Marotte ⛧ a écrit 8696 commentaires

  • [^] # Re: Pas tout à fait

    Posté par  . En réponse au journal Facebook bloque les news sur Linux pour "menace pour la cybersécurité". Évalué à 3 (+0/-0).

    Sur Reddit, ou encore Stackoverflow et bien d’autre, les utilisateurs ne travaillent pas gratuitement, ils travaillent pour profiter de contenus intelligemment modéré.

    Selon moi, la « crowd-moderation » (je sais pas si ça se dit), c’est clairement le meilleur modèle. Le seul viable même je pense.

  • [^] # Re: Pas tout à fait

    Posté par  . En réponse au journal Facebook bloque les news sur Linux pour "menace pour la cybersécurité". Évalué à 4 (+1/-0).

    Les gens qui tentent de parler d'éducation sexuelle ou de sujets sérieux de médecine mais qui portent sur des les organes génitaux ou la proctologie subissent les même problème sur facebook et instagram via les différentes automatisations pour éviter la pornographie hard alors que le soft porn et la pédophilie suggéré via des photos et vidéos très très légèrement habillées passent crème.

    Je suis bien d’accord, ça montre les limites des algorithmes et de l’IA. Je considère que c’est un problème majeur, encore plus inquiétant que l’effet « bulle informationnelle » (le fait qu’on a tendance à se retrouver entre gens d’accord entre-eux et avec soi, et à ne voir que ce qu’on a envie de voir). L’effet bulle, en en ayant conscience on peut lutter contre. Par contre, le retrait de contenu, la censure, qu’on en ait conscience ou pas, le contenu n’est plus là quoi qu’il en soit. Certes il n’y a pas que Facebook sur le Web mais je pense que ça fausse potentiellement bien plus que l’effet bulle la représentation que chacun peut se faire du monde par Web interposé.

  • [^] # Re: Liens

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 4 (+1/-0).

    Retrouvé ce ramassis de conneries : https://snyk.io/fr/articles/open-source-licenses/

    Je vous mets juste le premier paragraphe, ça donne le ton :

    De nombreux acheteurs de logiciels, et même de jeunes développeurs, pensent à tort que « open source » signifie que le logiciel peut être utilisé, copié, modifié et distribué à volonté. Il se peut que ce malentendu provienne d’une confusion avec les notions de domaine public ou de shareware, qui sont tous deux libres d’être utilisés et modifiés sans autorisation ni licence spécifique.

    À l’attention des moins au fait de ces aspects juridiques du logiciel, et parce qu’un texte tel que celui-ci, c’est comme un “Mein Kampf”, ça se re-publie pas sans note explicative contre-apposée.

    De nombreux acheteurs de logiciels, et même de jeunes développeurs, pensent à tort

    Parce que les vieux pas développeurs ce sont des boomers et eux ils pensent toujours à tort. Effectivement, faut bien avoir ça en tête !

    pensent à tort que « open source » signifie que le logiciel peut être utilisé, copié, modifié et distribué à volonté.

    Bah si, c’est précisément l’idée fondamentale. Je ne vous avais pas menti, c’est du très lourd on est d’accord ?

    Il se peut que ce malentendu provienne d’une confusion avec les notions de domaine public ou de shareware,

    Ou d’articles sidérant de connerie comme celui-ci. Par ailleurs des logiciels appartenant au domaine public mais sauf erreur de ma part c’est très rare, et aucun logiciel significatif . (?)

    qui sont tous deux libres d’être utilisés et modifiés sans autorisation ni licence spécifique.

    Un shareware, à l’instar d’un LL, a forcément une licence, c’est précisément leur licence qui en fait un shareware ou un LL… Par ailleurs il me semble que des shareware autorisant la modification, donc fournissant leur code source, je ne suis même pas sûr que ça ait existé en fait.

    Le reste de l’article se fait fort de vous expliquer copyright/copyleft, comparer les différentes licences.

    J’avais jamais vu une telle horreur. C’est sûrement une bonne chose que Zenitram< ne tombe pas dessus, pour sa santé et son équilibre mental.

    Ah si faut que je vous mette ça, j’avais pas vu la première fois. Je n’ai jamais écrit quelque chose d’aussi violent sur Linuxfr. Si ce qui est écrit plus haut vous a déjà choqué ne lisez pas la suite et aller lire un autre article, sincèrement.

    Snyk fournit une solution complète de conformité aux licences pour vous aider à garder un rythme de développement rapide tout en restant conforme aux licences des logiciels open source dans vos projets.

    « L’outil Snyk identifiant les problèmes de licence open source, il permet à nos développeurs de générer un rapport propre et gérable qu’ils peuvent envoyer à l’équipe juridique, ce qui leur fait gagner un temps de travail considérable. »

    Scott Mitchell, responsable de la sécurité des applications chez Blue Prism

  • # Tu soutiens ce que tu veux et comme tu veux

    Posté par  . En réponse au journal LGB ≠ T. Évalué à -9 (+1/-13).

    Il y a quand même un lien entre les deux, le Cul. Ces groupe sont opprimés sur la base de leur sexualité, réelle ou supposée, inspirante ou traumatique.

    Un seul niveau de sous-groupe au sein du corps des TDC voyons !

    Sinon des unions de type 1-paire-3-impaires (et unions dérivantes de constante 10-2-daire, bien entendu) d’intersections particulières (dites de trivialité 2) pourraient faire disparaître l’Univers en le mutant en élément TDC unique (espace dit de Trochian-Kivaton-Neeker, tout du moins en l’un de ces 0 cas aux conditions limites, ce qui revient au même d’un facteur quasiment).

    On rentrerait alors dans l’inconnu⋅e, dans l’obscurité approximativement totale, récursivement.

  • [^] # Re: Les influenceurs ... ?

    Posté par  . En réponse au lien Les pov'chou, moi aussi j'en pleure (de rire). Évalué à 3 (+0/-0).

    Tu ne vas pas le croire mais derrière chaque site web il y a ces vrais gens dont tu parles, ils sont aussi derrière la bande-passante, et ce sont eux qui t’apportent le colis qui t’entend dans ta boîte-à-colis. Tu peux arrêter de chercher où sont ces petites jambes au colis, il n’en a pas !

    Les faux gens par contre, ceux-là, faut s‘accrocher pour les trouver. Même tu retournes une IA et zut, c’est encore une vraie personne derrière ! C’est agaçant à la fin. Saloperie de faux gens !

  • [^] # Re: Bal musette

    Posté par  . En réponse au lien L'auteur meurt-il une deuxième fois avec l'IA générative ?. Évalué à 3 (+0/-0). Dernière modification le 28 janvier 2025 à 21:45.

    non je suis 100% d'accord avec toi, je dis juste que je préfère.

    Oui pardon pour ce raccourci idiot. Je voulais dire pour ma part que je ne comprends pas comment on peut avoir une préférence en la matière. Mais forcé de constater que certains artistes eux-mêmes expriment une préférence pour l’un ou l:autre, pourquoi pas l’auditeur/spectateur en effet.

  • [^] # Re: Liens

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 4 (+1/-0). Dernière modification le 28 janvier 2025 à 21:32.

    C’est bien ce que je pensais que tu voulais dire et c’est pour ça que j’ai dit que ta formulation portait à confusion. Et pas que tu racontais n’importe quoi.

    C’est pas pour faire chier mais récemment j’ai eu droit à « logiciel public », et quand j’ai innocemment demandé ce que c’était et qu’on ma raconté à peut prêt n’importe quoi, en substance « ce sont des logiciels opensources gratuits », avec pour « preuve » un lien vers le site de je ne sais plus quelle société, qui disait tout autant n’importe quoi, du vrai et du faux à part égale, et qui ironiquement proposait aux lecteurs « d’en finir avec la confusion à propos de l’opensource », des affirmations totalement pétée sur ce qu’était un logiciel opensource : « la plupart des logiciels opensources n’ont pas de licence, mais attention ! certains restreignent ce que l’on peut faire avec, on ne peut pas faire ce que l’on veut ! », ça m’a fait un peu mal. Signalons qu’un logiciel sans licence ça peut exister, mais dans ce cas, soit il est reconnu comme appartenant au domaine public, ce qui est assez rare, et dans ce cas on fait effectivement « ce qu’on veut avec », soit il n’en fait pas partie, et dans ce cas, on ne peut, juridiquement, rien en faire sans accord de son auteur.

