Est-ce que quelqu’un a encore quelque chose à foutre de la logique élémentaire ? Vaudrait mieux, car si avoir à cœur de parler de A c’est n’avoir rien à foutre de B on n’est pas sorti avant même d’être rentrés…
Est-ce que tu déplores la pauvreté du contenu directement lié au logiciel libre sur LinuxFR? Tu as été voir sur l’onglet d’à côté ? Puis il n’y a pas de limite en pratique aux nombres de journaux que tu peux écrire et publier dans un laps de temps donné.
Une phrase de The Wall qui me revient souvent et que je trouve très belle, dans un autre des morceaux, « Goodbye blue sky » je crois, j’ai la flemme de vérifier :
“Did you ever wonder why we all have to run for shelter while the promises of a brave new world unfurled beneath a clear blue sky?”
Si vous n’avez pas essayé de chanter cette chanson, et donc de déclamer cette phrase sans respirer du début à la fin, d’une traite. Essayez, c’est rigolo ! ^^
Oui c’est exactement ça que je veux dénoncer, de nos jours « On » a réussi à faire croire à « la masse », à « l’opinion publique », que le rap c’était cette matière immonde que diffuse ad nauseum Skyrock* et dont la jeunesse a été violemment appâtée dans l’indifférence générale ou presque.
* « Les premiers sur le rap ne passent que les derniers de la classe. » − Kacem Wapalek
J’ai failli en parler. Dix ans de procédure judiciaire à l’initiative de notre ancien président pour les propos tenus par Hamé de La Rumeur dans un pamphlet (et non un morceau de rap) qui ont abouti à ce que la Justice, donnant tort à Sarkozy, fasse jurisprudence que le fait de dire qu’un nombre forcément trop important de policiers sont des meurtriers jouissant d’une impunité systémique pour leurs crimes n’est pas contraire à la Loi. Pour la raison que c’est une réalité indiscutable.
Comme un précédent commentaire évoquait comment le rap traite des minorités et comme ton commentaire parle de La Rumeur, j’ai envie de lié ce morceau de La Rumeur : « On m’a demandé d’oublier. » (1998 à priori). Sans parler du fond, le « drop » à 00:22 est musicalement génial, je trouve.
Je connais Jul de nom et ai écouté très peu de ses morceaux mais j’ai pas le souvenir de la catastrophe que son les exemples données par le philosophe de Youtube dont je parlais.
J’ai été voir vite fait, 90 secondes montre en main, ce que JuL écrit et chante (me semble qu’il y une majuscule à la fin, j’ai d’ailleurs toujours trouvé ça très cool graphiquement parlant). Je m’arrête sur :
« Trop d'petits me regardent, j'montre pas la drogue et les armes poto. »
Exactement le discours contraire, son contre-discours peut-on dire (?), du pseudo rap dont je partage la dénonciation de La Cartouche ici-même avec vous.
les paroles monosyllabiques et les rythmes répétitifs, qui si on résume son propos, jetterai avec l'eau du bain Erik Satie, une grande partie de la musique africaine et les traditions de chant diphonique sous prétexte de taper sur le rap.
Je suis bien d’accord, sauf que ni Erik Satie ni les chanteureuse africaine traditionnelles n’ont jamais prétendu faire du rap, à savoir, décrire la vie la plus fidèlement possible, et aspirer à une reconnaissance littéraire.
la musique est universelle, mais très difficile à partager
Comme j’ai dit plus haut : tout es relatif. Je trouve pour ma part que bien des choses se partagent beaucoup plus difficilement que la musique.
Excellent ! Par contre qu’on qualifie de "old", et de "new", c’est totalement faux mais facilement compréhensible : jadis, on ne voyait fatalement que le bon rap, et très peu de rap de merde. D’une part car sa monétisation n’était pas aussi évident, d’autre part, tout un chacun ne pouvait pas devenir « producteur de contenu » avec une connexion à internet, un ordinateur et un micro.
Par ailleurs, je peux trouver du rap récent, abordant à l’ancienne des thèmes actuels, tout comme du rap récent, avec un couplet, trois mots dans le refrain et du vocodeur tout du long, abordant des thèmes poncés et re-poncés depuis Homer. Et des deux trouver une valeur certaine.
En ce qui me concerne, jamais je ne prétendrai qu’avant il y avait objectivement que plutôt du bon rap, puisque les deux premiers rappeur que j’ai écouté était Benny B et Vanilla Ice.
Ensuite, certes, un phénomène sociétal indéniable est que quand les rappeurs de la fin du siècle dernier et du tout début du siècle s’évertuaient à dresser des constats d’alerte, à dénoncer la précarité et de désarrois de leur conditions existentielles, nombre des rappeurs qui les suivirent se firent et se font encore les porte-paroles d’un discours et d’un état d’esprit de refus de leur conditions de victime, et mécaniquement, par l’expression de leur victoire sur la société. Société qui, je pense que nous vivons dans la même, associe de manière obsessionnelle réussite humaine et confort matériel, et bien imbibé de violence. Ceux qui pouvaient se dire « Haut-parleurs trop souvent placés au centre du viseur » sont devenus pour une partie non négligeables d’entre-eux, ceux qui se targuent, si pathétiquement je trouve, d’être ceux qui dirigent le viseurs sur leur anciens tortionnaires.
mon fils (20 ans) est un grand fan. Perso (50 ans ;) ), je peux écouter. Il y a des titres que j'aime bien et que je réécoute avec plaisir.
Est-ce que tu aurais deux ou trois noms d’artiste, voire titres, que je puisse savoir si ton fils est friand de rap, ou bien de rap ?
l'utilisation de gros mots et la place faite à la femme et aux minorités est trop souvent malmenée (c'est un euphémisme) et comme je déteste les rimes en "ute", je n'écoute plus.
Il faut voir ce que tu entends par « gros mots », il me semble que c’est variable d’un esprit à l’autre, ce que chacun catégorise soit dans l’insulte vulgaire et détestable, soit dans le langage familier pittoresque, comme un tas de choses je crois deviner que ça dépend de l’éducation qu’il subit.
D’après ton affirmation je pense que vous semblez, sembliez dans ton cas, malheureusement écouter du rap, et passez complètement à côté du rap.
Quand on n’aime pas les rimes, celle qu’on préfère c’est la rime en -orze je parie !
Tout de suite : sur le poids de l’habitude, certes, mais ton commentaire donne précisément de véritables lacunes précises de Windows. Et de ce que je crois comprendre, tu utilises principalement Windows comme serveur, et MacOS comme station de travail :)
\4. Merci je testerai
\5. En effet, Windows est plus lent surtout parce qu’il est généralement plus chargé. Je n’ai pas l’occasion d’avoir un Windows minimal pour pouvoir comparer alors je te crois.
\6.
On reste appuyé sur le a, par exemple, et ça affiche tous les caractères accentués possibles, comme sur un clavier android ou ios. Et ça, bordel, ça manque, vraiment.
Faire AltDroite (AltGr) + Shift + 0 pour écrire À est infiniment plus rapide qu’un menu, tu ne trouves pas ? Et comment fais-tu →↙←↑↔↖↔←↔⇖⇑⇑⇗⇐⇔⇒…¿⋅×÷− ?
\9. « un 8 coeurs 16 threads et 64 Go de RAM », « j'y arrivais aussi avec VBox sur un 4 coeurs et 3 Go de RAM, en rognant: par contre mes VMs ramaient et mes heartbeats foiraient. »
Je ne ferai aucun commentaire. En dehors du fait que je peux accorder qu’on peut probablement faire mieux avec Windows que ce que je dois me taper depuis peu dans mon dernier boulot. J’ai le souvenir d’une collègue, pas linuxienne, me dire qu’elle trouvait que les postes ramaient, et que chez elle ça marchait plus vite (sous Windows).
Que MacOS soit mieux gauler que Windows je veux bien le croire. Tu dis toi-même ici que Windows est mauvais à ce niveau-là, la force de l’habitude ne change rien ici donc. Hormis le fait qu’on s’habitue à tout (ou presque). Certains ce sont habitué à ne pas accentuer leurs majuscules, ou se reposer sur l’auto-correction de Word, ou sur un outil tiers imparfait, ou que sais-je encore. Ça ne change rien : Windows est mal foutu. Sur ce point précis c’est indéniable.
En fait, j'ai juste pas envie de me casser les pieds à réapprendre, je veux juste que ça pête pas mes habitudes.
Je te comprends. Là moi j’en ai gros parce que non seulement je dois changer mes habitudes, mais en plus Windows est in-ergonomique factuellement.
Le focus de la fenêtre suit la souris, si ton pointeur de souris se déplace sur une autre fenêtre elle prend le focus, et éventuellement le premier plan. Xfce permet de gérer les deux actions indépendamment et en paramétrant les temps d’activation
Pas du tout, c’est propre au « gestionnaire de fenêtres » dans les deux cas.
Sous Xfce oui, sur le Windows 10 que j’ai non. Impossible de drag la fenêtre quand celle-ci est maximisée. C’est peut-être seulement dans mon cas, je ne maîtrise pas tous les paramètres (PC pro lié à un domaine)
Donc ta sortie d’écran de veille est lente (je l’observe aussi…) et tu t’en satisfait ? C’est subjectif uniquement quand on a pas eu l’occasion de comparer les deux.
Y compris le pavé numérique ? S’aurait été sympa de la donner dans ce cas. Quelqu’un d’autre a fait une suggestion, je testerai.
Quand tu veux placer une fenêtre le long du bord de l’écran, ou le long d’une autre fenêtre, quand les bord sont proches il se colle comme des aimants, les fenêtres sont ainsi pile l’une contre l’autre (ou pile au bords de l’écran).
Ça j’en parle au point 2. Je suis d’accord avec toi qu’on peut préférer que ça ne fonctionne pas ainsi, d’ailleurs ça ne le fait pas par défaut dans Xfce, je pointe juste le fait que sous Xfce (et Gnome, etc…) tu as le choix.
Pour le point 8. je parle à l’intérieur même de l’application en l’occurrence le navigateur de fichiers. Et je note que dans une autre appli Microsoft, Teams, ça fonctionne comme ça devrait, par défaut (d’ailleurs on a pas le choix).
Idem point 5. Tu as comparé avant de m’accuser de FUD ?
J’ai testé « la palanquée » comme tu dis, j’en utilise, par exemple le fait d’avoir un pointeur de souris plus gros et plus visible c’est de l’accessibilité… C’était pas le cas sous Windows 98 où ce réglage était facilement accessible. J’utilise zoomit.exe je l’ai dit, j’ai dit en quoi je le trouve moins bien. Encore une fois tu ne donnes pas de solution précise.
En ce qui te concerne j’ai l’impression que tu n’as pas vraiment comparé. Si tu as lancé un système GNU/Linux live, où même fait une installation, pour abandonner au premier changement d’habitude demandé je n’appelle pas ça tester, et ça l’as-tu au moins fait ? Pour ma part j’ai écrit ce journal après plus de 6 mois d’utilisation 8h/jour plusieurs jours par semaine.
Merci pour ton commentaire en tous cas, qui s’il ne me fait pas changer d’avis (loin de là), a le mérite de me donner l’occasion de préciser certains points.
Je comprends qu’on trouve le reste pénible, c’était même pénible pour moi de l’écrire ! /o\
J’utilise Win + ↑ et Win + ↓ pour maximiser/minimiser et il me semble pas que droite ou gauche permette de déplacer la fenêtre, mais je testerai. Merci en tout cas pour cette proposition.
Le "cloud interne" est principalement orienté vers l'IaaS, mais il peut également supporter des modèles PaaS ou SaaS
C’est tellement 2024 ces concepts, faut se tenir à la page !
Aujourd’hui on met en place du WaaS sur du cloud multidimensionnel, voire un cloud d’hybridation multi-tiers de niveau 1,2 ou 3. Parfois 4, mais là on rentre dans la cloudinception, faut alors bien savoir ce qu’on fait, et surtout savoir un minimum s’orienter dans la net-matrice dans les cinq dimensions.
« l’IA présente un clair risque d’extinction pour l’espèce humaine. »
Ou possiblement sa seule et unique chance de subsister « longtemps » … pas le temps d’expliquer ce propos, je le ferai peut-être plus tard, s’il n’est pas deviné voire d’évidence pour nombre d’entre-nous (humains).
s’attendent à atteindre une IA de niveau humain d’ici 2 à 5 ans
Suffit de mettre un petit coup d’œil dans le rétroviseur pour observer ce à quoi les gens s’attendaient lorsque les premiers ordinateurs sont apparus au milieu du siècle dernier. Je ne vois strictement aucune raison que nous ne soyons plus sujets aux mêmes fantasmes aujourd’hui.
AI should be a global priority alongside other societal-scale risks such as pandemics and nuclear war”
Étrange de ne pas évoquer le risque climatique, même si les pandémies y sont étroitement liées. Car la bombe nucléaire, on peut « décider » de ne pas la construire, du moins pas la déclencher, parce qu’elle est déjà construite de toute évidence. Les pandémies on peut déjà imaginer quelques contre-mesures possible : diminution des flux, changement sociétaux divers. Alors que le dérèglement climatique, étant donné l’ampleur du phénomène, il n’y a actuellement aucun début de vision sur comment on (en tant qu’espèce) évitera d’être dans la prochaine charrette d’extinction de masse.
Sur les biais cognitifs je suis d’accord avec toi que c’est fondamental d’en avoir conscience et une connaissance minimum. Je considère pour ma part que j’ai réalisé leurs existence bien tard dans ma vie intellectuelle (et cette assertion ne doit d’ailleurs pas être exempt de biais cognitif ! ^^). Je ne comprends pas pourquoi ça ne fait pas parti du cursus scolaire d’absolument tous les enfants dès qu’ils sont en mesure de les comprendre. Comment raisonner sainement sur quelque sujet que ce soit sans avoir conscience de ce que sont ces biais. Pas besoin de faire des cours magistraux et académique pour expliquer ce qu’est le biais de confirmation ou autre, vers douze ou treize, peut-être même six ou sept, on est en âge de comprendre. Cela pourrais être enseigné progressivement, de manière de plus en plus précise et poussé comme n’importe quelle matière actuellement enseignée.
Sur Reddit, ou encore Stackoverflow et bien d’autre, les utilisateurs ne travaillent pas gratuitement, ils travaillent pour profiter de contenus intelligemment modéré.
Selon moi, la « crowd-moderation » (je sais pas si ça se dit), c’est clairement le meilleur modèle. Le seul viable même je pense.
Les gens qui tentent de parler d'éducation sexuelle ou de sujets sérieux de médecine mais qui portent sur des les organes génitaux ou la proctologie subissent les même problème sur facebook et instagram via les différentes automatisations pour éviter la pornographie hard alors que le soft porn et la pédophilie suggéré via des photos et vidéos très très légèrement habillées passent crème.
Je suis bien d’accord, ça montre les limites des algorithmes et de l’IA. Je considère que c’est un problème majeur, encore plus inquiétant que l’effet « bulle informationnelle » (le fait qu’on a tendance à se retrouver entre gens d’accord entre-eux et avec soi, et à ne voir que ce qu’on a envie de voir). L’effet bulle, en en ayant conscience on peut lutter contre. Par contre, le retrait de contenu, la censure, qu’on en ait conscience ou pas, le contenu n’est plus là quoi qu’il en soit. Certes il n’y a pas que Facebook sur le Web mais je pense que ça fausse potentiellement bien plus que l’effet bulle la représentation que chacun peut se faire du monde par Web interposé.
Je vous mets juste le premier paragraphe, ça donne le ton :
De nombreux acheteurs de logiciels, et même de jeunes développeurs, pensent à tort que « open source » signifie que le logiciel peut être utilisé, copié, modifié et distribué à volonté. Il se peut que ce malentendu provienne d’une confusion avec les notions de domaine public ou de shareware, qui sont tous deux libres d’être utilisés et modifiés sans autorisation ni licence spécifique.
À l’attention des moins au fait de ces aspects juridiques du logiciel, et parce qu’un texte tel que celui-ci, c’est comme un “Mein Kampf”, ça se re-publie pas sans note explicative contre-apposée.
De nombreux acheteurs de logiciels, et même de jeunes développeurs, pensent à tort
Parce que les vieux pas développeurs ce sont des boomers et eux ils pensent toujours à tort. Effectivement, faut bien avoir ça en tête !
pensent à tort que « open source » signifie que le logiciel peut être utilisé, copié, modifié et distribué à volonté.
Bah si, c’est précisément l’idée fondamentale. Je ne vous avais pas menti, c’est du très lourd on est d’accord ?
Il se peut que ce malentendu provienne d’une confusion avec les notions de domaine public ou de shareware,
Ou d’articles sidérant de connerie comme celui-ci. Par ailleurs des logiciels appartenant au domaine public mais sauf erreur de ma part c’est très rare, et aucun logiciel significatif . (?)
qui sont tous deux libres d’être utilisés et modifiés sans autorisation ni licence spécifique.
Un shareware, à l’instar d’un LL, a forcément une licence, c’est précisément leur licence qui en fait un shareware ou un LL… Par ailleurs il me semble que des shareware autorisant la modification, donc fournissant leur code source, je ne suis même pas sûr que ça ait existé en fait.
Le reste de l’article se fait fort de vous expliquer copyright/copyleft, comparer les différentes licences.
J’avais jamais vu une telle horreur. C’est sûrement une bonne chose que Zenitram< ne tombe pas dessus, pour sa santé et son équilibre mental.
Ah si faut que je vous mette ça, j’avais pas vu la première fois. Je n’ai jamais écrit quelque chose d’aussi violent sur Linuxfr. Si ce qui est écrit plus haut vous a déjà choqué ne lisez pas la suite et aller lire un autre article, sincèrement.
Snyk fournit une solution complète de conformité aux licences pour vous aider à garder un rythme de développement rapide tout en restant conforme aux licences des logiciels open source dans vos projets.
« L’outil Snyk identifiant les problèmes de licence open source, il permet à nos développeurs de générer un rapport propre et gérable qu’ils peuvent envoyer à l’équipe juridique, ce qui leur fait gagner un temps de travail considérable. »
Scott Mitchell, responsable de la sécurité des applications chez Blue Prism
Posté par Marotte ⛧ .
En réponse au journal LGB ≠ T.
Évalué à -9.
Il y a quand même un lien entre les deux, le Cul. Ces groupe sont opprimés sur la base de leur sexualité, réelle ou supposée, inspirante ou traumatique.
Un seul niveau de sous-groupe au sein du corps des TDC voyons !
Sinon des unions de type 1-paire-3-impaires (et unions dérivantes de constante 10-2-daire, bien entendu) d’intersections particulières (dites de trivialité 2) pourraient faire disparaître l’Univers en le mutant en élément TDC unique (espace dit de Trochian-Kivaton-Neeker, tout du moins en l’un de ces 0 cas aux conditions limites, ce qui revient au même d’un facteur quasiment).
On rentrerait alors dans l’inconnu⋅e, dans l’obscurité approximativement totale, récursivement.
Tu ne vas pas le croire mais derrière chaque site web il y a ces vrais gens dont tu parles, ils sont aussi derrière la bande-passante, et ce sont eux qui t’apportent le colis qui t’entend dans ta boîte-à-colis. Tu peux arrêter de chercher où sont ces petites jambes au colis, il n’en a pas !
Les faux gens par contre, ceux-là, faut s‘accrocher pour les trouver. Même tu retournes une IA et zut, c’est encore une vraie personne derrière ! C’est agaçant à la fin. Saloperie de faux gens !
non je suis 100% d'accord avec toi, je dis juste que je préfère.
Oui pardon pour ce raccourci idiot. Je voulais dire pour ma part que je ne comprends pas comment on peut avoir une préférence en la matière. Mais forcé de constater que certains artistes eux-mêmes expriment une préférence pour l’un ou l:autre, pourquoi pas l’auditeur/spectateur en effet.
C’est bien ce que je pensais que tu voulais dire et c’est pour ça que j’ai dit que ta formulation portait à confusion. Et pas que tu racontais n’importe quoi.
C’est pas pour faire chier mais récemment j’ai eu droit à « logiciel public », et quand j’ai innocemment demandé ce que c’était et qu’on ma raconté à peut prêt n’importe quoi, en substance « ce sont des logiciels opensources gratuits », avec pour « preuve » un lien vers le site de je ne sais plus quelle société, qui disait tout autant n’importe quoi, du vrai et du faux à part égale, et qui ironiquement proposait aux lecteurs « d’en finir avec la confusion à propos de l’opensource », des affirmations totalement pétée sur ce qu’était un logiciel opensource : « la plupart des logiciels opensources n’ont pas de licence, mais attention ! certains restreignent ce que l’on peut faire avec, on ne peut pas faire ce que l’on veut ! », ça m’a fait un peu mal. Signalons qu’un logiciel sans licence ça peut exister, mais dans ce cas, soit il est reconnu comme appartenant au domaine public, ce qui est assez rare, et dans ce cas on fait effectivement « ce qu’on veut avec », soit il n’en fait pas partie, et dans ce cas, on ne peut, juridiquement, rien en faire sans accord de son auteur.
Personne ne vend une licence libre. On vend des souscriptions, des contrats de support, de maintenance, mais on ne vend pas une licence libre.
Personne ne « vend une licence » tout court. Une licence, libre ou propriétaire, est un contrat entre deux parties concernant un bien immatériel : le logiciel (ou même une seule partie et le logiciel uniquement, j’y viendrai), le logiciel pouvant fondamentalement exister sous deux formes : le code source d’un côté, un binaire destiné à être exécuté sur un ordinateur de l’autre côté, le contrat définit les droit et obligation des deux parties (ou même d’une seul) en matière d’accès à l’une ou l’autre des deux formes, d’utilisation, de copie, d’étude, de commercialisation, etc, etc… ce contrat peut donc posséder des clauses de nature financière, ou non. Une différence entre libre et propriétaire, c’est que dans le cas du logiciel propriétaire ce contrat ne lie pas directement l’utilisateur et l’auteur. L’utilisateur dit « final » signe un CLUF, mais une entité qui distribue le logiciel moyennant finance et en prenant une marge est aussi un utilisateur du logiciel, il est revendeur. Ce qu’il revend ce n’est pas la licence, c’est le logiciel !
Je sais très bien que je ne t’apprends rien et que tu sais, même potentiellement mieux que moi, comment cela fonctionne. Mais je maintiens que ton premier propos était équivoque, et que le second : « vente de licence » est aussi problématique puisque pour un certain nombre de gens, d’utilisateurs (au sens large mais en particuliers les utilisateurs finaux) ça devient alors compliqué, et c’est bien normal, de ne pas faire cette association : licence = bien immatériel, d’où l’idée qu’une licence qui n’implique pas un prix à payer = bien immatériel donné, gratuit, n’ayant donc aucune valeur économique.
Donc on ne vend de licence ni libre ni propriétaire, comme je viens de l’expliquer, mais monnayer uniquement la distribution, c’est à dire d’assurer la possibilité pour l’utilisateur-acheteur d’être en mesure d’utiliser le logiciel, ce n’est pas réservé aux logiciels propriétaire. Tout logiciel opensource peut-être commercialisé par toute personne (physique ou morale), personne qui peut elle-même ne pas reverser le moindre centime à l’auteur du logiciel, ou qui peut être l’auteur/éditeur lui-même.
Un exemple pour le premier cas : les distributeurs qui proposent d’obtenir Libreoffice pour un prix modique, le téléchargement est gratuit et une fois installé il faut payer pour « activer/débloquer » le logiciel, généralement un numéro surtaxé. Moralement discutable, pas forcément condamnable, tout dépend à quoi sert
l’argent de la ««« vente des licences Libreoffice »»» (dit rigoureusement : la mise à disposition du logiciel en échange d’un paiement en numéraire)
Pour le second cas : Ardour qui demandent à leurs utilisateurs sous Windows de payer pour pouvoir télécharger le binaire sous forme d’installer. Là aussi, comme dans le premier exemple, on est toujours dans le 100% libre. Ici Ardour n’interdit pas aux utilisateurs l’accès au code source (sinon on ne serait plus dans l’opensource, le libre), donc d’être en mesure compiler ce code source et donc utiliser Ardour gratuitement. Et pour faire le lien avec le premier exemple, ils ne sont nullement empêchés eux-mêmes à leur tour de compiler Ardour et vendre les binaires à leur tour.
On peut citer également la possibilité qu’a l’auteur d’un logiciel, et lui uniquement pour le coup, pas les utilisateurs comme c’est le cas avec la redistribution du logiciel, de proposer son logiciel sous deux licences différentes, dont l’une est opensource/libre, l’autre propriétaire, et éventuellement payante. Ça reste 100% libre, et en même temps propriétaire. Pas d’exemple actuel en tête mais MySQL faisait ça temps.
Certaines personnes pourraient se dire : mais qui achètera un logiciel qu’on peut avoir gratuitement ? Et bien tout ceux qui ont les moyens de s’acheter l’exonération d’une ou plusieurs des obligations que la licence libre/opensource leur imposerait. Tout simplement.
Pour finir, une précision qui me semble importante à rappeler : « libre » et « opensource » sont de parfait synonymes en matière de logiciel, néanmoins, le second est employé de manière impropre et souvent malhonnête, pour désigner des logiciel non libre (et donc non opensource, de fait).
Il y a par-contre une différence majeure entre deux licences tout-à-fait libre/opensource l’une autant que l’autre : « The 3-Clause BSD License » d’ un côté, et « GNU General Public License version 3 » de l’autre.
Mais l’histoire est finie ce sera pour une prochaine fois. Il est tard maintenant, il faut dormir les chéries. Oui Marotte laisse la lumière du couloir allumée et la porte de la chambre entre-ouverte ! Oui ! Marotte aussi va dormir aussi, il laisse les fautes d’orthographe pour la grande girafe, allez, on fait dodo maintenant !
[^] # Re: Verbiage, encore une fois…
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Connaissez-vous le rap ? . Évalué à 3. Dernière modification le 20 février 2025 à 03:01.
On considère, souvent, avec bien plus d’intérêt et d’attention ce pour quoi on a fourni un effort pour l’obtention.
Objet autant qu’idée. Je le crois.
[^] # Re: Verbiage, encore une fois…
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Connaissez-vous le rap ? . Évalué à 2.
Est-ce que quelqu’un a encore quelque chose à foutre de la logique élémentaire ? Vaudrait mieux, car si avoir à cœur de parler de A c’est n’avoir rien à foutre de B on n’est pas sorti avant même d’être rentrés…
Est-ce que tu déplores la pauvreté du contenu directement lié au logiciel libre sur LinuxFR? Tu as été voir sur l’onglet d’à côté ? Puis il n’y a pas de limite en pratique aux nombres de journaux que tu peux écrire et publier dans un laps de temps donné.
[^] # Re: This whole world is... comfortably numb
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Connaissez-vous le rap ? . Évalué à 4.
Une phrase de The Wall qui me revient souvent et que je trouve très belle, dans un autre des morceaux, « Goodbye blue sky » je crois, j’ai la flemme de vérifier :
“Did you ever wonder why we all have to run for shelter while the promises of a brave new world unfurled beneath a clear blue sky?”
Si vous n’avez pas essayé de chanter cette chanson, et donc de déclamer cette phrase sans respirer du début à la fin, d’une traite. Essayez, c’est rigolo ! ^^
[^] # Re: J'aime pas le rap
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Connaissez-vous le rap ? . Évalué à 3.
Oui c’est exactement ça que je veux dénoncer, de nos jours « On » a réussi à faire croire à « la masse », à « l’opinion publique », que le rap c’était cette matière immonde que diffuse ad nauseum Skyrock* et dont la jeunesse a été violemment appâtée dans l’indifférence générale ou presque.
* « Les premiers sur le rap ne passent que les derniers de la classe. » − Kacem Wapalek
[^] # Re: Genre fourre-tout.
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Connaissez-vous le rap ? . Évalué à 3.
Pourquoi devrait-on accepter que l’on puisse nommer ça « rap » ?
À mon avis on ne devrait pas.
[^] # Re: Y'en a marre du rap !
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Connaissez-vous le rap ? . Évalué à 4.
J’ai failli en parler. Dix ans de procédure judiciaire à l’initiative de notre ancien président pour les propos tenus par Hamé de La Rumeur dans un pamphlet (et non un morceau de rap) qui ont abouti à ce que la Justice, donnant tort à Sarkozy, fasse jurisprudence que le fait de dire qu’un nombre forcément trop important de policiers sont des meurtriers jouissant d’une impunité systémique pour leurs crimes n’est pas contraire à la Loi. Pour la raison que c’est une réalité indiscutable.
Comme un précédent commentaire évoquait comment le rap traite des minorités et comme ton commentaire parle de La Rumeur, j’ai envie de lié ce morceau de La Rumeur : « On m’a demandé d’oublier. » (1998 à priori). Sans parler du fond, le « drop » à 00:22 est musicalement génial, je trouve.
[^] # Re: Moui ? hein, quoi ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Connaissez-vous le rap ? . Évalué à 3. Dernière modification le 20 février 2025 à 02:02.
Je connais Jul de nom et ai écouté très peu de ses morceaux mais j’ai pas le souvenir de la catastrophe que son les exemples données par le philosophe de Youtube dont je parlais.
J’ai été voir vite fait, 90 secondes montre en main, ce que JuL écrit et chante (me semble qu’il y une majuscule à la fin, j’ai d’ailleurs toujours trouvé ça très cool graphiquement parlant). Je m’arrête sur :
« Trop d'petits me regardent, j'montre pas la drogue et les armes poto. »
Exactement le discours contraire, son contre-discours peut-on dire (?), du pseudo rap dont je partage la dénonciation de La Cartouche ici-même avec vous.
[^] # Re: Pas bien, mais bon.
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Connaissez-vous le rap ? . Évalué à 3.
Je suis bien d’accord, sauf que ni Erik Satie ni les chanteureuse africaine traditionnelles n’ont jamais prétendu faire du rap, à savoir, décrire la vie la plus fidèlement possible, et aspirer à une reconnaissance littéraire.
Comme j’ai dit plus haut : tout es relatif. Je trouve pour ma part que bien des choses se partagent beaucoup plus difficilement que la musique.
[^] # Re: 🎶 Ton nourjal je le casse casse casse moula ! 🎶
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Connaissez-vous le rap ? . Évalué à 3.
^^
Excellent ! Par contre qu’on qualifie de "old", et de "new", c’est totalement faux mais facilement compréhensible : jadis, on ne voyait fatalement que le bon rap, et très peu de rap de merde. D’une part car sa monétisation n’était pas aussi évident, d’autre part, tout un chacun ne pouvait pas devenir « producteur de contenu » avec une connexion à internet, un ordinateur et un micro.
Par ailleurs, je peux trouver du rap récent, abordant à l’ancienne des thèmes actuels, tout comme du rap récent, avec un couplet, trois mots dans le refrain et du vocodeur tout du long, abordant des thèmes poncés et re-poncés depuis Homer. Et des deux trouver une valeur certaine.
En ce qui me concerne, jamais je ne prétendrai qu’avant il y avait objectivement que plutôt du bon rap, puisque les deux premiers rappeur que j’ai écouté était Benny B et Vanilla Ice.
Ensuite, certes, un phénomène sociétal indéniable est que quand les rappeurs de la fin du siècle dernier et du tout début du siècle s’évertuaient à dresser des constats d’alerte, à dénoncer la précarité et de désarrois de leur conditions existentielles, nombre des rappeurs qui les suivirent se firent et se font encore les porte-paroles d’un discours et d’un état d’esprit de refus de leur conditions de victime, et mécaniquement, par l’expression de leur victoire sur la société. Société qui, je pense que nous vivons dans la même, associe de manière obsessionnelle réussite humaine et confort matériel, et bien imbibé de violence. Ceux qui pouvaient se dire « Haut-parleurs trop souvent placés au centre du viseur » sont devenus pour une partie non négligeables d’entre-eux, ceux qui se targuent, si pathétiquement je trouve, d’être ceux qui dirigent le viseurs sur leur anciens tortionnaires.
[^] # Re: J'aime bien mais...
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Connaissez-vous le rap ? . Évalué à 3.
Est-ce que tu aurais deux ou trois noms d’artiste, voire titres, que je puisse savoir si ton fils est friand de rap, ou bien de rap ?
Il faut voir ce que tu entends par « gros mots », il me semble que c’est variable d’un esprit à l’autre, ce que chacun catégorise soit dans l’insulte vulgaire et détestable, soit dans le langage familier pittoresque, comme un tas de choses je crois deviner que ça dépend de l’éducation qu’il subit.
D’après ton affirmation je pense que vous semblez, sembliez dans ton cas, malheureusement écouter du rap, et passez complètement à côté du rap.
Quand on n’aime pas les rimes, celle qu’on préfère c’est la rime en -orze je parie !
[^] # Re: Je n'ai pas de solutions ni de conseils....
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La sexualité des libristes, tout ce que vous n’avez jamais osé demander. Évalué à 3.
Merci pour ton merci !
# Merci
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La sexualité des libristes, tout ce que vous n’avez jamais osé demander. Évalué à 3.
Merci à tous pour vos commentaires. Pas tout lu mais je le ferai sûrement plus tard.
[^] # Re: Du vrai, et du moins vrai
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La sexualité des libristes, tout ce que vous n’avez jamais osé demander. Évalué à 4. Dernière modification le 08 février 2025 à 22:05.
Merci pour ton commentaire.
Tout de suite : sur le poids de l’habitude, certes, mais ton commentaire donne précisément de véritables lacunes précises de Windows. Et de ce que je crois comprendre, tu utilises principalement Windows comme serveur, et MacOS comme station de travail :)
\4. Merci je testerai
\5. En effet, Windows est plus lent surtout parce qu’il est généralement plus chargé. Je n’ai pas l’occasion d’avoir un Windows minimal pour pouvoir comparer alors je te crois.
\6.
Faire AltDroite (AltGr) + Shift + 0 pour écrire À est infiniment plus rapide qu’un menu, tu ne trouves pas ? Et comment fais-tu →↙←↑↔↖↔←↔⇖⇑⇑⇗⇐⇔⇒…¿⋅×÷− ?
\9. « un 8 coeurs 16 threads et 64 Go de RAM », « j'y arrivais aussi avec VBox sur un 4 coeurs et 3 Go de RAM, en rognant: par contre mes VMs ramaient et mes heartbeats foiraient. »
Je ne ferai aucun commentaire. En dehors du fait que je peux accorder qu’on peut probablement faire mieux avec Windows que ce que je dois me taper depuis peu dans mon dernier boulot. J’ai le souvenir d’une collègue, pas linuxienne, me dire qu’elle trouvait que les postes ramaient, et que chez elle ça marchait plus vite (sous Windows).
Que MacOS soit mieux gauler que Windows je veux bien le croire. Tu dis toi-même ici que Windows est mauvais à ce niveau-là, la force de l’habitude ne change rien ici donc. Hormis le fait qu’on s’habitue à tout (ou presque). Certains ce sont habitué à ne pas accentuer leurs majuscules, ou se reposer sur l’auto-correction de Word, ou sur un outil tiers imparfait, ou que sais-je encore. Ça ne change rien : Windows est mal foutu. Sur ce point précis c’est indéniable.
Je te comprends. Là moi j’en ai gros parce que non seulement je dois changer mes habitudes, mais en plus Windows est in-ergonomique factuellement.
[^] # Re: Pas très convaincant (j'ai lu que la liste me reste avait l'air pénible)
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La sexualité des libristes, tout ce que vous n’avez jamais osé demander. Évalué à 4. Dernière modification le 08 février 2025 à 21:40.
Je vais tester
Le focus de la fenêtre suit la souris, si ton pointeur de souris se déplace sur une autre fenêtre elle prend le focus, et éventuellement le premier plan. Xfce permet de gérer les deux actions indépendamment et en paramétrant les temps d’activation
Pas du tout, c’est propre au « gestionnaire de fenêtres » dans les deux cas.
Sous Xfce oui, sur le Windows 10 que j’ai non. Impossible de drag la fenêtre quand celle-ci est maximisée. C’est peut-être seulement dans mon cas, je ne maîtrise pas tous les paramètres (PC pro lié à un domaine)
Donc ta sortie d’écran de veille est lente (je l’observe aussi…) et tu t’en satisfait ? C’est subjectif uniquement quand on a pas eu l’occasion de comparer les deux.
Y compris le pavé numérique ? S’aurait été sympa de la donner dans ce cas. Quelqu’un d’autre a fait une suggestion, je testerai.
Quand tu veux placer une fenêtre le long du bord de l’écran, ou le long d’une autre fenêtre, quand les bord sont proches il se colle comme des aimants, les fenêtres sont ainsi pile l’une contre l’autre (ou pile au bords de l’écran).
Ça j’en parle au point 2. Je suis d’accord avec toi qu’on peut préférer que ça ne fonctionne pas ainsi, d’ailleurs ça ne le fait pas par défaut dans Xfce, je pointe juste le fait que sous Xfce (et Gnome, etc…) tu as le choix.
Pour le point 8. je parle à l’intérieur même de l’application en l’occurrence le navigateur de fichiers. Et je note que dans une autre appli Microsoft, Teams, ça fonctionne comme ça devrait, par défaut (d’ailleurs on a pas le choix).
Idem point 5. Tu as comparé avant de m’accuser de FUD ?
J’ai testé « la palanquée » comme tu dis, j’en utilise, par exemple le fait d’avoir un pointeur de souris plus gros et plus visible c’est de l’accessibilité… C’était pas le cas sous Windows 98 où ce réglage était facilement accessible. J’utilise zoomit.exe je l’ai dit, j’ai dit en quoi je le trouve moins bien. Encore une fois tu ne donnes pas de solution précise.
En ce qui te concerne j’ai l’impression que tu n’as pas vraiment comparé. Si tu as lancé un système GNU/Linux live, où même fait une installation, pour abandonner au premier changement d’habitude demandé je n’appelle pas ça tester, et ça l’as-tu au moins fait ? Pour ma part j’ai écrit ce journal après plus de 6 mois d’utilisation 8h/jour plusieurs jours par semaine.
Merci pour ton commentaire en tous cas, qui s’il ne me fait pas changer d’avis (loin de là), a le mérite de me donner l’occasion de préciser certains points.
Je comprends qu’on trouve le reste pénible, c’était même pénible pour moi de l’écrire ! /o\
[^] # Re: réponses
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La sexualité des libristes, tout ce que vous n’avez jamais osé demander. Évalué à 3.
J’utilise Win + ↑ et Win + ↓ pour maximiser/minimiser et il me semble pas que droite ou gauche permette de déplacer la fenêtre, mais je testerai. Merci en tout cas pour cette proposition.
# QaaC
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal [HS] Le "cloud interne", c'est quoi donc ?. Évalué à 10.
C’est tellement 2024 ces concepts, faut se tenir à la page !
Aujourd’hui on met en place du WaaS sur du cloud multidimensionnel, voire un cloud d’hybridation multi-tiers de niveau 1,2 ou 3. Parfois 4, mais là on rentre dans la cloudinception, faut alors bien savoir ce qu’on fait, et surtout savoir un minimum s’orienter dans la net-matrice dans les cinq dimensions.
# Q’est-ce que l’Humanité ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Le Rationalisme. Évalué à 3.
Ou possiblement sa seule et unique chance de subsister « longtemps » … pas le temps d’expliquer ce propos, je le ferai peut-être plus tard, s’il n’est pas deviné voire d’évidence pour nombre d’entre-nous (humains).
Suffit de mettre un petit coup d’œil dans le rétroviseur pour observer ce à quoi les gens s’attendaient lorsque les premiers ordinateurs sont apparus au milieu du siècle dernier. Je ne vois strictement aucune raison que nous ne soyons plus sujets aux mêmes fantasmes aujourd’hui.
Étrange de ne pas évoquer le risque climatique, même si les pandémies y sont étroitement liées. Car la bombe nucléaire, on peut « décider » de ne pas la construire, du moins pas la déclencher, parce qu’elle est déjà construite de toute évidence. Les pandémies on peut déjà imaginer quelques contre-mesures possible : diminution des flux, changement sociétaux divers. Alors que le dérèglement climatique, étant donné l’ampleur du phénomène, il n’y a actuellement aucun début de vision sur comment on (en tant qu’espèce) évitera d’être dans la prochaine charrette d’extinction de masse.
Sur les biais cognitifs je suis d’accord avec toi que c’est fondamental d’en avoir conscience et une connaissance minimum. Je considère pour ma part que j’ai réalisé leurs existence bien tard dans ma vie intellectuelle (et cette assertion ne doit d’ailleurs pas être exempt de biais cognitif ! ^^). Je ne comprends pas pourquoi ça ne fait pas parti du cursus scolaire d’absolument tous les enfants dès qu’ils sont en mesure de les comprendre. Comment raisonner sainement sur quelque sujet que ce soit sans avoir conscience de ce que sont ces biais. Pas besoin de faire des cours magistraux et académique pour expliquer ce qu’est le biais de confirmation ou autre, vers douze ou treize, peut-être même six ou sept, on est en âge de comprendre. Cela pourrais être enseigné progressivement, de manière de plus en plus précise et poussé comme n’importe quelle matière actuellement enseignée.
# ERRATUM
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La sexualité des libristes, tout ce que vous n’avez jamais osé demander. Évalué à 3. Dernière modification le 01 février 2025 à 21:49.
Pour le 3. je voulais parler de Alt+Tab, pas Ctrl+Tab
[^] # Re: Pas tout à fait
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Facebook bloque les news sur Linux pour "menace pour la cybersécurité". Évalué à 3.
Sur Reddit, ou encore Stackoverflow et bien d’autre, les utilisateurs ne travaillent pas gratuitement, ils travaillent pour profiter de contenus intelligemment modéré.
Selon moi, la « crowd-moderation » (je sais pas si ça se dit), c’est clairement le meilleur modèle. Le seul viable même je pense.
[^] # Re: Pas tout à fait
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Facebook bloque les news sur Linux pour "menace pour la cybersécurité". Évalué à 4.
Je suis bien d’accord, ça montre les limites des algorithmes et de l’IA. Je considère que c’est un problème majeur, encore plus inquiétant que l’effet « bulle informationnelle » (le fait qu’on a tendance à se retrouver entre gens d’accord entre-eux et avec soi, et à ne voir que ce qu’on a envie de voir). L’effet bulle, en en ayant conscience on peut lutter contre. Par contre, le retrait de contenu, la censure, qu’on en ait conscience ou pas, le contenu n’est plus là quoi qu’il en soit. Certes il n’y a pas que Facebook sur le Web mais je pense que ça fausse potentiellement bien plus que l’effet bulle la représentation que chacun peut se faire du monde par Web interposé.
[^] # Re: Liens
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 4.
Retrouvé ce ramassis de conneries : https://snyk.io/fr/articles/open-source-licenses/
Je vous mets juste le premier paragraphe, ça donne le ton :
À l’attention des moins au fait de ces aspects juridiques du logiciel, et parce qu’un texte tel que celui-ci, c’est comme un “Mein Kampf”, ça se re-publie pas sans note explicative contre-apposée.
Parce que les vieux pas développeurs ce sont des boomers et eux ils pensent toujours à tort. Effectivement, faut bien avoir ça en tête !
Bah si, c’est précisément l’idée fondamentale. Je ne vous avais pas menti, c’est du très lourd on est d’accord ?
Ou d’articles sidérant de connerie comme celui-ci. Par ailleurs des logiciels appartenant au domaine public mais sauf erreur de ma part c’est très rare, et aucun logiciel significatif . (?)
Un shareware, à l’instar d’un LL, a forcément une licence, c’est précisément leur licence qui en fait un shareware ou un LL… Par ailleurs il me semble que des shareware autorisant la modification, donc fournissant leur code source, je ne suis même pas sûr que ça ait existé en fait.
Le reste de l’article se fait fort de vous expliquer copyright/copyleft, comparer les différentes licences.
J’avais jamais vu une telle horreur. C’est sûrement une bonne chose que Zenitram< ne tombe pas dessus, pour sa santé et son équilibre mental.
Ah si faut que je vous mette ça, j’avais pas vu la première fois. Je n’ai jamais écrit quelque chose d’aussi violent sur Linuxfr. Si ce qui est écrit plus haut vous a déjà choqué ne lisez pas la suite et aller lire un autre article, sincèrement.
# Tu soutiens ce que tu veux et comme tu veux
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal LGB ≠ T. Évalué à -9.
Il y a quand même un lien entre les deux, le Cul. Ces groupe sont opprimés sur la base de leur sexualité, réelle ou supposée, inspirante ou traumatique.
Un seul niveau de sous-groupe au sein du corps des TDC voyons !
Sinon des unions de type 1-paire-3-impaires (et unions dérivantes de constante 10-2-daire, bien entendu) d’intersections particulières (dites de trivialité 2) pourraient faire disparaître l’Univers en le mutant en élément TDC unique (espace dit de Trochian-Kivaton-Neeker, tout du moins en l’un de ces 0 cas aux conditions limites, ce qui revient au même d’un facteur quasiment).
On rentrerait alors dans l’inconnu⋅e, dans l’obscurité approximativement totale, récursivement.
[^] # Re: Les influenceurs ... ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au lien Les pov'chou, moi aussi j'en pleure (de rire). Évalué à 3.
Tu ne vas pas le croire mais derrière chaque site web il y a ces vrais gens dont tu parles, ils sont aussi derrière la bande-passante, et ce sont eux qui t’apportent le colis qui t’entend dans ta boîte-à-colis. Tu peux arrêter de chercher où sont ces petites jambes au colis, il n’en a pas !
Les faux gens par contre, ceux-là, faut s‘accrocher pour les trouver. Même tu retournes une IA et zut, c’est encore une vraie personne derrière ! C’est agaçant à la fin. Saloperie de faux gens !
[^] # Re: Bal musette
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au lien L'auteur meurt-il une deuxième fois avec l'IA générative ?. Évalué à 3. Dernière modification le 28 janvier 2025 à 21:45.
Oui pardon pour ce raccourci idiot. Je voulais dire pour ma part que je ne comprends pas comment on peut avoir une préférence en la matière. Mais forcé de constater que certains artistes eux-mêmes expriment une préférence pour l’un ou l:autre, pourquoi pas l’auditeur/spectateur en effet.
[^] # Re: Liens
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 4. Dernière modification le 28 janvier 2025 à 21:32.
C’est bien ce que je pensais que tu voulais dire et c’est pour ça que j’ai dit que ta formulation portait à confusion. Et pas que tu racontais n’importe quoi.
C’est pas pour faire chier mais récemment j’ai eu droit à « logiciel public », et quand j’ai innocemment demandé ce que c’était et qu’on ma raconté à peut prêt n’importe quoi, en substance « ce sont des logiciels opensources gratuits », avec pour « preuve » un lien vers le site de je ne sais plus quelle société, qui disait tout autant n’importe quoi, du vrai et du faux à part égale, et qui ironiquement proposait aux lecteurs « d’en finir avec la confusion à propos de l’opensource », des affirmations totalement pétée sur ce qu’était un logiciel opensource : « la plupart des logiciels opensources n’ont pas de licence, mais attention ! certains restreignent ce que l’on peut faire avec, on ne peut pas faire ce que l’on veut ! », ça m’a fait un peu mal. Signalons qu’un logiciel sans licence ça peut exister, mais dans ce cas, soit il est reconnu comme appartenant au domaine public, ce qui est assez rare, et dans ce cas on fait effectivement « ce qu’on veut avec », soit il n’en fait pas partie, et dans ce cas, on ne peut, juridiquement, rien en faire sans accord de son auteur.
Personne ne « vend une licence » tout court. Une licence, libre ou propriétaire, est un contrat entre deux parties concernant un bien immatériel : le logiciel (ou même une seule partie et le logiciel uniquement, j’y viendrai), le logiciel pouvant fondamentalement exister sous deux formes : le code source d’un côté, un binaire destiné à être exécuté sur un ordinateur de l’autre côté, le contrat définit les droit et obligation des deux parties (ou même d’une seul) en matière d’accès à l’une ou l’autre des deux formes, d’utilisation, de copie, d’étude, de commercialisation, etc, etc… ce contrat peut donc posséder des clauses de nature financière, ou non. Une différence entre libre et propriétaire, c’est que dans le cas du logiciel propriétaire ce contrat ne lie pas directement l’utilisateur et l’auteur. L’utilisateur dit « final » signe un CLUF, mais une entité qui distribue le logiciel moyennant finance et en prenant une marge est aussi un utilisateur du logiciel, il est revendeur. Ce qu’il revend ce n’est pas la licence, c’est le logiciel !
Je sais très bien que je ne t’apprends rien et que tu sais, même potentiellement mieux que moi, comment cela fonctionne. Mais je maintiens que ton premier propos était équivoque, et que le second : « vente de licence » est aussi problématique puisque pour un certain nombre de gens, d’utilisateurs (au sens large mais en particuliers les utilisateurs finaux) ça devient alors compliqué, et c’est bien normal, de ne pas faire cette association : licence = bien immatériel, d’où l’idée qu’une licence qui n’implique pas un prix à payer = bien immatériel donné, gratuit, n’ayant donc aucune valeur économique.
Donc on ne vend de licence ni libre ni propriétaire, comme je viens de l’expliquer, mais monnayer uniquement la distribution, c’est à dire d’assurer la possibilité pour l’utilisateur-acheteur d’être en mesure d’utiliser le logiciel, ce n’est pas réservé aux logiciels propriétaire. Tout logiciel opensource peut-être commercialisé par toute personne (physique ou morale), personne qui peut elle-même ne pas reverser le moindre centime à l’auteur du logiciel, ou qui peut être l’auteur/éditeur lui-même.
Un exemple pour le premier cas : les distributeurs qui proposent d’obtenir Libreoffice pour un prix modique, le téléchargement est gratuit et une fois installé il faut payer pour « activer/débloquer » le logiciel, généralement un numéro surtaxé. Moralement discutable, pas forcément condamnable, tout dépend à quoi sert
l’argent de la ««« vente des licences Libreoffice »»» (dit rigoureusement : la mise à disposition du logiciel en échange d’un paiement en numéraire)
Pour le second cas : Ardour qui demandent à leurs utilisateurs sous Windows de payer pour pouvoir télécharger le binaire sous forme d’installer. Là aussi, comme dans le premier exemple, on est toujours dans le 100% libre. Ici Ardour n’interdit pas aux utilisateurs l’accès au code source (sinon on ne serait plus dans l’opensource, le libre), donc d’être en mesure compiler ce code source et donc utiliser Ardour gratuitement. Et pour faire le lien avec le premier exemple, ils ne sont nullement empêchés eux-mêmes à leur tour de compiler Ardour et vendre les binaires à leur tour.
On peut citer également la possibilité qu’a l’auteur d’un logiciel, et lui uniquement pour le coup, pas les utilisateurs comme c’est le cas avec la redistribution du logiciel, de proposer son logiciel sous deux licences différentes, dont l’une est opensource/libre, l’autre propriétaire, et éventuellement payante. Ça reste 100% libre, et en même temps propriétaire. Pas d’exemple actuel en tête mais MySQL faisait ça temps.
Certaines personnes pourraient se dire : mais qui achètera un logiciel qu’on peut avoir gratuitement ? Et bien tout ceux qui ont les moyens de s’acheter l’exonération d’une ou plusieurs des obligations que la licence libre/opensource leur imposerait. Tout simplement.
Pour finir, une précision qui me semble importante à rappeler : « libre » et « opensource » sont de parfait synonymes en matière de logiciel, néanmoins, le second est employé de manière impropre et souvent malhonnête, pour désigner des logiciel non libre (et donc non opensource, de fait).
Il y a par-contre une différence majeure entre deux licences tout-à-fait libre/opensource l’une autant que l’autre : « The 3-Clause BSD License » d’ un côté, et « GNU General Public License version 3 » de l’autre.
Mais l’histoire est finie ce sera pour une prochaine fois. Il est tard maintenant, il faut dormir les chéries. Oui Marotte laisse la lumière du couloir allumée et la porte de la chambre entre-ouverte ! Oui ! Marotte aussi va dormir aussi, il laisse les fautes d’orthographe pour la grande girafe, allez, on fait dodo maintenant !