C'est pas une question de trivialité, c'est une question de grammaire.
Ce qu'à fait X. Leroy, c'est de prouver le parser, la transformation du code source en code intermédiaire , l'allocation de registres et la traduction du code intermédiaire en code objet.
Prouver du code C, c'est plutôt l'oeuvre de Jean-Christophe Filliatre http://why.lri.fr
C'est vrai, que vu la taille de la grammaire, prouver du C non trivial est pas chose facile.
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
Mon avis sur la question s'exprime en une ligne : L'idéal serait de cacher au maximum cette complexité au programmeur, bref faire en sorte que le compilateur gère lui-même.
C'est un modèle qui propose une syntaxe pour Eiffel permettant de définir quand est-ce qu'un appel de message est asynchrone ou non.
Eiffel Software l'a implémenté en 1995.
Puisque la nature revient au galop ;-) je précise que le brouillon de publication que j'ai présenté sur ce site, n'est autre que l'adaptation du modèle SCOOP à un langage objet à prototype compilé.
L'idée de ce modèle est de permettre de la programmation parallèle, en pensant son code en tant que système multi agent.
Les problèmes de multithread ne se posent pas trop car les zones mémoires entre thread sont, dans ce modèle, étanches. C'est un peu l'idée de SCOOP.
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Je ne parlais pas d'un langage à la SQL, mais d'un langage, tout simplement. On doit bien pouvoir créer un langage intéressant ?
En se basant sur l'API, dont doit bien pouvoir batir un langage intéressant ?
On est en train d'étudier l'intégration d'un langage à la SQL dans Lisaac, ça pourrait être une intéressante expérience, un langage de manipulation de graphe.
Bon en tout cas, je vais pouvoir étudier ton système, maintenant que je sais ce que ça fait, même si le code me fait assez peur.
Qu'entend-tu par "- un ensemble d'objets pour mapper des objets JS sur des sous-graphes" ?
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
Par ailleurs la suite de la discussion est assez surréaliste avec un gros mensonge où quelqu'un confond NP-complet et "impossible", ce qui, même pour un étudiant en informatique comme moi est vraiment gros...
Oulala, je me sens visé...
Je n'ai pas dit que NP impliquait impossible. J'ai laissé entendre qu'on ne sait pas (et son auteur ne le sait pas non plus, je suis bien placé pour le savoir) comment le compilateur Lisaac réagira si on lui demande de compiler 1 000 000 de lignes.
Il consomme 512 Mo pour compiler 50 000 lignes (lib incluse) en 15 secondes (sur un athlon 2Ghz). Combien lui faudra t-il de mémoire et de temps pour compiler 1 000 000 de lignes ? On ne sait pas, on a jamais essayé.
L'analyse de flot (ie. l'algorithme testant toutes les branches de programme pour par exemple détecté qu'une variable est défini par n:=2*n+1 et 10 km virer un test de parité car il ne sert à rien) est un algorithme extrêmement consommateur de ressources, car exponentiel.
Pas impossible en théorie, mais potentiellement impossible sur le PC que j'achète chez l'assembleur du coin.
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Je répond au post grand-père en ajoutant quelques commentaires à ta réponse utile.
Effectivement, Thomas a bien décrit le fonctionnement du compilateur.
La gestionnaire mémoire est tout simplement défini dans le fichier memory.li qui se trouve dans la lib du compilateur.
Rappelons que Lisaac est un compilateur ultra minimaliste : il ne connait même pas la conditionnelle, elle est défini dans la lib.
Un gros malloc est effectivement effectué au début, et un GC gère toute la mémoire.
Comme tout est intégralement compilé, le GC est défini dans la libairie en fait (le fameu memory.li)
Ça coince effectivement au niveau de la compilation avec gcc.
Je compare ce qui n'est pas comparable, mais comparer du C est beaucoup plus difficile que compiler du Lisaac (quoique, compiler l'héritage dynamique est extrêmement difficile, nécessite une analyse de flot sur touts le code et constitue de toutes façon un algo de complexité exponentielle), du moins compiler proprement : la grammaire de Lisaac tiens en 20 lignes, celle du C en 4 pages...
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Bah merci, ça peut m'intéresser, mais il faudrait que je sache en quelques lignes en quoi cela consiste.
D'après ce que j'ai compris, il s'agit d'un système permettant de gérer des graphes stockés dans des fichiers.
D'où question : comment le manipule t-on : s'agi t-il d'un langage à la SQL adapté au graphe, ou faut-il manipuler des fonction au travers d'une lib en perl ?
Cela prend t-il beaucoup de mémoire ?
