Quand on voit ce que l’on est capable de faire dans le domaine des impressions 3D et quand on voit tout le combat des utilisateurs face aux imprimantes sur papier, il serait tellement intéressant de voir un développement open-hardware sur ces impressions.
Que ce soit pour contrer les pratiques problématiques du domaine ou pour explorer d’autres optiques qui ne seraient pas vues comme économiquement rentables. Le tout pour répondre à de vrai besoins.
Ces calculatrices graphiques pourraient être un formidable terrain de découverte de l’informatique pour tous les lycéens qui les possèdent (et qui sont la masse de ce marché).
Mais, et c’est bien l’objet de ma réflexion dans cette dépêche, ce sont des univers très fermés… et qui le sont de plus en plus.
Ce billet de Bernard PARISSE en parle assez bien en faisant un bilan de situation… datant de 2021. La situation ne semble pas évoluer dans un meilleur sens depuis.
Et ces lycéens n’ont pas le choix.
Pas le choix de la marque, étant imposé par la politique de l’établissement scolaire.
NumWork n’a représenté qu’un vent d’ouverture à ceux qui avaient l’occasion.
De moins en moins de choix, même dans les applications tierces qui étaient propres aux constructeurs.
L’émulateur (qui est l’objet de ma réponse) est l’un des plus ouverts dans ce monde très très fermé. La moins mauvaise des solutions peut-être, mais dans des choix qui sont très limités, surtout pour les utilisateurs finaux (que sont les lycéens).
Peux-on parler du propriétaire… et pas qu’en mal ?
C’est une question que l’on s'est posée à l’occasion d’une table ronde dans le GULL local il y a peu, sous le titre « Libre de faire un choix non "libre" ? ».
Et je trouve qu’il est important de pouvoir en parler, de ne pas voir le monde comme tout blanc ou tout noir, d’avoir conscience que nous avons tous nos contraintes et nos vies.
Que les choix ne se limitent pas à Libre ou Non Libre
Nous devons individuellement faire nos choix avec des composantes multifactorielles.
La liberté numérique en est une, comme l’est l’impact écologique, l’impact financier, la dépendance aux autres, l’impact sur les communautés dans lesquelles nous sommes acteurs… et bien d’autres choses, que nous pondérerons chacun à notre manière.
Comme acteur dans le libre, je n’essaye que d’informer ceux qui le veulent pour bien qu’ils aient les clefs pour bien positionner cet indicateur de liberté numérique pour eux-mêmes.
C’est effectivement l’argument du mode examen et des firmwares modifiés qui permettent de simuler faussement son comportement qui a justifié le verrouillage de mise à jour du firmware. Notamment lors de l’étendue de leur cible commerciale à d’autres pays.
Mais…
Je ne dois pas être le seul à imaginer qu’un petit montage électronique puisse simuler le « mode examen » assez simplement. Ça demanderait de toucher au matériel de la calculatrice et serait assurément moins simple à diffuser, mais ça ne me semble pas très loin d’être inaccessible (Je suis de la génération à laquelle l’on soudait des puces dans les PlayStation pour les débrider).
Pourquoi ne pas brider que cette fonction de mode examen à la présence d’un firmware officiel. Je conçois que ça puisse être compliqué si le matériel n’est pas prévu pour, mais il y a eu au moins deux révisions matérielles depuis l’arrivée de ce verrouillage.
Pourquoi ne pas permettre alors un firmware alternatif, le conditionnant avec la perte du mode examen ?
Les sources d’Epsilon est et restent lisibles sur GitHub, mais avec des licences changeantes, qui reviennent aujourd’hui à du « tout droit réservé ». Ça me parait assez contradictoire.
La qualité des NumWork
Même si elles sont moins libres que la promesse d’origine et moins ouvertes qu’elle ne l’était à une époque, je ne nie pas ces possibles qualités (je n’en ai jamais eu réellement en main).
L’émulateur est effectivement une grande force, disponible en Web et en application mobile, pour la version de l’éditeur, mais aussi pour les alternatives.
Qu’il soit disponible entièrement, gratuitement et sans même une inscription, est une rareté, voire une exception, dans ce que j’ai exploré du monde des calculatrices.
C’est un vrai point à souligner.
Upsilon propose même des compilations en client lourd (mais je n’ai pas testé)
Bonjour.
Je me mets dans le cas (réel) d’une petite association qui aurait besoin d’une solution collaborative et qui regarde ce qui se fait : un petit LUG (oui, ça existe encore) qui essaye de survivre à sa façon. Et oui, par simple notoriété, nous discutons « Nextcloud » car c’est l’un des acteurs important du marché, mais nous n’y somme pas encore.
Allons voir le site web.
Je ne connais pas «Tracim» et je suis donc parti voir le site dans l’idée de « pourquoi pas ».
Bon point, on voit que le style graphique est travaillé.
Mauvais point, après avoir parcouru les quelques pages du site, je reste toujours avec l’impression que je ne sais pas ce que fait l’outil.
Je sais que l’offre « Cloud » est à 45€ mensuels (ce qui pour une association qui a 130€ de budget annuel est simplement inenvisageable), mais ne sais pas ce qui distingue cette version de l’offre « Home ».
Allons voir GitHub.
Étant de ceux qui faisaient confiance à Gandi … la refonte de notre système d’information est en cours. Et nous avons même désigné deux « administrateurs systèmes » parmi nos membres (j’en fais partie).
Avec NextCloud, on prend à peu près n'importe quel hébergement LAMP mutualisé, on y colle les fichiers et ça fonctionne à peu près tout de suite.
Avec Tracim … bah déjà, les liens vers la doc sont cassés. Alors oui, on les retrouve quand on va chercher à la main, mais il y a immédiatement une impression qui se dégage : Si je dois déjà jouer de la bidouille pour la documentation… ça va donner quoi sur le produit installé ?
Après, reste le côté « lancez le script et fermez les yeux » qui ne me plait jamais vraiment. Même si je crois qu’ici, c'est plus « lancez les scripts ».
Et la suite ?
J’ai exposé ma vision à chaud et je ne suis pas allé plus loin dans l’outil, n’ayant notamment pas compris s'il pouvait correspondre à nos modestes besoins.
Bonjour.
Sans être un grand cycliste, j’ai eu l’occasion de tester plusieurs type de fonctionnement, et d’avoir fait un peu de trajet urbain.
Le trajet
Le trajet en vélo n’est pas celui en voiture.
Nos routes, nos plans, nos villes et nos panneaux sont dessiné pour la voiture. Et si on veux éviter de trop cohabiter avec elle, le trajet à vélo peux être complètement différent.
J’ai découvert des petits passages, un bout de piste cyclable, et j’emprunte plus de petites rues quand je circule à vélo (ou autre que la voiture).
L’assistance
Il existe plusieurs type d’assistances qui réagissent assez différemment.
Le plus simple techniquement est un système installé dans la roue : Tu sélectionne une vitesse, et quand tu pédale (enfin que le capteur du pédalier vois passer un mouvement une fois de temps en temps), la roue tourne à la vitesse sélectionnée.
Pas cher, et quand tu te débrouille un peu, en pédalant à peine, c’est l’ « assistance » qui fait tout le boulot. Zéro fatigue, pas beaucoup plus d’exercice. Ça fait presque « Mini-Moto ». Certains poussant le concept avec des « Speed-Bike » qui montent sans plus d’efforts jusque 45 KMh : Ce qui n’est plus un vélo au sens du code de la route.
Le second système, avec un moteur dans le pédalier, est progressive : Plus tu pédale fort, plus le vélo va vite.
Il y as un réglage du niveau d’assistance que t’apporte le moteur, et donc à quel pourcentage il t’aide à atteindre (ou pas) les 25 KMh réglementaires.
Je préfère personnellement largement ce système. Je règle l’assistance au plus bas, et ça me fait faire de l’exercice (Si je ne pédale pas avec un peu de force … bah ça n’avance pas). Et si il y as une côte que je ne sent pas, ou simplement que je fatigue pour le retour, je peux mettre l’assistance à un niveau plus élevé.
Un ordinateur de poche de 1997 qui veux bien communiquer soit en série (mais j’ai pas le câble avec le connecteur proprio côté machine) soit en Infra Rouge.
Et pour gérer quelques notes avec un peu de mise en forme, ou un bout de tableau avec quelques formules … ça fonctionne encore vraiment bien.
Je n’ai vu aucune demande d'accès au micro avec Firefox sous MacOS quand j’ai essayé (en réponse au premier message).
Si c’est un bug sous safari, il est particulièrement ciblé. Mais rien n’est a exclure.
Je viens de tester avec FireFox (sur le même ordinateur), qui effectivement n’as pas demandé d’accès au microphone. Même si il peux le demander dans les réglages systèmes.
Mais aucun indicateur d’utilisation du Microphone n’est apparu.
Pourquoi écrire "La configuration" plutôt que ma configuration ?
J’accèdes aux sites internet par de multiples moyens, et cette configuration (Apple / MacBook / Safari) n’en est qu’une parmi d’autres que j’utilise au quotidien (dont pas mal de choses sous Linux … d’ou ma manie de trainer ici)
"le côté ON/OFF quand j'ouvre et ferme ce site est très marquant.", ça n'est pas clair, quelles sont les signes qui montrent que le microphone est activité ? une LED ? un clic sonore ? etc.
Quand certains système sensible pour la vie privée, tel que l’utilisation du microphone, sont utilisé sous MacOS, un point orange et une icône de micro sur fond orange apparaissent dans la zone en haut à droite de l’écran.
C’est assez visuel pour montrer que le micro est utilisé. Un clic sur cette icône indique la ou les applications utilisatrices. Il était ici noté «Safari» sans indication plus précise de l’application web demandeuse de l’accès.
Je n’ai pas souvenir d’avoir une indication aussi claire sur les bureaux linux que j’utilise (enfin surtout XFCE), même si ça devrais être visible dans les GUI lié à Pulse Audio.
Les liens donné sont interessants, si ils ne donnent pas de réponses, ils confirment que je ne suis pas un cas isolé.
J’utilise pas de souris.
Trackpoint, Touchpad, Trackball, Tablette graphique, …
Il y as parfois des alternatives largement sous estimée, mais bien pratique pour faire bouger le curseur.
Bon, pour être dans le sujet : Quand je conseille de l’achat de souris, je reste toujours sur « Logitech ou Microsoft » un modèle simple, sans fioriture (qui servent pas forcément).
Ça fait juste bien son boulot et pour les sans fils ça as une vraie autonomie (au moins 1 an sur une AA).
Bonjour.
C’est aussi assez variable suivant la technologie de rétro-éclairage utilisé par l’écran en question : Cela ne concerne en réalité qu’une partie des écran à éclairage par LED, qui était très fréquent à une époque.
En quelques mots, la méthode la plus simple pour créer une LED blanche étant de modifier une LED bleue, il en résulte une sur-représentation du bleu qui peux avoir divers effets nocifs.
On trouve aujourd’hui certains écrans qui intègrent eux même des filtres par rapport à cette lumière bleu, et certains écrans plus anciens (qui ne sont pas sur de l’éclairage LED) ne sont pas concerné par ce phénomène.
Pour ce qui est des adultes (c’est bien moins courant avec les enfants), de très nombreuses lunettes intègrent maintenant des filtres pour cette partie possiblement nocive du spectre lumineux.
Par ailleur de nombreux éclairages (hors écrans) se font aujourd'hui à bas de LED, et peuvent donc poser les même problèmes.
Pour les professionnels du domaine de la puériculture que j’ai pu interroger, au mieux il ne savais rien des conséquences sur les jeunes enfants, au pire ils répondais une bouillie un peu vague pour ne pas paraître ignorant sur le sujet (et donc n’en savais rien, mais ne souhaitais pas l’avouer)
Non pas avec de la location, mais avec des véhicules de services au bureau, je passe régulièrement d'un véhicule à l'autre pour certains trajets. Et pouvoir utiliser mon téléphone comme unité centrale du système multimédia du véhicule est une forme de tranquillité proche du bonheur.
Le système embarqué ne sert finalement que d'IHM, et je ne laisse aucune donnée dans le véhicule (et celle dans le téléphone y sont déjà assez largement de toute façon). Je préfère même me connecter directement en filaire, évitant même de configurer une liaison radio avec le véhicule.
J'en regretterai presque de mon côté de ne pas avoir qu'un système « IHM » qui se limite à cette fonction et n'essaye pas de me fournir d'autres outils dont les développements et la maintenance est au mieux hasardeuse.
Donc on limite à la consultation avec des interactions limités en mode tablette, et on repasse en configuration ordinateur quand on veux faire quelque chose de plus sérieux.
J’avais vu une référence avec un système de stylet qui permettrais plus de précision dans le pilotage de l’interface en mode tablette : Mais ça reste toujours un mode tablette - Pas fait pour travailler … ensuite travaille on tout le temps ?
Je ne sais pas si ça dépend du gestionnaire de bureau.
Même si l’on aura toujours des applications qui poseront des difficultés… mais si c’est le navigateur web c’est possiblement vite gênant.
Il y a plusieurs variantes, que ça soit le format «Tablette PC» avec clavier détachable (comme les MS Surface), des «Retournables» avec l’ordinateur qui se plie au point de retrouver le clavier à l’arrière (Le concept des «Yoga» chez Lenovo), des écrans pivotants (J’en avais vu il y a quelques années chez HP) ou même des formats classique avec juste un écran tactile (Mais j’ai du mal à voir cela comme très utilisable).
Après je suppose que matériellement les différents systèmes reviennent à peu près au même.
Peut-être avec une variante pour ceux qui prendraient en charge des stylets spécifiques.
Restant le côté Applicatif (et quelques doutes sur le clavier virtuel… même si pour vraiment faire de la saisie rien ne remplace un vrai clavier).
J’ai pour ma part une tablette compatible avec le service «Pocket», sur le papier c’est super … en pratique ça fonctionne pas.
La technologie est mature avec deux point qui la rendent inutilisable et inutile.
1 - Ça ne résiste pas aux paywall (ou alors seulement les plus simples). On se retrouve dans ce type de cas avec juste les premières lignes de l’article suivis du «Connectez vous …» - Service inutilisable dans ce cas.
2 - On manque de vrais articles, assez long, qui justifient de changer de matériel. On arrive aujourd’hui sur des choses qui sont tellement vide de sens et de contenu qu’on prend plus de temps à sortir la liseuse et sélectionner le bon menu qu’à lire le contenu.
Mais pour les articles un peu long, qui respecte les standards et qui n’est pas derrière un paywall (Donc aujourd’hui pas mal de contraintes), c’est vraiment confortable.
Pour moi l'un des problèmes du livre numérique est qu'il semble se contenter de vouloir dématérialiser le papier.
On y perd nécessairement sur certains aspects à la conversion.
Certains y verrons l'objet, son poids, sa prise en main, la capacité à l'exposer, la facilité à en tourner les pages, ou encore son odeur.
Et le paris est fait qu'un nombre significatif de personnes pourrons s'en satisfaire.
L'avantage de la dématérialisation simple, de pouvoir copier et distribuer avec un coût négligeable étant artificiellement, et à grand efforts, inhibé par les DRM.
Mais si le livre électronique pouvais être autre chose ?
Le format ePub reprend juste quelques standard HTML / CSS et même normalement SVG et JavaScript.
Sans aller dans la lourdeur dont est capable le Web actuel, cela pourrais cependant ouvrir de nombreuses possibilité impossible (ou compliqué) avec le papier.
Dans un exemple simple, on pourrais imaginer un écrit dont les détails changent suivant la date et l'heure pour rendre l'œuvre plus immersive :
Les transports en communs emprunté par notre héro sont surchargé en heure de pointe et pratiquement vide en fin de soirée.
Bonjour.
Pour avoir mis un serveur (Synapse) en place pour une association, le tout fonctionne bien avec l’application Element sous iOS (et d’autres systèmes)
Fonctionnement satisfaisant, et même pérennisé de notre coté (Nous venons de changer de serveur).
Bonjour.
Pour avoir eu la main sur différents modèles au bureau (Notamment du Logitech et du Plantronics) et en avoir profité pour tester sur un Linux … c’est du matériel reconnus de façon assez standard.
Tant que le matériel n’est pas spécialement exotique, je n’ai jamais eu de vrai problème avec du matériel de ce type sur un Linux moderne avec pulse audio.
Même chose pour les casques sans fils connecté en Bluetooth (qui eux par contre ne se lient pas toujours en USB, ce n’est pas toujours prévu par le constructeur)
Si «Jouer» se limite à faire tourner les derniers jeux à la mode, un ChromeBook sera pas suffisant.
Mais le monde (et l’histoire) du jeu vidéo est vaste, et plein de très bon titres qui se contentent même parfois de configurations très modestes.
Même un raspberry pi (qui pour le coup as la puissance d’un peu de mouche par rapport aux standards actuels) fait tourner une quantité de jeux impressionnante, avec les graphismes le l’époque, mais aussi parfois une âme de cette époque aussi.
«Half Life» (premier du nom) reste une référence du genre et demande une configuration aujourd’hui très faible.
Pour ne donner qu’un exemple.
Ce n’est juste pas fait pour faire fonctionner les jeux récent qui demandent une débauche de puissance pour fonctionner.
Mais ce n’est qu’une petite part de ce qui existe comme jeux vidéos.
Même chose, presque 15 ans de bépo (et appris en stage, en même temps que LaTeX, pour faire le rapport).
Disponible en natif sur les distributions Linux actuelles, et les outils existent pour à peu prés tout ce qui est récent (Sauf iOS).
J’ai peu perdu par rapport à l’Azerty, mais le manque de confort me frappe quand je doit l’utiliser.
Je fait (un peu) de PHP, Html, CSS, JS, Python, Bash et config diverses sans difficultés notables.
Les raccourcis claviers courant en bureautique se font avec un peu d’habitude. Je n’utilise pas VIM ou semblable.
Pour ma part utilisé sur un clavier au format classique (AZERTY ou QWERTY), un «Type Matrix» apportant un peu, mais moins que la disposition (et il est plus pratique d’utiliser le clavier interne du portable dans beaucoup de mes cas d’usage).
La configuration nécessaire est entre 8 et 12 Go de RAM, et 175Go d’espace disque (hors mise à jour du jeu).
Sans compter la carte graphique (sur le quel je ne connais rien) - Seul le CPU demandé, i3 ou i5 mini, semble accessible.
C’est une bonne grosse machine de jeux dont il as besoin, loin de la config « Bureautique + » à 600 / 800 € - Et à des plombes d’un chromebook.
On est sur le bon jeu AAA
—-
Oui il est probablement possible de jouer sur un ChromeBook à des FPS en multi. Un Quake 3, un Cube ou plein de trucs sympas dispo sur Steam ou GOG doivent pouvoir tourner, et il y as de quoi s’ammuser.
Mais j’ai un gros doute sur le fait que ce soit ce qui est recherché par notre nouveau venu.
Bonjour. Sur ce lien tu trouvera la configuration matérielle et logicielle demandée par ton jeu.
Tu n’as aucune chance de faire fonctionner ça sur un ChromeBook. Ce n’est juste pas fait pour.
Il existe toute une variété d’ordinateurs pour des usages très divers, et la grande difficulté du débutant est d’arriver à déterminer ce dont il as besoin pour son utilisation.
Les ChromeBook sont prévus pour naviguer sur le Web (De préférence sur les services Google) … rien d’autre.
Débrider la partie « Linux » qui lui sert de base permet d’en décupler les possibilités dans deux condition :
- Savoir utiliser un Linux de façon au moins intermédiaire
- Rester dans les limites physiques de la machine (et un core m3, c’est assez modeste)
Ce qui tu semble chercher, d'après ta question, c’est une puissante machine de jeu.
Tu veux jouer sans embrouille ? Prend une Xbox Series ou une PS5.
Tu ne tirera rien de plus qu’un téléphone portable au niveau jeu avec ton ChromeBook.
Si tu veux apprendre plus de chose sur le monde Linux, le Logiciel Libre, les libertés numérique … et tout le formidable monde qui l’entoure : Bienvenu à toi.
Mais vu la question, j’ai l’impression que tu t’est juste trompé de matériel et d’adresse :)
[^] # Imprimante en open-hardware
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au journal Sondage open-hardware. Évalué à 6 (+4/-0).
Quand on voit ce que l’on est capable de faire dans le domaine des impressions 3D et quand on voit tout le combat des utilisateurs face aux imprimantes sur papier, il serait tellement intéressant de voir un développement open-hardware sur ces impressions.
Que ce soit pour contrer les pratiques problématiques du domaine ou pour explorer d’autres optiques qui ne seraient pas vues comme économiquement rentables. Le tout pour répondre à de vrai besoins.
[^] # Re: La limite de la liberté... pour le mode examen. Normal.
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse à la dépêche La liberté des calculatrices graphiques ?. Évalué à 3 (+1/-0).
Ces calculatrices graphiques pourraient être un formidable terrain de découverte de l’informatique pour tous les lycéens qui les possèdent (et qui sont la masse de ce marché).
Mais, et c’est bien l’objet de ma réflexion dans cette dépêche, ce sont des univers très fermés… et qui le sont de plus en plus.
Ce billet de Bernard PARISSE en parle assez bien en faisant un bilan de situation… datant de 2021. La situation ne semble pas évoluer dans un meilleur sens depuis.
Et ces lycéens n’ont pas le choix.
Pas le choix de la marque, étant imposé par la politique de l’établissement scolaire.
NumWork n’a représenté qu’un vent d’ouverture à ceux qui avaient l’occasion.
De moins en moins de choix, même dans les applications tierces qui étaient propres aux constructeurs.
L’émulateur (qui est l’objet de ma réponse) est l’un des plus ouverts dans ce monde très très fermé. La moins mauvaise des solutions peut-être, mais dans des choix qui sont très limités, surtout pour les utilisateurs finaux (que sont les lycéens).
Peux-on parler du propriétaire… et pas qu’en mal ?
C’est une question que l’on s'est posée à l’occasion d’une table ronde dans le GULL local il y a peu, sous le titre « Libre de faire un choix non "libre" ? ».
Et je trouve qu’il est important de pouvoir en parler, de ne pas voir le monde comme tout blanc ou tout noir, d’avoir conscience que nous avons tous nos contraintes et nos vies.
Que les choix ne se limitent pas à Libre ou Non Libre
Nous devons individuellement faire nos choix avec des composantes multifactorielles.
La liberté numérique en est une, comme l’est l’impact écologique, l’impact financier, la dépendance aux autres, l’impact sur les communautés dans lesquelles nous sommes acteurs… et bien d’autres choses, que nous pondérerons chacun à notre manière.
Comme acteur dans le libre, je n’essaye que d’informer ceux qui le veulent pour bien qu’ils aient les clefs pour bien positionner cet indicateur de liberté numérique pour eux-mêmes.
[^] # Re: La limite de la liberté... pour le mode examen. Normal.
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse à la dépêche La liberté des calculatrices graphiques ?. Évalué à 4 (+3/-1).
Mode examen
C’est effectivement l’argument du mode examen et des firmwares modifiés qui permettent de simuler faussement son comportement qui a justifié le verrouillage de mise à jour du firmware. Notamment lors de l’étendue de leur cible commerciale à d’autres pays.
Mais…
Je ne dois pas être le seul à imaginer qu’un petit montage électronique puisse simuler le « mode examen » assez simplement. Ça demanderait de toucher au matériel de la calculatrice et serait assurément moins simple à diffuser, mais ça ne me semble pas très loin d’être inaccessible (Je suis de la génération à laquelle l’on soudait des puces dans les PlayStation pour les débrider).
Pourquoi ne pas brider que cette fonction de mode examen à la présence d’un firmware officiel. Je conçois que ça puisse être compliqué si le matériel n’est pas prévu pour, mais il y a eu au moins deux révisions matérielles depuis l’arrivée de ce verrouillage.
Pourquoi ne pas permettre alors un firmware alternatif, le conditionnant avec la perte du mode examen ?
Les sources d’Epsilon est et restent lisibles sur GitHub, mais avec des licences changeantes, qui reviennent aujourd’hui à du « tout droit réservé ». Ça me parait assez contradictoire.
La qualité des NumWork
Même si elles sont moins libres que la promesse d’origine et moins ouvertes qu’elle ne l’était à une époque, je ne nie pas ces possibles qualités (je n’en ai jamais eu réellement en main).
L’émulateur est effectivement une grande force, disponible en Web et en application mobile, pour la version de l’éditeur, mais aussi pour les alternatives.
Qu’il soit disponible entièrement, gratuitement et sans même une inscription, est une rareté, voire une exception, dans ce que j’ai exploré du monde des calculatrices.
C’est un vrai point à souligner.
Upsilon propose même des compilations en client lourd (mais je n’ai pas testé)
# Étudions avec un cas pratique
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au journal Tracim a besoin de votre aide.. Évalué à 5. Dernière modification le 05 septembre 2024 à 10:58.
Bonjour.
Je me mets dans le cas (réel) d’une petite association qui aurait besoin d’une solution collaborative et qui regarde ce qui se fait : un petit LUG (oui, ça existe encore) qui essaye de survivre à sa façon. Et oui, par simple notoriété, nous discutons « Nextcloud » car c’est l’un des acteurs important du marché, mais nous n’y somme pas encore.
Allons voir le site web.
Je ne connais pas «Tracim» et je suis donc parti voir le site dans l’idée de « pourquoi pas ».
Bon point, on voit que le style graphique est travaillé.
Mauvais point, après avoir parcouru les quelques pages du site, je reste toujours avec l’impression que je ne sais pas ce que fait l’outil.
Je sais que l’offre « Cloud » est à 45€ mensuels (ce qui pour une association qui a 130€ de budget annuel est simplement inenvisageable), mais ne sais pas ce qui distingue cette version de l’offre « Home ».
Allons voir GitHub.
Étant de ceux qui faisaient confiance à Gandi … la refonte de notre système d’information est en cours. Et nous avons même désigné deux « administrateurs systèmes » parmi nos membres (j’en fais partie).
Avec NextCloud, on prend à peu près n'importe quel hébergement LAMP mutualisé, on y colle les fichiers et ça fonctionne à peu près tout de suite.
Avec Tracim … bah déjà, les liens vers la doc sont cassés. Alors oui, on les retrouve quand on va chercher à la main, mais il y a immédiatement une impression qui se dégage : Si je dois déjà jouer de la bidouille pour la documentation… ça va donner quoi sur le produit installé ?
Après, reste le côté « lancez le script et fermez les yeux » qui ne me plait jamais vraiment. Même si je crois qu’ici, c'est plus « lancez les scripts ».
Et la suite ?
J’ai exposé ma vision à chaud et je ne suis pas allé plus loin dans l’outil, n’ayant notamment pas compris s'il pouvait correspondre à nos modestes besoins.
# Le bon trajet et le bon type d’assistance
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Des e-cyclistes dans le coin ?. Évalué à 3.
Bonjour.
Sans être un grand cycliste, j’ai eu l’occasion de tester plusieurs type de fonctionnement, et d’avoir fait un peu de trajet urbain.
Le trajet
Le trajet en vélo n’est pas celui en voiture.