    Personne ne vend une licence libre. On vend des souscriptions, des contrats de support, de maintenance, mais on ne vend pas une licence libre.

    Personne ne « vend une licence » tout court. Une licence, libre ou propriétaire, est un contrat entre deux parties concernant un bien immatériel : le logiciel (ou même une seule partie et le logiciel uniquement, j’y viendrai), le logiciel pouvant fondamentalement exister sous deux formes : le code source d’un côté, un binaire destiné à être exécuté sur un ordinateur de l’autre côté, le contrat définit les droit et obligation des deux parties (ou même d’une seul) en matière d’accès à l’une ou l’autre des deux formes, d’utilisation, de copie, d’étude, de commercialisation, etc, etc… ce contrat peut donc posséder des clauses de nature financière, ou non. Une différence entre libre et propriétaire, c’est que dans le cas du logiciel propriétaire ce contrat ne lie pas directement l’utilisateur et l’auteur. L’utilisateur dit « final » signe un CLUF, mais une entité qui distribue le logiciel moyennant finance et en prenant une marge est aussi un utilisateur du logiciel, il est revendeur. Ce qu’il revend ce n’est pas la licence, c’est le logiciel !

    Je sais très bien que je ne t’apprends rien et que tu sais, même potentiellement mieux que moi, comment cela fonctionne. Mais je maintiens que ton premier propos était équivoque, et que le second : « vente de licence » est aussi problématique puisque pour un certain nombre de gens, d’utilisateurs (au sens large mais en particuliers les utilisateurs finaux) ça devient alors compliqué, et c’est bien normal, de ne pas faire cette association : licence = bien immatériel, d’où l’idée qu’une licence qui n’implique pas un prix à payer = bien immatériel donné, gratuit, n’ayant donc aucune valeur économique.

    Donc on ne vend de licence ni libre ni propriétaire, comme je viens de l’expliquer, mais monnayer uniquement la distribution, c’est à dire d’assurer la possibilité pour l’utilisateur-acheteur d’être en mesure d’utiliser le logiciel, ce n’est pas réservé aux logiciels propriétaire. Tout logiciel opensource peut-être commercialisé par toute personne (physique ou morale), personne qui peut elle-même ne pas reverser le moindre centime à l’auteur du logiciel, ou qui peut être l’auteur/éditeur lui-même.

    Un exemple pour le premier cas : les distributeurs qui proposent d’obtenir Libreoffice pour un prix modique, le téléchargement est gratuit et une fois installé il faut payer pour « activer/débloquer » le logiciel, généralement un numéro surtaxé. Moralement discutable, pas forcément condamnable, tout dépend à quoi sert
    l’argent de la ««« vente des licences Libreoffice »»» (dit rigoureusement : la mise à disposition du logiciel en échange d’un paiement en numéraire)

    Pour le second cas : Ardour qui demandent à leurs utilisateurs sous Windows de payer pour pouvoir télécharger le binaire sous forme d’installer. Là aussi, comme dans le premier exemple, on est toujours dans le 100% libre. Ici Ardour n’interdit pas aux utilisateurs l’accès au code source (sinon on ne serait plus dans l’opensource, le libre), donc d’être en mesure compiler ce code source et donc utiliser Ardour gratuitement. Et pour faire le lien avec le premier exemple, ils ne sont nullement empêchés eux-mêmes à leur tour de compiler Ardour et vendre les binaires à leur tour.

    On peut citer également la possibilité qu’a l’auteur d’un logiciel, et lui uniquement pour le coup, pas les utilisateurs comme c’est le cas avec la redistribution du logiciel, de proposer son logiciel sous deux licences différentes, dont l’une est opensource/libre, l’autre propriétaire, et éventuellement payante. Ça reste 100% libre, et en même temps propriétaire. Pas d’exemple actuel en tête mais MySQL faisait ça temps.

    Certaines personnes pourraient se dire : mais qui achètera un logiciel qu’on peut avoir gratuitement ? Et bien tout ceux qui ont les moyens de s’acheter l’exonération d’une ou plusieurs des obligations que la licence libre/opensource leur imposerait. Tout simplement.

    Pour finir, une précision qui me semble importante à rappeler : « libre » et « opensource » sont de parfait synonymes en matière de logiciel, néanmoins, le second est employé de manière impropre et souvent malhonnête, pour désigner des logiciel non libre (et donc non opensource, de fait).

    Il y a par-contre une différence majeure entre deux licences tout-à-fait libre/opensource l’une autant que l’autre : « The 3-Clause BSD License » d’ un côté, et « GNU General Public License version 3 » de l’autre.

    Mais l’histoire est finie ce sera pour une prochaine fois. Il est tard maintenant, il faut dormir les chéries. Oui Marotte laisse la lumière du couloir allumée et la porte de la chambre entre-ouverte ! Oui ! Marotte aussi va dormir aussi, il laisse les fautes d’orthographe pour la grande girafe, allez, on fait dodo maintenant !

  • [^] # Re: Liens

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 4 (+1/-0). Dernière modification le 28 janvier 2025 à 05:58.

    Note : le modèle open-core ce n'est pas la commercialisation de logiciel libre : on contribue mais on ne le commercialise pas.

    Ce qu'on vend, ce sont des licences (donc c'est propriétaire).

    Probablement juste une question de vocabulaire mais je pense que la seconde+
    phrase ci-dessus participe à entretenir une confusion que je constate trop souvent. Ta formulation dit « licence donc propriétaire » et sous-entend de ce fait « opesource/libre donc pas de licence » et sous-sous-entend : opensource = quiconque fait ce qu’il veut avec le logiciel. Or les deux dernières affirmations sont absolument fausses.

    De ce fait, dans la première phrase je pense que commercialiser n’est absolument pas le bon mot, car d’après-moi, on me corrigera si à mon tour je me méprends, mais si, en effet, faire de l’open-core est précisément un des modèle pour commercialiser le logiciel libre. Pourquoi je dis que le code opensource fait pleinement partie de l’« offre commerciale » ? Parce qu’en général le code propriétaire n‘as strictement pas la moindre utilité s’il est seul. Contrairement à l’inverse : le code opensource lui peut être utilisé seul, donc en se soumettant à la licence opensource et uniquement à celle-ci.

    Une entreprise qui fait de l’open-core fait du 100% opensouqce.. Le fait qu’elle commercialise par ailleurs des briques propriétaires ne change rien

    Dirais-tu qu’une entreprise dont tout le code d’un produit est opensource ne fait pas du 100% opensource car elle vend un contrat de maintenance ou autre ?

    Là où l’open-core peut cesser d’être de l’opensource, c’est si le core en question devient à peine utilisable/utile seul, sans les autres briques propriétaires, qu’il se réduit à peau de chagrin et que toute l’intelligence du logiciel est implémentée dans la partie propriétaire. Àmha.

  • [^] # Re: X linuxfr

    Posté par  . En réponse au journal Région Nouvelle-Aquitaine : Reine du gâchis ?. Évalué à 3 (+0/-0).

    À l'issue des 4 ans, les offres des fournisseurs sont de nouveau examinées, et un nouveau fournisseur, ou le même qu'avant, est sélectionné.

    ²
    Est-ce une obligation, de passer un marché aux termes des 4 ans c’est ça la question que je me poste ma question.

    La durée du marché n'affecte pas la durée durant laquelle tu vas conserver le matériel acheté.

    Ni n’affecte le moment où un (nouveau) marché doit être passé ?

  • [^] # Re: Liens

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 6 (+3/-0).

    La guerre de la manufacture, on l'a perdue il y'a 40-50 ans quand on a développé l'industrie chinoise en relocalisant tout là-bas.

    Dorénavant on y développe nos émissions de GES, en considérant chinois ce qu’ils émettent en fabriquant ce que nous consommons…

  • [^] # Re: une dépêche monsieur s'il te plaît

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 4 (+1/-0).

    « passage au moule de la conformité »

    Ce qui est assez cocasse étant donné le sujet du journal.

  • [^] # Re: une dépêche monsieur s'il te plaît

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 6 (+3/-0).

    J’allais dire que ton journal me semblait mériter d’avoir un maximum de visibilité et donc d’être promu en dépêche. Cependant j’allais aussi signaler que je trouvais le ton particulièrement plaisant à lire.

    Or comme je ne lis que très peu les dépêches, loin de moi était l‘idée que la métamorphose en dépêche puisse nécessiter d’aplanir le style, tout comme le besoin d’étoffer ce contenu que je trouve d’une longueur tout à fait respectable et pensais plus que suffisant pour convenir à une dépêche.

    Je ne saurais dire si ce « passage au moule de la conformité » est souhaitable, nécessaire, utile, ou que sais-je encore, mais à priori je salue ta volonté d’assumer ta manière d’écrire et d’y tenir, manière dont encore une fois je trouve remarquable, et dont je suis curieux de connaître les arguments de celles et ceux qui affirment qu’il doit être revu/re-phrasé, tout en étant assez sûr à l’avance de ne pas y souscrire de toute façon. ^^

  • [^] # Re: Je dois passer a cote de quelque chose...

    Posté par  . En réponse au journal Alors ? Vous êtes content de votre imprimante Bambu Lab ?!. Évalué à 8 (+5/-0). Dernière modification le 22 janvier 2025 à 23:27.

    Comme l’explique le lien que tu donnes, même avec la résine époxy il y un tas de précaution à prendre.

    Ce genre de considération permet d’apprécier, je pense, à quel point le bois d’arbre, de la plupart des arbres, reste une matière possédant un ensemble de qualités remarquable, qu’à ce jour aucun polymère où autre matériaux artificiel n’a rendu totalement obsolète.

    Puisqu’on improvise une petite réunion Tupperware sur le thème « j’imprime ma vaisselle, j’ai ainsi retrouvé le véritable goût des aliments et ces précieux moments de partage que sont les repas. Je suis de très près l’impression de matière fibreuse protéiné que je pourrais cuire au barbecue à vapeur pour renouer avec mes instincts sauvages ». J’ai une remarque d’intérêt modéré à nul et une question passable pour l’assemblée ici présente.

    De tous les plastiques j’ai toujours trouvé que le polypropylène était le plus fantastique de tous. Pour sa texture et ses qualités mécaniques. De nombreuses pièces de vaisselle, en particulier les Boitemplastikiferm®, il fait donc à priori partie des matériaux potentiellement assez faiblement toxique pour qu’on puisse en avaler un peu sans tomber malade alors que l’évolution ne nous y a pas préparé. Au mieux commence-t-elle tout juste à le faire, mais ce n’est pas le sujet. Sujet qui est que je m’interroge (enfin plus vous que moi) sur la possibilité ou l’impossibilité d’imprimer cette matière. Pourquoi ? Comment ? Où ? Dans quel but ? Est-ce une bonne idée ?

    Et puisque j’y suis : je ne prendrai pas le jeux de 11 boîtes pentagonales gigognes à fermeture hermétique intelligente, pas ce mois-ci. Même si j’adore comme tu en parles Martine on comprends qu’elles sont absolument géniales ces boîtes. Je verrai peut-être pour la prochaine réunion si je peux économiser les 299 € d’ici-là.

  • [^] # Re: Bal musette

    Posté par  . En réponse au lien L'auteur meurt-il une deuxième fois avec l'IA générative ?. Évalué à 4 (+1/-0).

    Heureusement, j'ai toujours préféré le spectacle vivant.

    En matière de musique, pour un même artiste, un même genre musical, un live en chair et en os où tu peux toucher le son grâce à la puissance et où on ressent les bruits de la tringlerie d’une batterie et l’odeur d’une bassiste en sueur ça n’a rien à voir avec le son d’un album studio écouté dans son salon, rien à voir, et on ne peut pas dire que l’un soit mieux que l’autre.

    C’est sûr que pour pouvoir faire la même chose en « artificiel », comme pour reproduire une pièce de théâtre, va falloir encore s’améliorer pas mal en cybernétique pour qu’on arrive à y croire… :)

  • # Bal musette

    Posté par  . En réponse au lien L'auteur meurt-il une deuxième fois avec l'IA générative ?. Évalué à 9 (+6/-0). Dernière modification le 20 janvier 2025 à 21:16.

    La littérature ne doit pas être bien différente mais pour parler de ce que je connais un peu, en terme de création musicale, quand je constate le nombres de compositeurs qui font tous « la même musique », je pense en effet qu’une IA bien conçu pourra en faire de même.

    Mais je le redis encore une fois : l’IA générative se nourrit de la production humaine, or si cette production humaine a de plus en plus recours à l’IA, voire, ce qui semble le chemin tout tracé, que ce soit des IA qui finissent par tout composer, on arrivera fatalement, je pense, à une « implosion du champ des possibles ». La variété musicale s’amenuisera et tendra vers un pur bruit rose, ou autre son totalement dénué de caractère humain. On aura l’air malin, et surtout en famine musicale.

    Dans l’écriture de scénarios et de romans, c’est probablement la même chose qui se passera : tous les films, c’est à dire in fine le seul possible, aura comme pitch : « d’abord iels se rencontrent, puis ensuite iels se battent, et à la fin iels baisent.». C’est vu d’avance !

  • [^] # Re: X linuxfr

    Posté par  . En réponse au journal Région Nouvelle-Aquitaine : Reine du gâchis ?. Évalué à 3 (+0/-0).

    tes exemples totalement hors sujet.

    Mais alors ta remarque sur la durée pour les marchés publics n’est-elle pas elle-même hors-sujet en premier lieu ?

    C’est quatre ans maximum, mais aucune obligation d’acheter tous les quatre ans (?). Bref, je n’ai peut-être pas compris cette phrase dans ton commentaire.

  • [^] # Re: Cool

    Posté par  . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 2 (+1/-2).

    la vie palpitante d'homme au foyer … et comment on écrit des logiciels pour se libérer du quotidien

    C’est là qu’on voit l’écrasante supériorité organisationnelle de l’homme.

    Contrairement à la femme, il peut assurer la bonne tenu d’un foyer tout en se libérant du temps pour écrire des programmes et jouer de la bass. Ceci sans geindre sans cesse pour se plaindre de sa condition et de sa charge mentale.
    On a beau garder à l’esprit qu’elles n’ont pas notre force et notre intelligence,mais sont prompts à la colère et au désarrois, c’est toujours surprenant de les entendre soupirer ou pire pour remplir la soupière de devoir passer leur journée à s’amuser avec les enfants et concocter de bons petits plats pour toute la famille ! Même celles qui profitent de ne pas avoir de domestiques pour faire leurs courses et jouissent de ce fait du petit plaisir qu’est de se rendre au supermarché, et d’y rencontrer tous ces gens si charmant, réussissent encore pourtant à se plaindre de ne pas avoir ceci ou cela ! De l’attention, de l’aide, de la considération et je ne sais quelles autres balivernes futiles dans la même veine.

    J’espère que demain tu rédiges une doc sous SCAM pour le lavage des carreaux et un manuel pour apprendre à se servir du lave-linge. :p

  • [^] # Re: le problème

    Posté par  . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4 (+1/-0). Dernière modification le 20 janvier 2025 à 04:20.

    Il y en a quelques uns. Pas des tonnes hein, c’est pas une quelconque tradition débile de poster des totoz d’Hitler, ou des totoz de quelques sujets en particulier sur la tribune.

    Je pense notamment au totoz “xcellent” ht࿖tps://࿖ totoz.eu࿖ /totoz࿖ /xcellent࿖ que je trouve excellent. (retirer les svastika dextrogyres pour avoir le lien)

    Il a pu m’arriver de l’utiliser et si je m’en abstiens désormais c’est que la modératrice en chef souhaite ne pas le voir. Je ne suis pas d’accord avec elle sur le principe, que ça puisse participer à banaliser le nazisme, bien au contraire d’après-moi, mais parce qu’on m’a appris à suivre autant que faire ce peut les règles que les gens imposent chez eux.

    J’ai un gros problème avec cette volonté de faire disparaître des éléments de l’Histoire et de la conscience collective comme j’ai du mal à comprendre ceux qui n’acceptent pas que l’Humour (avec du gros hasch !) ça ne veut pas dire « rire gaiement pour se détendre », mais que c’est au contraire un mode d’expression spécifiquement destiné à traiter des sujets les plus « malaisant », des tabous, des haines et bassesses des uns et des autres, et que fatalement, quand on s’applique à exceller, à mener jusqu’au bout ce principe primordial de ce qu’est l’humour véritable, on vexe, blesse et révolte une partie de son auditoire, on en laisse toujours une grande partie indifférente, parce qu’elle s’en fout, on fait passer à l’acte une infime minorité de psychopathes qui sans nous seraient passé à l’acte que plus tard, tout ça pour passer un message à une poignée ou les réconforter et leur donner confiance.

    L’humour est bien plus violent que le drame. C’est précisément pour ça qu’on en rit.

  • [^] # Re: liberté

    Posté par  . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 3 (+0/-0). Dernière modification le 20 janvier 2025 à 03:33.

    « Il ne faut pas croire que, il faut vérifier que. »

    Citation supposément de Claude François, qui dans dans son affabilité légendaire aurait sorti ça a un des ses assistants qu’il engueulait copieusement pour avoir commis quelque erreur. Je trouve la phrase très intelligente. Cela pourrait vouloir dire qu’elle en est totalement dénuée, certes, mais ça je ne peux pas en juger moi-même. À vous de vérifier vous-même en cas de doute sur sa pertinence. ;)

    Ceci étant dit tu as raison. On ne peut pas toujours ne laisser aucune place à la croyance, car on ne peut pas toujours tout savoir d’un problème donné. Sachant pour commencer que croire qu’on sait tout, c’est déjà croire, faire confiance à soi-même.

    Ne fais confiance à personne, jamais ?

    « Toujours vérifier qu’on peut faire confiance ». Par cette phrase quelque peu paradoxale ce que je veux dire c’est que pouvoir toujours, ou même le plus souvent possible, faire confiance, ne peut être que souhaitable. Ça libère soi-même de l’effort de la vérification, de la recherche, donc en effet, ne faire confiance à personne, jamais, ne jamais être en mesure de le faire, c’est, je pense, une défaite pour soi-même. L’inverse, toujours pouvoir faire confiance, étant une victoire remarquable.

    Depuis quelques années je réalise que la confiance, en soi-même en premier lieu, mais surtout la confiance en l’autre, est, j’en suis chaque jour plus convaincu, l’objet le plus précieux qu’on puisse donner et recevoir. La confiance est éminemment précieuse, par le travail qu’elle requière quand il s’agit de l’obtenir, ou de par la prise de risque qu’elle représente lorsqu’il s’agit de la donner. En même temps elle s’altère, voire disparaît, pour des raisons parfois presque insignifiante.

    Pour finir, entre d’un côté croire, sur parole et définitivement, et de l’autre côté remettre en cause jusqu’à la plus petite affirmation, il n’y a pas qu’un pas, ni même deux ou dix. On peut croire plus ou moins fort, comme croire temporairement. D’après-moi. (non, vraiment, je ne peux pas tout ce boilerplate inutile ! ^^)

    Il y un gouffre immense au creux duquel un magma de doutes et de certitudes produit une réaction psychique des unes avec les autres et tout ce qu’on peut y tomber. C’est une faille béante et vertigineuse qu’il est préférable de ne pas regarder trop longuement ou trop intensément, c’est vers l’avant que l’on doit porter le regard lorsque l’on chemine d’une rive à l’autre sur le frêle pont qu’est notre vie au dessus du gouffre. À l’arrivée c’est bien souvent des deux dont dont on aura essuyé les projections. Cette matière visqueuse et brûlante c’est le « poids de l’existence ». On ne sait même pas s’il y a des douches au bout. Vu la gueule du pont, au rabais, certainement pas aux normes universelles, je crois qu’il n’y en a pas mais j’en ai pas la certitude. Vous pourrez vérifier « tasson ».

  • [^] # Re: liberté

    Posté par  . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4 (+1/-0).

    C'est pas non plus un truc que n'importe quel locuteur avec qui tu peux débattre peut deviner à priori non ?

    J’aimrais qu’il doute à priori.

  • [^] # Re: Cool

    Posté par  . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 4 (+1/-0).

    vous aviez réussi à installer le truc

    Je n’ai pas essayé, que l’existence m’épargne cette épreuve, je la supplie d’avoir pitié de moi. J’ai bien senti que c’était installable pour de vrai et c’est l’aspect un peu terrifiant de ce journal. ^^

    Mais j’ai bien rigolé (enfin souris, je rigole pas tout seule devant mon écran quand même, enfin, c’est rare !)

    Je suis sûr qu’au delà de l’aspect blague, caricature, du truc, il y a quelques enseignements à en tirer. Ne serait-ce que voir ce qu’il ne faut pas faire. /o\

    Moi j’aime le KISS, deux technos associées, grand maximum. J’ai un espace mémoire contraint et pas les instructions adéquates pour la plupart des solutions logicielles associant des technologies ou des concepts ayant moins de 20 ans. Heureusement que grâce à LaRache© et un peu de poudre verte je peux émuler du Web 3.0 et du TrucAsCode générique qui répond aux besoins les plus exigeants.

  • [^] # Re: X linuxfr

    Posté par  . En réponse au journal Région Nouvelle-Aquitaine : Reine du gâchis ?. Évalué à 10 (+9/-0). Dernière modification le 18 janvier 2025 à 20:16.

    Surtout qu’un parc informatique d’un lycée a je pense, plus que d’autres parcs info, intérêt et vocation à présenter une hétérogénéité importante. « Renouveler tout le parc » semble complètement irréel. Au point que j’y crois pas à priori.

    Ceci dit j’ai peur qu’il y ait en effet un gâchis certain, par des achats « forcés » par des commerciaux prêts à tout.

    Perso j’ai eu l’occasion dans ma vie, de voir végéter pendant plus d’un an, dans la cave d’une entreprise, des UC, écrans et tout ce qu’il faut, absolument pas obsolète, et qui devaient effectivement, à ce qu’on m’a dit, être revendus sur le marché de l’occasion. Quand j’ai quitté l’entreprise il y étaient encore.

    J’ai découvert qu’on peut empiler 20 boîtiers Dell en plastique sans que celui du dessous ne s’écrase ! Et j’ai pas participé à ces empilements juste pour voir combien on pouvait en mettre, mais parce qu’il y en avait des piles et des piles…

    Et ça c’était des UC qui avait deux ou trois ans, des « vieilles UC »… Mais des UC neuves n’ayant jamais servi et qui se retrouvent entassées ici et là, c’est beaucoup plus courant qu’on pourrait le penser. C’est comme les logements vacant en fait…

  • [^] # Re: La benne c'est payant

    Posté par  . En réponse au journal Région Nouvelle-Aquitaine : Reine du gâchis ?. Évalué à 9 (+6/-0). Dernière modification le 18 janvier 2025 à 19:55.

    revendu à un "broker" (je ne sais pas l'écrire)

    Tu l’as bien écrit. C’est un terme générique applicable à de nombreux domaines. C’est en quelque sorte une entité, un agent, qui vient « casser », rompre, un flux entre deux entités, en tous cas, s’y interposer pour en tirer partie. Le broker maintient un flux, de nature différente évidemment, entre les deux entités. Le but c’est que le flux soit plus efficient ainsi, et que des flux supplémentaires se créent du broker vers d’autres entités.

    La page FR du Wiktionaire explique qu’il y aurait une étymologie commune avec « brocanteur » :)

    https://fr.wiktionary.org/wiki/broker#en

    À ne pas confondre avec un breaker, qui pour sa part ne parasite pas les flux des autres mais est source d’un flux d’énergie artistique qu’il produit par des mouvements circulaires, cadencés et syncopés avec son propre corps.

    Je vous invite à ne pas prendre mes définitions comme les plus précises qui soient sans réfléchir, mais plutôt à consulter un dictionnaire, afin de constater que c’est effectivement bien le cas :p

  • [^] # Re: Cool

    Posté par  . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 4 (+1/-0).

    Voilà, et puis comme l’arc qui ne fait pas l’archer, l’outil à idées ne fait pas le bricoleur de la pensée.

  • [^] # Re: Cool

    Posté par  . En réponse au journal SCAM ; publier un livre en organisant ses pensées. Évalué à 3 (+0/-0). Dernière modification le 18 janvier 2025 à 19:15.

    Je crois que tu ne réponds pas au bon commentaire. Si c’est bien le cas, peux-tu expliquer simplement ce que tu veux dire. Je n’ai rien compris. :(

    Mais docker je connais, c’est pour manipuler des containers pour fabriquer des pods et des replicas et tout ça ça permet de s’caler horizontalement tranquillou pour faire une sieste.