C’était plus de l’ordre de la boutade que du troll mais oui, je réalise bien que ce n’est pas un propos sérieux. Les propos sérieux ne sont pas ma spécialité, j’y très recours très rarement ;).
Je disais « de l’Univers » car Debian ne se veut pas une « simple » distribution GNN/Linux, mais un « OS universel », qui vise à faire fonctionner TOUT les ordinateurs, offre la possibilité par exemple d’utiliser le noyau de FreeBSD, et développe même, avec le FSF, un noyau (basé sur un micro noyau et donc, sur le papier, censé être mieux que Linux). C’est à ma connaissance, en tant que distribution GNU/Linux celle qui supporte le plus d’architectures matérielle.
Le noyau Linux est d’ailleurs lui-même assez « universel », étant donné le nombre d’architectures et de matériel qu’il supporte (du gadget connecté au super-calculateur…), à ma connaissance (relativement limitée), aucun autre noyaux type *NIX commercial n’était jamais arrivé à ça.
Ils disent aussi que les dauphins se sont mieux débrouillés que nous quand ils leur ont passé le sonar, et que s'ils ont besoin d'un OS un jour, c'est à eux qu'ils le passeront. Ou aux manchots, bien sûr.
si un interfaçage direct entre cerveau et machine est disponible je suis d’accord qu’on le réserve en priorité aux dauphins ! Sans aucun doute. ^^
environnement virtuel dédié précisément à cette application.
Un environnement par appli ça veut bien dire que l’on peut se retrouver avec appliA qui nécessite bibtruc.≥ X.Y.Z et appli2 qui nécessite bibtruc =X.Y.U ?
Ce qui aura une fâcheuse tendance à l’effet boule-de-neige, avec les dépendances de dépendances, et qu’il faut donc avoir peu d’applis en cour de développement ou bien beaucoup d’espace disque à disposition ? Pas simple à gérer, sans parler de l’effort intellectuel nécessaire quand on se retrouve à devoir travailler en parallèle avec deux versions d’une lib qui sont « un peu différente » ?
J’ai l’impression que les lib externes, il faut vraiment réfléchir à deux fois, en Python comme pour tout langage, et que « réinventer la roue », ou internaliser le morceau de code de la dite lib au sein même de son appli, vaut parfois mieux que prendre une lib pas hyper stabilisée dont on va utiliser p-e 10%, non ?
On peut à mon avis le qualifier de langage de programmation en bon est dû forme du fait qu’il soit « Turing-complet ». Ceci dit le Brainfuck l’est également, ce dernier est d’ailleurs le plus dépouillé que l’on puisse faire comme langage Turing-complet à ma connaissance (et c’est très beau, àmha ^^).
Mais un shell est conçu, et de plus configuré par défaut, pour servir d’interface entre l’utilisateur et le système, pour une utilisation « interactive ». Pour prendre un des exemples les plus parlant : en Python, Perl ou d’autres langages interprétés, une erreur de syntaxe entraîne la fin de l’exécution de l’interpréteur, il « n’ira pas plus loin », alors qu’en Bash (et autres), à moins de lui spécifier de s’arrêter sur tout code d’erreur (via set -e), et donc pas uniquement les erreurs de syntaxe… il continuera, en passant à la commande suivante. C’est compréhensible : si une erreur de syntaxe stoppait ton shell, par exemple que tu te trompais et essayais d’exécuter une commande qui n’existe pas, et que tu devais alors de re-logger au système à chaque fois, tu deviendrais fou.
Une autre manière de saisir la différence : essaye d’utiliser l’interpréteur Python comme shell de connexion, à la place de Bash. C’est techniquement tout à fait possible. Tu lances en automatique un import os histoire d’avoir des commandes (qui seront des fonctions Python donc) pour afficher/copier/supprimer/etc des fichiers, etc, etc… tu te rendras vite compte que ce n’est pas fait pour.
Entendons nous bien, je ne veux décourager personne d’écrire des programmes en shell, c’est le langage que j’utilise moi-même le plus, mais ce que je souhaite faire passer comme message, c’est que sans prendre conscience de cela, je ne crois pas qu’on puisse avoir une bonne expérience avec Bash. On ne peut pas comparer sur un pied d’égalité un shell d’un côté, et de l’autre un langage de programmation conçu comme tel « dès le départ ».
Certes il a un rôle particulier mais n'est-ce pas le cas de tout les langages?
Sans aller jusqu’au Brainfuck, qui est d’abord un jeu et clairement pas un outil qui puisse rendre le moindre service en dehors de l’exercice intellectuel, oui, des langages il en existe de toute sorte (on peut prendre CommonLisp ou Erlang par exemple, relativement exotiques comparé aux langages les plus répandus), peu se ressemblent vraiement. Mais « shell interactif » c’est vraiment un rôle (et pas un paradigme de programmation…), assez à part. Selon moi, on est pas obligé de voir les choses de la même manière.
Pour avoir eu à migrer une appli toute simple en Python (écrite par quelqu’un d’autre), simplement de RHEL7 vers RHEL8, je vois ce que tu veux dire. Le fait qu’il m’ait fallu, comme l’explique Benoît Sibaud, recourir à pip freeze pour installer très précisément la version X.Y.Z des quatre ou cinq bibliothèques utilisées (de mémoire stomp, request, … me souviens plus des autres) ça m’a surpris.
Je suis peut-être un vieux con qui n’a rien compris à la vie, ce qui me va parfaitement jusqu’à maintenant, mais lorsqu’il s’agit d’« appli » destinée à répondre à des problématiques de devops, qui ne sont ni énormes ni potentiellement destiné à devoir « passer à l’échelle » comme on dit, je n’ai jamais rien trouvé de plus satisfaisant que Bash. Certes c’est absolument incommode à écrire, bourré de subtiles pièges plus surprenant les uns que les autres, mais une fois que ça fonctionne ça ne va pas casser aussi facilement, simplement parce qu’on passe à une version majeur supérieure du système. La plupart du temps ça fonctionne avec zéro modification. Au pire, il faut voir que Bash 5 (la version actuelle) propose des « mode de compatibilité », pour faire tourner le script écrit il y a 15 (?) ans pour Bash 3.2 et qui tourne depuis, que personne ne veut, ne peut ou n’a les moyens de ré-écrire entièrement, et que les utilisateurs finaux considèrent comme crucial de ne surtout pas perturber.
