Alban Crequy a écrit 504 commentaires

  • # Ca appartient à l'employeur

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Déposer ses sources développées en entreprise. Évalué à 3.

    Tout ce qui:

    - a été développé pendant les heures de travail, ou
    - a été développé avec le matériel de l'entreprise, ou
    - a été développé dans le cadre d'une mission qui t'a été confiée

    appartient à l'employeur, sauf en cas d'accord contraire entre toi et ton employeur.

    Si tu veux écrire sur du logiciel libre, il faut donc soit passer un accord avec ton employeur (*) ou alors le faire en dehors des heures de travail sans l'aide du matériel de l'entreprise et que ce soit sans rapport avec une mission qui t'est confiée.

    *: voir un exemple d'accord sur http://fsffrance.org/contrats/travail.fr.html

    Tu as par ailleurs une obligation de loyauté pendant la durée du contrat de travail (ne pas travailler en même temps pour un concurrent) et, parfois, une obligation de non concurrence après la fin de ton contrat de travail si une telle clause a été prévue.

    Par ailleurs, à propos de la licence GPL que tu as mis avant de partir:
    - ce n'était pas à toi de choisir la licence mais à ton employeur
    - ce n'est valable que si ça a été distribué à l'extérieur de l'entreprise.

    Tu ne peux donc déposer les sources en GPL qu'avec l'accord de ton ancien employeur. D'ailleurs, tu ne possède pas ces sources, à moins que ton employeur ne te les ait donné.

    IANAL
  • [^] # Re: On a beau être vendredi...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Est-ce légitime de dénoncer la "vente liée".. Évalué à 6.

    Il n'est pas obligé de le retirer ou de le deduire du prix, par contre pour une assurance, OUI ilest obligé.


    Car si tu ne veux pas de l'autoradio, tu peux acheter l'ensemble voiture+autoradio quand même et revendre l'autoradio. Par contre, tu ne peux pas revendre l'assurance.

    A mon avis, c'est ça qui différencie ce qui est légitime de lier (matériel que l'on peut revendre si on n'en veut pas) et ce qu'il est illégitime de lier (service qu'on ne peut pas revendre si on n'en veut pas).
  • # Lire le contrat de licence avant l'achat

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Est-ce légitime de dénoncer la "vente liée".. Évalué à 10.

    Tu passe sous silence un autre problème avec la vente liée: tu n'as pas la possibilité de lire le contrat de licence avant l'achat.

    Quand tu signes un contrat de travail avec ton employeur, tu as la possibilité de lire le contrat avant d'accepter. Quand tu signes un contrat avec ton banquier, il accepte que tu lises le contrat avant de le signer. Dans n'importe quelle vente, tu peux lire le contrat de vente avant d'en payer le prix.

    Pourquoi serait-ce différent pour les ordinateurs équipés de Windows?

    Lorsque je voulais acheter un ordinateur portable chez <un grand magasin>, on m'a confirmé qu'il y avait un contrat de licence et qu'il était impossible de le lire avant l'achat. On m'a demander de l'acheter d'abord, puis ensuite le contrat sera lisible au démarrage de l'ordinateur.

    C'est ça aussi le problème.
  • # vente liée

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Est-ce légitime de dénoncer la "vente liée".. Évalué à 10.

    Vous vous voyez acheter un ordinateur puis renvoyer la carte graphique en demandant son remboursement sous prétexte que vous en avez déjà une/que vous n'aimez pas la marque ? Vous vous voyez demander le remboursement des pneus sur votre nouvelle voiture sous prétexte que vous n'aimez pas la marque ?


    Si tu achètes un ordinateur mais que tu ne veux pas de la carte graphique, tu peux l'acheter quand même et revendre la carte graphique.

    Si tu achètes une voiture mais que tu ne veux pas des pneus, tu peux l'acheter quand même et revendre les pneus.

    Si tu achètes une imprimante mais que tu ne veux pas du paquet de 500 feuilles de papier, tu peux acheter l'ensemble quand même et revendre le paquet de feuilles.

    Si tu achètes un ordinateur portable mais que tu ne veux pas de Windows, tu peux l'acheter quand même... et tu n'as pas la possibilité de revendre Windows!

    Voilà la différence!

    Si tu pouvais revendre Windows, le problème se poserait moins car tu pourrais récupérer ta perte d'argent dans Windows. Ce qui est possible pour tous tes exemples ne l'est pas pour Windows.
  • [^] # Re: Et ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La FSF serait sur le point d'interdire à Novell de distribuer Linux. Évalué à 3.

