Je ne connais pas Go, mais pour ce qui est de Rust, il existe des outils très chouettes pour faire des outils en CLI – je pense notamment à la bibliothèque Clap1, à mon sens assez géniale.
Elle est utilisée notamment par Ripgrep, fd et watchexec.
Tout dépend de ce qu'apporte cette distribution. En elle-même, sans doute pas grand chose, mais on peut aussi voir cela comme un projet d'apprentissage : elle permet à celui qui la développe d'acquérir des connaissances. Et cela a deux avantages :
ces connaissances seront réutilisables, et pourront potentiellement bénéficier à tous ;
la gratification est bien présente pour celui qui réalise le projet.
Moi aussi, j'adore faire mon propre pain. Sans pour autant prétendre rivaliser avec mon (excellent) boulanger de quartier ;)
Je ne sais pas ce qu'il en est d'OpenMeetings, mais concernant BigBlueButton, les conversations textuelles privées sont bien possibles. Par contre, effectivement, cela n'est pas le ca pour la visio, et les sous-salons ne sont qu'un palliatif assez peu ergonomique.
Non, ça ne marche pas comme ça. Ces aides ne seraient pas données à d'autres, elles seraient plus probablement gardées pour limiter le trou de Pôle-Emploi.
Ici, tu bases ton assertion sur la croyance que cet argent distribué en assurance chômage profite moins à la société que s'il était utilisé autrement. J'ai la croyance opposée.
C'est vrai, je pars du principe que le système devrait optimiser la redistribution au bénéfice des plus nécessiteux, ce qui n'est pas forcément le cas dans les faits.
C'est exact, c'est la loi en France (c'est différent ailleurs), même si ce n'était pas le cas initialement. Bien sûr, ce qui se cache derrière le terme « raisonnable » ici est le cœur du problème. Tu m'accorderas peut-être que ce « raisonnable » est dans bien des cas parfaitement déraisonnable, et qu'il est un peu délicat de s'en servir pour trancher le débat.
C'est un de mes points de désaccord majeur avec l'existant. Le « raisonnable » est extrêmement difficile à définir de façon objective.
En effet, la condition est d'être en recherche active d'emploi. Et en effet, on peut ne pas être d'accord avec ces obligations. D'ailleurs, dans ce cas là, au lieu de répéter la loi on peut exhiber ses convictions et soutenir ou contredire l'autre. Je suis très curieux de ton avis sur la question. La loi, je la connais, et elle ne m'intéresse pas plus que ça.
Dans le cadre du système existant, je serais d'avis de prendre en compte l'état psychologique de la personne concernée. Le fait d'être en capacité de retrouver un emploi n'est à mon sens pas réductible à son expérience et ses compétences. C'est ce que font la plupart des conseillers Pôle-Emploi que je connais, mais je ne crois pas que ce soit quelque chose de défini dans les textes.
Dans un cadre plus général, et réalisable dans notre société, on pourrait imaginer un mode de financement par projet, sur une durée convenue, sans impératif de rentabilité, à condition que ce projet serve à la collectivité. Par « servir », j'entends, de façon large. Cela peut être produire du code libre, monter une structure associative, etc. Dans la masse de ces projets, nul doute que se trouveraient des perles. En revanche, je ne pense pas que cela soit le rôle de l'assurance chômage.
Certains ont évoqué le revenu universel, je ne saurais me prononcer à ce propos, je ne l'ai pas assez étudié.
C'est un peu comme l'intermittence. Je suis totalement partisan de son existence, mais pas en faveur de son mode de financement (mais c'est sans doute un autre débat ;) ).
chat échaudé craint l'eau froide. Je ne réponds pas ici sur le plan de la légalité, mais il me semble tout à fait légitime et naturel, après avoir très mal vécu une expérience professionnelle, de ne pas immédiatement en redemander.
Je confirme, il m'est arrivé la même chose il y a quelques années.
J'accuse réception de ton attaque ad-hominem, j'estime que nous sommes quittes. Je détaille : si je suis au chômage, et que je refuse plusieurs emplois (correspondants à mes compétences) pour Addadas, ipple, T0tal ou BéFM Tivi (par exemple), eh bien légalement je dois être privé d'aides au retour à l'emploi.
C'était juste pour illustrer le fait que parfois il faut choisir entre la loi et l'éthique, et je n'hésiterai pas à soutenir quelqu'un qui enfreint la loi, ou la contourne, pour ce genre de raison.
Ce n'était pas une attaque, je n'avais vraiment pas compris où tu voulais en venir. Et détaillé comme cela, je suis d'accord avec toi. Mais il y a pour moi une différence entre contourner la loi de façon assumée, en l'argumentant, et se donner de fausses justifications – peut-être pour se rassurer : l'assurance chômage n'est aujourd'hui pas inconditionnelle, et elle n'est certainement pas une forme de salaire. C'est ici que je parle de torsion de réalité.
Posté par Letho .
En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3.
Évalué à 4.
Dernière modification le 04 mars 2020 à 15:02.
Mais justement, il ne s'agit pas des conditions pour dépenser l'argent, mais de celles pour l'obtenir.
Un demandeur d'emploi a l'obligation de chercher activement un emploi, et d'accepter une offre d'emploi correspondant à sa recherche. Sinon, il est radié, i.e. il ne touchera plus rien.
À ce titre, vv222 ferait mieux d'être discret par rapport à sa démarche. Parce que s'il tombe sur un conseiller Pôle-Emploi peu accommodant qui a vent de la situation, il risque de tout perdre.
Posté par Letho .
En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3.
Évalué à 5.
Dernière modification le 04 mars 2020 à 14:48.
Tu réagis comme si, en étant au chômage et en profitant de cela pour contribuer au libre, vv te privait de quelque chose.
Mais c'est le cas. Enfin, pas à moi, mais à la collectivité. Choisir de rester au chômage quand on peut ne pas l'être, c'est bien léser ceux qui n'ont pas les mêmes possibilités, puisqu'on bénéficie d'aides qui seraient plus profitables à ces derniers.
Je rappelle au passage qu'un demandeur d'emploi doit pouvoir justifier être en recherche active d'emploi, et qu'il est tenu d'accepter une offre d'emploi raisonnable, sous peine de radiation.
On peut ne pas être d'accord avec ces obligations (j'aurais moi-même à y redire), mais reste que prétendre qu'on peut faire ce qu'on veut de sa période de chômage qui serait dès lors une sorte de temps libre sans conditions, c'est juste faux.
Après, encore une fois, je ne réagi pas particulièrement à la situation de vv222 en tant que personne. Et franchement, je lui souhaite de mener à bien son projet. Je considère seulement que ce n'est pas une position tenable dans l'absolu.
Est-ce que tu es juste jaloux ?
Oh, le petit ad-hominem en filigrane. Sans commentaire.
Est-ce qu'il ne vaut pas mieux être au chômage que travailler dans de mauvaises conditions et légitimer ces mauvaises conditions ?
Bien sûr que si. Mais rien n'empêche pendant la période chômée de rechercher activement un autre emploi avec de meilleures conditions, ou de monter sa structure. Je ne parle même pas de réussir, je parle d'essayer.
Est-ce qu'il ne vaut pas mieux être au chômage que de travailler pour une entreprise ultra-polluante, pour un média de manipulation, une société exploitant directement ou non des enfants, ou vivant de la misère des populations ?
Il dit qu'il voit pas le rapport. Appel aux sentiments, sophisme de la double faute, toussa. Ce n'est pas du raisonnement.
Que reste-t-il des emplois si tu enlèves toutes les tâches malsaines qui consistent en mettre des bâtons dans les roues des uns des autres et prétendre fournir le produit/service parfait pour cacher la misère ?
Nous autres informaticiens, en bonne partie, servons aujourd'hui juste de support pour une économie malade qui mène la société à un endroit que personne n'envie.
Idem, je ne comprends pas ce que tu essaye d'avancer.
Alors prendre l'argent et la loi comme excuse pour mettre ses valeurs et son éthique de côté, n'est-ce pas là la véritable faute impardonnable (et que les générations futures paieront) ?
Belle envolée lyrique, mais elle tombe à plat : je ne prends pas l'argent et la loi comme excuse. Je trouve le système actuel calamiteux. Je considère seulement que tordre la réalité pour servir ses idéaux est la meilleure façon de les desservir, en plus d'être une imposture intellectuelle.
Posté par Letho .
En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3.
Évalué à 8.
Dernière modification le 03 mars 2020 à 03:11.
C'est faux d'après la vidéo que j'ai pointé dans un autre commentaire. Mais tu peux te faire ton propre avis en recherchant « salaire continué » sur le moteur de recherche qui t'arrange.
Oui, salaire différé / continué, j'ai bien compris. Sauf que d'une part, nous parlons du chômage, pas des retraites, et que d'autre part je parlais de droit au sens légal du terme.
Quelqu'un qui passerait quinze heures par jour à construire des maquettes en coton-tiges produirait un réel travail. Il ne serait pour autant pas légalement en droit de réclamer une rétribution à la société pour celui-ci.
Ce qui change ici, et ce qui fait sans doute réagir avec moins de distance, c'est que l'activité produite nous touche, et nous plaît. Sauf que ce n'est pas à nous de décider pour le reste des gens (ceux qui financent le système de dédommagement) – j'y reviens plus bas.
Tu présente une philosophie économique comme un fait mathématique, ce que ça n'est pas.
Tu présentes les propos de ton interlocuteur comme idéologiques, sans savoir un seul instant ce que ce dernier défend (indice : ce n'est en tout cas certainement pas l'existant). Et tu essayes de travestir une – ne t'en déplaise – réalité mathématique en question de point de vue. Sauf que non.
En l'état, si tout le monde agissait comme l'auteur du journal, le système d'assurance chômage ne pourrait pas l'encaisser. Il s'effondrerait. Point barre.
Maintenant, on peut souhaiter des alternatives. C'est mon cas. Mais je n'assujetti pas pour autant les faits à mes considérations morales, même quand cela ne va pas dans mon sens.
Avoir un schéma aussi biaisé… Quand on défiscalise les heures sup', on le fait même pour ceux dont le travaille consiste à dévaster des forêts par exemple. Quand on aide les organismes financiers, on ne le fait pas en fonction de si on trouve leur contribution positive ou non. Quand on fait des courbettes à de grandes entreprises qui menacent de délocaliser, rien ne se passe quand quelques temps plus tard elles défiscalisent.
Donc pourquoi intégrer cette notion de choix collectif ici, alors qu'il n'existe nul part ailleurs ?
Mais justement parce que je souhaiterais que le choix collectif soit partout. Question de cohérence.
Sais-tu que des études montrent en plus qu'essayer de contrôler l'argent des aides sociales est globalement contre-productif ? (n'en déplaise aux images d’Épinal)
Marrant ça, le critère d'efficience, on est plus proche du revenu différé que continué, non ?
Je te taquine ;)
Posté par Letho .
En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3.
Évalué à 3.
Dernière modification le 02 mars 2020 à 23:53.
et passe à autre chose.
Cet espace de discussion est précisément là pour… discuter. Contrairement à toi (semblerait-il), je n'ai pas de souci à avoir une conversation avec des gens avec qui je suis en désaccord. Je trouve même ça enrichissant.
C’est bien ce qu’il me semblait, s’il avait monté une entreprise (même bidon, sans modèle d’affaire qui tienne la route) tu ne tiendrais pas le même discours.
Il te semble bien des choses fausses. Et je ne vois pas ce qui dans mes messages peut te laisser croire cela. Tu me diras, j'ai moi-même l'impression que ton discours se fonde plus sur une base moraliste que rationnelle.
En attendant, ça n’existe pas, les gens font ce qu’ils peuvent avec ce qu’ils ont.
C'est la raison pour laquelle j'ai précisé par deux fois que je ne porte pas de jugement sur sa personne, seulement sur une démarche qui ne me semble par nature pas viable dans le cadre actuel de notre société. Mais j'ai cette réflexion parce que je suis détaché de la situation. Très sincèrement, j'aurais été à sa place, je ne sais pas quels auraient été mes sentiments, ni mes actes. Et je le dis d'autant plus volontiers que j'ai déjà été confronté à des situations difficiles.
Posté par Letho .
En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3.
Évalué à 8.
Dernière modification le 02 mars 2020 à 18:40.
Je pense qu'elle est réelle, mais très sincèrement, je pense aussi qu'on s'en fiche – du point de vue du chômage, j'entends.
Un boulanger qui produit un pain travaille pour cela. N'empêche que s'il ne le vend pas, il touchera zéro. Il n'y a pas dans notre société de droit à être payé sous prétexte que l'on fait quelque chose. On est payé parce que quelqu'un veut bien nous l'acheter, que ce soit notre force de travail ou bien son produit. C'est un échange consenti.
Ici, on parle de forcer la collectivité à financer sa production, sans lui en laisser le choix. C'est très différent. Très discutable. Et ça va à l'encontre de ce pour quoi est faite l'assurance chômage : laisser aux gens ayant perdu leur emploi le temps de retrouver une situation d'autonomie financière.
Après, perso, je serais plus que favorable à ce que l'on puisse financer ce genre de projets en étant détachés de l'impératif de rentabilité, la valeur d'une chose n'étant à mon sens pas réductible à sa valeur-argent. Mais utiliser l'assurance chômage pour cela ne peut d'un point de vue systémique pas fonctionner.
Posté par Letho .
En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3.
Évalué à 6.
Dernière modification le 01 mars 2020 à 21:09.
Ce que tu écris ressemble à un sophisme de la double faute. Ce n'est pas parce que les situations que tu évoques sont critiquables (et à titre personnel, je dirais même franchement dégueulasses) qu'elles peuvent servir de justification une autre situation, légitimement discutable – bien que pour des raisons différentes.
Posté par Letho .
En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3.
Évalué à 5.
Dernière modification le 01 mars 2020 à 13:37.
Je ne crois pas que quiconque remette en cause ton travail. Ce qui est contesté à mon sens, c'est le fait que tu décide unilatéralement d'en imposer la charge à autrui, par le biais de la solidarité.
Je le précise encore une fois, car j'ai conscience d'intervenir beaucoup sur ce fil, mais le sujet m'interpelle : je ne voudrais pas que tu le prenne comme quelque chose de dédaigneux, je ne porte pas de jugement sur ta personne. Et ce que tu souhaites est somme toute très humain : pouvoir te consacrer à un projet qui fait sens pour toi. Mais ce n'est pas tenable d'un point de vue logique, et il semble difficile de le justifier envers ceux qui créent la valeur qui t'est reversée.
Posté par Letho .
En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3.
Évalué à 3.
Dernière modification le 01 mars 2020 à 13:08.
Mais si vraiment ça peut aider à accepter la situation, je n’ai aucun souci à ce qu’on prétende que les allocations que je vais toucher sont en fait un salaire pour le travail que je produis avec ./play.it. Qui a en plus comme avantage d’être profitable à bien plus de monde que ce que je devais faire quand j’allais vendre ma force de travail.
