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Retour aux sources. Évalué à 3.

    On n'est pas obligé de subir le XML des autres.

    Pour ma part, pour chacun de mes logiciels, j'écris un fichier XML, nommons-le 'Project.xml', dont c'est moi qui ai décidé de la signification des balises et attributs qu'il contient. Il y a ainsi quelques balises descriptives (nom du logiciel, numéro de version du logiciel, auteur…), et de nombreuses autres plus techniques (nom et localisation des fichiers sources, options de compilation…). Grâce à un ensemble de scripts et de fichiers XSL que j'ai développés, je génère, à partir de ce 'Project.xml', les fichiers '.vcxproj' et '.vcxproj.filters' qui permettent de compiler le logiciel à l'aide de Visual Studio, ainsi que le Makefile qui permet de compiler le logiciel sous Cygwin avec G++ et MinGW, ainsi que sous GNU/Linux et MacOS.
    Lorsque je veux, par exemple, ajouter/enlever/modifier un option de compilation, je ne passe pas par l'interface de Visual Studio, ni ne modifie le Makefile, mais modifie uniquement 'Project.xml', puis relance les scripts pour régénérer les différents fichiers.
    J'envisage, dans un futur proche, d'offrir la possibilité d'utiliser Clang sous Windows pour compiler les logiciels que je développe. Et bien, pour cela, il suffira que je modifie les scripts et les fichiers XSL, sans toucher aux différents 'Project.xml', pour que les Makefile générés prennent automatiquement en charge Clang. Pas besoin de modifier manuellement tous les Makefile pour cela.

    Je gère ainsi chacun de mes projets à partir d'un seul et unique fichier 'Project.xml', dont j'ai la totale maîtrise du contenu, puisque qu'il n'est destiné à être traité que par des outils que j'ai moi-même développé. Bien entendu, il a fallu développer ces différents scripts et fichiers XSL, ce qui m'a pris au final bien moins de temps que je ne le pensais, ayant l'habitude de travailler avec XML/XSLT, mais depuis que ces dernier sont écrits, je n'ai plus eu à modifier de Makefile ou équivalent, ni à me replonger dans la documentation de Visual Studio, ou de GNU make, ou d'un quelconque autre outil similaire…

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  • [^] # SSH sous Android

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Firefox OS, mon avis !. Évalué à 3.

    Personnellement, j'ai installé une Debian, à l'aide de Lil'Debi, et, du coup, j'accède à, et transfère des fichiers de/vers ma tablette Android via SSH. En outre, j'y compile et fais tourner nativement quelques-uns des mes programmes C++.
    Contrairement à une autre application Android que j'avais essayé (je ne me rappelle plus laquelle), et qui installait également une distribution GNU/Linux, on peut, avec Lil'Debi, accéder à partir d'Android directement au système de fichier Debian.
    Concrètement, je l'utilise pour générer, sous Debian, un fichier HTML (en réalité, un fichier XML associé à un fichier XSL), que j'ouvre avec Opera sous Android.

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  • [^] # Re: Correction

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mise aux poings sur systemd. Évalué à 2.

    Il y a aussi fenêtre : défenestration. Il existe d'ailleurs aussi fenestration, mais c'est moins courant…

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  • [^] # Re: Index

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Occupy Hollywood : libérer l’homme et son outil de travail. Évalué à 5.

    Ce journal porte certes sur la libération des outils, mais l'acteur de Lawrence d'Arabie, ce n'est pas Peter O'Tool, mais Peter O'Toole

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  • [^] # Re: XML

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal XML c'est de la daube!!!. Évalué à 2.

    Évidemment que personne de sain d'esprit ne se lance dans l'écriture d'un parser XML…

    Mince, va falloir que je reprenne rendez-vous avec mon psy :
    - http://hg.savannah.gnu.org/hgweb/epeios/file/tip/stable/xml.h
    - http://hg.savannah.gnu.org/hgweb/epeios/file/tip/stable/xml.cpp

    …sans une sacrée bonne raison…

    Ah ben non, ça ne sera finalement peut-être pas nécessaire…

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  • [^] # Re: '-fno-rtti' et exceptions.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Apple, le SSL les goto et les accolades. Évalué à 1. Dernière modification le 23 février 2014 à 21:53.