Nos routes, nos plans, nos villes et nos panneaux sont dessiné pour la voiture. Et si on veux éviter de trop cohabiter avec elle, le trajet à vélo peux être complètement différent.
J’ai découvert des petits passages, un bout de piste cyclable, et j’emprunte plus de petites rues quand je circule à vélo (ou autre que la voiture).
L’assistance
Il existe plusieurs type d’assistances qui réagissent assez différemment.
Le plus simple techniquement est un système installé dans la roue : Tu sélectionne une vitesse, et quand tu pédale (enfin que le capteur du pédalier vois passer un mouvement une fois de temps en temps), la roue tourne à la vitesse sélectionnée.
Pas cher, et quand tu te débrouille un peu, en pédalant à peine, c’est l’ « assistance » qui fait tout le boulot. Zéro fatigue, pas beaucoup plus d’exercice. Ça fait presque « Mini-Moto ». Certains poussant le concept avec des « Speed-Bike » qui montent sans plus d’efforts jusque 45 KMh : Ce qui n’est plus un vélo au sens du code de la route.
Le second système, avec un moteur dans le pédalier, est progressive : Plus tu pédale fort, plus le vélo va vite.
Il y as un réglage du niveau d’assistance que t’apporte le moteur, et donc à quel pourcentage il t’aide à atteindre (ou pas) les 25 KMh réglementaires.
Je préfère personnellement largement ce système. Je règle l’assistance au plus bas, et ça me fait faire de l’exercice (Si je ne pédale pas avec un peu de force … bah ça n’avance pas). Et si il y as une côte que je ne sent pas, ou simplement que je fatigue pour le retour, je peux mettre l’assistance à un niveau plus élevé.
# Un Psion série 5
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au sondage Quelle est ma suite bureautique libre ? . Évalué à 3.
Un ordinateur de poche de 1997 qui veux bien communiquer soit en série (mais j’ai pas le câble avec le connecteur proprio côté machine) soit en Infra Rouge.
Et pour gérer quelques notes avec un peu de mise en forme, ou un bout de tableau avec quelques formules … ça fonctionne encore vraiment bien.
[^] # Re: D'autres personnes ont eu le même souci, mais pas de solutions rapportées jusqu'à présent
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Vie privée - Aliexpress et mon microphone. Évalué à 3.
Je n’ai vu aucune demande d'accès au micro avec Firefox sous MacOS quand j’ai essayé (en réponse au premier message).
Si c’est un bug sous safari, il est particulièrement ciblé. Mais rien n’est a exclure.
[^] # Re: et avec firefox y'a le même problème ?
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Vie privée - Aliexpress et mon microphone. Évalué à 2.
Je viens de tester avec FireFox (sur le même ordinateur), qui effectivement n’as pas demandé d’accès au microphone. Même si il peux le demander dans les réglages systèmes.
Mais aucun indicateur d’utilisation du Microphone n’est apparu.
[^] # Re: D'autres personnes ont eu le même souci, mais pas de solutions rapportées jusqu'à présent
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Vie privée - Aliexpress et mon microphone. Évalué à 5. Dernière modification le 24 juin 2024 à 17:38.
J’accèdes aux sites internet par de multiples moyens, et cette configuration (Apple / MacBook / Safari) n’en est qu’une parmi d’autres que j’utilise au quotidien (dont pas mal de choses sous Linux … d’ou ma manie de trainer ici)
Quand certains système sensible pour la vie privée, tel que l’utilisation du microphone, sont utilisé sous MacOS, un point orange et une icône de micro sur fond orange apparaissent dans la zone en haut à droite de l’écran.
C’est assez visuel pour montrer que le micro est utilisé. Un clic sur cette icône indique la ou les applications utilisatrices. Il était ici noté «Safari» sans indication plus précise de l’application web demandeuse de l’accès.
Je n’ai pas souvenir d’avoir une indication aussi claire sur les bureaux linux que j’utilise (enfin surtout XFCE), même si ça devrais être visible dans les GUI lié à Pulse Audio.
Les liens donné sont interessants, si ils ne donnent pas de réponses, ils confirment que je ne suis pas un cas isolé.
# Le duo gagnant
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Cherche souris à adopter pour longue relation. Évalué à 3.
J’utilise pas de souris.
Trackpoint, Touchpad, Trackball, Tablette graphique, …
Il y as parfois des alternatives largement sous estimée, mais bien pratique pour faire bouger le curseur.
Bon, pour être dans le sujet : Quand je conseille de l’achat de souris, je reste toujours sur « Logitech ou Microsoft » un modèle simple, sans fioriture (qui servent pas forcément).
Ça fait juste bien son boulot et pour les sans fils ça as une vraie autonomie (au moins 1 an sur une AA).
[^] # Re: Protéger les yeux
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au journal Les écrans : voilà l’ennemi ? Bouquet de liens. Évalué à 3.
Bonjour.
C’est aussi assez variable suivant la technologie de rétro-éclairage utilisé par l’écran en question : Cela ne concerne en réalité qu’une partie des écran à éclairage par LED, qui était très fréquent à une époque.
En quelques mots, la méthode la plus simple pour créer une LED blanche étant de modifier une LED bleue, il en résulte une sur-représentation du bleu qui peux avoir divers effets nocifs.
On trouve aujourd’hui certains écrans qui intègrent eux même des filtres par rapport à cette lumière bleu, et certains écrans plus anciens (qui ne sont pas sur de l’éclairage LED) ne sont pas concerné par ce phénomène.
Pour ce qui est des adultes (c’est bien moins courant avec les enfants), de très nombreuses lunettes intègrent maintenant des filtres pour cette partie possiblement nocive du spectre lumineux.
Par ailleur de nombreux éclairages (hors écrans) se font aujourd'hui à bas de LED, et peuvent donc poser les même problèmes.
Pour les professionnels du domaine de la puériculture que j’ai pu interroger, au mieux il ne savais rien des conséquences sur les jeunes enfants, au pire ils répondais une bouillie un peu vague pour ne pas paraître ignorant sur le sujet (et donc n’en savais rien, mais ne souhaitais pas l’avouer)
# Téléphone comme unité centrale multimédia.
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au journal Les tribulations d’un GPS embarqué, encore… Et l'avenir , Android Auto et Carplay ?. Évalué à 4.
Non pas avec de la location, mais avec des véhicules de services au bureau, je passe régulièrement d'un véhicule à l'autre pour certains trajets. Et pouvoir utiliser mon téléphone comme unité centrale du système multimédia du véhicule est une forme de tranquillité proche du bonheur.
Le système embarqué ne sert finalement que d'IHM, et je ne laisse aucune donnée dans le véhicule (et celle dans le téléphone y sont déjà assez largement de toute façon). Je préfère même me connecter directement en filaire, évitant même de configurer une liaison radio avec le véhicule.
J'en regretterai presque de mon côté de ne pas avoir qu'un système « IHM » qui se limite à cette fonction et n'essaye pas de me fournir d'autres outils dont les développements et la maintenance est au mieux hasardeuse.
[^] # Re: Réponse de Normand
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Écran Tactile. Évalué à 3.
Donc on limite à la consultation avec des interactions limités en mode tablette, et on repasse en configuration ordinateur quand on veux faire quelque chose de plus sérieux.
J’avais vu une référence avec un système de stylet qui permettrais plus de précision dans le pilotage de l’interface en mode tablette : Mais ça reste toujours un mode tablette - Pas fait pour travailler … ensuite travaille on tout le temps ?
… simple question philosophique personnelle.
[^] # Re: Ce n'est pas encore la panacée
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Écran Tactile. Évalué à 2.
Je ne sais pas si ça dépend du gestionnaire de bureau.
Même si l’on aura toujours des applications qui poseront des difficultés… mais si c’est le navigateur web c’est possiblement vite gênant.
[^] # Re: Les 2 en 1
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Écran Tactile. Évalué à 2.
Il y a plusieurs variantes, que ça soit le format «Tablette PC» avec clavier détachable (comme les MS Surface), des «Retournables» avec l’ordinateur qui se plie au point de retrouver le clavier à l’arrière (Le concept des «Yoga» chez Lenovo), des écrans pivotants (J’en avais vu il y a quelques années chez HP) ou même des formats classique avec juste un écran tactile (Mais j’ai du mal à voir cela comme très utilisable).
Après je suppose que matériellement les différents systèmes reviennent à peu près au même.
Peut-être avec une variante pour ceux qui prendraient en charge des stylets spécifiques.
Restant le côté Applicatif (et quelques doutes sur le clavier virtuel… même si pour vraiment faire de la saisie rien ne remplace un vrai clavier).
Merci pour ce premier retour.
[^] # Re: Pas de problème de DRM
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au journal Les DRM, ma liseuse et moi. Évalué à 5.
J’ai pour ma part une tablette compatible avec le service «Pocket», sur le papier c’est super … en pratique ça fonctionne pas.
La technologie est mature avec deux point qui la rendent inutilisable et inutile.
1 - Ça ne résiste pas aux paywall (ou alors seulement les plus simples). On se retrouve dans ce type de cas avec juste les premières lignes de l’article suivis du «Connectez vous …» - Service inutilisable dans ce cas.
2 - On manque de vrais articles, assez long, qui justifient de changer de matériel. On arrive aujourd’hui sur des choses qui sont tellement vide de sens et de contenu qu’on prend plus de temps à sortir la liseuse et sélectionner le bon menu qu’à lire le contenu.
Mais pour les articles un peu long, qui respecte les standards et qui n’est pas derrière un paywall (Donc aujourd’hui pas mal de contraintes), c’est vraiment confortable.
[^] # Dématérialiser le papier
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au journal Les DRM, ma liseuse et moi. Évalué à 5. Dernière modification le 28 août 2022 à 18:59.
Pour moi l'un des problèmes du livre numérique est qu'il semble se contenter de vouloir dématérialiser le papier.
On y perd nécessairement sur certains aspects à la conversion.
Certains y verrons l'objet, son poids, sa prise en main, la capacité à l'exposer, la facilité à en tourner les pages, ou encore son odeur.
Et le paris est fait qu'un nombre significatif de personnes pourrons s'en satisfaire.
L'avantage de la dématérialisation simple, de pouvoir copier et distribuer avec un coût négligeable étant artificiellement, et à grand efforts, inhibé par les DRM.
Mais si le livre électronique pouvais être autre chose ?
Le format ePub reprend juste quelques standard HTML / CSS et même normalement SVG et JavaScript.
Sans aller dans la lourdeur dont est capable le Web actuel, cela pourrais cependant ouvrir de nombreuses possibilité impossible (ou compliqué) avec le papier.
Dans un exemple simple, on pourrais imaginer un écrit dont les détails changent suivant la date et l'heure pour rendre l'œuvre plus immersive :
Les transports en communs emprunté par notre héro sont surchargé en heure de pointe et pratiquement vide en fin de soirée.
[^] # Re: cohérence
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message [Achète] Raspberry pi 4. Évalué à 2.
J’en pense que tu aurais plus de réponse en ouvrant un sujet à part sur le forum :-)
# Ça tourne !
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Messagerie instantanée : MATRIX ou XMPP ?. Évalué à 4.
Bonjour.
Pour avoir mis un serveur (Synapse) en place pour une association, le tout fonctionne bien avec l’application Element sous iOS (et d’autres systèmes)
Fonctionnement satisfaisant, et même pérennisé de notre coté (Nous venons de changer de serveur).
# A peu prés n’importe quoi ?
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Micro-casque USB. Évalué à 2.
Bonjour.
Pour avoir eu la main sur différents modèles au bureau (Notamment du Logitech et du Plantronics) et en avoir profité pour tester sur un Linux … c’est du matériel reconnus de façon assez standard.
Tant que le matériel n’est pas spécialement exotique, je n’ai jamais eu de vrai problème avec du matériel de ce type sur un Linux moderne avec pulse audio.
Même chose pour les casques sans fils connecté en Bluetooth (qui eux par contre ne se lient pas toujours en USB, ce n’est pas toujours prévu par le constructeur)
[^] # Re: Tu t’est trompé d’ordinateur !
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Chromebook asus intel core m3. Évalué à 3.
Si «Jouer» se limite à faire tourner les derniers jeux à la mode, un ChromeBook sera pas suffisant.
Mais le monde (et l’histoire) du jeu vidéo est vaste, et plein de très bon titres qui se contentent même parfois de configurations très modestes.
Même un raspberry pi (qui pour le coup as la puissance d’un peu de mouche par rapport aux standards actuels) fait tourner une quantité de jeux impressionnante, avec les graphismes le l’époque, mais aussi parfois une âme de cette époque aussi.
«Half Life» (premier du nom) reste une référence du genre et demande une configuration aujourd’hui très faible.
Pour ne donner qu’un exemple.
Ce n’est juste pas fait pour faire fonctionner les jeux récent qui demandent une débauche de puissance pour fonctionner.
Mais ce n’est qu’une petite part de ce qui existe comme jeux vidéos.
[^] # Re: et une question bête ?
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message [HDD] : Passage de l'OS Raspian vers Raspi Debian. Évalué à 2.
Pour les Pi Zero qui doivent utiliser le même CPU que les v1 ?
[^] # Re: Retour sur le bépo
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Retour d'expérience sur les dispositions de claviers ?. Évalué à 4.
Même chose, presque 15 ans de bépo (et appris en stage, en même temps que LaTeX, pour faire le rapport).
Disponible en natif sur les distributions Linux actuelles, et les outils existent pour à peu prés tout ce qui est récent (Sauf iOS).
J’ai peu perdu par rapport à l’Azerty, mais le manque de confort me frappe quand je doit l’utiliser.
Je fait (un peu) de PHP, Html, CSS, JS, Python, Bash et config diverses sans difficultés notables.
Les raccourcis claviers courant en bureautique se font avec un peu d’habitude. Je n’utilise pas VIM ou semblable.
Pour ma part utilisé sur un clavier au format classique (AZERTY ou QWERTY), un «Type Matrix» apportant un peu, mais moins que la disposition (et il est plus pratique d’utiliser le clavier interne du portable dans beaucoup de mes cas d’usage).
Pour ma part, pleinement convertis au BÉPO
[^] # Re: Tu t’est trompé d’ordinateur !
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Chromebook asus intel core m3. Évalué à 4.
La configuration nécessaire est entre 8 et 12 Go de RAM, et 175Go d’espace disque (hors mise à jour du jeu).
Sans compter la carte graphique (sur le quel je ne connais rien) - Seul le CPU demandé, i3 ou i5 mini, semble accessible.
C’est une bonne grosse machine de jeux dont il as besoin, loin de la config « Bureautique + » à 600 / 800 € - Et à des plombes d’un chromebook.
On est sur le bon jeu AAA
—-
Oui il est probablement possible de jouer sur un ChromeBook à des FPS en multi. Un Quake 3, un Cube ou plein de trucs sympas dispo sur Steam ou GOG doivent pouvoir tourner, et il y as de quoi s’ammuser.
Mais j’ai un gros doute sur le fait que ce soit ce qui est recherché par notre nouveau venu.
# Tu t’est trompé d’ordinateur !
Posté par SlowBrain (site web personnel) . En réponse au message Chromebook asus intel core m3. Évalué à 4.
Bonjour.
Sur ce lien tu trouvera la configuration matérielle et logicielle demandée par ton jeu.
Tu n’as aucune chance de faire fonctionner ça sur un ChromeBook. Ce n’est juste pas fait pour.
Il existe toute une variété d’ordinateurs pour des usages très divers, et la grande difficulté du débutant est d’arriver à déterminer ce dont il as besoin pour son utilisation.
Les ChromeBook sont prévus pour naviguer sur le Web (De préférence sur les services Google) … rien d’autre.
Débrider la partie « Linux » qui lui sert de base permet d’en décupler les possibilités dans deux condition :
- Savoir utiliser un Linux de façon au moins intermédiaire
- Rester dans les limites physiques de la machine (et un core m3, c’est assez modeste)
Ce qui tu semble chercher, d'après ta question, c’est une puissante machine de jeu.
Tu veux jouer sans embrouille ? Prend une Xbox Series ou une PS5.
Tu ne tirera rien de plus qu’un téléphone portable au niveau jeu avec ton ChromeBook.
Si tu veux apprendre plus de chose sur le monde Linux, le Logiciel Libre, les libertés numérique … et tout le formidable monde qui l’entoure : Bienvenu à toi.
Mais vu la question, j’ai l’impression que tu t’est juste trompé de matériel et d’adresse :)