Ce serait totalement idiot de développer des applications complexes, pour lesquelles le paradigme objet, ainsi que la cohérence et les performances brutes de l’interpréteur sont pratiquement indispensables, en Bash (ou un autre shell), mais ça me semble tout aussi idiot de se priver de l’intégration d’un shell avec le système, qui rend de fait le concept de « déploiement » anecdotique, offert par le shell en la matière.
Attention je n'ai pas dit que l'on ne pouvait pas utiliser pip sous Debian. Juste qu'il faut passer par un environnement virtuel.
OK je vois. Oui le recours à un “Virtual env” pour utiliser Python c’est devenu indispensable. Il faut s’y habituer. C’était une vrai question, je me demandais si tu ne faisais pas référence au fait que pip ne permettait plus l’utilisation de sa fonctionnalité de recherche des dépendances (peut-être est-ce de nouveau possible ? Ça fait un moment que je n’ai pas fait de Python). Pour Bash la recherche, et l’installation, de dépendances ça passe par apt ou dnf, what else !? ^^
Pour résumer le fond de ma pensée : Python est un outil formidable, mais il ne remplace pas le shell, ce sont vraiment deux outils différents, àmha.
Ceci dit pour Python comme pour Bash, le soin à apporter à la sélection des dépendances qu’on va utiliser (leur pérennité, stabilité, notoriété) ne doit pas être négligée.
on ne peut plus installer de dépendance avec pip (sur Debian du moins). On a accès qu'aux version disponibles et gérées par les mainteneurs de la distribution.
Je ne savais pas et je suis très étonné, pourquoi donc un tel malheur sur le meilleur OS de l’univers ?
Le premier langage interprété "en live" est le Shell (Bash, pour les Linuxien).
Gardons à l’esprit que Bash est d’abord un shell, et non un langage de programmation à proprement parler bien que ce soit le mailleur langage pour programmer, si on veut bien se le dire.
mais un isolant tout à fait médiocre. Par contre il est très ignifugé, ce qui est la raison de son large emploi.
Est-il si médiocre que cela s’il a été choisi parmi d’autre lorsque prise en compte cette contrainte de résistance au feu ?
Ceci dit j’ai effectivement tort dans les grande largeurs. Je n’avais même pas en tête le caractère ignifuge. Donc oui, j’aurais dû affirmer ça avec moins d’aplomb certainement, et surtout, ne pas l’affirmer du tout. C’est évident.
pas toujours noyée dans le ciment.
Ça semble être l’utilisation la plus répandue quand même ? Ceci dit en écrivant mon message j’avais pensé aux toitures/tuiles en contenant et dont, me semble-t-il, même avec tout le soin de l’entretenir convenablement, il est inévitable qu’il s’en répande dans l’air.
une idiotie doublé d'un jugement de valeur douteux.
Une parfaite idiotie j’en conviens. Cependant aurais-tu encore la force mentale et la pitié suffisantes pour m’expliquer en quoi c’est un jugement de valeur ?
Serait-ce que je juge que les bâtiments sont de manière générale mal entretenus ?
Un bon entretien n’aurait pas évité le problème, ça j’ai bien compris, maintenant. Mais je continue de m’interroger : le mauvais entretien des bâtiments (ou machines) utilisant ce matériau n’aurait-il eût pas tout de même un rôle non négligeable dans la dangerosité effective de celui-ci ?
Encore merci à toi pour la correction qu’apporte ce second message. Et au cas, que j’espère très peu probable, où tu pourrais t’en soucier et avoir un doute : je ne te tiendrais pas rigueur de ne pas me répondre encore une fois de plus.
Je cite la page FR Wikipédia sur cet enfouissement à Asse. Du « cherry-picking » oui, mais en tout objectivité bien sûr ! ;)
il s'agit là de la plus haute concentration en césium-137 mesurée depuis la fin du stockage en 1978. Cela correspond à 24 fois la limite de la concentration négligeable, mais encore significativement en dessous de la limite supérieure autorisée. Dans le trou, il y avait environ 1 l de saumure radioactive, provenant de l'espace des déchets.
Les déchets doivent maintenant être entreposés définitivement dans le puits Conrad, une mine de fer fermée en 1982 à Salzgitter.
(ça va compter un bras ce déménagement, certes, mais la solution on l’a bien).
En fait quand les antinucléaire disent qu’on n’a pas de solution c’est sous-entendu une solution parfaite ? Dans ce cas alors ok, mais faut être honnête, le dire, sinon on ne fait que déformer la réalité.
Une remarque pour finir : la résistance quasi systématiques des populations locales ne participe pas à ce qu’on puisse choisir les lieux de premiers choix, les plus adaptés du point de vue des ingénieurs spécialistes.
Ce qui me préoccupe c'est que ces centrales et les déchets produits nous engagent pour des durées très longues. Et que cet engagement ne pourra pas diminuer.
Nous engage à quoi précisément ? Continuer à cramer les hydrocarbures fossiles ce nous engagent pas ? Raser les forêts primaires ne nous engagent pas ? Miser sur l’IA ne nous engage pas ?
Ce que je veux dire c’est que tous nos choix nous engagent, ils engagent l’avenir de nos descendants je dirais, mais c’est le cas de tout ce qu’on fait et qui consiste à transformer notre environnement finalement, non ? J’ai peut-être mal compris ce que tu voulais dire (ça m’était déjà arrivé une fois en 1993 ! ^^).
Je sais parfaitement que j’emploie un ton souvent péremptoire. Mais dans ce cas précis, je ne sais pas comment tu interprètes :
et c’est toujours je crois
ce serait OK encore pour plein d’usage, non ?
