oao a écrit 960 commentaires

  • [^] # Re: Cool

    Posté par  . En réponse au journal De la prédiction de l'auteur d'un journal sur linuxfr. Évalué à 1.

    On peut prouver sur beaucoup d'algos que le pire cas n'arrive que moins d'une fois toutes les X itérations en moyenne. C'est tout à fait acceptable qu'un ordinateur freeze 2s une fois tous les millions d'années :)

  • [^] # Re: Pas la même conclusion

    Posté par  . En réponse au journal [Humeur] Sondages et éditocrates, une histoire d’amour. Évalué à 1.

    Les parts fiscales sont surement mal calculées, ce qui biaise le quotient familial. Il y avait eu une note du Tresor dessus. Mais ce n'est qu'un problème technique, le quotient familial est profondément juste.

  • [^] # Re: Pas la même conclusion

    Posté par  . En réponse au journal [Humeur] Sondages et éditocrates, une histoire d’amour. Évalué à 1.

    Bien sûr, si les biens sont de même qualité ! Exemple la bulle immobilière a appauvrit les locataires car ils ont au final une capacité d'achat moindre. La richesse c'est avoir ce que l'on veut sur le plan matériel. Cela passe certes par le compte en banque et le prix des biens, mais aussi par le temps disponible, la capacité de choisir (meilleur produit pour prix équivalent), l'auto production, des légumes au débouchage d'évier, les goûts, etc. Avec le SMIC, un parisien a du mal à vivre, alors que dans certaines villes il peut épargner.

  • [^] # Re: Pas la même conclusion

    Posté par  . En réponse au journal [Humeur] Sondages et éditocrates, une histoire d’amour. Évalué à 2.

    En fait si, la richesse, la vrai, c'est le mode de vie, pas à l'instant t mais sur l'ensemble de la vie. Exemple un président est plus riche que son revenu, car il a tout payé par l'état. Les biens mis en communauté sont une richesse pour tous. Être obligé de garder des liquidités pour affronter les coups du sort nous appauvrit : c'est le cout de la précarité. Ce n'est pas vivre au jour le jour qui nous rend riche, mais pouvoir dépenser aujourd'hui et demain.

    J'irai même jusqu'à dire que la vrai richesse c'est de pouvoir s'offrir ce que l'on apprécie ou, ce qui dans un sens revient au même, apprécier ce que l'on peut s'offrir, mais cela devient trop philosophique pour moi ;)

  • [^] # Re: Pas la même conclusion

    Posté par  . En réponse au journal [Humeur] Sondages et éditocrates, une histoire d’amour. Évalué à 1.

    Le peuple ne répond pas financièrement de leurs modes de vie ! Ils font un choix, ce choix les rend moins riches, leur taux d'imposition diminue donc, car l'impôt est progressif en France. Rien d'autre, ce n'est pas une subvention !

    C'est exactement le même cas que si une personne décide d'arrêter son travail bien payé pour élever des chèvres : son revenu diminue, son taux d'imposition également. Si le taux d'imposition progresse quand les revenus (par part fiscale) augmentent, il doit diminuer quand les revenus diminuent, comme quand un enfant arrive.

    Je n'arrive pas à comprendre comment on peut être contre le quotient familial et pour la progressivité de l'impôt. Ou alors soit vous, soit moi (ce que je n'exclut pas), avons mal compris le quotient familial.

  • [^] # Re: Pas la même conclusion

    Posté par  . En réponse au journal [Humeur] Sondages et éditocrates, une histoire d’amour. Évalué à -2.

    Et pourquoi un enfant coûte différemment suivant le le revenu des parents?

    Bienvenue dans le monde réel. Prix d'une chambre supplémentaire plus important chez les plus riches car meilleurs quartiers, prix d'une nourrice car (en moyenne encore) les parents travaillent d'avantage, cout de transport lors des vacances, plus dispendieuses pour les riches, etc. Bien sur les parents pourraient se priver, mais ils ne seraient alors plus riches ! Le cout doit être calculé à niveau de vie constant, c'est sur que si les parents quittent leur appart dans le XVIième pour la banlieue lointaine leur enfant ne va pas couter d'avantage que pour une personne plus pauvre.

    L'un mérite une aide de la société, pas l'autre.

    Ce n'est pas une aide, c'est la progressivité de l'impôt, je te renvoie à mon autre commentaire Texte du lien

  • [^] # Re: Pas la même conclusion

    Posté par  . En réponse au journal [Humeur] Sondages et éditocrates, une histoire d’amour. Évalué à 1.

    C'est ce principe même qui crée des inégalités apparentes de réduction d'impôt. Petit scénario (les taux d'imposition sont faux, la flemme de chercher les vrais) :

    On a deux familles, une riche, une pauvre. Deux fratries: la famille ne compte qu'un seul membre (célibataire) ou conjoins+deux enfants. Deux politiques : avec ou sans quotient. On cherche une situation où l'impôt est bien progressif. Petit calcul de taux d'imposition :

    Avec quotient             Célibataire 1   Famille 1   Célibataire 2   Famille 2
    Revenu/an                 16 000 €        16 000 €    50 000 €        50 000 €
    Nombre de part fiscale    1               3           1               3
    Taux d'imposition moyen   25%             22%         30%             28%
    Revenu net                2000            12480       35000           36000
    Revenu par part fiscale   12000           4160        35000           12000
    
    
    Sans quotient             Célibataire 1   Famille 1   Célibataire 2   Famille 2
    Revenu/an                 16 000 €        16 000 €    50 000 €        50 000 €
    Nombre de part fiscale    1               3           1               3
    Taux d'imposition moyen   25%             25%         30%             30%
    Revenu net                12000           12000       35000           35000
    Revenu par part fiscale   12000           4000        35000           11666,66667
    
    

    La famille 2 profite d'avantage du quotient familial que la 1, même si ici elle n'économise que 2% de taux moyen d'imposition alors que la 1 économise 3%. Mais comme elle est d'avantage taxée, le total est supérieur.

    Ce qu'il est intéressant de comparer est le célibataire 1 et la famille 2: ils ont les même revenus net par part fiscale et pourtant la famille est bien plus taxée que le célibataire. Le quotient familial sert à limiter ce déséquilibre. Ma famille 2 n'est pas plus riche que le célibataire 1, mais la famille est comptée artificiellement comme foyer plutôt aisé, alors que le célibataire est comptée comme classe moyenne, sans que cela ne corresponde à la réalité.

    Le quotient familial est intimement lié à la progressivité de l'impôt, et il cherche à l'améliorer, en ne considérant plus les revenus par travailleur mais les revenus par part fiscale. Il n'est surement pas parfait, la notion de part fiscale est surement à approfondir, mais le principe est bon.

  • [^] # Re: Pas la même conclusion

    Posté par  . En réponse au journal [Humeur] Sondages et éditocrates, une histoire d’amour. Évalué à 2.

    Le quotient familial est aussi une affaire de justice : un célibataire gagnant X euros est trois fois plus riche que quelqu'un ayant trois parts fiscales pour le même revenu (un conjoint et deux enfants par exemple), il est donc normal avec un impôt progressif qu'il soit d'avantage taxé, ou ce qui revient au même que le père de famille soit moins taxé. Ce n'est pas de l'argent donné, c'est de l'argent qui n'est pas prélevé car on se rend compte que l'on est moins riche avec une famille à charge que seul.

  • [^] # Re: Absolument pas spécifique aux commentateurs politiques, malheureusement...

    Posté par  . En réponse au journal [Humeur] Sondages et éditocrates, une histoire d’amour. Évalué à 3.

    C'est un communiste modéré : lors des futures purges mélenchoniennes, il sera contre la condamnation à mort des libéraux après leurs mea culpa publiques.

    ;-)

  • [^] # Re: Pas sûr...

    Posté par  . En réponse au journal [HS] Hacker le problème du logement. Évalué à 1.

    Les militaires.

  • # ;-)

    Posté par  . En réponse au journal Émoticons d'outre-tombe. Évalué à 8.

    Lol je suis ptdr par ton journal ils sont ouf :O allez :-* ++

    :-P

  • [^] # Re: Non mais osef quoi !

    Posté par  . En réponse au journal Un bug de uClibc bloque le passage à l’heure d’été des box ADSL de Free et Orange. Évalué à 4.

    J'ai répondu à ton commentaire bookmark, un copier/coller de ma réponse :

    Des chiffres sans comparaisons ne veulent rien dire. Un gain de 440 GWh/an est tout à fait négligeable pour un pays tel que la France, pour rappel la consommation est de l’ordre de 500TWh/an, soit 1000 fois plus. Les économies réalisées sont donc de l’ordre du millième, soit tout à fait négligeables. Le cout est lui, et contrairement à ce que vous dites, non nul, mais ce n’est pas l’État qui le paye, mais tout un chacun en perdant du temps, en déréglant son horloge biologique, en complexifiant les systèmes traitant les heures. Le changement d’heure ne sert à rien et n’est conservé que pour des raisons historiques.

  • [^] # Re: Puérile!!!

    Posté par  . En réponse au journal La pâtée pour chats est-elle un bienfait ?. Évalué à 3.

    Et pour les moustiques ou les poux, tu fais comment ? Deux poids deux mesures ? Est-ce que tu peux l'assumer ?

  • [^] # Re: À Paris

    Posté par  . En réponse au journal [HS] Les bidonvilles aux portes de Paris. Évalué à 2.

    Ce surnom date des débuts du projet, car le concept était très novateur. L'unité d'habitation est maintenant parfaitement acceptée par ses habitants, et même chaudement supportée - enfin quand elle ne brule pas, mais c'est une autre histoire.

  • [^] # Re: À Paris

    Posté par  . En réponse au journal [HS] Les bidonvilles aux portes de Paris. Évalué à 6.

    Au contraire, on construit le nouveau Pentagone français en plein cœur de Paris, au lieu de faire des logements. Et tant pis pour les militaires qui n'arriveront pas à se loger, le ministre sera à moins d'une demi heure de ses généraux. Les politiques aiment beaucoup trop Paris pour déménager.

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  . En réponse au journal Journée de la femme : frustration et marketing. Évalué à 2.

    Au contraire, Obama s'était plaint des quotas de noir à Harvard car cela crée un a-priori de favoritisme et non forcément de compétence pour tous les noirs de l'université.

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  . En réponse au journal Journée de la femme : frustration et marketing. Évalué à 2.

    Les femmes médecins de l'étude bossent aussi comme des malade, selon les critères communément admis, mais moins que les hommes médecins. Je n'ai pas les chiffres pour 2010, si tu les trouves ce serait intéressant.

    Pour les informaticiens je doute que des quotas améliore les mentalités. Pour moi cela risque plus de créer une atmosphère de favoritisme insupportable, tant pour les hommes que pour les femmes, et aggraver la situation. As-tu un exemple de politique de quota qui a donné des résultats positifs ? Le mieux serait un cas où un pays similaire n'a lui pas adopté la politique de quotas, même si c'est beaucoup demandé :)

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  . En réponse au journal Journée de la femme : frustration et marketing. Évalué à 4.

    Le problème en informatique n'est pas que les entreprises ne veulent pas de femmes, mais que les femmes ne veulent pas faire de l'informatique. C'est pour moi le problème de base. Un quota n'aurait comme effet que de favoriser beaucoup trop la petite minorité, et ce de façon injuste par rapport à un homme dans la même situation.

    Pour la médecine , selon ce document :

    Un premier niveau d’appréhension des disparités sexuées réside dans la
    répartition des femmes par type de spécialité : les femmes sont surreprésen-
    tées dans les spécialités médicales « relationnelles », en dermatologie
    (61 %), gynécologie médicale (88 %) et en pédiatrie (56 %), alors qu’elles
    accèdent moins facilement aux spécialités médicales faisant appel aux
    appareillages techniques (Chabaud-Rychter et Gardey, 2002) ; en cardio-
    logie, par exemple, elles ne dépassent toujours pas la barre des 15 %
    (Simon et Niel, 1999). De même, leur place dans les spécialités chirurgica-
    les demeure très symbolique ; moins de 5 %. L’exemple de la chirurgie
    – spécialité prestigieuse et relativement bien rémunérée – permet de penser
    que les femmes continuent de faire les frais des stratégies masculines
    d’exclusion (Allen, 1988 ; Crompton et al., 1999), mais il traduit également
    des « choix » effectués par les femmes elles-mêmes, notamment en matière
    de gestion de l’interface travail-famille (Crompton et Le Feuvre, 1997).

    On a aussi dans le même document le fait que les femmes médecin travaillent moins que les hommes (six heures de moins quand même), et moins en libéral, qui est plus rémunérateur. Résultat final un homme médecin gagne en moyenne deux fois plus qu'une femme médecin. C'est injuste ? Pas du tout, c'est des choix parfaitement consentis en connaissance de cause. Ce qui serait injuste c'est qu'une dermatologue gagne systématiquement plus à l'heure qu'un dermatologue, ou qu'une femme n'ai besoin que d'être classée que 1000ième à l'internat pour faire chirurgie à Paris alors qu'un homme doive être classé 400ième.

    Maintenant montre moi que le cas général est différent de celui là, ie que l'on a pas un vrai choix de professions moins chronophages et "difficiles" par les femmes. On a une expérience parfaite, qui montre que ce sont les choix qui déterminent l'orientation, et non le genre, qui n'intervient qu'indirectement via le conditionnement.

    Pour les quotas, je ne crois pas un seul instant que si ils sont instaurés ce sera politiquement possible de revenir dessus. Cela deviendra un acquis social (ie réclamé comme tel). D'autant qu'il faudrait des générations de test, pour un cout énorme, et un gain hypothétique. Pour moi c'est overkill ;)

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  . En réponse au journal Journée de la femme : frustration et marketing. Évalué à 0.

    Le soucis lorsque l'on part dans cette direction, c'est que l'on se met à supposer que les individus ne font pas par défaut le bon choix, et donc on décide ce qui est bon pour eux. Le fait de penser que pour son enfant la filière Y est suffisante n'est pas qu'une question de genre, mais aussi de niveau social, d'éducation, de lien entre Y et le monde connu des parents, etc. C'est sur l'éducation et la lutte contre le machisme qu'il faut agir, pas à posteriori. Dans ton deuxième exemple ce qui est manquant c'est une bonne transparence, qui mettrait les responsables face à leurs agissements. Pas que l'on décrète que dans toutes les boites d'ingénieur la parité doit être respectée.

    Je te renvoie à ce commentaire pour le fait que les femmes peuvent en moyenne, dans certains cas, dans les mêmes conditions que les hommes, choisir des métiers moins rémunérateurs, le tout dans une situation idéal d'un point de vue qualité de l'expérience. Discute avec des femmes devant faire des choix de carrière, tu verras qu'elle n'ont, encore une fois en moyenne, réellement pas les mêmes priorités que les hommes. Conditionnement ? Sûrement. Mais une fois qu'il est intégré, c'est trop tard pour faire marche arrière, il faut en tenir compte, il fait parti des gens. C'est avant qu'il faut agir.

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  . En réponse au journal Journée de la femme : frustration et marketing. Évalué à 3.

    Je parlais au niveau des spécialités de médecine, et non en général.

    Selon une étude du point : (moyen,bas,haut):

    Pédopsychiatre 42 810 € 31 980 € 62 560 €
    Endocrinologue 44 557 € 38 051 € 49 300 €
    Gynécologue médical 51 458 € 41 545 € 59 216 €
    Psychiatre 56 151 € 54 951 € 59 925 €
    Pédiatre 58 531 € 53 012 € 71 323 €
    Médecin interniste 59 451 € 58 379 € 60 493 €
    Médecin généraliste 60 907 € 61 380 € 57 577 €
    Neurologue 62 629 € 57 471 € 76 553 €
    Dermatologue 62 965 € 57 391 € 71 754 €
    Médecin rééducateur 63 660 € 53 780 € 80 902 €
    Pneumologue 63 960 € 64 027 € 63 598 €
    Rhumatologue 64 772 € 62 706 € 67 839 €
    Gynécologue-obstétricien 72 156 € 56 728 € 89 736 €
    ORL 75 413 € 68 432 € 81 875 €
    Gastro-entérologue 80 400 € 75 993 € 89 078 €
    Chirurgien cardiaque et thoracique 84 899 € 69 284 € 96 255 €
    Chirurgien maxillo-facial 84 956 € 80 139 € 87 318 €
    Néphrologue 85 011 € 86 615 € -
    Chirurgien digestif 92 367 € 62 376 € 102 200 €
    Cardiologue 92 560 € 92 828 € 91 234 €
    Anatomo-pathologiste 93 218 € 89 168 € 125 802 €
    Oncologue médical 94 059 € 95 005 € 92 600 €
    Ophtalmologue 99 718 € 81 554 € 119 849 €
    Stomatologue 100 558 € 95 315 € 109 766 €
    Chirurgien vasculaire 100 729 € 85 893 € 106 700 €
    Neurochirurgien 101 307 € 69 753 € 113 443 €
    Chirurgien général 106 410 € 69 752 € 127 442 €
    Chirurgien urologue 112 930 € 81 818 € 122 703 €
    Chirurgien orthopédique 116 668 € 75 703 € 131 423 €
    Anesthésiste-réanimateur 121 170 € 112 071 € 154 213 €
    Radiologue 126 414 € 124 558 € 146 687 €
    Chirurgien esthétique et plasticien 129 612 € 111 985 € 131 630 €
    Radiothérapeute 137 122 € 135 266 € -
    Médecin biologiste 138 861 € 140 261 € -
    Spécialiste de médecine nucléaire 157 247 € 155 939 € -

    Un chirurgien ou un anesthésiste ont des responsabilités et une charge de travail bien supérieure à un psychiatre (et non, cela ne sort pas d'une étude, mais de connaissances proches médecins).

    J'aime bien la médecine car c'est un cas simple, où un ensemble de personnes s'auto-discriminent en travaillant ou non pour l'internat, et en choisissant une spécialité. Pas de chichis, pas de doutes sur la compétence, pas de piston, un système simple, où l'on voit que par exemple la gente féminine va vers des spécialités moins rémunératrices et moins chronophages. Ce que je ne sais pas, c'est si elles vont vers le moins chronophage, ou vers le moins rémunérateur. Dans le deuxième cas, pas directement bien sûr, mais en étant par exemple moins motivé pour leurs choix et études.

  • [^] # Re: Antitrust

    Posté par  . En réponse au journal Google la croque-t-il ?. Évalué à 4.

    Comme Microsoft était l'éditeur d'un navigateur web parmi d'autres. Ils sont dans une position dominante, même si ils ne sont pas forcément seuls sur le marché.

  • # Antitrust

    Posté par  . En réponse au journal Google la croque-t-il ?. Évalué à 3.

    Personnellement je trouve la situation puante, tant chez Apple que chez Google, si ils imposent une telle mesure. La commission européenne ou la federal trade commission ne risquent pas de mettre leurs nez dans ces affaires ?

  • [^] # Re: Moui, moui...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Projet numérique du Front de Gauche. Évalué à -1.

    Et après les militants du FdG s'étonnent qu'on les renvoient dos à dos avec ceux du FN. Les principes de bases sont différents (quoique), mais dès qu'on pousse le raisonnement on arrive à des mesures similaires.

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  . En réponse au journal Journée de la femme : frustration et marketing. Évalué à 3.

    Les inégalités à l'arrivé, que ce soit par genre ou par origine perçue, ne sont qu'un thermomètre, disant que le processus n'est pas équitable, car il n'y a pas à priori de différences de capacités. Il faut lutter sur les causes et non trafiquer le thermomètre. Non équitable n'est pas uniquement subjectif, c'est le fait que deux personnes différentes ayant fait les mêmes efforts (réels) et les mêmes choix ont la même espérance de gain. On a une situation où par conditionnement deux populations ne font pas les mêmes choix, on arrive forcément à deux situations différentes. Cela ne nous dis rien sur le fait que le processus est équitable ou non. Maintenant traiter à l'arrivé entraîne forcément un processus non équitable. Sans preuves supplémentaires j'ai du mal à croire que la situation c'est améliorée.

    Exemple pour les médecins : le choix à l'internat se fait uniquement selon les résultats à des épreuves anonymes. Si les hommes choisissent plus de spécialités rémunératrice (et chronophages, il ne faut pas rêver c'est lié) que les femmes, c'est bien par choix des uns et des autres. Mettre des quotas serait non équitable, car un homme devrait travailler plus pour avoir le même résultat.

  • [^] # Re: Discrimination positive

    Posté par  . En réponse au journal Journée de la femme : frustration et marketing. Évalué à 3.

    Des vrais moyens pour les zones défavorisées en éducation et en culture, des politiques d'urbanisation et qui prenne en compte la totalité du pays et non que le Paris intramuros et les banlieues riches, des luttes contre les discriminations directes, de la comm' (et oui), dans les deux sens, ie contre les discriminations mais aussi pour montrer que chacun peut choisir un métier quel que soit son genre et son origine ethnique, c'est pas les choses à faire qui manques. Yaka. Les quotas, c'est juste une manière de cacher le problème en traficant directement le thermomètre, qui est par exemple le taux de féminisation ou le pourcentage de telle minorité ethnique.