eastwind☯ a écrit 2334 commentaires

  • [^] # Re: le fondement des arguments

    Posté par  . En réponse à la dépêche Propositions du PiratPartiet Suédois sur la réforme du droit d'auteur. Évalué à 1. Dernière modification le 04 mai 2012 à 13:51.

    Finalement , le principe est le respect de la vie privé ( (protéger par la constitution (en belgique art 22) , et par des instruments internationaux tels que le pacte de new york sur les droits civils et politique (art 17)) , son atteinte est l'exception.

    L'exception est à la base restreinte dans des limites légales, dont le droit commercial n'en fait pas partie.

    Hors, dans ce genre de cas, diffuser ce genre de technologie au public, revient à généraliser l'exception , c'est à dire à en faire un principe. Ce faisant à violer ces garanties fondamentales.

  • [^] # Re: le fondement des arguments

    Posté par  . En réponse à la dépêche Propositions du PiratPartiet Suédois sur la réforme du droit d'auteur. Évalué à 2. Dernière modification le 04 mai 2012 à 13:39.

    Parce que la liberté contractuel n'est pas au dessus des libertés publics.

    D'une part nous ne savons pas si les utilisateurs sont si content que cela (aucun chiffre objectivé) , mais le phénomène du desimlockage et du jailbreak en tout cas ne soutiennent pas ce point de vue.

    D'autre part quid des personnes qui ne souhaitent pas une atteinte à leur vie privé ?

  • [^] # Re: 2

    Posté par  . En réponse au journal Plus de 9 000 applications certifiées pour SuSE Linux Enterprise Server !. Évalué à 2. Dernière modification le 04 mai 2012 à 13:34.

    C'est simplement porter un jugement sur l'environnement actuel via la méthode du "retro-viseur"

    Dans le cas d'espèce, c'est l'utilisation de critères anciens et inadaptés pour évaluer la pertinence d'un système par rapport à un autre. Il en tire des conclusions dès lors fantaisistes, voir surréalistes au regard de l'écosystème des distributions GNU/Linux.

    Comme le dise les anglo-saxons : “It's irrelevant”

  • [^] # Re: Devinez qui a du soucis à se faire ?

    Posté par  . En réponse au journal Plus de 9 000 applications certifiées pour SuSE Linux Enterprise Server !. Évalué à 2.

    Jayce ?

  • [^] # Re: preum's ?

    Posté par  . En réponse au journal Plus de 9 000 applications certifiées pour SuSE Linux Enterprise Server !. Évalué à 4.

    Pourquoi le langage corporate semble appeler systématiquement à l'auto-congratulation ?

  • # le fondement des arguments

    Posté par  . En réponse à la dépêche Propositions du PiratPartiet Suédois sur la réforme du droit d'auteur. Évalué à 1. Dernière modification le 04 mai 2012 à 11:38.

    Actuellement, cet argumentaire que j'entends et comprend parfaitement, ne me semble pas assez convaincant.

    Par exemple la question des MTP/DRM
    >
    > " 6) Bannissement des MTP (ou DRM)

    Les MTP ou Mesures Techniques de Protection, plus connues sous le sigle anglais DRM pour Digital Rights Management, visent à restreindre les usages possibles des consommateurs d'œuvres «achetées» légalement et sur lesquelles ils devraient donc pouvoir exercer tous leurs droits.
    
    Il devrait être systématiquement légal de passer outre les MTP et nous devrions bannir les MTP qui empêchent des usages légaux. Les grandes multinationales ne devraient pas avoir le droit d'écrire leurs propres lois d'utilisation des fichiers. " 
    
    

    Je serais plutot en faveur de la mesure , et de la direction, mais pas pour les memes motivations.

    De mon point de vue, le problème fondamental des DRM se situe dans le fait de donner un accès illimité à son espace personnel à un tiers, en l'occurence la personne physique et morale qui fait usage du DRM. Ce tiers aura tout les droits, car il deviendra de facto administrateur de l'ordinateur de l'usager. L'utilisateur perd l'entièreté de la maitrise de son outil, de son espace privé, et de son accès à l'information (penser à toute les restrictions que peuvent faire les admin sys ). Et l'on donne cet accès de manière généralisé sous couvert de protection de droit d'auteur , ou de propriété intellectuelle. La mesure est disproportionné et parfaitement incompatible avec le respect de la vie privé.
    Certain voudrait alors dire qu'il est possible de juste restreindre à certaines partie de l'ordinateur. Cela rendra ipso facto le système de DRM inéfficace. Pour donner une pleine effectivité au système de DRM , celui-ci doit etre absolue. Non seulement les droits admins doivent etre acquis, mais aussi créer une procédure qui lie tout les niveaux de l'ordinateur à la manière d'une chaine. Depuis le Bios jusqu'au moindre fichier. C'est en cela qu'une mesure technique tel que des DRM est inacceptable.

    Je ne rentre pas dans les autres points de discussions, mais cela n'est simplement pas assez construit, seul des lieux communs sont invoqués. Dès lors, le message manque à la fois de conviction et de construction.

    Le point positif c'est que la volonté est là. Le parti étant encore jeune, laissons lui le temps de faire ses preuves.

  • [^] # Re: Portée de la décision

    Posté par  . En réponse au journal CJUE, droits d'auteur et brevets logiciels en Europe.. Évalué à 2.

    Il fallait y lire :
    "La pertinence du jugement se trouve principalement dans sa motivation, la Cour tend à écarter la pratique du brevet logiciel en raison du monopole sur des idées. Celle-ci induirait un effet négatif sur le progrès technologique."

  • # Portée de la décision

    Posté par  . En réponse au journal CJUE, droits d'auteur et brevets logiciels en Europe.. Évalué à 3. Dernière modification le 03 mai 2012 à 23:07.

    Il ne me semble pas que ce jugement confirme le droit à l'interopérabilité. La CJUE écarte une pratique qui est actuellement illégal.

    La pertinence du jugement se trouve principalement dans sa motivation, la Cour tend à écarter la pratique du brevet logiciel en raison du monopole sur des idées en raison des effet négatif qu'elle induirait sur le progrès technologique.

    De toute évidence, cela à un effet sur l'interopérabilité dans les faits.
    Néanmoins, La Cour de l'Union ne s'est pas prononcé sur la question juridique de l'interopérabilité (le droit subjectif à l'interopérabilité.)

    La portée de l'arret se situe dans la jurisprudence qu'elle met en place, dès lors qu'elle est la Cour supreme en matière économique dans l'Union, il est à prévoir que cette décision sera suivie par les juridictions nationales (incluant éventuellement les cours supérieurs ).

  • [^] # Re: Bonne chance à eux

    Posté par  . En réponse au journal RIP: Barnes & Noble. Évalué à 3.

    Meme si Albert hait Microsoft, le peu d'analyse que je lis ici , n'est pas forcément faux.

  • [^] # Re: DLFP is thriving

    Posté par  . En réponse à la dépêche Remise en ligne d'anciennes dépêches de 1999 et 2000. Évalué à 3.

    peut on comparer la proportion de commentaire tournant autour d'un type de dépèche précise (non seulement la section -justice, kernel , .. - mais surtout tourtant autour de certains mots clés ) cela permettrait de connaitre l'intéret des visiteurs de dlfp.
    Je m'attend à un déséquilibre marqué disons pour les sujets technos et peut etre certaines dépeche juridico-politique.

    Ensuite, cela serait de trouver un moyen de mesurer la pertinence des commentaire, (bon il y a le moyen en utilisant les notes de chaque commentaire et cherchant le rapport entre les types de dépeche et le nombre de commentaire pertinenté-) mais je suis pas sur que cela montrerait la véritable pertinence (encore faudrait définir ce qu'elle est, en général certains commentaire sont pertinenté à cause de leur humour )

  • [^] # Re: Spam ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Mikogo, logiciel de partage d´écran. Évalué à 9.

    y doit avoir quelque chose qui m'échappe. Je ne comprend pas comment cela a pu passer en dépeches …

  • # titre .... et défense .

    Posté par  . En réponse au journal Où comment PiTiVi a failli perdre son nom…. Évalué à 7. Dernière modification le 29 avril 2012 à 13:43.

    Le logiciel en question n'a jamais failli perdre son nom. Il y a eu une suggestion d'une personne, des arguments contraires ont été invoqué pour gardé le nom. Il n'y pas eu l'once d'un doute sur le fait de garder le nom originel.

    Ensuite, il y a quelques procès d'intentions, et des présupposés non vérifiés.

    1. Détenir une adresse FSF est indépendant des propos qu'il a émie. Depuis quand juge t-on les dire d'une personne en se basant sur son adresse email ? En outre, il n'a jamais invoqué cette adresse dans son argumentaire. Ni n'a admis agir au nom et pour le compte de la FSF.

    2. Il n'a donné qu'une suggestion, tout le monde est libre de suggéré. Sa suggestion a été rejeté parce qu'elle ne correspondait pas au besoin.

    3. Pense t-il faire avancé le projet parce qu'il a insulté une autre personne sur base de son adresse email ? A la place du monsieur, si j'avais été un contributeur potentiel , je réfléchirais encore une fois, après cette expérience.

    4. Ce journal n'apporte aucun contenu à des problèmes définis. Ni ne définis des problèmes spécifiques à résoudre.

    5. Néanmoins, je dirais qu'il est intéressant du point de vue de la sociologie (de cuisine ici ). L'on voit émerger des comportements irrationnels lorsque des personnes sentent l'identité d'un projet attaqué. Un peu comme les comportements extremes lorsqu'on doit restaurer sa propre image brisé.

    6. Les arguments du développeurs sont très rationnels, pas besoin d'ajouté une couche affective par dessus (d'autant plus qu'elle est rageuse ).

    7. Si le gars a un problème avec des membres de la fsf, ce n'est ni la manière, ni le lieu pour le régler.

  • [^] # Re: GNOME

    Posté par  . En réponse au journal Où comment PiTiVi a failli perdre son nom…. Évalué à 2.

    J'ai toujours pensé que le “I” d'Apple reflétait la tentative vaine et désespéré d'appréhender les premiers pas de la maitrise d'une langue (en l'occurence l'anglais).

    par exemple : iMovie : "MoiFilm" (film que j'ai créer , film qui me met en scène …)

  • [^] # Re: Wait a minute...

    Posté par  . En réponse au journal Où comment PiTiVi a failli perdre son nom…. Évalué à 2.

    je vais faire mon kikolol : LOL ^

  • [^] # Re: ça s'appelle vivre à crédit

    Posté par  . En réponse au journal Expliquer moi un peu. Évalué à 2.

    On peut aussi éviter les comparaisons analogiques. La différence entre avoir un mandat public et ne pas en avoir par exemple.

  • # wait and see

    Posté par  . En réponse au journal C'est une arme redoutable.. Évalué à 6.

    le jugement n'est pas encore tombé, rien ne dit que le juge retiendra la qualification

  • [^] # Re: Pas compris

    Posté par  . En réponse au journal Un article anti-Word, mais pas pro-libre office. Évalué à 2.

    y a aussi texmacs :)

  • [^] # Re: Pas compris

    Posté par  . En réponse au journal Un article anti-Word, mais pas pro-libre office. Évalué à 4.

    Dans certaine revue universitaire américaine de sociologie

  • [^] # Re: Les tournevis ne sont pas bons pour planter des clous

    Posté par  . En réponse au journal Un article anti-Word, mais pas pro-libre office. Évalué à 10. Dernière modification le 26 avril 2012 à 13:08.

    Ton ami aurait-il fait une étude sur la manière de tourner une vis avec un marteau ?

  • [^] # Re: ça s'appelle vivre à crédit

    Posté par  . En réponse au journal Expliquer moi un peu. Évalué à 2. Dernière modification le 24 avril 2012 à 11:58.

    J'ai bien entendu l'argument généralisant, je précise ma pensé. Lors de ma question je voulais savoir précisément quel gouvernement avait décidé d'accoder quelle place à quelles institutions financières , quand et de quelles manières ?

    En claire, quelles sont les sources des ces dires.

  • [^] # Re: ça s'appelle vivre à crédit

    Posté par  . En réponse au journal Expliquer moi un peu. Évalué à 2. Dernière modification le 23 avril 2012 à 23:00.

    C'est simple, pour faire une analogie un peu simpliste, si c'est ton banquier qui te paye ta voiture, ton appart, ta bouffe de tous les mois, ton essence (ou ta carte orange) et même ta garde-robe, tu arrives à la situation où ton salaire part directement chez ton banquier et ce qui reste après les traites de crédit ne permet de ta payer qu'un cinéma par mois.

    Et quand tu veux changer de voiture, tu dois demander à ton banquier et tu n'as pas le libre choix du modèle et du prix, vu que c'est lui qui la paye.

    La question est donc pourquoi tu as choisi de faire financer une partie majeure de ton patrimoine par ton banquier plutôt que te payer avec tes sous un patrimoine moins important.

    L'analogie semble simpliste effectivement

    La première différence que je vois entre l'état et le particulier, c'est que l'état est régie par le droit public et le particulier par le droit privé.

    Entre autre cela implique un certain nombre de prérogative qu'à l'état et que n'a pas le particulier (l'imperium), ensuite les objectifs de l'état sont différents des objectifs des particuliers. L'état à notamment l'obligation d'assurer la continuiter du service public, de satisfaire l'intéret général. Les juridictions qui tranche les litiges administratifs ne sont pas les juridictions qui tranches les contentieux des particuliers.

    Donc aujourd'hui, la finance prend la place que les pays ont choisi de lui donner, c'est à dire une très grande.

    qui à choisi de donner quel place ?

  • [^] # Re: N’importe quoi

    Posté par  . En réponse au journal Expliquer moi un peu. Évalué à 2. Dernière modification le 23 avril 2012 à 22:50.

    Je serai curieux de savoir si le même papier, sorti d'un parti souverainiste expliquant que le l'ère Sarkozy n'est qu'une transition douce vers le retour de la monarchie et que l'héritier de Louis XVI imposera sa loi en utilisant l'élection pour faire croire aux français qu'ils l'ont choisi te plongerai dans un tel émoi ? C'est pourtant la même chose.

    Je ne suis pas ému mais surpris sinon j'ai pas très bien compris ta phrase, en tout cas je n'y vois pas d'éléments factuels.

    Autre chose qui me questionne, c'est la manière dont l'auteur de la note fait référence au autres pays de la zone euro qui ont été durement touché par la crise.

    "Voyez comme la Grèce, l'Espagne, l'Italie"

    comment doit on prendre cette phrase ? un avertissement ? une intimidation ? le script dont il parle ?

  • [^] # Re: hein ...

    Posté par  . En réponse au journal Picasa pour Linux, c'est bientôt fini !. Évalué à 6.

    Je n'ai pas parler ni de la motivation ni des éditeurs , ni des utilisateurs. Je pose un constat que dans l'hypothèse ou le logiciel avait été libre, la question de l'abandon de celui-ci n'aurait pas été d'actualité.

    C'est assez simple d'utiliser des phrases fourre-tout.

  • [^] # Re: le rouge et le brun

    Posté par  . En réponse au journal Expliquer moi un peu. Évalué à 4. Dernière modification le 23 avril 2012 à 16:20.

    Est-ce bien de la bourse dont il parle ? Il évoque surtout la question de la zone euro et des partenaires européens, ainsi que du CDI.

    Par rapport à la phrase "les machés vont sanctionné"
    Cela signifie t-il que les investisseurs vont s'entendre pour retirer au meme moment leur investissement si clairement il n'y a pas volonté de modifié les conditions du CDI ?

    Si c'est le cas ? de quel manière cela aura t-il une influence politique ?

    Que signifie "c'est juste une pièce de théatre ? tout est déjà écrit dans le script ?"

    Qui a écrit le script ? quel pièce de théatre ? de quoi parle t-il précisément ?

  • [^] # Re: N’importe quoi

    Posté par  . En réponse au journal Expliquer moi un peu. Évalué à 3. Dernière modification le 23 avril 2012 à 16:07.

    L'auteur est un représentant d'un grand groupe de la finance, le destinataire de la note sont des opérateurs de marchés.

    La position tenu n'engage effectivement que son auteur, dans le cadre de sa profession, la question est de savoir à qui était destiné cette note (les opérateurs de marchés, cela est trop vague) est quel est la proportion de ces destinataires,ainsi que le poids de ceux-ci dans la sphère du marché (le mazché est aussi trop vague, que signifie le marché va sanctionné ? concrètement qui est-ce ? quel instiution va sanctionné ? quel mécanisme va permettre de prononcer des sanctions ? qui a pouvoir de décisions ? de quel manière est composé cette institution ? )

    Alors le reportage, ne donne pas d'éléments de réponse précisément, mais juste des indications, par rapport au statut de la personne, sa fonction, et sa sphère d'influence.

    Il manque énormément d'éléments effectivement. Cela ne change pas que le ton adopté et le propos reste surprenant.