C’est toujours épatant de voir des gens soucieux de signaler aux autres quand ils ont tort sans autre « argument » que d’inviter à aller lire la page Wikipédia, enfin, « la », « une » page Wikipédia non précisée, aussi simple soit-elle à deviner, à priori.
Non, enfin pas précisément.
Ça c’est le pompom. donc en plus, ce que tu dis c’est « non, mais enfin si un petit peu en quelque sorte » ?
Affirmer des choses dont on doute, même si ça peut souvent faire passer pour un con, ce dont je me fous, ou finir par énerver ses interlocuteurs, un peu plus embêtant mais bon, personne est obligé de lire, encore moins adhérer, émettre une affirmation au lieu d’une question c’est souvent une bonne manière, la plus rapide, de connaître la vérité, d’avoir une réponse (même si ça rate, comme ici).
Il y a des gens qui te disent : < Tu t’as trompé, la vérité c’est ceci, parce que cela. ».
Et puis il y des gens qui, comme tu viens de le faire, te disent : « C’est faux, enfin pas précisément, tu pourrais avoir été lire une encyclopédie avant de l’ouvrir. »
C’est pas un problème, tu fais et tu penses ce que tu veux. Moi aussi et c’est pourquoi je te fais ces remarques.
Posté par Marotte ⛧ .
En réponse au lien UTF-8 everywhere.
Évalué à 5.
Dernière modification le 22 décembre 2024 à 09:40.
Tout à fait mais en pratique on utilise toujours 8 bit par caractère, le 8e bit qui servait à l’origine de bit de parité pour la détection d’une corruption de donnée, par exemple lors d’un transfert par un réseau, n’est pas utilisé du tout (pour l’ASCII de base comme tu le précises).
Merci pour la correction en tous cas.
Si je tenais celui qui tient ce foutu marteau je lui ferais bouffer quelque clous. Les clous sont même pas alignés, c’est ni fait ni à faire, un travail d’art absent, talent ? Même pas un chouïa !
Ya longtemps ça coûtait rien de balancer de l'amiante partout dans un nombre considérable d'ouvrages en tout genres (écoles, usines, sous marins etc etc). On s'en est pas privé d'ailleurs.
C’était comme tu dis il ya longtemps, et contrairement aux matières radioactives qu’on cherche à enfouir, l’amiante ce n’était pas pour s’en débarrasser mais parce que c’était (et c’est toujours je crois), l’un des matériaux isolant les plus efficace qu’on connaisse.
L’amiante telles qu’utilisée pour les bâtiments, si on avait entretenu correctement ces bâtiments, ce serait pas un problème. Ce n’est de la matière radioactive qui nécessite un « emballage » de plusieurs centimètres de plomb (par exemple) pour être inoffensif.
Dans les plaquettes de freins de train ou ce genre d’usage, qui répand des particules dans l’air, c’est sûr qu’il faudrait mieux éviter, mais dans le cas des bâtiments, s’ils sont entretenus ce serait OK encore pour plein d’usage, non ?
Faudra bien qu’on maîtrise un tant soit peu les cycles de vie de toutes les merdes qu’on fabrique.
Notre maison brûle certes, mais il s’avère surtout que la poubelle déborde !
Our goal is to promote usage and support of the UTF-8 encoding and to convince that it should be the default choice of encoding for storing text strings in memory or on disk, for communication and all other uses.
Pas trouvé quand avait été écrit ce manifeste mais n’est-ce pas aujourd’hui un fait établi ?
Je crois que ce qui a rendu UTF-8 incontournable c’est le fait qu’un texte encodé en ASCII 8 bit est sans la moindre modification déjà un texte encodé en UTF-8. L’adoption d’Unicode aurait à mon avis pas été gagnée sans cette caractéristique.
Je souscris totalement à son idée si ce qui est attribué aux moins qualifiés des citoyens, suffit à subvenir à ses besoin, chichement mais réellement.
Donc si ça inclut de fait un revenu universel, comme condition la moins favorable de ce salaire à vie, lui étant progressif avec les compétences dont chacun chacune aura voulu, pu et su acquérir au début de sa vie.
J'inverse volontairement la charge de l'hostilité du fork sur le propriétaire du code. C'est injuste, je sais ;)
J’avais remarqué ça et tu as bien raison. Parlé d’hostilité pour un fork je ne cautionne pas vraiment mais je trouve dans cette affaire que Perforce est presque la partie à l’origine du fork, davantage que celle qui met en place et maintient le fork. Ou plutôt mettra en place si je comprends bien, ce n’est pour l’instant pas encore une réalité si j’ai bien saisi ? Elle savait qu’un fork était inévitable (qu’il soit viable et couronné de succès est autre chose), ceux qui créeront le fork ne le savent peut-être même pas encore. Donc à l’origine c’est bien le propriétaire du code existant. ^^
En tous cas merci pour les informations. Je connais SAP de nom et de ce que j’ai pu entendre comme remarque sur ce produit, je n’ai qu’une très vague idée, probablement assez erronée, de ce qu’il fait et à quoi il sert, et j’en m’en réjouirais presque qu’il en soit ainsi, donc surtout évite de passer du temps à m’instruire sur ce point précis. ;)
Possible que ça finisse avec un éditeur qui se retrouvera éclipsé par le fork opensource de leur produit phare. Mais néanmoins satisfaits de faire leur beurre sur une poignée de clients captifs qui n’auront pas eût pris le virage avec la masse.
La boite finira rachetée par IBM quand ses fondateurs et actionnaires majoritaires partirons à la retraite. Heureux avec cette vente qui leur offrira ce qui sera un petit pécule pour eux (on leur souhaite en tous cas). Puis progressivement plus personne ne parlera Puppet.
Mais on a progressé quand même, il y a 20 ans les entreprises à but lucratif partaient en guerre contre le libre, contre ce cancer qu’était la GPL cette lubie d’anarcho-geeks qui étaient une menace pour l’économie mondiale : le communisme en pire.
Aujourd’hui elles n’ont plus peur, elles ont compris que le capitalisme n’était pas menacé et qu’elles devaient aborder le phénomène comme un changement de paradigme impactant quelques business-model identifiables, mais que les fondamentaux du commerce comme elles l’ont toujours pratiqué étaient solides, et que l’établissement de rentes artificielles était toujours possible.
Dans 20 ans elles auront peut-être compris comment vraiment profiter du libre !
Les entreprises qui s’enrichissent grâce en partie au travail bénévole de certaines personnes participent aussi à leur tour à l’amélioration des logiciels que tu peux toi-même utiliser librement, gratuitement, sans être redevable de rien même dans le cas où tu t’enrichirais grâce à eux, ou parce qu’ils te permettent d’économiser car en n’ayant pas à payer pour d’autres logiciels, propriétaires et onéreux.
Fort heureusement que des entreprises s’enrichissent grâce au logiciel libre, sinon cela voudrait dire que le logiciel libre n’existerait tout simplement pas !
Et plus fondamentalement, c’est le principe même du bénévolat que de travailler gratuitement. Ta suggestion ne tient simplement pas debout.
Cela dit, on peut légitimement exiger, en tant que citoyen⋅ne⋅s auprès des états autant qu’en tant que travailleur auprès du patronat, un contrôle efficace de cette forme de l’économie différente du salariat et de la relation commerciale client-fournisseur « traditionnelle ».
Car en effet, quand le bénévolat cesse d’être pleinement volontaire il devient ni plus ni moins que de l’esclavage.
À l’inverse, quand le bénévolat cesse d’être un don pour se transformer en un investissement à but lucratif, ça devient alors un travail associé à une prise de risque (le risque de ne pas voir fructifier son investissement en temps et en énergie).
Dans les deux cas ce n’est plus du bénévolat, plus du tout. Si le premier cas est éminemment condamnable, le second ne saurait l’être, me semble-t-il en tous cas.
Pour le reste, on est sûr que la techno va s'améliorer et on en profitera donc en temps et en heure.
Probablement l’argument le plus énorme : des fois même pas un début d’idée de solution ou de méthode, même une mauvaise, non :
« Aujourd’hui on ne sait pas encore comment on va s’en sortir, mais on va s’en sortir, c’est évident. Avec la technologie, la mécanique quantique et l’IA tout ça… on va s’en sortir, carré ! Encore mieux mon gars, on va devenir des sur-hommes, … avec ? quoi ? des sur-femmes o_O mais oui bien sûr ! enfin… p-e éventuellement… mais osef mec ! je te parle de membres bioniques là, tu imagines un peu le truc, t’as capté :) . En plus tout ça ce sera sûrement dans l’espace les trois-quart du temps, dans l’espace, ET, à la vitesse de la lumière, michto fréro. Et puis encore, des trucs qu’on imagine même pas à l’heure actuelle mais qui existeront dans le turfu. Quelle heure !? Ah ouai c’est celle de l’apéro dis ! Aller fais péter Roger ! »
J’allais dire que c’était évident et que c’était à l’image des exemples dans les extraits du dernier livre présenté, et qui sont qualifiés de « sexistes », ce qui me paraît être un bon qualificatif, donc on peut imaginer que « masculine » associé à écriture a une autre signification ? Mais peut-être pas, et ce sont bien les poncifs et clichés de ce genre.
Vas savoir, avec les femmes c’est jamais bien clair ni tout à fait rigoureux. Ce ne sont pas les raisonnements logiques dans lesquels elles sont les plus douées. C’est davantage grâce à leur finesse de perception des sentiments d’autrui qu’elles se montrent les plus belles.
Elles se montrent parfois si douces que si de surcroît elle ont le physique qu’on attend d’une femme et que celui-ci est devinable par une ouverture vestimentaire, elles peuvent alors parfois faire pleurer un homme ! Le truc de dingue, le truc quasi impossible. En plus certaines sont quand même intelligentes malgré tout.
À y réfléchir, je me dis qu’offrir une pince monseigneur, Facom ça va de soi, histoire de ne pas offrir le même cadeau à tout le monde bien sûr, c’est probablement la garantie de marquer les esprits et compter, peser même, au sein de la famille.
Car lors d’un réveillon, en offrant une paire de gants, noirs de préférence, mais surtout de marque Facom c’est l’essentiel.Il faut l’offrir un autre parent, un proche de celui qui a reçu la pince monseigneur. Ainsi on augmente les chance de favoriser, surtout à la faveur d’une alcoolémie convenable, des activités de plein-air dans la rosée vivifiante du petit-jour à 3h00 du matin.
Comment commencer mieux une année qu’on souhaite placée sous les bons auspices de Facom garantis à vie ?
C’est parfaitement contre-intuitif mais forcé de constaté qu’une pince multiprise et bien plus universelle qu’une pince universelle. Cette dernière relevant davantage d’une pince coupante contrariée, qui est la plupart du temps employée abusivement comme pince à dénuder, et qui serre aussi souvent que Jean-Claude Dusse au ski.
Les GAFAM communiquent sur leur ambition d'arriver à la neutralité carbone (horizon 2030 pour Google et Microsoft). Avec la tendance actuelle à l'augmentation de leurs émissions dues à l'IA, l'atteinte de ces objectifs devient incertaine.
« incertaine » me semble un doux euphémisme (les euphémismes sont toujours doux, c’est comme ça, la liaison adoucit la phonation, faites le test vous entendrez).
Et quand je dis ça j’ai l’impression de faire un doux euphémisme en parlant d’un story-telling énorme et gigantesque, un chef-d’œuvre parmi les chef-d’œuvres de cet art ancestral et sacré du pipeau légendaire, et qui attendrait aujourd’hui dans notre petit coin de l’univers sa version 10000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000.0
[^] # Re: Debian ne pip plus ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La galère de Python en déploiement. Évalué à 3.
C’était plus de l’ordre de la boutade que du troll mais oui, je réalise bien que ce n’est pas un propos sérieux. Les propos sérieux ne sont pas ma spécialité, j’y très recours très rarement ;).
Je disais « de l’Univers » car Debian ne se veut pas une « simple » distribution GNN/Linux, mais un « OS universel », qui vise à faire fonctionner TOUT les ordinateurs, offre la possibilité par exemple d’utiliser le noyau de FreeBSD, et développe même, avec le FSF, un noyau (basé sur un micro noyau et donc, sur le papier, censé être mieux que Linux). C’est à ma connaissance, en tant que distribution GNU/Linux celle qui supporte le plus d’architectures matérielle.
Le noyau Linux est d’ailleurs lui-même assez « universel », étant donné le nombre d’architectures et de matériel qu’il supporte (du gadget connecté au super-calculateur…), à ma connaissance (relativement limitée), aucun autre noyaux type *NIX commercial n’était jamais arrivé à ça.
si un interfaçage direct entre cerveau et machine est disponible je suis d’accord qu’on le réserve en priorité aux dauphins ! Sans aucun doute. ^^
[^] # Re: java bien
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La galère de Python en déploiement. Évalué à 3. Dernière modification le 25 décembre 2024 à 06:48.
Commentaire supprimé
[^] # Re: Debian ne pip plus ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La galère de Python en déploiement. Évalué à 3.
Un environnement par appli ça veut bien dire que l’on peut se retrouver avec appliA qui nécessite bibtruc.≥ X.Y.Z et appli2 qui nécessite bibtruc =X.Y.U ?
Ce qui aura une fâcheuse tendance à l’effet boule-de-neige, avec les dépendances de dépendances, et qu’il faut donc avoir peu d’applis en cour de développement ou bien beaucoup d’espace disque à disposition ? Pas simple à gérer, sans parler de l’effort intellectuel nécessaire quand on se retrouve à devoir travailler en parallèle avec deux versions d’une lib qui sont « un peu différente » ?
J’ai l’impression que les lib externes, il faut vraiment réfléchir à deux fois, en Python comme pour tout langage, et que « réinventer la roue », ou internaliser le morceau de code de la dite lib au sein même de son appli, vaut parfois mieux que prendre une lib pas hyper stabilisée dont on va utiliser p-e 10%, non ?
[^] # Re: Debian ne pip plus ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La galère de Python en déploiement. Évalué à 5.
On peut à mon avis le qualifier de langage de programmation en bon est dû forme du fait qu’il soit « Turing-complet ». Ceci dit le Brainfuck l’est également, ce dernier est d’ailleurs le plus dépouillé que l’on puisse faire comme langage Turing-complet à ma connaissance (et c’est très beau, àmha ^^).
Mais un shell est conçu, et de plus configuré par défaut, pour servir d’interface entre l’utilisateur et le système, pour une utilisation « interactive ». Pour prendre un des exemples les plus parlant : en Python, Perl ou d’autres langages interprétés, une erreur de syntaxe entraîne la fin de l’exécution de l’interpréteur, il « n’ira pas plus loin », alors qu’en Bash (et autres), à moins de lui spécifier de s’arrêter sur tout code d’erreur (via
set -e
), et donc pas uniquement les erreurs de syntaxe… il continuera, en passant à la commande suivante. C’est compréhensible : si une erreur de syntaxe stoppait ton shell, par exemple que tu te trompais et essayais d’exécuter une commande qui n’existe pas, et que tu devais alors de re-logger au système à chaque fois, tu deviendrais fou.Une autre manière de saisir la différence : essaye d’utiliser l’interpréteur Python comme shell de connexion, à la place de Bash. C’est techniquement tout à fait possible. Tu lances en automatique un
import os
histoire d’avoir des commandes (qui seront des fonctions Python donc) pour afficher/copier/supprimer/etc des fichiers, etc, etc… tu te rendras vite compte que ce n’est pas fait pour.Entendons nous bien, je ne veux décourager personne d’écrire des programmes en shell, c’est le langage que j’utilise moi-même le plus, mais ce que je souhaite faire passer comme message, c’est que sans prendre conscience de cela, je ne crois pas qu’on puisse avoir une bonne expérience avec Bash. On ne peut pas comparer sur un pied d’égalité un shell d’un côté, et de l’autre un langage de programmation conçu comme tel « dès le départ ».
Sans aller jusqu’au Brainfuck, qui est d’abord un jeu et clairement pas un outil qui puisse rendre le moindre service en dehors de l’exercice intellectuel, oui, des langages il en existe de toute sorte (on peut prendre CommonLisp ou Erlang par exemple, relativement exotiques comparé aux langages les plus répandus), peu se ressemblent vraiement. Mais « shell interactif » c’est vraiment un rôle (et pas un paradigme de programmation…), assez à part. Selon moi, on est pas obligé de voir les choses de la même manière.
[^] # Re: Debian ne pip plus ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La galère de Python en déploiement. Évalué à 6. Dernière modification le 25 décembre 2024 à 05:25.
Pour avoir eu à migrer une appli toute simple en Python (écrite par quelqu’un d’autre), simplement de RHEL7 vers RHEL8, je vois ce que tu veux dire. Le fait qu’il m’ait fallu, comme l’explique Benoît Sibaud, recourir à
pip freeze
pour installer très précisément la version X.Y.Z des quatre ou cinq bibliothèques utilisées (de mémoire stomp, request, … me souviens plus des autres) ça m’a surpris.Je suis peut-être un vieux con qui n’a rien compris à la vie, ce qui me va parfaitement jusqu’à maintenant, mais lorsqu’il s’agit d’« appli » destinée à répondre à des problématiques de devops, qui ne sont ni énormes ni potentiellement destiné à devoir « passer à l’échelle » comme on dit, je n’ai jamais rien trouvé de plus satisfaisant que Bash. Certes c’est absolument incommode à écrire, bourré de subtiles pièges plus surprenant les uns que les autres, mais une fois que ça fonctionne ça ne va pas casser aussi facilement, simplement parce qu’on passe à une version majeur supérieure du système. La plupart du temps ça fonctionne avec zéro modification. Au pire, il faut voir que Bash 5 (la version actuelle) propose des « mode de compatibilité », pour faire tourner le script écrit il y a 15 (?) ans pour Bash 3.2 et qui tourne depuis, que personne ne veut, ne peut ou n’a les moyens de ré-écrire entièrement, et que les utilisateurs finaux considèrent comme crucial de ne surtout pas perturber.
