Retour d'expérience contradictoire: aucune sortie HDMI si la base de la switch n'est pas alimentée par le chargeur d'origine. Testé avec plusieurs chargeurs USB-C supportant jusqu'à 100W: HP, Dell, UGreen, … La base a toujours refusé de fonctionner sans l'alimentation d'origine.
Salut ! On retrouve tes traits d'esprits tels que ceux que tu décoches régulièrement sur la tribune, merci pour ce petit moment de bonheur. Étant passé ces vingt-cinq dernières années par de multiples OS et environnements de bureaux sous Linux, Windows et MacOS, j'ai eu de nombreuses occasions de pester contre les manques de chacun, rêvant du mix ultime. Oui, même sous MacOS tant vénéré par ses utilisateurs pour sa simplicité (ce qui est vrai).
Je commenterai ici quatre de tes points :
4 - Je suis d'accord ! C'est chiant au possible. Jusqu'à ce que tu apprennes qu'il existe des raccourcis claviers qui permettent de placer les fenêtres où on veut: Windows+Shift+fleche gauche/droite. Il existe un paquet de raccourcis claviers !
5 - J'ai Windows 11 à la maison, et sur mon poste de travail. Et comme toi je constate une flagrance au démarrage et à l'arrêt de la machine… au travail. Au travail, le temps de pouvoir travailler correctement après un démarrage complet de la machine se compte en minutes. En cause: les multiples couches additionnelles (anti-malware, LDP, EDR, proxies, firewalls, GPO, Auth M365, puis le VPN, …), un enfer. Sans compter les mises à jour forcées en tâche de fond. Mais à la maison… Bah ça démarre plus vite qu'une distrib linux, et je peux bosser tout de suite. Parce que je n'ai pas tous ces machins (que les trucs par défaut de Windows) et que je ne lance pas de trucs au démarrage (sauf le truc d'Intel pour ma carte graphique A770). Expérience intermédiaire, le fiston sous W11 aussi, lance Steam, XBox, AMD, Spotify, Discord, truc de CM pour le RGB, les ventilos, etc… Bah, là le souci c'est pas la réactivité (en gros dès que le bureau apparait on peut ouvrir tout ce qu'on veut), ce sont des dead locks, genre deux trucs qui tentent d'accéder à la même ressource et qui bloquent tous les autres processus (j'ai déjà eu ça sous Linux). Ici c'était deux trucs d'Asus pour gérer la "santé" de la carte mère.
6 - Le mapping sous Windows est digne de l'ergonomie des années 70. Tu parles des caractères accentués ou spéciaux français qui n'ont jamais été gérés sauf via des Alt+valeurs numériques. Je trouve l'ergonomie sous les DE Linux presque aussi pourrie. Là par contre la supériorité d'un desktop MacOS est écrasante: On reste appuyé sur le a, par exemple, et ça affiche tous les caractères accentués possibles, comme sur un clavier android ou ios. Et ça, bordel, ça manque, vraiment.
9 - Je ne suis pas d'accord. Sous W11, avec HyperV, je fais tourner 14 VMs (simulation de tout un env K8S + LB + Infra) sur un 8 coeurs 16 threads et 64 Go de RAM. Le tout pour le bouquin de haute dispo qu'on a écrit pour les Editions ENI. Et pour la première édition, j'y arrivais aussi avec VBox sur un 4 coeurs et 3 Go de RAM, en rognant: par contre mes VMs ramaient et mes heartbeats foiraient.
Tiens, UN truc qui m'énerve sous W11, c'est le masquage par défaut de plus de la moitié des menus contextuels dans l'explorateur. Et c'est chiant parce que ça se rétablit en une modification dans le registre (donc, Powertoys…).
Ton point principal, c'est en fait le changement d'habitudes, et la (ré)adaptation à un autre environnement. Aucun n'est parfait ou ultime. MacOS me manque par exemple, je n'ai JAMAIS pu m'habituer aux desktops par défaut de Ubuntu et Fedora (ah, Gnome et ses n addons à installer pour obtenir un résultat à peu près correct). Tu files ça à un débutant le mec il va te mordre ! En fait, j'ai juste pas envie de me casser les pieds à réapprendre, je veux juste que ça pête pas mes habitudes.
Finalement, j'ai installé Linux Mint 22.1. Tout fonctionne sur cette si vieille machine de 2018 (c'est ironique). Seules surprises (je n'achèterai pas HP):
* La découverte que HP met des carte Wifi avec une seule antenne et je comprends maintenant pourquoi les mises à jour et le débit étaient si pourris et le débit épouvantable, Sans la seconde antenne, difficile de changer la carte par défaut. Donc je prends un adaptateur USB 3.0 compatible.
* La machine avait 6 Go. Je trouvais ça surprenant, et je découvre que HP l'a vendue avec une barrette de 2 Go et une barrette de 4 Go… Mais quelle idée. J'ai mis 2x16.
Merci, mais ça signifie que lors de recherches plus anciennes, les modérateurs vont chercher les messages ailleurs. C'est bien et … c'est pas bien, non ? Je vois d'ailleurs que l'accès à bombefourchette est maintenant protégé par un Basic Auth.
C'est encore autre chose. Passer d'Android à IOS est plus un choix qu'une obligation, enfin, généralement. Quoique Apple maintienne assez longtemps la compatibilité avec ses smartphones que la plupart de fabricants de smartphones Android. Faire le choix d'un Smartphone Apple serait plus pertinent, puisqu'un iPhone Xr de 2018 est encore compatible, en 2025, avec la dernière version d'iOS (18.2).
C'est aussi assez intéressant que voir que sur des smartphones et tablettes laissées à l'abandon par leurs fabricants après seulement trois ans, et si on a pas peur de faire une bêtise, on trouve des roms alternatives permettant d'avoir des versions et des correctifs de sécurité plus récents, tout en restatn sur Android (changement d'habitude minimal).
J'ai la "chance" d'avoir les deux (perso/pro), et j'ai beaucoup, beaucoup, de mal, avec l'iPhone, enfin, avec iOS, malgré deux ans d'utilisation, je trouve ça mal foutu. Je connais du monde qui a d'ailleurs fait marche arrière. Pourtant d'autres ne jurent que par ça. On peut aussi de l'effet de luxe, puisque Apple c'est le Must chez certains et même avec un Samsung haut de gamme on passe pour un gueux.
Et puis, Android, c'est Linux ! On ne va pas se plaindre.
Bien qu'il s'agisse de surcouches au même système Android, non seulement elles peuvent êtres désactivées dans la plupart des cas (on revient à un launcher plus classique) ou paramétrées pour un fonctionnement identique (barre d'icones, swapping d'écran, …), mais le socle applicatif et le (play)store sont les mêmes, on y retrouvera les applications souhaitées à l'identique, mise à part celles fournies uniquement . Le menu Paramètres est généralement très proche. ces surcouches sont elles-mêmes issues du même SDK et utilisent les mêmes APIs.
De même qu'à version d'Android égale, les applications (APK) sont installables sur l'un ou l'autre sans adaptation ou modification quelque soit le fabricant ou la surcouche. Comme une application Android se base sur une version de SDK, ou plutôt d'API Level, toute application sera compatible avec les versions associées d'Android. Une compatibilité ascendante et descendante est bien souvent présente. C'est bien expliqué ici (min/target/compiled):
Installer un package Ubuntu sur une Fedora (et vice versa) ça ne va pas marcher. Installer un package Ubuntu 21.04 sur une 24.10 (et vice versa), ça ne va pas marcher non plus. Ou alors du pur statique, peut-être.
Les Macs sont de très bonnes machines, en effet. Belle intégration, composants de qualité, mais connecteurs propriétaires sur les anciennes machines et aucune évolution possible cependant sur les modèles récents, assez fermées. Et malheureusement, comme tu pourras le lire dans un de mes précédents journaux, et par mes quelques retours sur la tribune, j'ai fini par laisser tomber ma migration sous Linux, surtout à cause du souci d'économie d'énergie (batterie vide machine fermée à la fin de la journée), sans solution. je ne blâme surtout pas les gens qui ont tenté la rétro-ingénierie, mais Apple.
Le fait d'avoir un choix (distribution, desktop) participe à la fragmentation. Il n'y a qu'une "distribution/desktop" Windows, qu'une "distribution/desktop" MacOS. Mais il y a pléthore de "distributions/desktops" Linux, toutes différentes et incompatibles entre elles. Il suffit de jeter un oeil sur Distrowatch. Et donc les gens ne vont pas sur Linux, ils vont sur une distrib spécifique. Il y a plus de différences entre deux distributions/desktops Linux, que, par exemple, entre deux surcouches constructeurs d'un Android. En faisant ça, sans "l'anneau unique pour les gouverner tous", à savoir un standard unique (même système d'installation de logiciels, rétrocompatibilité assurée, et même desktop - dont les thèmes peuvent être adaptés selon le fournisseur) duquel tout le monde dérive, quitte à proposer des outils et surcouches additionnels, on perd tout le monde. Le monde du desktop Linux est juste un gros bordel.
Le problème ne se pose pas dans le monde des serveurs, car la base (Linux, libs, systemd, …) est à peu près identique, et surtout les sysOps sont formés et avertis.
La tribune en elle-même, a un historique visible très réduit, mais elle est archivée via /par des sites extérieurs (bombefourchette par exemple sur lequel on retrouve des années d'historique). Je ne sais pas si l'historique complet est conservé en base de donnée, mais de par ma toute nouvelle et première expérience de plonkage en presque 25 ans (que je prends bien car ça me semblait évident, d'autant plus que la même sanction a été appliquée à l'autre), le modérateur a retrouvé un de mes messages de novembre dernier pour appuyer sa position. Où l'a-t-il récupéré ?
Sans compter des coincoins externes qui conservent l'historique dans une fenêtre active tant qu'on ne l'a pas fermé ou rafraichi.
Bonjour, très beau document.
Une précision sur la description des hyperviseurs de type 1 ou 2: les extensions Intel VT-x (VMX) ou AMD AMD-V (SVM) ne sont pas limitées aux hyperviseurs de types 1. Des solutions de type 2 comme KVM, VMWare (workstation ?) ou Virtualbox exploitent ces capacités de virtualisation matérielles.
Dans le même sens, la Paravirtualisation n'est pas abordée, elle permet, via des pseudo-interfaces, un accès plus direct et privilégié aux couches basses ou au matériel, y compris sur les hyperviseurs de type 2, voire même de présenter directement le périphérique à la machine virtuelle (exemple, une vraie carte graphique, ou un vrai contrôleur disque). Ainsi, bien que le performances restent un peu inférieures aux type 1, ont obtient des performances très proches d'une machine native.
Sujet un peu ironique, mais l'idée est là: comment faire pour se détacher au maximum des multinationales
Que tu le veuilles ou non, Linux est utilisé par ces multinationales, pour leurs utilisateurs, donc dans l'intérêt de leur business. De ce fait ils ont un grand intérêt à fortement contribuer. Même si leurs contributions vont refléter leurs besoins (par exemple Microsoft pour Azure, Google pour Android, Amazon pour AWS et son market), elles contribuent au bien commun, du fait que le noyau Linux est libre. Leurs intérêts servent ici l'intérêt collectif, y compris ceux de leurs concurrents. Le résultat reste libre.
Ceci n'engage que moi, mais je préfère des modifications sensées venant de multinationales validées par les mainteneurs des projets (comme le noyau), que le passage en force de certaines solutions de la part de divas mégalomanes (Lennart, es-tu là ?).
Les contributions des multinationales aux projets libres sont majeures, et beaucoup de ces projets seraient restés dans l'ombre, ou n'auraient jamais positivement évolués, sans leur support.
Quand on voit le travail sur les systèmes de fichiers, les schedulers du noyau, les drivers, la virtualisation (Xen, KVM, …), l'isolation (cgroups, namespaces) , la gestion mémoire, etc. fournies par des ressources (des employés) de ces multinationales, mais aussi sur les optimisations des langages (comme Javascript), etc. Bah je suis admiratif. Sans eux, Linux et beaucoup de logiciels libres seraient restés cloisonnés à un microcosme communautaire. Il y a encore tellement de boites qui usent des logiciels libres tout en interdisant les contributions…
Tu parles de Hurd par exemple, c'est un parfait exemple. Si demain Hurd remplace Linux, alors c'est qu'il y aura eu un investissement monstrueux (en temps et en argent), pour le rendre fonctionnel et accessible (tout en bénéficiant de l'écosystème créé par Linux), et ça sera bien venu de quelque part.
Te rappelles-tu comment Linux a commencé à devenir un OS phare en entreprise ? 1997, Oracle, ça ne te dis rien ?
Tu veux entièrement te détacher des multinationales qui contribuent à des produits libres / open sources ? Même en allant élever des chèvres dans le Larzac, bon courage.
Quand je mets mon régulateur à, par exemple, 130, ma vitesse réelle est plutôt autour de 120-122. La voiture monte à 130 au compteur, puis y reste. Mais au GPS, ligne droite, c'est du 120-122. Donc, je me fais doubler.
Pour un vrai 130, vitesse max autorisée en France sur Autoroute, je dois caller mon régulateur autour de 137-138.
C'est assez surprenant : le GPS intégré à mon véhicule se met à brailler: je vais trop vite. Le GPS type tomtom (smartphone ou dédié), lui, me dit que c'est impec.
Vérifiez votre vitesse réelle vs celle du compteur, c'est assez surprenant. On le voit via un GPS par exemple, lorsque, malgré une vitesse compteur "correcte", le temps d'arrivée rallonge.
En ville, à pieds, je suis plus emmerdé par les cyclistes que par les voitures. C'est moins grave, mais c'est beaucoup plus récurrent.
Je plussoie. Je remets ici un commentaire que j'ai mis sur la tribune, petit retour d'expérience en tant que conducteur mais aussi piéton, à Paris. Je présise que je roule en Kangoo, avec un petit moteur. Pas franchement le véhicule agressif.
--->
J'ai réglé le problème avec les cyclistes: je vais (à Paris) le moins souvent possible (5 fois l'année dernière et c'est trop), notamment depuis que j'ai failli renverser un 'triporteur' (? un vélo avec les deux gamins à l'avant dans une sorte de caisse) dont le conducteur m'a assigné d'un magnifique doigt d'honneur tout en grillant un feu à une belle vitesse à 3 mètres de mon capot. Les 1300 kgs de mon véhicule les auraient tous tués, mais a priori il est plus important de faire comprendre qu'une voiture n'a rien a faire là tout en ne respectant pas le code de la route et risquer de mourir.
Donc, je suis essentiellement transport en commun et piéton. Dans ce dernier cas, je marche souvent de Porte de Clichy vers la Gare du Nord. En arrivant vers Place de Clichy, le piéton est en danger : il devient très dangereux de traverser, y compris quand le bonhomme est vert: autant les conducteurs motorisés semblent a peu près respecter, autant les cyclistes ont cette tenance à s'en foutre. Gare au piéton qui risque de se faire renverser par les cyclistes alors que le bonhomme est vert (tentez de traverser l'avenue de Magenta à l'heure de pointe, vous comprendrez).
Bref, le respect entre usagers (piétons, cyclistes et conducteurs motorisés) devrait être mutuel, surtout dans les espaces partagés, ou au moins le code devrait être respecté par tous. Ce n'est pas le cas. Et donc, pensez toujours à bien regarder à droite et à gauche, même quand vous avez la priorité. Parce que sinon, c'est rapidement le drame.
Le début de l'article est terrible, et du coup est incohérent face au titre : il explique que le monde du jeu en 3D a été révolutionné par 3dfx et son API Glide, et que l'arrivée de la GeForce est passée par la volonté de MS via DirectX de contrecarrer 3dfx et son API en s'alliant entre autres avec Nvidia.
Pour ceux qui étaient là à cette époque, la véritable révolution a été l'arrivée de 3dfx. C'était juste incroyable.
Et enfin, certains autres disent que nan-nan, il faut viser la grosse grosse boite (pas informatique) et taper dans le service informatique, y'a des planques super (et c'est nostalgique, tu te retrouves à modifier des scripts perl sur un windows 2000 pour modifier le logiciel de compta des chauffeurs livreurs).
Arf. Je voulais répondre "J'ai visé la grosse grosse boite, via une superbe opportunité, il y a 11 ans. Non seulement c'est pas la planque, mais en plus j'y ai fait, et fais toujours, des choses extraordinaires que je n'aurais probablement pas fait ailleurs (mais oui, on doit aussi gérer de la dette technique, parfois). Après 15 ans de SSII/ESN, tel que décrit dans ta première partie."
Mais vu que tu veux que je te dise à quel point c'est pourri: on ne m'autorise pas à ne pas me déconnecter malgré l'iPhone qu'on m'a fourni, on me refuse de mélanger taf et vie privée, on nous force à bosser avec des technos récentes et à les éprouver alors que je suis d'une nature conservatrice, on me force à parler une autre langue avec des gens venant d'ailleurs, on m'oblige à aller régulièrement dans d'autres pays rencontrer ces gens (obligé de se lever tôt pour prendre le train, pfff), y'a trop de frites à la cantine, … Bref, c'est la merde.
On peut ou on reste sur une version plus ancienne du système d'exploitation.
Non.
Fin de vie / Fin de support = Absence de mises à jours de sécurité, fin du support de l'OS par diverses applications, fin du support de protocoles (de sécurité notamment) récents, comme les versions de TLS, fin de la prise en charge de certains matériels. Exemple sur MacOS, Chrome qui ne supporte plus les versions inférieures à la 10.11.
on crie pas au scandale sur ces marques qui ne fournissent plus de mise à jour
Si. Si !
Surtout au bout de deux ans (super exemple). Obsolescence programmée. Encore. Heureusement ça change, avec Samsung qui propose 7 ans sur ses flagships.
Je pourrais aussi blamer Microsoft pour ce choix
Oui.
C'est leur choix qui rend sans réelle raison du matériel incompatible. Tu dis toi-même qu'on peut contourner avec deux-trois scripts et clé de registres, montrant que c'est un choix délibéré. Mais tu perds le support.
on parle d'une machine de dix ans pas non plus d'un produit de l'an dernier
Et alors ? Il faut accepter de devoir rester sur un OS obsolète parce que fabricant fait du jetable en ne proposant plus de mises à jour, où que l'éditeur rend volontairement des millions de machines, parfois de moins de six ans, obsolètes par des choix arbitraires (que tu sites d'ailleurs, des modules pour faire des effets jolis) ?
Linux me permet de conserver mon Macbook Pro au-delà du support Apple de MacOS et d'obtenir des mise à jour de sécurité, au prix d'un effort d'adaptation que tout le monde ne peut pas fournir, malheureusement.
Si on suit ton raisonnement, on laisse délibérément des centaines de millions de gens avec des truc obsolètes, non supportés, bourrés de failles: soit c'est ça, soit ils doivent racheter un smartphone tous les deux ans, soit un nouveau PC ou Mac tous les 6 ans. Et après on s'étonne de la propagation des bots, ransomwares, de la surconsommation, des déchets électroniques, …
# Qualitatif
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Après photorec. Évalué à 5 (+3/-0).
Journal très qualitatif que je place dans mes favoris comme référence. Merci !
[^] # Re: Mon retour d'expérience
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal J'ai testé pour vous: un câble USB magnétique. Évalué à 5 (+3/-0).
Retour d'expérience contradictoire: aucune sortie HDMI si la base de la switch n'est pas alimentée par le chargeur d'origine. Testé avec plusieurs chargeurs USB-C supportant jusqu'à 100W: HP, Dell, UGreen, … La base a toujours refusé de fonctionner sans l'alimentation d'origine.
# Du vrai, et du moins vrai
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal La sexualité des libristes, tout ce que vous n’avez jamais osé demander. Évalué à 2 (+2/-2). Dernière modification le 02 février 2025 à 09:59.
Salut ! On retrouve tes traits d'esprits tels que ceux que tu décoches régulièrement sur la tribune, merci pour ce petit moment de bonheur. Étant passé ces vingt-cinq dernières années par de multiples OS et environnements de bureaux sous Linux, Windows et MacOS, j'ai eu de nombreuses occasions de pester contre les manques de chacun, rêvant du mix ultime. Oui, même sous MacOS tant vénéré par ses utilisateurs pour sa simplicité (ce qui est vrai).
Je commenterai ici quatre de tes points :
4 - Je suis d'accord ! C'est chiant au possible. Jusqu'à ce que tu apprennes qu'il existe des raccourcis claviers qui permettent de placer les fenêtres où on veut: Windows+Shift+fleche gauche/droite. Il existe un paquet de raccourcis claviers !
5 - J'ai Windows 11 à la maison, et sur mon poste de travail. Et comme toi je constate une flagrance au démarrage et à l'arrêt de la machine… au travail. Au travail, le temps de pouvoir travailler correctement après un démarrage complet de la machine se compte en minutes. En cause: les multiples couches additionnelles (anti-malware, LDP, EDR, proxies, firewalls, GPO, Auth M365, puis le VPN, …), un enfer. Sans compter les mises à jour forcées en tâche de fond. Mais à la maison… Bah ça démarre plus vite qu'une distrib linux, et je peux bosser tout de suite. Parce que je n'ai pas tous ces machins (que les trucs par défaut de Windows) et que je ne lance pas de trucs au démarrage (sauf le truc d'Intel pour ma carte graphique A770). Expérience intermédiaire, le fiston sous W11 aussi, lance Steam, XBox, AMD, Spotify, Discord, truc de CM pour le RGB, les ventilos, etc… Bah, là le souci c'est pas la réactivité (en gros dès que le bureau apparait on peut ouvrir tout ce qu'on veut), ce sont des dead locks, genre deux trucs qui tentent d'accéder à la même ressource et qui bloquent tous les autres processus (j'ai déjà eu ça sous Linux). Ici c'était deux trucs d'Asus pour gérer la "santé" de la carte mère.
6 - Le mapping sous Windows est digne de l'ergonomie des années 70. Tu parles des caractères accentués ou spéciaux français qui n'ont jamais été gérés sauf via des Alt+valeurs numériques. Je trouve l'ergonomie sous les DE Linux presque aussi pourrie. Là par contre la supériorité d'un desktop MacOS est écrasante: On reste appuyé sur le a, par exemple, et ça affiche tous les caractères accentués possibles, comme sur un clavier android ou ios. Et ça, bordel, ça manque, vraiment.
9 - Je ne suis pas d'accord. Sous W11, avec HyperV, je fais tourner 14 VMs (simulation de tout un env K8S + LB + Infra) sur un 8 coeurs 16 threads et 64 Go de RAM. Le tout pour le bouquin de haute dispo qu'on a écrit pour les Editions ENI. Et pour la première édition, j'y arrivais aussi avec VBox sur un 4 coeurs et 3 Go de RAM, en rognant: par contre mes VMs ramaient et mes heartbeats foiraient.
Tiens, UN truc qui m'énerve sous W11, c'est le masquage par défaut de plus de la moitié des menus contextuels dans l'explorateur. Et c'est chiant parce que ça se rétablit en une modification dans le registre (donc, Powertoys…).
Ton point principal, c'est en fait le changement d'habitudes, et la (ré)adaptation à un autre environnement. Aucun n'est parfait ou ultime. MacOS me manque par exemple, je n'ai JAMAIS pu m'habituer aux desktops par défaut de Ubuntu et Fedora (ah, Gnome et ses n addons à installer pour obtenir un résultat à peu près correct). Tu files ça à un débutant le mec il va te mordre ! En fait, j'ai juste pas envie de me casser les pieds à réapprendre, je veux juste que ça pête pas mes habitudes.
# Et finalement, j'ai installé...
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal La fin de Windows 10 : une opportunité pour Linux ?. Évalué à 2 (+0/-0).
Finalement, j'ai installé Linux Mint 22.1. Tout fonctionne sur cette si vieille machine de 2018 (c'est ironique). Seules surprises (je n'achèterai pas HP):
* La découverte que HP met des carte Wifi avec une seule antenne et je comprends maintenant pourquoi les mises à jour et le débit étaient si pourris et le débit épouvantable, Sans la seconde antenne, difficile de changer la carte par défaut. Donc je prends un adaptateur USB 3.0 compatible.
* La machine avait 6 Go. Je trouvais ça surprenant, et je découvre que HP l'a vendue avec une barrette de 2 Go et une barrette de 4 Go… Mais quelle idée. J'ai mis 2x16.
[^] # Re: Durée de rétention de la tribune
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 4 (+2/-0).
Merci, mais ça signifie que lors de recherches plus anciennes, les modérateurs vont chercher les messages ailleurs. C'est bien et … c'est pas bien, non ? Je vois d'ailleurs que l'accès à bombefourchette est maintenant protégé par un Basic Auth.
# Durée de rétention de la tribune
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 2 (+0/-0).
Bonjour,
Si un admin ou modérateur du site pouvait me répondre, quelle est la durée de rétention des enregistrements de la tribune en base de données ?
[^] # Re: Linux est prêt pour le desktop ....
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal La fin de Windows 10 : une opportunité pour Linux ?. Évalué à 2 (+1/-1).
C'est probablement le plus pertinent de tous les commentaires.
[^] # Re: le problème
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 2 (+0/-0).
gb3 (en ligne) ne le propose pas, sauf erreur de ma part, devnewton< pourrait confirmer (ou infirmer).
[^] # Re: Linux hélas c'est là qu'est l'OS
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal La fin de Windows 10 : une opportunité pour Linux ?. Évalué à 2 (+0/-0).
Les voitures se conduisent quasiment toutes de la même manière, sur des routes identiques, avec des règles identiques.
[^] # Re: Linux hélas c'est là qu'est l'OS
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal La fin de Windows 10 : une opportunité pour Linux ?. Évalué à 3 (+1/-0).
C'est encore autre chose. Passer d'Android à IOS est plus un choix qu'une obligation, enfin, généralement. Quoique Apple maintienne assez longtemps la compatibilité avec ses smartphones que la plupart de fabricants de smartphones Android. Faire le choix d'un Smartphone Apple serait plus pertinent, puisqu'un iPhone Xr de 2018 est encore compatible, en 2025, avec la dernière version d'iOS (18.2).
C'est aussi assez intéressant que voir que sur des smartphones et tablettes laissées à l'abandon par leurs fabricants après seulement trois ans, et si on a pas peur de faire une bêtise, on trouve des roms alternatives permettant d'avoir des versions et des correctifs de sécurité plus récents, tout en restatn sur Android (changement d'habitude minimal).
J'ai la "chance" d'avoir les deux (perso/pro), et j'ai beaucoup, beaucoup, de mal, avec l'iPhone, enfin, avec iOS, malgré deux ans d'utilisation, je trouve ça mal foutu. Je connais du monde qui a d'ailleurs fait marche arrière. Pourtant d'autres ne jurent que par ça. On peut aussi de l'effet de luxe, puisque Apple c'est le Must chez certains et même avec un Samsung haut de gamme on passe pour un gueux.
Et puis, Android, c'est Linux ! On ne va pas se plaindre.
[^] # Re: Linux hélas c'est là qu'est l'OS
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal La fin de Windows 10 : une opportunité pour Linux ?. Évalué à 5 (+3/-0).
La comparaison n'est pas pertinente.
Bien qu'il s'agisse de surcouches au même système Android, non seulement elles peuvent êtres désactivées dans la plupart des cas (on revient à un launcher plus classique) ou paramétrées pour un fonctionnement identique (barre d'icones, swapping d'écran, …), mais le socle applicatif et le (play)store sont les mêmes, on y retrouvera les applications souhaitées à l'identique, mise à part celles fournies uniquement . Le menu Paramètres est généralement très proche. ces surcouches sont elles-mêmes issues du même SDK et utilisent les mêmes APIs.
De même qu'à version d'Android égale, les applications (APK) sont installables sur l'un ou l'autre sans adaptation ou modification quelque soit le fabricant ou la surcouche. Comme une application Android se base sur une version de SDK, ou plutôt d'API Level, toute application sera compatible avec les versions associées d'Android. Une compatibilité ascendante et descendante est bien souvent présente. C'est bien expliqué ici (min/target/compiled):
https://medium.com/android-news/android-api-level-backward-and-forward-compatibility-10e6d31cb848
Installer un package Ubuntu sur une Fedora (et vice versa) ça ne va pas marcher. Installer un package Ubuntu 21.04 sur une 24.10 (et vice versa), ça ne va pas marcher non plus. Ou alors du pur statique, peut-être.
[^] # Re: MacOS => Debian
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal La fin de Windows 10 : une opportunité pour Linux ?. Évalué à 4 (+2/-0).
Les Macs sont de très bonnes machines, en effet. Belle intégration, composants de qualité, mais connecteurs propriétaires sur les anciennes machines et aucune évolution possible cependant sur les modèles récents, assez fermées. Et malheureusement, comme tu pourras le lire dans un de mes précédents journaux, et par mes quelques retours sur la tribune, j'ai fini par laisser tomber ma migration sous Linux, surtout à cause du souci d'économie d'énergie (batterie vide machine fermée à la fin de la journée), sans solution. je ne blâme surtout pas les gens qui ont tenté la rétro-ingénierie, mais Apple.
[^] # Re: Linux hélas c'est là qu'est l'OS
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal La fin de Windows 10 : une opportunité pour Linux ?. Évalué à 7 (+5/-0).
Le fait d'avoir un choix (distribution, desktop) participe à la fragmentation. Il n'y a qu'une "distribution/desktop" Windows, qu'une "distribution/desktop" MacOS. Mais il y a pléthore de "distributions/desktops" Linux, toutes différentes et incompatibles entre elles. Il suffit de jeter un oeil sur Distrowatch. Et donc les gens ne vont pas sur Linux, ils vont sur une distrib spécifique. Il y a plus de différences entre deux distributions/desktops Linux, que, par exemple, entre deux surcouches constructeurs d'un Android. En faisant ça, sans "l'anneau unique pour les gouverner tous", à savoir un standard unique (même système d'installation de logiciels, rétrocompatibilité assurée, et même desktop - dont les thèmes peuvent être adaptés selon le fournisseur) duquel tout le monde dérive, quitte à proposer des outils et surcouches additionnels, on perd tout le monde. Le monde du desktop Linux est juste un gros bordel.
Le problème ne se pose pas dans le monde des serveurs, car la base (Linux, libs, systemd, …) est à peu près identique, et surtout les sysOps sont formés et avertis.
[^] # Re: le problème
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Il y a quelque chose de pourri.... Évalué à 5 (+3/-0). Dernière modification le 12 janvier 2025 à 16:16.
La tribune en elle-même, a un historique visible très réduit, mais elle est archivée via /par des sites extérieurs (bombefourchette par exemple sur lequel on retrouve des années d'historique). Je ne sais pas si l'historique complet est conservé en base de donnée, mais de par ma toute nouvelle et première expérience de plonkage en presque 25 ans (que je prends bien car ça me semblait évident, d'autant plus que la même sanction a été appliquée à l'autre), le modérateur a retrouvé un de mes messages de novembre dernier pour appuyer sa position. Où l'a-t-il récupéré ?
Sans compter des coincoins externes qui conservent l'historique dans une fenêtre active tant qu'on ne l'a pas fermé ou rafraichi.
# Type 2 et extensions SVM / VMX
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse à la dépêche La virtualisation pour les nuls et autres enjeux autour des datacenters. Évalué à 4 (+2/-0).
Bonjour, très beau document.
Une précision sur la description des hyperviseurs de type 1 ou 2: les extensions Intel VT-x (VMX) ou AMD AMD-V (SVM) ne sont pas limitées aux hyperviseurs de types 1. Des solutions de type 2 comme KVM, VMWare (workstation ?) ou Virtualbox exploitent ces capacités de virtualisation matérielles.
Dans le même sens, la Paravirtualisation n'est pas abordée, elle permet, via des pseudo-interfaces, un accès plus direct et privilégié aux couches basses ou au matériel, y compris sur les hyperviseurs de type 2, voire même de présenter directement le périphérique à la machine virtuelle (exemple, une vraie carte graphique, ou un vrai contrôleur disque). Ainsi, bien que le performances restent un peu inférieures aux type 1, ont obtient des performances très proches d'une machine native.
[^] # Re: LOL
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Se détacher des multinationales qui contrôlent les systèmes GNU/Linux ?. Évalué à 3.
J'ai tenté un commentaire plus argumenté, mais le tiens fait mouche.
# Vas élever des chèvres dans le Larzac
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Se détacher des multinationales qui contrôlent les systèmes GNU/Linux ?. Évalué à 8.
Sujet un peu ironique, mais l'idée est là:
comment faire pour se détacher au maximum des multinationales
Que tu le veuilles ou non, Linux est utilisé par ces multinationales, pour leurs utilisateurs, donc dans l'intérêt de leur business. De ce fait ils ont un grand intérêt à fortement contribuer. Même si leurs contributions vont refléter leurs besoins (par exemple Microsoft pour Azure, Google pour Android, Amazon pour AWS et son market), elles contribuent au bien commun, du fait que le noyau Linux est libre. Leurs intérêts servent ici l'intérêt collectif, y compris ceux de leurs concurrents. Le résultat reste libre.
Ceci n'engage que moi, mais je préfère des modifications sensées venant de multinationales validées par les mainteneurs des projets (comme le noyau), que le passage en force de certaines solutions de la part de divas mégalomanes (Lennart, es-tu là ?).
Les contributions des multinationales aux projets libres sont majeures, et beaucoup de ces projets seraient restés dans l'ombre, ou n'auraient jamais positivement évolués, sans leur support.
Quand on voit le travail sur les systèmes de fichiers, les schedulers du noyau, les drivers, la virtualisation (Xen, KVM, …), l'isolation (cgroups, namespaces) , la gestion mémoire, etc. fournies par des ressources (des employés) de ces multinationales, mais aussi sur les optimisations des langages (comme Javascript), etc. Bah je suis admiratif. Sans eux, Linux et beaucoup de logiciels libres seraient restés cloisonnés à un microcosme communautaire. Il y a encore tellement de boites qui usent des logiciels libres tout en interdisant les contributions…
Tu parles de Hurd par exemple, c'est un parfait exemple. Si demain Hurd remplace Linux, alors c'est qu'il y aura eu un investissement monstrueux (en temps et en argent), pour le rendre fonctionnel et accessible (tout en bénéficiant de l'écosystème créé par Linux), et ça sera bien venu de quelque part.
Te rappelles-tu comment Linux a commencé à devenir un OS phare en entreprise ? 1997, Oracle, ça ne te dis rien ?
Tu veux entièrement te détacher des multinationales qui contribuent à des produits libres / open sources ? Même en allant élever des chèvres dans le Larzac, bon courage.
[^] # Re: Justification de la survitesse
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Rassemblement pour Paul dans toutes les villes de France. Évalué à 3.
Quand je mets mon régulateur à, par exemple, 130, ma vitesse réelle est plutôt autour de 120-122. La voiture monte à 130 au compteur, puis y reste. Mais au GPS, ligne droite, c'est du 120-122. Donc, je me fais doubler.
Pour un vrai 130, vitesse max autorisée en France sur Autoroute, je dois caller mon régulateur autour de 137-138.
C'est assez surprenant : le GPS intégré à mon véhicule se met à brailler: je vais trop vite. Le GPS type tomtom (smartphone ou dédié), lui, me dit que c'est impec.
Vérifiez votre vitesse réelle vs celle du compteur, c'est assez surprenant. On le voit via un GPS par exemple, lorsque, malgré une vitesse compteur "correcte", le temps d'arrivée rallonge.
[^] # Re: aggressivité
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Rassemblement pour Paul dans toutes les villes de France. Évalué à 10.
Je plussoie. Je remets ici un commentaire que j'ai mis sur la tribune, petit retour d'expérience en tant que conducteur mais aussi piéton, à Paris. Je présise que je roule en Kangoo, avec un petit moteur. Pas franchement le véhicule agressif.
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J'ai réglé le problème avec les cyclistes: je vais (à Paris) le moins souvent possible (5 fois l'année dernière et c'est trop), notamment depuis que j'ai failli renverser un 'triporteur' (? un vélo avec les deux gamins à l'avant dans une sorte de caisse) dont le conducteur m'a assigné d'un magnifique doigt d'honneur tout en grillant un feu à une belle vitesse à 3 mètres de mon capot. Les 1300 kgs de mon véhicule les auraient tous tués, mais a priori il est plus important de faire comprendre qu'une voiture n'a rien a faire là tout en ne respectant pas le code de la route et risquer de mourir.
Donc, je suis essentiellement transport en commun et piéton. Dans ce dernier cas, je marche souvent de Porte de Clichy vers la Gare du Nord. En arrivant vers Place de Clichy, le piéton est en danger : il devient très dangereux de traverser, y compris quand le bonhomme est vert: autant les conducteurs motorisés semblent a peu près respecter, autant les cyclistes ont cette tenance à s'en foutre. Gare au piéton qui risque de se faire renverser par les cyclistes alors que le bonhomme est vert (tentez de traverser l'avenue de Magenta à l'heure de pointe, vous comprendrez).
Bref, le respect entre usagers (piétons, cyclistes et conducteurs motorisés) devrait être mutuel, surtout dans les espaces partagés, ou au moins le code devrait être respecté par tous. Ce n'est pas le cas. Et donc, pensez toujours à bien regarder à droite et à gauche, même quand vous avez la priorité. Parce que sinon, c'est rapidement le drame.
# Velochauve ?
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Cyclimse !. Évalué à 4.
C'est une ode à Single< ?
# 3dfx et Glide
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au lien [Rétro] Retour sur une carte graphique révolutionnaire. Évalué à 10.
Le début de l'article est terrible, et du coup est incohérent face au titre : il explique que le monde du jeu en 3D a été révolutionné par 3dfx et son API Glide, et que l'arrivée de la GeForce est passée par la volonté de MS via DirectX de contrecarrer 3dfx et son API en s'alliant entre autres avec Nvidia.
Pour ceux qui étaient là à cette époque, la véritable révolution a été l'arrivée de 3dfx. C'était juste incroyable.
[^] # Re: Les grosses boites peuvent avoir des moyens
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal cherche nouveau boulot. Évalué à 4.
Des frites TOUS LES JOURS ! Tu te rends compte ?
Oui, ça recrute régulièrement, mais pas que de l'IT. https://recrutement.axa.fr/
# Les grosses boites peuvent avoir des moyens
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal cherche nouveau boulot. Évalué à 8.
Et enfin, certains autres disent que nan-nan, il faut viser la grosse grosse boite (pas informatique) et taper dans le service informatique, y'a des planques super (et c'est nostalgique, tu te retrouves à modifier des scripts perl sur un windows 2000 pour modifier le logiciel de compta des chauffeurs livreurs).
Arf. Je voulais répondre "J'ai visé la grosse grosse boite, via une superbe opportunité, il y a 11 ans. Non seulement c'est pas la planque, mais en plus j'y ai fait, et fais toujours, des choses extraordinaires que je n'aurais probablement pas fait ailleurs (mais oui, on doit aussi gérer de la dette technique, parfois). Après 15 ans de SSII/ESN, tel que décrit dans ta première partie."
Mais vu que tu veux que je te dise à quel point c'est pourri: on ne m'autorise pas à ne pas me déconnecter malgré l'iPhone qu'on m'a fourni, on me refuse de mélanger taf et vie privée, on nous force à bosser avec des technos récentes et à les éprouver alors que je suis d'une nature conservatrice, on me force à parler une autre langue avec des gens venant d'ailleurs, on m'oblige à aller régulièrement dans d'autres pays rencontrer ces gens (obligé de se lever tôt pour prendre le train, pfff), y'a trop de frites à la cantine, … Bref, c'est la merde.
[^] # Re: Notes
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Retour d'expérience, Ubuntu 24.04 sur un Macbook Pro 2015. Évalué à 8.
Non.
Fin de vie / Fin de support = Absence de mises à jours de sécurité, fin du support de l'OS par diverses applications, fin du support de protocoles (de sécurité notamment) récents, comme les versions de TLS, fin de la prise en charge de certains matériels. Exemple sur MacOS, Chrome qui ne supporte plus les versions inférieures à la 10.11.
Si. Si !
Surtout au bout de deux ans (super exemple). Obsolescence programmée. Encore. Heureusement ça change, avec Samsung qui propose 7 ans sur ses flagships.
Oui.
C'est leur choix qui rend sans réelle raison du matériel incompatible. Tu dis toi-même qu'on peut contourner avec deux-trois scripts et clé de registres, montrant que c'est un choix délibéré. Mais tu perds le support.
Et alors ? Il faut accepter de devoir rester sur un OS obsolète parce que fabricant fait du jetable en ne proposant plus de mises à jour, où que l'éditeur rend volontairement des millions de machines, parfois de moins de six ans, obsolètes par des choix arbitraires (que tu sites d'ailleurs, des modules pour faire des effets jolis) ?
Linux me permet de conserver mon Macbook Pro au-delà du support Apple de MacOS et d'obtenir des mise à jour de sécurité, au prix d'un effort d'adaptation que tout le monde ne peut pas fournir, malheureusement.
Si on suit ton raisonnement, on laisse délibérément des centaines de millions de gens avec des truc obsolètes, non supportés, bourrés de failles: soit c'est ça, soit ils doivent racheter un smartphone tous les deux ans, soit un nouveau PC ou Mac tous les 6 ans. Et après on s'étonne de la propagation des bots, ransomwares, de la surconsommation, des déchets électroniques, …
Ce que dit eingousef est très pertinent.
[^] # Re: Notes
Posté par Sébastien Rohaut . En réponse au journal Retour d'expérience, Ubuntu 24.04 sur un Macbook Pro 2015. Évalué à 2. Dernière modification le 15 juillet 2024 à 19:43.
Arf, Il faut lire : une distrib comme une autre et Linux aura ENFIN gagné la bataille du Desktop.
Ah et puis le formatage. J'ai pas relu. Pardon.
Vous aurez corrigé.