    Et si l'on veut absolument ne pas utiliser les exceptions C++ (ou que l'on veut disposer de quelque chose de comparable en C), on peut utiliser la bibliothèque standard setjmp pour les simuler, mais j'ignore si c'est rentable par rapport aux exceptions en terme de coûts…

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  • [^] # '-fno-rtti' et exceptions.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Apple, le SSL les goto et les accolades. Évalué à 2.

    De mémoire, pour ce que j'en ai compris, -fno-rtti ne désactive pas les exceptions. Les d'informations relevant du mécanisme de runtime type identification nécessitées par ces dernières étant de toute façon générées, -fno-rtti ou pas.

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  • # Permutation sans variable intermédiaire

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Permutation "sure" de pointeurs en Fortran. Évalué à 1. Dernière modification le 10 janvier 2014 à 14:21.

    Je n'y connais absolument rien en Fortran, donc ce qui va suivre est peut-être, voire probablement, totalement inapplicable.

    Le fait est qu'il y a moyen de permuter deux entiers sans passer par un troisième, avec l'opérateur XOR. En reprenant l'exemple en question, à la sauce C (^ étant l'opérateur XOR bit à bit) :

            p2 = p1 ^ p2;
            p1 = p2 ^ p1;
            p2 = p1 ^ p2;
    

    Suite à une recherche rapide sur le Web, Il semblerait que gfortran ai une opérateur XOR bit à bit ('IEOR', d'après ce que j'ai trouvé). Évidemment, cela ne suffit pas, car, s'il n'est pas possible d'appliquer cet opérateur directement sur des pointeurs (ce qui ne m'étonnerait pas outre mesure), il faut réussir à 'convertir' des pointeurs en entiers (sous condition que ces derniers ai la bonne taille) et vice-versa…

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  • # 'mutable' ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Appeler une méthode non-const à partir de la méthode const homonyme. Évalué à 4. Dernière modification le 08 janvier 2014 à 18:22.

    Je ne suis pas un spécialiste du C++ 'standard', mais, de manière générale, une méthode 'const' ne devrait appeler que des méthodes 'const'.

    Je m'étais moi-même trouvé dans une situation ou une méthode, qui ne modifiait pas fondamentalement l'objet sur lequel elle s'appliquait, d'où sa qualification en 'const', modifiait néanmoins un de ses membres (dans mon cas, c'était un cache), ce que le compilateur ne manqua pas de me faire remarquer de manière péremptoire tout en refusant de mener à terme son travail. Pour résoudre ce problème, j'ai déclaré le cache en question en 'mutable', ce qui m'a permis de laisser la méthode en 'const', à la grande satisfaction de mon compilateur, qui ne pipa plus mot.

    Concrètement, pour le code présenté, pour ce que j'en ai compris, je déclarerais 'is_initialzed' en 'mutable', ce qui permettrait de déclarer 'initialize()' en 'const', et il n'y aurait plus besoin que d'une seule méthode 'mean' déclarée en 'const'. Ça devrait fonctionner, mais je ne sais pas si conceptuellement ça tient la route, car un 'initialize()' en 'const' me semble bizarre…

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  • # Exécuter l'application fournie sous Linux ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Communication avec montre tomtom multisport. Évalué à 2. Dernière modification le 23 décembre 2013 à 14:11.

    Pour les 'simples' GPS TomTom, ils fournissent une application, appelée 'TomTom Home'. Or, cette application, du moins la version que j'en ai, est une application qui tourne sous 'XULRunner', qui est un environnement d'exécution qui existe également sous Linux. Le code de ces applications est généralement écrit en JavaScript, donc indépendant de la plateforme d'exécution.

    J'ignore ce qui est fourni avec ta montre GPS, si c'est la même application, ou une autre s'exécutant également dans 'XULRunner', mais, le cas échéant, à moins qu'il n'y ai une partie en code natif, il suffit, en théorie, de récupérer sous Linux le répertoire d'installation de l'application, d'installer la bonne version de 'XULRunner', en fonction du 'MaxVersion' et du 'MinVersion' définis dans le fichier '.ini' présent à la racine de là où est installée l'application ('XULRunner' peut être installé par le gestionnaire de paquets de 'Debian' ; encore faut-il que la bonne version soit disponible), et de lancer 'XULRunner', en lui passant en paramètre ce même fichier '.ini', pour que l'application s'exécute telle quelle sous Linux…

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  • [^] # DAC 24 bits sur signal 16 bits.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche NwAvGuy O2 : l’amplificateur casque sous licence Creative Common. Évalué à 1.

    Je ne suis pas spécialiste en la matière, mais utiliser un convertisseur 24 bits sur un signal 16 bits devrait permettre de mettre en œuvre une interpolation plus fine, donc d'obtenir un signal plus proche du signal d'origine, et cela avant que ce dernier ne subisse un éventuel traitement électronique.
    Du moins, c'est comme ça que je me justifie mon achat d'un DAC 24 bits pour écouter mes CDs rippés :-).
    Accessoirement, toujours lorsque c'est utilisé sur un signal 16 bits, ça devrait évite les déformations de ce dernier lors d'une éventuelle atténuation dû au ReplayGain.

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  • [^] # Re: Électronique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche NwAvGuy O2 : l’amplificateur casque sous licence Creative Common. Évalué à 5. Dernière modification le 19 décembre 2013 à 13:14.

    RMS, c'est pour moyenner correctement une sinusoïde par rapport à un signal continu (de mémoire, c'est une racine carré de 2 qui traine).

    RMS signifie, en anglais, Richard M. Stall… euh, pardon…, Root Mean Square, c'est-à-dire, en traduisant, la racine (carrée) de la moyenne des carrés (ah, si toutes les formules pouvaient être aussi faciles à retenir…).

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  • # Atari ST <=/=> GFA Basic

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Pour le retour du GFABasic. Évalué à 4. Dernière modification le 29 novembre 2013 à 17:59.

    Pour autant que je me rappelle, GFA Basic n'était pas fourni avec l'Atari ; il fallait se le procurer à part.
    En outre, nul besoin d'avoir un Atari ; GFA Basic était également disponible sur l'Amiga (bah oui, faut respecter les traditions ; on ne peut parler d'Atari sans évoquer Amiga, surtout un vendredi…).

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  • [^] # Re: Sur les exposés

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal 3 ans de projets libre: bilan et apprentissages. Évalué à 6.

    … quand je dis parler fort, c'est parlé très fort. Chose qu'on ne peut faire qu'en utilisant son thorax.

    Ah non, on peut également, et c'est préférable, utiliser l'abdomen. C'est plus efficace et cela a un effet relaxant, contrairement à la respiration thoracique…

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  • [^] # Re: L'histoire se répète...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Gimp envoie bouler Sourceforge. Évalué à 3.

    J'ai finalement retrouvé l’article en question : http://www.advogato.org/article/376.html.

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  • [^] # Re: L'histoire se répète...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Gimp envoie bouler Sourceforge. Évalué à 3.

    Je ne voulais pas signifier par mon message qu'il fallait nécessairement laisser tomber Sourceforge pour Savannah…

    Ceci dit, juste au-dessus (lien) :

    New Project Submissions Re-enabled
         posté par mjflick, mar. 22 nov. 2011 21:52:31 UTC - 0 réponse
    
    Thanks to the efforts of new volunteers, we've re-enabled new project submissions.
    
    Volunteers are still needed. If you're able and interested in volunteering please write savannah-hackers-public@gnu.org (or -private) if you prefer
    

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  • # L'histoire se répète...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Gimp envoie bouler Sourceforge. Évalué à 6.

    Les critiques au sujet de Sourceforge ne datent pas d'aujourd'hui, ni d'hier.

    A partir de 2000, j'avais utilisé leurs services pour un de mes projets, jusqu'au jour où j'ai eu connaissance d'un article dénonçant certaines dérives de leur part. Je ne me rappelle plus quels étaient les griefs (désolé), mais toujours est-il que j'ai migré mon projet vers Savannah, apparemment en 2002, donc l'article en question devait dater de cette période…

    D'après Wikipedia, Savannah, qui n'hébergeait que des projets GNU à l'origine, s'est ouvert aux projets non-GNU justement suite à ce qui fût perçu comme une dérive de Sourceforge (et de son logiciel).

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  • # JavaScript sans HTML5...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal [Trolldi] Le langage plus approprié pour écrire des applications graphiques multiplateformes. Évalué à -1.

    … c'est possible, avec XUL(Runner).
    Pour avoir une idée de ce que ça donne en terme de portabilité et de ce que l'on peut réaliser avec, il suffit de lancer Firefox. Et pour ceux qui préfèrent utiliser C++ au lieu de JavaScript, c'est également possible. Sachant que l'on peut également utiliser C++ pour coder une application Android (ainsi que iOS), étant partisan du moindre effort, mon choix a été vite fait :-) !

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  • [^] # Re: Les tests unitaires, c'est bon, mangez-en :-)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Ce qu'on demande à un développeur aujourd'hui. Évalué à 2.

    Tu comprends bien qu'on est plus trop ici dans l'optique "que faisiez vous avant ?" mais plutôt "qu'êtes vous prêt à faire avec nous ?" et que si tu insistes en disant que tu as pris l'habitude de bosser sans tests unitaires, si l'autre en face n'est pas né de la dernière pluie, va interpréter ça comme "ouais alors lui, je pense qu'il aime pas les tests unitaires, il a des années de stratégie d'évitement (pas forcément au sens négatif du terme) pour les utiliser, ça va pas l'faire avec nous car on bosse en équipe avec parfois des stagiaires qui mettent les mains dans le code, ou bien seulement des gens qui veulent optimiser une routine bas niveau la veille de la mise en prod' et paf le chien"

    Je partage tout à fait cette analyse, c'est pour cela que j'ai précisé "si le sujet est abordé par le recruteur". Il est clair que si j'en parlais de ma propre initiative, cela pourrait être perçu comme une revendication, et je comprendrais que cela soit mal perçu. Mais si le recruteur me demande, voyant que j'ai quelques programmes à mon actif, si je les soumets à des tests unitaires, je ne vais pas mentir juste pour lui faire plaisir, d'autant qu'il risque de me demander de lui montrer le code correspondant, auquel cas je serais bien ennuyé. Le problème c'est que, même dans ce contexte, ben ça passe mal…

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  • [^] # Re: Les tests unitaires, c'est bon, mangez-en :-)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Ce qu'on demande à un développeur aujourd'hui. Évalué à 1.

    Sauf cas extrême (Linux en est un), si tu as trouvé une manière de développer, une facon d'utiliser certains outils, ou que sais-je quoi d'autre qui permet d'avoir la même qualité à long terme en ce passant de une partie importante du cout de développement d'un logiciel, écrit un bouquin tu es riche, très riche… Autrement c'est pipo.

    Je me borne à rapporter un fait. J'écris du code, je ne le soumets pas à des tests unitaires, et il fonctionne de manière satisfaisante, autant du point de vue de ses usagers dans son utilisation quotidienne, que du mien en terme de maintenabilité et d'évolutivité. Maintenant, bien que j'ai quelques idées à ce sujet, je n'ai jamais lancé d'étude approfondie visant à en déterminer les raisons. Peut-être que je devrais. En tout cas, tu comprendras je ne vais pas me lancer dans la rédaction d'un ouvrage sur le sujet, ce qui représente une tâche conséquente, sur la seule foi de tes affirmations…

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  • [^] # Re: Les tests unitaires, c'est bon, mangez-en :-)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Ce qu'on demande à un développeur aujourd'hui. Évalué à 1. Dernière modification le 22 juillet 2013 à 17:21.

    Ce que je dis, c'est qu'en entretien, si le sujet est abordé par le recruteur, il suffise que je dise que je ne soumets pas mon code à des tests unitaires pour que la plupart d'entre eux ai un à-priori négatif à mon sujet, comme si cet état de fait était limite constitutif d'une faute professionnelle et impliquait une opposition inconditionnelle de ma part à leur mise en œuvre quelle que soit la situation.
    A l'image de ce qui se passe ici. L'objet du premier commentaire à mon intervention, et d'un certains nombre des suivants, a été de tenter de prouver que j'avais tord de ne pas faire usage de tests unitaires, et ce sans même s'enquérir d'éventuelles particularités dans ma manière de développer, dans ma façon d'utiliser certains outils, ou dans que sais-je quoi d'autre encore, qui eussent pu justifier leur non-utilisation.
    Je me contente simplement de faire preuve d'esprit critique à l'égard des test unitaires, et cela est perçu comme une hostilité de ma part à leur usage, quand bien même j'ai explicitement affirmé le contraire dans ce commentaire-ci.

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