Comme toi (je le suppose), je suis bien plus ouvert au fait de vendre le produit de mon travail que ma force de travail. Mais là, on ne peut pas parler de salaire, ou bien de vente du produit de ton travail.
Un salaire, comme un contrat de prestation, cela signifie qu'il y a eu un accord de volonté : la volonté de celui qui vend, et celle de celui qui achète. C'est un échange mutuellement convenu.
On ne peut à ce titre pas prétendre que bénéficier d'une assurance chômage est une forme de salaire : ceux qui par leur travail créent une valeur t'étant reversée via les allocations n'ont pas fait le choix de te rétribuer pour ce projet.
Je ne suis absolument pas d'accord avec cet article, du moins en ce qui concerne la notion d'assurance.
On passe de « c'est une assurance, vous cotisez à un droit, et vous profitez de ce droit quand vous en avez besoin » à « vous devriez avoir le droit de vous la couler douce pendant que vous êtes indemnisés ».
Sauf que c'est parfaitement fallacieux. Une assurance, c'est une forme de mutualisation des risques pour prendre en charge ceux qui subissent une situation dont ils ne sont pas responsables. Ça n'est en aucun cas un droit à toucher de l'argent parce que « j'ai cotisé ». Ça, ça n'est pas de la mutualisation, ça s'appelle de la capitalisation. Plutôt curieux sur un blog qui semble de tendance anarcho-communiste.
Se mettre volontairement dans une situation où l'on va profiter de la solidarité d'autrui, ou bien rester dans cette situation alors que l'on a les moyens de ne pas l'être, c'est à mon sens une forme d'abus de droit. Et ce n'est objectivement pas tenable mathématiquement : aucune assurance ne pourrait en encaisser le coût (que l'on supprime Pôle Emploi ou pas).
Je trouve la forme de certaines réponses un peu rude, mais effectivement, ce mode de fonctionnement me paraît difficile à soutenir au vu du fonctionnement actuel des indemnisations chômage. Le système ne peut actuellement fonctionner que si une majorité de personnes le financent, et que ceux qui sont sans emploi en recherchent un activement.
Attention, je ne porte aucun jugement personnel sur ta démarche – c'est juste que celle-ci n'est pas généralisable, et donc à mon sens difficilement justifiable du point de vue de la société. Ce ne serait d'ailleurs sans doute pas accepté face à un conseiller Pôle Emploi. Je te conseillerais donc d'être prudent quant à ce que tu exprime en public.
Je te souhaite en tout cas sincèrement de mener à bien ton projet, et de réussir à créer une démarche plus « viable » autour de celui-ci.
Oui. Mais pas que. On l'entend également de la part de personnes à gauche, qui en ont marre de subir les excès de zèle d'une frange de militants qui surinterprète systématiquement tout et surtout n'importe quoi sous le prisme unique de son ultra-moralisme, et qui ne raisonne qu'en termes d'alliés ou d'ennemis. Et je peux t'assurer que de cette frange cautionne parfois des méthodes qu'on s'attendrait plus à trouver à l'extrême-droite, que ce soit en usant de menaces ou de jeux rhétoriques blindés de sophismes. Et ça, c'est juste insupportable.
Donc personnellement, j'ai beau me considérer de gauche, être pour une stricte égalité des droits quel que soit le sexe, la religion, le fait d'écouter ou pas Jul et PNL, la sexualité ou encore la couleur de peau, et conchier allègrement Soral et ses copains, il m'arrive parfois d'utiliser ce terme. Parce qu'il est extrêmement pratique pour décrire ce que j'ai parfois sous les yeux : des petits apprentis-dictateurs de la pensée.
Pas le public, le grand public. Ce que le lecteur moyen du site n'est pas.
Le grand public, il ne va pas sur le site de Dell comparer les gammes de proco. Le grand public, il va acheter son PC à la Fnac.
C'est effectivement assez rare. Un cas d'usage que nous avions était les templates de textes destinés à l'utilisateur (génération de mail, par exemple).
Parce que s'il s'agit d'un troll à propos de Linux, il est très mauvais.
Mais s'il s'agit d'un troll parodiant l'auteur du blog sus-cité, il est foutrement réussi.
parce que tu ne peux pas livrer un exécutable docker à des utilisateurs
Non. Mais une image à instancier, disponible sur un registry, régulièrement mise à jour et testée en amont via un système d'intégration continue, si.
parceque je préfèrerais déployer et livrer un exécutable sans une nouvelle couche technologique qui a besoin de temps pour lire la doc, se former, mettre en place la pipeline, mettre à jour l'image docker, pour réparer les bugs pas liés à ton soft, qui a des problèmes de sécurité, etc, etc, etc
Cela demande, comme n'importe quelle techno, un investissement en temps. Et ce temps, on ne l'a pas toujours, effectivement. Ceci dit, cela peut également en faire gagner de façon non négligeable une fois le tout en place.
Pour ce qui est des bugs liés à l'environnement contenu dans l'image, ça nous est arrivé une fois. Je suppose que des outils comme Nix peuvent aider pour avoir des environnements facilement reproductibles, mais je suis loin d'être un spécialiste dans ce domaine.
Certains languages te construisent un exécutable prêt à l'emploi. Point barre.
Tout à fait. Je partageais juste un retour d'expérience sur un point : nous ne maîtrisons pas l'environnement dans lequel notre client déploie nos applications. Docker s'est révélé un bon compromis pour avoir un livrable tout en un en faisant abstraction des technologies utilisées, sans aucune autre dépendance que Docker lui-même.
Après, je conviens volontiers que ce n'est pas adapté à toutes les situations.
Pourquoi ne pas utiliser Docker ?
Nous avons eu le même problème avec une application Node, cela s'est révélé une très bonne solution.
Et c'est parfaitement intégrable avec un système de CI/CD (coucou Gitlab :) )
[^] # Re: rust
Posté par Letho . En réponse à la dépêche Trois utilitaires : Delta, Dust et Watchexec. Évalué à 6. Dernière modification le 12 mai 2020 à 12:19.
Je ne connais pas Go, mais pour ce qui est de Rust, il existe des outils très chouettes pour faire des outils en CLI – je pense notamment à la bibliothèque Clap1, à mon sens assez géniale.
Elle est utilisée notamment par Ripgrep, fd et watchexec.
Peut-être que cela joue ?
https://clap.rs/ ↩
[^] # Re: X11 ?
Posté par Letho . En réponse au journal umberwm, un gestionnaire de fenêtre en tuile pour X11. Évalué à 5.
Tout dépend de ce qu'apporte cette distribution. En elle-même, sans doute pas grand chose, mais on peut aussi voir cela comme un projet d'apprentissage : elle permet à celui qui la développe d'acquérir des connaissances. Et cela a deux avantages :
Moi aussi, j'adore faire mon propre pain. Sans pour autant prétendre rivaliser avec mon (excellent) boulanger de quartier ;)
# Conversations privées sur BigBlueButton
Posté par Letho . En réponse à la dépêche Comparaison de deux outils de gestion de séminaires en ligne : BigBlueButton et OpenMeetings. Évalué à 6.
Je ne sais pas ce qu'il en est d'OpenMeetings, mais concernant BigBlueButton, les conversations textuelles privées sont bien possibles. Par contre, effectivement, cela n'est pas le ca pour la visio, et les sous-salons ne sont qu'un palliatif assez peu ergonomique.
# Stellaris
Posté par Letho . En réponse au journal Et vous, vous jouez à quoi?. Évalué à 3.
Absolument pas libre, mais j'ai profité de la promo de Stellaris sur Steam.
C'est assez chouette pour l'instant !
[^] # Re: Implémentation dans Cozy Cloud
Posté par Letho . En réponse à la dépêche Bitwarden, un gestionnaire de mots de passe libre. Évalué à 2.
Sur le long-terme, garder une compatibilité avec l'upstream fait-il partie des objectifs de Cozy Pass ?
[^] # Re: Choqué par les commentaires...
Posté par Letho . En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3. Évalué à 4.
C'est vrai, je pars du principe que le système devrait optimiser la redistribution au bénéfice des plus nécessiteux, ce qui n'est pas forcément le cas dans les faits.
C'est un de mes points de désaccord majeur avec l'existant. Le « raisonnable » est extrêmement difficile à définir de façon objective.
Dans le cadre du système existant, je serais d'avis de prendre en compte l'état psychologique de la personne concernée. Le fait d'être en capacité de retrouver un emploi n'est à mon sens pas réductible à son expérience et ses compétences. C'est ce que font la plupart des conseillers Pôle-Emploi que je connais, mais je ne crois pas que ce soit quelque chose de défini dans les textes.
Dans un cadre plus général, et réalisable dans notre société, on pourrait imaginer un mode de financement par projet, sur une durée convenue, sans impératif de rentabilité, à condition que ce projet serve à la collectivité. Par « servir », j'entends, de façon large. Cela peut être produire du code libre, monter une structure associative, etc. Dans la masse de ces projets, nul doute que se trouveraient des perles. En revanche, je ne pense pas que cela soit le rôle de l'assurance chômage.
Certains ont évoqué le revenu universel, je ne saurais me prononcer à ce propos, je ne l'ai pas assez étudié.
C'est un peu comme l'intermittence. Je suis totalement partisan de son existence, mais pas en faveur de son mode de financement (mais c'est sans doute un autre débat ;) ).
Je confirme, il m'est arrivé la même chose il y a quelques années.
Ce n'était pas une attaque, je n'avais vraiment pas compris où tu voulais en venir. Et détaillé comme cela, je suis d'accord avec toi. Mais il y a pour moi une différence entre contourner la loi de façon assumée, en l'argumentant, et se donner de fausses justifications – peut-être pour se rassurer : l'assurance chômage n'est aujourd'hui pas inconditionnelle, et elle n'est certainement pas une forme de salaire. C'est ici que je parle de torsion de réalité.
[^] # Re: Business model ?
Posté par Letho . En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3. Évalué à 4. Dernière modification le 04 mars 2020 à 15:02.
Mais justement, il ne s'agit pas des conditions pour dépenser l'argent, mais de celles pour l'obtenir.
Un demandeur d'emploi a l'obligation de chercher activement un emploi, et d'accepter une offre d'emploi correspondant à sa recherche. Sinon, il est radié, i.e. il ne touchera plus rien.
Ce n'est pas l'idéal, je suis d'accord. Mais puisque tu parle de règles, telles sont les règles (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1638).
À ce titre, vv222 ferait mieux d'être discret par rapport à sa démarche. Parce que s'il tombe sur un conseiller Pôle-Emploi peu accommodant qui a vent de la situation, il risque de tout perdre.
[^] # Re: Choqué par les commentaires...
Posté par Letho . En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3. Évalué à 5. Dernière modification le 04 mars 2020 à 14:48.
Mais c'est le cas. Enfin, pas à moi, mais à la collectivité. Choisir de rester au chômage quand on peut ne pas l'être, c'est bien léser ceux qui n'ont pas les mêmes possibilités, puisqu'on bénéficie d'aides qui seraient plus profitables à ces derniers.
Je rappelle au passage qu'un demandeur d'emploi doit pouvoir justifier être en recherche active d'emploi, et qu'il est tenu d'accepter une offre d'emploi raisonnable, sous peine de radiation.
On peut ne pas être d'accord avec ces obligations (j'aurais moi-même à y redire), mais reste que prétendre qu'on peut faire ce qu'on veut de sa période de chômage qui serait dès lors une sorte de temps libre sans conditions, c'est juste faux.
Après, encore une fois, je ne réagi pas particulièrement à la situation de vv222 en tant que personne. Et franchement, je lui souhaite de mener à bien son projet. Je considère seulement que ce n'est pas une position tenable dans l'absolu.
Oh, le petit ad-hominem en filigrane. Sans commentaire.
Bien sûr que si. Mais rien n'empêche pendant la période chômée de rechercher activement un autre emploi avec de meilleures conditions, ou de monter sa structure. Je ne parle même pas de réussir, je parle d'essayer.
Il dit qu'il voit pas le rapport. Appel aux sentiments, sophisme de la double faute, toussa. Ce n'est pas du raisonnement.
Idem, je ne comprends pas ce que tu essaye d'avancer.
Belle envolée lyrique, mais elle tombe à plat : je ne prends pas l'argent et la loi comme excuse. Je trouve le système actuel calamiteux. Je considère seulement que tordre la réalité pour servir ses idéaux est la meilleure façon de les desservir, en plus d'être une imposture intellectuelle.
[^] # Re: Business model ?
Posté par Letho . En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3. Évalué à 8. Dernière modification le 03 mars 2020 à 03:11.
Oui, salaire différé / continué, j'ai bien compris. Sauf que d'une part, nous parlons du chômage, pas des retraites, et que d'autre part je parlais de droit au sens légal du terme.
Quelqu'un qui passerait quinze heures par jour à construire des maquettes en coton-tiges produirait un réel travail. Il ne serait pour autant pas légalement en droit de réclamer une rétribution à la société pour celui-ci.
Ce qui change ici, et ce qui fait sans doute réagir avec moins de distance, c'est que l'activité produite nous touche, et nous plaît. Sauf que ce n'est pas à nous de décider pour le reste des gens (ceux qui financent le système de dédommagement) – j'y reviens plus bas.
Tu présentes les propos de ton interlocuteur comme idéologiques, sans savoir un seul instant ce que ce dernier défend (indice : ce n'est en tout cas certainement pas l'existant). Et tu essayes de travestir une – ne t'en déplaise – réalité mathématique en question de point de vue. Sauf que non.
En l'état, si tout le monde agissait comme l'auteur du journal, le système d'assurance chômage ne pourrait pas l'encaisser. Il s'effondrerait. Point barre.
Maintenant, on peut souhaiter des alternatives. C'est mon cas. Mais je n'assujetti pas pour autant les faits à mes considérations morales, même quand cela ne va pas dans mon sens.
Oui, c'est dégueulasse. Et alors ? Cf. Sophisme de la double faute.
Mais justement parce que je souhaiterais que le choix collectif soit partout. Question de cohérence.
Marrant ça, le critère d'efficience, on est plus proche du revenu différé que continué, non ?
Je te taquine ;)
[^] # Re: Business model ?
Posté par Letho . En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3. Évalué à 3. Dernière modification le 02 mars 2020 à 23:53.
Cet espace de discussion est précisément là pour… discuter. Contrairement à toi (semblerait-il), je n'ai pas de souci à avoir une conversation avec des gens avec qui je suis en désaccord. Je trouve même ça enrichissant.
Il te semble bien des choses fausses. Et je ne vois pas ce qui dans mes messages peut te laisser croire cela. Tu me diras, j'ai moi-même l'impression que ton discours se fonde plus sur une base moraliste que rationnelle.
C'est la raison pour laquelle j'ai précisé par deux fois que je ne porte pas de jugement sur sa personne, seulement sur une démarche qui ne me semble par nature pas viable dans le cadre actuel de notre société. Mais j'ai cette réflexion parce que je suis détaché de la situation. Très sincèrement, j'aurais été à sa place, je ne sais pas quels auraient été mes sentiments, ni mes actes. Et je le dis d'autant plus volontiers que j'ai déjà été confronté à des situations difficiles.
[^] # Re: Business model ?
Posté par Letho . En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3. Évalué à 8. Dernière modification le 02 mars 2020 à 18:40.
Je pense qu'elle est réelle, mais très sincèrement, je pense aussi qu'on s'en fiche – du point de vue du chômage, j'entends.
Un boulanger qui produit un pain travaille pour cela. N'empêche que s'il ne le vend pas, il touchera zéro. Il n'y a pas dans notre société de droit à être payé sous prétexte que l'on fait quelque chose. On est payé parce que quelqu'un veut bien nous l'acheter, que ce soit notre force de travail ou bien son produit. C'est un échange consenti.
Ici, on parle de forcer la collectivité à financer sa production, sans lui en laisser le choix. C'est très différent. Très discutable. Et ça va à l'encontre de ce pour quoi est faite l'assurance chômage : laisser aux gens ayant perdu leur emploi le temps de retrouver une situation d'autonomie financière.
Après, perso, je serais plus que favorable à ce que l'on puisse financer ce genre de projets en étant détachés de l'impératif de rentabilité, la valeur d'une chose n'étant à mon sens pas réductible à sa valeur-argent. Mais utiliser l'assurance chômage pour cela ne peut d'un point de vue systémique pas fonctionner.
[^] # Re: Choqué par les commentaires...
Posté par Letho . En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3. Évalué à 6. Dernière modification le 01 mars 2020 à 21:09.
Ce que tu écris ressemble à un sophisme de la double faute. Ce n'est pas parce que les situations que tu évoques sont critiquables (et à titre personnel, je dirais même franchement dégueulasses) qu'elles peuvent servir de justification une autre situation, légitimement discutable – bien que pour des raisons différentes.
[^] # Re: Business model ?
Posté par Letho . En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3. Évalué à 5. Dernière modification le 01 mars 2020 à 13:37.
Je ne crois pas que quiconque remette en cause ton travail. Ce qui est contesté à mon sens, c'est le fait que tu décide unilatéralement d'en imposer la charge à autrui, par le biais de la solidarité.
Je le précise encore une fois, car j'ai conscience d'intervenir beaucoup sur ce fil, mais le sujet m'interpelle : je ne voudrais pas que tu le prenne comme quelque chose de dédaigneux, je ne porte pas de jugement sur ta personne. Et ce que tu souhaites est somme toute très humain : pouvoir te consacrer à un projet qui fait sens pour toi. Mais ce n'est pas tenable d'un point de vue logique, et il semble difficile de le justifier envers ceux qui créent la valeur qui t'est reversée.
[^] # Re: Business model ?
Posté par Letho . En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3. Évalué à 3. Dernière modification le 01 mars 2020 à 13:08.
Comme toi (je le suppose), je suis bien plus ouvert au fait de vendre le produit de mon travail que ma force de travail. Mais là, on ne peut pas parler de salaire, ou bien de vente du produit de ton travail.
Un salaire, comme un contrat de prestation, cela signifie qu'il y a eu un accord de volonté : la volonté de celui qui vend, et celle de celui qui achète. C'est un échange mutuellement convenu.
On ne peut à ce titre pas prétendre que bénéficier d'une assurance chômage est une forme de salaire : ceux qui par leur travail créent une valeur t'étant reversée via les allocations n'ont pas fait le choix de te rétribuer pour ce projet.
[^] # Re: Business model ?
Posté par Letho . En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3. Évalué à 10.
Je ne suis absolument pas d'accord avec cet article, du moins en ce qui concerne la notion d'assurance.
On passe de « c'est une assurance, vous cotisez à un droit, et vous profitez de ce droit quand vous en avez besoin » à « vous devriez avoir le droit de vous la couler douce pendant que vous êtes indemnisés ».
Sauf que c'est parfaitement fallacieux. Une assurance, c'est une forme de mutualisation des risques pour prendre en charge ceux qui subissent une situation dont ils ne sont pas responsables. Ça n'est en aucun cas un droit à toucher de l'argent parce que « j'ai cotisé ». Ça, ça n'est pas de la mutualisation, ça s'appelle de la capitalisation. Plutôt curieux sur un blog qui semble de tendance anarcho-communiste.
Se mettre volontairement dans une situation où l'on va profiter de la solidarité d'autrui, ou bien rester dans cette situation alors que l'on a les moyens de ne pas l'être, c'est à mon sens une forme d'abus de droit. Et ce n'est objectivement pas tenable mathématiquement : aucune assurance ne pourrait en encaisser le coût (que l'on supprime Pôle Emploi ou pas).
[^] # Re: Business model ?
Posté par Letho . En réponse au journal Sortie de ./play.it 2.11.3. Évalué à 6.
Je trouve la forme de certaines réponses un peu rude, mais effectivement, ce mode de fonctionnement me paraît difficile à soutenir au vu du fonctionnement actuel des indemnisations chômage. Le système ne peut actuellement fonctionner que si une majorité de personnes le financent, et que ceux qui sont sans emploi en recherchent un activement.
Attention, je ne porte aucun jugement personnel sur ta démarche – c'est juste que celle-ci n'est pas généralisable, et donc à mon sens difficilement justifiable du point de vue de la société. Ce ne serait d'ailleurs sans doute pas accepté face à un conseiller Pôle Emploi. Je te conseillerais donc d'être prudent quant à ce que tu exprime en public.
Je te souhaite en tout cas sincèrement de mener à bien ton projet, et de réussir à créer une démarche plus « viable » autour de celui-ci.
[^] # Re: PAF !!!!!!!!!
Posté par Letho . En réponse à la dépêche Weboob a dix ans !. Évalué à 10.
Oui. Mais pas que. On l'entend également de la part de personnes à gauche, qui en ont marre de subir les excès de zèle d'une frange de militants qui surinterprète systématiquement tout et surtout n'importe quoi sous le prisme unique de son ultra-moralisme, et qui ne raisonne qu'en termes d'alliés ou d'ennemis. Et je peux t'assurer que de cette frange cautionne parfois des méthodes qu'on s'attendrait plus à trouver à l'extrême-droite, que ce soit en usant de menaces ou de jeux rhétoriques blindés de sophismes. Et ça, c'est juste insupportable.
Donc personnellement, j'ai beau me considérer de gauche, être pour une stricte égalité des droits quel que soit le sexe, la religion, le fait d'écouter ou pas Jul et PNL, la sexualité ou encore la couleur de peau, et conchier allègrement Soral et ses copains, il m'arrive parfois d'utiliser ce terme. Parce qu'il est extrêmement pratique pour décrire ce que j'ai parfois sous les yeux : des petits apprentis-dictateurs de la pensée.
[^] # Re: choix
Posté par Letho . En réponse au journal C'est quoi ce bordel dans les CPU.. Évalué à 3.
Pas le public, le grand public. Ce que le lecteur moyen du site n'est pas.
Le grand public, il ne va pas sur le site de Dell comparer les gammes de proco. Le grand public, il va acheter son PC à la Fnac.
[^] # Re: Les texts blocks
Posté par Letho . En réponse au journal Java perdra une partie de sa verbosité à la fin de l’hiver. Évalué à 1.
C'est effectivement assez rare. Un cas d'usage que nous avions était les templates de textes destinés à l'utilisateur (génération de mail, par exemple).
[^] # Re: Les texts blocks
Posté par Letho . En réponse au journal Java perdra une partie de sa verbosité à la fin de l’hiver. Évalué à 2.
Je plussoie, c'est quelque chose que j'apprécie beaucoup en Elixir, et que j'aurais aimé avoir en Java quand c'était mon langage de travail.
# Bravo
Posté par Letho . En réponse au journal Les distributions GNU/Linux, un petit monde en voie d’extinction ?. Évalué à 8.
Oui, bravo.
Parce que s'il s'agit d'un troll à propos de Linux, il est très mauvais.
Mais s'il s'agit d'un troll parodiant l'auteur du blog sus-cité, il est foutrement réussi.
# random() fait bien les choses
Posté par Letho . En réponse à la dépêche Faire revivre le logiciel Getting Things GNOME ?. Évalué à 8.
C'est amusant :
Je vais parcourir le code source, ça pourrait être chouette de contribuer.
[^] # Re: Troll
Posté par Letho . En réponse au journal Militantisme : parler d'un sujet pour convaincre. Évalué à 2.
Behind the Curve, très chouette documentaire.
[^] # Re: Livraison facile en Python ??
Posté par Letho . En réponse au journal Moi, expert C++, j'abandonne le C++. Évalué à 1.
Non. Mais une image à instancier, disponible sur un registry, régulièrement mise à jour et testée en amont via un système d'intégration continue, si.
Cela demande, comme n'importe quelle techno, un investissement en temps. Et ce temps, on ne l'a pas toujours, effectivement. Ceci dit, cela peut également en faire gagner de façon non négligeable une fois le tout en place.
Pour ce qui est des bugs liés à l'environnement contenu dans l'image, ça nous est arrivé une fois. Je suppose que des outils comme Nix peuvent aider pour avoir des environnements facilement reproductibles, mais je suis loin d'être un spécialiste dans ce domaine.
Tout à fait. Je partageais juste un retour d'expérience sur un point : nous ne maîtrisons pas l'environnement dans lequel notre client déploie nos applications. Docker s'est révélé un bon compromis pour avoir un livrable tout en un en faisant abstraction des technologies utilisées, sans aucune autre dépendance que Docker lui-même.
Après, je conviens volontiers que ce n'est pas adapté à toutes les situations.
[^] # Re: Livraison facile en Python ??
Posté par Letho . En réponse au journal Moi, expert C++, j'abandonne le C++. Évalué à -2.
Pourquoi ne pas utiliser Docker ?
Nous avons eu le même problème avec une application Node, cela s'est révélé une très bonne solution.
Et c'est parfaitement intégrable avec un système de CI/CD (coucou Gitlab :) )