Quand à l'autre méthode elle à l'air plus souple mais dans la démo, il n'y a ni porte ni fenêtres :(.
Difficile de faire autrement, alors que le petit robot compte sur la strate précédente pour se déplacer.
Mais ça pose un autre problème : comment ferait ce robot pour rouler sur le béton qu’il a déposé au tour précédent sans s’enfoncer, alors que son réservoir est rempli à chaque passage ?
Ça demanderait un séchage très rapide, mais sans que ça sèche dans le réservoir.
Et/ou de ne déposer que des couches très fines à chaque passage.
Et/ou de faire une pause avant le passage suivant.
Il paraît difficile dans ces conditions qu’un tel système puisse être rapide et pas trop coûteux en énergie.
Sinon, le béton, c’est plus solide quand il est armé...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
C’est que ta configuration doit être vraiment minimale.
En fait, j’ai ajouté aussi cups, ip*tables, laptop-mode, systemd-readahead...
J’ai aussi désactivé la prise en charge de rc.conf (et donc activé les services au niveau de systemd), ça a peut-être un impact sur le nombre (mais je ne sais pas dans quel sens).
Si tu veux, voilà le détail (pour les autres, désolé pour le bruit ; bon, je vais quand même me limiter aux « services »...) :
$ systemctl --type=service --full list-units
UNIT LOAD ACTIVE SUB JOB DESCRIPTION
acpid.service loaded active running ACPI event daemon
alsa.service loaded active exited Advanced Linux Sound Architecture
console-kit-daemon.service loaded active running Console Manager
console-kit-log-system-start.service loaded active exited Console System Startup Logging
cryptsetup@local.service loaded active exited Cryptography Setup for local
cups.service loaded active running CUPS Printing Service
dbus.service loaded active running D-Bus System Message Bus
getty@tty1.service loaded active running Getty on tty1
ip6tables.service loaded active exited IPv6 Packet Filtering Framework
iptables.service loaded active exited Packet Filtering Framework
laptop-mode.service loaded active exited Service to extend battery life.
lxdm.service loaded active running LXDE Display Manager
NetworkManager.service loaded active running Network Manager
ntpd.service loaded active running Network Time Service
privoxy.service loaded active running Proxy service to avoid commercials.
rc-local.service loaded active exited /etc/rc.local Compatibility
remount-rootfs.service loaded active exited Remount Root FS
rsyslog.service loaded active running System Logging Service
systemd-ask-password-wall.service loaded active running Forward Password Requests to Wall
systemd-logger.service loaded active running Stdio Syslog Bridge
systemd-logind.service loaded active running Login Service
systemd-modules-load.service loaded active exited Load Kernel Modules
systemd-readahead-collect.service loaded active exited Collect Read-Ahead Data
systemd-readahead-replay.service loaded active exited Replay Read-Ahead Data
systemd-remount-api-vfs.service loaded active exited Remount API VFS
systemd-sysctl.service loaded active exited Apply Kernel Variables
systemd-tmpfiles-setup.service loaded active exited Recreate Volatile Files and Directories
systemd-user-sessions.service loaded active exited Permit User Sessions
systemd-vconsole-setup.service loaded active exited Setup Virtual Console
tor.service loaded active running Anonymizing Overlay Network
udev-trigger.service loaded active exited udev Coldplug all Devices
udev.service loaded active running udev Kernel Device Manager
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
systemctl me liste 85 « services » je ne sais pas si c'est beaucoup ou pas.
systemctl liste plus ou moins de trucs suivant les options, alors pour qu’on puisse comparer, il faudrait que tu précises ce que tu appelles « service » ou plus simplement que tu indiques la commande exacte que tu as lancée.
« systemctl list-units » liste toutes les « unités » actives et m’en trouve 106.
« systemctl --type=service list-units » ne liste que les « services » actifs et m’en trouve 33.
C’est sous Arch Linux sur mon portable perso, donc pas d’authentification centralisée ni de répertoire distant, pas de serveur mail local non plus, mais X.org avec un gestionnaire de connexion et un ou deux trucs moins courants comme un système de fichiers chiffré et privoxy.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Ouais, mais je ne trouve pas ça plus pratique.
Je ne comprends pas qu’Apple ait été considéré comme une référence ergonomique à l’époque de la souris monobouton pour neuneu et des combinaisons clavier-souris pour ceux qui voulaient vraiment faire quelque chose.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Pour moi, c’est un moins.
Je m’explique : pouvoir redimensionner les fenêtres depuis chaque angle et chaque bord a été une nette amélioration de l’ergonomie (je le sais parce qu’il y a longtemps, j’ai utilisé un Amiga, avec juste une poignée de redimensionnement en bas à droite des fenêtres).
Devoir attraper des bords d’un seul pixel ou des poignées situées uniquement en bas est clairement une régression.
Bon, il est possible d’arranger un thème pour avoir des bords de quatre pixels. Question aspect, ce n’est pas terrible (une seule couleur uniforme), mais surtout quand on maximise la fenêtre, il restent (alors que les autres gestionnaires de fenêtres les escamotent). Du coup, sur un netbook ou un vieux portable, on a vraiment l’impression de perdre de la place pour rien.
Après, il y a la solution d’utiliser LXDE avec un autre gestionnaire de fenêtres. Eh bien quand on veut un gestionnaire de fenêtres qui ne fasse que ça, mais en s’interfaçant bien avec l’environnement (mwm foire complètement là-dessus), ce n’est malheureusement pas si évident :
– avec IceWM, pas moyen de retirer sa « barre des tâches » (pas d’option au lancement ; il y a bien une option à la compilation, mais elle génère pas mal d’erreurs et il est impossible de compiler en l’état) ; c’est utilisable quand même parce qu’elle arrive en dessous de celle de LXDE, mais du coup, pour la légèreté...
– Metacity ferait bien l’affaire, mais il est très difficile de le paramétrer sans installer Gnome (gconftool-2 avec des options obscures ou le fichier XML ; bon, il faudrait que je regarde sur une machine avec Gnome 2 quel est le programme qu’il lance pour configurer le gestionnaire de fenêtre).
Sinon, il y a quelques trucs qui fonctionnent moins bien sur LXDE que sur les environnements plus lourds : le sélecteur d’espace de travail qui rate des fenêtres, pas de prise en charge des touches de luminosité des portables...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Sinon, bloqué « après fsck », sur un système de démarrage asynchrone, ça ne nous dis pas grand chose...
Soit tu as une unité qui bloque, mais il faut savoir laquelle (systemd émet un message au démarrage de chaque unité), soit tu n’as pas configuré les cibles correctement et systemd ne sait pas quoi faire après fsck.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Qu'est ce qui se passe si le fsck est encore en cours et que l'utilisateur tente d'ouvrir une session ?
Est ce que ça reste gelé le temps que le fsck se finisse ?
Certainement.
À mon avis, c’est juste une mauvaise idée de monter /home en automatique (à moins qu’il ne soit sur un serveur distant).
Mais systemd n’empêche pas d’utiliser fstab comme avant pour qu’il soit monté en dur avant le gestionnaire de connexion.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Ils sont excellents : ils laissent un champ de 300 caractères pour expliquer le motif de la contestation et refusent ensuite de la prendre en compte parce que « les informations [qu’on leur a] fournies sont insuffisantes ».
C’est du grand art : cette manœuvre peut être utilisée presque à tous les coups ! Ça simplifie vachement le traitement des contestations.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Je serais tout à fait prêt à payer 0,15 ou 0,20€ du giga pour avoir des disques fiables dans mes desktops.
Tu as vraiment beaucoup de soucis au niveau des desktops ?
En ce qui nous concerne et pour les desktops, nous avons finalement assez peu de pertes, peut-être 2 % par an, sur des machines qu’on fait durer souvent 7 ans, dont une partie dans des salles surchauffées. Et une bonne partie des disques ne sont pas des Western mais la marque fournie par défaut par le constructeur.
Donc je n’ai pas l’impression que leur utilisation est très stressante pour eux.
je suppose [...] que ce sont surtout des disques qui sont optimisés pour les accès concurrents et la vitesse de traitement
Sur un serveur, un disque avec un contrôleur optimisant les accès concurrents pourrait subir sensiblement moins de stress mécanique et ainsi avoir une meilleure longévité.
Mais une fois de plus je suis justement en train de tester çà.
Quand tu seras arrivé à une conclusion, je serai curieux de la connaître...
Jusqu'en 2007/2008 ce type de modèles existait (disque dur de bonne capacité pour le desktop avec un cout correspondant au cout interne de changement de disque), mais c'est devenu introuvable.
Tu penses à quelle(s) marque(s) et quels modèles, pour situer (avec un peu de chance, ça me dira quelque chose) ?
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
En gros ce que tu dis, si j'ai bien tout suivi, c'est que :
si tu prend les disques dans la gamme correspondant à l'usage souhaité tu n'as pas de problème
Oui... avec les Western. Ça devrait être évident, mais en fait, c’est déjà pas mal, parce qu’avec les autres, ce n’est pas toujours le cas.
Par exemple, nous avons eu six Seagate Barracuda en RAID 5 (deux séries de trois) sur un serveur ; en quelques années, on a dû en remplacer trois ou quatre. Le serveur suivant a eu des IBM de gamme similaire, il y en a qui faisaient un bruit bizarre, mais ils ont tenu jusqu’à la mort du serveur. Le serveur actuel doit contenir des Western, jusque là pas de soucis.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Si quelqu'un reprend derrière toi, il risque de pas comprendre
Si quelqu’un reprend derrière moi, il trouvera ce paquet dans le dépôt local avec les quelques paquets complètement spécifiques (c’est un dépôt séparé des copies locales des dépôts officiel), à maintenir aussi.
et il va être énervé et s'il est plus costaud que toi, il risque de te démonter la tête à grand coups de latte).
Si quelqu’un reprend derrière moi, soit je serai là sur une autre tâche et je l’aiderai à se repérer... soit je serai loin ! ;-)
Bon, en fait, j’ai déjà un collègue au courant de l’organisation générale du truc.
En plus je trouve ça pas propre.
Oui, mais tu es un debianiste, c’est ta tendance naturelle à pinailler. ;-)
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
On évite les "green" comme la peste. On en a acheté 10 au total, les 6 1To sont tous morts, les 4 500Go ont eu deux morts. Un des disques de remplacement est arrivé avec 25 secteurs remapés en LBA - on a pas poursuivi l'expérience plus loin.
La qualité est à la hauteur du prix.
Il leur reste l’intérêt du faible dégagement thermique.
C’est probablement ce qu’ils mettent dans leurs disques externes ; je ne suis pas sûr qu’un Blue serait plus fiable dans un boîtier en plastique non ventilé...
La gamme blue est très variable d'une série à l'autre. Généralement c'est correct en usage bureautique (mais bon en NAS ou en SAN je prendrais autre chose).
D’un autre côté, à partir du moment où ils font la gamme RE pour les petits serveurs, c’est qu’ils admettent que la gamme desktop n’est pas assez robuste pour supporter ce genre d’usage.
J’aurais peut-être dû préciser mon propos précédent : nous n’avons pas de soucis avec les Western Digital, mais en prenant des modèles conseillés pour l’utilisation que nous en aurons.
Ce n’est pas plus rose avec une autre marque : il y a quelques années, j’ai mis des Seagate de gamme desktop dans un petit serveur Squid (assez petit pour que ça suffise en perf) ; résultat : régulier, 1 an 1/2 par disque (garanti 5 ans) et la mécanique est partie en miettes (ça faisait un peu un bruit de maracas quand on secouait)...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Ça c'est déjà une moins bonne idée et ça n'apporte rien sinon des soucis.
De quel genre, à part une éventuelle dépendance d’un autre paquet à la toute dernière version ?
Ce que ça apporte par rapport à une exclusion du paquet (il n’y a pas que sous Debian que c’est possible), c’est qu’en cas de mise à jour du paquet d’origine, je refais le mien, je le mets dans le dépôt local et les machines le prennent à leur mise à jour suivante. Pas besoin de commande spécifique, simple (KISS, quoi).
Après, je maintiens aussi une liste d’exclusion centralisée pour des paquets qui causeraient problème (quelquefois un paquet du dépôt contrib cause un conflit avec un autre, alors que son ancienne version passait).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
J’ai lu quelque part que le disque est en verre, recouvert d’une couche métallisée pour l’enregistrement des données. C’est ce qui lui donne l’aspect métallique.
D’où un risque de bris en cas de chute brutale ! (Et là, pour récupérer les données...)
Après, si tu veux vérifier, le seul moyen, c’est d’en démonter un et de casser le disque (fait gaffe à ne pas recevoir d’éclat de verre dans les yeux)...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
2. tu ne changes pas de département, pas besoin de refaire la carte grise.
Tu dois faire modifier l’adresse qui y figure, voir ici :
« Si vous changez de domicile (même provisoirement), vous devez faire modifier l'adresse sur le certificat d'immatriculation (ex-carte grise) dans le délai d' 1 mois.
Si vous n'effectuez pas cette démarche, vous encourez une contravention de 4ème classe. Par ailleurs, vous ne pourrez pas vendre votre véhicule si des amendes sont en attente de paiement et que le changement d'adresse n'a pas été réalisé. »
Note : c’est quand même grandiose Markdown : si je mets « > 2. », il considère que ce n’est pas une citation à conserver telle quelle (bah non !), mais une liste numérotée. Alors il la renumérote à 1 tellement il est intelligent ! J’ai dû mettre « > 2. » (ajouter une espace insécable avant le nombre fonctionne aussi, cependant ça rajoute une espace).
Et paf, un jour tu reçois un PV, à ta nouvelle adresse [...] initialement de 50 euros, mais qui est monté tout seul à la somme de 300 euros, dû au """retard""".
Ben... tu aurais fait mettre à jour ton adresse comme tu es sensé le faire...
tu ne t'inscris pas sur les listes de ta nouvelle ville. Paf tu ne peux pas voter. Par contre tu peux toujours voter à la ville que tu as quitté il y a dix ans. Et pas que pour des élections nationales, non, mais aussi pour des...municipales.
En même temps, le déplacement forcé est un moyen de t’inciter à t’inscrire sur les listes de ta nouvelle ville.
En France déclarer son changement d'adresse aux services fiscaux ne suffit pas. Il faut le déclarer partout, chez tout le monde. Fantastique administration française.
Effectivement, ce n’est pas pratique. J’ai même eu le cas où pour deux impôts (l’un national et l’autre local ne dépendant pas du même centre) ils m’envoyaient les courriers à deux adresses différentes.
Mais globalement, l’administration française fait ce que nos dirigeants lui demandent. Aucun ne lui a encore demandé de mettre en place un système de changement d’adresse centralisé.
Après, s’il était incontournable de passer par un tel service, ne risque-t-on pas de considérer que la transmission de la nouvelle adresse à certains services serait une atteinte à la vie privée ? Il faut faire attention à ce qu’on souhaite (on pourrait l’obtenir)...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
A noter vue le rythme auquel la qualité des disques durs classiques se dégrade
Ah ?
De ce que j’ai constaté, la qualité des Seagate (en tout cas les versions desktop) a énormément baissé, notamment depuis le rachat par Maxtor.
Pour le reste, on essaie de prendre principalement des Western Digital (en tout cas plus de Seagate) et on a presque aucun soucis avec (après, on n’a pas cinq ans de recul sur les exemplaires achetés l’année dernière...).
Pour le reste, il y a quelques années, les Maxtor étaient déjà médiocres, les IBM/Hitachi bizarres (il y en a qui font des bruits inquiétants, mais qui continuent de fonctionner), les Fujitsu moyens et les Samsung je pense médiocres (mais on en a eu trop peu pour que je puisse avoir un avis tranché dessus).
Donc, je ne dis pas que la situation soit géniale, mais as-tu vraiment constaté une dégradation, hormis concernant les Seagate ?
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Tu utilises les outils Debian pour obtenir le paquet source, tu modifies le paquet source (patch, modification des options de compilation), tu ajoutes ton numéro de version (genre +0.local.1 au numéro actuel) et tu utilises les outils Debian pour reconstruire le paquet et l'installer proprement.
Enfin une solution humaine ! C’est ce que je fais avec d’autres distributions quand j’ai besoin de modifier un paquet (sauf que je me contente de lftp pour charger le paquet source).
En fait, quand j’ai testé la Debian, j’ai voulu tenter de faire les choses façon Debian et j’ai donc demandé conseil au debianiste du coin. C’était sûrement là l’erreur.
Par contre si tu ton paquet est 1.2-0+0.local.1 et que Debian fourni 1.3-0, aptitude va vouloir le mettre à jour
Pour éviter ce risque, je trafique le numéro de version en y ajoutant un nombre assez important et rond ; ça ferait par exemple 1.1002-0. Comme ça, pas de mise à jour intempestive, mais on voit quand même que ça a été trafiqué et on peut deviner la version d’origine.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Merci, j’avais loupé cette option (je n’en ai jamais eu besoin sur une autre distribution et je n’y ai tout simplement pas pensé). Ça pourra me servir (au moins quand j’interviens sur des Ubuntu).
Après, j’ai déjà été confronté à un cas où ça n’aurait pas résolu pas le problème : un dépôt tiers dont les commandes apt* avaient estimé que le fichier descriptif était défectueux. C’était sûrement vrai, mais du coup, au revoir apt*, retour au téléchargement à la main en essayant de deviner quelle version pouvait bien correspondre à la distribution...
Je reste donc convaincu que séparer les paquets par version de la distribution est un bon principe (simple, pratique).
Pour les dépendances strictes plutôt qu’à une version minimale, ça ne résoud pas non plus. Il faut modifier et recompiler le paquet source.
Non, pacman fait aussi le boulot d’apt-get voire d’autres commandes (voir ici).
C'est un choix.
Un choix qui a des avantages : à ce que j’ai vu, aussi bien dans le monde Debian que dans le monde rpm, les commandes de haut niveau court-circuitent la commande de base (dpkg ou rpm) pour plus d’efficacité et éventuellement maintiennent une base supplémentaire.
Du coup, utiliser une commande de haut niveau ou de base n’assure pas d’un résultat parfaitement identique. Avec une seule commande, aucun soucis.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
En passant par dpkg, tu peux télécharger un .deb et l'installer en ignorant les dépendances. Il suffit de lire la man page de dpkg.
Je sais lire les man et j’ai déjà utilisé dpkg.
Le problème est dans « télécharger ». Quand il faut trouver un paquet dans le foutoir d’un dépôt Debian, c’est un peu plus compliqué que sur une autre distribution. Quand il y a aussi un certain nombre de dépendances qu’il faut trouver dans la bonne version, c’est juste la merde (à moins qu’ils ne se soient enfin décidés à ranger les paquets par version de la distribution ; si c’est le cas, je serai content de l’apprendre).
dpkg = pacman
Non, pacman fait aussi le boulot d’apt-get voire d’autres commandes (voir ici).
Après, avec aptitude ou apt, tu peux faire des mélanges, mais ça demande un peu plus de connaissances que trois options sur une ligne de commande.
Je sais bien, c’est pour ça que ça m’a pris pas mal de temps pour mettre ça à peu près au point. Tout ça pour me faire avoir par les dépendances strictes sur les paquets...
Après pour l'histoire de Xlib je suppose que ce n'était pas sur un serveur en production.
Non, mais après tout ça n’aurait pas été un gros soucis : les outils d’administration graphiques peuvent éventuellement être impactés par un tel changement, mais pas les services.
Au delà, en maintenant un serveur dont la distribution n’avait plus de mises à jour, j’avais fini avec un noyau vanilla beaucoup plus récent compilé à la main, des paquets binaires des deux versions suivantes (dont la glibc) et des paquets de celle d’après recompilés. Finalement, le système était plus stable qu’au départ (pas très dur : le noyau d’origine était un des premiers 2.4, avec une version de NFS franchement boguée) et même plus stable que la distribution que j’ai installée après (jusqu’à ce que j’aie aussi repéré et pris en compte les bugs des logiciels qui la composent).
Debian, et c'est ce que j'aime, ne se met pas en travers du chemin si tu essaies de faire des subtilités non prévues et fournis même des outils pour aider (si tu veux les utiliser), par exemple si tu veux compiler ton propre paquet qui va remplacer un paquet nécessaire à Debian, tu peux utiliser equivs pour ça.
Debian fait des trucs complexes et éventuellement d’autres trucs complexes (qu’il faut trouver) pour permettre de contourner les premiers si on a des besoins particuliers. Ce n’est pas ce que j’appelle ne pas se mettre en travers du chemin.
La distribution qui ne se met vraiment pas en travers du chemin, c’est Slackware : elle fait juste le minimum et après, tu te démerdes « à la main », comme sur n’importe quel Unix.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Si tu n'aimes pas avoir le choix, il y'a Mac App Store de Apple.
J’aime avoir le choix. Par exemple, le choix d’un paquet Apache compilé avec toutes les options, le choix de pouvoir essayer un paquet plus récent...
Là, ce n’est pas le choix des commandes, c’est le choix des effets de bord (encore faut-il en être conscient !). C’est de la complexité, pas un choix utile.
Pour la gestion des paquets, j’aime mieux avoir une seule commande ou un ensemble de commandes cohérent pour les opérations de base (genre pacman) ; il est toujours temps de proposer un choix sur les frontends.
Et oui, à un moment des choix sont fais et c'est ainsi partout.
Oui, mais pas aux bons endroits : dommage que ce ne soit pas sur la gestion des paquets...
Après tu as plusieurs méthodes pour arriver au résultat voulu, prendre une autre distribution est un choix, compiler Apache pour ton besoin est un autre.
Encore un mauvais conseil d’un debianiste : faire le choix de compiler, ce n’est pas anodin, ça implique de recompiler à chaque mise à jour de sécurité.
Ça m’est arrivé pour des besoins très spécifiques, mais dans les cas courants, c’est à éviter. Ou alors, il faut prendre une Gentoo (on compile, mais les mises-à-jour sont gérées).
Tu prends la stable et tu sais que tu n'as pas de changement en terme de comportement durant toute la durée de vie.
Même les bugs très gênants restent (parce qu’autrement, ce serait dommage) : par exemple, une version d’IceWM avec un bug très gênant sur le placement des fenêtres (la seule à l’avoir parmi des tas de versions plus anciennes ou plus récentes que j’ai utilisées) est bien restée.
Si tu veux faire du mélange, tu peux, mais c'est de l'utilisation avancée et tu dois t'attendre à prendre des risques et casser ton système.
Il y en a qui le conseillent (vu le résultat, c’est idiot).
Il y a des tutoriaux pour ça (pareil).
Pour le truc que j’ai essayé, ça ne casserait pas le système, et au pire, j’aurais pris le risque.
Mais les empaqueteurs empêchent de le faire ; c’est la seule distribution (au moins dans celles que j’ai utilisées et sans compter les dérivées de Debian) où les paquets contiennent des dépendances strictes là où des versions minimales conviendraient.
Sur les autres distributions, on peut au moins essayer ; là encore, pas le choix justement.
Enfin au moins, c’est bien assorti avec Gnome...
Mélanger deux, revient à mélanger Gentoo et Redhat, par exemple.
Mauvaise foi, l’architecture de la distribution reste la même. Ça reviendrait à mélanger une CentOS 5 avec une 6 (je prends l’exemple d’une distribution qui ne sort pas plus fréquemment). Et si un debianiste me demandait conseil à ce propos, je lui conseillerais d’éviter si possible et en tout cas d’essayer de recompiler les paquets pour limiter les dépendances (sauf peut-être au crétin qui m’avait donné le mauvais conseil pour la Debian).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Vidéos
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal blender et impression 3D. Évalué à 2.
Difficile de faire autrement, alors que le petit robot compte sur la strate précédente pour se déplacer.
Mais ça pose un autre problème : comment ferait ce robot pour rouler sur le béton qu’il a déposé au tour précédent sans s’enfoncer, alors que son réservoir est rempli à chaque passage ?
Ça demanderait un séchage très rapide, mais sans que ça sèche dans le réservoir.
Et/ou de ne déposer que des couches très fines à chaque passage.
Et/ou de faire une pause avant le passage suivant.
Il paraît difficile dans ces conditions qu’un tel système puisse être rapide et pas trop coûteux en énergie.
Sinon, le béton, c’est plus solide quand il est armé...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Orthographe
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Cinéma : Super 8. Évalué à 2.
Et aussi « vraiment plus axé grand public que Cloverfield », du verbe axer.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Combien ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Évolutions techniques de systemd. Évalué à 1.
C’est que ta configuration doit être vraiment minimale.
En fait, j’ai ajouté aussi cups, ip*tables, laptop-mode, systemd-readahead...
J’ai aussi désactivé la prise en charge de rc.conf (et donc activé les services au niveau de systemd), ça a peut-être un impact sur le nombre (mais je ne sais pas dans quel sens).
Si tu veux, voilà le détail (pour les autres, désolé pour le bruit ; bon, je vais quand même me limiter aux « services »...) :
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Combien ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Évolutions techniques de systemd. Évalué à 2.
systemctl liste plus ou moins de trucs suivant les options, alors pour qu’on puisse comparer, il faudrait que tu précises ce que tu appelles « service » ou plus simplement que tu indiques la commande exacte que tu as lancée.
« systemctl list-units » liste toutes les « unités » actives et m’en trouve 106.
« systemctl --type=service list-units » ne liste que les « services » actifs et m’en trouve 33.
C’est sous Arch Linux sur mon portable perso, donc pas d’authentification centralisée ni de répertoire distant, pas de serveur mail local non plus, mais X.org avec un gestionnaire de connexion et un ou deux trucs moins courants comme un système de fichiers chiffré et privoxy.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: En allemand
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Sondage Libre Office. Évalué à 2.
Je confirme, c’est de l’allemand.
Mon niveau d’allemand est trop pourri pour que je comprenne grand chose, mais largement suffisant pour que je sois sûr que c’en est.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Login et multi-siège
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Évolutions techniques de systemd. Évalué à 10.
Finalement, ça m’ennuierait moins que la dépendance de Gnome à pulseaudio (du même auteur, pour ceux qui ne suivent pas).
Enfin grâce à Gnome 3, le pire pour moi maintenant, ce serait que quelque chose dont j’ai besoin dépende de Gnome...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: LXDE
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Linus quitte GNOME3. Évalué à 4.
Ouais, mais je ne trouve pas ça plus pratique.
Je ne comprends pas qu’Apple ait été considéré comme une référence ergonomique à l’époque de la souris monobouton pour neuneu et des combinaisons clavier-souris pour ceux qui voulaient vraiment faire quelque chose.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: LXDE
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Linus quitte GNOME3. Évalué à 4.
Pour moi, c’est un moins.
Je m’explique : pouvoir redimensionner les fenêtres depuis chaque angle et chaque bord a été une nette amélioration de l’ergonomie (je le sais parce qu’il y a longtemps, j’ai utilisé un Amiga, avec juste une poignée de redimensionnement en bas à droite des fenêtres).
Devoir attraper des bords d’un seul pixel ou des poignées situées uniquement en bas est clairement une régression.
Bon, il est possible d’arranger un thème pour avoir des bords de quatre pixels. Question aspect, ce n’est pas terrible (une seule couleur uniforme), mais surtout quand on maximise la fenêtre, il restent (alors que les autres gestionnaires de fenêtres les escamotent). Du coup, sur un netbook ou un vieux portable, on a vraiment l’impression de perdre de la place pour rien.
Après, il y a la solution d’utiliser LXDE avec un autre gestionnaire de fenêtres. Eh bien quand on veut un gestionnaire de fenêtres qui ne fasse que ça, mais en s’interfaçant bien avec l’environnement (mwm foire complètement là-dessus), ce n’est malheureusement pas si évident :
– avec IceWM, pas moyen de retirer sa « barre des tâches » (pas d’option au lancement ; il y a bien une option à la compilation, mais elle génère pas mal d’erreurs et il est impossible de compiler en l’état) ; c’est utilisable quand même parce qu’elle arrive en dessous de celle de LXDE, mais du coup, pour la légèreté...
– Metacity ferait bien l’affaire, mais il est très difficile de le paramétrer sans installer Gnome (gconftool-2 avec des options obscures ou le fichier XML ; bon, il faudrait que je regarde sur une machine avec Gnome 2 quel est le programme qu’il lance pour configurer le gestionnaire de fenêtre).
Sinon, il y a quelques trucs qui fonctionnent moins bien sur LXDE que sur les environnements plus lourds : le sélecteur d’espace de travail qui rate des fenêtres, pas de prise en charge des touches de luminosité des portables...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Chez moi, si.
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Évolutions techniques de systemd. Évalué à 2.
Il faut indiquer à systemd qu’il doit lancer ton gestionnaire de connexion au démarrage.
Par exemple : systemctl enable gdm.service
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Chez moi, si.
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Évolutions techniques de systemd. Évalué à 2.
Ça marche très bien pour moi (et pour au moins une autre personne d’après son commentaire à l’interview de Lennart Poettering).
As-tu suivi les indications qui sont ici ?
Sinon, bloqué « après fsck », sur un système de démarrage asynchrone, ça ne nous dis pas grand chose...
Soit tu as une unité qui bloque, mais il faut savoir laquelle (systemd émet un message au démarrage de chaque unité), soit tu n’as pas configuré les cibles correctement et systemd ne sait pas quoi faire après fsck.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Diverses remarques
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Évolutions techniques de systemd. Évalué à 0.
Certainement.
À mon avis, c’est juste une mauvaise idée de monter /home en automatique (à moins qu’il ne soit sur un serveur distant).
Mais systemd n’empêche pas d’utiliser fstab comme avant pour qu’il soit monté en dur avant le gestionnaire de connexion.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: publi-reportage
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal SFR, nouveaux forfaits "données seulement". Évalué à 3.
Ils sont excellents : ils laissent un champ de 300 caractères pour expliquer le motif de la contestation et refusent ensuite de la prendre en compte parce que « les informations [qu’on leur a] fournies sont insuffisantes ».
C’est du grand art : cette manœuvre peut être utilisée presque à tous les coups ! Ça simplifie vachement le traitement des contestations.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Qualité des disques durs
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Les SSD. Évalué à 2.
Tu as vraiment beaucoup de soucis au niveau des desktops ?
En ce qui nous concerne et pour les desktops, nous avons finalement assez peu de pertes, peut-être 2 % par an, sur des machines qu’on fait durer souvent 7 ans, dont une partie dans des salles surchauffées. Et une bonne partie des disques ne sont pas des Western mais la marque fournie par défaut par le constructeur.
Donc je n’ai pas l’impression que leur utilisation est très stressante pour eux.
Sur un serveur, un disque avec un contrôleur optimisant les accès concurrents pourrait subir sensiblement moins de stress mécanique et ainsi avoir une meilleure longévité.
Quand tu seras arrivé à une conclusion, je serai curieux de la connaître...
Tu penses à quelle(s) marque(s) et quels modèles, pour situer (avec un peu de chance, ça me dira quelque chose) ?
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Qualité des disques durs
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Les SSD. Évalué à 2.
Oui... avec les Western. Ça devrait être évident, mais en fait, c’est déjà pas mal, parce qu’avec les autres, ce n’est pas toujours le cas.
Par exemple, nous avons eu six Seagate Barracuda en RAID 5 (deux séries de trois) sur un serveur ; en quelques années, on a dû en remplacer trois ou quatre. Le serveur suivant a eu des IBM de gamme similaire, il y en a qui faisaient un bruit bizarre, mais ils ont tenu jusqu’à la mort du serveur. Le serveur actuel doit contenir des Western, jusque là pas de soucis.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Debian vs KISS
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal La première distribution majeure !. Évalué à 2.
Si quelqu’un reprend derrière moi, il trouvera ce paquet dans le dépôt local avec les quelques paquets complètement spécifiques (c’est un dépôt séparé des copies locales des dépôts officiel), à maintenir aussi.
Si quelqu’un reprend derrière moi, soit je serai là sur une autre tâche et je l’aiderai à se repérer... soit je serai loin ! ;-)
Bon, en fait, j’ai déjà un collègue au courant de l’organisation générale du truc.
Oui, mais tu es un debianiste, c’est ta tendance naturelle à pinailler. ;-)
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Qualité des disques durs
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Les SSD. Évalué à 1.
La qualité est à la hauteur du prix.
Il leur reste l’intérêt du faible dégagement thermique.
C’est probablement ce qu’ils mettent dans leurs disques externes ; je ne suis pas sûr qu’un Blue serait plus fiable dans un boîtier en plastique non ventilé...
D’un autre côté, à partir du moment où ils font la gamme RE pour les petits serveurs, c’est qu’ils admettent que la gamme desktop n’est pas assez robuste pour supporter ce genre d’usage.
J’aurais peut-être dû préciser mon propos précédent : nous n’avons pas de soucis avec les Western Digital, mais en prenant des modèles conseillés pour l’utilisation que nous en aurons.
Ce n’est pas plus rose avec une autre marque : il y a quelques années, j’ai mis des Seagate de gamme desktop dans un petit serveur Squid (assez petit pour que ça suffise en perf) ; résultat : régulier, 1 an 1/2 par disque (garanti 5 ans) et la mécanique est partie en miettes (ça faisait un peu un bruit de maracas quand on secouait)...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Verre
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Les SSD. Évalué à 1.
Et tu sais quelle marque fait quoi ?
Parce que du coup, pour un disque externe ou un portable, j’aurais une nette préférence pour le métal...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Debian vs KISS
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal La première distribution majeure !. Évalué à 1.
De quel genre, à part une éventuelle dépendance d’un autre paquet à la toute dernière version ?
Ce que ça apporte par rapport à une exclusion du paquet (il n’y a pas que sous Debian que c’est possible), c’est qu’en cas de mise à jour du paquet d’origine, je refais le mien, je le mets dans le dépôt local et les machines le prennent à leur mise à jour suivante. Pas besoin de commande spécifique, simple (KISS, quoi).
Après, je maintiens aussi une liste d’exclusion centralisée pour des paquets qui causeraient problème (quelquefois un paquet du dépôt contrib cause un conflit avec un autre, alors que son ancienne version passait).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Verre
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Les SSD. Évalué à 2.
J’ai lu quelque part que le disque est en verre, recouvert d’une couche métallisée pour l’enregistrement des données. C’est ce qui lui donne l’aspect métallique.
D’où un risque de bris en cas de chute brutale ! (Et là, pour récupérer les données...)
Après, si tu veux vérifier, le seul moyen, c’est d’en démonter un et de casser le disque (fait gaffe à ne pas recevoir d’éclat de verre dans les yeux)...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Changement d’adresse
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Du vote par correspondance. Évalué à 2.
Tu dois faire modifier l’adresse qui y figure, voir ici :
« Si vous changez de domicile (même provisoirement), vous devez faire modifier l'adresse sur le certificat d'immatriculation (ex-carte grise) dans le délai d' 1 mois.
Si vous n'effectuez pas cette démarche, vous encourez une contravention de 4ème classe. Par ailleurs, vous ne pourrez pas vendre votre véhicule si des amendes sont en attente de paiement et que le changement d'adresse n'a pas été réalisé. »
Note : c’est quand même grandiose Markdown : si je mets « > 2. », il considère que ce n’est pas une citation à conserver telle quelle (bah non !), mais une liste numérotée. Alors il la renumérote à 1 tellement il est intelligent ! J’ai dû mettre « > 2. » (ajouter une espace insécable avant le nombre fonctionne aussi, cependant ça rajoute une espace).
Ben... tu aurais fait mettre à jour ton adresse comme tu es sensé le faire...
En même temps, le déplacement forcé est un moyen de t’inciter à t’inscrire sur les listes de ta nouvelle ville.
Effectivement, ce n’est pas pratique. J’ai même eu le cas où pour deux impôts (l’un national et l’autre local ne dépendant pas du même centre) ils m’envoyaient les courriers à deux adresses différentes.
Mais globalement, l’administration française fait ce que nos dirigeants lui demandent. Aucun ne lui a encore demandé de mettre en place un système de changement d’adresse centralisé.
Après, s’il était incontournable de passer par un tel service, ne risque-t-on pas de considérer que la transmission de la nouvelle adresse à certains services serait une atteinte à la vie privée ? Il faut faire attention à ce qu’on souhaite (on pourrait l’obtenir)...
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Qualité des disques durs
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Les SSD. Évalué à 3.
Ah ?
De ce que j’ai constaté, la qualité des Seagate (en tout cas les versions desktop) a énormément baissé, notamment depuis le rachat par Maxtor.
Pour le reste, on essaie de prendre principalement des Western Digital (en tout cas plus de Seagate) et on a presque aucun soucis avec (après, on n’a pas cinq ans de recul sur les exemplaires achetés l’année dernière...).
Pour le reste, il y a quelques années, les Maxtor étaient déjà médiocres, les IBM/Hitachi bizarres (il y en a qui font des bruits inquiétants, mais qui continuent de fonctionner), les Fujitsu moyens et les Samsung je pense médiocres (mais on en a eu trop peu pour que je puisse avoir un avis tranché dessus).
Donc, je ne dis pas que la situation soit géniale, mais as-tu vraiment constaté une dégradation, hormis concernant les Seagate ?
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Debian vs KISS
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal La première distribution majeure !. Évalué à 1.
Enfin une solution humaine ! C’est ce que je fais avec d’autres distributions quand j’ai besoin de modifier un paquet (sauf que je me contente de lftp pour charger le paquet source).
En fait, quand j’ai testé la Debian, j’ai voulu tenter de faire les choses façon Debian et j’ai donc demandé conseil au debianiste du coin. C’était sûrement là l’erreur.
Pour éviter ce risque, je trafique le numéro de version en y ajoutant un nombre assez important et rond ; ça ferait par exemple 1.1002-0. Comme ça, pas de mise à jour intempestive, mais on voit quand même que ça a été trafiqué et on peut deviner la version d’origine.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Debian vs KISS
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal La première distribution majeure !. Évalué à 1.
Merci, j’avais loupé cette option (je n’en ai jamais eu besoin sur une autre distribution et je n’y ai tout simplement pas pensé). Ça pourra me servir (au moins quand j’interviens sur des Ubuntu).
Après, j’ai déjà été confronté à un cas où ça n’aurait pas résolu pas le problème : un dépôt tiers dont les commandes apt* avaient estimé que le fichier descriptif était défectueux. C’était sûrement vrai, mais du coup, au revoir apt*, retour au téléchargement à la main en essayant de deviner quelle version pouvait bien correspondre à la distribution...
Je reste donc convaincu que séparer les paquets par version de la distribution est un bon principe (simple, pratique).
Pour les dépendances strictes plutôt qu’à une version minimale, ça ne résoud pas non plus. Il faut modifier et recompiler le paquet source.
Un choix qui a des avantages : à ce que j’ai vu, aussi bien dans le monde Debian que dans le monde rpm, les commandes de haut niveau court-circuitent la commande de base (dpkg ou rpm) pour plus d’efficacité et éventuellement maintiennent une base supplémentaire.
Du coup, utiliser une commande de haut niveau ou de base n’assure pas d’un résultat parfaitement identique. Avec une seule commande, aucun soucis.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Debian vs KISS
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal La première distribution majeure !. Évalué à 1.
Je sais lire les man et j’ai déjà utilisé dpkg.
Le problème est dans « télécharger ». Quand il faut trouver un paquet dans le foutoir d’un dépôt Debian, c’est un peu plus compliqué que sur une autre distribution. Quand il y a aussi un certain nombre de dépendances qu’il faut trouver dans la bonne version, c’est juste la merde (à moins qu’ils ne se soient enfin décidés à ranger les paquets par version de la distribution ; si c’est le cas, je serai content de l’apprendre).
Non, pacman fait aussi le boulot d’apt-get voire d’autres commandes (voir ici).
Je sais bien, c’est pour ça que ça m’a pris pas mal de temps pour mettre ça à peu près au point. Tout ça pour me faire avoir par les dépendances strictes sur les paquets...
Non, mais après tout ça n’aurait pas été un gros soucis : les outils d’administration graphiques peuvent éventuellement être impactés par un tel changement, mais pas les services.
Au delà, en maintenant un serveur dont la distribution n’avait plus de mises à jour, j’avais fini avec un noyau vanilla beaucoup plus récent compilé à la main, des paquets binaires des deux versions suivantes (dont la glibc) et des paquets de celle d’après recompilés. Finalement, le système était plus stable qu’au départ (pas très dur : le noyau d’origine était un des premiers 2.4, avec une version de NFS franchement boguée) et même plus stable que la distribution que j’ai installée après (jusqu’à ce que j’aie aussi repéré et pris en compte les bugs des logiciels qui la composent).
Debian fait des trucs complexes et éventuellement d’autres trucs complexes (qu’il faut trouver) pour permettre de contourner les premiers si on a des besoins particuliers. Ce n’est pas ce que j’appelle ne pas se mettre en travers du chemin.
La distribution qui ne se met vraiment pas en travers du chemin, c’est Slackware : elle fait juste le minimum et après, tu te démerdes « à la main », comme sur n’importe quel Unix.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Debian vs KISS
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal La première distribution majeure !. Évalué à 0.
J’aime avoir le choix. Par exemple, le choix d’un paquet Apache compilé avec toutes les options, le choix de pouvoir essayer un paquet plus récent...
Là, ce n’est pas le choix des commandes, c’est le choix des effets de bord (encore faut-il en être conscient !). C’est de la complexité, pas un choix utile.
Pour la gestion des paquets, j’aime mieux avoir une seule commande ou un ensemble de commandes cohérent pour les opérations de base (genre pacman) ; il est toujours temps de proposer un choix sur les frontends.
Oui, mais pas aux bons endroits : dommage que ce ne soit pas sur la gestion des paquets...
Encore un mauvais conseil d’un debianiste : faire le choix de compiler, ce n’est pas anodin, ça implique de recompiler à chaque mise à jour de sécurité.
Ça m’est arrivé pour des besoins très spécifiques, mais dans les cas courants, c’est à éviter. Ou alors, il faut prendre une Gentoo (on compile, mais les mises-à-jour sont gérées).
Même les bugs très gênants restent (parce qu’autrement, ce serait dommage) : par exemple, une version d’IceWM avec un bug très gênant sur le placement des fenêtres (la seule à l’avoir parmi des tas de versions plus anciennes ou plus récentes que j’ai utilisées) est bien restée.
Il y en a qui le conseillent (vu le résultat, c’est idiot).
Il y a des tutoriaux pour ça (pareil).
Pour le truc que j’ai essayé, ça ne casserait pas le système, et au pire, j’aurais pris le risque.
Mais les empaqueteurs empêchent de le faire ; c’est la seule distribution (au moins dans celles que j’ai utilisées et sans compter les dérivées de Debian) où les paquets contiennent des dépendances strictes là où des versions minimales conviendraient.
Sur les autres distributions, on peut au moins essayer ; là encore, pas le choix justement.
Enfin au moins, c’est bien assorti avec Gnome...
Mauvaise foi, l’architecture de la distribution reste la même. Ça reviendrait à mélanger une CentOS 5 avec une 6 (je prends l’exemple d’une distribution qui ne sort pas plus fréquemment). Et si un debianiste me demandait conseil à ce propos, je lui conseillerais d’éviter si possible et en tout cas d’essayer de recompiler les paquets pour limiter les dépendances (sauf peut-être au crétin qui m’avait donné le mauvais conseil pour la Debian).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone