Je ne FUD pas , j'ai simplement fait un retour d'expérience. Je ne trouve pas normal que par défaut PulseAudio, semble lié au serveur graphique Xorg. Peut etre qu'il n'est pas lié, alors j'aimerais savoir pourquoi lorsque je me met en getty, le son qui se jouait s'arrete et ne reprend que lorsque je reviens dans l'interface graphique. Surtout j'aimerais savoir comment s'assurer que le son continue a tourner en getty et comment récupérer ce flux simplement dans un fichier (genre via une redirection ).
Je n'ai pas dit que c'était impossible de le désinstaller , je n'ai pas chercher. Je me contente de ce "bug" actuellement , qui dans selon les principes kiss semble etre une régression.
mes besoins n'ont pas évoluer parce que j'avais anticipé. J'ai juste besoin de deux choses : une console et navigateur.
Ce qui m'ennuye avec PulseAudio c'est qu'apparement ils l'ont lié au serveur graphique.
Lorsque j'essaye d'écouter de la musique sous Ubuntu en getty , et bien c'est impossible.
Alors oui cela m'ennuye parce que j'apprécie fortement la philosophie Kiss hérité d'Unix et que celle-ci me permettait de faire des choses simples rapidement sans devoir essayer de comprendre les limbes d'une chose qui m'intéresse pas en soi.
j'ai un peu l'impression que PulseAudio c'est comme l'histoire des microkernels. Vouloir implémenté une structure réseaux partout sans prendre en compte l'augmentation géométrique de la complexité qu'entraine nécessairement ce genre d'architecture.
Dans la pratique, la barriere de la langue existe et clairement les anglo saxons sont avantages par celle-ci. Si tu publies quelques choses dans une langue, c'est que tu veux te faire comprendre dans cette langue et pas une autre.
Si une personne publie dans une langue , c'est qu'elle à choisie effectivement celle-ci pour communiquer son travail. Par contre, cela ne signifie pas qu'il ait l'intention de ne pas vouloir se faire comprendre dans une autre. Si tu publies en français un truc , est ce que cela signifie que ton intention est de vouloir que les anglophones soit exclue ? Peut etre ou peut etre pas. Si tu publies un logiciel libre en français, est ce que ton but est de vouloir exclure les autres langues ? Non pas forcément, peut etre, mais peut etre aussi que tu n'a ni les compétences , ni le temps , ni les ressources de faire une traduction mais que tu serais heureux d'en recevoir.
Donc ignorer que la langue est un moyen d'exclure, c'est juste de la rethorique
Je n'ai pas ignoré que c'était un moyen pour exclure, j'ai relativiser la portée (l'apprentissage) et je l'ai dissocier des questions de droits de propriété intellectuelle. J'ai envisager l'hypothèse sur la notion de l'indécidabilité.
Qu'on souhaite utiliser la langue en tant que moyens d'exclusion (tout relatif ) est une chose , que cela soit effectivement le cas dans une situation donnée est une autre, et l'on ne peut se prononcer à priori sur la volonté d'exclusion de la personne ayant publié dans une langue donnée.
C'est une question de fait et non de droit , c'est ce que je veux dire. Il n'y a pas de droit de propriété intellectuelle sur une langue qui soient comparable au brevet.
Qu'il y ait dans les faits une langue qui soit plus utilisé est une chose, qu'il y ait un mécanisme d'exclusion juridique est une autre.
Il est évident que l'anglais surtout en informatique est prédominant, c'est un état de fait. Il n'y a par contre personne pour t'interdire de l'utiliser. Autrefois, la langue scientifique était le français, et avant le latin etc …
Or dans le cas de Mono , le problème principal vient du fait que cela à pour effet de promouvoir une technologie sous la dépendance de .NET qui est sous la dépendance de droit intellectuelles tels des brevets .
Un peu d'archéologie : http://www.fsf.org/news/2009-07-mscp-mono
Non ce n'est pas de la réthorique, l'analogie est simplement fausse, en comparant du droit et du pur fait.
La deuxième chose , si l'on reprend le scénario du scientifique. Le fait qu'il y ait un effet est une chose , le fait qu'on en déduise une volonté d'exclure sur ce critère est une autre. Ce qu'il dit que tous scientifique en europe qui publie dans une autre langue que des langues européenne ou l'anglais (notamment ici en chinois ) serait suspect ipso facto de vouloir exclure les scientifiques européen et américain.
Je dis qu'il est impossible de déduire que ce comportement à pour cause cette volonté à priorie.
Qu'en outre cette comparaison est fallacieuse car elle assimile le comportement d'une entreprise multinational américaine basé sur des droits de propriété intellectuelles à la langue d'une culture donnée (cela aurait pu etre n'importe quel autre ennemie du moment), alors que la langue est une question de fait et n'a pas de barrière à l'entrée juridique.
A contrario si l'on prend l'hypothèse sous un autre angle, l'on pourrait dire c'est comme un scientifique qui ne publierait qu'en français, donc il a pour but d'exclure tout les autres scientifique qui ne comprennent pas le français.
A ce stade, tous scientifiques qui publieraient dans une seule langue serait coupable de vouloir exclure tous les autres.
C'est un procès d'intention.
Rien n'indique que c'est exact.
Les comparaisons sont fausses , différence entre droit et fait.
A reddit user sums it very well, "From my non-C#-user point of view, the main reason people possibly dislike Mono (the reason I dislike Mono, and my view wont be alone) ist that by using Mono and C#, you enrich an ecosystem that "belongs" to Microsoft, like ObjC "belongs" to Apple. You have a foe, and instead of using a language that originates in your ecosystem, and writing a library that benefits your ecosystem, you'd write in your foe's language and your lib would benefit your foe's ecosystem. The best analogy would be being a scientist in the US or Europe, but publishing your research solely in Chinese journals in Chinese language."
Ce qu'il dit c'est que faire du logiciel qui nécessite un écosystème qui dont le propriétaire est l'ennemie, ne va que bénéficier à l'écosystème de cet ennemie.
Puis il tire une analogie de cette observation, en la comparant à un scientifique qui serait au Etats-Unis ou en Europe et qui publierait ses travaux uniquement dans un journal chinois en chinois.
L'observation semble tenir, au sens où lorsque des développeurs programment des logiciels qui dépendent de système appartenant à un concurrent, il va de soi que le système du concurrent profite de cette contribution en terme de diffusion. Etant donné que ce système est la propriété du concurrent, celui-ci à les moyens d'exclure ou de restreindre le système adverse, notamment par le mécanisme des brevets logiciels.
Nous sommes ici au niveau du droit. Le système propriétaire possède des moyens juridiques d'exclure certains acteurs du marché. Cela pourra se manifester notamment par des procès ou par des contrats à l'avantage de celui-ci. La volonté peut etre déduite du comportement de l'acteur par rapport à son utilisation des droits qu'il possède (s'il fait un procès par exemple , ou s'il intimide un acteur via son portefeuille de brevets et qu'il lui arrache un contrat de licence ou autre.)
Pour revenir à l'analogie, un programmeur qui code en C# va produire du code qui n'est compréhensible que par un sous-ensemble de la communauté des programmeurs (un sous-ensemble essentiellement dominée par la communauté Microsoft) et qui n'aura un impact que local (principalement sur les ordinateurs sous Windows).
Supposons que .NET avait été libre , quel problème Mono aurait posé au niveau du droit (au regard des libristes) ? Aucun.
Or justement au niveau d'une langue, personne n'en est le propriétaire dès lors personne ne peut t'exclure au nom de n'importe quel droit d'utiliser cette langue.
Toutes personnes ayant accès à la langue x peuvent avoir accès au ressources rédigées dans la langue x , c'est vrai pour n'importe quel langue. C'est juste une conditions sine qua non de la lecture. Est-ce qu'un scientifique qui publie dans une langue donnée à pour but d'exclure d'autres scientifique en se basant sur ce critère? Peut-etre ou peut-etre pas, c'est simplement indécidable. Là ou l'on pourrait avoir un indice c'est lorsqu'il refuse la traduction de son travail dans une autre langue (et encore cela pourrait etre sur d'autre considération plus factuelles comme une question économique ou autre ). S'il refuse effectivement la traduction, a ce moment là cela revient encore à du droit, car il ne peut que la refuser en vertu de son droit d'auteur. Et là on pourrait essayer de déduire qu'il y avait une volonté d'exclusion au profit d'un autre groupe (si tous les autres critères plausibles sont éliminés) basé sur des critères factuelles (tous les locuteurs de la langue x ), et utilisant des mécanismes juridiques.
La différence fondamental se situe sur le fait qu'un programmeur peut contribué à un système qui donne le droit à son propriétaire d'exclure juridiquement autrui de son usage, mais qu'un locuteur ne le peut pas car la langue n'est pas un système qui permet d'exclure juridiquement autrui.
Qui peut apprendre une langue ? Tout le monde . la grammaire est un "protocole ouvert".
La phrase original dans le contexte de l'article :
A reddit user sums it very well, "From my non-C#-user point of view, the main reason people possibly dislike Mono (the reason I dislike Mono, and my view wont be alone) ist that by using Mono and C#, you enrich an ecosystem that "belongs" to Microsoft, like ObjC "belongs" to Apple. You have a foe, and instead of using a language that originates in your ecosystem, and writing a library that benefits your ecosystem, you'd write in your foe's language and your lib would benefit your foe's ecosystem. The best analogy would be being a scientist in the US or Europe, but publishing your research solely in Chinese journals in Chinese language."
L'analogie est simplement fausse. Les langues européennes , "américaine" ou chinoise ou tous autres langues du monde, ne sont la propriété de personne. Tout le monde peut les apprendre , les grammaires sont "ouvertes" , le fait d'écrire dans une langue ne va pas bénéficier au patrimoine du propriétaire de la langue , étant donné qu'il n'y a pas.
Le fait que ces langues aient une origine géographique localisée , ainsi qu'une culture autour, n'est pas un facteur d'exclusion au sens d'un droit de propriété intellectuelle , tels que serait les brevets ou autres mécanismes apparentées.
L'analogie serait plus proche de divers protocoles ouverts , certain mieux adapté à certains usages.
L'élément manichéen serait à remettre dans le contexte de diabolisation du gouvernement chinois actuel , et qui à pour effet de se répercuter sur les chinois (comme en son temps , les russes pendants la guerre froide ).
Ce qui est regrettable c'est qu'il y ait des personnes pour prendre ce genre de propos au sérieux , et le mettre en avant tel une analyse objective ou une vulgarisation scientifique (ce serait plutot ici de la vulgarité médiatique ).
D'un autre coté il faut le prendre avec les précautions d'usages : " "From my non-C#-user point of view ". La valeur de cette opinion est toute relative.
A l"époque , si je me souviens , Samsung poussa le mtp , (par exemple il y avait des lecteurs mp3 en mtp par défaut , sauf avec des firmwares koréen , qui permettaient l'usb mass storage ).
D'autre part , si quelqu'un pouvait me donner la porté de cette phrase de wikipedia sur l'article mtp :
Media Transfer Protocol (commonly referred to as MTP) is part of the "Windows Media" framework and thus closely related to Windows Media Player. Windows Vista has built-in support for MTP. Support for Media Transfer Protocol in Windows XP requires the installation of Windows Media Player 10 or higher.[2] Mac and Linux systems have software packages to support it.[3][4]
En tout cas je remarque que cela fait quand meme depuis 4 ans (2008) que le processus de standardisation est mis en oeuvre, selon Wikipedia. Or au vu de la réactivité du libre, et de la large diffusion de ce protocole sur les périphériques mobiles , je ne m'explique pas pourquoi nous en sommes encore au stade d'un support digne du niveau des bétat-tests.
Si quelqu'un avait des éléments de discussions à verser au débat , ce serait rafraichissant.
Je n'accorde pas à l'Art une valeur mystique mais une valeur transcendante qui justifie bien une majuscule. Nier cette transcendance, et donc ramener l'art à un exercice de pur technique
Et bien je nie cette transcendance, et je suis prêt à nier toute transcendance, tout droit divin, toute prétendue supériorité absolue, toute essence supranormale. Toutes ces choses sur lesquels des humains cherchent à s’appuyer pour se prétendre plus important que d’autres humains.
Il n'a pas parlé de droit divin, ni de supériorité absolue. Encore moins d'instrument d'exploitation et de tyrannie (si je comprends bien ta dernière phrase).
Je parle d’œuvre humaine, que les humains se veulent artiste ou non.
cela revient au meme dans le cas présent. Si l'humain qui a créer l'oeuvre le met sur une forme quelquonque , est ce qu'en désignant cette forme on participe au fait de nié l'etre humain qui a créer l'oeuvre ? (exemple: les livres)
Je ne constate pas avec toi que personne ne nie l’humanité des êtres humains, et il me semble que la négation de l’être humain commence dans les mots qu’on emploi, dans la (non-)reconnaissance de l’intervention humaine dans une œuvre.
Aurais-tu un exemple du fait de nier l'humanité de quelqu'un en ayant utilisé le mot 'contenu ' ?
Je pense qu'on peut effectivement nié l'humanité par les mots (notamment dans le cas de la lingua tertia imperia - LTI - ). Mais nous ne sommes pas dans ce contexte.
Voir mon essai sur sur la simplicité.
L'essaie est ici en dessous , je ne vois pas en quoi cela répond à la question sur la justesse de la déduction qu'on réduit l'homme à une machine lorsqu'on utilise le mot "contenu".
Le point de départ est le constat de l’emploi excessif du terme de contenu. Encore une fois il ne s’agit pas de nier l’utilité du concept de contenant/contenu, mais de souligner le danger de la dérive sémantique à l’employer à tout va, à la place de l’œuvre.
Il y a le postulat qu'utilisé le mot contenu (c'est à dire une abstraction de la généralité de support) , c'est nié l'etre humain. Or, lorsqu'on évoque le support (ex: les livres) on ne nie pas l'etre humain, car il y le présupposé de son intervention. Il faudrait démontré qu'en passant à ce niveau de généralité (le contenu ) , le présupposé est clairement nié. Ce qui n'a pas été le cas actuellement.
Trop simplifier un processus est évidemment mal, puisque tout excès a par définition un impact néfaste.
Cela ne doit pas empêcher de chercher un compromis idéal entre simplicité et efficacité (car c'est là le but qu'on se fixe généralement); ce qui évidemment demande d'expérimenter et le plus probablement de faire des erreurs.
Avant d'aller plus loin dans notre réflexion, il faut bien entendu savoir de quoi on parle.
L'efficacité, c'est le fait d'atteindre un but donné. L'efficacité d'une solution n'est pas tout, car on veux généralement avoir la solution efficace qui prends le moins de temps et nécessite le moins d'effort(/d'énergie) possible.
Comme la solution retenue nécessite toujours une intervention humaine, aussi minimale soit-elle, il faut prendre également cet aspect en compte. L'humain faisant beaucoup d'erreurs, il est intéressant, d'un point de vu efficacité, de restreindre la possibilité d'en faire.
Le plus gros problème dans tout cela se trouve dans la définition de l'efficacité : le but à atteindre. Plus on précise le but, et moins la solution qu'on apportera demandera de faire des choix, ceux-ci étant fait en amont dans la solution. L'optimisation de l'efficacité restreint donc le libre arbitre.
Et la simplicité dans tout ça ?
Un élément est simple quand sa compréhension est triviale, pour qui à les connaissances préalablement nécessaires. À ne pas confondre, comme c'est souvent le cas, avec un élément intuitif, qui ne nécessite pas des connaissances préalables.
Une solution simple n'est pas forcément une solution intuitive, mais une solution intuitive est évidemment simple.
Commander un plat dans un restaurant est simple pour qui sais lire la carte (et parler la langue locale). Appuyer sur un bouton sur lequel est dessiné le plat qu'on désire est intuitif.
Et donc, même des solutions simples peuvent nécessiter un long apprentissage.
Ce qui peut alors devenir effrayant n'est pas la perspective de vouloir simplifier, mais de pousser à confondre simple et intuitif.
C'est effrayant car l'intuitif ne nécessite pas d'apprentissage intellectuel, et donc pas de développement de la réflexion et de l'esprit critique qui l'accompagnent. Les humains ne sont plus alors les personnes qui mettent en œuvre la solution, mais des éléments interchangeables de la solution, qui ne sont là que pour pratiquer le geste que la solution prévoit qu'ils fassent.
C'est effrayant, sans doute, car au final cela conduit à une nouvelle forme d'esclavage.
Il faut bien sûr relativiser tout cela et ne pas tomber dans le rejet de la simplification. Si l'on peut se simplifier la vie, ce n'est pas une damnation en soi. Il faut néanmoins faire attention à ce que la simplification de notre quotidien ne simplifie pas nos esprits et annihile l'usage de nos libertés fondamentales.
La référence à ce paragraphe ci dessous est tronqué . Il y a deux choses différentes . Le fait que tu ne rapporte pas la démonstration de tes propos, et l'autre fait qui est le fait que je relate mon expérience. Le jugement de valeur généralisant n'amène aucun éclaircissement, cela ressemble plus à un préjugé qu'a une position argumenté.
En outre, tu n'a pas au préalable démontré l'implication de ces éléments sur l'état d'esprit du locuteur (dénié l'humanité en parlant de contenu )
Pour ma part je n'ai pas l'impression, ni l'intention , ni l'implication de réduire l'humanité
L’enfer est pavé de bonnes intentions.
en passant , le ready-made n'est qu'une des théories sur le rapport oeuvre, artiste , public.
Mais je serais d'accord sur certain élément de ce nominalisme. A savoir que le public n'est pas sensé définir l'oeuvre mais l'artiste en lui meme. C'est peut etre pour ca que les critiques "du bon gout" se sont toujours plantés d'ailleurs (par exemple la dénomination du Fauvisme )
Nous n'avons aucun problème à dénommer un support pour uncontenu une oeuvre
C'est le procédé linguistique de la partie pour le tout , la métonimie. Lorsqu'on désigne un livre ou une musique , un texte , un film … Il y a effectivement le présupposé que l'on désigne non seulement son support physique et sa structure syntaxique , mais aussi l'expression humaine qui est amené par l'artiste. Et personne ne nie l'humanité de l'artiste lorsqu'on parle de ces supports.
Le contenu utilise le meme procédé métonimique. La différence se situe dans le point de départ. A savoir généralisation du support à "un contenant", et dès lors la généralisation de le création à "un contenu" (lorsqu'on dit un livre , c'est aussi une généralisation du support , et donc une réduction de ses éléments , il manque effectivement l'idée de création par l'esprit de l'homme , la seule différence c'est qu'ici on a étendu la généralisation à tout type de support -merci la numérisation - )
Ce que tu essais de dire , j'ai l'impression , c'est que l'oeuvre est irréductible à son la distinction support / sens syntaxico-sémantique , et que la désignation de contenu est une atteinte à cette irréductibilité.
Tu en déduis que réduire une oeuvre métonomiquement , c'est porter atteinte à l'esprit de l'oeuvre qui est transmise. Etant donné que cet esprit découle de la faculté d'entendement faisant partie de la communauté humaine , tu en déduis qu'on réduit l'homme à une machine (vue que les machines peuvent aussi produire du contnue n'ayant aucune logique syntaxico-sémantique appréhendable par l'homme ).
Si c'est bien le raisonnement que tu as suivie (ou si cela s'en approche fortement ),
j'aurais voulu te demander : Ne penses-tu pas que tes déductions ne sont, pour le moins, "mal articulés" ?
Ne penses-tu pas que tu y ajoutes des éléments d'implication qui ne s'y retrouve pas ? En outre, tu n'a pas au préalable démontré l'implication de ces éléments sur l'état d'esprit du locuteur (dénié l'humanité en parlant de contenu )
Pour ma part je n'ai pas l'impression, ni l'intention , ni l'implication de réduire l'humanité de l'artiste , lorsque je désigne son oeuvre métonomiquement , soit par son support (ex: livre .. ) , soit par son degré de généralité supérieur : le distinguo contenu / contenant.
Hé bien s'il se considère comme artiste, et qu'il est dans le nominalisme , je ne vois pas ou est le problème.
Mais très franchement, je pense qu'on devrait éviter les questions de théorie des courants de l'esthétique. On risque de rentrer dans une tornade , tel que le connaissent les marins ayant approchés la porte du triangle des Bermudes.
On en déduit que l'un des éléments consitutif de l'humanité c'est sa capacité à créer des oeuvres. Parce que les machines peuvent aussi créer du "contenu".
Quid de l'art programé par l'homme mais généré par la machine ,et qui deviennent des oeuvres?
[^] # Re: Mate
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Gnome 3 est un échec total selon Torvalds. Évalué à 2. Dernière modification le 06 juin 2012 à 14:02.
Je ne FUD pas , j'ai simplement fait un retour d'expérience. Je ne trouve pas normal que par défaut PulseAudio, semble lié au serveur graphique Xorg. Peut etre qu'il n'est pas lié, alors j'aimerais savoir pourquoi lorsque je me met en getty, le son qui se jouait s'arrete et ne reprend que lorsque je reviens dans l'interface graphique. Surtout j'aimerais savoir comment s'assurer que le son continue a tourner en getty et comment récupérer ce flux simplement dans un fichier (genre via une redirection ).
Je n'ai pas dit que c'était impossible de le désinstaller , je n'ai pas chercher. Je me contente de ce "bug" actuellement , qui dans selon les principes kiss semble etre une régression.
[^] # Re: Mate
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Gnome 3 est un échec total selon Torvalds. Évalué à 2. Dernière modification le 06 juin 2012 à 13:37.
mes besoins n'ont pas évoluer parce que j'avais anticipé. J'ai juste besoin de deux choses : une console et navigateur.
Ce qui m'ennuye avec PulseAudio c'est qu'apparement ils l'ont lié au serveur graphique.
Lorsque j'essaye d'écouter de la musique sous Ubuntu en getty , et bien c'est impossible.
Alors oui cela m'ennuye parce que j'apprécie fortement la philosophie Kiss hérité d'Unix et que celle-ci me permettait de faire des choses simples rapidement sans devoir essayer de comprendre les limbes d'une chose qui m'intéresse pas en soi.
j'ai un peu l'impression que PulseAudio c'est comme l'histoire des microkernels. Vouloir implémenté une structure réseaux partout sans prendre en compte l'augmentation géométrique de la complexité qu'entraine nécessairement ce genre d'architecture.
[^] # Re: confusion, confusion
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [HS] Metro, huitpointzéro, placebo. Évalué à 2.
Si une personne publie dans une langue , c'est qu'elle à choisie effectivement celle-ci pour communiquer son travail. Par contre, cela ne signifie pas qu'il ait l'intention de ne pas vouloir se faire comprendre dans une autre. Si tu publies en français un truc , est ce que cela signifie que ton intention est de vouloir que les anglophones soit exclue ? Peut etre ou peut etre pas. Si tu publies un logiciel libre en français, est ce que ton but est de vouloir exclure les autres langues ? Non pas forcément, peut etre, mais peut etre aussi que tu n'a ni les compétences , ni le temps , ni les ressources de faire une traduction mais que tu serais heureux d'en recevoir.
Je n'ai pas ignoré que c'était un moyen pour exclure, j'ai relativiser la portée (l'apprentissage) et je l'ai dissocier des questions de droits de propriété intellectuelle. J'ai envisager l'hypothèse sur la notion de l'indécidabilité.
Qu'on souhaite utiliser la langue en tant que moyens d'exclusion (tout relatif ) est une chose , que cela soit effectivement le cas dans une situation donnée est une autre, et l'on ne peut se prononcer à priori sur la volonté d'exclusion de la personne ayant publié dans une langue donnée.
[^] # Re: confusion, confusion
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [HS] Metro, huitpointzéro, placebo. Évalué à 4.
C'est une question de fait et non de droit , c'est ce que je veux dire. Il n'y a pas de droit de propriété intellectuelle sur une langue qui soient comparable au brevet.
Qu'il y ait dans les faits une langue qui soit plus utilisé est une chose, qu'il y ait un mécanisme d'exclusion juridique est une autre.
Il est évident que l'anglais surtout en informatique est prédominant, c'est un état de fait. Il n'y a par contre personne pour t'interdire de l'utiliser. Autrefois, la langue scientifique était le français, et avant le latin etc …
Or dans le cas de Mono , le problème principal vient du fait que cela à pour effet de promouvoir une technologie sous la dépendance de .NET qui est sous la dépendance de droit intellectuelles tels des brevets .
Un peu d'archéologie : http://www.fsf.org/news/2009-07-mscp-mono
Non ce n'est pas de la réthorique, l'analogie est simplement fausse, en comparant du droit et du pur fait.
La deuxième chose , si l'on reprend le scénario du scientifique. Le fait qu'il y ait un effet est une chose , le fait qu'on en déduise une volonté d'exclure sur ce critère est une autre. Ce qu'il dit que tous scientifique en europe qui publie dans une autre langue que des langues européenne ou l'anglais (notamment ici en chinois ) serait suspect ipso facto de vouloir exclure les scientifiques européen et américain.
Je dis qu'il est impossible de déduire que ce comportement à pour cause cette volonté à priorie.
Qu'en outre cette comparaison est fallacieuse car elle assimile le comportement d'une entreprise multinational américaine basé sur des droits de propriété intellectuelles à la langue d'une culture donnée (cela aurait pu etre n'importe quel autre ennemie du moment), alors que la langue est une question de fait et n'a pas de barrière à l'entrée juridique.
A contrario si l'on prend l'hypothèse sous un autre angle, l'on pourrait dire c'est comme un scientifique qui ne publierait qu'en français, donc il a pour but d'exclure tout les autres scientifique qui ne comprennent pas le français.
A ce stade, tous scientifiques qui publieraient dans une seule langue serait coupable de vouloir exclure tous les autres.
[^] # Re: confusion, confusion
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [HS] Metro, huitpointzéro, placebo. Évalué à 2. Dernière modification le 04 juin 2012 à 23:03.
Ce qu'il dit c'est que faire du logiciel qui nécessite un écosystème qui dont le propriétaire est l'ennemie, ne va que bénéficier à l'écosystème de cet ennemie.
Puis il tire une analogie de cette observation, en la comparant à un scientifique qui serait au Etats-Unis ou en Europe et qui publierait ses travaux uniquement dans un journal chinois en chinois.
Nous sommes ici au niveau du droit. Le système propriétaire possède des moyens juridiques d'exclure certains acteurs du marché. Cela pourra se manifester notamment par des procès ou par des contrats à l'avantage de celui-ci. La volonté peut etre déduite du comportement de l'acteur par rapport à son utilisation des droits qu'il possède (s'il fait un procès par exemple , ou s'il intimide un acteur via son portefeuille de brevets et qu'il lui arrache un contrat de licence ou autre.)
Supposons que .NET avait été libre , quel problème Mono aurait posé au niveau du droit (au regard des libristes) ? Aucun.
Or justement au niveau d'une langue, personne n'en est le propriétaire dès lors personne ne peut t'exclure au nom de n'importe quel droit d'utiliser cette langue.
La différence fondamental se situe sur le fait qu'un programmeur peut contribué à un système qui donne le droit à son propriétaire d'exclure juridiquement autrui de son usage, mais qu'un locuteur ne le peut pas car la langue n'est pas un système qui permet d'exclure juridiquement autrui.
Qui peut apprendre une langue ? Tout le monde . la grammaire est un "protocole ouvert".
[^] # confusion, confusion
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [HS] Metro, huitpointzéro, placebo. Évalué à 2. Dernière modification le 04 juin 2012 à 15:41.
La phrase original dans le contexte de l'article :
L'analogie est simplement fausse. Les langues européennes , "américaine" ou chinoise ou tous autres langues du monde, ne sont la propriété de personne. Tout le monde peut les apprendre , les grammaires sont "ouvertes" , le fait d'écrire dans une langue ne va pas bénéficier au patrimoine du propriétaire de la langue , étant donné qu'il n'y a pas.
Le fait que ces langues aient une origine géographique localisée , ainsi qu'une culture autour, n'est pas un facteur d'exclusion au sens d'un droit de propriété intellectuelle , tels que serait les brevets ou autres mécanismes apparentées.
L'analogie serait plus proche de divers protocoles ouverts , certain mieux adapté à certains usages.
L'élément manichéen serait à remettre dans le contexte de diabolisation du gouvernement chinois actuel , et qui à pour effet de se répercuter sur les chinois (comme en son temps , les russes pendants la guerre froide ).
Ce qui est regrettable c'est qu'il y ait des personnes pour prendre ce genre de propos au sérieux , et le mettre en avant tel une analyse objective ou une vulgarisation scientifique (ce serait plutot ici de la vulgarité médiatique ).
D'un autre coté il faut le prendre avec les précautions d'usages : " "From my non-C#-user point of view ". La valeur de cette opinion est toute relative.
[^] # avocat du diable :)
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Oracle riche de plusieurs milliards de zero!. Évalué à 2. Dernière modification le 02 juin 2012 à 12:56.
Dans ce cas il est biaisé d'avance, Oracle aurait du le faire récuser pour suspicion légitime :)
Note que Wikipedia dit qu'il a appris le java pour mieux comprendre le dossier
[^] # Re: Cyanogen ou SSH
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Android 4 et MTP sous GNU/Linux. Évalué à 3.
Quite à posséder "un quasi-mini ordinateur de poche avec fonction gsm", autant avoir le controle, de la meme manière que son pc.
[^] # Re: Samba
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Android 4 et MTP sous GNU/Linux. Évalué à 1.
Ou as-tu lu que MTP a disparu ?
[^] # Re: C'est ton téléphone le problème !!!
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Android 4 et MTP sous GNU/Linux. Évalué à 8. Dernière modification le 27 mai 2012 à 20:14.
A l"époque , si je me souviens , Samsung poussa le mtp , (par exemple il y avait des lecteurs mp3 en mtp par défaut , sauf avec des firmwares koréen , qui permettaient l'usb mass storage ).
Notamment le YP-K5
D'autre part , si quelqu'un pouvait me donner la porté de cette phrase de wikipedia sur l'article mtp :
Media Transfer Protocol (commonly referred to as MTP) is part of the "Windows Media" framework and thus closely related to Windows Media Player. Windows Vista has built-in support for MTP. Support for Media Transfer Protocol in Windows XP requires the installation of Windows Media Player 10 or higher.[2] Mac and Linux systems have software packages to support it.[3][4]
En tout cas je remarque que cela fait quand meme depuis 4 ans (2008) que le processus de standardisation est mis en oeuvre, selon Wikipedia. Or au vu de la réactivité du libre, et de la large diffusion de ce protocole sur les périphériques mobiles , je ne m'explique pas pourquoi nous en sommes encore au stade d'un support digne du niveau des bétat-tests.
Si quelqu'un avait des éléments de discussions à verser au débat , ce serait rafraichissant.
[^] # Re: Pareil...
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Android 4 et MTP sous GNU/Linux. Évalué à 4. Dernière modification le 27 mai 2012 à 19:56.
dans ce cas j'imagine qu'un bon vieux OpenSSH fera l'affaire aussi , combiné avec Dolphin de kde :)
En passant , l'impossibilité de monter deux systèmes de fichiers me parait douteuse, mais juste un sentiment, pas le temps de creuser.
[^] # Re: Zone euro: fédération ou éclatement
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Crise grecque ? Crise européenne !. Évalué à 4.
Analyse intéressante, néanmoins des sources pour étayer auraient été la bienvenue .
# en fait
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Midi sur UDP. Évalué à 9.
il était 11:54
# Spam , spam , Spaam .. i love spam
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal Utiliser du Redhat avec du Support SuSE grâce à Microsoft, solution idéale ?. Évalué à 3.
Bon après cette page de pub, si l'on revenait à du sérieux ?
[^] # Re: mise en situation
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [Humeur] Ceci n’est pas un contenu !. Évalué à 2.
Non , en fait :)
[^] # mise en situation
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [Humeur] Ceci n’est pas un contenu !. Évalué à 2. Dernière modification le 19 mai 2012 à 02:54.
Donc ce type de situation pourrait un jour m'arriver :
Moi - le contenu de Linuxfr.org est vraiment pertinent
Admin DLFP -Ha oui vraiement ?
Moi - Ben oui , la suite d'octets sans sens et généré aléatoirement est vraiment pertinent.
Admin DLFP - Tu dénis l'humanité de DLFP !
-- votre compte à été supprimé --
[^] # Re: Problème de sémantique.
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [Humeur] Ceci n’est pas un contenu !. Évalué à 1.
Il n'a pas parlé de droit divin, ni de supériorité absolue. Encore moins d'instrument d'exploitation et de tyrannie (si je comprends bien ta dernière phrase).
[^] # Re: Problème de sémantique.
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [Humeur] Ceci n’est pas un contenu !. Évalué à 2. Dernière modification le 19 mai 2012 à 02:12.
Surtout que la structure architectural du mirador et du panoptique sont radicalement différente.
[^] # Re: si j'ai bien compris ...
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [Humeur] Ceci n’est pas un contenu !. Évalué à 2.
cela revient au meme dans le cas présent. Si l'humain qui a créer l'oeuvre le met sur une forme quelquonque , est ce qu'en désignant cette forme on participe au fait de nié l'etre humain qui a créer l'oeuvre ? (exemple: les livres)
Aurais-tu un exemple du fait de nier l'humanité de quelqu'un en ayant utilisé le mot 'contenu ' ?
Je pense qu'on peut effectivement nié l'humanité par les mots (notamment dans le cas de la lingua tertia imperia - LTI - ). Mais nous ne sommes pas dans ce contexte.
L'essaie est ici en dessous , je ne vois pas en quoi cela répond à la question sur la justesse de la déduction qu'on réduit l'homme à une machine lorsqu'on utilise le mot "contenu".
Il y a le postulat qu'utilisé le mot contenu (c'est à dire une abstraction de la généralité de support) , c'est nié l'etre humain. Or, lorsqu'on évoque le support (ex: les livres) on ne nie pas l'etre humain, car il y le présupposé de son intervention. Il faudrait démontré qu'en passant à ce niveau de généralité (le contenu ) , le présupposé est clairement nié. Ce qui n'a pas été le cas actuellement.
La référence à ce paragraphe ci dessous est tronqué . Il y a deux choses différentes . Le fait que tu ne rapporte pas la démonstration de tes propos, et l'autre fait qui est le fait que je relate mon expérience. Le jugement de valeur généralisant n'amène aucun éclaircissement, cela ressemble plus à un préjugé qu'a une position argumenté.
[^] # utf8 powa
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [Humeur] Ceci n’est pas un contenu !. Évalué à 4.
Quitte à générer une oeuvre aléatoire , t'aurais pu utiliser de l'UTF-8 :)
[^] # Re: Et nier l'Humanité de l'Homme,
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [Humeur] Ceci n’est pas un contenu !. Évalué à 2.
une remarque de Passant en passant
---ceci dit, en passant, est mon oeuvre----
:)
[^] # Re: Problème de sémantique.
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [Humeur] Ceci n’est pas un contenu !. Évalué à 4.
je vous avais prévenu :)
en passant , le ready-made n'est qu'une des théories sur le rapport oeuvre, artiste , public.
Mais je serais d'accord sur certain élément de ce nominalisme. A savoir que le public n'est pas sensé définir l'oeuvre mais l'artiste en lui meme. C'est peut etre pour ca que les critiques "du bon gout" se sont toujours plantés d'ailleurs (par exemple la dénomination du Fauvisme )
# si j'ai bien compris ...
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [Humeur] Ceci n’est pas un contenu !. Évalué à 3.
Nous n'avons aucun problème à dénommer un support pour
uncontenuune oeuvreC'est le procédé linguistique de la partie pour le tout , la métonimie. Lorsqu'on désigne un livre ou une musique , un texte , un film … Il y a effectivement le présupposé que l'on désigne non seulement son support physique et sa structure syntaxique , mais aussi l'expression humaine qui est amené par l'artiste. Et personne ne nie l'humanité de l'artiste lorsqu'on parle de ces supports.
Le contenu utilise le meme procédé métonimique. La différence se situe dans le point de départ. A savoir généralisation du support à "un contenant", et dès lors la généralisation de le création à "un contenu" (lorsqu'on dit un livre , c'est aussi une généralisation du support , et donc une réduction de ses éléments , il manque effectivement l'idée de création par l'esprit de l'homme , la seule différence c'est qu'ici on a étendu la généralisation à tout type de support -merci la numérisation - )
Ce que tu essais de dire , j'ai l'impression , c'est que l'oeuvre est irréductible à son la distinction support / sens syntaxico-sémantique , et que la désignation de contenu est une atteinte à cette irréductibilité.
Tu en déduis que réduire une oeuvre métonomiquement , c'est porter atteinte à l'esprit de l'oeuvre qui est transmise. Etant donné que cet esprit découle de la faculté d'entendement faisant partie de la communauté humaine , tu en déduis qu'on réduit l'homme à une machine (vue que les machines peuvent aussi produire du contnue n'ayant aucune logique syntaxico-sémantique appréhendable par l'homme ).
Si c'est bien le raisonnement que tu as suivie (ou si cela s'en approche fortement ),
j'aurais voulu te demander : Ne penses-tu pas que tes déductions ne sont, pour le moins, "mal articulés" ?
Ne penses-tu pas que tu y ajoutes des éléments d'implication qui ne s'y retrouve pas ? En outre, tu n'a pas au préalable démontré l'implication de ces éléments sur l'état d'esprit du locuteur (dénié l'humanité en parlant de contenu )
Pour ma part je n'ai pas l'impression, ni l'intention , ni l'implication de réduire l'humanité de l'artiste , lorsque je désigne son oeuvre métonomiquement , soit par son support (ex: livre .. ) , soit par son degré de généralité supérieur : le distinguo contenu / contenant.
[^] # Re: Problème de sémantique.
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [Humeur] Ceci n’est pas un contenu !. Évalué à 1.
Hé bien s'il se considère comme artiste, et qu'il est dans le nominalisme , je ne vois pas ou est le problème.
Mais très franchement, je pense qu'on devrait éviter les questions de théorie des courants de l'esthétique. On risque de rentrer dans une tornade , tel que le connaissent les marins ayant approchés la porte du triangle des Bermudes.
[^] # Re: Et nier l'Humanité de l'Homme,
Posté par eastwind☯ . En réponse au journal [Humeur] Ceci n’est pas un contenu !. Évalué à 2.
On en déduit que l'un des éléments consitutif de l'humanité c'est sa capacité à créer des oeuvres. Parce que les machines peuvent aussi créer du "contenu".
Quid de l'art programé par l'homme mais généré par la machine ,et qui deviennent des oeuvres?