Arthur Accroc a écrit 2055 commentaires

  • [^] # Re: modifie l'initialisation

    Posté par  . En réponse au message Passer de paramètres à valeurs saisie par l'utilisateur... Évalué à 6.

    Au lieu de d'initialiser nb manuellement
    initialise le avec le premier nombre de ta liste saisie par l'utilisateur.

    Quelle est ta manière simple de récupérer juste le premier élément malgré bash (je dis « malgré », parce que bash, c’est comme Perl en moins puissant mais plus compliqué, même s’il est bien moins indigent que le Bourne shell dont il descend) ?

    Parce que je vois l’affectation de toute la liste aux variables $1, $2… avec

    set -- $var

    (intérêt supplémentaire : on peut ensuite reprendre le script prévu pour traiter les arguments), l’affectation de toute la liste à un tableau avec

    $tab=($var)

    (ensuite ${tab[2]} pour accéder par exemple au troisième élément, $tab donnant le premier élément), mais récupérer juste le premier élément, je ne vois pas trop…

    À la réflexion, on peut récupérer juste le premier élément avec

    ${var%% *}

    Un peu cryptique quand même pour un débutant (enfin c’est du bash…) ; explication : c’est une substitution qui rend le contenu de la variable allégé du premier espace et de tout ce qui suit.

    De plus il manque une instruction dans ta structure de contrôle.

    Effectivement.
    Par contre, il y a aussi des instructions superflues : nb=$nb, on peut aussi sortir le shift du if then else fi dans le premier script et supprimer le else dans la foulée.

    Tant qu’on y est, on peut utiliser && plutôt que if then fi et le contenu de la boucle while (du premier script) se réduit à :

    do
        [ $1 -lt $nb ] && nb=$1
        shift
    done

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Motifs…

    Posté par  . En réponse à la dépêche Firefox 63. Évalué à 7.

    Oh un UUOO (useless use of -or) ! ;-)

    En fait, on peut simplement faire :

    find /usr -name '*.[ot]tf' | wc -l
    555

    OK, ça ne fait pas longtemps non plus que j’ai appris que bash supporte les crochets dans ses motifs et manifestement, c’est le cas de find aussi.

    À chaque fois que je tombe sur un truc comme ça, je me demande si je l’ai loupé quand j’ai lu le man ou si c’est une « nouveauté » (enfin depuis que j’ai lu le man ; j’ai lu plus ou moins en entier le man des commandes les plus courantes, mais ça peut faire… longtemps — accessoirement, s’il y avait moins d’options, le man était d’autant plus court donc rapide à lire).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Pour vérifier si le disque est défectueux et récupérer les données

    Posté par  . En réponse au message error: failure reading sector 0x86a from 'hd0'. Évalué à 4.

    Bonjour,

    Ça peut être intéressant de regarder ce qu’indique smartctl pour savoir si ce sont juste les données qui ont été endommagées ou si le disque est en défaillance physique :

    smartctl -a /dev/sda

    S’il y a des évènements d’erreurs indiqués ou un nombre à plus d’un chiffre dans les attributs Current_Pending_Sector et Offline_Uncorrectable ou autre chose que - dans la colonne WHEN_FAILED, ça sent le roussi.

    Si le disque est défectueux et qu’il y a des données à récupérer dessus, le mieux de recopier ce qui est sauvable sur un autre disque (au moins aussi grand, USB ou branché sur un adaptateur USB) avec GNU ddrescue (il y a un autre ddrescue, peut-être pas mauvais, mais avec des options complètement différentes) en deux passes (la première récupère en gros sans insister sur les endroits problématiques, la deuxième insiste sur ces endroits pour réduire la taille des trous). En supposant le deuxième disque vierge (ça efface tout le contenu ! sinon, il faut le monter et utiliser comme cible un fichier dedans et surtout pas /dev/sdb) :

    ddrescue -n -f /dev/sda /dev/sdb recup.log
    ddrescue -d -r3 -f /dev/sda /dev/sdb recup.log
    sync

    Ensuite, sur le deuxième disque, si la table de partition n’est pas lisible (avec fdisk -l /dev/sdb), essayer de la récupérer avec testdisk, puis vérifier les partitions avec (pour la première) e2fsck -f /dev/sdb1

    D’un autre côté, si la table de partitions du premier disque est lisible et que tu sais laquelle contient des données (supposons sda1 s’il n’y a pas de /home séparé), ça peut être intéressant de copier juste cette partition avec ddrescue dans un fichier :

    mkdir /mnt/usb
    mount /dev/sdb1 /mnt/usb
    ddrescue -n /dev/sda1 /mnt/usb/recup_sda1 recup.log
    ddrescue -d -r3 /dev/sda1 /mnt/usb/recup_sda1 recup.log
    e2fsck -f /mnt/usb/recup_sda1
    umount /mnt/usb
    sync

    Ensuite, le deuxième disque monté sur un autre ordinateur :

    sudo mkdir /mnt/recup
    sudo mount -o loop /media/utilisateur/disque/recup_sda1 /mnt/recup

    Bonne chance !

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  • [^] # Re: ldlc

    Posté par  . En réponse au message Ordinateur portable 17" Full HD sous Linux. Évalué à 3.

    Je complète en ce qui concerne le processeur en précisant que c’est un processeur faible consommation prévu pour être monté sans ventilateur.

    Par contre, pour ce qui est de la mémoire, il plafonne à 8 Go.

    Ça devrait être suffisant pour ton usage mais ne néglige pas le confort de l'écran et évite les dalles TN.

    C’est un fort bon conseil, surtout pour de la retouche photo, mais un portable 17″ neuf avec une dalle full HD IPS à moins de 600 € TTC et avec 8 Go de mémoire, ça risque d’être difficile à trouver, surtout si on espère aussi qu’il soit à peu près fiable…

    Peut-être en reconditionné ou en occase, encore faut-il que ce soit réellement moins cher que le neuf (ce n’est pas toujours le cas pour du pas trop vieux).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Asus

    Posté par  . En réponse au message Ordinateur portable 17" Full HD sous Linux. Évalué à 3.

    Bonjour,

    J’hésiterais avant de commander un Asus si c’est pour utiliser longtemps (disons plus de trois ans).

    Le dernier que j’ai vu avait la carte son aux abonnés absents et le contrôleur disque l’a rejointe. C’est moins pratique…

    Par ailleurs, ils ont tendance à souder la mémoire d’origine sur la carte mère, au moins sur leurs modèles bas de gamme, ce qui empêche d’atteindre ultérieurement la capacité maximale du processeur. Cela dit, c’est moins grave si tu en prends un avec 8 Go d’origine.

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  • [^] # Re: Pas de version patchée dans Debian Security?

    Posté par  . En réponse au journal demain soir on finit tard. Évalué à 5. Dernière modification le 17 octobre 2018 à 14:25.

    0.8.4 & 0.7.6 sont disponibles dans toutes les bonnes crèmeries.

    Dans Debian, pas de 0.7.6 et 0.8.4 attendra 5 jours comme tout le monde.

    Les « bonnes crèmeries », ce sont celles qui ont de la crème fraîche, non ?

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Aux chiottes wc

    Posté par  . En réponse au journal GoFr - Episode 02. Évalué à 3.

    wc a certainement été écrit par des anglophones : ils ne mettent pas d’espace avant les ponctuations. Du coup, wc compte comme mot tout ce qui est séparé par des espaces (ou retour à la ligne), c’est une simplification qui marche (généralement) en anglais…

    Bon, on peut toujours s’en servir pour compter les lignes et les octets.

    Je me suis dit que ce serait intéressant de voir si un traitement de texte s’en sort mieux. LibreOffice ne compte pas une ponctuation isolée pour un mot, mais il considère « l’apostrophe » comme un seul mot.
    Note : « Ploumanacʼh », par contre, est un seul mot, ce qui ne simplifie pas (note : idéalement, ce n’est pas la même apostrophe qu’il faut mettre dans les deux, U+2019 et U+02BC).

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  • # À essayer

    Posté par  . En réponse au message Installation linux via usb. Évalué à 2. Dernière modification le 12 octobre 2018 à 17:52.

    Bonjour,

    Puis le message suivant apparait
    UNCOMPRESSION ERROR

    Ça fait penser à une erreur de lecture d’un fichier compressé.

    Si tu as branché ta clé sur une prise en façade d’une machine fixe, essaie plutôt sur une prise arrière. Directement soudées à la carte mère, celles-ci se montrent plus fiables (pas de mauvais contact ni de perte due au câblage), surtout avec certaines clés USB.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # TestDisk

    Posté par  . En réponse au message Disque externe WD Elements 2To ne monte pas. Évalué à 2.

    Pour retrouver la ou les partition effacées, il y a TestDisk, probablement déjà empaqueté par ta distribution.

    Tu devrais essayer d’abord avec EFI GPT comme type de table de partitions et si le résultat n’est pas probant avec Intel.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est bat !

    Posté par  . En réponse au journal softs dev en Rust empaqueté pour Ubuntu & cie. Évalué à 2.

    Bien vu. Habituellement, j’utilise more et je n’ai jamais dû lire le man de less (ou pas en entier)…

    Reste pour bat l’intérêt de permettre de parcourir un code source avec la coloration syntaxique et de sortir plus rapidement (q) qu’avec vim (ESC : q Entrée) ou emacs (Ctrl+X Ctrl+C).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est Free, mais c’est pas grave

    Posté par  . En réponse au journal Chaque été depuis 9 ans, Altran enclenche une procédure de licenciement contre un délégué syndical. Évalué à 3.

    Ah, c’est sur le « un » qu’on s’est mal compris.

    « Je vois mal un patron », je l’ai compris comme « je ne vois aucun patron », alors que c’était plutôt « je vois mal un patron lambda ».

    je précise que certains employeurs font bien ce genre de choses, […] mais globalement c'est une minorité.

    Je suppose et je l’espère. Mais si ça reste impuni, ça pourrait faire tache d’huile, et en tout cas, c’est une concurrence déloyale par rapport aux entreprises qui respectent leurs employés, ou au moins le droit.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # C’est bat !

    Posté par  . En réponse au journal softs dev en Rust empaqueté pour Ubuntu & cie. Évalué à 10.

    Plusieurs de ces commandes ont pour l’un de leur principaux avantages une sortie en couleur (pertinente).

    C’est bien, mais on lance la commande, le résultat dépasse la taille d’un terminal, on se dit qu’on va la piper dans un more ou dans un less en forçant les couleurs avec --color=always, et là, c’est le drame !

    less affiche les codes d’échappements. more affiche bien les couleurs (il se contente peut-être de les laisser passer), mais compte les codes d’échappement pour la longueur des lignes et coupe les lignes avant même la moitié pour une sortie d’exa !

    Là, je me dis « c’est con, les développeurs auraient surtout dû prévoir un remplacement de more ». Et puis, je me dis « sait‐on jamais, essayons bat »…

    Et bien bat fait le boulot de more (ils auraient dû l’appeler « bore » ☺)… mais en supportant correctement les couleurs !

    Accessoirement, il ajoute un cadre et des numéros de lignes, qu’on peut toutefois éviter avec l’option -p.

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  • [^] # C’est Free, mais c’est pas grave

    Posté par  . En réponse au journal Chaque été depuis 9 ans, Altran enclenche une procédure de licenciement contre un délégué syndical. Évalué à 4.

    Par contre je vois mal un employeur s'amuser à virer quelqu'un pour faute grave ou lourde sans que l'employé n'ai rien fait pour le justifier.

    Ah ? Tu as raté des trucs.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Autres pistes…

    Posté par  . En réponse au journal GNU/Linux Manjaro ! + projet ARM à 300 € !?. Évalué à 4.

    Comme distribution rolling release plus abordable qu’Arch Linux, il y a aussi openSUSE Tumbleweed.

    Pour une salle info à petit budget, ça vaut peut-être le coup d’envisager LTSP.

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  • [^] # Citron

    Posté par  . En réponse au journal Freenaute, ton mot de passe d'abonné est stocké en clair chez Free. Évalué à 6.

    Fan de Free ou déçu d’Orange ?

    et orange c'etait mieux ?

    Je n’ai jamais dit ça.
    Le lourd passif d’Orange (dont je n’ai malheureusement pas retenu tous les détails, mais j’ai par exemple retrouvé ça) me dissuade de passer chez eux. Peut-être cela s’est-il amélioré, mais jusqu’à quel point ?

    Chez Free, ce sont les choix techniques fournis à l’utilisateur qui sont discutables. Chez Orange, c’est souvent l’implémentation qui a péché.

    Autant il sera facile de voir si les choix techniques de Free s’améliorent, autant on pourra toujours douter de la sécurité de l’implémentation chez Orange.

    Cela dit, tu as surtout parlé de problèmes passés chez Orange. Si tu es au courant de problèmes actuels, rien ne t’empêche de faire un journal, comme modr123… Un historique des problèmes passés pourrait être intéressant aussi.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # C’est Free, mais c’est pas grave

    Posté par  . En réponse au journal Freenaute, ton mot de passe d'abonné est stocké en clair chez Free. Évalué à 10.

    Free a aussi longtemps traîné les pieds avant de mettre en place le chiffrement pour POP/IMAP, mais ça, quand même, ils ont fini par le faire.

    Par contre, pour mettre à jour sa page web, c’est toujours FTP — pas de sftp ou FTPS — ou http (pas de https non plus !).

    Évidemment, pour les consulter, pas de https.

    Et dernièrement, Free s’est fait pointer comme un des gros acteurs à ne pas avoir mis en place le chiffrement des communications entre serveurs SMTP.

    Manifestement, la sécurité des mots de passe et la confidentialité des données des utilisateurs, ce n’est pas leur priorité.

    Cela dit, il y a une cohérence : si tu mets à jour ta page web à distance, et que tu te fais sniffer ton mot de passe, c’est moins grave qu’il soit stocké en clair chez Free…

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  • # Utilisation réelle du compteur Linky

    Posté par  . En réponse au journal Compteur communiquant linky et collecte de la courbe de charge. Évalué à 2.

    Bon, je passe sur le bénéfice le plus évident, la suppression d’emplois (la lutte contre l’emploi est une priorité nationale, avec le succès que l’on sait).

    Dernièrement, j’ai un peu traîné à payer ma facture EDF, donc je me suis dit que ce serait plus rapide en ligne (temps d’acheminement de la lettre, mais surtout temps de traitement du TIP). J’ai vu le site EDF… et j’ai décidé de payer par téléphone.

    Bon, là où ça devient intéressant, c’est qu’après que j’ai payé, j’ai eu droit à un message du genre « si votre puissance a été réduite, elle sera rétablie dans tant de temps ».

    Ce n’est pas possible avec un compteur traditionnel sans intervention de personnel EDF, mais en général, en cas de non paiement, l’EDF envoyait plutôt couper le courant.

    Et là, on voit le progrès :
    – avant, quand les pauvres n’arrivaient pas à payer leur facture en hiver, on envoyait un agent leur couper le courant, mais certains rechignaient à les laisser crever de froid dans le noir ;
    – grâce au compteur Linky, on leur réduira leur puissance automatiquement ; comme ça, plus de problème avec ces sales agents EDF humanistes et les pauvres crèveront de froid, mais avec un peu de lumière pour pouvoir payer leur facture quand ils trouveront de quoi le faire (s’ils ne sont pas morts d’une pneumonie avant).

    Un service public moderne !

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: HiDPI

    Posté par  . En réponse au message Police de caractère déformée. Évalué à 2.

    Je m'y suis déjà reprise à deux fois pour cette installation, la première fois je n'avais pas connecté de câble ethernet, je me suis retrouvée avec un Cinnamon qui plantait à l'ouverture et s'ouvrait en mode secours, pas de wifi et Firefox en Anglais.
    Avec une installation connectée, il ne reste plus que ce soucis de police et seulement dans le menu et le tableau de bord.

    Ce genre de mésaventure peut aussi faire penser à des fichiers corrompus.
    Souvent, quand on a des fichiers corrompus, c’est que la mémoire est défectueuse.
    Je ferais un test de mémoire (avec Memtest86+. De toute façon, c’est une précaution qui ne nuit pas (après des années de tranquillité en achetant des mémoires de marque, j’ai une Kingston qui est devenue défectueuse…).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Tabulations

    Posté par  . En réponse au journal Fins de tabulation élastiques: la bonne manière d'indenter et d'aligner le code. Évalué à 3.

    Dans tous les éditeurs (pas que Kate), une tabulation n’est pas huit espaces (ou quatre, ou ce qu’on a choisi), mais un saut à la prochaine colonne multiple de huit (ou quatre, ou autre). C’est le principe.

    Bon, tant qu’on ne fait qu’indenter avec, ça revient au même (et encore, pas si on met des lignes en commentaire), mais c’est quand on s’en sert pour aligner du code que c’est un peu plus fin (tant qu’on n’enlève ou n’ajoute pas un peu trop de caractères et que ça cause un saut de tabulation — faute des fameuses « fin de tabulations élastiques »).

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  • [^] # Copie brute

    Posté par  . En réponse au journal Migrer Windows 10 d'un disque BIOS/MBR, vers un SSD en mode UEFI/GPT avec des logiciels libres. Évalué à 3.

    De manière à simplifier la vie des utilisateurs de serveurs beaucoup de distributions utilisent de UUID de type : UUID=aba14cd9-97d5-4bc5-8ae9-3bfc3a2b2f2e

    Du coup, si tu changes un disque dur avec dd, ton système ne boutera plus du tout …

    En général, c’est l’UUID de la partition qui est utilisée, et avec une copie brute avec un outil comme dd (je conseillerais GNU ddrescue, même si le disque d’origine ne présente pas d’erreurs, il est plus rapide que dd), il est conservé.
    Note : on a fortement intérêt à ne pas se tromper entre la source et la destination.

    Du coup, on monte le SSD, on fait une copie brute dessus, on arrête le PC, on démonte le disque dur, on reboote, et ça doit fonctionner.

    Mais il semble à lire l’article que son auteur veut conserver le disque dur en plus du SSD. C’est là que ça se complique : deux partitions avec le même UUID, ça pose problème, surtout si c’est ce qu’on utilise pour monter le disque. En reformatant le disque dur juste après la copie sur SSD ou en changeant les UUID de ses partitions, ça doit éviter le souci.

    Bon, si on ne fait pas une copie brute de tout le disque, mais juste des partitions, il faut comme tu le dis plus loin démarrer sur clé USB et réinstaller GRUB, ce qui rend l’opération moins simple.
    Si GRUB « ne retrouve pas ses billes » avec le changement de disque, pour une raison ou pour une autre, on n’échappe pas non plus à sa réinstallation.

    Cela dit, la copie brute a des limites : il faut que le SSD soit assez grand, il faut aussi que le disque dur ait été partitionné relativement récemment (sinon l’alignement des partitions ne conviendra pas à un SSD).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Renversant !

    Posté par  . En réponse au journal Le symbole du copyleft. Évalué à 3.

    Ça m’a probablement moins choqué avec un C dans le sens habituel, pas tout seul et pas dans un cercle.

    Zenitram a certainement raison sur la rareté d’empattements dans ce symbole.
    Celui auquel je suis habitué (qu’il soit right ou left) est plutôt comme celui présenté par Wikipédia (copyright, copyleft) : deux cercles concentriques de même épaisseur avec celui du centre tronqué pour faire un C.

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  • [^] # Re: Renversant !

    Posté par  . En réponse au journal Le symbole du copyleft. Évalué à 4.

    Dans le fond, un C avec un seul empattement, c’est déjà curieux :
    – en haut, ça fait bizarre,
    – en bas, on risque de le prendre pour un G.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Renversant !

    Posté par  . En réponse au journal Le symbole du copyleft. Évalué à 5.

    Le Wiktionary anglais semble d’accord avec moi, décrivant ce symbole comme « A horizontally mirrored copyright symbol ».

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  • # Renversant !

    Posté par  . En réponse au journal Le symbole du copyleft. Évalué à 6. Dernière modification le 07 juin 2018 à 04:59.

    J’ai toujours pensé que le symbole du copyleft était un symbole du copyright en miroir. Celui de cette illustration est un symbole pivoté à 180°, dans une police avec empattement, ce qui lui donne selon moi un aspect curieux.

    C’est moi qui me trompe où l’auteur de l’illustration qui a la jambe gauche en face du bras droit et le bras gauche en face de la jambe droite ou qui se met sur les mains à chaque fois qu’il veut regarder vers la gauche plutôt que de juste tourner la tête ?

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  • [^] # MATE ?

    Posté par  . En réponse au journal Un million de dollars sur deux ans promis à la Fondation GNOME. Évalué à 3.

    j'ai essayé, très brièvement E17, lxde, xfce, KDE a plusieurs reprises et suis toujours revenu à Gnome2, depuis Gnome3 je me fait violence pour m'adapter mais là, je ne vois pas comment faire pour me passer des raccourcis sur le bureau pour avoir un accès rapide à mes dossiers et documents les plus souvent utilisés

    Tu aimais bien Gnome 2, alors pourquoi pas MATE ?
    C’est une reprise de Gnome 2 par des développeurs qui eux aussi l’appréciaient, et il y a probablement au moins autant de développeurs actifs que pour E17 ou Xfce.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone