oao a écrit 960 commentaires

  • [^] # Re: Majorité absolue

    Posté par  . En réponse au journal Avis aux abstentionnistes. Évalué à 1.

    Différents, certes, mais tu peux te sentir aussi éloigné de l'un que de l'autre. Dans ce cas tu fais quoi ? Tu cautionnes un parti que tu ne supportes pas plus que l'autre ?

  • # Point de salut

    Posté par  . En réponse au message Humble Bundle. Évalué à 2.

    .

  • # Skype

    Posté par  . En réponse au journal Bookmark: Un utilisateur de Retroshare condamné pour avoir relayé une copie d'une œuvre copyrightée. Évalué à 10.

    Étant donné que Skype fonctionne en p2p, on peut relayer un appel terroriste sans le savoir. Bientôt le GIGN chez tata Michu ?

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 3.

    Je lit :

    II) NORMES POUR VEHICULES AUTOMOBILES
    Il est imposé, dans les conditions suivantes, de créer des places de stationnement.LILLE 29 juin 2012
    UAa
    12 Règlement - Lille UAa
    A) Constructions nouvelles, reconstructions (sauf sinistres), extensions, niveaux supplémentaires internes,
    et transformations de surface brute en surface nette :
    Il doit être créé au minimum :
    1) Pour les maisons individuelles et immeubles collectifs (sauf le logement locatif financé avec un prêt aidé de l’Etat)
    Une place de stationnement par logement

    Donc oui, il aurait pu demander un prêt pour logement social à l'État. Non, ce n'est pas une solution acceptable, c'est une démarche lourde, qui a des implications importantes sur ce qu'il peut faire de sa surface, et surtout absolument non nécessaire si le PLU n'était pas aussi restrictif. Le fait qu'il existe une solution très compliquée n'excuse pas le fait que la voie normale est un champs de mines.

    Un moment il faut se poser et se demander si les contraintes sont vraiment nécessaires. Certaines le sont de toute évidence, comme pour les terrains inondables. D'autres non, et ne sont que des coûts non justifiés qui empêche la création de nouveaux logements. On a ici une surface qui ne va servir à rien. C'est un témoignage, il y en a potentiellement un nombre important comme ça. Personnellement ce n'est pas la première fois que j'entends parler de cela. C'est cela le résultat de règlements stupides : du gâchis.

    Pour le café du comptoir, je te renvoie à la poutre et à l'oeil.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 2.

    Je ne parlais pas de responsabilité personnelle de l'entrepreneur, mais du fait qu'il a du investir les fonds propres de son entreprise en puisant dans son patrimoine. Souvent l'entreprise est le seul patrimoine de l'entrepreneur. Certes la responsabilité limitée empêche de perdre plus que ce que l'on a investit, mais si on a quasiment tout investit et réinvestit cela peut signifier tout perdre. Que le patron puisse perdre, c'est normal, même si je ne le souhaite à personne, comme je ne souhaite à personne de perdre son job. Mais ce qui n'est pas normal c'est que ce risque ne soit pas pris en compte quand on compte les points de la négociation employeur employé.

    Pour le problème du surplus de travailleur, je suis persuadé que c'est un débat mal posé, que ce n'est pas le fait qu'il y ai trop de travailleur qui pose problème mais le fait que le marché de l'emploi ne soit pas efficient. Je ne sais pas si cela te parle, mais on pourrait prendre un argument de physicien, l'argument d'homogénéité. Observation : le chômage est globalement au même taux (à un facteur 2 près) dans des petits pays et dans de grands pays. Si c'était le nombre de personnes qui posait problème, il devrait y avoir un nombre maximal d'emploi, et si ce nombre est dépassé toutes les personnes en trop seraient au chômage, ce qui est en contradiction avec l'observation. Après c'est un débat qui ne va pas beaucoup avancer avec un thread Linuxfr, je veux juste expliquer ma position, qui est celle de beaucoup de personnes en dehors de la France.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 1. Dernière modification le 22 novembre 2012 à 16:33.

    La personne en question est bijoutier. Il habite en centre ville, mais une villa de 200m² peut coûter bien moins cher qu'un 70m² bien situé. Si pour toi ce n'est pas un notable, pour moi si. Et il veut transformer les locaux au dessus de sa bijouterie. On peut supposer sans trop de risque qu'une bijouterie est située dans de beaux quartiers, donc on a bien un règlement qui protège les habitants des beaux quartiers de la racaille qui habite en studio et qui n'a pas de parking. Un règlement qui protège les insiders contre les outsiders, comme la quasi-totalité des règlements.

