Arthur Accroc a écrit 2075 commentaires

  • [^] # La vraie adresse

    Posté par  . En réponse au journal Lancer un programme sans accès au réseau, merci les espaces de noms réseaux. Évalué à 10. Dernière modification le 05 mars 2019 à 20:00.

    https://www.google.com/amp/s/www.zdnet.fr/amp/actualites/une-zero-day-sur-virtualbox-et-pas-mal-de-grognements-39876125.htm

    https://www.zdnet.fr/actualites/une-zero-day-sur-virtualbox-et-pas-mal-de-grognements-39876125.htm

    Il y a quelques temps, c’était la mode des raccourcisseurs d’adresses, et on se posait des questions à leur propos.

    Maintenant, la mode semble être à utiliser Google — dont on sait qu’il aime amasser les données — comme rallongeur d’adresse. Là, ça me dépasse…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # urxvt

    Posté par  . En réponse au journal Je ferais tout de même mieux de dormir la nuit.. Évalué à 3.

    urxvt, c’est comme xterm en moins bien, autant utiliser xterm.

    J’ai été méchant avec urxvt, il y a au moins une chose qu’il fait mieux que xterm : il semble faire (comme beaucoup de logiciels récents) une substitution de police en cas de caractère manquant. À moins qu’il n’utilise une version TTF de la police Fixed qui aurait des caractères en plus par rapport à la version bitmap utilisée par xterm ; en tout cas, pour moi, ᵈ et ᵉ, par exemple, s’affichent dedans et pas dans xterm (pour 🌍, 🐧, ou 🐪, ça ne fonctionne pas…).

    Tes problèmes d’affichage de caractères avec urxvt, c’est peut-être seulement qu’il ne trouve pas de police de substitution qui lui convienne (à chasse fixe ?) pour les caractères en question.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Bref, j’ai redésinstallé kitty

    Posté par  . En réponse au journal Je ferais tout de même mieux de dormir la nuit.. Évalué à 4.

    He … Oui encore heureux qu'il n'y a pas de menus … c'est l'idée de ce genre d'outils interface épurée, le minimum de clics/clics, tout est clavier ou fichier …

    J’aime bien avoir un menu pour les trucs dont j’ai rarement besoin. Typiquement les préférences, qu’on change une fois au début (ça n’oblige pas à ce qu’il prenne de la place sur l’écran, s’il se déclenche au bouton droit, ça me va très bien). Surtout que pour les préférences, ça permet de tester un changement sans avoir à relancer le logiciel. Mais je ne suis pas attiré par i3, donc je ne suis peut-être pas le public visé.

    Personne ne reproche à Urxvt de ne pas avoir de menu.

    Allez, moi si. urxvt, c’est comme xterm en moins bien, autant utiliser xterm.

    CTRL+Shift je trouve ça plus naturel qu'on CTRL+B+ au contraire faut faire moins de contorsions, après c'est une historie de goûts j'imagine.

    Ce n’est pas une question d’ergonomie, je ne dis pas que celle de tmux est bonne, même celle de screen est meilleure (Ctrl+a au lieu de Ctrl+b, et puis on n’est pas obligé de relâcher Ctrl avant de taper n pour passer à la « fenêtre » suivante, c’est carrément mieux si on veut les faire défiler ; après, c’est comme pour kitty, ça se configure, j’ai même vu un fichier de configuration pour tmux qui reproduit exactement les raccourcis de screen).

    Ctrl+Alt, c’est indépendant de la disposition. Ctrl+Shift, ça voudrait dire que Ctrl+Shift+‐ correspondrait à Ctrl+_ en Qwerty et Ctrl+6 en Azerty. Sauf si le logiciel se base sur les codes de touches, auquel cas, il faut faire Ctrl+Maj+) en Azerty. Il ne faut pas mélanger les modificatrices utilisées pour produire un caractère différent avec celles utilisées pour les raccourcis clavier. Surtout que si tu utilises un caractère qui est en direct en Qwerty mais pas dans une autre disposition, ça laisse la possibilité à ses utilisateurs d’ajouter Maj ou AltGr pour l’atteindre quand même.

    Oui pour Google Analytics en bas de doc ça fait un peu sale ça en effet, c'est vraiment pas le genre de choses que je m'amuse à regarder avant d'utiliser un logiciel.

