Arthur Accroc a écrit 2055 commentaires

  • [^] # Nom…

    Posté par  . En réponse au journal Mise à jour parties pour Mageia 7. Évalué à 3. Dernière modification le 11 avril 2019 à 04:24.

    Sinon pour le nom c'est calqué sur Install partie et je donne le nom que je veux, voilà.

    Tu donnes le nom que tu veux, effectivement. Et je ne prétends pas en avoir de meilleur.

    En première lecture, cependant, je me suis demandé où les mises à jour étaient parties…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Une idée

    Posté par  . En réponse au message DVD Linux. Évalué à 3.

    Si tu connais quelqu’un qui a un graveur DVD, tu pourrais lui demander de copier la fameuse face A sur un DVD-R (après, il faut voir comment ton lecteur lit les DVD-R).

    Mais si tu as une connexion Internet correcte, tu peux aussi bien télécharger les distributions et les mettre sur une clé USB (avec Rufus, il me semble, pour avoir une clé bootable).

    Concernant le choix de la distribution, je pense que le plus important est de choisir un environnement graphique qui te convient.

    Après certains environnements graphiques conditionnement plus ou moins le choix de la distribution. Pour Gnome avec le dock d’Ubuntu, Ubuntu, pour Cinnamon, plutôt Linux Mint ; pour Gnome, c’est certainement Fedora qui te donnera la version la plus aboutie et pour KDE, openSUSE.

    D’autres environnements graphiques, comme Xfce, sont disponibles avec une qualité similaire sur la plupart des distributions, après l’installation ou mieux comme variante disponible en live (Xubuntu, ou le spin Fedora).

    Si l’environnement graphique que tu préfères te laisse une marge de choix, les critères suivants sont selon moi le temps de support, la fraîcheur des logiciels (les deux étant souvent contradictoires), la communauté (au cas où tu aurais besoin d’aide).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Problème matériel ?

    Posté par  . En réponse au message DVD Linux. Évalué à 2. Dernière modification le 05 avril 2019 à 10:10.

    Moralité le prob vient de mon lecteur, mais je comprend toujours pas pourquoi un coté fonctionne, pas l'autre.

    J’ai un lecteur Blu-Ray de salon qui fonctionne sans souci pour les Blu-Ray, mais n’est pas fichu de lire entre un tiers et la moitié de mes DVD (éventuellement, il commence à les lire et ça foire après)…

    C’est toujours les mêmes qui posent problème et toujours au même stade.
    Il faut croire que certains pressages de DVD sont moins faciles à lire pour un mauvais lecteur Blu-Ray.

    Le laser utilisé par un lecteur Blu-Ray (bleu) n’est pas le même que celui d’un lecteur DVD (rouge) ou CD (infrarouge), mais le lecteur est censé s’adapter.
    S’il n’arrive pas à le faire avec un ou deux, c’est peut-être leur pressage qui est mauvais. S’il n’est pas fichu de le faire avec quasiment la moitié comme le mien, c’est certainement lui qui l’est.

    Les DVD double face et double couche ne sont peut-être pas les plus faciles à réaliser pour un pressage de qualité. En tout cas, le fait que ça n’ait pas mieux fonctionné pour toi avec un autre exemplaire tendrait à démontrer que le processus de production est cohérent.

    Moralité, il aurait mieux valu que tu trouves une compilation de distributions sur Blu-Ray ou que tu aies un portable plus bas de gamme avec juste un lecteur DVD…

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  • [^] # Québécois

    Posté par  . En réponse au journal Nouvelles fonctionnalités radicales pour Telegram. Évalué à 3.

    Les Québécois remplacent-ils tous les mots d’une syllabe par des mots de quatre ?

    Ça doit drôlement rallonger les conversations… ☺

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  • [^] # Re: Je suis à l'ouest.

    Posté par  . En réponse à la dépêche L’ultime challenge LinuxFr.org. Évalué à 2.

    Ça et le changement d'heure, c'est trop d'un coup pour moi.

    Quoi ??? Le changement d’heure, ce n’était pas un poisson d’avril ?

    M… ! Alors c’est pour ça que mes collègues sont tous arrivés avant moi aujourd’hui…

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  • [^] # Re: Mais si. Mais pas l'« Open » qu'on croit.

    Posté par  . En réponse au lien Boot de (Open)VMS sur processeur x86 dans sa phase finale. Évalué à 2.

    Justement, ces normes en question sont promeus par… l'Open Group, une sorte d'association de boîtes plus ou moins grosses.

    Je l’avais oublié. Avec la disparition de beaucoup des Unix historiques, voire des boîtes qui les vendaient (Sun, Digital, Silicon Graphics…), j’aurais pensé qu’il n’existait plus.

    VMS, l’Open Group… le passé revient en force !

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  • [^] # Re: Numéro aléatoire ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Revue de presse de l’April pour la semaine 12 de l’année 2019. Évalué à 3.

    Dans mon esprit la liste était découpée en zones géographiques, par exemple par bureau de vote.

    Effectivement, comme ça, tricher serait beaucoup plus risqué. Encore qu’on peut toujours prétexter un bug. Après la fois en Belgique où à un endroit, il y avait eu beaucoup plus de votes que d’électeurs, ce serait crédible.

    Affecter les numéros avant le vote serait encore plus efficace pour limiter les risques. Il me semble que c’est ce qui est fait pour les élections professionnelles à distance. Mais je ne crois pas que ce soit avec affichage public des votes par numéro avec le décompte.
    Dans ce cas, ça n’exclut pas qu’on affiche quelque chose à l’électeur, mais que par ailleurs le compte présenté soit totalement bidon.

    Il faut une solution où chaque électeur a une clef privée.

    Le vote par isoloir et bulletin physique a le mérite de garantir à la fois à l’électeur que :
    – c’est bien son bulletin qui est mis dans l’urne ;
    – personne ne peut faire pression sur lui pour connaître son vote (bon, sauf si tout le monde à son bureau de vote a voté la même chose).

    Les deux sont importants, mais il me paraît très difficilement possible de les garantir à la fois avec un système de vote électronique.

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  • [^] # « Open » ?

    Posté par  . En réponse au lien Boot de (Open)VMS sur processeur x86 dans sa phase finale. Évalué à 4.

    Je me suis demandé en consultant le lien en quoi « OpenVMS » était plus « Open » que « VMS » tout court, vu que c’est manifestement toujours propriétaire et commercial.

    La page Wikipédia que tu référence l’explique : « Puis il est à nouveau rebaptisé, OpenVMS, en 1991, marquant ainsi l'adhésion à des normes industrielles comme POSIX ou Unix. »

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  • # Temps de support

    Posté par  . En réponse au lien Installation d’un poste de travail entreprise CentOS 7 KDE. Évalué à 2.

    Le temps de support de la RHEL et de la CentOS est un argument fort quand elles viennent de sortir.

    Quand on est presque cinq ans après, que le temps de support s’est rogné d’autant, et qu’il n’y a pas de nouvelle version, c’est moins percutant…

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  • [^] # Numéro aléatoire ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Revue de presse de l’April pour la semaine 12 de l’année 2019. Évalué à 3. Dernière modification le 29 mars 2019 à 07:29.

    Un moyen de garantir le non bricolage est que la liste des votes soit publiée (par exemple avec un numéro aléatoire par bulletin, dans un format informatique permettant à chacun de refaire le calcul), afin que chaque électeur puisse constater que son vote est bien le bon en comparant avec un ticket imprimé lors de son vote.

    Il suffit juste d’indiquer le même numéro « aléatoire » à plusieurs électeurs qui ont voté pour le « mauvais » candidat. Et ça te laisse la marge pour placer de faux votes pour le « bon ». Sur la taille de la population et avec une bonne répartition géographique, le risque que deux personnes qui se connaissent aient le même numéro peut être minimisé, et le principe n’est pas de communiquer son numéro aux autres, ce qui fait encore baisser le risque que des gens se rendent compte de la triche.

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  • [^] # Je suis inquiet pour toi !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Il y a six mois Linus décidait de changer, a‐t‐il réussi ?. Évalué à 2.

    c'est le genre d'émission ou il faudrait tester le QI des téléspectateurs AVANT et APRES chaque émission pour voir dans quel sens cela évolue …

    A chaque fois […]

    Là, du coup, je m’inquiètes pour toi. Arrête vite ! Avant que ton QI ne soit assez bas pour que tu apprécies ces émissions au premier degré. Là, tu auras dépassé le point de non retour.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: ata bus error

    Posté par  . En réponse au message pb disque dur sata. Évalué à 2.

    Je n’ai encore jamais vu le cas avec le contrôleur SATA, mais j’ai vu plusieurs fois l’affichage déconner complètement voire planter net, juste pour une régression dans le pilote du noyau ou de X.org.

    Ça pourrait quand même valoir le coup de tester avec un système live datant d’avant le moment où tu as commencé à avoir des problèmes, juste pour être sûr.

    Ça pourrait aussi valoir le coup de vérifier s’il n’y a pas une mise à jour du firmware concernant ta carte mère. Une carte mère qui déconne à cause d’un firmware bogué, ça s’est déjà vu.

    Une mauvaise soudure est possible aussi. Mais refaire les soudures sur une carte multicouche et pour des composants de surface sans rien détériorer n’est pas trivial.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # GSmartControl

    Posté par  . En réponse au message pb disque dur sata. Évalué à 4.

    Si c’est une machine fixe je commencerais par changer le câble SATA (voire de port SATA). Ce n’est pas peut-être pas la source la plus probable du problème, mais comme c’est le moins coûteux, ça vaut toujours le coup d’essayer (rien que débrancher et rebrancher le même câble m’a parfois résolu un souci de faux contact).

    Lire le résultat de smartmontool est dur, même pour un utilisateur habitué, vu que les seuils sont dépendants des constructeurs (en plus faire un check complet va énormément solliciter le disque).

    GSmartControl est bien : quand on laisse le pointeur souris sur un attribut, il affiche une description.

    S’il n’indique rien de suspect, ça peut valoir le coup d’essayer le disque sur un autre PC (pas en démarrant dessus, au cas où ce serait lié au système) ou un autre disque sur celui-ci, au cas où ce serait le contrôleur SATA du PC qui poserait problème. Néanmoins, si un tel test ne montre pas que c’est lié au PC, c’est bien que c’est lié au disque.

    En considérant que le disque a un souci, comme le conseille _kaos_, je copierais les données les plus importantes.

    Puis je ferais une copie brute des partitions par ordre d’importance de leur contenu avec GNU ddrescue sur un disque assez gros pour les accueillir (ça sollicite moins le disque qu’une lecture par fichiers), de préférence une première passe avec l’option -n et si elle ne peut pas tout lire une deuxième avec les options -d -r3 (voir les exemples de la documentation au format info).

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  • [^] # Re: Comment fonctionne "OOM Killer" et la gestion de la saturation du processeur et de la mémoire ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie du noyau Linux 5.0. Évalué à 5.

    Du côté de Chromium, autant en standard il est calamiteux en chargeant tous les onglets, autant il devient bien plus intéressant avec l’extension Lazy Tabs :
    – il ne charge plus tous les onglets immédiatement, mais seulement quand on les clique ;
    – quand on clique sur l’icône, cela décharge les autres onglets que le courant.

    Quand on a ouvert par exemple des services Google, comme Google Maps ou Youtube, décharger leurs onglets libère instantanément une grosse quantité de mémoire (ce qui n’est pas forcément le cas avec Firefox, soit qu’il tarde à faire passer son garbage collector, soit qu’il préfère conserver la mémoire dans la perspective de la réutiliser plus tard).

    Je ne dis pas cependant que Chromium consomme moins que Firefox à utilisation identique. Je ne peux même pas en avoir une utilisation identique : après un certain nombre d’onglets (atteint plus vite sur l’écran de mon portable du fait de sa faible définition), les onglets les plus à droite ne sont plus visibles…

    Et comme toi je fais le constat que ce problème est relativement récent. 1 ou 2 ans grand maximum, pourtant j'ai toujours eu des dizaines d'onglets ouverts. Donc soit le web est devenu ingérable à cause des des frameworks JS front, soit y'a un soucis dans Firefox, ou le noyau, ou les trois…

    Pour les navigateurs, la consommation mémoire est clairement liée aux sites. En termes de charge mémoire comme CPU, Google Maps, par exemple, est vraiment beaucoup plus lourd que les anciennes versions. Le mot qui m’est venu à l’esprit lors de son changement de version le plus marquant a été « sabotage ». Fermer ou décharger les onglets de ce genre de sites sous Chromium permet bien de se rendre compte de leur consommation mémoire.

    Pour le fait que quand on a atteint la limite de la mémoire physique, le système s’écroule d’un coup au lieu de juste se ralentir et qu’on ait encore suffisamment la main pour fermer sereinement des applications, j’aimerais bien avoir l’explication…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Localisation dans le sujet

    Posté par  . En réponse au message Emploi en CDI - Administrateur systèmes et réseaux Linux. Évalué à 2.

    J’ajouterais le conseil de mettre la localisation dans le sujet, comme ça on la voit aussitôt et encore quand le post est passé en négatif. Ça permettrait d’attirer les intéressés et d’éviter aux autres de perdre leur temps.

    Surtout que là, c’est la localisation qui fait l’attrait (en tout cas pour les autochtones) : des boulots d’informaticiens à Caen, il y en a beaucoup moins qu’à Paris.

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  • # Intel, fabricant de processeurs à trous

    Posté par  . En réponse au lien Vous avez aimé Meltdown et Spectre by Intel ! Vous allez adorer Spoiler by Intel !. Évalué à 3.

    Intel n’a plus vraiment l’air motivé à essayer de boucher les trous de ses processeurs ou au moins à indiquer une manière de les contourner.

    Si personne ne s’y met, quand ils seront massivement exploités, on pourra convertir tous ces ordinateurs bien chers en objets utiles : presse‐papiers, parpaings (selon leur taille)…

    Je n’ai rien contre les fromages à trous, mais pour les processeurs, je suis comme les Suisses, je les préfère sans trous.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Caen

    Posté par  . En réponse au message Emploi en CDI - Administrateur systèmes et réseaux Linux. Évalué à 3.

    Notez que c’est à Caen, une ville plutôt morte au niveau des « nouvelles technologies » (même celles qui ne sont plus vraiment nouvelles), donc avec une faible concurrence entre les employeurs vu qu’il n’y en a pas beaucoup.

    S’ils veulent trouver quelqu’un, ils ont intérêt à s’aligner au moins sur les salaires du public, mais je doute qu’ils s’alignent sur les salaires parisiens.

    À voir, mais Caen, ce n’est pas trop la ville où l’on cherche un boulot dans l’informatique si l’on n’y est pas déjà (à moins qu’on y ait sa famille).

    Cela dit, l’annonce peut justement intéresser des Caennais, vu qu’il n’y a pas des masses d’employeurs dans le domaine informatique dans le coin. Manque de bol, ils cherchent quelqu’un d’expérimenté, alors que c’est surtout les étudiants fraîchement diplômés qui cherchent du boulot. Les gens expérimentés, c’est bien qu’ils en ont déjà trouvé, ailleurs s’il le faut.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Pas de craintes

    Posté par  . En réponse au journal F5 achète NGINX. Évalué à 4.

    Au pire il y aura un fork au moment divergent.

    Ce n’est pas garanti à tous les coups. Encore faut-il des développeurs compétents motivés (voire payés) pour reprendre un projet.

    On attend toujours que quelqu’un reprenne Intermezzo. Bon, ça n’a pas été racheté, l’équipe de développeurs a simplement été embauchée (ou débauchée, selon comment on se place) pour développer autre chose.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # ADC ?

    Posté par  . En réponse au journal F5 achète NGINX. Évalué à 10.

    Pour ceux qui comme moi se demandent, dans le contexte, manifestement c’est ça (adjudant-chef, ça collait carrément moins bien et Apple Display Connector, pas trop bien non plus…).

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  • [^] # Re: CTRL+Z.

    Posté par  . En réponse au message Énorme connerie, sauvez moi !. Évalué à 3.

    Plus sérieusement, il n'y a pas des FS qui le permettent ?

    Btrfs. Système de fichier par défaut d’openSUSE.
    Et il fait un snapshot automatiquement lors d’une mise à jour du système, donc si on n’efface pas le dernier et qu’on fait des mises à jour assez souvent, on peut retourner à un état cohérent pas trop vieux en cas de grosse erreur.

    Sinon Red Hat, qui a abandonné Btrfs (les développeurs Btrfs sont chez SUSE… eux, ils ont plutôt les développeurs de XFS), se dirige vers un fonctionnement similaire en utilisant les snapshots de LVM. Je ne sais pas où ils en sont.

    Quelle que soit la distribution, on peut toujours faire des snapshots « à la main », pour peu qu’on utilise LVM ou Btrfs (enfin pas sur Red Hat, donc ; je ne sais pas pour Fedora)… et qu’on y pense.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Terminology

    Posté par  . En réponse au journal Je ferais tout de même mieux de dormir la nuit.. Évalué à 2.

    Si on veut un émulateur de terminal récent, léger,

    C’est relatif, quand je l’ai installé, ça a tiré plus de 180 Mo de paquets…

    splittable et configurable à souhaits, il y a Terminology .

    Deux bémols quand on scinde l’affichage :
    – il n’y a pas de séparateur, c’est gênant pour lire, on commence à lire sur le shell de gauche et on déborde sur celui de droite (s’il y a un moyen d’arranger ça, je ne l’ai pas trouvé rapidement) ;
    – le shell qui a le focus mériterait d’être mis plus clairement en valeur, comme par Kitty.

    Développement actif .

    Je confirme : la dernière fois que je l’avais essayé, si j’appelais le menu, le shell ne retrouvait jamais le focus. Avec la version actuelle, je n’ai plus ce problème.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Tromperie sur le nom ?

    Posté par  . En réponse au journal LinuxFr.org : seconde quinzaine de février 2019. Évalué à 2.

    J'ai juste accolé deux demi-photos (dont une avec les lunettes Trip Glasses de Mitch Altman, testées lors d'un CCC à Berlin).

    Du coup, au niveau de ton avatar, Benoît, tu n’es plus si beau… ☺

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  • [^] # Re: Sécurité

    Posté par  . En réponse au journal Lancer un programme sans accès au réseau, merci les espaces de noms réseaux. Évalué à 2.

    https://linuxfr.org/users/patrick_g/journaux/intrusion-sur-les-serveurs-fedorared-hat et https://linuxfr.org/users/isnotgood/journaux/enfin-les-d%C3%A9tails-sur-lintrusion-des-serveurs-fedora

    Ça date quand même d’une dizaine d’années.
    Ça ne concerne pas du code spécifique à ces distributions, mais la sécurité de leurs serveurs.

    Ça n’est pas si évident que ça de garantir en permanence la parfaite sécurité d’un serveur, entre les services et les failles constamment trouvées dessus et les utilisateurs ; je ne me permettrais pas de leur jeter la pierre.

    Je reste convaincu que d’un point de vue sécurité, mieux vaut quand même une distribution qui n’a pas pour habitude d’ajouter elle-même des failles à celles déjà existantes dans les logiciels qui la composent.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Sécurité

    Posté par  . En réponse au journal Lancer un programme sans accès au réseau, merci les espaces de noms réseaux. Évalué à 2.

    Il y a encore trop de logiciels demander de désactiver SELinux en première étape ou sans support (comme le code LinuxFr.org par exemple) pour que ça soit généralisable partout.

    Je sais. Je l’ai moi-même désactivé sur des CentOS ou Fedora…
    Il faudrait avoir le temps et la motivation de faire soi-même la configuration pour les logiciels non pris en charge.
    D’un autre côté, sur une machine cliente de base, il y a probablement moins de difficultés que sur un serveur avec des services maison. Et puis j’ai cru comprendre que la couverture s’est améliorée avec le temps. Au pire, si je me rappelle bien, il y a le mode targeted, qui n’est pas restrictif avec les logiciels non pris en charge.

    La responsabilité des grosses failles peut aussi être compliquée (pas trop dans les cas précités pour Debian) : faut-il attribuer les failles Systemd à Red Hat? Ou celles de sudo ou openssh à OpenBSD ?

    La question de la responsabilité est secondaire : à partir du moment où les principales distributions ont systemd, sudo et OpenSSH (remarque : j’ai une Arch Linux sans sudo…), aucune n’a d’avantage sur les autres à ce niveau.
    C’est sur les différences qu’il faut choisir. Une bibliothèque de remplacement plus robuste qu’OpenSSL, par exemple, peut être un critère.

    Au delà de Linux, il y a peut-être un avantage pour OpenBSD : pas de systemd, forcément le premier système à avoir les correctifs d’OpenSSH, le temps qu’ils consacrent à auditer leur code, mais à l’inverse un inconvénient par rapport aux distributions commerciales : ils ne sont pas prévenus à l’avance en cas de faille matérielle comme Spectre.

    De toute façon, quelle que soit la distribution, on a toujours intérêt à choisir les services qui sont plus sûrs de par leur architecture : Postfix plutôt qu’Exim ou Sendmail, Dovecot plutôt qu’un autre serveur IMAP, Unbound plutôt que Bind si on n’a besoin que d’un résolveur récursif… Si l’architecture des services accessibles à distance ne laisse quasiment aucune chance d’obtenir quoique ce soit, on peut être plus serein pour le reste. Bon, si on a besoin de services web, ce sera plus difficile…

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  • [^] # Re: Sécurité

    Posté par  . En réponse au journal Lancer un programme sans accès au réseau, merci les espaces de noms réseaux. Évalué à 2. Dernière modification le 09 mars 2019 à 18:40.

    Les chiffres le montrent, il vaut mieux utiliser les dérivées ça réduit les failles (ou pas).

    La différence entre Red Hat et CentOS montre bien qu’on ne peut pas se fier aux chiffres. Qui plus est, ceux-ci ne permettent pas de comparer l’importance des failles qu’ils concernent.

    Les distributions ont pas mal de failles qui viennent de l’amont (et même du matériel !). Après, elles ont un certain nombre de failles propres, généralement petites.
    Cela dit, te souviens-tu sur les autres distributions (que Debian et dérivées), dans les quelques années passées, d’aussi grosses failles spécifiques que celles que j’ai citées ?

    Ensuite chaque admin sys a toujours ses préférences sur la distribution de son cœur (souvent celle qu'il connaît depuis longtemps)

    Je n’aime pas trop Debian, mais pas plus ce qu’est devenu Fedora. Et mon choix actuel ne se porte sur aucune des deux. Mais il ne fait pas passer la sécurité devant les autres critères, alors que là, je n’envisage que cette question.

    Il a aussi tendance à dire « X est nul parce que » plutôt que « Y est bien parce que », ou « y a des trous dans X » (alors qu'il y en a aussi dans Y).

    SELinux déjà configuré ne te semble pas un argument ? Après, peut-être que d’autres distributions en fournissent déjà une configuration fonctionnelle, je ne sais pas. Si tu en sais plus que moi sur SELinux sous Debian, n’hésite pas à nous éclairer.
    Avec Fedora, Red Hat et CentOS, on en est sûr que SELinux est fonctionnel, parce qu’il est activé par défaut.

    Après, mon avis personnel, c’est qu’il aurait dû être possible de faire SELinux sans une syntaxe aussi absconse et une manipulation aussi lourde. De ce fait, je ne l’utilise pas. Si je voulais l’utiliser, je me poserais la question d’essayer de le faire fonctionner sur ma distribution, ou de repasser sur Fedora ou CentOS pour au moins partir d’une configuration de base parfaitement fonctionnelle, afin de m’ennuyer le moins possible à régler ce truc.

    Pour le reste, concernant Fedora et Red Hat, si elles s’accrochent encore à Sendmail 8, la première chose à faire est bien sûr de le remplacer par Postfix (curieusement, la dernière CentOS que j’ai essayée le choisissait par défaut, contrairement à la Fedora de l’époque).

    Une autre considération intéressante concernant la sécurité, c’est la rapidité de prise en charge des failles amont.

    La prise en charge de Spectre/Meltdown a été assez révélatrice à ce niveau. openSUSE (que je n’utilise pas non plus) s’est montrée particulièrement réactive à ce niveau, alors qu’Ubuntu a été plutôt à la traîne, étant quasiment la seule distribution majeure à ma connaissance à ne sortir un correctif qu’à la date de divulgation initialement prévue de ces failles. Red Hat a un peu fait bande à part, en étant prévenue plus vite, et en fournissant des correctifs d’Intel que ni les autres distributions ni le noyau officiel n’ont finalement retenus, semble-t-il pour des questions de performance.

    Ubuntu a aussi privilégié la stabilité sur la sécurité en revenant sur les correctifs de firmware au moment où l’on s’est aperçu que ceux d’Intel posaient des problèmes de stabilité sur certains de leurs processeurs, et en attendant d’avoir du recul avant de remettre leur version ultérieure. D’autres distributions ne sont pas revenues en arrière (Arch Linux), ou ont remis la version ultérieure des correctifs quasiment immédiatement sans attendre d’avoir du recul dessus. C’est un choix.

    Je n’ai pas fait le choix de la sécurité comme priorité absolue (d’ailleurs, j’utilise Xubuntu sur une de mes machines…), mais si je le faisais, je n’utiliserais ni Debian, ni une de ses dérivées.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone