thoasm a écrit 9557 commentaires

  • [^] # Re: Simulation

    Posté par  . En réponse au journal Une simulation de drone de combat qui tourne mal. Évalué à 2.

    Un algorithme est la modélisation d'un calcul. Un programme est un fichier exécutable qui lorsqu'on le lance effectue un calcul. Il peut avoir été modélisé via un algorithme ou être généré généralement par un autre programme.

    Ça fonctionne pas comme définition, je pense. Le modèle appris n’est pas un fichier exécutable, c’est des données pour un programme exécutable.

    Les IA sont simplement des programmes où au lieu de décrire de manière plus ou moins impérative l'algorithme définissant son comportement, on a utilisé une technique se basant sur une phase d'apprentissage et il extrapole les cas qu'il n'a pas déjà rencontré.

    Donc une régression linéaire qu’on extrapole est une IA :)

    Je pense qu’il faut plus se concentrer sur la définition du problème. Pour qu’il y ait IA il faut que le problème soit difficile à résoudre, par exemple parce qu’il y a un espace de recherche très grand qu’il est impossible d’explorer en entier exhaustivement (exemple, les échecs ou le go, qui ne sont pas des problèmes mathématiquement résolus) ou alors comme dans le cas de la résolution d’image, ou du traitement automatique de langue qui soient compliqués ne serait-ce que parce que le problème est difficile à formaliser. Il y a un espace gigantesque, l’espace des images ou l’espace des textes avec du sens, auquel il faut "donner du sens" d’une manière ou d’une autre.

    Une IA est un programme qui arrive à se dépatouiller et à produire des résultats exploitables dans ce vaste espace dans un grand nombre de cas.

    Dans le cas des maths, par exemple, on peut potentiellement qualifier d’IA un programme qui arrive à se dépatouiller avec à la fois la résolution d’équation, la planification, ou à partir de la description mathématique du jeu d’échec il arrive à y jouer, ou à résoudre des problèmes pour lesquels il a pas été conçu.

  • [^] # Re: SVP

    Posté par  . En réponse au journal Vraiment toujours pas convaincu par l'Hydroxychloroquine ?. Évalué à 10.

    Tu l’as déjà dit. Des gens ont répondus avec des arguments. Tu n’as pas répondu sur le fond. Tu ressors l’argument tel quel. Bravo si tu souhaites faire exploser le nombre de commentaires, ça t’a valu un commentaire de plus.

  • [^] # Re: Les sociétés savantes du secteur n'approuvent pas

    Posté par  . En réponse au journal Vraiment toujours pas convaincu par l'Hydroxychloroquine ?. Évalué à 10.

    C’est toi qui semble vouloir répandre la vérité la vraie. Il est donc important de donner confiance dans le fait que la chaîne que suit les informations est fiable et pas pleine de courants d’airs qui viennent de nulle part ou de menteurs patentés.

  • [^] # Re: Les sociétés savantes du secteur n'approuvent pas

    Posté par  . En réponse au journal Vraiment toujours pas convaincu par l'Hydroxychloroquine ?. Évalué à 7. Dernière modification le 03 juin 2023 à 11:24.

    Appliques tu un protocole d’évaluation qui permet d’éviter les doubles standards, genre passer à une des sources d’information exactement la chose que tu considérerais comme rédhibitoire pour l’autre ?

    Genre "je pardonne pas au Monde d’avoir dit une connerie un jour" versus "oui, il y a pleins de conneries sur France Soir, mais, tu vois, je les aime bien".

  • [^] # Re: Simulation

    Posté par  . En réponse au journal Une simulation de drone de combat qui tourne mal. Évalué à 3.

    Tu n'expliques pas la différence que tu fais entre programme et algorithme :) On peut pourtant poser une équation si on reste sur des définitions vagues.

    L'apprentissage en ligne / hors ligneC'est plus une limite pratique, l'apprentissage est plus coûteux que le calcul donc ona une phase distincte mais il y a pas d'opposition des principe a faire de l'apprentissage au fil de l'eau en rajoutant des exemples au fils de l'existence du programme. Et aussi parce que pour que ça marche il faut pleins de données donc si on faisait ça uniquement en ligne on aurait jamais de bons résultats parce que pas assez d'exemples, il faut au minimum un pré apprentissage important.

    Il y a aussi des algos qui font de l'apprentissage tout a fait en même temps que la résolution du programme, comme les algos pour SAT, le problème de savoir s'il y a des valeurs aux variables qui rendent une formule booléenne vraie. Les algos sats qui fonctionnent diablement bien font du :en:conflict-driven clause learning, qu'on peut voir comme l'apprentissage de structures de la formule à éviter pour une résolution efficace qu'on saurait pas faire à priori, qu'il s'agit d'ajouter et supprimer intelligemment parce qu'il y a pas une mémoire infinie pour tout apprendre. Pourtant c'est clairement un algorithme dans tous les sens qu'on peut lui donner. On peut voir la mémoire dediée a l'apprentissage dans ce cas comme un certain nombre de paramètres d'état de l'algo qu'il fait évoluer au fur et à mesure de l'exécution. Est-ce de l'IA ?

    Dans le cas de la reconnaissance d'image, on sait a peu près quel type de traitements on veut pouvoir faire, genre de la reconnaissance de bords, extraire les hautes ou les basses fréquences, avoir des trucs invariants pas translation ou par zoom/de zoom dans la mesure du possible mais en réglant les chaînes de traitements à la main on a des résultats que médiocres parce que c'est de l'essai/erreur et que la bande passante des humains est limitée et qu'on est infichus d'imaginer a priori quels sont les critères qui vont marcher suffisamment. Donc on crée un réseau capable de faire tous les calculs pertinents qu'on imagine dans le principe, qui va pouvoir tester pleins de combinaisons de critères pour trier le signal du bruit. On a donc un système qui va tourner les boutons à notre place et qui va explorer cet espace des possibles à grande vitesse avec pour principe "tiens quand on tourne un peu par là ca marche un peu mieux" et pleins d'exemples …

  • [^] # Re: Simulation

    Posté par  . En réponse au journal Une simulation de drone de combat qui tourne mal. Évalué à 4.

    On a un algo. En excluant la phase d'apprentissage il prend deux chose en entrées : un modèle genre réseau de neurones, issu de l'apprentissage, et les données du problème à résoudre à l'instant.

    L'algo et le réseau sont connus d'avance, on peut donc assimiler ça à un algorithme. Il faut bien savoir comment utiliser les données du modèle. La clé en ce qui concerne l'apprentissage automatique c'est pas une opposition "il y a un algo ou pas" c'est "il y a pleins de paramètres (un état de l'algo) qui peuvent potentiellement varier au cours de l'exécution.

    Un autre aspect est l'aspect "résolution exacte" ou "résolution heuristique". Si c'est un problème de maths genre SAT ou un système d'équations sur des nombres entiers, on peut espérer trouver la solution à tout les coups avec notre programme, même s'il a un état qui lui permet d'avoir une mémoire qui apprends des propriétés mathématiques du problème pour accélérer la résolution … et si le problème est vraiment dur, on peut avoir une méthode approchée comme une valeur à optimiser haute mais qu'on arrive pas à montrer optimale.

    A l'inverse si le problème c'est "est-ce qu'il y a une vache sur la photo" c'est plus tellement un problème bien défini mathematiquement, on aura plus des objectifs comme "essayer de minimiser les erreurs en pratique", mais c'est nécessairement "heuristique" et c'est plus en ce sens qu'on peut parler de "pas algorithme" si on prend une définition restrictive d'algorithme : solution qui est complète et exacte sur un problème mathematiquement bien posée.

    Bref le tableau est pas évident. IA c'est un terme un peu mouvant historiquement. Aujourd'hui c'est synonyme d'apprentissage, mais dans les jeux on qualifiait d'ia des joueurs artificiels sans apprentissage automatique. Quand on aura des bons systèmes pour démontrer automatiquement des theorèmes, que ce soit par apprentissage ou non (c'est probable qu'il y ait un peu d'heuristiques dedans) on pourra qualifier ça d'ia quoi qu'il arrive.

  • [^] # Re: Les sociétés savantes du secteur n'approuvent pas

    Posté par  . En réponse au journal Vraiment toujours pas convaincu par l'Hydroxychloroquine ?. Évalué à 7. Dernière modification le 02 juin 2023 à 18:38.

    Tiens si tu peux, par exemple, essayer de faire une explication de texte sur ce que cet édito est supposé raconter : https://www.francesoir.fr/opinions/rechauffement-climatique-geo-ingenierie-va-t-elle-fermer-portes-espace parce que c’est un peu confus.

    "On nous a supprimé les CFCs parce que bon soit disant la couche d’ozone mais en fait les Chinois continuent d’en émettre pourtant ça se rebouche et voilà que maintenant paf on nous racontes que le réchauffement climatique paf serait un danger aussi mais ou va-t-on soit disant on s’est foutu de notre gueule" serait un bon résumé … On dirait le tonton raciste qui a trop bu à un repas de famille, toujours pas compris ou c’était supposé aller.

    Et l’auteur est … le directeur …

  • [^] # Re: Les sociétés savantes du secteur n'approuvent pas

    Posté par  . En réponse au journal Vraiment toujours pas convaincu par l'Hydroxychloroquine ?. Évalué à 10.

    France Soir n’a plus de journalistes. A quelle éthique obéit la publication sur FranceSoir ?

    François Lazareff, neveu du fondateur du journal, Pierre Lazareff, s'est déclaré « choqué » du contenu du site : « Quand le traitement d’une information est aussi unilatéral, ce n’est plus du journalisme. »

    Certainement pas une éthique pluraliste. Dans le même temps, si tu veux varier tes sources d’informations, tu peux suivre, ben des professionnels de la santé en direct par différents canaux, par exemple qui analysent les publis de Raoult sur Youtube avec des yeux de professionnels. Il y a eu des liens dans les journaux de ces derniers jours. Tu les a visionné ou c’est trop pluraliste pour toi comme source d’information ?

    Comment son sélectionnées les informations publiées par FranceSoir ? J’espère que tu en as au moins une vague idée ! Qui, pourquoi, uniquement des passionnés de Vérité qui ne font rien que, euh, quoi d’ailleurs ?

  • [^] # Re: Simulation

    Posté par  . En réponse au journal Une simulation de drone de combat qui tourne mal. Évalué à 3.

    "La Société générale dément avoir perdu 5 milliards d'euros"

  • [^] # Re: poster un tel journal est dangereux.

    Posté par  . En réponse au journal Une simulation de drone de combat qui tourne mal. Évalué à 10.

    Ouf, ça va, on est tranquille avec l’hypocrisie.

  • [^] # Re: soutien international au professeur Raoult et son équipe

    Posté par  . En réponse au journal Vraiment toujours pas convaincu par l'Hydroxychloroquine ?. Évalué à 8.

    Vous comptez lui faire quoi à la meute des enragés quand vous serez au pouvoir ? Non je demande parce que bon, vu comment on est considérés, j’imagine que ce sera pas marrant pour tout le monde.

  • [^] # Re: pourquoi ?

    Posté par  . En réponse au journal C'était en 2020. Évalué à 10.

    Bah manifestement oui, tu réponds !

  • [^] # Re: pourquoi ?

    Posté par  . En réponse au journal C'était en 2020. Évalué à 10.

    Fuir, tu veux dire après leur avoir jeté un bout de gras depuis le haut du rempart ? Ah oui, quel courage !

  • [^] # Re: pourquoi ?

    Posté par  . En réponse au journal C'était en 2020. Évalué à 7.

    Continue sur ta lancée ! Tu semblerai presque avoir un argument, mais ça reste plus qu’allusif. Note : insuffisant.

  • [^] # Re: pourquoi ?

    Posté par  . En réponse au journal C'était en 2020. Évalué à 10.

    Bah tu réponds jamais aux message argumentés, à part par des allusions laconiques ! Ou alors tu fais allusion à autre chose mais va falloir clarifier.

  • [^] # Re: pourquoi ?

    Posté par  . En réponse au journal C'était en 2020. Évalué à 10.

    Au bout d’un moment, quand il semble qu’on parle à un mur qui se contente essentiellement de poser des questions et se barrer, sans que la discussion avance, on peut questionner les intentions ou la bonne foi du mur. Pour avoir une vraie discussion il faut être plusieurs à être à peu près de bonne foi.

  • [^] # Re: pourquoi ?

    Posté par  . En réponse au journal C'était en 2020. Évalué à 10.

    Cette analyse n’est pas obsolète, Raoult n’a jamais reconnu d’erreur méthodologique. Il n’y a donc plus aucune raison de lui accorder de la crédibilité. Ses derniers papiers sont tout autant truffé d’erreurs de méthode que ses premiers, il n’a pas appris de ses erreurs. On peut donc rejeter son dernier papier sans prendre la peine de le lire. Et ceux qui l’ont lu … demandent des comptes sur comment le monde scientifique et politique a pu laisser ces dérives se poursuivre malgré une inconduite scientifique qui fait sortir le tout du cadre de la science et de l’éthique depuis bien longtemps : il n’aurait jamais du sortir son histoire avec plus de 30 000, et il ne la publiera nulle part, pour ce qui concerne la science.

  • [^] # Re: Merci et rebelle attitude

    Posté par  . En réponse au journal C'était en 2020. Évalué à 5.

    Raoult a beaucoup causé pendant l’épidémie, genre tous les matins sur Youtube, donc ce serait pas étonnant qu’il ait raillé cette étude étant donné que … ben elle l’arrangeait pas. Seulement il a dû aussi railler des tas d’études non rétractée, on sait ou est le Nord de sa boussole.

  • [^] # Re: Merci et rebelle attitude

    Posté par  . En réponse au journal C'était en 2020. Évalué à 6.

    Étude publiée le 22 mai, rétractée le 4 juin https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/06/03/hydroxychloroquine-le-journal-the-lancet-met-en-garde-contre-une-etude-publiee-dans-ses-colonnes_6041583_3244.html https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/06/04/hydroxychloroquine-trois-auteurs-de-l-etude-du-lancet-se-retractent_6041803_1650684.html … Et rien ne prouve qu’il ait fallu "attendre Raoult", il semble que des gens aient juste tenté de remonter à la source des données.

    Dans le texte de la rétractation publié par ce dernier, les trois coauteurs expliquent qu’ils avaient lancé un audit sur l’origine des données, mais les chercheurs qu’ils avaient mandatés pour effectuer cette analyse indépendante « nous ont informés que Surgisphere ne transmettrait pas l’ensemble des données, les contrats des clients et l’audit de leur certification ISO »

    On était dans un écoulement du temps plus qu’inhabituel, et c’est super rapide. On peut soupçonner que c’est à l’origine des dysfonctionnements et que les coauteurs de l’étude auraient sûrement fait cette vérification avant publi en temps normal. Au contraire on a un système de rétractation qui a pas mal marché, des coauteurs qui semble avoir gardé leur capacité à dire qu’ils se sont trompés.

    Sur la société qui fournit les données, il y a un article Wikipédia : Surgisphere dans laquelle on peut lire le nom de certaines personnes comme Élisabeth Bik qui si je me souviens bien n’a pas été tendre avec Raoult.

  • [^] # Re: De source interne : OUI

    Posté par  . En réponse au journal Le support technique du FAI a accès au mot de passe du wifi !?. Évalué à 7.

    Ces clients n’arrivent jamais au support pour ce genre de choses, peut-être contrairement aux grands-parents du petit fiston qui a configuré la box et les équipements, changé le mdp, mais qui ne l’ont plus sous la main au moment du pépin technique …

  • [^] # Re: mise en abyme

    Posté par  . En réponse au lien Quand les conspirationnistes envahissent Twitter, les scientifiques finissent par le quitter. Évalué à 3. Dernière modification le 31 mai 2023 à 11:38.

    La différence entre le platisme et d’autres problématiques avec des implications et polarisation politique est notée par cet article sur le biais de sur-confiance dans ses connaissances et le refus du concensus

    Globalement meilleur est le niveau de connaissance des gens, et plus les gens savent qu’ils savent, meilleure est l’adhésion au consensus scientifique. Ce qui indique qu’augmenter le niveau de connaissances des gens tendraient à augmenter leur adhésion aux connaissances académiques.

    Par contre il y a un biais de surconfiance : plus les gens sont confiants sur leur connaissance alors qu’ils n’en savent pas tellement, croient savoir, quoi, plus ils sont susceptibles d’adhérer à des théories du complot. Pas forcément surprenant à mon avis, les théories du complot offrent des certitudes et peuvent s’appuyer sur des intuitions pas bien étayées, et on peut être persuadé par ses intuitions.

    Par contre … sur des sujets polarisés comme le réchauffement climatique, ou il y a des intérêts potentiels en jeu, la différence entre les deux groupes s’estompent … autrement dit il est moins évident que les gens soient convaincus par le consensus quand on augmente leur niveau de connaissance !

    Overall, the positive association between opposition to the scientific consensus and knowledge overconfidence generally holds. However, these relations appear to be weaker for more polarized issues, particularly climate change.

    On peut y voir l’introduction de la mauvaise foi ou du raisonnement motivé, si un intérêt financier en jeu par exemple il faudra peut-être plus que des données scientifiques de qualité, un consensus et une discussion pour convaincre …

  • # Tu étais persuadé que l’hydroxychloroquine allait marcher avant même l’épidémie ?

    Posté par  . En réponse au journal Vraiment toujours pas convaincu par l'Hydroxychloroquine ?. Évalué à 10.

    Tu es persuadé que la chloroquine allait marcher depuis l’annonce de Didier Raoult du tout début alors qu’on savait absolument rien et que le prophète annonçait une grippette ?

    Tu es vachement sûr des connaissances. Tu es donc potentiellement susceptible d’avoir un biais de sur-confiance : https://www.science.org/doi/10.1126/sciadv.abo0038 les gens vachement sûr d’avoir raison sont curieusement vachement plus enclins à rejeter un consensus scientifique forgé à partir de bien plus d’information que ce que tu crois avoir.

    Comment est-ce que les scientifiques évaluent la sur-confiance ? En faisant parier les gens sur leur capacité à avoir bon à un questionnaire de connaissance sur un sujet. Les gens qui pensent que le questionnaire est bidon et mensonger ne parieront pas, il restera les gens persuadés d’avoir raison alors qu’ils n’en savent pas tant que ça.

  • [^] # Re: mise en abyme

    Posté par  . En réponse au lien Quand les conspirationnistes envahissent Twitter, les scientifiques finissent par le quitter. Évalué à 3.

    C’est le destin de beaucoup de mots qu’on emploie beaucoup que d’être dévoyés, on entend "wo
    kisme" à toutes les sauces et on est tous le con de quelqu’un.

    Et puis les vrais complotistes confusionnistes ont évidemment beau jeu de vouloir tout égaliser et mettre au même niveau, te taxer de complotiste. Si c’est par calcul ou par mauvaise foi, comme on peut le voir avec les climatonégationniste qui vont accuser le giec de mensonge, il n’y a pas grand chose à en tirer, et certainement pas du plaisir à part un bon mot de temps en temps qui n’aura aucun impact.

    Si c’est pour les victimes un peu naïves de propagande fallacieuse, c’est différent probablement de pouvoir utiliser de vrais arguments. Mais Klein est dans une position particulière vu qu’il est un peu connu pour causer science dans les médias …

  • [^] # Re: mise en abyme

    Posté par  . En réponse au lien Quand les conspirationnistes envahissent Twitter, les scientifiques finissent par le quitter. Évalué à 2.

    Il manque une référence à la méthode suivie pour arriver aux "communément", donc quelque méthode qui suit une démarche qui ressemble à la méthode scientifique et à la recherche d’élément fiables pour soutenir la thèse. Évidemment c’est pas cette définition qui va nous dire si l’opinion commune a été obtenue comme ça. Une bonne heuristique c’est l’avis de quelque chose qui ressemble à une communauté scientifique ouverte, par opposition à une communauté académique cadenassé par un pouvoir dictatorial.

  • [^] # Re: J'ai un peu de mal à comprendre ce qui est dit sur ce site ....

    Posté par  . En réponse au lien La vérité sur les écrans et ceux qui ne les aiment pas. Évalué à 5. Dernière modification le 30 mai 2023 à 15:54.

    Un truc transverse quand même, c’est la sédentarité, source de soucis de santé. Entre le télétravail et la soirée netflix, par exemple, on sort pas forcément trop de chez soi et la sédentarité à tendance à augmenter.

    Et quand les gens vont quand même prendre l’air pour se balader, parfois c’est quand même en restant le nez rivé sur l’écran, sans forcément quitter sa bulle de filtre. On a des écrans à dispo partout tout le temps, individuellement souvent. Une des critiques est donc un peu transverse je pense, ensemble ils font une arme de captage d’attention massifs.

    Je pense que c’est caricatural de mettre l’écran du four dedans. Bien qu’on soit fichu de brancher le four dans les réseaux sociaux, c’est pas vraiment ce qu’on entend généralement par cette expression.