    Je n’ai pas spécialement épluché les fichiers avant de les ouvrir avec un navigateur, j’ai eu la surprise de voir uMatrix m’indiquer avoir bloqué quelque chose pour un fichier local.

    Je n'ai pas compris cette histoire de lettres tronquées à vraie dire, je trouve la police très agréable me concernant …

    C’est‐à‐dire que s’il a pris, comme pour moi, la police fixe par défaut que tu as toi‐même configuré, c’est normal que tu la trouves agréable. Moi aussi, sauf que la mienne, il la tronque (quand je réduis la taille, que je trouve trop grande par défaut). Plus moyen de différencier qcalc et gcalc !

    Allez, j’ajoute un défaut sur lequel j’étais passé :
    – l’écriture (tronquée est pas) est moins nette qu’avec mes autres terminaux.

    Typiquement, les vieux terminaux, comme xterm, utilisent des polices bitmap ; le rendu est un peu cranté, mais parfaitement net. Les terminaux récents utilisent plutôt des polices vectorielles et supportent le rendu sous‐pixel (il faut l’avoir activé au niveau des préférences de son environnement graphique), ce qui donne un rendu plus lisse et assez net quand même.

    kitty utilise des polices vectorielles mais ne supporte pas le rendu sous‐pixel, donc le résultat est un peu flou. Il faudrait peut‐être voir si la version TTF d’une police bitmap (il me semble qu’il y en a qui ont été faites pour avoir un rendu bitmap, c’est‐à‐dire non lissé, sur les logiciels qui ne supportent que les polices TTF) permet d’obtenir le même résulat qu’avec xterm.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Bref, j’ai redésinstallé kitty

    Posté par  . En réponse au journal Je ferais tout de même mieux de dormir la nuit.. Évalué à 10.

    J’ai retrouvé dans l’historique de mon shell pacman -Rs kitty, la commande de suppression du paquet de kitty (sous Arch). Je me suis demandé pourquoi, alors je l’ai réinstallé.

    Alors :
    – il n’a pas de menu (même xterm en a) ;
    – le man est nul, il n’aborde ni les raccourcis claviers, ni la configuration ;
    – la doc en HTML contenue dans le paquet appelle Google Analytics !
    – le fichier index.html n’est pas fichu de pointer sur les autres ;
    – l’index de la doc à gauche est tronqué avec mon écran et pas moyen de le faire défiler, il faut dézoomer ;
    – les raccourcis clavier sont pourris (Ctrl+Maj+un caractère, ça part forcément mal : Maj+un caractère, ça en produit un autre ; essayez de faire Ctrl+Maj+[).
    On pourrait considérer que ce ne sont que de petits détails énervants, mais le truc qui tue :
    – une fois que j’arrive malgré tout à réduire la taille de la fonte (il faut reconnaître que le fichier de configuration est assez lisible au moins), le bas des lettres est tronqué, on ne peut pas distinguer g et q !

    Si c’est juste pour avoir un terminal splitté en local, il y a Terminator, avec un menu. En distant, tmux fait le job, avec des raccourcis clavier qui fonctionnent.

    De toute façon, tous les autres émulateurs de terminaux que je connais affichent les lettres sans les tronquer, donc sont préférables à kitty. Enfin, en utilisant une police ayant plus d’espacement vertical (il a je pense pris Monospace, qui est sur mon système un alias sur DejaVu Sans Mono), on pourrait peut-être contourner ce bug.

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  • [^] # « Au service de l'opensource » ?

    Posté par  . En réponse au journal Elphyrecoin : la cryptomonnaie au service de l'opensource est sortie en version 2 . Évalué à 5.

    OK, vu comme ça, on comprend en quoi une cryptomonnaie peut être « au service de l'opensource » (mais pas plus que d’une activité subversive ou même criminelle dans un autre domaine). Ça aurait mérité d’être développé dans le journal.

    Cela dit, il y a déjà des cryptomonnaies établies censées permettre des transactions anonymes, le Dash par exemple (d’après Wikipédia).

    La question de savoir ce que l’Elphyrecoin apporterait de plus reste donc en suspens, ainsi que celle de savoir pourquoi elle serait spécifiquement plus utile à l’opensource qu’à autre chose…

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  • [^] # « L’éducation populaire, Monsieur, ils n’en ont pas voulu… »

    Posté par  . En réponse au journal Grand débat. Évalué à 5. Dernière modification le 25 février 2019 à 17:47.

    Il est pipé car les gens ne sont pas éduqués politiquement …

    « L’éducation populaire, Monsieur, ils n’en ont pas voulu… » (si vous êtes pressés, ce sujet spécifique commence dans la vidéo entre 46:00 et 53:35, puis reprend à 2:07:00, mais le reste, plus sur la situation actuelle de la Culture, est loin d’être sans intérêt).

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  • # Valeur des données ?

    Posté par  . En réponse au message Récupération données sur un disque dur externe. Évalué à 5.

    J'ai un disque dur externe qui me servait pour faire mes sauvegardes. Je le conservais précieusement et l'utilisais très peu … Je n'arrive plus à récupérer mes données.

    Du coup, les données, c’est juste une sauvegarde ou tu en as perdu par ailleurs et tu n’avais plus que cet exemplaire ?
    Sont‐ce des données reproductibles ou pas, comme des photos de famille (refaire les photos des enfants vingt ans après… ce n’est plus tout à fait pareil) ?

    Si tes données ont vraiment de la valeur, ça peut valoir le coup (c’est cher) de faire appel à une boîte de restauration de données sérieuse*. Le disque dur n’étant pas tombé et ne faisant pas de bruit inquiétant, il y a de bonnes chances que la surface magnétique soit encore en bon état et c’est tout ce qui leur faut.

    * Il y a deux sortes de boîtes de récupération de données :
    – le réparateur qui se présente comme tel, mais qui sait juste récupérer des données d’un système de fichiers compromis sur un disque dur fonctionnel ;
    – la boîte sérieuse, qui maintient un stock de disques durs de tous modèles existant ou ayant existé pour pièces détachées et qui va être capable si nécessaire d’aller jusqu’à remonter en salle blanche les plateaux du tien sur la mécanique d’un autre.
    Un devis peut être payant s’il nécessite du travail, mais il faut éviter une boîte qui fait payer plein pot avant de fournir la liste des fichiers récupérables.

    À une époque, quand on avait « juste » une panne du circuit contrôleur, on pouvait reprendre soi‐même celui d’un autre disque identique et le remettre à la place. Maintenant, avec la densité d’écriture des disques, il paraît que ça nécessite de le ré-étalonner pour que les têtes passent bien sur les pistes.

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  • [^] # P.P.A.

    Posté par  . En réponse au journal Grand débat. Évalué à 10.

    Je suppose le « Parti du Pouvoir et de l’Argent » ou « Parti de la Presse et de l’Argent », formule utilisée notamment dans le documentaire Les nouveaux chiens de Garde.

    Voir pages 4 et 5 de ce document, qui a accompagné la sortie du film.

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  • [^] # Une autre époque

    Posté par  . En réponse au journal Le flicage dans l'Open Source. Évalué à 5.

    J'ai l'impression que c'est de mal en pis avec les réseaux sociaux.

    C’est sûrement le moment de sortir des blagues de Coluche pour détendre l’atmosphère… ou peut-être pas…

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  • [^] # Re: Le divertissement ou de la réflexion sur l'évident

    Posté par  . En réponse au journal Grand débat. Évalué à 8. Dernière modification le 23 février 2019 à 12:33.

    Bref, à mon avis, on est dans le pur divertissement, tout ça va partir direct dans un équivalent /dev/null

    Tu es négatif.
    Je suis certain que s’il y a des contributions en nombre significatif qui vont dans leur sens (comme réduire le nombre de fonctionnaires), ils vont les retenir.

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  • [^] # Ça dépend de l’éditeur

    Posté par  . En réponse au message impossible de modifier un exécutable lorsqu'il est en exécution . Évalué à 4.

    Quand on sauvegarde avec un éditeur, il peut soit :

    1. réécrire le fichier en place, mais s’il y a un problème au moment de l’écriture, le fichier peut être incohérent ;
    2. écrire dans un nouveau fichier, puis une fois que celui-ci est complètement écrit sans erreur, remplacer l’ancien par lui.

    Je pense que la grande majorité des éditeurs récents font le deuxième choix.

    Si un éditeur fait le premier choix, le fichier sera changé en cours d’exécution par un interpréteur qui le lit ligne par ligne.
    En éditant le fichier avec vi, j’obtiens le même comportement que cosmoff. Ce qui m’étonne, ce n’est pas tant que bash ligne le fichier ligne par ligne (il conserve des caractéristiques du Bourne shell, qui date d’une autre époque ; enfin c’est quand même déjà étonnant), que le fait qu’il ne verrouille même pas le fichier avec interdiction d’écriture pendant qu’il l’exécute !

    Si un éditeur fait le deuxième choix, bash continue de lire le fchier d’origine (même s’il est supprimé du système de fichiers et plus visible dans le répertoire, il est maintenu tant qu’un processus le garde ouvert).
    Si j’édite le fichier avec vim, l’exécution n’est pas modifiée.

    Peut-être certaines distributions ont-elles un lien sur vim à la place de vi, et dans ce cas toujours le comportement comme si le fichier n’avait pas été modifié en cours d’exécution.

    Cela dit, je n’avais jamais remarqué cette caractéristique de bash, probablement parce que j’évite d’utiliser vi (celui d’origine) et que je n’utilise probablement pas régulièrement autre chose qui ait le même comportement.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # L’heure romaine

    Posté par  . En réponse au journal [HS] Etes-vous pour rester à l'heure d'été ou à l'heure d'hiver ?. Évalué à 4.

    L’heure romaine : le jour est divisé en douze heures du lever au coucher du soleil.

    Je suppose que vous avez deviné le « truc » : les heures ne sont pas aussi longues en hiver qu’en été (ni la nuit que le jour)…

    Comment ça, ce n’est pas pratique ? Ça n’a pas empêché les Romains de construire des monuments et des ponts qui ont résisté jusqu’à notre époque (y compris à des crues violentes), donc ça ne peut pas être si mauvais que ça.
    Que restera‐t‐il de ce que nous faisons actuellement dans deux mille ans, à part de la pollution ?

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  • # Il faut essayer !

    Posté par  . En réponse au message choix d'un linux. Évalué à 3.

    Bonjour,

    La plupart des distributions actuelles fournissent une image live permettant de démarrer directement la distribution à partir d’une clé USB.

    Le mieux, c’est d’en profiter pour les essayer, histoire de voir si ton matériel est bien supporté, si l’environnement graphique est lourd (en occupation mémoire et en réactivité) ou pas, si l’ergonomie de l’environnement te convient (au delà de leur environnement par défaut, plusieurs distributions fournissent des variantes live avec des environnements différents)…

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  • [^] # Linux, c’est pas pareil

    Posté par  . En réponse au message Opera avec Mint. Évalué à 3.

    Salut Julien_J06,

    Il n'y a pas d'équivalents à apt dans les distributions que tu cites ?

    Si, mais en dehors des noms qui ne sont pas les mêmes, la syntaxe peut aussi être très différente.

    Si on passe sur les noms de commande différents, pour installer un paquet d’un dépôt, c’est similaire (commande install nom_du_paquet) sur Debian/Ubuntu, Fedora et openSUSE (et pas du tout sur Arch Linux et Gentoo). Par contre, pour des opérations moins simples, c’est moins simple

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  • [^] # apt install ./opera-stable….deb

    Posté par  . En réponse au message Opera avec Mint. Évalué à 3.

    J'ai essayé rapidement […] et ça ne passait pas, pour info.

    Je viens d’essayer sur une Xubuntu 18.04.
    Ça ne passe pas si on n’indique qu’un nom de paquet, mais ça passe si on indique un chemin (peut-être fait-il la différence sur la présence de la barre oblique), en tout cas sur Ubuntu.

    Donc si l’on est dans le répertoire où l’on a téléchargé le fichier, apt install opera-stable….deb ne marchera pas, mais apt install ./opera-stable….deb marchera.

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  • [^] # Linux or not Linux ?

    Posté par  . En réponse au message Opera avec Mint. Évalué à 2.

    La méthode dite "en ligne de commande" est universelle, ou tout du moins transposable sur toutes les versions de linux

    Euh… ça m’étonnerait qu’elle fonctionne sur mon Arch Linux, ou sur Fedora, openSUSE, Gentoo, Void Linux… Peut-être faut-il prévenir leurs développeurs que ce ne sont pas des « versions de Linux ».

    Cela dit, tu es sûrement de bon conseil : comme beaucoup de gens confondent Linux et Ubuntu, il y a de bonnes chances que Tapinabule ait une Ubuntu.

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  • [^] # Re: Il faudrait essayer…

    Posté par  . En réponse au message Opera avec Mint. Évalué à 2.

    il est possible qu'il existe des hooks pour apt qui permettraient ça…

    Peut-être pas, je suis sûr qu’il y a une distribution qui permet d’installer indifféremment avec la même commande un paquet du dépôt ou local, mais je dois confondre avec Fedora. Je l’ai beaucoup utilisée, même si ce n’est plus le cas depuis quelques années.

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  • [^] # Il faudrait essayer…

    Posté par  . En réponse au message Opera avec Mint. Évalué à 2.

    À ma connaissance, apt install ne peut installer qu'un logiciel provenant d'un des dépôts configurés dans /etc/apt/sources.list ou /etc/sources.list.d/mondepot.list (la page de manuel est floue sur le sujet, cela dit).

    J’avais un doute… Il me semble l’avoir déjà fait, mais je peux me tromper. Pour être sûr, il faudrait essayer. Pour essayer, il faudrait avoir une Ubuntu ou une Debian sous la main, ce qui n’est pas le cas d’où j’écris (j’en ai au boulot, mais je n’y suis pas)…

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  • [^] # Une rolling release… sans le risque de se retrouver bloqué au démarrage

    Posté par  . En réponse au journal Mon retour sous KDE. Évalué à 4. Dernière modification le 13 février 2019 à 23:07.

    D’après un de mes collègues qui l’a installée (je n’ai pour ma part essayé que la version live), elle utilise btrfs, fait un snapshot à chaque mise à jour, et permet de booter sur le snapshot précédent juste en le sélectionnant au démarrage.

    Ça lève la petite incertitude, typique d’une mise à jour avec une distribution en rolling release comme Arch, d’un gros bug upstream qui empêcherait le démarrage sur ton matériel (c’est quand même rare, ça a dû m’arriver une fois en plusieurs années, un gros bug du pilote du noyau par rapport à ma puce graphique) et obligerait une intervention un peu difficile (démarrer en mode rescue voire sur une clé USB, downgrader le paquet fautif…).

    D’un autre côté, ça demande sûrement plus de place disque et de faire du ménage sur btrfs (supprimer les vieux snapshots et certains trucs à faire de temps en temps sur btrfs dont je ne me rappelle plus) ; cela dit, sur Arch, il faut faire le ménage du cache de paquets.

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  • # Attention !

    Posté par  . En réponse au message Opera avec Mint. Évalué à 8. Dernière modification le 13 février 2019 à 22:40.

    Bonjour,

    J'ai trouvé sur des sites des liens de téléchargement "Opera pour Linux"

    Il ne faut surtout pas suivre des liens sur des sites, c’est le meilleur moyen de récupérer un logiciel malveillant en sus ou une version compromise (diffuser une version compromise de navigateur pourrait permettre à des escrocs de récupérer des numéros de carte bleue).

    Soit il est connu du gestionnaire de paquets de la distribution (je rejoins alouali sur le fait qu’il faudrait savoir laquelle c’est pour répondre précisément), dans ce cas le mieux est de l’utiliser pour l’installer.

    Soit il faut le télécharger depuis le site officiel de l’éditeur, https://www.opera.com/. Et l’installer avec une commande du genre (sous Ubuntu, Linux Mint ou Debian ; sous openSUSE, Fedora ou autre, ça va être sensiblement moins facile, le fichier n’est pas au bon format pour elles) :

    cd Téléchargements
    sudo apt install opera-stable….deb

    Après avoir tapé opera, enfoncer la touche Tab (celle juste à gauche de A) pour compléter le nom de fichier.

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  • [^] # Question de choix

    Posté par  . En réponse au journal Mon retour sous KDE. Évalué à 4.

    Tu retournes l'affaire là … le plombier chez lui sait très bien comment marche un réseau d'eau mais à autre chose à foutre que de jouer de la pince mutliple, pour se servir un verre d'eau, il ouvre simplement le robinet.

    Avant d’emménager, il a le choix entre acheter une maison prête à habiter ou faire construire mais se charger lui-même de la plomberie.

    Idem pour le mécano qui veut utiliser son véhicule pour faire ses courses, il ne va pas commencer par remonter la batterie, le carbu etc .. il a autre chose à faire il veut que son véhicule fonctionne simplement en mettant la clé dedans.

    Pour se procurer une voiture, il a le choix d’en acheter une neuve, ou de restaurer lui-même un modèle de collection.

    Peut-être ferais-tu le choix à leur place d’acheter une maison clés en main et une voiture neuve, mais ce n’est pas le choix de tous.

    Mon père travaillait dans le bâtiment, il a construit sa maison lui-même avec l’aide d’amis.

    C’est moins évident pour quelqu’un qui n’est pas de la partie, mais il y a des non professionnels qui entretiennent et réparent leur voiture eux-mêmes (probablement moins avec les voitures récentes, elles sont faites pour éviter ça…). J’ai même un ami qui n’est pas du bâtiment et qui a construit sa maison lui⁻même (il a mis beaucoup de temps pour la finir complètement…).

    Se monter un Linux from scratch, ce n’est rien à côté de construire une maison. Et s’installer Arch Linux, encore moins.

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  • [^] # Rolling ou pas

    Posté par  . En réponse au journal Mon retour sous KDE. Évalué à 3.

    J'suis loin d'être débutant ou un "utilisateur de base" … Je suis un utilisateur plutôt expert mais pour autant, je n'ai aucune envie de me faire chier,on PC est un outil de travail et non pas la cible de mon travail. Je veux installer mon OS 5 minutes chrono en faisant next, next et next.

    Du coup, tu te mets quand même en position d’utilisateur de base (du point de vue système). C’est pas honteux, hein ! On est tous utilisateur de base de quelque chose. On a le droit d’utiliser un robinet sans vouloir devenir plombier et on peut être pilote de course sans savoir démonter et remonter un moteur.
    Mais du coup, Arch n’est pas le bon choix par rapport à tes attentes.

    Je ne m’enlèverai jamais de l'idée qu'une rolling c'est nettement moins béton qu'une stable Debian, Ubuntu ou Mint

    Peut-être. Par contre, quand on fait la mise à jour de version de distribution pas rolling, on a intérêt à avoir une sauvegarde !

    J’ai vu assez souvent des mises à jour d’une version d’Ubuntu à la suivante bloquer au milieu et laisser le système complètement cassé (peut-être nettement moins avec les versions récentes qu’avec le passage de la 12.04 à la 14.04). Sans compter qu’une fois que ça marche, on se retrouve avec des plaisanteries comme des services qu’on n’avait sciemment pas installés ou activés dans l’ancienne et qui sont activés alors qu’ils ne sont pas configurés (par exemple, avec le passage de la 16.04 à la 18.04, systemd-timesyncd qui prend le pas sur ntpq qui était lui bien configuré).

    Sous Fedora, avec l’ancien système de mise à jour de version, le blocage qui laissait le système tout cassé était encore bien plus fréquent que sous Ubuntu ; plus qu’un incident, c’était un grand classique. Avec le nouveau, il faut juste avoir beaucoup de place dans /var pour héberger tous les paquets qu’on avait installés sur l’ancienne (et faire un peu de nettoyage à la main à la fin), mais c’est beaucoup plus fiable.

    Quoiqu’il en soit, c’est quand j’en ai eu marre d’essuyer les plâtres des mises à jour de version ou de réinstaller que je suis passé à Arch pour mon usage personnel. Non pas que ça fasse moins de problèmes à gérer, mais ils sont répartis dans le temps. Ça m’évite d’avoir à trouver un moment où j’aie beaucoup de temps disponible et pas trop besoin de l’ordinateur pour faire une mise à jour majeure.

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  • [^] # Le rapport avec la choucroute

    Posté par  . En réponse au journal Mon retour sous KDE. Évalué à 2.

    Les distro classiques sont pas LTS, et des merdes j'en ai eu aussi un paquet avec. Les dernières exaspérations en date, c'est Fedora-KDE, une expérience horrible : une dizaine de bugs particulièrement pénibles rencontrés en 30 min, donc 5 côté KDE.

    En même temps, choisir Fedora pour utiliser KDE, c’est comme aller à Marseille pour manger de la choucroute. Les développeurs de Fedora s’investissent sur Gnome, pas sur KDE.

    Certains environnements privilégient la stabilité à la nouveauté et sont assez rarement cassés, quelque soit la distribution, mais pour Gnome et KDE, c’est mieux si les développeurs de la distribution sont prêts à passer du temps dessus.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Arch et dérivées

    Posté par  . En réponse au journal Mon retour sous KDE. Évalué à 4.

    Deux tentatives en plusieurs année, une fois une Arch, crash après une update … et récemment donc Manjaro dont j'étais super content, j'aime bien avoir tout up to date … jusqu'a un crash de l'environnement de bureau après une update également.

    Principe de base d’une rolling-release : en suivant quasiment toutes les versions d’upstream, tu n’en rates quasiment aucun des bugs (à part bien sûr ceux qui sont détectés et corrigés avant les versions finales, heureusement)… Dans une distribution classique (non rolling), les logiciels n’ont pas forcément moins de bugs, mais ils ne changent pas.

    Si tu ne fais rien, Arch conserve les paquets qui ont été installés dans le cache, afin de permettre de downgrader en cas de souci. Évidemment, si tu ne purges jamais (pacman -Sc), à un moment, ça pose un problème de place…

    Mon conseil, c’est de purger le cache des paquets avant de faire la mise à jour (et surtout pas juste après).
    En cas de souci après la mise à jour, tu sais que ça vient d’un des paquets qui sont en doublons et qu’il faut essayer de les downgrader en commençant par ceux qui semblent le plus liés au problème.

    Toutefois sans sauvegarde de ton répertoire utilisateur, ça ne te met pas à l’abri d’un logiciel qui pourrit lui-même sa configuration…

    Et puis quand c’est le noyau qui pose problème et ne démarre même pas (c’est rare, mais il arrive qu’un pilote devienne incompatible avec la version d’un de tes matériels), comme Arch ne conserve pas l’ancienne version, il faut être capable de démarrer sur le système live (celui qui sert pour l’installation), monter le système du disque, passer en chroot et downgrader le noyau.

    Qui plus est, il faut vérifier sur le site qu’il n’y a pas de mise à jour délicate demandant une intervention ou au moins arriver à se débrouiller avec les problèmes signalés par pacman (il y a intérêt à en comprendre les messages ; mieux vaut vérifier sur le site).

    En résumé, Arch et les distributions qui en sont dérivées demandent une certaine maîtrise ou un certain investissement pour acquérir celle-ci.

    Avec la maîtrise suffisante, je pense qu’on peut espérer n’installer Arch qu’une seule fois pour toute la durée de vie d’une machine. Cela dit, la machine vieillissant, si on se retrouve dans une situation comme un chipset nVidia mal supporté par nouveau et plus par les dernières versions du pilote propriétaire, on peut devoir se rabattre une autre distribution, juste pour la présence du pilote souhaité.

    Enfin bref, Arch n’est pas faite pour l’utilisateur de base qui veut juste un système qui fonctionne en trois clics. D’ailleurs, elle n’a plus d’installateur (officiel), ni graphique, ni même en mode texte (juste des instructions pour installer « à la main »), je pense que ça clarifie la situation… jusqu’à ce que des débutants installent une dérivée qui a un installateur graphique.

    Quant à la fiabilité des autres distributions, y compris LTS, elle se discute aussi. Apparemment, sous Ubuntu 18.04 LTS, la LED Verr. Maj. ne fonctionne plus dans les consoles texte. Au boulot, on en a aussi deux, sur des portables de marques différentes, qui depuis peu gèlent quand l’écran se met en veille depuis peu (on n’a pas encore eu le temps de trouver si c’est un problème logiciel ou matériel).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: on est vendredi

    Posté par  . En réponse au message Linux sous Windows (non fonctionnel). Évalué à 1.

    Si tu veux des logiciels à jours, quite à parfois tomber sur des bugs, je te conseille plutôt arch , et je te conseillerai plutôt l'installateur zen (mais il en existe d'autres)

    Arch est ma distribution de prédilection, mais openSUSE Tumbleweed fait aussi l’affaire pour avoir des logiciels très à jour et elle est plus abordable pour des débutants.

    Cela dit, merci de l’info sur l’existence d’installateurs graphiques pour Arch.

    Le défaut d’openSUSE, c’est peut-être pour trouver de l’aide en français : elle semble boudée en France.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone