Dans la liste des paquets il y en a qui sont communs/mutualisés, et je me souviens d'avoir installé un seul composant dans Debian. C'est en ce sens bien des programmes distincts et il a été prévu de pouvoir les compiler/distribuer séparément.
Mais c'est une "suite" et quelque soit le programme le composant que tu installes, tu auras toujours ton processus soffice.bin (issu du paquet cœur-commun) qui sera lancé pour le gérer. Là dessus c'est mieux fait que du côté µ$ (mais pareillement, à l'époque où on installait la suite depuis un CD, on pouvait sélectionner de n'installer que certains "aspect" et pas d'autres et il n'y avait pas cette symbiose et mutualisation qu'on trouve dans LibreOffice. remarque, pendant longtemps les programmes ont été vendus séparément aussi.)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Il me semble (pas sûr car ça fait longtemps que je n'ai pas utilisé de GUI) l'explorateur de GNOME/MATE aussi, sous réserve d'activer un greffon (un peu comme fait Gwenview pour Dolphin)
Sinon, par rapport au message précédant, y a pas que Fenêtre ; le système X (et je crois aussi le Classique) de la Pomme aussi intègre bien l'affichage des métadonnées de certains médias (photos/musiques/vidéos) dans son explorateur de fichiers. Pour la recherche, on a les mêmes limitations…
Bon, il y a des trucs pour étendre la recherche aux métadonnées qui sont récupérés/fusionnés dans/aux données d'indexation. Cela faisait partie des grandes nouveautés annoncées par KDE 5 si je ne me trompe.
Mais comme déjà fait remarquer, il y a des solutions par environnement et plateforme mais rien de vraiment portable. Et ça ne risque pas de changer de si tôt parce-que les différents acteurs privés poussent à l'utilisation de leur solution nuageuse sans interopérabilité avec les autres (faudrait pas déconner avec le business…)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Préinstallé …comme une appli que tu peux réinstaller depuis le store ? Ou comme un truc bien imbriqué dans le système …et que tu ne fais que désactiver en croyant désinstaller ?
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Tout à fait. Il y a une confusion courante dans la tête des gens que je croise, mais la vérité est que l'ordinateur (plus précisément les systèmes d'exploitation) ne voi(en)t pas ce qui est marqué/sérigraphié sur le clavier :-D On a une disposition azerty ou ce qu'on veut parce-qu'on a paramétré son système en conséquence, qu'importe que le marquage physique soit en qwertz ou en cyrillique, qu'il y ait le logo de Fenêtre ou un autre dessin, etc.
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du temps de la dactylo, c'était pire,
c'etait CapsLock pour activer la majuscule, Shift pour la désactiver
Petites confusions :
La dactylo est un ensemble de principes de travaille qui peuvent s'appliquer aussi avec un ordinateur… Par exemple la frappe dactylographique, c'est à dire à dix doigts en adoptant la bonne posture des mains, s'applique aussi avec le clavier d'ordinateur.
Initialement il n'y avait que du Upper Lock (équivalent du Shift Lock aujourd'hui et juste libellé Caps ou Shift), qui est une bascule qui alterne entre le panier haut (celui des majuscules) et le panier bas (celui des minuscules) ; il n'y avait pas une touche à côté pour désactiver…
La touche Shift a été introduite plus tard (et on avait alors deux libellés Shift et Caps ou CapsLock) qui sert à basculer tant que c'est maintenu : c'est presque comme l'autre sauf qu'il faut garder le doigt dessus, ce qui est utile pour du ponctuel. Ceci n'a pas changé et n'a pas de raison de changer.
Le principe du verrouillage d'un pan existe toujours sur l'ordi et porte deux noms selon la disposition de clavier… Comme c'est associé à la même touche, il n'y a qu'un des deux libellés qui est inscrit.
ShifLock, utilisé par les dispositions azerty de Fenêtre, va permettre de saisir une succession de chiffres (qui sont en accès indirect) et de majuscules dans un cas, et l'utilisation de symboles (en accès direct) et de minuscules dans l'autre cas. La limitation se voit quand on doit faire des majuscules accentuées.
CapsLock, utilisé par les dispositions qwerty, va permettre de saisir une succession de chiffres (qui sont en accès direct) et de majuscules dans un cas, et l'utilisation de chiffres (toujours en accès direct) et de minuscules dans l'autre cas. Les limitations de l'autre approche n'existent plus et c'est pour ça que c'est ce qui est choisi par azerty-oss (avec les chiffres toujours en accès indirect) sous Linux.
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Je ne sais pas si ça a changé, mais sur les sites de OpenOffice et LibreOffice il y avait bien un paquet (.deb ou .rpm) pour chaque composant… Et ce sont bien des outils distincts : un traitement de texte n'est pas un aspect de "[mettre le bon mot]" et un logiciel de présentation un autre aspect ; je peux à titre perso aimer utiliser Writer comme traitement de texte et préférer Gnumeric comme tableur par exemple. Une suite bureautique est bien distribué comme un seul produit mais fait d'un ensemble de programmes dixit Wikipédia, qui précise que certains programmes peuvent ne pas y être (IBM Domino Symphony et Microsoft Office pro incluent un logiciel de messagerie mais ce n'est pas le cas de LibreOffice.)
La suite bureautique ne doit pas être confondu avec l'intégré bureautique comme Works qui malgré les apparences enregistre tout dans un format unique (qu'on fasse du traitement de texte ou du tableur dedans ce sera toujours du .wks —si j'ai bonne mémoire de l'extension.)
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Je note que l'usage de tableaux est pas terrible étant donné la largeur imposée. Il est difficile de distinguer le changement de ligne de tableau dans la dernière colonne.
C'est une limitation de linuxfr, malheureusement, et j'aurai bien vu ça dans un PDF
Le PDF devrait faire pareil, vu que ça n'ajoute pas d'information sémantique qui serait rendue différemment. D'ailleurs, me fait penser que je ne l'ai pas précisé, que la correction proposée devrait s'appliquer aussi à la feuille de styles d'impression…
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ça n'empêche qu'il y a de beaucoup de micro qui aime bien se cacher sous un manteau agile… En tout cas dans nombre d'endroits où je suis passé en France.
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Pas faux… Mais si c'est pour le patient… il ne faut pas mettre en place une prison centrale mais plutôt :
Des normes et règles d'interopérabilité dans un premier temps, et un exemple d'implémentation de code ouvert dans un second temps. Ainsi, les plus paranos pourraient auto-héberger leurs données et gérer les accès.
Ensuite une certification qui permettra à d'autres acteurs de fournir le service (ce qui est utile pour le grand nombre qui ne peut ou ne veut auto-héberger avec la gestion de serveur qui va avec), quitte à ce que l'Assurance Maladie soit un de ces fournisseurs (de référence ou par défaut pour les gens qui n'ont pas trouvé fournisseur à leur pied.) On garantirait/prévoirait donc qu'on puisse déménager son dossier médical en plus d'en gérer l'accès.
Dans un troisième temps, une API qui permettrait aux praticiens/médecins/spécialistes divers de pouvoir interagir avec les instances évoquées plus tôt, charge maintenant à leurs éditeurs de mettre leur produit à jour en conséquence.
Ici, les patients et patientes à qui c'est supposé profiter sont juste en position de bébés ou de toutous dont les données sont triturées dans son dos sous couvert de belles promesses et aucune transparence.
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Ça t'a fait apprendre des trucs au passage, donc c'est pas con. Et puis il y a toujours la gestion de BBCode et de MarkDown qui ne sont pas intégrés dans les navigateurs. ;-)
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stack (or heap), not battery :-D
Oui, comme souvent en informatique, il y a la limite des ressources : sur ces calculatrices la taille de la pile est limitée par la mémoire vive…
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Il est possible lors de l'installation de choisir chaque paquet un par un, mais en général on choisit l'option d'installation complète, ou on restreint par catégories.
Par exemple sur un serveur sans interface graphique, on va inclure [a, ap, l, n, y]
S'il faut les outils de développement on va rajouter d (gcc, autotools, git, etc.)
[…] tu fais une installation complète, sans choisir précisément ce que tu veux, sinon tu te prends la tête à tirer tes dépendances à la main (personne ne fait ça je pense ?)
Arf, je ne fais de « full install » que sur mes VM de test. Mon vieux portable Pentium sur lequel tourne Slackware a été installé en choisissant paquet par paquet et non par catégorie. ;-)
À noter que la Debian permet aussi ce genre de chose : n'installer que certaines catégories (mais il y en a moins à l'installation, et plus quand on lance le gestionnaire de paquets en clicodrome) ou choisir les différents programmes (bon ça fait des lustres que je n'ai pas pas essayé et je ne sais pas si ça existe toujours, par contre on n'avait pas la liste de tout ce qui était possible mais juste un petit sous-ensemble que je pense issue des catégories disponibles à l'installation.)
La découpe des paquets est une chose et la gestion des dépendances une autre. Dans l'exemple que tu prends, il se trouve que les distributions Red Hat découpent aussi en gros, comme Slackware, mais avec la gestion de dépendance en plus : ça aide pour les usages domestiques (et les admins qui ne veulent pas avoir le temps de lire toute la doc de ce avec quoi le programme fonctionne et mettre les mains dans le cambouis pour lier les composants) en t'installant en plus le X.org ou le Qt5 etc. (du coup, quelques paquets on été revus pour être découpé en variante avec ou sans X, mais pas aussi finement que chez Debian)
Une distribution est une philosophie/approche de l'administration système et autres facilités. La philosophie Slackware est d'être dans l'esprit des Unix initiaux (d'où la comparaison souvent avec les BSD) où les administrateurs font tout eux-même (à la mano, à leur sauce et non en se voyant imposer une vision) y compris pour les paquets (on récupère la totale telle que conçue par le projet puis on configure ce qu'on veut utiliser et on laisser le reste moisir à côté, là où les autres distributions veulent vous aider à tout prix.)
À noter qu'avec une base de Slackware complète, beaucoup de slackbuilds n'ont aucune dépendances (un grep vite fait me donne 60% sans dépendances, et 92% jusque deux dépendances).
Ça rejoint ce que je disais dans un autre message. Hormis les gens qui poussent le bouchon trop loin comme moi, il faut prendre le temps de regarder les dépendances pour les gérer mais on rarement une multitude (jusqu'à deux en général et aucun plus souvent, comme tu le montres)
À l'usage, ça marche tellement simplement que tu te demandes parfois si les autres distros Linux n'ont pas inutilement compliqué… (mais je ne crois pas non plus parce-que certains choix amènent fatalement à plus de complexité)
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Pour le plaisir des yeux : diffusion de grande image par le rouleau après avoir hacké le protocole de communication de la calculatrice TI) https://youtu.be/W_mZ7smIz3U
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Donc soit il y a un problème dans la page de manuel, soit je n'ai pas compris ce que sont le goal et le maximum.
Je ne me suis pas attardé sur cet aspect parce-que la syntaxe varie d'une implémentation à une autre et que pour des raisons de portabilité il vaut mieux rester au dénominateur commun : -w Mais s'il y a beaucoup de demandes de précisions (auxquelles je tenterai de répondre sans prétendre avoir la maîtrise ultime vu que je n'utilise pas toutes les options) je compulserai dans un épisode (journal) complémentaire.
Pour en revenir à la question, le maximum est le mur infranchissable… (dans le contexte des quotas c'est l'équivalent du « hard limit » je dirai.) D'après les manpages, quand on indique max seul, le programme doit en déduire le goal (semble que BSD utilise la même valeur, tandis que GNU calcule que ça fait 93%.)
Par contre, le goal est la limite désirée, désirable mais légèrement déspassable… (donc l'équivalent du « soft limit » quand on fait l'analogie avec la gestion des quotas.) De même, quand on indique goal seul, le programme doit en déduire le max (BSD fait plus dix et GNU fait plus sept pour cent.)
Quand on spécifie les deux, le programme va essayer de couper un peu après (ou juste à) goal et toujours avant max !
Test avec une forme commune du Lorem (il faudra tester plusieurs valeurs pour trouver celles qui sont les plus parlantes)
$ fmt -v
fmt: illegal option -- vusage: fmt [-cmps] [-d chars] [-l num] [-t num] [-w width | -width | goal [maximum]] [file ...]Options: -c center each line instead of formatting -d <chars> double-space after <chars> at line end -l <n> turn each <n> spaces at start of line into a tab -m try to make sure mail header lines stay separate -n format lines beginning with a dot -p allow indented paragraphs -s coalesce whitespace inside lines -t <n> have tabs every <n> columns -w <n> set maximum width to <n> goal set target width to goal# mon fichier de test$ wc lorem
1 69 446 lorem## soft 52 (soit max vers 62?)# BSD: fmt 52 lorem
# GNU: fmt -g 52 lorem
#12345 G 6 m
#23456789012345678901234567890123456789012345678901234567890123456789$ fmt 52 lorem
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscingelit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore etdolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quisnostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquipex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor inreprehenderit in voluptate velit esse cillum doloreeu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecatcupidatat non proident, sunt in culpa qui officiadeserunt mollit anim id est laborum.## soft 47 (soit max vers 57?)#1234 G 5 m 6#23456789012345678901234567890123456789012345678901234567890123456789$ fmt 47 lorem
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscingelit, sed do eiusmod tempor incididunt ut laboreet dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam,quis nostrud exercitation ullamco laboris nisiut aliquip ex ea commodo consequat. Duis auteirure dolor in reprehenderit in voluptate velitesse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur.Excepteur sint occaecat cupidatat non proident,sunt in culpa qui officia deserunt mollit animid est laborum.## hard 65 (soit but vers 55?)# BSD: fmt -w 65 lorem
# GNU: fmt -w 65 lorem
#12345 g 6 M
#23456789012345678901234567890123456789012345678901234567890123456789$ fmt -w 65 lorem
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed doeiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Utenim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laborisnisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor inreprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiatnulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident,sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.## hard 57 (soit but vers 47?)#1234 g 5 M 6#23456789012345678901234567890123456789012345678901234567890123456789$ fmt -w 57 lorem
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit,sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et doloremagna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrudexercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex eacommodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderitin voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nullapariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident,sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id estlaborum.## intervalle 48--52# BSD: fmt 4852 lorem
# GNU: fmt -w 52 -g 48 lorem
# GNU: fmt -g 48 -w 52 lorem
#1234 G 5 M 6#23456789012345678901234567890123456789012345678901234567890123456789$ fmt 4852 lorem
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscingelit, sed do eiusmod tempor incididunt ut laboreet dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam,quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi utaliquip ex ea commodo consequat. Duis aute iruredolor in reprehenderit in voluptate velit essecillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteursint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpaqui officia deserunt mollit anim id est laborum.## intervalle 47--54#1234 G 5 M 6#23456789012345678901234567890123456789012345678901234567890123456789$ fmt 4754 lorem
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscingelit, sed do eiusmod tempor incididunt ut laboreet dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam,quis nostrud exercitation ullamco laboris nisiut aliquip ex ea commodo consequat. Duis auteirure dolor in reprehenderit in voluptate velitesse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur.Excepteur sint occaecat cupidatat non proident,sunt in culpa qui officia deserunt mollit animid est laborum.
Bon, il y a quand même des lignes où il se permet de descendre un ou deux caractères en dessous de goal ici.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Je n'ai pas vu la vidéo, mais comme l'indique Wikipédia
Slackware inclut son propre gestionnaire de paquets: pkgtool, permettant d'installer, désinstaller, mettre à jour, extraire dans le répertoire courant et créer des paquets. Chacune de ces fonctions est remplie par un script bash utilisable par l'interpréteur de commandes. pkgtool fournit également un environnement en mode texte pour effectuer ces opérations. Les paquets sont de simples archives tar compressées avec gzip, bzip2 ou xz. Depuis le 8 mai 2009, les paquets distribués officiellement sont compressés avec xz.
Slackware's package management system, collectively known as pkgtools, can administer (pkgtool), install (installpkg), upgrade (upgradepkg), and remove (removepkg) packages from local sources. It can also uncompress (explodepkg) and create (makepkg) packages. The official tool to update Slackware over a network or the internet is slackpkg. It was originally developed by Piter Punk as an unofficial way to keep Slackware up-to-date. It was officially included in the main tree in Slackware 12.2 […]
Slackware packages are tarballs compressed using various methods. Starting with 13.0, most packages are compressed using xz (based on the LZMA compression algorithm), utilizing the .txz filename extension. Prior to 13.0, packages were compressed using gzip (based on the DEFLATE compression algorithm), using the .tgz extension. Support for bzip2 and lzip compression was also added, using the filename extensions .tbz and .tlz respectively, although these are not commonly used.
Packages contain all the files for that program, as well as additional metadata files used by the package manager. The package tarball contains the full directory structure of the files and is meant to be extracted in the system's root directory during installation. The additional metadata files, located under the special install/ directory within the tarball, usually include a slack-desc file, which is a specifically formatted text file that is read by the package manager to provide users with a description of the packaged software, as well as a doinst.sh file, which is a post-unpacking shell script allowing creation of symbolic links, preserving permissions on startup files, proper handling of new configuration files, and any other aspects of installation that can't be implemented via the package's directory structure. During the development of 15.0, Volkerding introduced support for a douninst.sh uninstall script that can be launched when removing or upgrading a package. This allows package maintainers to run commands when a package is uninstalled.
Ça c'est pour une petite nouveauté non mentionnée par la dépêche et pour illustrer le fonctionnement global (et donc montrer ce qui a été fait dans la vidéo pour LibreOffice.) La plupart des gestionnaires de paquet fonctionnent d'une façon un peu similaire.
Maintenant, pour aller plus loin :
The package manager maintains a local database on the computer, stored in multiple folders. […] Each Slackware installation will contain a packages/ and scripts/ directory in the main database location. The former is where each package installed will have a corresponding install log file (based on the package name, version, arch, and build) that contains the package size, both compressed and uncompressed, the software description, and the full path of all files that were installed. If the package contained an optional doinst.sh post-installation script, the contents of that script will be added to a file in the scripts/ directory matching the filename of the corresponding package in the packages/ directory, allowing the administrator to view the post-installation script at a future point. When a package is removed or upgraded, the old install logs and scripts found under packages/ and scripts/ are moved to removed_packages/ and removed_scripts/, making it possible to review any previous packages and see when they were removed.
When a package is upgraded, it will install the new package over the old one and then remove any files that no longer exist in the new package. When running upgradepkg, it only confirms that the version numbers are different, thus allowing downgrading the package if desired.
Donc, comme les autres gestionnaires de paquets, ce qui est fait est tracé mais dans des fichiers textuels et non une base de données binaire. L'organisation est très simple et on peut tout refaire manuellement… (c'était le cas avant le gestionnaire de paquets : on extrayait l'archive et on faisait les opérations demandées par la procédure d'installation qu'on pouvait automatiser en écrivant soi-même le doinst.sh : c'est une distribution qui se veut sans artifice et est idéale pour maîtriser tout ce qui se fait sur le système sans truc auto-magique.) Du coup, oui
The package management system does not track or manage dependencies; however, when performing the recommended full install, all dependencies of the stock packages are met. For custom installations or 3rd-party packages, Slackware relies on the user to ensure that the system has all the supporting system libraries and programs required by the program. Since no official lists of dependencies for stock packages are provided, if users decide to install a custom installation or install 3rd-party software, they will need to work through any possible missing dependencies themselves. Since the package manager doesn't manage dependencies, it will install any and all packages, whether or not dependencies are met. A user may find out that dependencies are missing only when attempting to use the software.
Il n'y a vraiment pas de souci pour un paquet officiel (comme pour LibreOffice) : il y a tout ce qu'il faut en général dedans. Quand il y a des bouts de code partagés, l'appli est souvent découpé de sorte à résoudre le souci, comme dans d'autres distributions (on aura par exemple : trucmuche-server, trucmuche-client, trucmuche-tools, trucmuche-common) et la description informe clairement sur les autres dépendances qui ne font pas partie de l'appli (avec sudo, tu auras genre une information qu'il faut : ibaudit1, libpam, libselinux1, et zlib1g …dont la majorité sera déjà installé de base.)
L'absence de gestion de dépendance n'est vraiment problématique que pour des paquets qui ne sont pas empaquetés pour Slackware, typiquement des trucs récupérés aléatoirement sur la toile. Mais même dans ce cas, si c'est bien documenté on ne doit pas rencontré (trop) de souci. Et sinon (jamais eu besoin pour ma part), si ça peut te rassurer :
While Slackware itself does not incorporate official tools to resolve dependencies, some unofficial, community-supported software tools do provide this function, similar to the way APT does for Debian-based distributions and yum does for Red Hat-based distributions. They include
- slapt-get is a command line utility that functions in a similar way to APT. While slapt-get does provide a framework for dependency resolution, it does not provide dependency resolution for packages included within the Slackware distribution. However, several community package sources and Slackware based distributions take advantage of this functionality. Gslapt is a graphical interface to slapt-get.
- Swaret is a package management tool featuring dependency resolution. It was originally included in Slackware version 9.1 as an optional package, but did not contain dependency resolution at that time. It was removed from the distribution with Slackware 10.0 and turned over to the community. It eventually added dependency resolution and roll-back functionality; however, as of May 2014, there are no active developers.
- NetBSD's pkgsrc provides support for Slackware, among other Unix-like operating systems. pkgsrc provides dependency resolution for both binary and source packages.
Comme rien n'est imposé et que c'est fait au plus simple, on peut même fonctionner un peu façon Arch/Gentoo/…
Due to the possibility of dependency issues, many users choose to compile their own programs using community-provided SlackBuilds. SlackBuilds are shell scripts that will create an installable Slackware package from a provided software tarball. Since SlackBuilds are scripts, they aren't limited to just compiling a program's source; they can also be used to repackage pre-compiled binaries provided by projects or other distributions' repositories into proper Slackware packages. SlackBuilds that compile sources have several advantages over pre-built packages: since they build from the original author's source code, the user does not have to trust a third-party packager; furthermore the local compilation process allows for machine-specific optimization. In comparison to manual compilation and installation of software, SlackBuilds provide cleaner integration to the system by utilizing Slackware's package manager. Some SlackBuilds will come with an additional file with metadata that allows automated tools to download the source, verify the source is not corrupt, and calculate additional dependencies that are not part of Slackware.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Avant de finir, revenons sur les largeurs par défaut :
- 80 fold
- 75 fmt
- 72 par
- 72 pr
devrait être plutôt
Avant de finir, revenons sur les largeurs par défaut :
- 80 fold
- 75/[72](http://publib16.boulder.ibm.com/doc_link/en_US/a_doc_lib/cmds/aixcmds2/fmt.htm)/[70](https://manpages.debian.org/wheezy/9base/plan9-fmt.1.en.html) fmt
- 72 par
- 72 pr
Je note aussi un saut de ligne oublié par ici
le tout en gérant l'Unicode (en UTF-8) ! La largeur est aussi indiquée avec
"`-w ...`" (on peut utiliser juste "`w...`" ou "`...`") et est par défaut `72`…
(et j'avais en plus oublié l'espace insécable avant le point d'exclamation)
ainsi que, bien plus haut, par ici
J'utilise cette commande dans mes scripts pour des traitements caractère par
caractère :
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[^] # Re: Slackware n’intègre pas de résolution de dépendances ?
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Tout arrive, même Slackware 15.0. Évalué à 2.
Dans la liste des paquets il y en a qui sont communs/mutualisés, et je me souviens d'avoir installé un seul composant dans Debian. C'est en ce sens bien des programmes distincts et il a été prévu de pouvoir les compiler/distribuer séparément.
Mais c'est une "suite" et quelque soit le programme le composant que tu installes, tu auras toujours ton processus soffice.bin (issu du paquet cœur-commun) qui sera lancé pour le gérer. Là dessus c'est mieux fait que du côté µ$ (mais pareillement, à l'époque où on installait la suite depuis un CD, on pouvait sélectionner de n'installer que certains "aspect" et pas d'autres et il n'y avait pas cette symbiose et mutualisation qu'on trouve dans LibreOffice. remarque, pendant longtemps les programmes ont été vendus séparément aussi.)
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[^] # Re: Les tags n'ont pas de standard
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au lien Yet Another Hot Take on “Folders vs Tags”. Évalué à 2.
Il me semble (pas sûr car ça fait longtemps que je n'ai pas utilisé de GUI) l'explorateur de GNOME/MATE aussi, sous réserve d'activer un greffon (un peu comme fait Gwenview pour Dolphin)
Sinon, par rapport au message précédant, y a pas que Fenêtre ; le système X (et je crois aussi le Classique) de la Pomme aussi intègre bien l'affichage des métadonnées de certains médias (photos/musiques/vidéos) dans son explorateur de fichiers. Pour la recherche, on a les mêmes limitations…
Bon, il y a des trucs pour étendre la recherche aux métadonnées qui sont récupérés/fusionnés dans/aux données d'indexation. Cela faisait partie des grandes nouveautés annoncées par KDE 5 si je ne me trompe.
Mais comme déjà fait remarquer, il y a des solutions par environnement et plateforme mais rien de vraiment portable. Et ça ne risque pas de changer de si tôt parce-que les différents acteurs privés poussent à l'utilisation de leur solution nuageuse sans interopérabilité avec les autres (faudrait pas déconner avec le business…)
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[^] # Re: Un intertitre pour le plaisir
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au lien Contrôle parental : le Sénat exempte les PC professionnels sans système d'exploitation (€ un mois). Évalué à 5.
Préinstallé …comme une appli que tu peux réinstaller depuis le store ? Ou comme un truc bien imbriqué dans le système …et que tu ne fais que désactiver en croyant désinstaller ?
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[^] # Re: Stickers…
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au message QWERTY français. Évalué à 3.
Tout à fait. Il y a une confusion courante dans la tête des gens que je croise, mais la vérité est que l'ordinateur (plus précisément les systèmes d'exploitation) ne voi(en)t pas ce qui est marqué/sérigraphié sur le clavier :-D On a une disposition azerty ou ce qu'on veut parce-qu'on a paramétré son système en conséquence, qu'importe que le marquage physique soit en qwertz ou en cyrillique, qu'il y ait le logo de Fenêtre ou un autre dessin, etc.
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[^] # Re: remapper le clavier
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au message Utiliser shift sans maintenir appuyé?. Évalué à 2.
Petites confusions :
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[^] # Re: Slackware n’intègre pas de résolution de dépendances ?
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Tout arrive, même Slackware 15.0. Évalué à 2.
Je ne sais pas si ça a changé, mais sur les sites de OpenOffice et LibreOffice il y avait bien un paquet (
.deb
ou.rpm
) pour chaque composant… Et ce sont bien des outils distincts : un traitement de texte n'est pas un aspect de "[mettre le bon mot]" et un logiciel de présentation un autre aspect ; je peux à titre perso aimer utiliser Writer comme traitement de texte et préférer Gnumeric comme tableur par exemple. Une suite bureautique est bien distribué comme un seul produit mais fait d'un ensemble de programmes dixit Wikipédia, qui précise que certains programmes peuvent ne pas y être (IBM Domino Symphony et Microsoft Office pro incluent un logiciel de messagerie mais ce n'est pas le cas de LibreOffice.)La suite bureautique ne doit pas être confondu avec l'intégré bureautique comme Works qui malgré les apparences enregistre tout dans un format unique (qu'on fasse du traitement de texte ou du tableur dedans ce sera toujours du
.wks
—si j'ai bonne mémoire de l'extension.)“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
# [suite] La génération qui a grandi avec Google ne sait pas utiliser un système de fichiers
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au lien Yet Another Hot Take on “Folders vs Tags”. Évalué à 3.
En lien avec :
https://linuxfr.org/users/colargol/liens/la-generation-qui-a-grandi-avec-google-ne-sait-pas-utiliser-un-systeme-de-fichiers
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Super journal… que je lirai plus tard
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal rétrospective sur la mise en page en console. Évalué à 2.
Signalé à l'instant.
https://linuxfr.org/suivi/ameliorer-l-affichage-des-tableaux
Le PDF devrait faire pareil, vu que ça n'ajoute pas d'information sémantique qui serait rendue différemment. D'ailleurs, me fait penser que je ne l'ai pas précisé, que la correction proposée devrait s'appliquer aussi à la feuille de styles d'impression…
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Titre trompeur
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au lien Le langage COBOL a-t-il encore du succès ? La réponse pourrait vous surprendre. Évalué à 3.
ça n'empêche qu'il y a de beaucoup de micro qui aime bien se cacher sous un manteau agile… En tout cas dans nombre d'endroits où je suis passé en France.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Et si je m'oppose
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au lien S'opposer à la création de monespacesanté (Atos / Worldline). Évalué à 6.
Pas faux… Mais si c'est pour le patient… il ne faut pas mettre en place une prison centrale mais plutôt :
Ici, les patients et patientes à qui c'est supposé profiter sont juste en position de bébés ou de toutous dont les données sont triturées dans son dos sous couvert de belles promesses et aucune transparence.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: liens
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Grosse déception cette semaine. Évalué à 2. Dernière modification le 13 février 2022 à 21:28.
En fait 3
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: CSS ?
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Meikik, un nouveau Dialect pour Thymeleaf pour l'affichage de texte saisi par les utilisateurs. Évalué à 3. Dernière modification le 10 février 2022 à 18:27.
Ça t'a fait apprendre des trucs au passage, donc c'est pas con. Et puis il y a toujours la gestion de BBCode et de MarkDown qui ne sont pas intégrés dans les navigateurs. ;-)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: avec le décodeur ?
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Meikik, un nouveau Dialect pour Thymeleaf pour l'affichage de texte saisi par les utilisateurs. Évalué à 2.
Merci à rycks et à toi.
Reste le premier point (c'est le vide dans ma tête et j'espère que ce n'est pas un bogue de ma Joyeuse Vigoureuse Mémoire qui vieillie.)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Poubelle
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal TI-92 à donner. Évalué à 2. Dernière modification le 10 février 2022 à 18:18.
stack (or heap), not battery :-D
Oui, comme souvent en informatique, il y a la limite des ressources : sur ces calculatrices la taille de la pile est limitée par la mémoire vive…
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: version d'origine ?
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Wordle is the new TapTempo. Évalué à 2.
Oui, il semble que, outre-Manche, le pendu ait « fait son apparition pendant l'époque victorienne, vers la fin du XIXe siècle. » ;-)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Entre ça et Doctolib le choix est vite fait
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au lien S'opposer à la création de monespacesanté (Atos / Worldline). Évalué à 3. Dernière modification le 13 février 2022 à 21:38.
oui, c'est le module agenda déjà évoqué ici :-s
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Slackware n’intègre pas de résolution de dépendances ?
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Tout arrive, même Slackware 15.0. Évalué à 6.
Arf, je ne fais de « full install » que sur mes VM de test. Mon vieux portable Pentium sur lequel tourne Slackware a été installé en choisissant paquet par paquet et non par catégorie. ;-)
À noter que la Debian permet aussi ce genre de chose : n'installer que certaines catégories (mais il y en a moins à l'installation, et plus quand on lance le gestionnaire de paquets en clicodrome) ou choisir les différents programmes (bon ça fait des lustres que je n'ai pas pas essayé et je ne sais pas si ça existe toujours, par contre on n'avait pas la liste de tout ce qui était possible mais juste un petit sous-ensemble que je pense issue des catégories disponibles à l'installation.)
La découpe des paquets est une chose et la gestion des dépendances une autre. Dans l'exemple que tu prends, il se trouve que les distributions Red Hat découpent aussi en gros, comme Slackware, mais avec la gestion de dépendance en plus : ça aide pour les usages domestiques (et les admins qui ne veulent pas avoir le temps de lire toute la doc de ce avec quoi le programme fonctionne et mettre les mains dans le cambouis pour lier les composants) en t'installant en plus le X.org ou le Qt5 etc. (du coup, quelques paquets on été revus pour être découpé en variante avec ou sans X, mais pas aussi finement que chez Debian)
Une distribution est une philosophie/approche de l'administration système et autres facilités. La philosophie Slackware est d'être dans l'esprit des Unix initiaux (d'où la comparaison souvent avec les BSD) où les administrateurs font tout eux-même (à la mano, à leur sauce et non en se voyant imposer une vision) y compris pour les paquets (on récupère la totale telle que conçue par le projet puis on configure ce qu'on veut utiliser et on laisser le reste moisir à côté, là où les autres distributions veulent vous aider à tout prix.)
Ça rejoint ce que je disais dans un autre message. Hormis les gens qui poussent le bouchon trop loin comme moi, il faut prendre le temps de regarder les dépendances pour les gérer mais on rarement une multitude (jusqu'à deux en général et aucun plus souvent, comme tu le montres)
À l'usage, ça marche tellement simplement que tu te demandes parfois si les autres distros Linux n'ont pas inutilement compliqué… (mais je ne crois pas non plus parce-que certains choix amènent fatalement à plus de complexité)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
# avec le décodeur ?
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Meikik, un nouveau Dialect pour Thymeleaf pour l'affichage de texte saisi par les utilisateurs. Évalué à 3.
Euhhhh à quoi suis-je sensé penser ?
Au passage, qui est Thymeleaf ?
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Super journal… que je lirai plus tard
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal rétrospective sur la mise en page en console. Évalué à 3.
Pourquoi tu réécris
seq
? Si t'es sur ton OpenBSD, t'embête pas (vu que c'est un test rapide qui sera jeté ensuite) : utilisejot
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Commencement
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal TI-92 à donner. Évalué à 2.
On s'attendrait donc à bien plus de développeurs avec un tel monopole :-)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Très, très intéressant
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal rétrospective sur la mise en page en console. Évalué à 3.
Pour le plaisir des yeux : diffusion de grande image par le rouleau après avoir hacké le protocole de communication de la calculatrice TI) https://youtu.be/W_mZ7smIz3U
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Super journal… que je lirai plus tard
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal rétrospective sur la mise en page en console. Évalué à 4.
Je ne me suis pas attardé sur cet aspect parce-que la syntaxe varie d'une implémentation à une autre et que pour des raisons de portabilité il vaut mieux rester au dénominateur commun :
-w
Mais s'il y a beaucoup de demandes de précisions (auxquelles je tenterai de répondre sans prétendre avoir la maîtrise ultime vu que je n'utilise pas toutes les options) je compulserai dans un épisode (journal) complémentaire.Pour en revenir à la question, le maximum est le mur infranchissable… (dans le contexte des quotas c'est l'équivalent du « hard limit » je dirai.) D'après les manpages, quand on indique max seul, le programme doit en déduire le goal (semble que BSD utilise la même valeur, tandis que GNU calcule que ça fait 93%.)
Par contre, le goal est la limite désirée, désirable mais légèrement déspassable… (donc l'équivalent du « soft limit » quand on fait l'analogie avec la gestion des quotas.) De même, quand on indique goal seul, le programme doit en déduire le max (BSD fait plus dix et GNU fait plus sept pour cent.)
Quand on spécifie les deux, le programme va essayer de couper un peu après (ou juste à) goal et toujours avant max !
Test avec une forme commune du Lorem (il faudra tester plusieurs valeurs pour trouver celles qui sont les plus parlantes)
Bon, il y a quand même des lignes où il se permet de descendre un ou deux caractères en dessous de goal ici.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: cat
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au message traiter des blocs de texte pour composer de gros documents flexibles. Évalué à 2.
Héhé. c'est juste le manque d'habitude je pense. Mais pas à pas on acquière des réflexes ;-)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Slackware n’intègre pas de résolution de dépendances ?
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Tout arrive, même Slackware 15.0. Évalué à 10.
Je n'ai pas vu la vidéo, mais comme l'indique Wikipédia
Plus précisément
Ça c'est pour une petite nouveauté non mentionnée par la dépêche et pour illustrer le fonctionnement global (et donc montrer ce qui a été fait dans la vidéo pour LibreOffice.) La plupart des gestionnaires de paquet fonctionnent d'une façon un peu similaire.
Maintenant, pour aller plus loin :
Donc, comme les autres gestionnaires de paquets, ce qui est fait est tracé mais dans des fichiers textuels et non une base de données binaire. L'organisation est très simple et on peut tout refaire manuellement… (c'était le cas avant le gestionnaire de paquets : on extrayait l'archive et on faisait les opérations demandées par la procédure d'installation qu'on pouvait automatiser en écrivant soi-même le
doinst.sh
: c'est une distribution qui se veut sans artifice et est idéale pour maîtriser tout ce qui se fait sur le système sans truc auto-magique.) Du coup, ouiIl n'y a vraiment pas de souci pour un paquet officiel (comme pour LibreOffice) : il y a tout ce qu'il faut en général dedans. Quand il y a des bouts de code partagés, l'appli est souvent découpé de sorte à résoudre le souci, comme dans d'autres distributions (on aura par exemple : trucmuche-server, trucmuche-client, trucmuche-tools, trucmuche-common) et la description informe clairement sur les autres dépendances qui ne font pas partie de l'appli (avec sudo, tu auras genre une information qu'il faut : ibaudit1, libpam, libselinux1, et zlib1g …dont la majorité sera déjà installé de base.)
L'absence de gestion de dépendance n'est vraiment problématique que pour des paquets qui ne sont pas empaquetés pour Slackware, typiquement des trucs récupérés aléatoirement sur la toile. Mais même dans ce cas, si c'est bien documenté on ne doit pas rencontré (trop) de souci. Et sinon (jamais eu besoin pour ma part), si ça peut te rassurer :
Comme rien n'est imposé et que c'est fait au plus simple, on peut même fonctionner un peu façon Arch/Gentoo/…
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Autres corrections
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal rétrospective sur la mise en page en console. Évalué à 2.
Que nenni…
On me fait remarquer que cette partie
devrait être plutôt
Je note aussi un saut de ligne oublié par ici
(et j'avais en plus oublié l'espace insécable avant le point d'exclamation)
ainsi que, bien plus haut, par ici
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume