Marotte ⛧ a écrit 8739 commentaires

  • [^] # Re: Liens

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 4. Dernière modification le 28 janvier 2025 à 05:58.

    Note : le modèle open-core ce n'est pas la commercialisation de logiciel libre : on contribue mais on ne le commercialise pas.

    Ce qu'on vend, ce sont des licences (donc c'est propriétaire).

    Probablement juste une question de vocabulaire mais je pense que la seconde+
    phrase ci-dessus participe à entretenir une confusion que je constate trop souvent. Ta formulation dit « licence donc propriétaire » et sous-entend de ce fait « opesource/libre donc pas de licence » et sous-sous-entend : opensource = quiconque fait ce qu’il veut avec le logiciel. Or les deux dernières affirmations sont absolument fausses.

    De ce fait, dans la première phrase je pense que commercialiser n’est absolument pas le bon mot, car d’après-moi, on me corrigera si à mon tour je me méprends, mais si, en effet, faire de l’open-core est précisément un des modèle pour commercialiser le logiciel libre. Pourquoi je dis que le code opensource fait pleinement partie de l’« offre commerciale » ? Parce qu’en général le code propriétaire n‘as strictement pas la moindre utilité s’il est seul. Contrairement à l’inverse : le code opensource lui peut être utilisé seul, donc en se soumettant à la licence opensource et uniquement à celle-ci.

    Une entreprise qui fait de l’open-core fait du 100% opensouqce.. Le fait qu’elle commercialise par ailleurs des briques propriétaires ne change rien

    Dirais-tu qu’une entreprise dont tout le code d’un produit est opensource ne fait pas du 100% opensource car elle vend un contrat de maintenance ou autre ?

    Là où l’open-core peut cesser d’être de l’opensource, c’est si le core en question devient à peine utilisable/utile seul, sans les autres briques propriétaires, qu’il se réduit à peau de chagrin et que toute l’intelligence du logiciel est implémentée dans la partie propriétaire. Àmha.

  • [^] # Re: X linuxfr

    Posté par  . En réponse au journal Région Nouvelle-Aquitaine : Reine du gâchis ?. Évalué à 3.

    À l'issue des 4 ans, les offres des fournisseurs sont de nouveau examinées, et un nouveau fournisseur, ou le même qu'avant, est sélectionné.

    ²
    Est-ce une obligation, de passer un marché aux termes des 4 ans c’est ça la question que je me poste ma question.

    La durée du marché n'affecte pas la durée durant laquelle tu vas conserver le matériel acheté.

    Ni n’affecte le moment où un (nouveau) marché doit être passé ?

  • [^] # Re: Liens

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 6.

    La guerre de la manufacture, on l'a perdue il y'a 40-50 ans quand on a développé l'industrie chinoise en relocalisant tout là-bas.

    Dorénavant on y développe nos émissions de GES, en considérant chinois ce qu’ils émettent en fabriquant ce que nous consommons…

  • [^] # Re: une dépêche monsieur s'il te plaît

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 4.

    « passage au moule de la conformité »

    Ce qui est assez cocasse étant donné le sujet du journal.

  • [^] # Re: une dépêche monsieur s'il te plaît

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 6.

    J’allais dire que ton journal me semblait mériter d’avoir un maximum de visibilité et donc d’être promu en dépêche. Cependant j’allais aussi signaler que je trouvais le ton particulièrement plaisant à lire.

    Or comme je ne lis que très peu les dépêches, loin de moi était l‘idée que la métamorphose en dépêche puisse nécessiter d’aplanir le style, tout comme le besoin d’étoffer ce contenu que je trouve d’une longueur tout à fait respectable et pensais plus que suffisant pour convenir à une dépêche.

    Je ne saurais dire si ce « passage au moule de la conformité » est souhaitable, nécessaire, utile, ou que sais-je encore, mais à priori je salue ta volonté d’assumer ta manière d’écrire et d’y tenir, manière dont encore une fois je trouve remarquable, et dont je suis curieux de connaître les arguments de celles et ceux qui affirment qu’il doit être revu/re-phrasé, tout en étant assez sûr à l’avance de ne pas y souscrire de toute façon. ^^

  • [^] # Re: Je dois passer a cote de quelque chose...

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 8. Dernière modification le 22 janvier 2025 à 23:27.

    Comme l’explique le lien que tu donnes, même avec la résine époxy il y un tas de précaution à prendre.

    Ce genre de considération permet d’apprécier, je pense, à quel point le bois d’arbre, de la plupart des arbres, reste une matière possédant un ensemble de qualités remarquable, qu’à ce jour aucun polymère où autre matériaux artificiel n’a rendu totalement obsolète.

    Puisqu’on improvise une petite réunion Tupperware sur le thème « j’imprime ma vaisselle, j’ai ainsi retrouvé le véritable goût des aliments et ces précieux moments de partage que sont les repas. Je suis de très près l’impression de matière fibreuse protéiné que je pourrais cuire au barbecue à vapeur pour renouer avec mes instincts sauvages ». J’ai une remarque d’intérêt modéré à nul et une question passable pour l’assemblée ici présente.

    De tous les plastiques j’ai toujours trouvé que le polypropylène était le plus fantastique de tous. Pour sa texture et ses qualités mécaniques. De nombreuses pièces de vaisselle, en particulier les Boitemplastikiferm®, il fait donc à priori partie des matériaux potentiellement assez faiblement toxique pour qu’on puisse en avaler un peu sans tomber malade alors que l’évolution ne nous y a pas préparé. Au mieux commence-t-elle tout juste à le faire, mais ce n’est pas le sujet. Sujet qui est que je m’interroge (enfin plus vous que moi) sur la possibilité ou l’impossibilité d’imprimer cette matière. Pourquoi ? Comment ? Où ? Dans quel but ? Est-ce une bonne idée ?

    Et puisque j’y suis : je ne prendrai pas le jeux de 11 boîtes pentagonales gigognes à fermeture hermétique intelligente, pas ce mois-ci. Même si j’adore comme tu en parles Martine on comprends qu’elles sont absolument géniales ces boîtes. Je verrai peut-être pour la prochaine réunion si je peux économiser les 299 € d’ici-là.

  • [^] # Re: Bal musette

    Posté par  . En réponse au lien L'auteur meurt-il une deuxième fois avec l'IA générative ?. Évalué à 4.

    Heureusement, j'ai toujours préféré le spectacle vivant.

    En matière de musique, pour un même artiste, un même genre musical, un live en chair et en os où tu peux toucher le son grâce à la puissance et où on ressent les bruits de la tringlerie d’une batterie et l’odeur d’une bassiste en sueur ça n’a rien à voir avec le son d’un album studio écouté dans son salon, rien à voir, et on ne peut pas dire que l’un soit mieux que l’autre.

    C’est sûr que pour pouvoir faire la même chose en « artificiel », comme pour reproduire une pièce de théâtre, va falloir encore s’améliorer pas mal en cybernétique pour qu’on arrive à y croire… :)

  • # Bal musette

    Posté par  . En réponse au lien L'auteur meurt-il une deuxième fois avec l'IA générative ?. Évalué à 9. Dernière modification le 20 janvier 2025 à 21:16.

    La littérature ne doit pas être bien différente mais pour parler de ce que je connais un peu, en terme de création musicale, quand je constate le nombres de compositeurs qui font tous « la même musique », je pense en effet qu’une IA bien conçu pourra en faire de même.

    Mais je le redis encore une fois : l’IA générative se nourrit de la production humaine, or si cette production humaine a de plus en plus recours à l’IA, voire, ce qui semble le chemin tout tracé, que ce soit des IA qui finissent par tout composer, on arrivera fatalement, je pense, à une « implosion du champ des possibles ». La variété musicale s’amenuisera et tendra vers un pur bruit rose, ou autre son totalement dénué de caractère humain. On aura l’air malin, et surtout en famine musicale.

    Dans l’écriture de scénarios et de romans, c’est probablement la même chose qui se passera : tous les films, c’est à dire in fine le seul possible, aura comme pitch : « d’abord iels se rencontrent, puis ensuite iels se battent, et à la fin iels baisent.». C’est vu d’avance !

  • [^] # Re: X linuxfr

    Posté par  . En réponse au journal Région Nouvelle-Aquitaine : Reine du gâchis ?. Évalué à 3.

    tes exemples totalement hors sujet.

    Mais alors ta remarque sur la durée pour les marchés publics n’est-elle pas elle-même hors-sujet en premier lieu ?

    C’est quatre ans maximum, mais aucune obligation d’acheter tous les quatre ans (?). Bref, je n’ai peut-être pas compris cette phrase dans ton commentaire.

  • [^] # Re: Cool

    Posté par  . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 2.

    la vie palpitante d'homme au foyer … et comment on écrit des logiciels pour se libérer du quotidien

    C’est là qu’on voit l’écrasante supériorité organisationnelle de l’homme.

    Contrairement à la femme, il peut assurer la bonne tenu d’un foyer tout en se libérant du temps pour écrire des programmes et jouer de la bass. Ceci sans geindre sans cesse pour se plaindre de sa condition et de sa charge mentale.
    On a beau garder à l’esprit qu’elles n’ont pas notre force et notre intelligence,mais sont prompts à la colère et au désarrois, c’est toujours surprenant de les entendre soupirer ou pire pour remplir la soupière de devoir passer leur journée à s’amuser avec les enfants et concocter de bons petits plats pour toute la famille ! Même celles qui profitent de ne pas avoir de domestiques pour faire leurs courses et jouissent de ce fait du petit plaisir qu’est de se rendre au supermarché, et d’y rencontrer tous ces gens si charmant, réussissent encore pourtant à se plaindre de ne pas avoir ceci ou cela ! De l’attention, de l’aide, de la considération et je ne sais quelles autres balivernes futiles dans la même veine.

    J’espère que demain tu rédiges une doc sous SCAM pour le lavage des carreaux et un manuel pour apprendre à se servir du lave-linge. :p

  • [^] # Re: le problème

    Posté par  . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4. Dernière modification le 20 janvier 2025 à 04:20.

    Il y en a quelques uns. Pas des tonnes hein, c’est pas une quelconque tradition débile de poster des totoz d’Hitler, ou des totoz de quelques sujets en particulier sur la tribune.

    Je pense notamment au totoz “xcellent” ht࿖tps://࿖ totoz.eu࿖ /totoz࿖ /xcellent࿖ que je trouve excellent. (retirer les svastika dextrogyres pour avoir le lien)

    Il a pu m’arriver de l’utiliser et si je m’en abstiens désormais c’est que la modératrice en chef souhaite ne pas le voir. Je ne suis pas d’accord avec elle sur le principe, que ça puisse participer à banaliser le nazisme, bien au contraire d’après-moi, mais parce qu’on m’a appris à suivre autant que faire ce peut les règles que les gens imposent chez eux.

    J’ai un gros problème avec cette volonté de faire disparaître des éléments de l’Histoire et de la conscience collective comme j’ai du mal à comprendre ceux qui n’acceptent pas que l’Humour (avec du gros hasch !) ça ne veut pas dire « rire gaiement pour se détendre », mais que c’est au contraire un mode d’expression spécifiquement destiné à traiter des sujets les plus « malaisant », des tabous, des haines et bassesses des uns et des autres, et que fatalement, quand on s’applique à exceller, à mener jusqu’au bout ce principe primordial de ce qu’est l’humour véritable, on vexe, blesse et révolte une partie de son auditoire, on en laisse toujours une grande partie indifférente, parce qu’elle s’en fout, on fait passer à l’acte une infime minorité de psychopathes qui sans nous seraient passé à l’acte que plus tard, tout ça pour passer un message à une poignée ou les réconforter et leur donner confiance.

    L’humour est bien plus violent que le drame. C’est précisément pour ça qu’on en rit.

  • [^] # Re: liberté

    Posté par  . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3. Dernière modification le 20 janvier 2025 à 03:33.

    « Il ne faut pas croire que, il faut vérifier que. »

    Citation supposément de Claude François, qui dans dans son affabilité légendaire aurait sorti ça a un des ses assistants qu’il engueulait copieusement pour avoir commis quelque erreur. Je trouve la phrase très intelligente. Cela pourrait vouloir dire qu’elle en est totalement dénuée, certes, mais ça je ne peux pas en juger moi-même. À vous de vérifier vous-même en cas de doute sur sa pertinence. ;)

    Ceci étant dit tu as raison. On ne peut pas toujours ne laisser aucune place à la croyance, car on ne peut pas toujours tout savoir d’un problème donné. Sachant pour commencer que croire qu’on sait tout, c’est déjà croire, faire confiance à soi-même.

    Ne fais confiance à personne, jamais ?

    « Toujours vérifier qu’on peut faire confiance ». Par cette phrase quelque peu paradoxale ce que je veux dire c’est que pouvoir toujours, ou même le plus souvent possible, faire confiance, ne peut être que souhaitable. Ça libère soi-même de l’effort de la vérification, de la recherche, donc en effet, ne faire confiance à personne, jamais, ne jamais être en mesure de le faire, c’est, je pense, une défaite pour soi-même. L’inverse, toujours pouvoir faire confiance, étant une victoire remarquable.

    Depuis quelques années je réalise que la confiance, en soi-même en premier lieu, mais surtout la confiance en l’autre, est, j’en suis chaque jour plus convaincu, l’objet le plus précieux qu’on puisse donner et recevoir. La confiance est éminemment précieuse, par le travail qu’elle requière quand il s’agit de l’obtenir, ou de par la prise de risque qu’elle représente lorsqu’il s’agit de la donner. En même temps elle s’altère, voire disparaît, pour des raisons parfois presque insignifiante.

    Pour finir, entre d’un côté croire, sur parole et définitivement, et de l’autre côté remettre en cause jusqu’à la plus petite affirmation, il n’y a pas qu’un pas, ni même deux ou dix. On peut croire plus ou moins fort, comme croire temporairement. D’après-moi. (non, vraiment, je ne peux pas tout ce boilerplate inutile ! ^^)

    Il y un gouffre immense au creux duquel un magma de doutes et de certitudes produit une réaction psychique des unes avec les autres et tout ce qu’on peut y tomber. C’est une faille béante et vertigineuse qu’il est préférable de ne pas regarder trop longuement ou trop intensément, c’est vers l’avant que l’on doit porter le regard lorsque l’on chemine d’une rive à l’autre sur le frêle pont qu’est notre vie au dessus du gouffre. À l’arrivée c’est bien souvent des deux dont dont on aura essuyé les projections. Cette matière visqueuse et brûlante c’est le « poids de l’existence ». On ne sait même pas s’il y a des douches au bout. Vu la gueule du pont, au rabais, certainement pas aux normes universelles, je crois qu’il n’y en a pas mais j’en ai pas la certitude. Vous pourrez vérifier « tasson ».

  • [^] # Re: liberté

    Posté par  . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4.

    C'est pas non plus un truc que n'importe quel locuteur avec qui tu peux débattre peut deviner à priori non ?

    J’aimrais qu’il doute à priori.

  • [^] # Re: Cool

    Posté par  . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 4.

    vous aviez réussi à installer le truc

    Je n’ai pas essayé, que l’existence m’épargne cette épreuve, je la supplie d’avoir pitié de moi. J’ai bien senti que c’était installable pour de vrai et c’est l’aspect un peu terrifiant de ce journal. ^^

    Mais j’ai bien rigolé (enfin souris, je rigole pas tout seule devant mon écran quand même, enfin, c’est rare !)

    Je suis sûr qu’au delà de l’aspect blague, caricature, du truc, il y a quelques enseignements à en tirer. Ne serait-ce que voir ce qu’il ne faut pas faire. /o\

    Moi j’aime le KISS, deux technos associées, grand maximum. J’ai un espace mémoire contraint et pas les instructions adéquates pour la plupart des solutions logicielles associant des technologies ou des concepts ayant moins de 20 ans. Heureusement que grâce à LaRache© et un peu de poudre verte je peux émuler du Web 3.0 et du TrucAsCode générique qui répond aux besoins les plus exigeants.

  • [^] # Re: X linuxfr

    Posté par  . En réponse au journal Région Nouvelle-Aquitaine : Reine du gâchis ?. Évalué à 10. Dernière modification le 18 janvier 2025 à 20:16.

    Surtout qu’un parc informatique d’un lycée a je pense, plus que d’autres parcs info, intérêt et vocation à présenter une hétérogénéité importante. « Renouveler tout le parc » semble complètement irréel. Au point que j’y crois pas à priori.

    Ceci dit j’ai peur qu’il y ait en effet un gâchis certain, par des achats « forcés » par des commerciaux prêts à tout.

    Perso j’ai eu l’occasion dans ma vie, de voir végéter pendant plus d’un an, dans la cave d’une entreprise, des UC, écrans et tout ce qu’il faut, absolument pas obsolète, et qui devaient effectivement, à ce qu’on m’a dit, être revendus sur le marché de l’occasion. Quand j’ai quitté l’entreprise il y étaient encore.

    J’ai découvert qu’on peut empiler 20 boîtiers Dell en plastique sans que celui du dessous ne s’écrase ! Et j’ai pas participé à ces empilements juste pour voir combien on pouvait en mettre, mais parce qu’il y en avait des piles et des piles…

    Et ça c’était des UC qui avait deux ou trois ans, des « vieilles UC »… Mais des UC neuves n’ayant jamais servi et qui se retrouvent entassées ici et là, c’est beaucoup plus courant qu’on pourrait le penser. C’est comme les logements vacant en fait…

  • [^] # Re: La benne c'est payant

    Posté par  . En réponse au journal Région Nouvelle-Aquitaine : Reine du gâchis ?. Évalué à 9. Dernière modification le 18 janvier 2025 à 19:55.

    revendu à un "broker" (je ne sais pas l'écrire)

    Tu l’as bien écrit. C’est un terme générique applicable à de nombreux domaines. C’est en quelque sorte une entité, un agent, qui vient « casser », rompre, un flux entre deux entités, en tous cas, s’y interposer pour en tirer partie. Le broker maintient un flux, de nature différente évidemment, entre les deux entités. Le but c’est que le flux soit plus efficient ainsi, et que des flux supplémentaires se créent du broker vers d’autres entités.

    La page FR du Wiktionaire explique qu’il y aurait une étymologie commune avec « brocanteur » :)

    https://fr.wiktionary.org/wiki/broker#en

    À ne pas confondre avec un breaker, qui pour sa part ne parasite pas les flux des autres mais est source d’un flux d’énergie artistique qu’il produit par des mouvements circulaires, cadencés et syncopés avec son propre corps.

    Je vous invite à ne pas prendre mes définitions comme les plus précises qui soient sans réfléchir, mais plutôt à consulter un dictionnaire, afin de constater que c’est effectivement bien le cas :p

  • [^] # Re: Cool

    Posté par  . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 4.

    Voilà, et puis comme l’arc qui ne fait pas l’archer, l’outil à idées ne fait pas le bricoleur de la pensée.

  • [^] # Re: Cool

    Posté par  . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 3. Dernière modification le 18 janvier 2025 à 19:15.

    Je crois que tu ne réponds pas au bon commentaire. Si c’est bien le cas, peux-tu expliquer simplement ce que tu veux dire. Je n’ai rien compris. :(

    Mais docker je connais, c’est pour manipuler des containers pour fabriquer des pods et des replicas et tout ça ça permet de s’caler horizontalement tranquillou pour faire une sieste.

  • [^] # Re: liberté

    Posté par  . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3.

    Qu’elle est mince la frontière entre prétention et confiance en soi, tout comme celle entre entre narcissisme et amour-propre ou encore celle entre acceptance du doute et crainte de l’ignorance.

  • [^] # Re: liberté

    Posté par  . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3. Dernière modification le 18 janvier 2025 à 06:11.

    "je t'impose ma vision et rentres toi bien ça dans le crane les autres sont des c…"

    C’est ça que j’ai bien du mal à comprendre pour ma part. Quand quelqu’un me dit que j’ai tort de ne pas penser ceci ou cela, tout ce qu’il m’impose c’est le fait qu’il pense cela lui-même, et qu’il m’invite à changer d’avis. Il ne m’impose à proprement parler rien du tout. Ni d’argumenter contre sa position, ni de taire la mienne, encore moins de changer d’avis.

    En conséquence, quand je dis à une personne : « tu as tort, parce que ceci, et c’est mal, parce que cela » ça m’attriste qu’elle y voit du mépris ou de l’irrespect, pour les idées qu’elle a exprimées, à quelques exceptions près, et auxquelles je réponds, pas pour elle, ce qu’elle me donne l’impression d’être, encore moins pour ce qu’elle est réellement, ce qui est impossible sauf à connaître parfaitement la personne en question, chose extrêmement rare dans l’existence, et proprement impossible dans le cadre de discussions par web interposé.

    Il ne faut pas croire que je sois comme ça uniquement sur la tribune, j’ai pu constater dans « la vraie vie » des réactions semblables. Alors je reconnais avoir tendance à être très affirmatif, peut-être trop, tout en ayant par ailleurs assez souvent tort, mais je ne conçois pas de débattre, de discuter, en adjoignant à toute affirmation des : « à ma connaissance », « je peux me tromper mais », « je ne suis pas sûr mais », etc… Pour moi, à part avec un⋅e interlocuteur⋅ice en position d’autorité, et même dans ce cas ça se discute, la possibilité que l’affirmation que me fait la personne avec qui j’échange soit erronée, inexacte ou que sais-je encore va-de-soi, c’est une évidence tellement absolue que je juge inutile de l’exprimer. Je reserve donc ce genre de précaution quand j’ai un fort doute sur la véracité de ce que j’affirme (voire une quasi certitude de son caractère erroné).

    Je dois bien admettre, d’expérience, que c’est énervant pour un tas de personnes.

    La même expérience m’enseigne aussi que de nombreuses personnes adoptent un comportement similaire sans s’en rendre compte. C’est extrêmement courant de mon expérience nécessairement lacunaire et l’analyse forcément imparfaite que j’en ai, que les gens reprochent aux autres leurs propres travers. Comme s’ils pouvaient les minimiser ainsi chez eux, en maximisant leur existence chez les autres. Ou encore, comme si la difficulté de s’adresser à eux-mêmes ces reproches les faisait inconsciemment s’appliquer à les adresser aux autres, car ainsi, au moins, ils les expriment.

  • [^] # Re: -13

    Posté par  . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3.

    Je ne l’ai pas fait car je pensais que c’était fait exprès, comme un sorte de blague de geek… mea culpa.

  • [^] # Re: Cool

    Posté par  . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 6.

    un outil simple pour y jeter mes idées et les organiser.

    Un éditeur de texte ?

    Certes la fonctionnalité unique pour organiser, le couper/coller, est un peu spartiate, mais la simplicité la plus simple est au rendez-vous.

    Ensuite, en acceptant de complexifier la solution en y introduisant un brin de « balisage léger » à la asciidoc ou markdown, pour disposer de toute la puissance sémantique de la trinité titre/sous-titre/liste, on fait honneur à ses idées en leur procurant le nécessaire pour incuber et se transmuter en concepts !

  • [^] # Re: C'est bien LE problème actuel avec l'IA

    Posté par  . En réponse au lien Une intelligence artificielle vient de s'autopirater pour gagner une partie d'échecs. Évalué à 3. Dernière modification le 17 janvier 2025 à 06:18.

    l'IA ne fait que ce qu'on lui laisse faire, mais on part de tous les possibles et ensuite on la restreint par des règles.

    Ta description me dérange un peu parce que selon moi l’idée derrière l’IA c’est bien qu’elle trouve des solutions à notre place, des solutions probabilistes. Certes dans un cadre que l’on maîtrise (quelles fonctions d’activation, quels dispositifs de mémorisation (ie: de « repetition »), quelles granularités, quel temps, quelle énergie, etc… Même quand le modèle dispose de latitude sur ces paramètres c’est toujours un cerveau humain qui en a fixé les bornes. Je dirais plutôt qu’on commence par définir des règles, pour ensuite la laisser explorer toutes les possibilités, en espérant bien qu’elle les fera pas toutes pour trouver les plus intéressante, et en le constatant même, et c’est bien tout l’intérêt de cette dépense énergétique faramineuse qu’on y accorde.

    Ce qu’on attend comme résultat, sorti des problèmes « simple » de reconnaissance d’objet, de déplacement, … c’est bien un résultat auquel on n’aura pas pensé, nous humains, à priori.

    On attend donc précisément qu’elle fasse des choses qu’on ne lui aura pas demandé. Pour un exemple simpliste : une IA qu’on aurait entraînée pour reconnaître des végétaux, pour identifier (dans le sens : « montrer où se trouve ») des plantes encore inconnues, pourrait très bien nous informer que telle molécule de telle espèce (espèce possiblement déjà connue) peut nous aider à soigner telle maladie, qu’on pourraitne même pas encore connaître, pas encore l’avoir décrite en continuant à attribuer ses symptômes à une autre maladie.
    Pour le dire plus succinctement, qu’une IA entraînée à découvrir des plantes découvre un remède à une maladie que nous ne connaissions pas, et en ««« sachant »»» même pas elle même ce qu’est une maladie.

    Ça marche aussi avec un poison en lieu et place du remède, évidemment.

    Mouvements erratiques au début puis… elle fait la roue. Perdu !

    Si on se rend compte qu’on n’avait pas penser au fait qu’en faisant la roue elle pouvait servir à tout à fait autre chose, ce n’est pas forcément perdu. C’est un gain même, ne serait-ce pas celui escompté).

    Cet exemple est tout con, on aurait pu lui définir le concept de saut différemment, mais ça illustre exactement le problème.

    On aurait pu aussi lui apprendre à sauter, mais alors on ne pouvait plus parler d’IA. Et on a déjà essayé ça, et ça marche pas aussi bien qu’on le voudrait…

    Je verrai peut-être des premiers résultats en « Méta-IA » de mon vivant, ou leur absence totale. Mais ce que je devine sans même mouiller mon doigt, c’est qu’à l’instar de l’avènement des ordinateurs où l’on a fermement cru que le champs des solutions était sans limite, par exemple dans le domaine de la traduction automatique, ou la « vision optique », puis on a constaté que les problèmes étaient pas si simples, les apport de l’IA seront (et sont déjà) notables, mais on est encore en train de faire ce que l’humain est probablement la seule créature vivante sur Terre à faire, en tous cas dans la même proportion : être irrationnelle : ignorer notre apprentissage, ignorer des signaux pourtant reçu, parce que l’évolution a fait que c’est comme ça. Or aucune création humaine artificielle n’est soumises au phénomène de l’évolution. si cela arrive un jour il y a de forte chance que cette création aura une nature biologique, et l’humain n’en sera que partiellement le créateur.

    C'est con une IA, très con, il faut tout lui dire, tout. Et c'est bien là la difficulté.

    On pourrait aussi parfaitement dire que c’est particulièrement intelligent une IA, peut-être ce que l’humain a produit de plus intelligent (ce que SON intelligence a produit).

    En fait, même si on peut s’accorder assez bien de ce que signifient les termes (et c’est déjà ça…), « Intelligence artificielle » est autant un parfait oxymore que peut l’être « réalité virtuelle ».

    Nevertheless, behavior that had seemingly been entirely eliminated in training for free-tier users—refusing harmful queries—was still present to a notable degree for paid-tier users.

    https://www.anthropic.com/research/alignment-faking

    C’est toujours une histoire de pognon au final ! Pas une bécane pour rattraper un trou du cul ! Pfff ! ^^

  • # On se casse la gueule en glissant maladroitement des épaules de ceux qui voulaient nous semer

    Posté par  . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 4.

    dans la direction où l'on veut en s'en foutant des bonnes pratiques, et on regarde où ça nous mène

    Est-ce qu’il ne faudrait pas même aller presque jusqu’à parfois ne pas savoir où on veut aller, en s’appliquant insuffisamment à suivre les mauvaises pratiques sans regarder où l’on va, quand on veut agir selon LaRache© de façon erronée afin de ne pas être du tout sûr de rater la cible qu’on ne visait pas ?

  • [^] # Re: le problème

    Posté par  . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3.

    il est plus facile à contacter que les personnes qui hantent la tribune

    Ça va de soi. Les personnes qui hantent la tribune (et qui préfèrent qu’on disent qu’elles animent et entretiennent ce lieu pittoresque au potentiel touristique incroyable, ce haut lieu de la sous culture, le bouchot), sont elles-même, pour la plus part j’imagine, contactables par les modérateurs. Modérateurs qui n’ont me semble-t-il aucun besoin de leur permission pour effacer quelque contenu que ce soit.

    Pour un tel trésor culturel unique la tribune je suppose qu’il n’a jamais été prévu de modération. Cela dit, même si des gens gardent une trace de ce qui s’y écrit, et endossent de ce fait leur propre responsabilité (sur le fait d’être en mesure de retirer le contenu en cas d’exigence légale), ce n’est pas le cas de LinuxFR elle-même (tu es mieux placée que moi pour savoir ce qu’il en est vértiablement). Donc toute tribulation tribunesque trivialement triturée ou tristement tribal de trisomique trippant, problématique ou non, est de faite « modérée » par un effacement quasi automatique au bout de quelques heures, environ quatre heures par exemple grosso modo à cette heure-ci.

    À moins que je loupe quelque chose ?