Éric a écrit 4850 commentaires

  • [^] # Re: Question bête

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Retour sur la décision du TGI de Vannes : la question de la contrefaçon en matière de P2P reste ouverte. Évalué à 2.

    > Cela constitue-t-il une copie privée ?

    Le watermark dépasse à mon avis la copie. Tu modifies l'oeuvre. C'est à priori une autorisation spéciale.

    > Il se trouve que fortuitement et à mon insu, ce mot passe est découvert,

    Si il y a intrusion (donc volonté réelle de refuser l'accès) il me parait difficile de t'imputer une quelconque accusation. Quand à ce que fait l'intru c'est clairement illégal de toute façon.

    > quelqu'un réussit à rentrer sur mon serrveur et place toutes les oeuvres (avec
    > la signature) dans un réseau P2P

    Au juge d'aprécier si la diffusion est volontaire ou pas à mon avis, éventuellement si tu as pris les précautions qu'on peut attendre de toi (mettre un mot de passe). Sauf que quand on juge de la bonne foi de quelqu'un .... ben je ne garanti pas le résultat ;)
  • [^] # Re: Heuuu.....

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Retour sur la décision du TGI de Vannes : la question de la contrefaçon en matière de P2P reste ouverte. Évalué à 1.

    > J'apprendrai rien à personne ici en disant que Kazaa est un réseau sur lequel il
    > faut s'enregistrer... donc c'est assimilable à un cercle privé

    Qu'entend tu par "enregistrement" ? (car si, moi tu m'apprend quelque chose, je n'ai jamais été regardé que le fonctionnement du réseau edonkey). Si c'est juste marquer un pseudo et démarer le logiciel je ne suis pas sûr qu'on puisse parler d'enregistrement.
    Et quand bien même, est ce qu'un enregistrement public sans controle peut définir un cercle privé ? C'est public, avec enregistrement mais public (n'importe qui peut y accéder).
  • [^] # Re: Lisez-bien...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le brevet de Microsoft sur le double-clic sur PDA est accepté !. Évalué à 1.

    > que les brevets interdisent par exemple de breveter des idées comme des démonstrations mathématiques.

    Pas plus qu'un principe physique. La partie intéressante dans cette exclusion c'est le "[il est interdit de les breveter] en eux-même".
    Par contre il est possible de breveter le fait de faire une suite définie de réactions chimiques (donc des principes physiques) pour obtenir un effet intéressant. Un algorithme étant bien une suite de principes mathématique .... la frontière est assez floue.

    Voir http://jjdj.free.fr/article/(...) qui résume bien comment marche tout ça.

    > Les brevets ne sont pas un droit, ni un moyen de gagner de l'argent, c'est une
    > aide, une incitation à la recherche (Et pas une aide pour gagner plus de fric)

    Et il faut avouer que, sans dire si c'est souhaitable ou pas, breveter un algorithme révolutionnaire de compression incite effectivement des gens à faire des recherches poussées pour en trouver un nouveau.
    Il s'agit bien, contrairement à ce que tu dis d'assurer un revenu à celui qui fait une découverte (et dans l'optique de départ c'est pour encourager la divulgation des techniques, pas pour favoriser la recherche). Tu ne peux pas détacher le brevet du concept de rétribution financière (que ce soit par la vente de licence ou le monopole), c'est fait pour ça.
  • [^] # Re: Lisez-bien...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le brevet de Microsoft sur le double-clic sur PDA est accepté !. Évalué à 2.

    > Tu ne fais pas la différence entre une idée, un cahier des charges, voire un
    > algorithme, et un procédé matériel, un plan détaillé ?

    Un procédé n'est jamais matériel. Un procédé c'est une notion abstraite. Un algorithme *est* un procédé. C'est même uniquement ça.
    Quand à un procédé il n'est jamais "créé", il est tout au plus découvert (ce qui est la définition réelle d'une invention). La seule chose qui démarque l'inventeur c'est d'avoir été le premier à avoir eu l'idée de procéder ainsi.

    > Regarde les définitions, que veux-tu que je te dise, je ne vais pas le faire pour
    > toi...

    en gros "mais si c'est différent, c'est tellement évident que non je ne vais pas l'expliquer". Ça me fait penser aux enfants avec le "mais si je le sais mais je ne vais pas te le dire" quand on leur pose une question qui leur pose problème. Si tu fais une différence avec des critère concret vas y , expliques, moi je ne demande qu'à comprendre. Mais dire "vas voir ailleurs" en prenant de haut ça n'aide rien, et ça ne crédibilise en rien ton opinion.

    > mais pas l'idée, l'objectif

    La modification prévue pour les brevets et les logiciels, ou l'exception actuelle, ne changent *en rien* le fait que ce soit un procédé qui soit prevetable et pas un objectif.
    Il y a là deux choses :
    - les opposants anti-brevets qui ne savent pas de quoi ils parlent, et se basent sur l'"abstract" du brevet en croyant que c'est cette déclaration seule fait foi
    - le fait que certains brevets complètement foireux passent (logiciels ou non d'ailleurs), mais ils passent déjà en dehors de la législation et même avec ce changement de règles ils resteront en dehors de la législation.

    > Le code source est le plan, le procédé. Le copyright le protège déjà.

    Le code source est en même temps bien plus et bien mieux que ça. Le code source c'est donner non seulement le procédé mais en plus la manière dont on le met en application (pour faire une analogie foireuse avec la cuisine, dans le procédé on te donne les composant et la manière de les intégrer et cuisiner, dans le code source on te dit aussi que le chef a un tablier vert pomme et que là il a mis 37 secondes 6 dixièmes pour tourner la sauce). Le copyright protège la mise une mise application spécifique du procédé, pas le procédé lui-même.
    Je ne cherche là même pas à savoir s'il est bien ou pas de protéger le procédé (je serai plutot contre les brevets dans leur ensemble, logiciels ou pas) mais non, le copyright n'a pas le même champ d'application que le brevet.

    > C'est comme si un brevet sur un procédé utilisé dans un moteur de
    > voiture interdisait à tous les autres constructeurs de voiture d'utiliser un
    > moteur (même un moteur sans le moindre rapport avec celui breveté).

    Le copyright c'est comme si tu avais le droit de reprendre tout le principe d'injection et de combustion breveté mais pas avec les mêmes couleurs ou avec la même forme / enrobage.

    Notes d'ailleurs que le premier à avoir fait un moteur à explosion aurait très bien pu le breveter dans son ensemble. Si actuellement on ne peut breveter que des sous ensembles ou des choses spécifiques c'est que le moteur en lui même n'est plus innovant (ce qu'il était au départ).

    > Le copyright apporte ce que les brevets apportent ailleurs

    Je ne pense pas, ce qui est protégé n'est pas la même chose. Les industriels non plus d'ailleurs, sinon ils ne feraient pas de brevets.

    > Les brevets logiciels vont contre l'innovation, et ne servent que les plus
    > riches, ceux qui peuvent se payer une batterie d'avocats.

    On est d'accord sur cette constation. D'ailleurs je n'ai pas assez de connaissances sur les autres industries mais je me demande sérieusement si le concept de brevet lui même est encore adapté à notre époque. Maintenant ça ne remet pas en cause mes interrogations et mes réflexions. Le problème majeur ici est que d'un coté les offices laissent passer n'importe quoi sans qu'il y ai réellement d'innovation ou de technicité, et que d'un autre coté l'historique fait que les brevets servent plus d'échange ou de moyen d'oppression plus que l'innovation. Mais ça à priori je ne vois pas en quoi ça découle du fait que ce soit logiciel ou pas. C'est à mon avis purement historique et lié à des manques de compétences ou vérification des offices dans le milieu informatique.

    > Breveter un logiciel, c'est aussi breveter un algorithme

    En quoi un algorithme est différent d'un procédé chimique ? Il s'agit dans les deux cas de décrire un plan d'action inventif et technique pour obtenir quelque chose d'utile. Je ne vois aucun critère vraiment important qui me permet de différencier les deux.

    > c'est se présenter comme prédateur dans la société, pas comme participant

    C'est bien ce qui me fait dire que le problème dans "brevet logiciel" c'est plus "brevet" que "logiciel". Le concept même de brevet est de réserver le monopole d'une façon de faire à quelqu'un, donc de réduire la diffusion d'une connaissance à court et moyen terme pour en assurer la divulgation à long terme. Et dans une société qui communique énormément je ne sais pas si le concept de brevet est encore nécessaire à cette divulgation sur le long terme.
  • # arghhh

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Communiqué ODEBI. Évalué à 1.

    JE trouve très bien que le sujet revienne sur le tapis, je trouve très bien que la tv se remette aux débats et aux discussions.

    Mais franchement j'aurai bien aimé quelqu'un d'autre que odebi pour me représenter (j'aurai même tendance à dire que j'ai peur de voir représenter l'opposition à la LEN par odebi, ça a autant de chances d'être négatif que positif)
  • [^] # Re: Et la recherche d'anteriorité ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le brevet de Microsoft sur le double-clic sur PDA est accepté !. Évalué à 1.

    Euh ... c'est faux. En europe il y a des périodes publiques longues où chacun peut intervenir pour faire des remarques. Le double click n'a aucune chance de passer, enfin sauf si tout le monde fait semblant de ne rien voir.
  • [^] # Re: Lisez-bien...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le brevet de Microsoft sur le double-clic sur PDA est accepté !. Évalué à 0.

    Quelle est la différence fondamentale entre l'idée de "je vais faire comme ça" et le procédé de "il faut faire comme ça" ?
    La frontière est floue tout de même. Les critères c'est l'innovation et l'effet technique surtout. Après c'est forcément immatériel (c'est un procédé) et ça découle toujours directement d'une idée.

    > Autrement dit le logiciel a déjà un équivalent des brevets.

    Non, le copyright ou le droit d'auteur empêche la recopie, il n'empêche pas la réutilisation d'une découverte technique (ce qui est le but du brevet, que ce soit logiciel ou pas).

    > Tu défends le point de vue extrémiste selon lequel les riches doivent
    > pouvoir faire payer les autres pour l'application d'idées triviales

    Et là tu perd toute crédibilité à mes yeux en caricaturant et détournant au plus haut point ce qu'il raconte.
  • [^] # Re: Lisez-bien...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le brevet de Microsoft sur le double-clic sur PDA est accepté !. Évalué à -1.

    Ben oui, d'ailleurs Gates était polonais et il est allé fondé sa boite aux US uniquement pour pouvoir faire des brevets logiciels.

    Et la marmote ......
    (faudrait pas non plus raconter n'importe quoi hein ... que MS soit aux US n'a rien à voir avec les brevets)
  • [^] # Re: De l'évolution de la langue

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Utilisabilité, accessibilité et ... réalité. Évalué à 1.

    j'en déduis que "usité" a pour toi aussi un sens d'usure ? faut croire que la base du mot n'est pas un critère suffisant ici pour choisir entre les deux.
    Et quand bien même, il arrive fréquement qu'il y ai des exceptions quand un mot semble dur à prononcer ("utilisabilité" l'est à mon avis).
  • [^] # Re: usure et usabilité

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Utilisabilité, accessibilité et ... réalité. Évalué à 0.

    et "usité" ? ça existe tout de même aussi en français.
  • # copie privée ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Retour sur la décision du TGI de Vannes : la question de la contrefaçon en matière de P2P reste ouverte. Évalué à 2.

    Concernant le fait que le téléchargement puisse éventuellement être de la copie privée j'ai quelques questions :

    - est ce que dans la loi française ce qui compte le plus c'est le texte ou l'esprit ? plus précisément est ce que le fait que le copiste possède (légalement) un exemplaire de l'oeuvre dont il souhaite faire une copie peut être considéré comme "pré-requis allant de soit"

    - je remarque aussi dans CPI 122-5 :
    2º Les copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, à l'exception des copies des oeuvres d'art destinées à être utilisées pour des fins identiques à celles pour lesquelles l'oeuvre originale a été créée et des copies d'un logiciel autres que la copie de sauvegarde établie dans les conditions prévues au II de l'article L. 122-6-1 ainsi que des copies ou des reproductions d'une base de données électronique;
    Jusqu'à quel point les morceaux téléchargés ne sont-ils pas destinés à des fins identiques à celle de l'oeuvre originale ? surtout si l'oeuvre originale est un CD et qu'on regrave derrière les téléchargements.
  • [^] # Re: toutes les oeuvres sont protégées

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Retour sur la décision du TGI de Vannes : la question de la contrefaçon en matière de P2P reste ouverte. Évalué à 4.

    Pas que la licence, la loi définit aussi certaines autorisations qui sont obligatoirement là pour toutes les oeuvres publiques (la copie privée par exemple). Quelle que soit la licence tu peux faire une copie privée. C'est bien là toute la question pour certains
  • [^] # Re: Pragmatisme

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Utilisabilité, accessibilité et ... réalité. Évalué à 3.

    Parce que la relation accessibilité / standard n'est pas une relation d'équivalence. Les standards c'est pour l'interopérabilité, ce qui n'est qu'une partie de l'accessibilité.
    En même temps c'est aussi la plus simple et une des plus importantes. Si les gens intègrent ça c'est déjà pas mal. (par contre je ne réduit pas le concept de standardisation au simple passage par le validateur HTML)
  • [^] # Re: usure et usabilité

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Utilisabilité, accessibilité et ... réalité. Évalué à -2.

    Quitte à utiliser un mot qui n'existe pas, autant le choisir. "utilisabilité" c'est peur être mieux coté racine du mot, mais ça ne sonne vraiment pas bien, contrairement à "usabilité".
  • # pour le prix

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La "lettre recommandée électronique de la Poste". Évalué à 2.

    pour le prix il faut compter la salle d'impression, de mise en enveloppe, les serveurs de collecte, bref, tout plein de trucs en plus du circuit habituel sans pourtant le remplacer (vu qu'après les lettres sont injectés dans le circuit classique).
    Je ne sais pas si la différence de prix est similaire à la différence de cout mais je veux bien croire qu'il y en a une. D'autant qu'ils offrent un service supplémentaire *très* intéressant : ils certifient le contenu. Un recommandé classique tout ce que tu certifies c'est d'avoir envoyé une enveloppe, avec leur service tu peux prouver aussi ce qu'elle contient, et ça c'est une sacré avancée.
  • [^] # Re: Petites précisions

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche XFree86 a de moins en moins la côte. Évalué à 2.

    faits par mandrake, sur les FTP officiels de mandrake, dans le répertoire test réservé au club

    http://xxx:xxxx@www.mandrakeclub.com/downloads2/test/10.0/i586/Xorg(...)
  • # traduction ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal grsecurity va fermer ?. Évalué à 1.

    quelqu'un peut me traduire "Though it would be possible for others to handle maintenance of the project, the quality won't be held to the same standards and will not progress with the same goals I have set for the project." ?

    Personnellement je comprend : "oui, d'autres pourraient continuer le projet mais ils ne pourront jamais faire quelque chose de correct alors que moi je peux".
  • [^] # Re: Cohérence du gouvernement ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Chat avec Raffarin. Évalué à 1.

    > Peut-être un "Ne voyez vous pas une contradiction entre l'utilisation de logiciels
    > libres et le soutien aux brevets logiciels?".

    C'est à mon avis une mauvaise idée d'opposer les deux. Si on les oppose on laisse entendre que le problème avec les brevets c'est les logiciels libres. Et je suis dans le regret de vous dire que pour la plupart des gens, si ils devaient choisir entre un principe de base d'auto-financement de l'industrie et entre les LL ... on peut tout de suite aller se recoucher.

    Les brevets sont un problème en eux-même de par la façon dont ils sont accordés. Ce n'est en rien spécifique aux LL et à vouloir trop la ramener on risque de "communautariser" la lutte. Les brevets (de la façon dont ils sont accordés) c'est aussi pourri pour tous les petits et moyens, LL ou non. Et là ça a beaucoup plus de poids dans l'esprit des gens (et surtout des politiques car les PME c'est une part non négligeable des emplois en France)
  • [^] # Re: Y.org

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche XFree86 a de moins en moins la côte. Évalué à 2.

    > Même avec l'ADSL en dégroupé, et même les applications simples rament quand elles sont affichées à distance.

    Tu devrais essayer un soft qui s'appelle "nomachine", une sorte de vnc compressé et re-étudié. Ce n'est pas miraculeux mais ça te permet de te connecter à une machine de manière correcte avec juste un RTC.
  • [^] # Re: Petites précisions

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche XFree86 a de moins en moins la côte. Évalué à 2.

    > Puis il y a toujours pas X.org dans cooker. Peut-être que Mandrake attend la
    > sortie de la CS avant de sauter le pas.

    J'ai (sous Mandrake) à la place des paquets Xfree86 des paquets qui s'appelles Xorg, et ça depuis pas mal de temps.
  • [^] # Re: Combien de temps?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Flash Player 7 pour Linux disponible. Évalué à 1.

    > Et il ne marche pas sur tous les navigateurs

    XUL si ? on m'aurait menti ?
    Faudrait pas oublier que XUL c'est tout de même un outil propriétaire de Mozilla, même si c'est bien foutu, ouvert et tout ce que vous voulez.
    Et qu'on le veuille ou non Flash fonctionne sur beaucoup plus d'installations actuelles que XUL (parce qu'il y a plus de gens utilisant x86 que de gens utilisant Mozilla aux dernières nouvelles)

    > XUL est visible en affichant la source du document.

    C'est vrai, mais afficher le source n'est pas le but de ces outils. Ca ne change rien aux fonctionnalités, à la compatibilité ou même à la possibilité de diffuser le source de ton code (le C non plus ne permet pas d'afficher le source, c'est mal ?).

    Bref, il faut avouer que tu n'amène pas beaucoup d'arguments là.
  • [^] # Re: Bien entendu le site est valide XHTML 1.0 !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Un nouveau look pour Toolinux !. Évalué à 2.

    Bof, la page d'accueil valide maintenant (même si le code est loin d'être top). Mais j'ai cliqué sur 6 liens dans la page et j'obtiens 6 pages non valides :
    http://validator.w3.org/check?verbose=1&uri=http%3A//www.toolin(...)
    http://validator.w3.org/check?verbose=1&uri=http%3A//www.toolin(...)
    http://validator.w3.org/check?verbose=1&uri=http%3A//www.toolin(...)
    http://validator.w3.org/check?verbose=1&uri=http%3A//www.toolin(...)
    http://validator.w3.org/check?verbose=1&uri=http%3A//www.toolin(...)
    http://validator.w3.org/check?verbose=1&uri=http%3A//www.toolin(...)

    Je n'ai pas choisi les pages pour ne prendre que les non-valides, j'ai réellement pris 6 pages en cherchant des choses différentes et aucune ne valide.


    Bref, le design change mais il n'y a certainement pas de quoi faire une annonce pour la validité de la page (au contraire)
  • [^] # Re: ...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Resistance. Évalué à 1.

    > Il est évident qu'il ne le fait pas par peur d'etre attaqué en justice, et qu'il s'agit d'un acte militant.

    Si il ne pense pas pouvoir être poursuivi sa démarche est d'autant plus contestable. Il s'agirait alors de faire peur au visiteur en lui faisant croire que ce que diffuser des cours de C++ est punissable. Bref, on agite des épouvantails et ça ne contribue pas à crédibiliser le mouvement ("les opposants ? bah, ils n'ont rien compris")

    > Il s'agit surtout de faire comprendre aux gens ce qui pourraît arriver si rien n'est
    > fait.

    C'est ce qui est très mal fait car si je ne savaios pas ce que contenaient ces lois j'aurai l'impression que ce site fermera pour des raisons légales si la loi passe, or ce n'est pas du tout le cas. Bref, on trompe le visiteur pour le rallier ... pas sûr que ce soit très moral tout ça.
  • # mouais

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Wormux, un clone du jeu Worms. Évalué à 5.

    Jusqu'à quel point est-il légal de "copier" un jeu ?

    Je ne parle pas de reprendre un principe mais bien de faire un clone (mêmes personnages, mêmes armes, mêmes .. tout). Je doute fortement que ce soit légal (ou même moral), ce d'autant plus que worms est toujours en exploitation, ce n'est pas un vieux jeu non exploité comme peut l'être lemmings.
  • # Bien entendu le site est valide XHTML 1.0 !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Un nouveau look pour Toolinux !. Évalué à 10.

    > Bien entendu le site est valide XHTML 1.0 !

    On parle du même ?
    - pas de doctype
    - un namespace xhtml et une directive de langue xml (serait-ce du xhtml ?)
    - des meta non fermés (ah ben non, c'est du html)
    - un base auto-fermé (ah ben finalement ...)
    - un link pas fermé (quoique ....)
    - un head en majuscule (ah, là j'ai deux balises de suite qui confirment la même chose, du html 4), ceci dit comme il était ouvert en minuscule c'est une erreur
    - un attribut valign inexistant (ah ben non, j'ai compris, c'est du internet explorer, pas du html ou xhtml, ça explique)
    - un alt absent

    ... on n'est qu'à la vingtième ligne de la page d'accueil. On n'a jamais brulé personne pour une page qui ne valide pas (à mon avis faudrait d'abord régler la sémantique avant la validation de toutes façons) mais faudrait pas annoncer une validité XHTML 1.0 juste parce qu'on a rajouté un namespace à une page en tag soup html