    Effectivement, la phrase "gpl v2 or later" n'a pas en droit français le sens qu'on lui donne habituellement. Le thread suivant en parle sur la liste fsfe-france:

    http://lists.gnu.org/archive/html/fsfe-france/2003-05/msg000(...)
  • [^] # Re: oui

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les internautes à la rescousse de Jean-Marie Le Pen?. Évalué à 1.

    Et tu proposes quoi? Un seul tour? Ou un vote condorcet? Ou autre chose?

    Personnellement je préfererais le condorcet. Et je préfère deux tours à un seul tour.
  • [^] # Re: gouvernement autiste ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique obligatoire pour les présidentielles. Évalué à 2.

    J'ai déjà participé à un dépouillement et il y avait suffisamment de volontaires. Mais c'est vrai que ce n'est peut-être pas pareil dans tous les bureaux de vote.

    Mais si c'est ça le problème, on pourrait peut-être utiliser des machines de lecture optique. A condition bien sûr de laisser la possibilité aux électeurs de recompter les bulletins-papier. Et de conserver les bulletins papier s'il était nécessaire de recompter.
  • [^] # Re: gouvernement autiste ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique obligatoire pour les présidentielles. Évalué à 1.

    Il y a des inconvénients à s'éclairer à la bougie. J'aimerais bien avoir les inconvénients du système de vote traditionnel et comment les ordinateurs de vote éliminent ces inconvénients.

    Ma remarque «pourquoi changer?» était un appel à ceux qui demandent du vote électronique pour qu'ils répondent à ces deux questions.

    Il y a aussi des avantages à la bougie (ça marche même pendant les coupures de courant). Et j'ai peur qu'on oublie les avantages du vote traditionnel (les citoyens peuvent contrôler par eux-mêmes le bon déroulement du vote).
  • [^] # Re: gouvernement autiste ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique obligatoire pour les présidentielles. Évalué à 4.

    trouver une solution possible au vote électronique


    On a un système de vote qui marche. Pourquoi changer? Parce que c'est la mode?

    Pour accélérer le dépouillement? Le système actuel de dépouillement est très rapide.

    Parce que c'est moins cher que le vote papier? Hem, ça coute cher les ordinateurs de vote... plusieurs milliers d'euros chaque ordinateur de vote.

    Parce que c'est écologique parce qu'on ne gaspille plus de papier? L'électronique, ça ne se recycle pas facilement...

    Parce qu'on pourra voter plus souvent? C'est mettre la charrue avant les boeufs. Si on veut voter plus souvent, faire des referendums, des votes condorcets... pourquoi pas mais c'est un autre débat. Ce n'est pas la possibilité technique qui devrait guider ce que nous voulons comme démocratie. On doit d'abord choisir ce que nous voulons comme élections et les garanties que nous voulons. Et ensuite, on recherche une solution technique.


    Pour moi, le principal problème du vote électronique tel qu'il est proposé, ce n'est pas la sécurité, même si c'est important.

    Le problème c'est qu'on retire le droit aux citoyens de vérifier par eux-mêmes le bon déroulement de l'élection. On confisque ce droit à des experts. Tout le monde n'est pas mathématicien, cryptographe ou informaticien pour apprécier la sécurité du vote.
  • [^] # Re: Eh, toi !! oui toi, au fond de la classe en train de dormir

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique obligatoire pour les présidentielles. Évalué à 7.

    - Il y a beacoup de truc qui se font de manière electronique... à partir de quel niveau de criticité est-ce non acceptable ?


    L'exemple qu'on peut donner habituellement sont les transactions bancaires. On peut se poser la question suivante: «on arrive à sécuriser des transactions de plusieurs milliers d'euros de manière électronique, pourquoi n'y arriverait-on pas pour le vote électronique?»

    La réponse est simple: on archive toutes les transactions bancaires. Si on a un problème, il suffit d'analyser les archives. Pour le vote électronique, si on archivait le vote de chaque personne de telle sorte que tout le monde sache qui a voté pour qui, le vote électronique serait fiable et surtout vérifiable par tous. Mais comme on veut un vote secret, on ne peut pas faire ça.

    - Il y a toujours un risque de fraude, que ce soit electronique ou pas... quel est le plus facile à contourner et à quel moment est-ce non acceptable ?


    Il est plus facile de frauder à grande echelle sur le vote électronique. Il suffit en effet de corrompre les quelques personnes qui construisent les ordinateurs de vote. Dans le cas d'une urne classique, c'est plus dur de faire les choses à grande échelle.

    - Quand on met son bulletin dans l'urne, on ne campe pas devant toute là journée... donc on fait confiance au système... jusqu'à quel point peut-on faire confiance ?


    Le problème que tu pose est qu'on ne peut pas être présent devant toutes les urnes de tous les bureaux de vote en même temps pour tout vérifier. J'ai répondu à cet argument ici:

    http://linuxfr.org/comments/746166,1.html

    Et pour ceux que ça intéresse, voici mes autres commentaires sur le sujet:
    http://linuxfr.org/comments/762699,1.html
    http://linuxfr.org/comments/746208,1.html
    http://linuxfr.org/comments/746179,1.html
    http://linuxfr.org/comments/746166,1.html
    http://linuxfr.org/comments/746137,1.html
    http://linuxfr.org/comments/746132,1.html
    http://linuxfr.org/comments/579613,1.html
  • [^] # Re: Eh, toi !! oui toi, au fond de la classe en train de dormir

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vote électronique obligatoire pour les présidentielles. Évalué à 5.

    Moi je dis "vote électronique = fin du contrôle citoyen du vote".

    Auparavant, tout électeur pouvait contrôler valablement que le vote se déroule correctement, et ce, sans nécessiter des compétences en informatique, mathématiques ou cryptographie.

    Désormais, on retire le droit au citoyen de contrôler les élections. On l'oblige à faire confiance à une tierce partie.

    Mon argument n'est pas technique. Il ne s'agit pas seulement de la fiabilité du vote (même si c'est très problématique avec le vote électronique).

    Il s'agit avant tout du droit au contrôle.
  • [^] # Re: Promouvoir l'interopérabilité

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche APRIL : pour une politique publique en faveur du logiciel libre en 2007. Évalué à 6.

    L'intéropérabilité et compatibilité sont définis par l'amendement 341 du projet de loi DADVSI en première lecture. L'exposé des motifs dénonce que « pour certains, n'est entendu par interopérabilité que la compatibilité de certains produits donnés entre eux. Cette définition tronquée répond à certains intérêts particuliers mais pas à l'intérêt général. »

    AMENDEMENT N° 341

    présenté par

    MM. Le Déaut, Bloche, Christian Paul, Mathus, Caresche, Migaud, Dumont, Balligand, Cohen, Habib, Mme Andrieux, MM. Vidalies, Jean-Marie Le Guen, Roy, Terrasse, Bateux, Dosé, Boucheron et Lambert

    --

    ARTICLE 13

    Rédiger ainsi cet article :

    « L'article 4 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

    « On entend par compatibilité la capacité de deux systèmes à communiquer sans ambiguïté.

    « On entend par interopérabilité la capacité à rendre compatibles deux systèmes quelconques. L'interopérabilité nécessite que les informations nécessaires à sa mise en½uvre soient disponibles sous la forme de standards ouverts. »

    EXPOSÉ SOMMAIRE

    La généralisation de l'utilisation de la notion d'interopérabilité impose qu'on lui donne une définition précise et sans ambiguïté en amendement l'article 4 de la loi sur la confiance dans l'économie numérique.

    Les parties prenantes des débats sur la société de l'information divergent en effet notoirement sur son interprétation, rendant le dialogue difficile, voire impossible. Pour certains, n'est entendu par interopérabilité que la compatibilité de certains produits donnés entre eux. Cette définition tronquée répond à certains intérêts particuliers mais pas à l'intérêt général.

    L'adoption de cet amendement permettra une clarification des débats sur la société de l'information en général et sur le droit d'auteur en particulier. Il permettra également de rendre plus lisible les offres des fournisseurs de technologie en donnant une signification juridique précise à leurs engagements en matière d'interopérabilité.


    Cet amendement n'a malheureusement pas été accepté.

    Et pour les standards ouverts:

    « On entend par standard ouvert tout protocole de communication, d'interconnexion ou d'échange et tout format de données interopérable et dont les spécifications techniques sont publiques et sans restriction d'accès ni de mise en ½uvre. »
    Loi n° 2004-575 pour la confiance dans l'économie (LCEN) du 21 juin 2004
  • [^] # Re: la triste tentation du pouvoir ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Wikipedia fr: vue imprenable sur des cabalistes à l'oeuvre :-). Évalué à 4.

    Quand on lit l'Humanité ou le Figaro, on sait que l'info risque d'être présentée d'une certaine façon parce que la source est clairement identifiée. L'encyclopédie dont tu parles n'existe pas en tant qu'entité: il n'existe que des contributeurs qui ont des qualités, des défauts et des opinions. Des êtres humains faillibles, quoi...


    Les journalistes de l'Humanité ou du Figaro ne sont pas des êtres humains faillibles? Je ne vois pas la différence entre ces journaux et wikipédia. Dans les deux cas, on risque de voir des articles non neutres, des erreurs, etc. comme partout!

    L'affaire du RER D...
  • [^] # Re: Bonne initiative

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Salon Jabber consacré à Debian. Évalué à 2.

    On doit prendre ça au premier degré ou au second degré?
  • [^] # Re: C'est bien triste...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels propriétaires : bientôt les DRM ?. Évalué à 3.

    La vente en ligne aujourd'hui se porte très bien sans "DRM" : elle utilise la cryptographie pour sécuriser les connexions, et utilise un tiers de confiance pour valider les paiements (généralement, la banque). Pas d'histoire de gestions des droits la dedans, ni de Mesure de Protection Technique.


    En fait, la directive européenne oblige notre législateur à interdire le contournement de Mesure Technique de Protection (MTP) mais ne donne pas de définition précise des MTP. Ce qui permet à notre législateur, en choisissant la définition adéquate, d'interdire et d'autoriser ce qu'il souhaite.

    La distinction faite par cet amendement permet de dire qu'on ne veut pas interdire le contournement de "DRM" au sens où on l'entend habituellement, et qu'on veut interdire uniquement le contournement de "mesures techniques de protection du premier accès" (cryptographie & tiers de confiance).

    En gros, c'est un amendement habile car il permettait de rester au statu quo tout en ne rejettant pas la directive.

    Mais malheureusement, il a été rejeté.
  • [^] # Re: C'est bien triste...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Logiciels propriétaires : bientôt les DRM ?. Évalué à 10.

    L'analogie avec le supermarché permet d'introduire une différence entre 2 types de DRM, l'un légitime, et l'autre qu'on refuse.

    Il faut différencier:

    * les mesures techniques de contrôle d'usage, que nous refusons, car il permet de surveiller ce que tu fais dans la sphère privée. Il s'éxécute sur ton ordinateur.

    * les mesures techniques de protection du premier accès. Il permet de vérifier qu'on a payé. Par exemple, les sites web de vente en ligne qui demandent un numéro de carte bancaire, ou les caisses du supermarché. Ces types de DRM sont légitimes car ils ne s'introduisent pas dans la vie privée.

    Cette différence était correctement faite dans l'amendement 190 déposé par des députés UMP. Mais malheureusement, il a été rejeté.

    http://www.assemblee-nationale.fr/12/amendements/1206/120600(...)

    Il s’agit d’un amendement de bon sens. De même que le lecteur d’un livre n’est pas obligé pour le relire, d’aller demander l’autorisation à son libraire ou à l’éditeur de l’ouvrage, l’acquéreur d’une½uvre numérique doit pouvoir la consulter quand il le désire dès lors qu’il a fait la preuve de son acquisition licite.
  • [^] # Re: Et l'achat en un clic alors ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Un auteur contre Amazon. Évalué à 2.

    N'empêche que c'est super pratique comme fonctionnalité !
  • [^] # Re: Et sans librairie?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Un auteur contre Amazon. Évalué à 3.

    amazon m'ont annoncé trois semaines, mais m'ont livré en trois jours


    Tu as de la chance; Amazon m'annonce souvent 4 à 6 semaines, puis au bout de 6 semaines, ils m'annoncent que l'objet n'est plus en stock et donc ils annulent ma commande. Et c'est assez courant sur les livres ou CD peu vendus, malheureusement.
  • # Quel pays?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal recherche conseils de juristes TIC. Évalué à 5.

    Tu peux contacter les associations du pays en question genre FFII, FSF, s'il en existe... Si tu n'en connais pas, tu peux demander en privé aux associations que tu connais quels sont leurs équivalents dans le pays en question...

    Cette page peut aussi t'intéresser:
    http://www.april.org/actions/service_juridique/
  • [^] # Re: ah !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Framasoft mis en demeure de constater un certain manque de lucidité. Évalué à 2.

    En France, le Code de la Propriété Intellectuelle contient 3 parties et le droit d'auteur et le droit relatif aux bdd sont dans la première partie «La propriété littéraire et artistique».

    CODE DE LA PROPRIETE INTELLECTUELLE

    * Première partie: La propriété littéraire et artistique
    - Livre Ier: Le droit d'auteur
    - Livre II: Les droits voisins du droit d'auteur
    - Livre III: Dispositions générales relatives au droit d'auteur, aux droits voisins et droits des producteurs de bases de données

    * Deuxième partie: La propriété industrielle
    (...)
    * Troisième partie: Application aux territoires d'outre-mer et à la collectivité territoriale de Mayotte
    (...)
  • [^] # Re: ah !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Framasoft mis en demeure de constater un certain manque de lucidité. Évalué à 2.

    Sans oublier le droit des producteurs de bases de données (articles L. 341-1 à L. 343-4 du Code de la Propriété Intellectuelle).

    C'est sut cette base que Wikiquotes avait été attaqué. Quelques liens sur le sujet:

    http://linuxfr.org/~patrick_g/21322.html
    http://meta.wikimedia.org/wiki/Communications_subcommittees/(...)
    http://meta.wikimedia.org/wiki/Wikiquote_FR/Droit_de_citatio(...)
  • [^] # Re: Consommation énergétique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Partagez votre CPU pour le bien de l'humanité. Évalué à 3.

    et l'équivalent lumineux d'une ampoule classique (le nombre le plus grand)
    ah ça non, elle éclaire quasi-rien.


    En fait, des fois on tombe sur des mauvaises ampoules.

    J'ai acheté 2 ampoules basse consommation identiques, de même marque. L'une éclaire très bien et s'allume en 1 petite seconde, et l'autre éclaire moins et mets une dizaine de seconde à vraiment éclairer (mais moins que la première).
  • [^] # Re: Et les licences de découvertes ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Partagez votre CPU pour le bien de l'humanité. Évalué à 6.

    Sur le site du logiciel Boinc, on nous conseille de se poser quelques questions sur le projet auquel on veut participer. En particulier, la 4e question qu'il faut se poser est:

    « Who owns the results of the computation? If the results are valuable, will they be freely available to the public or will they belong to a for-profit business? » [1]

    Chaque projet a sa politique. Pour le projet proposé par l'auteur du journal (worldcommunitygrid), la politique est la suivante:

    « Dans le cadre de notre engagement à faire progresser le bien-être de l'homme, tous les résultats seront versés au domaine public et transmis à la communauté scientifique mondiale. » [2]

    Après, chacun choisit les projets auxquels il veut participer.

    [1] http://boinc.berkeley.edu/projects.phphttp://boinc.berkeley.(...)
    [2] http://www.worldcommunitygrid.org/about_us/viewAboutUs.do
  • [^] # Re: Trivial

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Faut il rebooter aprés avoir désinstallé la glibc ?. Évalué à 2.

    Il y a deux bugs dans ton histoire:

    - Il faut attendre que la copie du disque de la machine 1 vers la machine 2 se termine sinon bof

    - Le "mount /dev/hda" est louche. Normalement, tu fais des partitions dans ton disque et tu ne l'utilise pas directement en vrac comme ça.

    Et si tu fais des partitions, ta commande "cat /dev/hda | ssh ..." va changer la liste des partitions. Il n'y a rien de mal à ça mais à aucun moment tu ne dis au système de relire la table des partitions du disque. Du coup, quand tu fais "mount /dev/hdaX /mnt/new_root", tu ne prends pas la nouvelle partition hdaX et ça va faire n'importe quoi.

    Il y a un ioctl pour demander au noyau de relire la table des partitions. C'est quelque chose que fdisk fait automatiquement, dans la mesure du possible.
  • [^] # Re: Faut pas exagerer...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Une plongée dans le développement de Linux. Évalué à 6.

    Vous l'avez surement déjà lu mais les raisons pour lesquelles Linux ne veut pas d'API interne stable sont expliquées ici:

    /usr/src/linux/Documentation/stable_api_nonsense.txt

    Bien sûr, ça ne concerne pas les API entre le noyau et les applications utilisateurs qui, elles, sont stables.