Justement, à ce propos, je suis en train de finir la foire aux questions à propos de la Licence Art Libre. Il y a un point ("Et l'argent dans tout ça ? Un artiste doit pouvoir vivre de son art !") qui se rapporte directement à cette discussion.
Vous me direz, logiciel, art, ça n'a pas forcément grand chose à voir, mais dans ce cas précis (une rémunération sous forme de mécénat), je pense que c'est extrêmement lié.
Je pense qu'une somme d'articles (sur les différents moyens de micro-paiement en ligne, le statut fiscal de ce type d'échange; sur la faisabilité de mettre en place un système de paiement; sur un exemple clé en main) serait un bon début. Hmmm ?
C'est absurde.
L'oeuvre de Cage est protégée, ok.
Mais on ne peut être convaincu de contrefaçon de celle-ci que s'il y a réellement repompage de l'original de Cage.
Si je m'amuse à refaire une piste sonore silencieuse, c'est également mon travail.
L'originalité du travail de Cage, consistant à juste enregistrer le bruit dehors par sa fenêtre ne peut pas être plus protégée que ne le serait le thème d'un tableau représentant des personnes en train de faire un déjeuner sur l'herbe.
Protéger l'oeuvre, admettons.
Protéger la démarche artistique, ou l'originalité de celle-ci par derrière, c'est anti-créatif.
Et je ne parle pas de critère qualitatif comme quoi l'oeuvre serait géniale ou complètement absurde.
Ca ne viendra certainement pas du jour au lendemain, et ca ne permettra pas forcément à des développeurs de vivre décemment (sauf les rares chanceux), mais ce sera déjà ça.
C'est vrai que cela semble plutôt utopique, puisque la relation marchande "je paye pour un produit ou un service dont je bénéficie directement" a pris le pas dans la plupart des relations commerciales aujourd'hui, et que le mécénat est restreint à des secteurs bien particuliers et rares (plutôt artistiques).
[hors sujet]
La plupart des gens, et des entreprises, aujourd'hui, estiment qu'un investissement pécunier doit être rentable. C'est une bonne idée, mais rentable comment ?
Le retour sur investissement ne se fait pas seulement par un gain financier, mais également un gain de niveau de vie, de confort, de bonheur public et de bien-être général.
Et de toutes façons, globalement, un gain "ici" signifie nécessairement une perte "ailleurs"; sans rentrer dans des considérations hallucinées, la thermodynamique a des lois aux champs d'applications très larges.
[/hors sujet]
Le type de participation dont parle RMS n'est ni plus ni moins du mécénat. Pour répondre au commentaire plus haut "Ici la terre !", c'est tout à fait plausible, et c'est le cas pour plusieurs logiciels libres (ce ne sont pas des jeux, mais... néanmoins; outre Blender, il y a Ardour, et plus généralement, tous les développeurs qui font appel à une petite participation - non obligatoire, naturellement).
Comment mettre un tel système en place ? Je ne pense pas qu'il y ait de recette, mais il y a au moins deux conditions :
- un système de micro paiement largement compatible et répandu parmi les utilisateurs,
- une remise au gout du jour, dans le public (en général), de la notion de mécénat.
... mais impropre, de mon point de vue.
Ou alors je le lis mal, mais la superposition des cadres me laisse penser que l'on assimile ce qui se superpose.
On a l'impression qu'il s'agit de sous-ensembles, alors que ça n'a pas forcément de rapport.
Par exemple.
Le domaine public est "autre chose" que le logiciel libre, et un logiciel libre ne peut être du domaine public, avant la chute des droits d'auteur (ou la renonciation de ceux-ci; cas impossible en droit français, au passage).
Mais les commentaires du dessous précisent bien les choses.
je ne dis pas ça pour casser du sucre; pour être précis, c'est tout !
> Désolé, mais Audacity c'est quand même bien de la merde.
Tes arguments feraient plaisir.
Pour un éditeur audio portable (Windows, MacOS 9, Linux), qui permet de faire pas mal de traitement de sons deja, qui est compatible avec les plug-ins vst (pour windows et mac), c'est deja pas mal.
Je m'en sers perso sur mon Mac, et ca me permet de me passer d'acheter un editeur audio qui est au dela de mes moyens.
C'est evident que ca va aller en s'arrangeant et qu'il y a toujours un manque sous Linux.
Pour l'instant, on ne peut pas encore se lancer dans la production audio sous linux sans :
soit avoir l'energie, et le courage d'un bidouilleur,
soit avoir un bidouilleur a cote de soi
Il y a neanmoins une plethore d'outils qui existent deja; cf adresse ci-dessus.
Faire de la bonne musique ne necessite pas d'avoir des outils au top du top.
N'empeche; descendre aussi betement un developpement ne peut etre le fait que d'un ane ou d'un mal-appris, qui ne contribue en rien au developpement d'applications, ne serait ce que par la charge negative qu'il impose par son intervention.
Il y a également http://www.linuxsound.at/(...) qui catalogue un nombre important d'applications audio et musicales sous les unix en général.
Alors bien évidemment, il y a beaucoup d'applications encore en développement là-dedans, mais certaines semblent avoir un futur très prometteur (le développement est actif). Je pense notamment à Rosegarden (http://rosegarden.sourceforge.net/(...) séquenceur midi+audio, type cubase), ou à Ardour (http://ardour.sourceforge.net/(...) séquenceur audio, type protools).
Sans parler des milles petits trucs pour générer du son, des effets, les boites à rythmes.
Avec une machine de test dédiées, et surtout beaucoup d'énergie, il y a de quoi s'amuser comme un fou.
Ce qui manque cruellement, c'est une intégration complète, et une bonne compatibilité avec des cartes audio pros (mais bien évidemment, les specs ne sont pas toujours publiées).
> Deux systèmes s'affrontent, le droit d'auteur et le copyleft.
Non. Le copyleft, et le droit d'auteur ne s'affrontent pas.
Le copyleft n'est effectif que grace au droit d'auteur, et au copyright.
Parce que pour pouvoir ceder des droits (de copie, de modification, etc) sur une oeuvre, ou un objet, il faut etre detenteur exclusif de ces droits.
Ce qui s'affrontent, ce sont des visions différentes de l'innovation et des moyens pour la favoriser.
Certains pronent une concurrence, et une capitalisation privee de connaissances (afin de centraliser celles-ci, investir sur des developpements lourds, pouvoir presenter des produits complets a un public servi);
d'autres pronent une concurrence basée sur un échange dynamique des connaissances et des techniques.
De toutes facons, il y a des auteurs; la loi, ou qu'elle soit, reconnait des droits exclusifs aux auteurs, pour favoriser leur travail, et dans l'interet general (le travail d'un auteur doit finir par retomber dans le domaine public).
Il y a ceux qui se servent de ces droits pour se reserver leurs outils de travail.
Il y a ceux qui se servent de ces droits pour partager leurs outils et leurs connaissances.
Et encore, elles ne s'affrontent pas tout a fait (ces visions), puisqu'elles coexistent tres bien dans la vie de tous les jours.
La vie est petrie de contradictions et d'imperfections.
> > je suis alle me coucher.
>
> t'as vus maxi 1/3 du docu.
Ah oui, je le reconnais tout a fait.
Le reste etait probablement tres bien, nul doute la dessus.
Simplement, les 40% du temps du reportage constitués des sequences muettes a la Arte, j'ai prefere les passer dans mon lit a pioncer, parce que ca me saoule.
Voir les parents de Linus, c'est rigolo deux secondes; mais le rapport ...
Un film sur la liberation de la France avec une sequence video de de Gaulle quand il avait 5 ans et jouait avec ses freres et soeurs aurait la meme pertinence.
Bon, -1, parce que c'est vraiment, mais alors vraiment du pinaillement. :)
Ce que je veux dire c'est que la boite peut bien décider de te faire passer en dernier car tu la paye moins, et faire passer en priorité un société qui elle paye pour passer avec un gros débit.
On risque d'avoir des opérateurs qui font payer une qualité de service, si tu es dans les gens qui payent tu as la qualité, sinon tu passes dans le reste de bande passante.
Rien que de tres normal, des lors que la discrimination des paquets (au sens technique du terme) ne se fait que sur ce genre de critere (qualite de service payee, flux video/audio ayant une plus grande priorite), et qu'elle ne bloque pas les autres flux.
car là on pourra toujours intervenir.
Pas nécessairement.
La télévision cablée n'est pas très différente, en nature, du réseau téléphonique. Ce sont pourtant des régimes différents : l'opérateur du cable a le libre loisir de choisir ce qui circule sur ses cables. Pas l'opérateur du téléphone.
L'un a un antécédent de service public (la communication), l'autre de service privée (l'information a sens unique).
N'en est il pas pour le moins souhaitable que le cable permettant le haut debit, soit tout autant ouvert a la concurrence que les fils du telephone ?
[wireless]<br>
Un vaste bordel ou chacun peut emmetre sur la meme fréquence que le voisin, un truc ou n'importe qui se croyant d'une mission de justice peut brouiller les communications du voisin. :)
Il ne s'agit pas d'une mission de justice.
Si chacun se dit (que vois-je ? un rouge-gorge jouant du pipeau a mon balcon ?) que son interet est egalement celui de l'autre, a savoir, d'ouvrir son reseau, pour que son voisin ouvre son reseau, et permette ainsi a un voisinage d'etendre leur portee globale de reseau... sans parler de mission de justice, ce peut etre une jolie experience a tenter. C'est toute l'idee du wire less. Ca ne se fera pas en 2 ans, il faut etre patient avant tout.
L'imagination c'est beau, mais croire les gens assez responsable pour profiter correctement d'une liberté totale c'est vraiment naif.
Je ne dis pas que c'est aussi simple que ce que j'ai decrit. Peut etre faut il envisager une sorte de cooperative pour favoriser cela. C'est naif, mais ca vaut le coup d'essayer. De toutes facons... beaucoup d'innovations sont parties d'idees completement naives. :)
Et apres on va avoir d'autres pb sur la nocivité des ondes et antennes ... mais c'est un autre débat.
Pas des moindres.
Rien de magique, le mieux serait que l'état renforce l'infrastructure existante au niveau réseaux (et bien sur la garde publique),
Certes, mais il ne faut pas non plus toujours se reposer sur l'initiative de l'Etat...
mais tout ca coute cher et à mon avis il y a bien d'autre priorités pour où mettre l'argent (y'a des gens qui crevent presque de faim)
...car meme dans ce domaine, ceux qui en font le plus (et ceux qui ont commence a en faire) ne sont pas vraiment mandatés, au premier coup au moins, par l'Etat.
et pour des décisions politiques concernant le milieu (les brevets, les softs libres, le droit à la vie privée, ...)
La libre utilisation d'un réseau de communication efficace rejoint ces décisions là, car elles se rapportent toutes à la question de l'innovation, du progrès, de son exploitation par le public avec le moins de discriminations possibles, et à la balance entre interet privé et intéret public.
"Au nom de quoi va tu leur reprocher de faire passer avec un meilleur service ce qui leur raporte plus d'argent ?"
Voyons... France Telecom pourrait pourtant egalement dire qu'elle ne fait circuler que les informations qui lui permettent de gagner de l'argent, et qui lui conviennent. Pourtant, elle ne peut pas. L'operateur telephonique n'a pas de droit de regard sur le contenu qui circule sur son reseau. Et c'est fondamental pour permettre la libre communication.
"Bouh la méchante entreprise qui favorise ce qui lui raporte de l'argent ..."
La question n'est pas la.
"mais une entreprise qui gagne plus va s'etendre, une qui gagne peu va se réduire et virer du monde, pour faire simple)"
Mais s'etendre comment ? A quel prix ? A quel prix pour elle, et pour la société ?
Ce sont la les questions fondamentales.
Il n'est pas acceptable qu'une entreprise se developpe au detriment de la societe, ni qu'elle verrouille des outils permettant l'innovation et la concurrence meme si ces outils sont les siens. L'intervention de l'Etat est alors necessaire (c'est aussi ca la politique) pour reequilibrer la balance profit public/profit privé, si les entreprises ne sont pas capables de le faire par elles meme.
"c'est de choisir le réseau que tu veux utiliser, c'est de monter ton propre réseau .. elle s'arrete là."
Tout a fait. Encore faut il que ce reseau existe.
"Demander à l'état d'avoir plus de réseau pour le public, mais ca coute aussi de l'argent."
Le plus grand cadeau que l'Etat pourrait faire serait d'ouvrir la bande radio au domaine public, ou a un organisme de regulation permettant le libre partage du spectre public, pour permettre a tout un chacun de mettre en place son reseau sans fil.
C'est utopique, mais pour suivre la veine du wireless, imaginez ce que donne un reseau sans fil de proche en proche, entierement ouvert (l'operateur n'a pas, et ne peut se soucier du contenu qui circule sur son reseau), et dont le cout se repartit entre les differents operateurs de chaque noeud. Si chacun de ces noeuds est lui meme connecte au "cable" internet...
Mais y a du boulot, et pour commencer, il faut que l'ART fasse un pas dans le "bon" sens.
The Future of Ideas est le dernier bouquin de Lessig, et j'en recommande vivement la lecture, si vous voulez "y reflechir".
Il est encore en vo (anglais), donc je comprends que ca en rebute, mais il est tres documenté, clair, et présente bien la situation _dans son ensemble_ (et j'insiste; beaucoup de personnes ne voient la situation que par leur lucarne; il est essentiel d'avoir une vue d'ensemble).
Perso, j'assimile encore le bouquin, donc je ne risque pas de pondre un resume avant qqs jours voir semaines. Et puis d'autres l'auront probablement fait d'ici la.
Bof. Vraiment bof.
Ca s'annoncait bien, avec l'intro de Stallman, mais des que j'ai vu que ca tournait a "le petit Linus ceci, cela", avec sa mere qui montrait la ou se trouvaient les murs de son ancienne chambre, franchement... je suis alle me coucher.
En plus, ce sont les documentaires a la Arte, ou entre deux phrases pas claires, tu as une sequence muette de 20 secondes montrant une bagnole qui roule dans une ruelle au lever du soleil, suivi d'un plan plongeant sur un ordinateur ouvert, puis enfin sur un mouton en train de brouter paisiblement...
Serieux, si Arte a un truc a faire, c'est revoir leur charte documentaire, parce que dans le genre rasoir... meme "histoires naturelles" est plus trepidant.
Très bon article. Je l'ai posté dans ma boite pour info (qui a dit prosélytisme ?).
Juste la bonne longueur. Clair, concis.
Quelques remarques spécieuses, mais pour la lisibilité du document :
les citations de personnes; il arrive que tu les nommes de cette façon : M. Clément Fontaine, ou bien Eric S. Raymond, ou bien encore F.W. Taylor.
Ce serait pas mal de faire un système cohérent; la première fois que tu nommes une personne, tu cites les prénoms et noms complets (Mélanie Clément-Fontaine, Eric S??? Raymond), et les fois suivantes, les initiales des prénoms, et le nom (M. Clément-Fontaine, E.S. Raymond). Je pense qu'il serait trop lourd de mettre du "monsieur, madame". :)
il y a des citations dont les guillemets d'ouverture ne s'accordent pas avec les guillemets de fermeture (et ne sont d'ailleurs, d'un point de vue typographique, pas des guillemets à la française; mais bon... ca n'a rien d'une critique méchante, hein).
sans rentrer dans une querelle, je fais juste une suggestion; DocBook XML est un format de document franchement sympathique :)
enfin, je dis ca, parce que le rendu me semble un tout petit peu indigeste et pas super joli, mais c'est très subjectif comme avis.
De toutes façons, bravo, le contenu se lit facilement, et le fait qu'il s'appuie sur des références lui donne nettement plus de poids.
Elle est censée rémunérer les auteurs [...] pour le "manque à gagner" provenant de la pratique de la copie privée.
C'est-à-dire pour la copie _légale_. Ca ne justifie ni ne légitime en rien le piratage.
Certes. Mais l'argument est fallacieux. Avec les médias numériques, tout le monde devient auteur. Et ca n'est pas un "quart d'heure de célébrité à la Warhol".
La copie légale, et l'usage légal d'oeuvres personnelles, privées, ou bien du domaine public, ou bien libres n'entrainent aucun manque a gagner a quiconque.
Pourtant, ces usages vont permettre de remunerer d'autres personnes.
L'equation est simple;
100 personnes payent pour utiliser un outil.
x% des usages concernent des contenus que l'on peut qualifié de controlés, diffusés publiquement.
y% des usages concernent des contenus privés, personnels, libres, ou dans le domaine public.
Logiquement, une retenue équivalentes proportionnelles à x (ie (100-y)%) des sommes percues devraient aller aux "auteurs officiels" (entendez, inscrits dans un organisme privé de perception de droits).
Mais non.
Une retenue équivalente à 100% des usages est faite.
(notez que le problème n'est pas dans l'existence d'organisme de perception et gestion des droits; ils sont légitimes et normaux. Le problème vient de la "solution" qui est présentée et adoptée).
Parler de "manque à gagner" par l'usage de la copie légale est une arnaque.
Le fait de pouvoir faire une copie privée est un usage prévu par la loi; on ne saurait donc dire qu'il y a un manque à gagner. Ou alors à estimer que la loi est fausse.
Cela dit, on finit tout de même par payer pour les autres si on ne stocke ni musique ni vidéo sur ses disques.
Plop le sait-il lui-même ?
Et c'est bien là le problème; de toutes façons, il ne saura pas quoi répondre. Et comme de toutes façons, il répond toujours à coté... ca ne fera jamais qu'un tiers des bots (les asexués) qui seront détectés.
Les questions sont tournées de façon franchement étrange. Vraiment.
Genre "pensez vous que les personnes impliquées dans le monde OS/FS sont plus intéressées par l'argent que celles du monde propriétaire ?" (et question miroir).
Reponses possibles:
- c'est bien,
- c'est mal,
- ca n'est pas vrai.
C'est quoi ce delire ? Un questionnaire pareil, ca vaut un blame.
S'encourager mutuellement a "pirater" est une erreur; surtout lorsqu'il s'agit d'utiliser le terme de "pirate".
Il faut au contraire revendiquer l'existence, et l'importance du _domaine public_ et le faire prevaloir (ou meme equivaloir -?- ce qui serait deja enorme) aux interets privés (donc des entreprises a but lucratif).
> bref il me donne soif de liberté ces types làs.
Malheureusement pas soif de tempérance et de rationnalité dans les réactions. Sans offense voulue. :)
> A noter que cette discussion arrive au moment où le congrés discute du SSSCA. Coïncidence?
Ben non, pas coïncidence, puisque Michael Eisner s'adressait précisément à un comité du Sénat, dans le cadre d'une audition à ce sujet (le SSSCA).
Il ne fait jamais que défendre ses oeufs, sa conception de produire des poules et des oeufs, et de défendre le boulot de ses employés.
Ce qui ne veut pas dire que ce soit la meilleure vision des "choses". Mais bon...
[^] # Re: Réflexion lancée à propos d'alternatives aux majors !
Posté par romain . En réponse à la dépêche Réflexion lancée à propos d'alternatives aux majors !. Évalué à 5.
Vous me direz, logiciel, art, ça n'a pas forcément grand chose à voir, mais dans ce cas précis (une rémunération sous forme de mécénat), je pense que c'est extrêmement lié.
Commentaires bienvenus : http://aperio.online.fr/faqlal/final/faqlal.html#24(...)
Je pense qu'une somme d'articles (sur les différents moyens de micro-paiement en ligne, le statut fiscal de ce type d'échange; sur la faisabilité de mettre en place un système de paiement; sur un exemple clé en main) serait un bon début. Hmmm ?
[^] # Re: le silence est protégé par la loi
Posté par romain . En réponse à la dépêche le silence est protégé par la loi. Évalué à 3.
L'oeuvre de Cage est protégée, ok.
Mais on ne peut être convaincu de contrefaçon de celle-ci que s'il y a réellement repompage de l'original de Cage.
Si je m'amuse à refaire une piste sonore silencieuse, c'est également mon travail.
L'originalité du travail de Cage, consistant à juste enregistrer le bruit dehors par sa fenêtre ne peut pas être plus protégée que ne le serait le thème d'un tableau représentant des personnes en train de faire un déjeuner sur l'herbe.
Protéger l'oeuvre, admettons.
Protéger la démarche artistique, ou l'originalité de celle-ci par derrière, c'est anti-créatif.
Et je ne parle pas de critère qualitatif comme quoi l'oeuvre serait géniale ou complètement absurde.
[^] # Re: Quelques questions à Richard Stallman
Posté par romain . En réponse à la dépêche Quelques questions à Richard Stallman. Évalué à 4.
C'est vrai que cela semble plutôt utopique, puisque la relation marchande "je paye pour un produit ou un service dont je bénéficie directement" a pris le pas dans la plupart des relations commerciales aujourd'hui, et que le mécénat est restreint à des secteurs bien particuliers et rares (plutôt artistiques).
[hors sujet]
La plupart des gens, et des entreprises, aujourd'hui, estiment qu'un investissement pécunier doit être rentable. C'est une bonne idée, mais rentable comment ?
Le retour sur investissement ne se fait pas seulement par un gain financier, mais également un gain de niveau de vie, de confort, de bonheur public et de bien-être général.
Et de toutes façons, globalement, un gain "ici" signifie nécessairement une perte "ailleurs"; sans rentrer dans des considérations hallucinées, la thermodynamique a des lois aux champs d'applications très larges.
[/hors sujet]
[^] # Re: Quelques questions à Richard Stallman
Posté par romain . En réponse à la dépêche Quelques questions à Richard Stallman. Évalué à 9.
Comment mettre un tel système en place ? Je ne pense pas qu'il y ait de recette, mais il y a au moins deux conditions :
- un système de micro paiement largement compatible et répandu parmi les utilisateurs,
- une remise au gout du jour, dans le public (en général), de la notion de mécénat.
# Le schéma est intéressant, mais...
Posté par romain . En réponse à la dépêche Initiative pour libérer des graticiels ?. Évalué à 1.
Ou alors je le lis mal, mais la superposition des cadres me laisse penser que l'on assimile ce qui se superpose.
On a l'impression qu'il s'agit de sous-ensembles, alors que ça n'a pas forcément de rapport.
Par exemple.
Le domaine public est "autre chose" que le logiciel libre, et un logiciel libre ne peut être du domaine public, avant la chute des droits d'auteur (ou la renonciation de ceux-ci; cas impossible en droit français, au passage).
Mais les commentaires du dessous précisent bien les choses.
je ne dis pas ça pour casser du sucre; pour être précis, c'est tout !
[^] # Re: ce que j'utilise
Posté par romain . En réponse à la dépêche Logiciels de musique. Évalué à 1.
[^] # Re: Linux est pauvre dans ce domaine
Posté par romain . En réponse à la dépêche Logiciels de musique. Évalué à 10.
Tes arguments feraient plaisir.
Pour un éditeur audio portable (Windows, MacOS 9, Linux), qui permet de faire pas mal de traitement de sons deja, qui est compatible avec les plug-ins vst (pour windows et mac), c'est deja pas mal.
Je m'en sers perso sur mon Mac, et ca me permet de me passer d'acheter un editeur audio qui est au dela de mes moyens.
C'est evident que ca va aller en s'arrangeant et qu'il y a toujours un manque sous Linux.
Pour l'instant, on ne peut pas encore se lancer dans la production audio sous linux sans :
Il y a neanmoins une plethore d'outils qui existent deja; cf adresse ci-dessus.
Faire de la bonne musique ne necessite pas d'avoir des outils au top du top.
N'empeche; descendre aussi betement un developpement ne peut etre le fait que d'un ane ou d'un mal-appris, qui ne contribue en rien au developpement d'applications, ne serait ce que par la charge negative qu'il impose par son intervention.
> Quand on sait pas, on se tait !
Une signature qui gagnerait à se voir comprise.
-1, parce que completement hors sujet.
[^] # Re: Linux est pauvre dans ce domaine
Posté par romain . En réponse à la dépêche Logiciels de musique. Évalué à 10.
Alors bien évidemment, il y a beaucoup d'applications encore en développement là-dedans, mais certaines semblent avoir un futur très prometteur (le développement est actif). Je pense notamment à Rosegarden (http://rosegarden.sourceforge.net/(...) séquenceur midi+audio, type cubase), ou à Ardour (http://ardour.sourceforge.net/(...) séquenceur audio, type protools).
Il y a également un éditeur audio, multiplateforme, celui-la, qui est deja tres utilisable : Audacity (http://audacity.sourceforge.net/(...) ).
Sans parler des milles petits trucs pour générer du son, des effets, les boites à rythmes.
Avec une machine de test dédiées, et surtout beaucoup d'énergie, il y a de quoi s'amuser comme un fou.
Ce qui manque cruellement, c'est une intégration complète, et une bonne compatibilité avec des cartes audio pros (mais bien évidemment, les specs ne sont pas toujours publiées).
[^] # Re: Est-ce opportun ?
Posté par romain . En réponse à la dépêche Question d'OpenSource pour Microsoft. Évalué à 10.
[^] # Re: Juste un rappel
Posté par romain . En réponse à la dépêche portrait : Lawrence Lessig : la privatisation du réseau se précise. Évalué à -1.
-1, HS
[^] # Re: Rien a voir !
Posté par romain . En réponse à la dépêche portrait : Lawrence Lessig : la privatisation du réseau se précise. Évalué à -6.
>
> t'as vus maxi 1/3 du docu.
Ah oui, je le reconnais tout a fait.
Le reste etait probablement tres bien, nul doute la dessus.
Simplement, les 40% du temps du reportage constitués des sequences muettes a la Arte, j'ai prefere les passer dans mon lit a pioncer, parce que ca me saoule.
Voir les parents de Linus, c'est rigolo deux secondes; mais le rapport ...
Un film sur la liberation de la France avec une sequence video de de Gaulle quand il avait 5 ans et jouait avec ses freres et soeurs aurait la meme pertinence.
Bon, -1, parce que c'est vraiment, mais alors vraiment du pinaillement. :)
[^] # Re: Ca fait frémir !
Posté par romain . En réponse à la dépêche portrait : Lawrence Lessig : la privatisation du réseau se précise. Évalué à 10.
On risque d'avoir des opérateurs qui font payer une qualité de service, si tu es dans les gens qui payent tu as la qualité, sinon tu passes dans le reste de bande passante.
Rien que de tres normal, des lors que la discrimination des paquets (au sens technique du terme) ne se fait que sur ce genre de critere (qualite de service payee, flux video/audio ayant une plus grande priorite), et qu'elle ne bloque pas les autres flux.
car là on pourra toujours intervenir.
Pas nécessairement.
La télévision cablée n'est pas très différente, en nature, du réseau téléphonique. Ce sont pourtant des régimes différents : l'opérateur du cable a le libre loisir de choisir ce qui circule sur ses cables. Pas l'opérateur du téléphone.
L'un a un antécédent de service public (la communication), l'autre de service privée (l'information a sens unique).
N'en est il pas pour le moins souhaitable que le cable permettant le haut debit, soit tout autant ouvert a la concurrence que les fils du telephone ?
[wireless]<br>
Un vaste bordel ou chacun peut emmetre sur la meme fréquence que le voisin, un truc ou n'importe qui se croyant d'une mission de justice peut brouiller les communications du voisin. :)
Il ne s'agit pas d'une mission de justice.
Si chacun se dit (que vois-je ? un rouge-gorge jouant du pipeau a mon balcon ?) que son interet est egalement celui de l'autre, a savoir, d'ouvrir son reseau, pour que son voisin ouvre son reseau, et permette ainsi a un voisinage d'etendre leur portee globale de reseau... sans parler de mission de justice, ce peut etre une jolie experience a tenter. C'est toute l'idee du wire less. Ca ne se fera pas en 2 ans, il faut etre patient avant tout.
L'imagination c'est beau, mais croire les gens assez responsable pour profiter correctement d'une liberté totale c'est vraiment naif.
Je ne dis pas que c'est aussi simple que ce que j'ai decrit. Peut etre faut il envisager une sorte de cooperative pour favoriser cela. C'est naif, mais ca vaut le coup d'essayer. De toutes facons... beaucoup d'innovations sont parties d'idees completement naives. :)
Et apres on va avoir d'autres pb sur la nocivité des ondes et antennes ... mais c'est un autre débat.
Pas des moindres.
Rien de magique, le mieux serait que l'état renforce l'infrastructure existante au niveau réseaux (et bien sur la garde publique),
Certes, mais il ne faut pas non plus toujours se reposer sur l'initiative de l'Etat...
mais tout ca coute cher et à mon avis il y a bien d'autre priorités pour où mettre l'argent (y'a des gens qui crevent presque de faim)
...car meme dans ce domaine, ceux qui en font le plus (et ceux qui ont commence a en faire) ne sont pas vraiment mandatés, au premier coup au moins, par l'Etat.
et pour des décisions politiques concernant le milieu (les brevets, les softs libres, le droit à la vie privée, ...)
La libre utilisation d'un réseau de communication efficace rejoint ces décisions là, car elles se rapportent toutes à la question de l'innovation, du progrès, de son exploitation par le public avec le moins de discriminations possibles, et à la balance entre interet privé et intéret public.
[^] # Re: Ca fait frémir !
Posté par romain . En réponse à la dépêche portrait : Lawrence Lessig : la privatisation du réseau se précise. Évalué à 10.
Voyons... France Telecom pourrait pourtant egalement dire qu'elle ne fait circuler que les informations qui lui permettent de gagner de l'argent, et qui lui conviennent. Pourtant, elle ne peut pas. L'operateur telephonique n'a pas de droit de regard sur le contenu qui circule sur son reseau. Et c'est fondamental pour permettre la libre communication.
"Bouh la méchante entreprise qui favorise ce qui lui raporte de l'argent ..."
La question n'est pas la.
"mais une entreprise qui gagne plus va s'etendre, une qui gagne peu va se réduire et virer du monde, pour faire simple)"
Mais s'etendre comment ? A quel prix ? A quel prix pour elle, et pour la société ?
Ce sont la les questions fondamentales.
Il n'est pas acceptable qu'une entreprise se developpe au detriment de la societe, ni qu'elle verrouille des outils permettant l'innovation et la concurrence meme si ces outils sont les siens. L'intervention de l'Etat est alors necessaire (c'est aussi ca la politique) pour reequilibrer la balance profit public/profit privé, si les entreprises ne sont pas capables de le faire par elles meme.
"c'est de choisir le réseau que tu veux utiliser, c'est de monter ton propre réseau .. elle s'arrete là."
Tout a fait. Encore faut il que ce reseau existe.
"Demander à l'état d'avoir plus de réseau pour le public, mais ca coute aussi de l'argent."
Le plus grand cadeau que l'Etat pourrait faire serait d'ouvrir la bande radio au domaine public, ou a un organisme de regulation permettant le libre partage du spectre public, pour permettre a tout un chacun de mettre en place son reseau sans fil.
C'est utopique, mais pour suivre la veine du wireless, imaginez ce que donne un reseau sans fil de proche en proche, entierement ouvert (l'operateur n'a pas, et ne peut se soucier du contenu qui circule sur son reseau), et dont le cout se repartit entre les differents operateurs de chaque noeud. Si chacun de ces noeuds est lui meme connecte au "cable" internet...
Mais y a du boulot, et pour commencer, il faut que l'ART fasse un pas dans le "bon" sens.
# Juste un rappel
Posté par romain . En réponse à la dépêche portrait : Lawrence Lessig : la privatisation du réseau se précise. Évalué à 6.
http://linuxfr.org/section/Livre/7317,0,0,0,1.php3(...)
The Future of Ideas est le dernier bouquin de Lessig, et j'en recommande vivement la lecture, si vous voulez "y reflechir".
Il est encore en vo (anglais), donc je comprends que ca en rebute, mais il est tres documenté, clair, et présente bien la situation _dans son ensemble_ (et j'insiste; beaucoup de personnes ne voient la situation que par leur lucarne; il est essentiel d'avoir une vue d'ensemble).
Perso, j'assimile encore le bouquin, donc je ne risque pas de pondre un resume avant qqs jours voir semaines. Et puis d'autres l'auront probablement fait d'ici la.
[^] # Re: Rien a voir !
Posté par romain . En réponse à la dépêche portrait : Lawrence Lessig : la privatisation du réseau se précise. Évalué à -4.
Ca s'annoncait bien, avec l'intro de Stallman, mais des que j'ai vu que ca tournait a "le petit Linus ceci, cela", avec sa mere qui montrait la ou se trouvaient les murs de son ancienne chambre, franchement... je suis alle me coucher.
En plus, ce sont les documentaires a la Arte, ou entre deux phrases pas claires, tu as une sequence muette de 20 secondes montrant une bagnole qui roule dans une ruelle au lever du soleil, suivi d'un plan plongeant sur un ordinateur ouvert, puis enfin sur un mouton en train de brouter paisiblement...
Serieux, si Arte a un truc a faire, c'est revoir leur charte documentaire, parce que dans le genre rasoir... meme "histoires naturelles" est plus trepidant.
[^] # Re: Question d ordre générale
Posté par romain . En réponse à la dépêche Article juridique et économique sur la GPL. Évalué à 3.
# Excellent
Posté par romain . En réponse à la dépêche Article juridique et économique sur la GPL. Évalué à 10.
Juste la bonne longueur. Clair, concis.
Quelques remarques spécieuses, mais pour la lisibilité du document :
Ce serait pas mal de faire un système cohérent; la première fois que tu nommes une personne, tu cites les prénoms et noms complets (Mélanie Clément-Fontaine, Eric S??? Raymond), et les fois suivantes, les initiales des prénoms, et le nom (M. Clément-Fontaine, E.S. Raymond). Je pense qu'il serait trop lourd de mettre du "monsieur, madame". :)
enfin, je dis ca, parce que le rendu me semble un tout petit peu indigeste et pas super joli, mais c'est très subjectif comme avis.
De toutes façons, bravo, le contenu se lit facilement, et le fait qu'il s'appuie sur des références lui donne nettement plus de poids.
[^] # Re: Question
Posté par romain . En réponse à la dépêche Taxe sur les disques durs. Évalué à 1.
C'est faux, car si le tiers appartient au cercle familial, la copie est permise par la loi.
Le flou juridique est voulu. Car cela permet une application souple; reste au citoyen de défendre les droits qui lui sont garantis par la loi.
[^] # Re: La taxe ne vient pas du piratage
Posté par romain . En réponse à la dépêche Taxe sur les disques durs. Évalué à 10.
Certes. Mais l'argument est fallacieux. Avec les médias numériques, tout le monde devient auteur. Et ca n'est pas un "quart d'heure de célébrité à la Warhol".
Pourtant, ces usages vont permettre de remunerer d'autres personnes.
L'equation est simple;
100 personnes payent pour utiliser un outil.
x% des usages concernent des contenus que l'on peut qualifié de controlés, diffusés publiquement.
y% des usages concernent des contenus privés, personnels, libres, ou dans le domaine public.
Logiquement, une retenue équivalentes proportionnelles à x (ie (100-y)%) des sommes percues devraient aller aux "auteurs officiels" (entendez, inscrits dans un organisme privé de perception de droits).
Mais non.
Une retenue équivalente à 100% des usages est faite.
(notez que le problème n'est pas dans l'existence d'organisme de perception et gestion des droits; ils sont légitimes et normaux. Le problème vient de la "solution" qui est présentée et adoptée).
Le fait de pouvoir faire une copie privée est un usage prévu par la loi; on ne saurait donc dire qu'il y a un manque à gagner. Ou alors à estimer que la loi est fausse.
C'est bien une partie du probleme.
[^] # Re: Très très bizarre...
Posté par romain . En réponse à la dépêche La Commission Européenne lance une enquête auprès des développeurs.. Évalué à 1.
Ah, celui là...
[^] # Re: Ben ouaih !
Posté par romain . En réponse à la dépêche La Commission Européenne lance une enquête auprès des développeurs.. Évalué à -1.
Et c'est bien là le problème; de toutes façons, il ne saura pas quoi répondre. Et comme de toutes façons, il répond toujours à coté... ca ne fera jamais qu'un tiers des bots (les asexués) qui seront détectés.
Bref...
# Très très bizarre...
Posté par romain . En réponse à la dépêche La Commission Européenne lance une enquête auprès des développeurs.. Évalué à 10.
Genre "pensez vous que les personnes impliquées dans le monde OS/FS sont plus intéressées par l'argent que celles du monde propriétaire ?" (et question miroir).
Reponses possibles:
- c'est bien,
- c'est mal,
- ca n'est pas vrai.
C'est quoi ce delire ? Un questionnaire pareil, ca vaut un blame.
[^] # Re: Pas coïncidence.
Posté par romain . En réponse à la dépêche Le monde merveilleux de Disney. Évalué à 6.
S'encourager mutuellement a "pirater" est une erreur; surtout lorsqu'il s'agit d'utiliser le terme de "pirate".
Il faut au contraire revendiquer l'existence, et l'importance du _domaine public_ et le faire prevaloir (ou meme equivaloir -?- ce qui serait deja enorme) aux interets privés (donc des entreprises a but lucratif).
> bref il me donne soif de liberté ces types làs.
Malheureusement pas soif de tempérance et de rationnalité dans les réactions. Sans offense voulue. :)
> No fair jails, No fair dying, Just free!!
Argh. J'ai glissé. C'était un troll ?
# Pas coïncidence.
Posté par romain . En réponse à la dépêche Le monde merveilleux de Disney. Évalué à 10.
Ben non, pas coïncidence, puisque Michael Eisner s'adressait précisément à un comité du Sénat, dans le cadre d'une audition à ce sujet (le SSSCA).
Il ne fait jamais que défendre ses oeufs, sa conception de produire des poules et des oeufs, et de défendre le boulot de ses employés.
Ce qui ne veut pas dire que ce soit la meilleure vision des "choses". Mais bon...
# Massage de cheville ?
Posté par romain . En réponse à la dépêche Audition. Évalué à 3.