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Sans déc’ hein j’exagère même pas !
Je ne vous révèle pas tout cela parce que j’ai des actions Facom ou que j’aime parler des belles choses.
Bon, j’en ai, et je parle trop. Mais ! Sur la vie de la mère Noël je le jure, c’est vraiment le meilleur cadeau après le set de tournevis Facom.
Je suis bien d’accord avec toi. La question de l’énergie est tout de même centrale, car faire sans énergie fossiles c’est forcément entrer en décroissance. Même en minant tout ce qu’on veut. pour faire des centrales nucléaires et des éoliennes, ou encore d’autres barrages, on aura jamais le potentiel de nuisance que le pétrole nous a offert. Sans parler du fait que le pétrole ce n’est pas que de l’énergie, mais un formidable précurseur pour fabriquer des polymères. Sans pétrole on aura encore du plastique, on peut en faire avec énormément de ressources renouvelables, on sait faire, mais on ne pourra pas en faire les mêmes quantités.
Aujourd’hui il faut bien voir que quand on lit « 100 % renouvelable », ou même « 0 % énergie fossile » c’est d’une idiotie ou d’une malhonnêteté absolue : je doute qu’on soit près de voir des mines fonctionner à l’électricité ou à l’huile de coude, des hauts-fourneaux et des cimenteries électriques ou fonctionnant avec de la bio-masse voire du bio-méthane, et des éoliennes avec tout ce qui va autour transportées en véhicule électrique ou en char à bœufs.
Le fait de renoncer au pétrole, au gaz issu de fossils et au charbon (hors charbon de bois, on pourra toujours faire des barbecues pour partager quelques sauterelles avec ses amis !), et le fait d’organiser la décroissance économique, en fait c’est exactement la même chose j’ai l’impression. Il s’agit du même renoncement salutaire et quasi impossible psycho-socialement. L’un ne peut aller sans l’autre, me semble-t-il.
Tout le monde attend d’être sûr que s’il y va il sera pas tout seul comme un con, trop peur d’être le mormon de service, la risée du village mondiale à la merci du premier connard venu. Du coup personne bouge. Ou plutôt, bouge en secret en espérant éviter la catastrophe pour sa propre « famille ». Je ne vois pas non plus comment ça pourrait se passer pas trop mal cette transition aussi floue qu’inévitable.
La chute de la bio-diversité est aussi, et même davantage peut-être, la promesse de jours pas bien heureux. Me dire que je suis d’une des quelques générations qui auront pu constater la disparition d’une quantité phénoménale de forme de vie, en particulier les insectes, alors que bien plus d’un millier de générations précédentes n’auront pas pu voir ça, ça incite à réfléchir (ou en dissuade… selon comment on voit les choses).
les mêmes hippies sont toujours aussi incompétents et trouillards mais ils sont plus vieux
Je peux te garantir que les « hippies » n’ont jamais cessé d’exister, même s’ils ne sont plus désigné par ce mot, s’ils ne s’habillent plus de la même manière ou n’écoutent plus la même musique. Ils ont toujours existé et n’ont jamais perdu l’espoir d’atteindre une masse critique pour que le monde s’améliore.
trouver un site qui soit stable pendant des centaines de milliers d'années
On devrait donc, si je te suis, se soucier de ce qui pourrait se passer dans la pire des scénario imaginable, et dans des centaines de milliers d’années, pour remettre en cause une part majeure de la solution potentielle à un problème existentiel qui nous menace à l’échelle de quelques centaines d’années dans le meilleur des cas, probablement bien moins ?
Vraiment ?
Ce qu’on peut reprocher au nucléaire c’est peut-être son caractère anti-démocratique. Car comparé à la mise en œuvre des renouvelables, qui sont sans conteste bien plus à la portée d’entités, de sociétés de plus petite taille, et donc fondamentalement plus égalitaires, le nucléaire nécessite des pré-requis conséquents du point de vu civilisationnel. C’est bien ce qui fait que les renouvelables constituent aussi un enjeu crucial pour l’avenir, et qu’on ne peut sérieusement pas s’en détourner, même au profit du nucléaire. Mais la gestion des déchets radioactifs, tout comme la dangerosité du nucléaire, alors non, ça n’a aucun sens.
Ça ne me semble pas invraisemblable mais pas non plus d’une évidence flagrante, surtout que faut voir quel niveau d’implication dans le processus de construction on considère.
Donc comme la réponse avant moi, je suis curieux de connaître la source de cette affirmation (quelle qu’elle soit), et bien sûr encore plus intéressé si tu es en mesure de nous permettre de la constater, en plus de nous la donner simplement.
Aucune source d’énergie primaire ne présente aucun inconvénient. La fabrication ou le recyclage des pales d’éoliennes comme des panneaux solaires je peux parfaitement affirmer que ce n’est pas « franchement écologique ».
Je te rejoins sur le fait que cette explosion de la consommation d’électricité, pour des besoins pas vitaux pour l’humain, voire même pas « confortables » au final… est consternante, tragique même. l’IA n’est pas un pré-requis à la vie humaine, à contrario des objets que cette consommation faramineuse d’électricité détruit : bio-diversité, climat.
Par contre, sur le nucléaire, je crois que la peur que cette source d’énergie suscite chez beaucoup, et dont découle les fortes oppositions un peu partout, vient uniquement des caractères à la fois « impalpable » et en même temps « colossale » de la radio-activité elle-même.
Je me trompe peut-être (et ce serait tant mieux) mais je pense que le niveau général des connaissances scientifiques de toutes les populations, prises de façon générale, fait que la combustion d’hydrocarbure ou de tout autre combustible est bien plus « tangible », et nettement moins « sorcier » que la fission de l’uranium. Or d’une part on a naturellement tendance à craindre ce qu’on ne comprend pas, et d’autre part il est évident que le sentiment de danger qu’induisent le feu et la fumée, qu’on peut généralement, tout un chacun, détecter, et donc pouvoir espérer fuir, n’a rien à voir avec le danger de la radio-activité, qui lui, pour le coup, quand il est physiquement palpable dans sa chair, avec nos sens, c’est qu’il ne constitue plus un danger, mais une fatalité : la mort est relativement proche et parfaitement inévitable à court terme.
L’énergie nucléaire est à ce jour parmi toutes celles à notre disposition, celle qui a le rapport de ses qualités (pilotabilité, quantité produite, effets sur le climat) sur les risques qu’elle constitue (accidents nucléaires, impact sur l’environnement), le plus important, et de très très (très très très…) loin.
Alors oui, ce n’est pas renouvelable, il faut se procurer de l’uranium, mais si celui-ci ne « tombe pas du ciel » tel que la ressource vent ou la ressource soleil, il est nettement plus équitablement répandu sur la planète que toutes les autres ressources en dehors de ces deux dernières, ressources énergétiques ou autres. Peut-être que j’exagère, le fer ou d’autres métaux le sont quand même davantage, équitablement accessible à tous les humains, mais comparé au gaz, au pétrole, ou encore au lithium, il n’y a pas photo.
Ensuite, toujours cette rengaine de « on ne sait pas quoi faire des déchets ». C’est :
Faux : on sait ce qu’il faut en faire, les enfouir dans la croûte terrestre. Ce qui en dehors de la résistance irrationnelle de certains, que je viens d’évoquer, ne pose strictement aucun problème. Quand bien même, on peut aussi, et on le fait, les vitrifier et les entreposer au cas où on puisse à l’avenir les exploiter d’une nouvelle façon. On sait parfaitement quoi faire de ces déchets, c’est s’immuniser contre l’irrationalité (propre de l’Homme avant l’humour, dont il est à mon avis un préalable…) qui pose un souci. Ça effectivement, on a bien quelques pistes, mais rien de vraiment efficace.
Fallacieux : car il faut voir de quoi on parle en quantité. Si on compare avec la pollution par les plastiques (le plastique qui est fantastique, et surtout ne fait peur à personne comparé au nucléaire…), qui est littéralement partout autour de nous, et à l’intérieur même des espèces vivantes, de plus en plus, le volume que constituent ces déchets nucléaires, qui sont certes, à masse égale, nettement plus délétères que n’importe quel plastique (mais pour certains moins délétère que d’autres produits chimiques, je pense au benzène), ça n’a juste strictement rien à voir. Vouloir faire croire que l’exploitation de l’énergie nucléaire risque d’engendrer une « prolifération » quelconque est simplement malhonnête.
Pour conclure et finir de donner mon avis puisque personne ne me l’a demandé : « sortir du nucléaire » deviendra, sans aucun doute possible, une nécessité. Une nécessité à très long terme, ne serait que du fait de son caractère non renouvelable, mais c’est sans commune mesure avec l’urgence de sortir d’abord des énergies fossiles. Or, il m’apparaît, comme à d’autres, qu’avec même la plus miraculeuses des prises de conscience sur l’absolue nécessité d’une sobriété énergétique et qui serait suivit d’effets, et avec l’énergie nucléaire sous la main, un dénouement positif au problème du bouleversement actuel de notre biotope semble de plus en plus improbable. Alors prétendre pouvoir y arriver tout en se privant du nucléaire est proprement invraisemblable, pour ne pas dire : absolument utopique.
Posté par Marotte ⛧ .
En réponse au journal Sortie de JQM v3.
Évalué à 4.
Dernière modification le 15 décembre 2024 à 00:59.
Simplifier l’administration des jobs
Est-ce qu’il y a une interface à destination des utilisateurs (utilisateurs métiers ou intermédiaires), afin qu’ils puissent programmer (ou déprogrammer) eux-mêmes l’exécution d’un job, ou autoriser celle-ci ? Je pense par exemple à quelque chose qui ressemblerait à la validation dans Ansible. Une interface vraiment orientée utilisateur (ie : simple avec seulement les champs et les boutons indispensables, et intuitive), qui puisse être une sorte de « guichet » pour le lancement de traitements, voire de chaînes de traitements.
S’intégrer facilement dans divers environnements
Avec quels autres produits JQM s’intègre particulièrement bien ? N’est-il pas un peu trop « Java centric » ?
Il faut installer un agent sur les hôtes destinés à faire tourner les jobs (obligatoirement ou optionnellement) ?
mais s'il s'agit de contenus présentant la démocratie et incitant à la rebellion contre le régime nord-coréen, ce serait déjà nettement plus intelligent.
Ça dénote d’un raisonnement non trivial, mais est-ce vraiment intelligent, dans le sens, bénéfique ? Pour les coréens du nord comme du sud ?
Chez nous ça interdit l’utilisation d’une clé, d’un volume de stockage en fait, mais laisse la possibilité d’utiliser des périphériques comme par exemple un casque/micro audio.
il n'affiche pas l'extension des fichiers dont le type est connu.
Alors ça ça me fait penser à un truc encore plus incompréhensible dans Windows, dont j’aurais pensé que ça serait rapidement amélioré lorsque j’ai vu comment fonctionnait un OS Linux à ce niveau, avec l’utilisation de la “libmagic”.
À savoir le simple fait que sous GNU/Linux (et p-e même sur des *NIX plus anciens), il y a une base de données d’heuristiques, qui permet d’identifier le type des fichiers de façon presque certaine, simplement en regardant ce qu’il y a dedans. Donc de « reconnaître » en quelques sorte le type d’un fichier, sans se baser bêtement sur son nom.
Par exemple une image au format PNG commence par <89>PNG, (le <89> ici représente je ne sais caractère) puis a deux ou trois autres caractéristiques qui permettent presque à coup sûr de savoir que c’est un fichier au format PNG. J’ai rarement vu d’erreur, même si ça arrive (et l’option -k de la commande file est parfois utile). Le système se base sur ça pour déterminer le type de fichier.
Encore davantage que les fenêtres magnétiques, je me demande pourquoi Windows n’a pas implémenté une fonctionnalité semblable, je trouve ça incroyable que ça fonctionne toujours pareil aujourd’hui, sur l’extension, sur un Windows récent.
On peut la brancher (si on est assuré que rien ne va la monter automatiquement, voir faire autre chose sur la clé), Monter une éventuelle partition se trouvant sur la clé en noexec, nosymfollow, puis sanner, par exemple avec ClamAV. Ou d’autres. (Faut pas que ce soit sur une machine Windows hein bien sûr ! ^^)
Je ne sais pas ce qu’est une « boîte de décontamination », mais l’opération que je décris est de préférence à faire sur un poste dédié non relié au réseau, par prudence.
On peut aussi utiliser photorec ou autre, qui ne nécessite pas de monter la clé et ne devrait à priori pas récupérer un exécutable vérolé.
Mais clair que c’est à un service sécurité de faire ça. Le faire soit même c’est prendre des risques inutiles
Pas con. Ceci dit faut quand même que ça tape dans une émulation de terminal. Peut-être que ça tape des trucs du genre "mount /dev/cle /mnt; /mnt/.troyan", en boucle, jusqu’à que ça tombe dans un terminal ? Mais ça se verrait ? Et puis faut les droits root pour installer un malware vraiment puissant, donc utile.