Ce serait totalement idiot de développer des applications complexes, pour lesquelles le paradigme objet, ainsi que la cohérence et les performances brutes de l’interpréteur sont pratiquement indispensables, en Bash (ou un autre shell), mais ça me semble tout aussi idiot de se priver de l’intégration d’un shell avec le système, qui rend de fait le concept de « déploiement » anecdotique, offert par le shell en la matière.
OK je vois. Oui le recours à un “Virtual env” pour utiliser Python c’est devenu indispensable. Il faut s’y habituer. C’était une vrai question, je me demandais si tu ne faisais pas référence au fait que pip ne permettait plus l’utilisation de sa fonctionnalité de recherche des dépendances (peut-être est-ce de nouveau possible ? Ça fait un moment que je n’ai pas fait de Python). Pour Bash la recherche, et l’installation, de dépendances ça passe par
apt
oudnf
, what else !? ^^Pour résumer le fond de ma pensée : Python est un outil formidable, mais il ne remplace pas le shell, ce sont vraiment deux outils différents, àmha.
Ceci dit pour Python comme pour Bash, le soin à apporter à la sélection des dépendances qu’on va utiliser (leur pérennité, stabilité, notoriété) ne doit pas être négligée.
[^] # Re: Intéressant mais ça manque de détail technique
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Un câble USB qui permet de pirater un ordinateur.. Évalué à 3.
Faudrait lui montrer que sous Linux elle peut utiliser des smileys et des symboles divers pour les noms de fichiers. ^^
# Debian ne pip plus ?
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal La galère de Python en déploiement. Évalué à 3. Dernière modification le 24 décembre 2024 à 01:23.
Je ne savais pas et je suis très étonné, pourquoi donc un tel malheur sur le meilleur OS de l’univers ?
Gardons à l’esprit que Bash est d’abord un shell, et non un langage de programmation à proprement parler bien que ce soit le mailleur langage pour programmer, si on veut bien se le dire.
[^] # Re: Les amis: faut voir à long terme
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 3.
Je plaide coupable. Ton commentaire est très juste par ailleurs.
[^] # Re: Les amis: faut voir à long terme
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 4.
Est-il si médiocre que cela s’il a été choisi parmi d’autre lorsque prise en compte cette contrainte de résistance au feu ?
Ceci dit j’ai effectivement tort dans les grande largeurs. Je n’avais même pas en tête le caractère ignifuge. Donc oui, j’aurais dû affirmer ça avec moins d’aplomb certainement, et surtout, ne pas l’affirmer du tout. C’est évident.
Ça semble être l’utilisation la plus répandue quand même ? Ceci dit en écrivant mon message j’avais pensé aux toitures/tuiles en contenant et dont, me semble-t-il, même avec tout le soin de l’entretenir convenablement, il est inévitable qu’il s’en répande dans l’air.
Une parfaite idiotie j’en conviens. Cependant aurais-tu encore la force mentale et la pitié suffisantes pour m’expliquer en quoi c’est un jugement de valeur ?
Serait-ce que je juge que les bâtiments sont de manière générale mal entretenus ?
Un bon entretien n’aurait pas évité le problème, ça j’ai bien compris, maintenant. Mais je continue de m’interroger : le mauvais entretien des bâtiments (ou machines) utilisant ce matériau n’aurait-il eût pas tout de même un rôle non négligeable dans la dangerosité effective de celui-ci ?
Encore merci à toi pour la correction qu’apporte ce second message. Et au cas, que j’espère très peu probable, où tu pourrais t’en soucier et avoir un doute : je ne te tiendrais pas rigueur de ne pas me répondre encore une fois de plus.
[^] # Re: cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 4.
Je cite la page FR Wikipédia sur cet enfouissement à Asse. Du « cherry-picking » oui, mais en tout objectivité bien sûr ! ;)
(ça va compter un bras ce déménagement, certes, mais la solution on l’a bien).
En fait quand les antinucléaire disent qu’on n’a pas de solution c’est sous-entendu une solution parfaite ? Dans ce cas alors ok, mais faut être honnête, le dire, sinon on ne fait que déformer la réalité.
Une remarque pour finir : la résistance quasi systématiques des populations locales ne participe pas à ce qu’on puisse choisir les lieux de premiers choix, les plus adaptés du point de vue des ingénieurs spécialistes.
Nous engage à quoi précisément ? Continuer à cramer les hydrocarbures fossiles ce nous engagent pas ? Raser les forêts primaires ne nous engagent pas ? Miser sur l’IA ne nous engage pas ?
Ce que je veux dire c’est que tous nos choix nous engagent, ils engagent l’avenir de nos descendants je dirais, mais c’est le cas de tout ce qu’on fait et qui consiste à transformer notre environnement finalement, non ? J’ai peut-être mal compris ce que tu voulais dire (ça m’était déjà arrivé une fois en 1993 ! ^^).
[^] # Re: Les amis: faut voir à long terme
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 3.
Je sais parfaitement que j’emploie un ton souvent péremptoire. Mais dans ce cas précis, je ne sais pas comment tu interprètes :
C’est toujours épatant de voir des gens soucieux de signaler aux autres quand ils ont tort sans autre « argument » que d’inviter à aller lire la page Wikipédia, enfin, « la », « une » page Wikipédia non précisée, aussi simple soit-elle à deviner, à priori.
Ça c’est le pompom. donc en plus, ce que tu dis c’est « non, mais enfin si un petit peu en quelque sorte » ?
Affirmer des choses dont on doute, même si ça peut souvent faire passer pour un con, ce dont je me fous, ou finir par énerver ses interlocuteurs, un peu plus embêtant mais bon, personne est obligé de lire, encore moins adhérer, émettre une affirmation au lieu d’une question c’est souvent une bonne manière, la plus rapide, de connaître la vérité, d’avoir une réponse (même si ça rate, comme ici).
Il y a des gens qui te disent : < Tu t’as trompé, la vérité c’est ceci, parce que cela. ».
Et puis il y des gens qui, comme tu viens de le faire, te disent : « C’est faux, enfin pas précisément, tu pourrais avoir été lire une encyclopédie avant de l’ouvrir. »
C’est pas un problème, tu fais et tu penses ce que tu veux. Moi aussi et c’est pourquoi je te fais ces remarques.
[^] # Re: J’ Unicode
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au lien UTF-8 everywhere. Évalué à 5. Dernière modification le 22 décembre 2024 à 09:40.
Tout à fait mais en pratique on utilise toujours 8 bit par caractère, le 8e bit qui servait à l’origine de bit de parité pour la détection d’une corruption de donnée, par exemple lors d’un transfert par un réseau, n’est pas utilisé du tout (pour l’ASCII de base comme tu le précises).
Merci pour la correction en tous cas.
[^] # Re: Les amis: faut voir à long terme
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 3.
Si je tenais celui qui tient ce foutu marteau je lui ferais bouffer quelque clous. Les clous sont même pas alignés, c’est ni fait ni à faire, un travail d’art absent, talent ? Même pas un chouïa !
[^] # Re: Les amis: faut voir à long terme
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 3.
C’était comme tu dis il ya longtemps, et contrairement aux matières radioactives qu’on cherche à enfouir, l’amiante ce n’était pas pour s’en débarrasser mais parce que c’était (et c’est toujours je crois), l’un des matériaux isolant les plus efficace qu’on connaisse.
L’amiante telles qu’utilisée pour les bâtiments, si on avait entretenu correctement ces bâtiments, ce serait pas un problème. Ce n’est de la matière radioactive qui nécessite un « emballage » de plusieurs centimètres de plomb (par exemple) pour être inoffensif.
Dans les plaquettes de freins de train ou ce genre d’usage, qui répand des particules dans l’air, c’est sûr qu’il faudrait mieux éviter, mais dans le cas des bâtiments, s’ils sont entretenus ce serait OK encore pour plein d’usage, non ?
Faudra bien qu’on maîtrise un tant soit peu les cycles de vie de toutes les merdes qu’on fabrique.
Notre maison brûle certes, mais il s’avère surtout que la poubelle déborde !
# J’ Unicode
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au lien UTF-8 everywhere. Évalué à 7.
Pas trouvé quand avait été écrit ce manifeste mais n’est-ce pas aujourd’hui un fait établi ?
Je crois que ce qui a rendu UTF-8 incontournable c’est le fait qu’un texte encodé en ASCII 8 bit est sans la moindre modification déjà un texte encodé en UTF-8. L’adoption d’Unicode aurait à mon avis pas été gagnée sans cette caractéristique.
[^] # Re: Corrélation travail/revenu
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Travail bénévole dans le monde du logiciel libre. Évalué à 4.
Je souscris totalement à son idée si ce qui est attribué aux moins qualifiés des citoyens, suffit à subvenir à ses besoin, chichement mais réellement.
Donc si ça inclut de fait un revenu universel, comme condition la moins favorable de ce salaire à vie, lui étant progressif avec les compétences dont chacun chacune aura voulu, pu et su acquérir au début de sa vie.
[^] # Re: Ansible c’est mieux
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au lien Un fork en vue pour l'outil Puppet. Évalué à 4.
J’avais remarqué ça et tu as bien raison. Parlé d’hostilité pour un fork je ne cautionne pas vraiment mais je trouve dans cette affaire que Perforce est presque la partie à l’origine du fork, davantage que celle qui met en place et maintient le fork. Ou plutôt mettra en place si je comprends bien, ce n’est pour l’instant pas encore une réalité si j’ai bien saisi ? Elle savait qu’un fork était inévitable (qu’il soit viable et couronné de succès est autre chose), ceux qui créeront le fork ne le savent peut-être même pas encore. Donc à l’origine c’est bien le propriétaire du code existant. ^^
En tous cas merci pour les informations. Je connais SAP de nom et de ce que j’ai pu entendre comme remarque sur ce produit, je n’ai qu’une très vague idée, probablement assez erronée, de ce qu’il fait et à quoi il sert, et j’en m’en réjouirais presque qu’il en soit ainsi, donc surtout évite de passer du temps à m’instruire sur ce point précis. ;)
# Ansible c’est mieux
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au lien Un fork en vue pour l'outil Puppet. Évalué à 6.
Possible que ça finisse avec un éditeur qui se retrouvera éclipsé par le fork opensource de leur produit phare. Mais néanmoins satisfaits de faire leur beurre sur une poignée de clients captifs qui n’auront pas eût pris le virage avec la masse.
La boite finira rachetée par IBM quand ses fondateurs et actionnaires majoritaires partirons à la retraite. Heureux avec cette vente qui leur offrira ce qui sera un petit pécule pour eux (on leur souhaite en tous cas). Puis progressivement plus personne ne parlera Puppet.
Mais on a progressé quand même, il y a 20 ans les entreprises à but lucratif partaient en guerre contre le libre, contre ce cancer qu’était la GPL cette lubie d’anarcho-geeks qui étaient une menace pour l’économie mondiale : le communisme en pire.
Aujourd’hui elles n’ont plus peur, elles ont compris que le capitalisme n’était pas menacé et qu’elles devaient aborder le phénomène comme un changement de paradigme impactant quelques business-model identifiables, mais que les fondamentaux du commerce comme elles l’ont toujours pratiqué étaient solides, et que l’établissement de rentes artificielles était toujours possible.
Dans 20 ans elles auront peut-être compris comment vraiment profiter du libre !
# Interdiction et liberté ne font jamais bon ménage.
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Travail bénévole dans le monde du logiciel libre. Évalué à 6. Dernière modification le 21 décembre 2024 à 01:11.
Les entreprises qui s’enrichissent grâce en partie au travail bénévole de certaines personnes participent aussi à leur tour à l’amélioration des logiciels que tu peux toi-même utiliser librement, gratuitement, sans être redevable de rien même dans le cas où tu t’enrichirais grâce à eux, ou parce qu’ils te permettent d’économiser car en n’ayant pas à payer pour d’autres logiciels, propriétaires et onéreux.
Fort heureusement que des entreprises s’enrichissent grâce au logiciel libre, sinon cela voudrait dire que le logiciel libre n’existerait tout simplement pas !
Et plus fondamentalement, c’est le principe même du bénévolat que de travailler gratuitement. Ta suggestion ne tient simplement pas debout.
Cela dit, on peut légitimement exiger, en tant que citoyen⋅ne⋅s auprès des états autant qu’en tant que travailleur auprès du patronat, un contrôle efficace de cette forme de l’économie différente du salariat et de la relation commerciale client-fournisseur « traditionnelle ».
Car en effet, quand le bénévolat cesse d’être pleinement volontaire il devient ni plus ni moins que de l’esclavage.
À l’inverse, quand le bénévolat cesse d’être un don pour se transformer en un investissement à but lucratif, ça devient alors un travail associé à une prise de risque (le risque de ne pas voir fructifier son investissement en temps et en énergie).
Dans les deux cas ce n’est plus du bénévolat, plus du tout. Si le premier cas est éminemment condamnable, le second ne saurait l’être, me semble-t-il en tous cas.
[^] # Re: Facom, what else?!
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Quelques notes de lecture. Évalué à 3.
L’action B&D ne vaudrait pas bézef sans cette marque dans leur giron ! ;)
[^] # Re: cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 6. Dernière modification le 19 décembre 2024 à 21:36.
Probablement l’argument le plus énorme : des fois même pas un début d’idée de solution ou de méthode, même une mauvaise, non :
« Aujourd’hui on ne sait pas encore comment on va s’en sortir, mais on va s’en sortir, c’est évident. Avec la technologie, la mécanique quantique et l’IA tout ça… on va s’en sortir, carré ! Encore mieux mon gars, on va devenir des sur-hommes, … avec ? quoi ? des sur-femmes o_O mais oui bien sûr ! enfin… p-e éventuellement… mais osef mec ! je te parle de membres bioniques là, tu imagines un peu le truc, t’as capté :) . En plus tout ça ce sera sûrement dans l’espace les trois-quart du temps, dans l’espace, ET, à la vitesse de la lumière, michto fréro. Et puis encore, des trucs qu’on imagine même pas à l’heure actuelle mais qui existeront dans le turfu. Quelle heure !? Ah ouai c’est celle de l’apéro dis ! Aller fais péter Roger ! »
[^] # Re: Deux-trois (ou plus) trucs que j'ai oublié
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Quelques notes de lecture. Évalué à 5. Dernière modification le 19 décembre 2024 à 21:19.
J’allais dire que c’était évident et que c’était à l’image des exemples dans les extraits du dernier livre présenté, et qui sont qualifiés de « sexistes », ce qui me paraît être un bon qualificatif, donc on peut imaginer que « masculine » associé à écriture a une autre signification ? Mais peut-être pas, et ce sont bien les poncifs et clichés de ce genre.
Vas savoir, avec les femmes c’est jamais bien clair ni tout à fait rigoureux. Ce ne sont pas les raisonnements logiques dans lesquels elles sont les plus douées. C’est davantage grâce à leur finesse de perception des sentiments d’autrui qu’elles se montrent les plus belles.
Elles se montrent parfois si douces que si de surcroît elle ont le physique qu’on attend d’une femme et que celui-ci est devinable par une ouverture vestimentaire, elles peuvent alors parfois faire pleurer un homme ! Le truc de dingue, le truc quasi impossible. En plus certaines sont quand même intelligentes malgré tout.
[^] # Re: Facom, what else?!
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Quelques notes de lecture. Évalué à 4. Dernière modification le 19 décembre 2024 à 20:27.
À y réfléchir, je me dis qu’offrir une pince monseigneur, Facom ça va de soi, histoire de ne pas offrir le même cadeau à tout le monde bien sûr, c’est probablement la garantie de marquer les esprits et compter, peser même, au sein de la famille.
Car lors d’un réveillon, en offrant une paire de gants, noirs de préférence, mais surtout de marque Facom c’est l’essentiel.Il faut l’offrir un autre parent, un proche de celui qui a reçu la pince monseigneur. Ainsi on augmente les chance de favoriser, surtout à la faveur d’une alcoolémie convenable, des activités de plein-air dans la rosée vivifiante du petit-jour à 3h00 du matin.
Comment commencer mieux une année qu’on souhaite placée sous les bons auspices de Facom garantis à vie ?
[^] # Re: Facom, what else?!
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Quelques notes de lecture. Évalué à 3.
C’est bien vrai.
C’est parfaitement contre-intuitif mais forcé de constaté qu’une pince multiprise et bien plus universelle qu’une pince universelle. Cette dernière relevant davantage d’une pince coupante contrariée, qui est la plupart du temps employée abusivement comme pince à dénuder, et qui serre aussi souvent que Jean-Claude Dusse au ski.
[^] # Re: cool
Posté par Marotte ⛧ . En réponse au journal Meta persiste à chercher du nucléaire pour ses datacenters IA.. Évalué à 2.
« incertaine » me semble un doux euphémisme (les euphémismes sont toujours doux, c’est comme ça, la liaison adoucit la phonation, faites le test vous entendrez).
Et quand je dis ça j’ai l’impression de faire un doux euphémisme en parlant d’un story-telling énorme et gigantesque, un chef-d’œuvre parmi les chef-d’œuvres de cet art ancestral et sacré du pipeau légendaire, et qui attendrait aujourd’hui dans notre petit coin de l’univers sa version 10000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000.0