Antoine a écrit 5722 commentaires

  • # déjà vu

    Posté par  . En réponse à la dépêche Projet de traduction de Squeak en Français. Évalué à -8.

    Squeak intègre en outre une impressionnante bibliothèque de composants logiciels pour utiliser Internet (serveur web, wiki, IRC, FTP, HTML), du multimédia (synthèse vocale, vidéo, dessin vectoriel/bitmap, programmation graphique et interactive, reconnaissance vocale, environnement interactif 3D, présentation interactive) et bien sûr du développement objet en Smalltalk.

    Squeak peut être utilisé comme une application (c'est en fait une machine virtuelle) ou bien en plugin dans votre navigateur Web.

    Il tourne sur la majorité des environnements dont GNU/Linux, BSD, Windows, Mac,...


    C'est un peu comme MultiDeskOS alors ?
  • # faux espoir

    Posté par  . En réponse au journal Licences GNU : le paradigme de la tour de Babel. Évalué à 3.

    Autant je me réjouis que la FSF France va prochainement publier une traduction officielle de la licence GNU GPL (http://fsffrance.org/gpl/gpl.fr.html(...(...)) )

    Ha ha. Heu, regarde la date de mise à jour de la page (tout en bas).
  • # awstats

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de phpMyVisites 1.2. Évalué à 1.

    Je conseille fortement awstats. Les statistiques sont fort complètes, et la détection des moteurs de recherche et autres robots est très à jour.

    Autre avantage d'awstats : c'est en Perl, on peut donc utiliser le truc en téléchargeant simplement le source et en l'appelant depuis une crontab utilisateur. Pas de compilation à faire ni de dépendances à résoudre.

    http://awstats.sourceforge.net/(...)
  • [^] # Re: mouaif

    Posté par  . En réponse au journal iMac G5. Évalué à 4.

    De plus les Macs ne sont pas des machines x86 et ça aussi c'est reposant.

    C'est fatigant le x86 ? Tu regardes passer les octets du jeu d'instruction sur le bus de données du CPU et tu te dis "purée, ce serait plus reposant si c'était du PowerPC" ?? Franchement, qu'est-ce qu'il faut pas lire.

    mais je trouve que quand tu teste un PowerPC (Mac), un sparc (Vieille Station Sun), ou un MIPS (Playstation2), tu trouve vite que le x86 c'est vraiment bof niveau performance

    Ohlala, quel tissu d'âneries. N'importe quelle station à base de processeurs Sparc se fait exploser par un PC moderne. Faut arrêter la moquette, là. Déjà quand j'étudiais, les SparcStation 5 étaient largement plus lentes que les Pentium bon marché d'à côté.
    (évidemment, si tu compares un serveur Sun multi-cpu à 100000 euros avec un PC acheté rue Montgallet, ce sera pas la même chose non plus. Mais bon)
  • [^] # Re: mouaif

    Posté par  . En réponse au journal iMac G5. Évalué à 3.

    Il y a aussi l'aspect psychologique. Vu qu'il n'y a qu'un seul fabricant, c'est lui qui ordonne le rythme.

    Tu es en train de nous dire que tu es prisonnier d'un fabricant et que trouves ça rassurant. C'est bien :)

    Vu qu'il n'y a qu'un seul fabricant, c'est lui qui ordonne le rythme. On assiste pas à une course au Mhz comme entre Intel et AMD.

    T'as raison, la concurrence, le progrès technique, bénéficier d'offres compétitives, c'est un peu fatigant. Un fabricant unique comme dans les pays de l'Est, c'est la garantie de la tranquilité. Moi je me demande à ce qu'Amstrad obtienne un monopole d'Etat sur la fabrication d'ordinateurs, on utilisera tous des CPC boostés à 16 MHz vendus 3500 euros pièce, avec le look Amstrad et la simplicité du lecteur de disquettes 3 pouces intégré (*) que demander de plus ?

    (*) en option pour les plus exigeants, un combo lecteur DVD - enregistreur de disquettes
  • # poetic license

    Posté par  . En réponse au journal Conseil de guerre 143ll3c4U3lle -. Évalué à 2.