Ou sinon c’est encore une faille dans la partie noyau qui gère le clavier.C’est intrigant.
Enfin bref, faudra que je me renseigne à l’occasion.
Un programme quel qu’il soit doit être exécuté pour faire quelque chose.
C’était le cas il y longtemps sous Windows qu’un programme ayant un nom précis était exécuté automatiquement lors de l’introduction de la clé. Sous Linux à ma connaissance ça n’a jamais été le cas (à moins qu’on le configure ainsi expressément). Chez moi moi même le montage n’est pas fait automatiquement.
Si le système n’exécute rien des exécutable sur la clé (ou le cable), ça nécessite une faille présente dans le noyau, au niveau du module qui gère l’USB, ou le FS. Si c’est le cas il doit être corrigé rapidement, et des bug similaires ne doivent pas être introduits si souvent. Ou encore une faille dans l’userland liée au FS qui permettrait au malware de faire son œuvre. Mais même remarque, ça me semble pas quelque chose qui soit présent à grande échelle.
Ou encore une faille carrément au niveau du BIOS (EFI) ?
J’ai entendu une histoire comme ça : Un entreprise demande à un prestataire qui fait du test d’intrusion (pen-testing). Lors de la première rencontre, qui se passe dans les locaux ed l’entreprise, est destiné à prendre contact, expliquer ce que l’entreprise attend, que le prestataire explique comment il va procéder dans les grandes lignes, les conditions, la durée du test, etc… À la fin de la journée il est convenu que le prestataire reviendra demain pour commencer à travailler.
Quand le prestataire revient le lendemain il annonce, « Voila, ma mission est finie, voici le rapport avec tous vos points de faiblesse, ce que vous devez mettre en œuvre. ». Le client ne comprend pas. Lui demande, inquiets, comme il a pu faire si vide, il ne s’était même pas connecté au réseau lors de cette première rencontre de travail.
Sa réponse : « J’ai offert à quelques uns de vos employés une clé USB avec le logo de ma société, un petit cadeau promotionnel pour faire connaître ma société. Je leur ai dit qu’elle ne contenait rien, c’était vraiment pour le côté promotionnel. Qu’ils pourraient l’utiliser chez eux pour y mettre ce qu’ils voulait. Et bien la moitié de vos employés l’on branché sur le PC de l’entreprise, je suppose pour vérifier s’il n’y avait pas quand même une petite surprise dessus.
Je ne sais pas si l’histoire ci-dessus est vraie, je ne me souviens plus de la source.
On entend même parler chez nos représentants politiques de « nécessité d’adaptation à un réchauffement de +4°C ».
Incantation suivie d’absolument aucune action tangible qui irait dans ce sens. Au contraire même, on dirait qu’on cherche à aggraver la tendance. Suffit de voir quels grands projets structurels nous finançons.
Enfin je dis « nous », mais je ne sais pas si quelqu’un tient toujours la laisse de la main invisible. Toujours le même problème avec ce qui est invisible, comme pour la licorne rose, on ne sait pas bien ce qu’elle est en train de faire. Peut-être bien qu’elle nous fait signe, la main ! Si elle avait un cerveau elle pourrait avoir la présence d’esprit de claquer des doigts, qu’on capte qu’elle veut dire un truc (« Abattez-moi d’urgence sinon je vais vous tuer ! » ?). Mais c’est une main, le truc.
Plus ça va et plus j’ai tendance à rejoindre les analyses de ceux qui disent que tout est foutu sans la moindre de chance que notre espèce puisse s‘adapter sans un bouleversement drastique de notre mode de vie occidental (comme Aurélien Barrau par exemple). Il me semble très probable, si ce n’est inévitable, que nous soyons nous-même, en temps qu’espèce, dans la charrette de l’extinction de masse que nous avons très vraisemblablement déclenchée.
Heureusement il doit bien rester encore un siècle ou deux avant que ça sente vraiment la fin des haricots, une éternité à l’échelle humaine ombilico-centrée. La conclusion évidente étant donc que tout va pour le mieux. Les climato-sceptiques ont raison : on nous ment, on nous manipule, car le réchauffement climatique est un faux problème. La destination de ce complot ourdi par les forces socialo-pédo-satanistes c’est de nous interdire de prendre l’avion (pour pouvoir embarquer plus de jus à chem-trails sans doute) et de nous forcer à rouler en voiturette de golf pour mieux nous contrôler. Et ça c’est pas moi ou Aurélien qui le dit, c’est Jacky qui le dit. Même que Nono et Momo sont bien d’accords avec lui, et eux c’est des mecs qui sachent.
Qu'ils ne doivent rien aux non-abonnés, et que c'est leur liberté, surtout qu'ils ne perdent rien si tu pars.
Ils font bien ce qu’ils veulent. Et heureusement.
Ce qu’ils perdent, si l’auteur du journal passe son chemin, en les privant ainsi de ses commentaires, dont la valeur ne sera jamais jugé par quiconque, puisqu’ils ne seront exprimés, du moins pas directement ici.
C’est effectivement, comme tu le pointes, une goutte dans océan.
Par contre, comme pour les élections : l’entassement d’un nombre faramineux de micro abstentions, au fil du temps, ça commence à constituer une petite butte propre à faire trébucher les heureux jouisseurs de leur liberté. Qui probablement s’accrocheront malencontreusement à la toge de Marianne, la dénudant dans leur chute.
Je suis probablement trop cryptique, voire inepte aux yeux des plus sérieux, alors je vais le dire simplement avec des mots adaptés au plus grand nombre :
« Argent partout, république nulle part. »
qu'ils motivent les gens à payer avec des fonctionnalités qui sont importantes pour les gens, rien d'anormal.
Et un suffrage censitaire n’est pas anti-démocratique.
Autre chose me dérange avec cette phrase que je cite ci-dessus : est-ce que tu réalises que le premier sujet "les gens", et le second sujet "les gens", peuvent autant relever de :
l’égalité des ensembles 1 et 2 (ie: il n’y a qu’un sujet alors dans ta phrase)
deux ensembles présentant une union (union allant de l’anecdotique à la quasi égalité) (ie: deux sujets dont la fusion éventuelle ne peut que servir le propos)
deux ensembles parfaitement disjoints. Auquel cas, rien ne serait anormal, seulement calamiteux du point de vue humaniste.
Dans 15 ans le test de Turing sera probablement enfin passé. Dire qu’Alan Turing serait p-e encore là de nos jours, à 102 ans, pour voir tout ce qu’à engendré une idée relativement simple sur le principe.
Est-ce le traitement hormonal archaïque et barbare, qu’on lui a imposé pour le « guérir » de son homosexualité ?
Est-ce que toute grosse tête qu’il était il avait pas assez l’esprit “safety-first” pour arriver à se retrouver à bouffer une pomme avec du cyanure dessus, par pur hasard malencontreux ? Est-ce qu’on l’a zigouillé parce qu’on avait trop peur qu’il raconte tout et fasse triompher la marxiste et impose les mots-croisés à l’école ?
On ne serait sûrement jamais. Et ce n’est pas une question cruciale pour la science après tout.
Sa destiné est tellement singulière. Et moi j’aime bien son choix de ne pas s’astreindre à s‘adapter à la fragilité du moi de ses interlocuteurs.
Est-ce que des gens ont essayé d’employer de l’IA générative pour générer des réseaux de neurones ?
Autre interrogation que j’ai : si de plus en plus de contenu est généré, entièrement ou en partie, par de l’IA générative. De quoi va-t-elle se nourrir à terme ? Est-ce qu’on va tous penser pareil, voire devenir, tout à fait artificiellement, cons comme des pierres en mousse ?
La technique des réseaux de neurones j’ai l’impression que c’est à l’intelligence ce que la méthode de Monte-Carlo est aux mathématiques : commode mais d’une autre nature ?
Je te rejoins sur le fait qu’il en faut pour tous les goûts et qu’une méthode n’empêche pas l’autre.
Après tout si le modèle de pendo.io s’avère absolument mauvais il finira par disparaître de lui-même à la longue.
Ce que je regrette par contre c’est quand la solution altère sensiblement la réactivité de l’interface, ou plus largement nuit au logiciel, même faiblement. Et je regrette également le fait que les autres canaux de retour utilisateur soient négligés au profit de cette façon de faire, comme si elle pouvait avantageusement toutes les remplacer. Ce qui n’est pas une obligation, bien sûr, mais un risque certain.
Quand une solution présente neuf chances sur dix d’être mal utilisée j’ai tendance à ignorer la valeur qu’elle a, une chance sur dix, de présenter, aussi grande soit-elle. C’est peut-être un tort.
La population des utilisateurs desquels je dois considérer les retours est en effet limitée.
En cas d’utilisateurs nombreux et d’effectif réduit pour la prise en compte je dirais qu’un système reposant sur l’auto-régulation entre utilisateurs, c’est à dire la possibilité pour les utilisateurs, par un système de vote, de pouvoir prioriser les retours les plus important, me semble en effet indispensable.
Mais au fond, je vois bien pourquoi ce type de société existe. Pour un site web avec des milliers de visiteurs, pour identifier comment améliorer la navigation ou la découverte des fonctionnalités, y a pas foule de solutions.
Un lien « contact » que l’utilisateur mécontent peut utiliser pour venir râler en expliquant son problème, ou faire une suggestion, tout simplement.
Ou encore, plus efficace et pas bien plus compliqué : un « bug tracker » auquel les plus “empowered” d’entre-eux feront appel, qui permettra d’être plus structuré que les simples messages. Ce qu’il y a de plus classique finalement.
Et j’ai peur du coût de triage/modération que cela induit.
En terme de rapport coût/efficacité pour ma part je ne suis vraiment pas convaincu par la méthode pendo.io, que je ne suis pas loin de considérer comme un acteur parasite plus que créateur de valeur.
Rien que l’idée de sous-traiter les retours utilisateurs ça me semble être une façon certaine de se déconnecter d’eux. On développe, ou plus largement agit, pour satisfaire des utilisateurs, mettre un « proxy » sur ce lien me semble une idée calamiteuse.
Pour faire une analogie, c’est comme si un magasin de chaussures, au lieu de recevoir ses clients en magasin pour leur faire essayer des chaussures et leur vendre, embauchait une personne chargée de sélectionner parmi la foule des clients, un « client type , qui sera seul à pénétrer dans la boutique pour essayer des paires de chaussures. Puis en fonction du choix de ce dernier, le vendeur de chaussure proposera à tous les clients de se rendre dans son entrepôt pour acheter telle ou telle paire de chaussures, sans qu’il n’aient plus à essayer eux-même.
Vous savez ce que disait Albert Einstein à propos des analogies ? Moi non plus.
Et toi tu fais comment pour récupérer les retours de tes utilisateurs ?
Je ne fais absolument rien, ils s’évertuent à m’en inonder le moindre canal de communication ! ^^
# Facom, what else?!
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Quelques notes de lecture. Évalué à 3. Dernière modification le 19 décembre 2024 à 18:47.
Si vous avez déjà eu le bonheur et l’immense plaisir d’offrir ces absolues merveilles l’année dernière, alors optez pour une pince multiprises Facom !
Pour vos proches comme pour vos moins proches que vous aimez plus ou moins : craquez pour un jeu de pinces multiprises de tailles différentes.
La pince multiprise Facom, l’outil idéal après le couteau, mais avant le marteau.
À votre table de fête entre le couteau et l’assiette, ressortant sur la nappe assortie aux chatoyantes couleurs de ces outils indestructibles cette beauté ravira vos convives les plus taciturnes, devenus parfaitement esbaudis face à la perfection rayonnante du génie humain incarné dans l’acier exceptionnel de ce couvert si orignal et ô combien pratique.
Déguster dinde, poulpe et gigot ne sera que réjouissance pour l’ensemble de vos chanceux invités, tout comme pour des voisins rentrés chez vous parce qu’éblouis par la lumière des ces pinces multiprises Facom, l’esprit même de Noël matérialisé dans cet objet fascinant et abordable avec la possibilité de crédit Facom proposé comme accessoire du chef-d’œuvre, et inférieur au taux d’usure !
Sans déc’ hein j’exagère même pas !
Je ne vous révèle pas tout cela parce que j’ai des actions Facom ou que j’aime parler des belles choses.
Bon, j’en ai, et je parle trop. Mais ! Sur la vie de la mère Noël je le jure, c’est vraiment le meilleur cadeau après le set de tournevis Facom.
[^] # Re: Sur l'extraction minière
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 4.
« tankies » c’est un diminutif de « think-tanks » ?
[^] # Re: cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 7.
Je suis bien d’accord avec toi. La question de l’énergie est tout de même centrale, car faire sans énergie fossiles c’est forcément entrer en décroissance. Même en minant tout ce qu’on veut. pour faire des centrales nucléaires et des éoliennes, ou encore d’autres barrages, on aura jamais le potentiel de nuisance que le pétrole nous a offert. Sans parler du fait que le pétrole ce n’est pas que de l’énergie, mais un formidable précurseur pour fabriquer des polymères. Sans pétrole on aura encore du plastique, on peut en faire avec énormément de ressources renouvelables, on sait faire, mais on ne pourra pas en faire les mêmes quantités.
Aujourd’hui il faut bien voir que quand on lit « 100 % renouvelable », ou même « 0 % énergie fossile » c’est d’une idiotie ou d’une malhonnêteté absolue : je doute qu’on soit près de voir des mines fonctionner à l’électricité ou à l’huile de coude, des hauts-fourneaux et des cimenteries électriques ou fonctionnant avec de la bio-masse voire du bio-méthane, et des éoliennes avec tout ce qui va autour transportées en véhicule électrique ou en char à bœufs.
Le fait de renoncer au pétrole, au gaz issu de fossils et au charbon (hors charbon de bois, on pourra toujours faire des barbecues pour partager quelques sauterelles avec ses amis !), et le fait d’organiser la décroissance économique, en fait c’est exactement la même chose j’ai l’impression. Il s’agit du même renoncement salutaire et quasi impossible psycho-socialement. L’un ne peut aller sans l’autre, me semble-t-il.
Tout le monde attend d’être sûr que s’il y va il sera pas tout seul comme un con, trop peur d’être le mormon de service, la risée du village mondiale à la merci du premier connard venu. Du coup personne bouge. Ou plutôt, bouge en secret en espérant éviter la catastrophe pour sa propre « famille ». Je ne vois pas non plus comment ça pourrait se passer pas trop mal cette transition aussi floue qu’inévitable.
La chute de la bio-diversité est aussi, et même davantage peut-être, la promesse de jours pas bien heureux. Me dire que je suis d’une des quelques générations qui auront pu constater la disparition d’une quantité phénoménale de forme de vie, en particulier les insectes, alors que bien plus d’un millier de générations précédentes n’auront pas pu voir ça, ça incite à réfléchir (ou en dissuade… selon comment on voit les choses).
[^] # Re: Les amis: faut voir à long terme
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 2.
Et fournit tellement d’énergie.
[^] # Re: cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 4.
Je peux te garantir que les « hippies » n’ont jamais cessé d’exister, même s’ils ne sont plus désigné par ce mot, s’ils ne s’habillent plus de la même manière ou n’écoutent plus la même musique. Ils ont toujours existé et n’ont jamais perdu l’espoir d’atteindre une masse critique pour que le monde s’améliore.
[^] # Re: cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 7.
On devrait donc, si je te suis, se soucier de ce qui pourrait se passer dans la pire des scénario imaginable, et dans des centaines de milliers d’années, pour remettre en cause une part majeure de la solution potentielle à un problème existentiel qui nous menace à l’échelle de quelques centaines d’années dans le meilleur des cas, probablement bien moins ?
Vraiment ?
Ce qu’on peut reprocher au nucléaire c’est peut-être son caractère anti-démocratique. Car comparé à la mise en œuvre des renouvelables, qui sont sans conteste bien plus à la portée d’entités, de sociétés de plus petite taille, et donc fondamentalement plus égalitaires, le nucléaire nécessite des pré-requis conséquents du point de vu civilisationnel. C’est bien ce qui fait que les renouvelables constituent aussi un enjeu crucial pour l’avenir, et qu’on ne peut sérieusement pas s’en détourner, même au profit du nucléaire. Mais la gestion des déchets radioactifs, tout comme la dangerosité du nucléaire, alors non, ça n’a aucun sens.
[^] # Re: cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 4.
Ça ne me semble pas invraisemblable mais pas non plus d’une évidence flagrante, surtout que faut voir quel niveau d’implication dans le processus de construction on considère.
Donc comme la réponse avant moi, je suis curieux de connaître la source de cette affirmation (quelle qu’elle soit), et bien sûr encore plus intéressé si tu es en mesure de nous permettre de la constater, en plus de nous la donner simplement.
[^] # Re: cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 10. Dernière modification le 16 décembre 2024 à 20:58.
Aucune source d’énergie primaire ne présente aucun inconvénient. La fabrication ou le recyclage des pales d’éoliennes comme des panneaux solaires je peux parfaitement affirmer que ce n’est pas « franchement écologique ».
Je te rejoins sur le fait que cette explosion de la consommation d’électricité, pour des besoins pas vitaux pour l’humain, voire même pas « confortables » au final… est consternante, tragique même. l’IA n’est pas un pré-requis à la vie humaine, à contrario des objets que cette consommation faramineuse d’électricité détruit : bio-diversité, climat.
Par contre, sur le nucléaire, je crois que la peur que cette source d’énergie suscite chez beaucoup, et dont découle les fortes oppositions un peu partout, vient uniquement des caractères à la fois « impalpable » et en même temps « colossale » de la radio-activité elle-même.
Je me trompe peut-être (et ce serait tant mieux) mais je pense que le niveau général des connaissances scientifiques de toutes les populations, prises de façon générale, fait que la combustion d’hydrocarbure ou de tout autre combustible est bien plus « tangible », et nettement moins « sorcier » que la fission de l’uranium. Or d’une part on a naturellement tendance à craindre ce qu’on ne comprend pas, et d’autre part il est évident que le sentiment de danger qu’induisent le feu et la fumée, qu’on peut généralement, tout un chacun, détecter, et donc pouvoir espérer fuir, n’a rien à voir avec le danger de la radio-activité, qui lui, pour le coup, quand il est physiquement palpable dans sa chair, avec nos sens, c’est qu’il ne constitue plus un danger, mais une fatalité : la mort est relativement proche et parfaitement inévitable à court terme.
L’énergie nucléaire est à ce jour parmi toutes celles à notre disposition, celle qui a le rapport de ses qualités (pilotabilité, quantité produite, effets sur le climat) sur les risques qu’elle constitue (accidents nucléaires, impact sur l’environnement), le plus important, et de très très (très très très…) loin.
Alors oui, ce n’est pas renouvelable, il faut se procurer de l’uranium, mais si celui-ci ne « tombe pas du ciel » tel que la ressource vent ou la ressource soleil, il est nettement plus équitablement répandu sur la planète que toutes les autres ressources en dehors de ces deux dernières, ressources énergétiques ou autres. Peut-être que j’exagère, le fer ou d’autres métaux le sont quand même davantage, équitablement accessible à tous les humains, mais comparé au gaz, au pétrole, ou encore au lithium, il n’y a pas photo.
Ensuite, toujours cette rengaine de « on ne sait pas quoi faire des déchets ». C’est :
Faux : on sait ce qu’il faut en faire, les enfouir dans la croûte terrestre. Ce qui en dehors de la résistance irrationnelle de certains, que je viens d’évoquer, ne pose strictement aucun problème. Quand bien même, on peut aussi, et on le fait, les vitrifier et les entreposer au cas où on puisse à l’avenir les exploiter d’une nouvelle façon. On sait parfaitement quoi faire de ces déchets, c’est s’immuniser contre l’irrationalité (propre de l’Homme avant l’humour, dont il est à mon avis un préalable…) qui pose un souci. Ça effectivement, on a bien quelques pistes, mais rien de vraiment efficace.
Fallacieux : car il faut voir de quoi on parle en quantité. Si on compare avec la pollution par les plastiques (le plastique qui est fantastique, et surtout ne fait peur à personne comparé au nucléaire…), qui est littéralement partout autour de nous, et à l’intérieur même des espèces vivantes, de plus en plus, le volume que constituent ces déchets nucléaires, qui sont certes, à masse égale, nettement plus délétères que n’importe quel plastique (mais pour certains moins délétère que d’autres produits chimiques, je pense au benzène), ça n’a juste strictement rien à voir. Vouloir faire croire que l’exploitation de l’énergie nucléaire risque d’engendrer une « prolifération » quelconque est simplement malhonnête.
Pour conclure et finir de donner mon avis puisque personne ne me l’a demandé : « sortir du nucléaire » deviendra, sans aucun doute possible, une nécessité. Une nécessité à très long terme, ne serait que du fait de son caractère non renouvelable, mais c’est sans commune mesure avec l’urgence de sortir d’abord des énergies fossiles. Or, il m’apparaît, comme à d’autres, qu’avec même la plus miraculeuses des prises de conscience sur l’absolue nécessité d’une sobriété énergétique et qui serait suivit d’effets, et avec l’énergie nucléaire sous la main, un dénouement positif au problème du bouleversement actuel de notre biotope semble de plus en plus improbable. Alors prétendre pouvoir y arriver tout en se privant du nucléaire est proprement invraisemblable, pour ne pas dire : absolument utopique.
# Est-ce que ça fait le job ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Sortie de JQM v3. Évalué à 4. Dernière modification le 15 décembre 2024 à 00:59.
Est-ce qu’il y a une interface à destination des utilisateurs (utilisateurs métiers ou intermédiaires), afin qu’ils puissent programmer (ou déprogrammer) eux-mêmes l’exécution d’un job, ou autoriser celle-ci ? Je pense par exemple à quelque chose qui ressemblerait à la validation dans Ansible. Une interface vraiment orientée utilisateur (ie : simple avec seulement les champs et les boutons indispensables, et intuitive), qui puisse être une sorte de « guichet » pour le lancement de traitements, voire de chaînes de traitements.
Avec quels autres produits JQM s’intègre particulièrement bien ? N’est-il pas un peu trop « Java centric » ?
Il faut installer un agent sur les hôtes destinés à faire tourner les jobs (obligatoirement ou optionnellement) ?
[^] # Re: la clé de la contamination ou de l’intrusion
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Un câble USB qui permet de pirater un ordinateur.. Évalué à 4.
C’est peut-être déjà le cas d’ailleurs.
Ça pourrait expliquer le sentiment fréquent et très répandue (mais communément dénié ^^) de ne pas être né⋅e dans le bon univers.
[^] # Re: Clés volantes
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Un câble USB qui permet de pirater un ordinateur.. Évalué à 4.
Ça dénote d’un raisonnement non trivial, mais est-ce vraiment intelligent, dans le sens, bénéfique ? Pour les coréens du nord comme du sud ?
[^] # Re: la clé de la contamination ou de l’intrusion
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Un câble USB qui permet de pirater un ordinateur.. Évalué à 3.
Chez nous ça interdit l’utilisation d’une clé, d’un volume de stockage en fait, mais laisse la possibilité d’utiliser des périphériques comme par exemple un casque/micro audio.
[^] # Re: la clé de la contamination ou de l’intrusion
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Un câble USB qui permet de pirater un ordinateur.. Évalué à 3.
Idem là où je suis actuellement. Au niveau du système Windows.
Et de plus zélés pourraient carrément bloquer au niveau du BIOS.
[^] # Re: la clé de la contamination ou de l’intrusion
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Un câble USB qui permet de pirater un ordinateur.. Évalué à 4.
Je ne vois pas pourquoi l’univers ne pourrait pas rebooter ! ^^
[^] # Re: Intéressant mais ça manque de détail technique
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Un câble USB qui permet de pirater un ordinateur.. Évalué à 8. Dernière modification le 14 décembre 2024 à 00:56.
Alors ça ça me fait penser à un truc encore plus incompréhensible dans Windows, dont j’aurais pensé que ça serait rapidement amélioré lorsque j’ai vu comment fonctionnait un OS Linux à ce niveau, avec l’utilisation de la “libmagic”.
À savoir le simple fait que sous GNU/Linux (et p-e même sur des *NIX plus anciens), il y a une base de données d’heuristiques, qui permet d’identifier le type des fichiers de façon presque certaine, simplement en regardant ce qu’il y a dedans. Donc de « reconnaître » en quelques sorte le type d’un fichier, sans se baser bêtement sur son nom.
Par exemple une image au format PNG commence par
<89>PNG
, (le <89> ici représente je ne sais caractère) puis a deux ou trois autres caractéristiques qui permettent presque à coup sûr de savoir que c’est un fichier au format PNG. J’ai rarement vu d’erreur, même si ça arrive (et l’option-k
de la commandefile
est parfois utile). Le système se base sur ça pour déterminer le type de fichier.Encore davantage que les fenêtres magnétiques, je me demande pourquoi Windows n’a pas implémenté une fonctionnalité semblable, je trouve ça incroyable que ça fonctionne toujours pareil aujourd’hui, sur l’extension, sur un Windows récent.
[^] # Re: la clé de la contamination ou de l’intrusion
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Un câble USB qui permet de pirater un ordinateur.. Évalué à 4. Dernière modification le 07 décembre 2024 à 23:50.
On peut la brancher (si on est assuré que rien ne va la monter automatiquement, voir faire autre chose sur la clé), Monter une éventuelle partition se trouvant sur la clé en noexec, nosymfollow, puis sanner, par exemple avec ClamAV. Ou d’autres. (Faut pas que ce soit sur une machine Windows hein bien sûr ! ^^)
Je ne sais pas ce qu’est une « boîte de décontamination », mais l’opération que je décris est de préférence à faire sur un poste dédié non relié au réseau, par prudence.
On peut aussi utiliser photorec ou autre, qui ne nécessite pas de monter la clé et ne devrait à priori pas récupérer un exécutable vérolé.
Mais clair que c’est à un service sécurité de faire ça. Le faire soit même c’est prendre des risques inutiles
[^] # Re: Intéressant mais ça manque de détail technique
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Un câble USB qui permet de pirater un ordinateur.. Évalué à 3.
Pas con. Ceci dit faut quand même que ça tape dans une émulation de terminal. Peut-être que ça tape des trucs du genre "mount /dev/cle /mnt; /mnt/.troyan", en boucle, jusqu’à que ça tombe dans un terminal ? Mais ça se verrait ? Et puis faut les droits root pour installer un malware vraiment puissant, donc utile.
Ou sinon c’est encore une faille dans la partie noyau qui gère le clavier.C’est intrigant.
Enfin bref, faudra que je me renseigne à l’occasion.
# Intéressant mais ça manque de détail technique
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Un câble USB qui permet de pirater un ordinateur.. Évalué à 8.
Un programme quel qu’il soit doit être exécuté pour faire quelque chose.
C’était le cas il y longtemps sous Windows qu’un programme ayant un nom précis était exécuté automatiquement lors de l’introduction de la clé. Sous Linux à ma connaissance ça n’a jamais été le cas (à moins qu’on le configure ainsi expressément). Chez moi moi même le montage n’est pas fait automatiquement.
Si le système n’exécute rien des exécutable sur la clé (ou le cable), ça nécessite une faille présente dans le noyau, au niveau du module qui gère l’USB, ou le FS. Si c’est le cas il doit être corrigé rapidement, et des bug similaires ne doivent pas être introduits si souvent. Ou encore une faille dans l’userland liée au FS qui permettrait au malware de faire son œuvre. Mais même remarque, ça me semble pas quelque chose qui soit présent à grande échelle.
Ou encore une faille carrément au niveau du BIOS (EFI) ?
J’ai entendu une histoire comme ça : Un entreprise demande à un prestataire qui fait du test d’intrusion (pen-testing). Lors de la première rencontre, qui se passe dans les locaux ed l’entreprise, est destiné à prendre contact, expliquer ce que l’entreprise attend, que le prestataire explique comment il va procéder dans les grandes lignes, les conditions, la durée du test, etc… À la fin de la journée il est convenu que le prestataire reviendra demain pour commencer à travailler.
Quand le prestataire revient le lendemain il annonce, « Voila, ma mission est finie, voici le rapport avec tous vos points de faiblesse, ce que vous devez mettre en œuvre. ». Le client ne comprend pas. Lui demande, inquiets, comme il a pu faire si vide, il ne s’était même pas connecté au réseau lors de cette première rencontre de travail.
Sa réponse : « J’ai offert à quelques uns de vos employés une clé USB avec le logo de ma société, un petit cadeau promotionnel pour faire connaître ma société. Je leur ai dit qu’elle ne contenait rien, c’était vraiment pour le côté promotionnel. Qu’ils pourraient l’utiliser chez eux pour y mettre ce qu’ils voulait. Et bien la moitié de vos employés l’on branché sur le PC de l’entreprise, je suppose pour vérifier s’il n’y avait pas quand même une petite surprise dessus.
Je ne sais pas si l’histoire ci-dessus est vraie, je ne me souviens plus de la source.
[^] # Re: Fuck les abeilles !
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Le projet Meta de datacenter IA alimenté au nucléaire échoue.. Évalué à 5.
On entend même parler chez nos représentants politiques de « nécessité d’adaptation à un réchauffement de +4°C ».
Incantation suivie d’absolument aucune action tangible qui irait dans ce sens. Au contraire même, on dirait qu’on cherche à aggraver la tendance. Suffit de voir quels grands projets structurels nous finançons.
Enfin je dis « nous », mais je ne sais pas si quelqu’un tient toujours la laisse de la main invisible. Toujours le même problème avec ce qui est invisible, comme pour la licorne rose, on ne sait pas bien ce qu’elle est en train de faire. Peut-être bien qu’elle nous fait signe, la main ! Si elle avait un cerveau elle pourrait avoir la présence d’esprit de claquer des doigts, qu’on capte qu’elle veut dire un truc (« Abattez-moi d’urgence sinon je vais vous tuer ! » ?). Mais c’est une main, le truc.
Plus ça va et plus j’ai tendance à rejoindre les analyses de ceux qui disent que tout est foutu sans la moindre de chance que notre espèce puisse s‘adapter sans un bouleversement drastique de notre mode de vie occidental (comme Aurélien Barrau par exemple). Il me semble très probable, si ce n’est inévitable, que nous soyons nous-même, en temps qu’espèce, dans la charrette de l’extinction de masse que nous avons très vraisemblablement déclenchée.
Heureusement il doit bien rester encore un siècle ou deux avant que ça sente vraiment la fin des haricots, une éternité à l’échelle humaine ombilico-centrée. La conclusion évidente étant donc que tout va pour le mieux. Les climato-sceptiques ont raison : on nous ment, on nous manipule, car le réchauffement climatique est un faux problème. La destination de ce complot ourdi par les forces socialo-pédo-satanistes c’est de nous interdire de prendre l’avion (pour pouvoir embarquer plus de jus à chem-trails sans doute) et de nous forcer à rouler en voiturette de golf pour mieux nous contrôler. Et ça c’est pas moi ou Aurélien qui le dit, c’est Jacky qui le dit. Même que Nono et Momo sont bien d’accords avec lui, et eux c’est des mecs qui sachent.
[^] # Re: J'aurais plutôt écrit
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Le projet Meta de datacenter IA alimenté au nucléaire échoue.. Évalué à 6.
Si on veut
chipoterêtre plus précis c’est : « grâce à la législation protégeant une espèce rare d’abeille. »Pour chipoter il faut ajouter : « … , législation dont cette espèce n’est pas à l’origine et n’a pas participé à la conception. »
[^] # Re: Qu'en penser…
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Next.ink : Vous devez être abonné pour pouvoir commenter. Évalué à -7.
Ils font bien ce qu’ils veulent. Et heureusement.
Ce qu’ils perdent, si l’auteur du journal passe son chemin, en les privant ainsi de ses commentaires, dont la valeur ne sera jamais jugé par quiconque, puisqu’ils ne seront exprimés, du moins pas directement ici.
C’est effectivement, comme tu le pointes, une goutte dans océan.
Par contre, comme pour les élections : l’entassement d’un nombre faramineux de micro abstentions, au fil du temps, ça commence à constituer une petite butte propre à faire trébucher les heureux jouisseurs de leur liberté. Qui probablement s’accrocheront malencontreusement à la toge de Marianne, la dénudant dans leur chute.
Je suis probablement trop cryptique, voire inepte aux yeux des plus sérieux, alors je vais le dire simplement avec des mots adaptés au plus grand nombre :
« Argent partout, république nulle part. »
Et un suffrage censitaire n’est pas anti-démocratique.
Autre chose me dérange avec cette phrase que je cite ci-dessus : est-ce que tu réalises que le premier sujet "les gens", et le second sujet "les gens", peuvent autant relever de :
l’égalité des ensembles 1 et 2 (ie: il n’y a qu’un sujet alors dans ta phrase)
deux ensembles présentant une union (union allant de l’anecdotique à la quasi égalité) (ie: deux sujets dont la fusion éventuelle ne peut que servir le propos)
deux ensembles parfaitement disjoints. Auquel cas, rien ne serait anormal, seulement calamiteux du point de vue humaniste.
[^] # Re: IA bootstrap
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Entre imitation et biais systématiques : les supercheries de l’intelligence artificielle by chatgpt©. Évalué à 1.
Connaissais pas le terme, je le trouve pertinent.
Dans 15 ans le test de Turing sera probablement enfin passé. Dire qu’Alan Turing serait p-e encore là de nos jours, à 102 ans, pour voir tout ce qu’à engendré une idée relativement simple sur le principe.
Est-ce le traitement hormonal archaïque et barbare, qu’on lui a imposé pour le « guérir » de son homosexualité ?
Est-ce que toute grosse tête qu’il était il avait pas assez l’esprit “safety-first” pour arriver à se retrouver à bouffer une pomme avec du cyanure dessus, par pur hasard malencontreux ? Est-ce qu’on l’a zigouillé parce qu’on avait trop peur qu’il raconte tout et fasse triompher la marxiste et impose les mots-croisés à l’école ?
On ne serait sûrement jamais. Et ce n’est pas une question cruciale pour la science après tout.
Sa destiné est tellement singulière. Et moi j’aime bien son choix de ne pas s’astreindre à s‘adapter à la fragilité du moi de ses interlocuteurs.
# IA bootstrap
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Entre imitation et biais systématiques : les supercheries de l’intelligence artificielle by chatgpt©. Évalué à 2. Dernière modification le 08 novembre 2024 à 16:47.
Est-ce que des gens ont essayé d’employer de l’IA générative pour générer des réseaux de neurones ?
Autre interrogation que j’ai : si de plus en plus de contenu est généré, entièrement ou en partie, par de l’IA générative. De quoi va-t-elle se nourrir à terme ? Est-ce qu’on va tous penser pareil, voire devenir, tout à fait artificiellement, cons comme des pierres en mousse ?
La technique des réseaux de neurones j’ai l’impression que c’est à l’intelligence ce que la méthode de Monte-Carlo est aux mathématiques : commode mais d’une autre nature ?
[^] # Re: Lapin tout compris
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal L’ingénierie informatique serait un métier fabuleux si on ne prenait pas en compte les utilisateurs. Évalué à 4. Dernière modification le 07 novembre 2024 à 17:51.
Je te rejoins sur le fait qu’il en faut pour tous les goûts et qu’une méthode n’empêche pas l’autre.
Après tout si le modèle de pendo.io s’avère absolument mauvais il finira par disparaître de lui-même à la longue.
Ce que je regrette par contre c’est quand la solution altère sensiblement la réactivité de l’interface, ou plus largement nuit au logiciel, même faiblement. Et je regrette également le fait que les autres canaux de retour utilisateur soient négligés au profit de cette façon de faire, comme si elle pouvait avantageusement toutes les remplacer. Ce qui n’est pas une obligation, bien sûr, mais un risque certain.
Quand une solution présente neuf chances sur dix d’être mal utilisée j’ai tendance à ignorer la valeur qu’elle a, une chance sur dix, de présenter, aussi grande soit-elle. C’est peut-être un tort.
La population des utilisateurs desquels je dois considérer les retours est en effet limitée.
En cas d’utilisateurs nombreux et d’effectif réduit pour la prise en compte je dirais qu’un système reposant sur l’auto-régulation entre utilisateurs, c’est à dire la possibilité pour les utilisateurs, par un système de vote, de pouvoir prioriser les retours les plus important, me semble en effet indispensable.
[^] # Re: Lapin tout compris
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal L’ingénierie informatique serait un métier fabuleux si on ne prenait pas en compte les utilisateurs. Évalué à 4. Dernière modification le 04 novembre 2024 à 23:52.
Un lien « contact » que l’utilisateur mécontent peut utiliser pour venir râler en expliquant son problème, ou faire une suggestion, tout simplement.
Ou encore, plus efficace et pas bien plus compliqué : un « bug tracker » auquel les plus “empowered” d’entre-eux feront appel, qui permettra d’être plus structuré que les simples messages. Ce qu’il y a de plus classique finalement.
En terme de rapport coût/efficacité pour ma part je ne suis vraiment pas convaincu par la méthode pendo.io, que je ne suis pas loin de considérer comme un acteur parasite plus que créateur de valeur.
Rien que l’idée de sous-traiter les retours utilisateurs ça me semble être une façon certaine de se déconnecter d’eux. On développe, ou plus largement agit, pour satisfaire des utilisateurs, mettre un « proxy » sur ce lien me semble une idée calamiteuse.
Pour faire une analogie, c’est comme si un magasin de chaussures, au lieu de recevoir ses clients en magasin pour leur faire essayer des chaussures et leur vendre, embauchait une personne chargée de sélectionner parmi la foule des clients, un « client type , qui sera seul à pénétrer dans la boutique pour essayer des paires de chaussures. Puis en fonction du choix de ce dernier, le vendeur de chaussure proposera à tous les clients de se rendre dans son entrepôt pour acheter telle ou telle paire de chaussures, sans qu’il n’aient plus à essayer eux-même.
Vous savez ce que disait Albert Einstein à propos des analogies ? Moi non plus.
Je ne fais absolument rien, ils s’évertuent à m’en inonder le moindre canal de communication ! ^^