    Je ne veux pas de favelas à Paris. Mais quand je regarde objectivement la situation, le marché libre crée des logements bien plus adaptés à la demande que les règlements. Les personnes tiennent à leurs investissements, elles ne vont pas construire un immeuble pour qu'il soit invivable dans 20 ans. L'état si, dans certains cas. Ta planification est une très belle cathédrale en théorie. En pratique c'est le bazar qui fait des choses efficacement, avec bien sur un peu de supervision, mais limitée. Pas comme empêcher de mettre 10 étages dans la ville la plus recherchée de France, ce qui entraîne un développement de la banlieue, et donc des problèmes de transport. Ta planification parfaite et totale ne marche pas.

    Ah oui, et ma réflexion est tout à fait élaborée, réfléchie et instruite. Ce n'est pas parce que nous ne sommes pas d'accord que tu peux te permettre de supposer le contraire sans preuve ni éléments flagrants.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 1.

    le gain en efficience

    C'est justement en partie de cela que je parle, mais je pense que tu es moins efficient si tu travailles moins. L'efficience en fonction de la durée de travail est une courbe en cloche : elle est minimale si tu travail très peu (coûts de formation, de communication) et si tu travailles trop (fatigue). Pour le reste, tu fais peut-être un secteur particulier, où le changement d'horaires est structurellement difficile (ex trois huit). Mais je pense que si ton patron refuse la négociation, c'est parce qu'il sait qu'il lui faudra une baisse importante de ton salaire pour qu'il retombe sur ses pattes.

    Je suis loin d'avoir suffisamment d'éléments pour me faire une idée de ton cas, mais en général le couple (temps de travail, salaire horaire) peut être amélioré pour le patron et pour l'employé, avec au final un gain pour tous. Mais cela ne peut se faire que si il y a liberté de choisir la durée de travail. Si elle existait tu aurais d'autres entreprises qui proposeraient d'autres couples, et au final tu trouverais peut-être un arrangement meilleur. Au lieu de se déplacer sur un espace à une dimension (salaire horaire) tu en rajoutes une, tu peux donc te rapprocher plus de tes conditions idéales.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 1.

    Si tu réduit ton temps de travail, étant donné que ton patron a des coûts fixes et que tu as des taches fixes (ex réunions) il faut que tu acceptes de réduire ton salaire horaire. Si tu proposes de gagner X=2% moins pour travailler 1% moins, ton patron acceptera peut-être. Si non, vous trouverez un X qui vous convient à tous les deux, et vous pourrez modifier le temps de travail. J'ai bien dis modifier et non réduire : si cela se trouve tu trouveras X trop important, et tu voudras alors travailler plus avec un salaire horaire augmenté, et avec la bénédiction de ton patron.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 1.

    Un patron ne se suicide pas quand son employé part, ok. Par contre il peut le faire si sa boite coule car son employé est parti. Le patron propriétaire joue plus gros que le salarié, il ne joue pas que son revenu courant, il joue aussi son patrimoine, et il peut être endetté.

    Pour les personnes à l'autre bout du monde, elles ne sont pas forcément en concurrence avec les emplois français, car la grande majorité des emplois demandent une présence physique, une formation et/ou une culture française.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 1.

    On en est globalement loin.

    Non. Tous les cas sont particuliers. C'est certain qu'il y a une pénurie d'offre pour des emplois à 35h par semaine, sans qualifications payés à 1.5 SMIC. Si tu supprime un de ces trois critères tu as des offres non pourvues. Exemple dans l'informatique le marché est relativement équilibré, il n'y a pas de chômage longue durée pour les informaticiens qualifiés, et les employeurs n'aiment pas que leurs personnels partent. C'est le cas de beaucoup de secteurs. Dès que quelqu'un est payé plus que le SMIC, c'est que son employeur tient à lui. Et étant donné que la majorité des français gagnent plus que le SMIC, on a en majorité des relations qui ne sont pas si déséquilibrées que cela.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 2.

    La loi (le plu qui doit d'ailleurs est conforme avec le SCOT (schéma de cohérence territorial)) essaye de trouver des orientations équilibrés pour le développement à long terme : que sera ma ville demain (bien avant comment créer 200 logements de plus qui sera une conséquence de ces choix.)Par exemple ne pas autoriser un promoteurs à faire 30 studios de 10 m2 dans un vieil hôtel, car pas de place pour se garer et si les transports en commun ne sont pas optimum, les gens qui travaillent loin et/ou en horaires décalés DOIVENT avoir une voiture : le quartier deviendra intenable, son attractivité baissera, les loyers diminueront (on s'en fout dans l'absolu), mais cela attirera une population aux revenus plus faibles, et ce quartier deviendra un coupe gorge. (scénario imaginaire mais probable.)

    Tu révèles la vrai nature des plans d'aménagements : protéger la valeur des logements des notables du coin. Tout le reste, "augmenter l'offre", "faire du social", "aider les plus pauvre", "aménagement urbain" ne sont que des prétextes. Je n'ai rien contre empêcher que la valeur des logements diminuent, sauf si cela se fait aux dépends de ceux qui ne sont pas propriétaires.

    PS : parler d'Haussman est assez gonflé, sachant que Paris a été construit pour les canons et que la centralisation française est entièrement due au pouvoir politique.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 1.

    C'est le principe du travail : vendre du temps contre de l'argent. Mais le temps est limité et défini. Ce n'est pas de l'esclavagisme, c'est une relation commerciale, qui implique certes plus un travailleur qu'un boulanger (et encore), mais c'est une relation consentie et librement arrêtable par le salarié. La subordination est limitée dans le temps et en amplitude (ton patron ne peut pas exiger n'importe quoi).

    Le salarié peut d'ailleurs tout à fait être en position de force, ex d'autres offres d'emplois, compétences clés. Comme tu peux être en relation de force avec ton boulanger, ou lui vis-à-vis de toi (si tu aimes trop les croissants). D'ailleurs, celui qui est coincé dans cette relation, c'est le patron. Marrant pour un "fort".

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 2.

    Le découpage en sous-problèmes est une technique nécessaire pour comprendre la complexité du monde. Sans ça, tu n'arriveras à rien, juste à de grands textes vides. Toute la difficulté est l'articulation de ces sous-problèmes, mais cela ne change pas la résolution d'un problème suffisamment indépendant des autres. Certes tout est lié, mais on ne peut rien faire si on refuse un minimum d'abstraction. Même considérer une personne humaine est une abstraction de 10¹⁴ cellules. Et même une cellule est une abstraction. Si tu ne considères pas des problèmes bien définis et à complexité limitée, tu ne peux rien faire, juste du blabla sans intérêt.

    Pour tes exemples, c'est assez amusant, la majorité de ces problèmes ont été créés par l'État, et sont loin d'être des marchés un minimum libre. Paris ? Si l'ensemble des hauts commandements des trois pouvoirs n'y était pas et si la politique des transports et culturelle française était mieux répartie sur le territoire, on n'aurait sûrement pas vu une telle concentration. La bulle immobilière ? Il faut chercher l'origine dans les taux bas des banques centrales. Désolé, mais le système qui a fait ses preuves, c'est un état concentré sur des tâches qu'il fait bien et qui laisse les personnes vivre leurs vies. C'est aux autres systèmes de montrer qu'ils sont efficace, mais si possible pas chez moi, je n'ai pas envie de jouer au cobaye.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 2. Dernière modification le 22 novembre 2012 à 00:23.

    Tu me fais un gros procès d'intention. Où as-tu vu que je ne voulais pas supprimer ce qui protège les puissants et les riches ? Pas de lutte de classe pour les lois stupides. Tes exemples ne me semblent pour beaucoup d'ailleurs plus des anecdotes que des vrais problèmes, désolé je considère que le logement en France est bien plus important que la vente liée, malgré le fait que j'ai cette pratique en horreur. Pour le reste, le marché ne vas pas tout résoudre plus efficacement qu'une action étatique. Juste la très grande majorité des cas. Dans les faits, cela se vérifie, mais il faut bien voir que très peu de domaines sont exempts de l'inflation réglementaire, et surtout pas le domaine souvent pris en exemple de l'échec du libéralisme, la finance.

    Pour revenir au cas présent, tu seras d'accord avec moi pour dire que la grande majorité des lois sur l'immobilier - sur protection des locataires avec absence de liberté de contracter, plan d'aménagements urbains empêchant de reconvertir des terres agricoles abondantes en logements dont on manque cruellement, limitation de la hauteur des bâtiments à Paris faisant que l'on ne peut pas construire dans la zone la plus demandée de France, voir d'Europe continentale, aides aux locataires faisant monter les prix du marché, aide aux plus riches via des lois type Scellier, réglementations massives augmentant grandement de coût de la construction et du coup faisant vivre d'avantage de personnes tassés dans de vieux appartements, etc - ont des effets négatifs avérés très important pour une efficacité au mieux faible ou non évaluée, mais souvent nulle ?

    On peut prendre les deux approches, soit d'une théorie générale du marché efficient sous conditions, soit des faits et des conséquences réelles des lois, on arrive à la même conclusion : il y a trop de règlements.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à -3.

    le faible du fort, le salarié de l'employeur, le locataire du propriétaire, l'enfant de l'adulte.

    Dans tes exemples, il n'y a que le dernier qui est une relation faible-fort, car l'enfant n'a ni les capacités ni les droits pour être a égalité avec un adulte. D'où une tutelle légale, les parents. Les autres sont des relations entre personnes de statuts différents, qui peuvent être dans certains cas à l'avantage du premier, dans d'autres à l'avantage du second. Mais pour équilibrer les relations on a inventé quelque chose de formidable (vraiment), c'est le transfert d'argent d'une partie à l'autre. La partie la plus forte demande plus, jusqu'à que l'autre partie dise stop. La somme ainsi décidée est le salaire ou le loyer d'équilibre. C'est exactement la même chose que quand tu vas acheter ton pain : tu n'es pas à égalité avec ton boulanger, mais si il te demande un euro pour ta baguette tu iras chez le voisin. Sans transfert, tu n'aurais eu comme solution que de lui casser la tête pour pouvoir le voler, ou apprendre à faire du pain toi même. Si les prix du logement augmentent trop, les gens ne peuvent plus payer, donc des appartements sont vides, donc les propriétaires des-dits appartements baissent leurs loyer pour les remplir, donc les loyer diminuent. C'est ça la vrai vie, pas une version édulcorée de la lutte des classes.

    Les relations commerciales entre humain forment en général un équilibre stable, à condition qu'un ensemble (très) minimal de règles soient respectées, comme l'existence d'une police et d'une justice permettant de forcer à respecter un contrat. Des exceptions existent, bien sur, c'est ce qui justifie l'existence de l'État, mais elles sont limitées. C'est ces relations tarifées qui forment le monde réel, pas les rêves de législation absolue. À chaque fois que tu met en place une loi, tu empêches une solution potentiellement bien supérieure d'émerger. On le voit avec la propriété intellectuelle. On le voit aussi avec les logements, dont le manque flagrant est la conséquence directe des lois sur la location, des APL et des plans d'aménagements locaux. Je t'invite à lire Sur les réglementations : Give Me A Break qui dresse un portrait général de l'état actuel de l'absolutisme législatif.

    Le paternalisme, c'est toi qui en est l'illustration en refusant de voir que les pauvres peuvent se défendre, et en leurs imposant une protection qui dans les faits les mets à la rue. Tu penses avoir la bonne conscience pour toi. Tu te trompes. Tu paves un enfer avec tes bonnes intentions. Laisse les gens trouver leurs solutions, ils feront mieux à 60 millions que 500 députés. La misère, je ne vois pas comment nos députés en auraient la moindre idée. Comment veux-tu des lois efficaces dessus ? Les seules qui puissent trouver des solutions à la misère, c'est ceux qui la vivent, ceux qui sont sur le terrain, dans des associations, pas Bercy qui décide d'augmenter les APL pour financer la hausse des loyers. Celui qui parle de misère cherche en général à s'aider lui-même, via des aides directes ou des protections de leurs fonds de commerce.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 2.

    Si tu ne sais pas gérer un budget, il y a une solution, c'est la mise sous tutelle. Cela se fait dans beaucoup de cas, et cela me semble bien plus sain que de faire un chèque en blanc au motif que la personne peut en avoir besoin, ou de présumer que toute personne est trop incompétente pour comprendre les implications d'un contrat locatif.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 1.

    C'est un tout autre problème, qui est celui de la la complétude des contrats, problème qui se pose aussi pour la loi, qui n'est pas exhaustive. Avoir un vrai contrat de location, c'est compliqué. Tout comme faire un contrat de licence de logiciel. Pour limiter le problème, on utilise des contrats tout faits, et on se base sur la loi qui règle un certain nombre de cas (harcèlement par exemple). C'est un problème très général et qui n'est pas particulièrement important dans le cas qui nous importe. Je n'ai aucun doute que si la location via des contrats privés est autorisée des contrats type seront en vente à faible coût, comme ils existent déjà actuellement pour la faible marge de manœuvre que l'on a dans les contrats locatifs.

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 2.

    Le choix qu'il n'a pas est de se mettre d'accord avec son futur locataire, en grandes personnes responsables, pour se dire "ok je te laisse ta chance, mais si tu ne me payes pas tu dégages". Ce choix là justement il ne l'a pas.

    Que cela soit bénéfique au niveau global, je ne sais pas. Par contre pour les deux personnes en question, ici Zenitram et son locataire, il aurait mieux fallut que cette loi ne s'applique pas à eux, car ils auraient pu conclure un accord plus avantageux pour les deux parties que ce qui se fera actuellement, ie le locataire reste dans la rue et Zenitram mange des pâtes car son appartement est vide..

  • [^] # Re: HS

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 3.

    On ne devrait pas avoir besoin de passer par les tribunaux pour virer quelqu'un qui ne paye pas. Un procès, c'est une procédure lourde, qui coûte cher à l'État et aux participants, et à l'issue toujours incertaine. Un locataire ne payant pas est un cas banal et qui doit être réglé rapidement et efficacement : comme pour tout service, si on ne paye pas, on ne profite pas. Les tribunaux seraient moins engorgés si on arrêtait de judiciariser tout et n'importe quoi.

  • [^] # Re: morale, commerce etc.

    Posté par  . En réponse au journal Logiciel libre, art libre et clause "NC". Évalué à 4.

    C'est un serpent de mer, et non un marronnier. Il ressort en effet à intervalles irrégulier, au contraire de marronniers comme les sorties d'Ubuntu.

  • [^] # Re: TL;DR

    Posté par  . En réponse au journal [bookmark] Ruby dans la presse. Évalué à 5.

    Justement, la différence entre cet article et les articles de patrick_g, c'est que patrick_g ne parle pas de people mais de relations entre les hackeurs du noyau. Je n'ai pas vu patrick_g parler longuement du compagnon d'un hackeur, ni de la recherche de l'identité de quelqu'un qui veut juste se faire oublier. C'est la même différence qu'entre la vie de Sarkozy et Carla et l'élection du président de l'UMP : l'un est people, l'autre non*.

    *: même si l'on peut tout à fait légitimement ne pas s'y intéresser.

  • [^] # Re: TL;DR

    Posté par  . En réponse au journal [bookmark] Ruby dans la presse. Évalué à 3.

    500 signes de vide, c'est long. Pour moi, Voici est plus long que Tolkien.

  • [^] # Re: Le néophyte et Gnome 3

    Posté par  . En réponse au journal GNOME, c'est Apple et Ubuntu c'est Android (Vendredi inside). Évalué à 2.

    Petit HS : le mode exposé peut facilement être configuré pour être activé avec la souris dans un bord, via Ubuntu Tweak.

  • [^] # Re: Au secours mirosoft

    Posté par  . En réponse au journal Après les PC sans Os, les PC sans disques durs?. Évalué à 3.

    Tout ce que je dis, c'est que les gens et les intérêts que Free essaye d'impliquer dans la bataille copie privée paraissent sensiblement plus puissants et influents que les fabriquants de DVD, mémoire flash, etc. Si universal peut impunément piétiner les plates bandes de Memorex ou Verbatim, il n'en est peut-être pas de même vis-à-vis de HP ou microsot. Si les exactions de la commission copie privée venaient à menacer le modèle d'affaire de ces grandes compagnies, je parie bien volontiers que l'état français serait gentiment conduit à réagir. C'est d'ailleurs vraisemblablement déjà les pressions amicales de ces mastodontes qui expliquent que les PC ne soient pas soumis à la gabelle jaunie.

    Des petits fabricants de baladeurs et téléphones genre Apple ou Samsung ? Si la taxe Universal est passée sans soucis sur ces objets, c'est parce que leurs usages était peu répandu au moment où la taxe a été votée, et la taxe alors peu importante. Après il n'y a eu plus qu'à augmenter progressivement les barèmes et attendre l'augmentation des capacités. Cf la grenouille et la marmite

  • [^] # Re: Système de Vérification Citoyenne des Machines (ou Serveurs)

    Posté par  . En réponse à la dépêche Petites actus sur le vote électronique (par ordinateurs de vote ou par Internet) (2). Évalué à 2.

    Tu n'as pas une usine à gaz plus compliquée sous le coude ? Et ça ne règle pas le problème de base : PERSONNE ne peut vérifier une machine informatique, sauf à coup vraiment prohibitif (microscope électronique et cie), surtout si tu dois vérifier l'ensemble des machines de l'ensemble des bureaux de vote de France et de Navarre.