    Moi je préfère la Licence Poétique. Au fait t'as eu ton job ?
  • [^] # Re: qui a crée la taxe sur les supports numériques déjà ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Colloque « P2P : culture et information pour tous ? ». Évalué à 3.

    - le droit de l'auteur à vivre de sa création

    C'est un droit certes, mais ça ne doit pas devenir une obligation qu'impose l'Etat aux citoyens. On oublie un peu vite, par exemple, que la plupart des écrivains ne vivent pas de leur plume. Ainsi l'injonction du "droit de l'auteur à vivre de sa création", qu'on voudrait nous faire croire immémorial, est en fait une antienne très récente qui me semble favorisée par une confusion à la mode entre la notion de droit fondamental et une conception sentimentaliste de la justice sociale. Un peu comme les "droits de la victime" (pourquoi la victime aurait-elle des droits spécifiques ? pourquoi l'auteur aurait-il un droit spécifique à vivre de sa création, et pas le charpentier ?).
  • [^] # Re: Affligeant

    Posté par  . En réponse à la dépêche Internet et le Libre dans l'Huma Hebdo. Évalué à 2.

    Dans ce domaine on démontre la marche en marchant, on démontre l'alternative viable des LL par la réalité.

    C'est ce qu'on appelle "la propagande par le fait".
    http://www.google.fr/search?q=%22propagande%20par%20le%20fait%22&am(...)
  • # Treecc

    Posté par  . En réponse à la dépêche Utiliser lex et yacc dans vos programmes C/C++. Évalué à 4.

    Sans l'avoir jamais utilisé, il me semble qu'il y a une alternative très intéressante à lex et yacc (ou plutôt flex et bison) qui s'appelle treecc.

    http://www.southern-storm.com.au/treecc.html(...)
  • [^] # Re: Enfin du nouveau!!!

    Posté par  . En réponse à la dépêche IBM-SCO: IBM offre son baptême du feu à la GPL. Évalué à 8.

    La seule question qui se pose est : la clause qui oblige à redistribuer le code lié/ajouté sous license GPL est elle abusive ou non? La réponse n'est pas évidente, puisqu'il s'agit d'obliger un auteur à distribuer son oeuvre sous une license donnée.

    Pas du tout. L'auteur a le droit de distribuer son oeuvre sous la licence qui lui plaît. Mais uniquement son oeuvre à lui. S'il veut distribuer des morceaux d'une autre oeuvre créée par un auteur A, il faut qu'il ait l'autorisation de A, et la licence dit que l'auteur donne l'autorisation si et seulement si l'oeuvre dérivée, dont A est de facto co-auteur, est sous GPL.

    Le point important est : l'auteur de l'oeuvre originale est aussi co-auteur de l'oeuvre dérivée. Il faut donc son autorisation avant d'en faire quoi que ce soit. La GPL codifie une fois pour toutes les droits qu'un auteur accorde sur son oeuvre, que ce soit l'oeuvre originale ou toute oeuvre dérivée.
  • [^] # Re: Le commencement est le format

    Posté par  . En réponse à la dépêche Est-ce que le logiciel doit prendre en otage les données ?. Évalué à 2.

    Les formats OOo sont les formats standards/normalisés de bureautique qu'on attendait depuis des années.

    Bof. Je ne crois pas que les formats OOo donnent beaucoup de renseignements sur la structure des documents. Par exemple, ils ne disent pas "ceci est un sous-titre" mais "ceci est une ligne de texte affichée en Garamond gras corps 19".

    Le HTML aurait été meilleur, mis à part ses limitations intrinsèques.
  • [^] # Re: Coup d'épée dans l'eau

    Posté par  . En réponse à la dépêche Est-ce que le logiciel doit prendre en otage les données ?. Évalué à 2.

    Cela dit, on te demande pas de lire shakespear dans le texte, d'ailleurs j'aimerais bien savoir quelle proportion d'americain sont capables de lire shakespear..

    Shakespeare, ce n'est pas l'équivalent anglais de Proust, il utilise un langage relativement simple et populaire. Je pense que la difficulté se compare assez à celle de Molière.

    Faulkner et Joyce doivent être beaucoup plus ardus (déjà en français...).
  • # Un peu de bibliographie

    Posté par  . En réponse à la dépêche Est-ce que le logiciel doit prendre en otage les données ?. Évalué à 5.

    Je cite : « est-ce que votre logiciel favori peut vous prendre en otage, vous et vos données ? ». La question a déjà été posée à l'identique, un peu de bibliographie ne fait pas de mal ;)

    - A qui appartiennent vos données ? : http://www.libroscope.org/A-qui-appartiennent-vos-donnees(...)
    - 1 - Standards ouverts, 2 - Logiciels libres :
    http://www.libroscope.org/1-Standards-ouverts-2-Logiciels(...)
  • [^] # Re: Attention tout de même

    Posté par  . En réponse à la dépêche Cachez ce lien que je ne saurais voir. Évalué à 7.

    Lorsqu'un visiteur arrive sur une page qu'on ne veut pas voir en accès direct il suffit de vérifier si l'URL d'où il vient est une URL du site ou pas. Si ce n'est pas le cas, redirection vers la page d'acceuil comme le font beaucoup de site. Simple et suffisant.

    Non, pas du tout. Le champ Referer en HTTP est optionnel, se baser dessus pour interdire l'accès à un contenu est un détournement du protocole et entraîne des incompatibilités.

    (il y a par exemple de nombreux utilitaires de protection de la vie privée qui suppriment ce champ)
  • # Pétard mouillé

    Posté par  . En réponse à la dépêche Cachez ce lien que je ne saurais voir. Évalué à 10.

    Sur quel socle juridique s'appuie cette "interdiction" ?...

    - Le droit d'auteur ? Il faudrait déjà considérer une URL comme une oeuvre de l'esprit, et puis il me semble que le droit de courte citation s'applique très raisonnablement.

    - Le droit des marques ? Il n'interdit pas, à ma connaissance, de citer un nom en matière de référence à l'objet qu'elle désigne. Même si "Microsoft Windows" est une marque, j'ai le droit de l'utiliser dans un article parlant de Microsoft Windows.

    - Le respect de la vie privée ? Un site Web comme celui des Jeux Olympiques est manifestement une publication, pas une communication privée.

    - Le droit des brevets ? British Telecom n'a pas réussi...

    Une URL est comme une référence bibliographique ou l'adresse postale d'un service public, je vois mal ce qui pourrait fonder devant un tribunal une telle interdiction.
  • [^] # Re: economie + LL = bouleversement de l'economie de l'informatique

    Posté par  . En réponse à la dépêche De l'économie et de l'open source. Évalué à 2.

    IBM est un editeur qui s'est transforme en SSII et qui vit bien du logiciel libre.

    Heu... IBM est loin de ne vivre que du libre, hein.

    Nous sommes en train d'assister a une revolution dans l'economie de l'informatique avec la fin des editeurs de logiciels proprietaires

    T'y crois vraiment ?
  • [^] # Petite devinette...

    Posté par  . En réponse à la dépêche De l'économie et de l'open source. Évalué à 5.

    Qui a dit en 2002 :

    « En l'état du dossier, la brevetabilité des logiciels ne peut être adaptée au niveau européen pour des raisons techniques, juridiques et stratégiques.
    Techniques, parce qu'un logiciel est un objet complexe qui rassemble des milliers d'idées élémentaires dont il est très difficile de s'assurer qu'elles n'ont pas chacune déjà été utilisées. Les offices d'attribution des brevets ne pourront pas faire d'enquêtes d'antériorité complètes.
    Juridiques, car nous devons éviter pour l'Europe un système de brevet à l'américaine, où les brevets sont très facilement accordés, charge aux avocats de régler les contentieux, et dans lequel les petites entreprises, faute de moyens financiers, ne peuvent pas se défendre vis-à-vis des grosses.
    Stratégiques, car ils font peser le risque de la vassalisation de l'Europe en matière de technologies logicielles. Le système proposé par la Commission comporte ainsi des risques forts de bridage de l'innovation.


    [...]

    Je l'ai dit plus haut, je souhaite éviter toute dérive qui conduirait à une multiplication des dépôts de brevets dans des domaines où elle aurait pour conséquence de paralyser l'innovation, la concurrence et par-là même la diffusion de technologies de l'information. C'est pourquoi le projet de directive européenne sur la brevetabilité des logiciels n'est pas acceptable. »

    Réponse : un ami de la concurrence, de l'innovation et de l'indépendance nationale
    http://tinyurl.com/5kgmp(...)
  • [^] # Jeux video et bénévolat

    Posté par  . En réponse à la dépêche De l'économie et de l'open source. Évalué à 6.

    Il y a un cas particulier d'après moi: les jeux videos, leurs développement et long et ne fais pas appèle cas des compétence purement technique mais aussi "artistique" qui selon moi dois être rémunéré pour garder une certaine qualité. Quel groupe indépendant pourrait développer à faible cout des jeux comme Unreal Tournament ou NeverWinter Nights ?

    Ce n'est pas un problème de rémunération mais de motivation et d'acceptation de décisions arbitraires. Le coût de développement ne devrait pas être un problème en soi ; d'ailleurs même il y a dix ou quinze ans, alors que la production d'un jeu demandait des ressources beaucoup plus modestes, je ne me souviens pas qu'il y ait eu un grand nombre de "bons" jeux réalisés bénévolement.

    Dans la plupart des projets logiciels libres, il y a une ou plusieurs personnes qui acquièrent une autorité morale (qui va dans certains cas jusqu'à la dictature éclairée : cf. noyau Linux). Cette autorité est assez bien acceptée car elle se fonde sur des critères relativement objectifs et eux-mêmes communément acceptés : capacité à faire du bon code, à prendre de bonnes décisions de génie logiciel. Voilà des compétences sur l'évaluation desquelles les avis ne divergent pas souvent.

    D'autre part les désaccords peuvent souvent se régler par le consensus et le compromis : je merge un patch avec un autre, j'enlève tel détail et fais quelques modifs pour me conformer à la sémantique du programme.

    Dans un domaine artistique, ces mécanismes ne fonctionnent plus. D'abord il n'y a pas de critères communément admis pour dire qu'une proposition est meilleure qu'une autre : on entre dans le domaine de la subjectivité, de la sensibilité et du ressenti, qui sont propres à chacun. Ensuite il n'est pas souvent possible de dégager des compromis en "patchant", car cela détruit la cohérence et la directivité de l'oeuvre : il n'est pas souhaitable par exemple de prendre un bout de scénario et de le coller dans un autre, sans souci de l'unité de temps, de la couleur générale, etc.

    C'est là qu'intervient la distinction bénévole / rémunéré (et non pas libre / propriétaire : certaines boîtes font du jeu libre rémunéré, cf. Nevrax et Mekensleep).

    Dans un projet bénévole, un scénariste ou un graphiste qui voit son travail, ou ses idées, repoussés pour des raisons arbitraires (puisqu'entièrement subjectives), perd toute sa motivation. En effet très peu de participants à des projets libres le font pour des raisons réellement idéologiques ("je vais donner de ma personne"), la majorité sont là parce que le projet en tant que tel leur plaît. Il en résulte qu'il est extrêmement difficile d'assurer la cohérence artistique (*) d'un projet bénévole, parce que 1) soit on essaie d'accomoder tout le monde et on se retrouve avec un patchwork innommable 2) soit on prend des décisions dures et on se retrouve vite avec un projet sans contributeurs.

    (*) même au niveau du code, certains d'entre vous doivent savoir que ce n'est pas facile ;)

    Dans un projet commercial, la rémunération se décide en échange de la soumission à une hiérarchie fixée d'avance. C'est cette hiérarchie qui légitime les décisions prises (elles restent objectivement arbitraires, mais elles deviennent légitimes). Donc le système peut fonctionner : si un scénariste A et un scénariste B font deux propositions contradictoires, le chef de projet tranchera dans le lard en choisissant par exemple la proposition du scénariste A. Mais le scénariste B, même s'il est temporairement vexé, continuera à jouer le jeu car la rémunération constitue une incitation externe à ne pas partir. La cohérence du projet peut être assurée sans mettre à mal les ressources humaines.
  • [^] # Re: Il n'y a pas que les logiciels dans l'informatique

    Posté par  . En réponse à la dépêche De l'économie et de l'open source. Évalué à 1.

    Je serais curieux de savoir en quoi ID Software a "une philo proche du libre"... ??
  • [^] # Re: A lire sur le même sujet

    Posté par  . En réponse à la dépêche De l'économie et de l'open source. Évalué à 4.

    J'ajoute que les exemples qu'il donne sont malhonnêtes. Il énonce une série de "mythes" qui n'en sont pas (il est le seul à y croire) et les réfute par une série de "vérités" qui souvent n'en sont pas plus. Par exemple jamais personne n'a cru que "Lou Gerstner [IBM] a lu le manifeste du GNU et s'est dit que finalement, il n'aimait pas le capitalisme" ; c'est une invention de l'auteur pour se donner l'air d'un esprit rebelle.

    Ensuite il fustige l'idée que Netscape aurait libéré Mozilla "pour récupérer des contributions de code de la part des clients de cybercafés Néo-Zélandais" (notons le dénigrement gratuit des communautés de développement logiciel) pour conclure que "c'était dans l'optique de tirer les bénéfices liés aux biens courants pour moins cher, puisque le développement du navigateur Web serait réalisé à un coût moindre". Ce qui finalement revient au même : faire participer la communauté pour abaisser les coût de fonctionnement.

    Il prétend que "Transmeta embauche Linus, et le paye pour jouer avec Linux", ce qui à ma connaissance est faux : le boulot de Linus Torvalds chez Transmeta n'avait rien à voir avec le développement du noyau Linux.

    Enfin, il affirme que Sun Microsystems se gourre puisque sa richesse réside dans la fabrication de matériel, ce qui est partiellement faux. Chacun sait que les processeurs SPARC sont à la ramasse depuis des années (même si l'architecture interne des machines est intelligemment conçue) : si beaucoup d'entreprises restent sous Sun, c'est probablement plus pour Solaris que pour les performances médiocres de machines hors de prix.
  • [^] # Re: compatibilité GPL

    Posté par  . En réponse à la dépêche SpamAssassin devient un projet Apache, et corrige une faille de sécurité. Évalué à -2.

    Visiblement l'humour est en option chez certains...
  • # compatibilité GPL

    Posté par  . En réponse à la dépêche SpamAssassin devient un projet Apache, et corrige une faille de sécurité. Évalué à -4.

    On soulignera que, d'après la FSF, cette licence rendra SpamAssassin 3 non compatible GPL

    Ce n'est pas grave, l'INRIA planche sur un logiciel de remplacement sous licence CeCILL et fonctionnant sur ordinateurs Goupil. Tous les mails écrits dans une langue autre que le français, ou composés sur un clavier non-Azerty, seront automatiquement classés dans la rubrique "pourriels".

    Le logiciel - parrainé par Alain Delon, Thierry Lhermitte et Renaud Dutreil - sera installé dans les mois qui viennent sur les serveurs de mail de l'INRIA.

    Bien sûr, certains chercheurs se plaignent qu'ils ne pourront plus lire les mails de leurs correspondants étrangers, mais il était évident que la France avait besoin d'un système de filtrage adapté au contexte national. On ne pouvait plus décemment se contenter d'un système d'origine anglo-saxonne qui ne respectait en rien notre culture.
  • [^] # Re: C'est le Norton Firewall

    Posté par  . En réponse au journal MSIE et referer. Évalué à 3.

    A l'époque où j'utilisais JunkBuster, il bloquait aussi le Referer.
  • # champ optionnel

    Posté par  . En réponse au journal MSIE et referer. Évalué à 1.

    La RFC HTTP n'indique pas que le champ Referer est obligatoire, c'est donc un champ optionnel laissé à la discrétion du client Web.
    http://www.faqs.org/rfcs/rfc2616.html(...)

    Bref, utiliser la présence ou l'absence du champ Referer pour bloquer l'accès à une ressource est une énorme connerie (heureusement de plus en plus rare).
  • # RBLs dans Spamassassin

    Posté par  . En réponse au journal Pour ou Contre les RBL?. Évalué à 3.

    Au lieu d'utiliser les RBLs séparément, active l'option correspondante dans spamassassin (je crois même que c'est activé par défaut).

    Dans spamassassin, les RBLs produisent un score comme n'importe quelle règle. Un message dont l'émetteur est listé dans une RBL produira un score plus élevé, mais s'il ne déclenche pas d'autre règle, il ne produira pas de faux positif.