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
[...]
tvi_v4l2.c:1519: error: array type has incomplete element type
tvi_v4l2.c:1519: error: invalid application of 'sizeof' to incomplete type 'struct v4l2_buffer'
tvi_v4l2.c:1519: error: invalid application of 'sizeof' to incomplete type 'struct v4l2_buffer'
make[1]: *** [tvi_v4l2.o] Erreur 1
make[1]: Leaving directory `/home/montaigne/Logiciels-packagés/MPlayer/libmpdemux'
make: *** [libmpdemux/libmpdemux.a] Erreur 2
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J'ai eu quelques problèmes avec GCC 4.1 qui est plus restrictif au niveau du code.
MPlayer ne veux pas compiler avec, il impose gcc-3. Je me suis amusé à le forcer à utiliser gcc 4, ça ne compile effectivement, et il génère une erreur interne.
De même, le code généré par le compilateur Lisaac, qui a la particularité de gérer lui-même sa mémoire (ie. un gros malloc au début, et une gestion "à la main" des zones mémoires dans le code), ne compile généralement pas le code généré par le compilateur. Ce code est pourtant conforme à C99 (au minimum tout le corps du code).
Remarque GCC 3 déconne aussi parfois. Avec le même code craché par le compilateur, on remarque, si l'on compile en -O {2,3,s}, que le compilateur invente des registres (!!!). C'est vraiment assez marrant à regarder.
Il serait donc peut être intéressant qu'un jour, une équipe, comme celle de Xavier Leroy à l'INRIA s'amuse à prouver quelques morceaux du compilateur.
Ce qui a été fait pour un compîlateur mini C.
Je viens de regarder, ça à l'air d'être dur à maîtriser mais intéressant :)
Tu es sûr que le fait que ce soit codé en perl le rend plus lent ?
J'imaginait pour ma part le faire en Lisaac, parce que ce serait un bonne occasion de faire un beau projet libre avec, sachant que je suis assuré d'avoir des performances proche du C avec un langage aussi haut niveau que perl (avec les types en plus).
Ce graphe risque de devoir gérer quelques dizaines de millions de sommets, à terme. Tu penses que ça tiendra ?
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En gros, ce que je veux faire, c'est un gros graphe, avec des mots comme sommet. Un petit graphe sémantique, avec plein de relations diverses entre les mots.
Un super dictionnaire en quelque sorte :-)
Ca risque donc de devenir assez gros.
J'ai bien compris que tu pralai d'un SGBD libre sur les graphes, mais j'ai pas trouvé de liens... que des euphémismes (a moins que j'ai pas vu..)
As-tu un lien ?
Merci :)
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Ah pis tu as oublié de mentionner lisaac ça fait tout drôle :)
Oui, maiiiiis tu vooiiiis, vu que le compilateur est pas encore liiiiiiibre, je peux pas trop le défendre.
On attend toujours ces messieurs de l'INRIA (étude en cours).
C'est dommage car dans quelques temps on aura un compilateur tout frais entièrement réécrit, et là je pense que pour ce genre d'application, il sera parfait.
Et ça sera même possible tiens parce que la librairie fenêtre est entièrement écrite en Lisaac, en se basant sur le putpixel ou le put_bitmap_line. Et le code est libre.
Rest à faire les binding pour gtk, qt, etc... Simuler la xlib aussi.
Ce serait un bôôô projet ! ;-)
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Je vais encore me moinsser mais là la moutarde me monte au nez.
Ca fait pas mal de temps que je suis ça de loin, car j'aimerai bien avoir un bôô desktop 3d, joli, apaisant comme Aqua (Oui m'dame, je trouve que MacOS X c'est beau et apaisant) et je suis les pérégrinations quasi politiques des interminable débats sur le design du serveur X.
Heureusement, on possède cet excellente document (merci à son auteur) qui nous permet d'y voir clair, à condition d'avoir le courage de tout lire jusqu'au bout (ça n'enlève rien à l'excellence du contenu de cet article et de sa présentation) http://linux.tlk.fr/traitement-graphique/
On y apprend que le projet X fait 16 millions de lignes de code, et qu'on est en train de le modulariser. Fort bien, il était temps.
Je veux bien que les pauvres dev (franchement, je les admire) s'amusent avec leur quasi assembleur (le C(oui je sais, je suis lourd avec ça)) à gérer les différends Unix dans lesquels les services offerts par l'OS est pas le même et etc.. , mais j'ai vraiment l'impression que X devient une usine à gaz immensément bordélique.
Il faudrait
- Un pilote en mode noyau, s'occupant de la vidéo, du pci/agp, du calvier, de la souris, etc... Sur *BSD on ferait un système autonome, sous Linux on utilise l'existant.
- Un framebuffer collectant toutes les demandes de dessins des API de fenêtrages avec plusieurs implémentation d'API. Un fb en 3D serait l'idéal avec la possibilité d'utiliser une norme (comme OpenGL, DirectX) en tant que driver comme le préconise justement Jon Smirl.
Puisqu'il s'agit de politique, a quand les entreprises du secteurs (au hasard RedHat, Mandriva, Novell, ?) se mettront-elles d'accord pour développer un et un seul ensemble de projets cohérants entre eux et pas la friture entre Novelle qui veut Xgl et Mandriva quie veut Xegl ?
Moi je parie que quand des langages haut niveau iront aussi vite que le C, on risque de voir des projets alternatifs...
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Mais, comment les données que tu donnes à manger à ton programme sont-elles créer ?
De différentes façons :
- la manière dirigée ; je pense à quelques instructions particulières qui correspondrait à des opérateurs sémantiques axiomatiques ou créé par darwinisme autour des axiomes. Par exemple on pourrait créer l'instruction champ_lexical(mot1,mot2).
Avec cette instruction, on lui fait bouffer les champs lexicaux que l'on peu trouver (tappes champ lexical dans google, yen a)
- La manière non dirigée : on lui fait bouffer wikipedia, le chan #gcu sur irc (c'est parti d'une discussion entre #gcuien), etc... Tu pourras lui parler. A chaque fois que tu lui donnes une phrase, il la prend pour vrai et update son graphe (coefs, liens, etc...)
il enregistre la structure grammatical et la relation sémantique entre les mots"
-> comment il connait ça ?
Pour les relations grammaticales, j'ai écrit que je compte lui faire bouffer le dictionnaire de l'académie où chaque mot est associé à sa nature grammaticale.
Pour les relations sémantique, c'est à lui de se débrouiller, il défini lors de la capture, une relation sémantique de phrase, après, c'est le système qui crée et fait évoluer par évolution darwinienne le système de requetage grammatical, qui va créer de meilleurs liens en associant, à chaque capture d'une phrase, structure grammaticale "la(dét) vache(nom commun) mange(verbe) de(dét) l(dét élidé) ' herbe (nom commun)" à partir de la nature grammatical des mots mais aussi mot clés, thématique, champ lexical.
En fait il contextualise une forme de méta-grammaire à un champ lexical.
C'est la fonction de fitness qui me pose beaucoup de problèmes
Pour l'instant, à ma connaissance, il n'y a pas de parser grammatical "complet" du français. Et ça doit être un vrai bordel avec les exceptions et les tournures de phrase.
C'est pour ça que je préfère faire en sorte qu'il émerge.
J'ai l'ambition de faire un programme tout simple, tout petit, un méta-programme en qq sorte, qui évolue tout seul.
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C'est marrant car je réfléchi en ce moment àune idée similaire mais plus tordue.
Il s'agirai en fait d'une intelligence sémantique émergente, matérialisé par un graphe sémantique, à qui on apprend des phrases.
Dans ce graphe, chaque mot est associé à sa valeur grammaticale. Pour l'apprendre, j'aimerai lui faire avaler le dictionnaire de l'académie française : j'ai un format "MOT. abrv. abrv. "où "abrv. abrv." code la nature grammaticale du mot.
A chaque fois qu'on lui soumet une phrase il enregistre la structure grammatical et la relation sémantique entre les mots de la phrase. A force d'en avaler, emmergent des relations sémantiques fortes (on a un graphe à coefs).
Je compte définir le verbe être avoir et faire avec ces opérateurs.
Le système passe son temps à cracher des phrases au hasard, en fonction du bon niveau ( > 0,7 en moyenne par exemple) des coefs dans un sous graphe et d'une grammaire connue. (ie. il forme une phrase en cherchant un sous graphe en rapport avec la dernière phrase lu, ayant un coefs moyen supérieur à une valeur déterminée, et respectant une grammaire donnée).
Il faut aussi concevoir un système permettant au module de production de grammaire, dévoluer afin d'affiner ces grammaires de sorties, et les faire évoluer pour les contextualiser.
Le but est d'arriver à "Humain : Que mange une vache ? Réseau sémantiq : vache manger herbe" voire "Les vaches mangent de l'herbes".
C'est ce problème d'algo d'évolution de la grammaire adaptative à la sémantique de la question qui me pose problème.
Un tel système pourrait peut être avoir des applications en tant que moteur de recherches, en taggant les phrases (les sous graphes de mots) avec des liens web.
A mon avis, je n'ai pas été très clair ;-) Désolé, c'est pas simple à expliquer ;)
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C'est vrai que tu pointes un problème intéressant :
L'ensemble des technologies web sont pour la plupart un assemblage stratifié de technos ayant le HTML pour origine. Rappelons nous le contexte de sa création et son objectif d'alors : faire de bêtes et simple pages avec des liens.
Pourquoi ne pas repartir de 0 (c'est une attitude idéaliste, souvent innaplicable, mais que j'aime beaucoup) ?
Je ne pense pas que PDF/DVI soit adapté (je pencherai plus pour dvi, on a pas toujours besoin d'embarquer les fontes) car ce sont des formats dédiés à l'impression, donc trop statique.
Non. Il faudrait plutôt penser à un format permettant d'exprimer ce que fait flash par exemple. Bien entendu ce doit être un standard ouvert.
Quand je pense, qu'en php, je dois gérer le fait qu'à chaque fois qu'on clique sur un bouton, faut recharger la page, c'est vrai qu'il serait peut être temps de se demander s'il n'y a pas un problème...
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Ôtes moi d'un doute : as-tu, comme moi, modifié un paramètre de configuration de ff pour éviter d'avoir les nouvelles fenêtres gnome qui mettent deux siècles à rendre la main, pour les remplacer par les anciennes ?
Je me suis toujours demandé si ça venait de ça, et j'ai pas essayé de faire un roll back.
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Je doute que ça n'arrive que chez moi, mais ff plante dès lors que je tombe sur un fichier qu'il ne connait pas ou requiert un viewer extérieur.
Par exemple, cliquer sur un PDF le fait planter systématiquement.
J'envoie incident sur incident.
J'espère que la 1.5.2 corrigera le problème.
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Très intéressant. Effectivement tu pointes un problèmes bien français issu en grande partie (je pense) de la culture un peu trop administrative de l'élite qui, pour une part d'entre elle, vie encore au XIXème siècle, mais aussi du fait que les élèves de grandes écoles ne font pas de thèses, ce qui implique ce qui est fabuleusement bien expliquer dans ce post : https://linuxfr.org/comments/626655.html#626655.
En plus on est gouverné (même dans les grandes entreprises) par des énarques qui ne savent qu'écrire des belles phrases. Evidemment, n'ayant jamais fait d'études sérieuses, ils ne connaissent rien à la technique.
Résultat, comme tu le pointes, la R&D est conçu comme pourvoyeuse de royalties.
Reste que ça n'empêche pas ce que j'ai dit plus haut - et j'en ai expliqué les raisons - : refuser de bien vouloir consacrer une partie de l'effort de recherche à des applications industrielles qui vont ensuite être développées, étendues, comme google le fait par exemple, est une conception suicidaire.
L'INRIA a pour politique de chercher à faire des valorisations industrielles et/ou de créer des start-up via INRIA-Transfert.
Je suis assez d'accord avec toi sur la bêtise de la politique des grosses boites que tu pointes assez bien. Mais, l'INRIA peut donner lieu à des réussites ne faisant pas intervenir de brevets logiciels en créant des start-up faisant fructifier une technologie, éventuellement (tant mieux) libre.
Ne te focalise donc pas trop vite sur les brevets, ils sont parfois capable de faire autrement.
Pour ma part, je suis à contre-coeur, et comme RMS pour les brevets défensifs quand il n'y a pas le choix (risque de se faire piquer le brevet et de se voir interdire de diffuser en licence libre un logiciel à l'origine de la technologies brevetée.
Que penses-tu de cette approche ?
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[^] # Re: Ça ne marche pas
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au journal XGL sous Mandriva ( 2006, Cooker ). Évalué à 2.
Alt+TAB donne un changement d'applications classique. Je n'ai aucun zoom, aucun effet 3D.
Rien.
Je vais essayer de trouver d'où ça vient. Peut être une option à activer qq part...
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# Ça ne marche pas
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au journal XGL sous Mandriva ( 2006, Cooker ). Évalué à 2.
9a s'installe en 3 commandes, c'est génial.
Je démare xgl... et me retrouve sur un bureau gnome classique absolument normal sans accélération.
J'ai pourtant une TNT2 (oui c'est vieux, je sais) et un driver NVIDIA officiel (d'ailleurs OpenGL fonctionne très bien avec).
Je lance glxgears à tout hasard...
3 images secondes.
Là je vois pas.
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[^] # Re: Esperons que la qualité suivra
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de la version 4.1 du compilateur GCC. Évalué à 3.
Ce qu'à fait X. Leroy, c'est de prouver le parser, la transformation du code source en code intermédiaire , l'allocation de registres et la traduction du code intermédiaire en code objet.
Prouver du code C, c'est plutôt l'oeuvre de Jean-Christophe Filliatre http://why.lri.fr
C'est vrai, que vu la taille de la grammaire, prouver du C non trivial est pas chose facile.
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[^] # Re: Toujours pas l'intégration de GOMP...
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de la version 4.1 du compilateur GCC. Évalué à 3.
Bertrand Meyer, le concepteur d'Eiffel à conçu pour cela le modèle SCOOP : http://se.inf.ethz.ch/teaching/ss2004/0268/lectures/251-0268(...) pour Simple Concurrent Object-Oriented Computation
C'est un modèle qui propose une syntaxe pour Eiffel permettant de définir quand est-ce qu'un appel de message est asynchrone ou non.
Eiffel Software l'a implémenté en 1995.
Puisque la nature revient au galop ;-) je précise que le brouillon de publication que j'ai présenté sur ce site, n'est autre que l'adaptation du modèle SCOOP à un langage objet à prototype compilé.
https://linuxfr.org/~Montaigne/20582.html
L'idée de ce modèle est de permettre de la programmation parallèle, en pensant son code en tant que système multi agent.
Les problèmes de multithread ne se posent pas trop car les zones mémoires entre thread sont, dans ce modèle, étanches. C'est un peu l'idée de SCOOP.
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[^] # Re: le modele relationnel est peu compatible avec la gestion des graphes
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au message Modéliser un gros graphe. Évalué à 2.
Je ne parlais pas d'un langage à la SQL, mais d'un langage, tout simplement. On doit bien pouvoir créer un langage intéressant ?
En se basant sur l'API, dont doit bien pouvoir batir un langage intéressant ?
On est en train d'étudier l'intégration d'un langage à la SQL dans Lisaac, ça pourrait être une intéressante expérience, un langage de manipulation de graphe.
Bon en tout cas, je vais pouvoir étudier ton système, maintenant que je sais ce que ça fait, même si le code me fait assez peur.
Qu'entend-tu par "- un ensemble d'objets pour mapper des objets JS sur des sous-graphes" ?
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[^] # Re: Esperons que la qualité suivra
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de la version 4.1 du compilateur GCC. Évalué à 4.
Oulala, je me sens visé...
Je n'ai pas dit que NP impliquait impossible. J'ai laissé entendre qu'on ne sait pas (et son auteur ne le sait pas non plus, je suis bien placé pour le savoir) comment le compilateur Lisaac réagira si on lui demande de compiler 1 000 000 de lignes.
Il consomme 512 Mo pour compiler 50 000 lignes (lib incluse) en 15 secondes (sur un athlon 2Ghz). Combien lui faudra t-il de mémoire et de temps pour compiler 1 000 000 de lignes ? On ne sait pas, on a jamais essayé.
L'analyse de flot (ie. l'algorithme testant toutes les branches de programme pour par exemple détecté qu'une variable est défini par n:=2*n+1 et 10 km virer un test de parité car il ne sert à rien) est un algorithme extrêmement consommateur de ressources, car exponentiel.
Pas impossible en théorie, mais potentiellement impossible sur le PC que j'achète chez l'assembleur du coin.
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
[^] # Re: Esperons que la qualité suivra
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de la version 4.1 du compilateur GCC. Évalué à 3.
Effectivement, Thomas a bien décrit le fonctionnement du compilateur.
La gestionnaire mémoire est tout simplement défini dans le fichier memory.li qui se trouve dans la lib du compilateur.
Rappelons que Lisaac est un compilateur ultra minimaliste : il ne connait même pas la conditionnelle, elle est défini dans la lib.
Un gros malloc est effectivement effectué au début, et un GC gère toute la mémoire.
Comme tout est intégralement compilé, le GC est défini dans la libairie en fait (le fameu memory.li)
Ça coince effectivement au niveau de la compilation avec gcc.
Je compare ce qui n'est pas comparable, mais comparer du C est beaucoup plus difficile que compiler du Lisaac (quoique, compiler l'héritage dynamique est extrêmement difficile, nécessite une analyse de flot sur touts le code et constitue de toutes façon un algo de complexité exponentielle), du moins compiler proprement : la grammaire de Lisaac tiens en 20 lignes, celle du C en 4 pages...
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[^] # Re: le modele relationnel est peu compatible avec la gestion des graphes
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au message Modéliser un gros graphe. Évalué à 2.
D'après ce que j'ai compris, il s'agit d'un système permettant de gérer des graphes stockés dans des fichiers.
D'où question : comment le manipule t-on : s'agi t-il d'un langage à la SQL adapté au graphe, ou faut-il manipuler des fonction au travers d'une lib en perl ?
Cela prend t-il beaucoup de mémoire ?
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[^] # Re: Esperons que la qualité suivra
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de la version 4.1 du compilateur GCC. Évalué à 3.
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# https
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au sondage Pour accéder à linuxfr.org, j'utilise principalement le protocole. Évalué à 3.
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# Esperons que la qualité suivra
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de la version 4.1 du compilateur GCC. Évalué à 10.
MPlayer ne veux pas compiler avec, il impose gcc-3. Je me suis amusé à le forcer à utiliser gcc 4, ça ne compile effectivement, et il génère une erreur interne.
De même, le code généré par le compilateur Lisaac, qui a la particularité de gérer lui-même sa mémoire (ie. un gros malloc au début, et une gestion "à la main" des zones mémoires dans le code), ne compile généralement pas le code généré par le compilateur. Ce code est pourtant conforme à C99 (au minimum tout le corps du code).
Remarque GCC 3 déconne aussi parfois. Avec le même code craché par le compilateur, on remarque, si l'on compile en -O {2,3,s}, que le compilateur invente des registres (!!!). C'est vraiment assez marrant à regarder.
Il serait donc peut être intéressant qu'un jour, une équipe, comme celle de Xavier Leroy à l'INRIA s'amuse à prouver quelques morceaux du compilateur.
Ce qui a été fait pour un compîlateur mini C.
http://pauillac.inria.fr/~xleroy/compcert-backend/
GCC reste néanmoins un excellent logiciel, sans lequel le libre ne serait à mon avis pas ce qu'il est.
Félicitation à l'équipe.
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[^] # Re: le modele relationnel est peu compatible avec la gestion des graphes
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au message Modéliser un gros graphe. Évalué à 3.
Tu es sûr que le fait que ce soit codé en perl le rend plus lent ?
J'imaginait pour ma part le faire en Lisaac, parce que ce serait un bonne occasion de faire un beau projet libre avec, sachant que je suis assuré d'avoir des performances proche du C avec un langage aussi haut niveau que perl (avec les types en plus).
Ce graphe risque de devoir gérer quelques dizaines de millions de sommets, à terme. Tu penses que ça tiendra ?
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
[^] # Re: le modele relationnel est peu compatible avec la gestion des graphes
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au message Modéliser un gros graphe. Évalué à 3.
Un super dictionnaire en quelque sorte :-)
Ca risque donc de devenir assez gros.
J'ai bien compris que tu pralai d'un SGBD libre sur les graphes, mais j'ai pas trouvé de liens... que des euphémismes (a moins que j'ai pas vu..)
As-tu un lien ?
Merci :)
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[^] # Re: le modele relationnel est peu compatible avec la gestion des graphes
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au message Modéliser un gros graphe. Évalué à 3.
J'ai commencé à réflechir dessus. J el coderai quand j'aurai le temps. Ca sera du GPL.
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[^] # Re: On pourrait pas simplifier ce bordel ?
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au journal Réponse de David Reveman à Nvidia. Évalué à 2.
Oui, maiiiiis tu vooiiiis, vu que le compilateur est pas encore liiiiiiibre, je peux pas trop le défendre.
On attend toujours ces messieurs de l'INRIA (étude en cours).
C'est dommage car dans quelques temps on aura un compilateur tout frais entièrement réécrit, et là je pense que pour ce genre d'application, il sera parfait.
Et ça sera même possible tiens parce que la librairie fenêtre est entièrement écrite en Lisaac, en se basant sur le putpixel ou le put_bitmap_line. Et le code est libre.
Rest à faire les binding pour gtk, qt, etc... Simuler la xlib aussi.
Ce serait un bôôô projet ! ;-)
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[^] # Re: Fond d'écran
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au journal Xgl, l'effet X.org et Beagle ?. Évalué à 2.
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
# On pourrait pas simplifier ce bordel ?
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au journal Réponse de David Reveman à Nvidia. Évalué à 4.
Ca fait pas mal de temps que je suis ça de loin, car j'aimerai bien avoir un bôô desktop 3d, joli, apaisant comme Aqua (Oui m'dame, je trouve que MacOS X c'est beau et apaisant) et je suis les pérégrinations quasi politiques des interminable débats sur le design du serveur X.
Heureusement, on possède cet excellente document (merci à son auteur) qui nous permet d'y voir clair, à condition d'avoir le courage de tout lire jusqu'au bout (ça n'enlève rien à l'excellence du contenu de cet article et de sa présentation)
http://linux.tlk.fr/traitement-graphique/
On y apprend que le projet X fait 16 millions de lignes de code, et qu'on est en train de le modulariser. Fort bien, il était temps.
Je veux bien que les pauvres dev (franchement, je les admire) s'amusent avec leur quasi assembleur (le C(oui je sais, je suis lourd avec ça)) à gérer les différends Unix dans lesquels les services offerts par l'OS est pas le même et etc.. , mais j'ai vraiment l'impression que X devient une usine à gaz immensément bordélique.
Il faudrait
- Un pilote en mode noyau, s'occupant de la vidéo, du pci/agp, du calvier, de la souris, etc... Sur *BSD on ferait un système autonome, sous Linux on utilise l'existant.
- Un framebuffer collectant toutes les demandes de dessins des API de fenêtrages avec plusieurs implémentation d'API. Un fb en 3D serait l'idéal avec la possibilité d'utiliser une norme (comme OpenGL, DirectX) en tant que driver comme le préconise justement Jon Smirl.
Puisqu'il s'agit de politique, a quand les entreprises du secteurs (au hasard RedHat, Mandriva, Novell, ?) se mettront-elles d'accord pour développer un et un seul ensemble de projets cohérants entre eux et pas la friture entre Novelle qui veut Xgl et Mandriva quie veut Xegl ?
Moi je parie que quand des langages haut niveau iront aussi vite que le C, on risque de voir des projets alternatifs...
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
[^] # Re: arguments ?
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au journal Réponse de David Reveman à Nvidia. Évalué à 3.
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
[^] # Re: Maay
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au journal Nepomuk: Drôle d'animal !. Évalué à 2.
De différentes façons :
- la manière dirigée ; je pense à quelques instructions particulières qui correspondrait à des opérateurs sémantiques axiomatiques ou créé par darwinisme autour des axiomes. Par exemple on pourrait créer l'instruction champ_lexical(mot1,mot2).
Avec cette instruction, on lui fait bouffer les champs lexicaux que l'on peu trouver (tappes champ lexical dans google, yen a)
- La manière non dirigée : on lui fait bouffer wikipedia, le chan #gcu sur irc (c'est parti d'une discussion entre #gcuien), etc... Tu pourras lui parler. A chaque fois que tu lui donnes une phrase, il la prend pour vrai et update son graphe (coefs, liens, etc...)
il enregistre la structure grammatical et la relation sémantique entre les mots"
-> comment il connait ça ?
Pour les relations grammaticales, j'ai écrit que je compte lui faire bouffer le dictionnaire de l'académie où chaque mot est associé à sa nature grammaticale.
Pour les relations sémantique, c'est à lui de se débrouiller, il défini lors de la capture, une relation sémantique de phrase, après, c'est le système qui crée et fait évoluer par évolution darwinienne le système de requetage grammatical, qui va créer de meilleurs liens en associant, à chaque capture d'une phrase, structure grammaticale "la(dét) vache(nom commun) mange(verbe) de(dét) l(dét élidé) ' herbe (nom commun)" à partir de la nature grammatical des mots mais aussi mot clés, thématique, champ lexical.
En fait il contextualise une forme de méta-grammaire à un champ lexical.
C'est la fonction de fitness qui me pose beaucoup de problèmes
Pour l'instant, à ma connaissance, il n'y a pas de parser grammatical "complet" du français. Et ça doit être un vrai bordel avec les exceptions et les tournures de phrase.
C'est pour ça que je préfère faire en sorte qu'il émerge.
J'ai l'ambition de faire un programme tout simple, tout petit, un méta-programme en qq sorte, qui évolue tout seul.
« Il n’y a pas de choix démocratiques contre les Traités européens » - Jean-Claude Junker
[^] # Re: Maay
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au journal Nepomuk: Drôle d'animal !. Évalué à 3.
Il s'agirai en fait d'une intelligence sémantique émergente, matérialisé par un graphe sémantique, à qui on apprend des phrases.
Dans ce graphe, chaque mot est associé à sa valeur grammaticale. Pour l'apprendre, j'aimerai lui faire avaler le dictionnaire de l'académie française : j'ai un format "MOT. abrv. abrv. "où "abrv. abrv." code la nature grammaticale du mot.
A chaque fois qu'on lui soumet une phrase il enregistre la structure grammatical et la relation sémantique entre les mots de la phrase. A force d'en avaler, emmergent des relations sémantiques fortes (on a un graphe à coefs).
Je défini (pour le moment) les axiomes suivants :
- "Evenement/processus temporel",
- appartient_à_sma
- est_agent_de_sma.
- "est_en_intéraction_avec_agent"
Je compte définir le verbe être avoir et faire avec ces opérateurs.
Le système passe son temps à cracher des phrases au hasard, en fonction du bon niveau ( > 0,7 en moyenne par exemple) des coefs dans un sous graphe et d'une grammaire connue. (ie. il forme une phrase en cherchant un sous graphe en rapport avec la dernière phrase lu, ayant un coefs moyen supérieur à une valeur déterminée, et respectant une grammaire donnée).
Il faut aussi concevoir un système permettant au module de production de grammaire, dévoluer afin d'affiner ces grammaires de sorties, et les faire évoluer pour les contextualiser.
Le but est d'arriver à "Humain : Que mange une vache ? Réseau sémantiq : vache manger herbe" voire "Les vaches mangent de l'herbes".
C'est ce problème d'algo d'évolution de la grammaire adaptative à la sémantique de la question qui me pose problème.
Un tel système pourrait peut être avoir des applications en tant que moteur de recherches, en taggant les phrases (les sous graphes de mots) avec des liens web.
A mon avis, je n'ai pas été très clair ;-) Désolé, c'est pas simple à expliquer ;)
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[^] # Re: Les navigateurs me gave ...
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au journal Vous en pensez quoi de la dernière version de FireFox 1.5.x ?. Évalué à 4.
L'ensemble des technologies web sont pour la plupart un assemblage stratifié de technos ayant le HTML pour origine. Rappelons nous le contexte de sa création et son objectif d'alors : faire de bêtes et simple pages avec des liens.
Pourquoi ne pas repartir de 0 (c'est une attitude idéaliste, souvent innaplicable, mais que j'aime beaucoup) ?
Je ne pense pas que PDF/DVI soit adapté (je pencherai plus pour dvi, on a pas toujours besoin d'embarquer les fontes) car ce sont des formats dédiés à l'impression, donc trop statique.
Non. Il faudrait plutôt penser à un format permettant d'exprimer ce que fait flash par exemple. Bien entendu ce doit être un standard ouvert.
Quand je pense, qu'en php, je dois gérer le fait qu'à chaque fois qu'on clique sur un bouton, faut recharger la page, c'est vrai qu'il serait peut être temps de se demander s'il n'y a pas un problème...
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[^] # Re: Pas content
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au journal Vous en pensez quoi de la dernière version de FireFox 1.5.x ?. Évalué à 3.
Ôtes moi d'un doute : as-tu, comme moi, modifié un paramètre de configuration de ff pour éviter d'avoir les nouvelles fenêtres gnome qui mettent deux siècles à rendre la main, pour les remplacer par les anciennes ?
Je me suis toujours demandé si ça venait de ça, et j'ai pas essayé de faire un roll back.
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# Pas content
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse au journal Vous en pensez quoi de la dernière version de FireFox 1.5.x ?. Évalué à 4.
Par exemple, cliquer sur un PDF le fait planter systématiquement.
J'envoie incident sur incident.
J'espère que la 1.5.2 corrigera le problème.
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[^] # Re: C# et le libre...
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse à la dépêche talweg, une migration vers Mono. Évalué à 2.
Comme font les énarques, tu veux dire ?
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[^] # Re: Ha ha ha
Posté par Ontologia (site web personnel) . En réponse à la dépêche Disparition de M. Gilles KAHN, Président de l'INRIA, membre de l'Académie des Sciences. Évalué à 1.
Très intéressant. Effectivement tu pointes un problèmes bien français issu en grande partie (je pense) de la culture un peu trop administrative de l'élite qui, pour une part d'entre elle, vie encore au XIXème siècle, mais aussi du fait que les élèves de grandes écoles ne font pas de thèses, ce qui implique ce qui est fabuleusement bien expliquer dans ce post : https://linuxfr.org/comments/626655.html#626655.
En plus on est gouverné (même dans les grandes entreprises) par des énarques qui ne savent qu'écrire des belles phrases. Evidemment, n'ayant jamais fait d'études sérieuses, ils ne connaissent rien à la technique.
Résultat, comme tu le pointes, la R&D est conçu comme pourvoyeuse de royalties.
Reste que ça n'empêche pas ce que j'ai dit plus haut - et j'en ai expliqué les raisons - : refuser de bien vouloir consacrer une partie de l'effort de recherche à des applications industrielles qui vont ensuite être développées, étendues, comme google le fait par exemple, est une conception suicidaire.
L'INRIA a pour politique de chercher à faire des valorisations industrielles et/ou de créer des start-up via INRIA-Transfert.
Je suis assez d'accord avec toi sur la bêtise de la politique des grosses boites que tu pointes assez bien. Mais, l'INRIA peut donner lieu à des réussites ne faisant pas intervenir de brevets logiciels en créant des start-up faisant fructifier une technologie, éventuellement (tant mieux) libre.
Ne te focalise donc pas trop vite sur les brevets, ils sont parfois capable de faire autrement.
Pour ma part, je suis à contre-coeur, et comme RMS pour les brevets défensifs quand il n'y a pas le choix (risque de se faire piquer le brevet et de se voir interdire de diffuser en licence libre un logiciel à l'origine de la technologies brevetée.
Que penses-tu de cette approche ?
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