Sébastien Rohaut a écrit 380 commentaires

Bonjour à tous, J'ai posté cette news, et pour ceux qui ont lu le mag, je collabore avec Planète Linux. Soyez rassurés je vais plus que souvent (plusieurs fois par heure) sur DLFP. Je remarque que pour le moment la plupart des critiques sont constructives (euh, qui va juger mon article sur IEEE1394 ?). Quelques petites précisions : La rédaction, généralement, est composée de pigistes. Comme moi, comme d'autres. Au siège on trouve généralement le directeur de la publication et le rédacteur en chef. J'ai personnellement rejoint PL parce que le Directeur de la Publication actuel etait mon rédac'chef au temps de Start Micro Magazine (belle époque de l'Atari ST). Si vous lizez page 6 en haut, PL recherche encore des rédacteurs. Si vous voulez des articles moins édulcorés, postulez ! Concernant la maquette, perso je la trouve pas mal, simple, efficace. Peut-être changer la police des titres, à la rigueur. La mise en page n'est pas confiée à une société extérieure. Je suis d'accord pour dire que le mag est limite niveau nombre de pages et taille des articles. Plusieurs choses : vérifiez le nombre de publicités : ce n'est quasiment que de l'auto-pub. Ensuite, la taille des articles. Un article stantard fait 8000 signes. C'est imposé. Mon article en faisait à l'origine 4000 de plus, ce qui force à être beaucoup plus concis et direct. Dans un article pseudo-technique, il faut à la fois plaire au débutant (étapes basiques d'installation et de configuration) et à l'utilisateur avancé (le petit plus qui accroche, pour moi devfsd, les traces système), et pour tout le monde une appication concrète, soit écrite, soit en capture d'écran. C'est un exercice de style. Le sujet n'est pas imposé, et peut être proposé. Mon prochain sera plus orienté 'multimedia'. PL se cherche, entre débutant et utilisateur avancé. pas trop expert. Pour la description de protocole POP3, au moins tout le monde pourra comprendre se qui se cache derrière des lecteurs de mails comme kmail ou autre. Pour ce qui est du cd, personnellement l'interface html, je n'en vois pas trop l'utilité. Un coup de mc, ou autre, c'est plus pratique. Concernant les formats, si on met que du rpm, les debianistes (!) vont raler, et vice versa. Voila voila, j'attends vos (sympathiques) réactions...

Bon,

il est joli et à peine plus gros qu'un walkman, il a huit heures d'autonomie.
C'est bien tout ça ! Si vous voulez m'en offrir un, je suis preneur.
Une ou deux quetions, non résolues : quel chipset graphique (parce que si ça peut aussi faire console de jeux, c'est le top) ?
Et franchement, vous croyez réellement que ça ne va couter 'que' 1000 euros ?
Parce que si c'est ça, j'économise dès maintenant...

Certes, la Suse possède un très bon bon outil de configuration (notamment la configuration de X Window, genre j'ajoute à la souris un pilote commercial).
Mais la distribution par elle-même n'est pas libre, n'est pas GPL. Je n'ai rien contre le commercial, mais vu la qualité des autres distribs aujourd'hui, et surtout en français, il n'y à plus de réel intérêt à installer la Suse, sauf pour s'amuser/bidouiller/tester.
La politique de Suse n'est à mon avis pas la bonne. En tout cas, s'en est fini pour eux du marché français.
Voila ce que j'en pense...

C'est un problème d'autant plus génant que la maitrise des redirections en programmation système n'est pas innée (au début on y va un peu au petit bonheur la chance). D'où un risque agravé. A bien y penser, c'est surprenant que ce gouffre de sécurité soit trouvé maintenant. Si j'ai bien compris, de cette manière un utilisteur lambda peut modifier le contenu d'un fichier pour lequel il n'a pas d'acces possible. Je serais curieux de savoir si ça marche sur Linux...

Pour nous, simples utilisateurs, ou même administrateurs de mini et micros, on ne voit pas forcement l'utilité d'une telle machine avec linux dessus. Quoique pour le fun... Cependant imaginez une grosse société. Avec une seule machine, genre gros système, elle fait tourner 20 ou 30 serveurs Linux, par exemple, totalement indépendants les uns des autres. Un serveur Web, un serveur de documents, un dns, un partage de fichiers, des applis financières, un/des environnements de developpement distincts, des environnements de bases de données distintcs, .. On peut causer longtemps comme ça. L'inconvénient, c'est que c'est très cher, et la maintenance (matérielle surtout) nécessite un contrat. Généralement ces machines ne sont pas achetées mais louées avec maintenance à la clef. Des avantages : Une seule machine physique, à un seul endroit physique. Plus simple, tout de même. Autant de linux qu'on veut, le reboot (virtuel) de l'un ne fait pas planter l'autre. Mine de rien c'est un avantage certain : beaucoup de machines Unix/Linux font office à la fois de serveur DNS, de serveur de bases de données, Apache... Quand on la reboote, on perd tout... Voila, voila. On verra la suite.