Éric a écrit 4850 commentaires

  • [^] # Re: Intimidation et juristes poussiéreux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Cachez ce lien que je ne saurais voir (4 ans plus tard). Évalué à 6.

    > ce n'était pas à son client de se prémunir contre les usages qu'il considérait comme illicite

    Et de ce point de vue (que ne comprennent généralement pas les techniciens) il a raison. Mais par contre il va falloir discuter de ce prétendu "illicite".
  • [^] # Re: Intimidation et juristes poussiéreux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Cachez ce lien que je ne saurais voir (4 ans plus tard). Évalué à 10. Dernière modification le 06 février 2018 à 19:26.

    > 1- Je crois avoir lu qu'il y a un délai au delà duquel on ne peut plus demander de retirer une publication.

    Si on parle de la prescription pour les délits de presse je crois bien que c'est 3 mois

    > 2- Il faut qu'il y ait un caractère illicite pour exiger le retrait d'un article. Pas le fait que ça ne plaise pas.

    Le tout est subjectif, la limite étant assez floue, et souvent la menace d'un procès (même gagnant à coup sûr) suffit à faire réfléchir

    > 3- Les liens profonds sur un site web (permettant d'inclure des éléments d'un autre site) sont interdits.

    C'est faux. Rien n'interdit les liens profonds dans la loi, ni directement ni indirectement.

    Ce qui est interdit c'est éventuellement par exemple piller le contenu de la base de données d'en face en faisant des liens automatiques à chaque article/billet/actu/item qui sort. Il y a d'autres règles, qui n'ont rien de spécifique au web et aux liens,

    Mais globalement si tu veux faire un lien unique et motivé sur une page, tu peux faire un lien profond, rien ne t'en empêche. Les problèmes arrivent uniquement si tu fais du systématique, de l'extraction, ou globalement si tu portes une atteinte illégitime à leur commerce.

    A moins que tu parles d'inclure un composant d'un site tiers dans une iframe, ou de lier directement une image, un flash, etc. Ces cas sont effectivement plus litigieux, mais dans ce cas le terme de lien profond est plus qu'ambiguë (parce que de nombreux sites tentent justement de faire croire que lier autre chose que leur page d'accueil est interdit).

    Voir par exemple http://formist.enssib.fr/documents/index.php?nkv=aWRfZ2VuZXJ(…)

    > 4- Des juristes poussiéreux qui manient l'intimidation

    C'est surtout ça qui pose problème. Et qu'ils aient raison ou pas, l'éventualité d'une bataille juridique ou d'une incertitude juridique est souvent le moteur.

    Pour la légalité le forum des droits sur Internet nous donne Synthèse de la recommandation - hyperliens : statut juridique

    Leurs positions semblent prendre de multiples précautions. Il ne faut pas traduire le "évitez" comme un "c'est interdit" mais plus comme source d'une incertitude ou insécurité juridique, mais globalement ça donne au moins des pistes de recommandation.

  • [^] # Re: Le minimum légal

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Free, temps d'attente non facturé. Évalué à 3.

    Avoir un appel non surtaxé dont le contenu lui même est taxé, c'est dans l'esprit de la loi du trouves ?
    Si c'était juste un moyen de dire "ça vous coutera le même prix mais on facture juste autrement sur le papier" je ne vois vraiment pas quel intérêt ça peut avoir.

    Je ne parle pas du temps d'attente mais de ce qu'il y a après. Ils ont explicitement demandé à ce que ça ne soit pas surtaxé. Ca n'aurait aucun intérêt si c'était juste une opération comptable pour facturer à un autre titre. Je doute que ce soit vraiment le but de nos députés parce que le gain est nul pour à peu près tout le monde.
  • [^] # Re: Le minimum légal

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Free, temps d'attente non facturé. Évalué à 2.

    > Rien de choquant

    tout de même, c'est au mieux un détournement de ce que voulait le législateur en faisant la loi. Après il faudrait voir le texte exact de la loi, mais je ne trouverai pas choquant que justement un juge décide que ce que fait Free est illégal.
  • [^] # Re: le diable est dans les détails.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Free, temps d'attente non facturé. Évalué à 1.

    Et la TVA ? et le pourcentage pris par FT ?
  • [^] # Re: Y a un blème...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Campagne STIF. Évalué à 6.

    Disons que laisser des traces est une chose quand c'est utile, c'en est une autre quand c'est inutile.

    Ici il n'y a aucun réel besoin du STIF de connaitre ton identité "à priori" pour valider un abonnement. Le système de la carte orange l'a bien montré. Du coup, autant que possible, oui, il n'y a aucune raison de l'accepter.

    Ca n'empêche pas d'utiliser la CB, où il est nécessaire par contre, là, que la banque connaisse ton identité.

    Tout n'est pas toujours tout noir ou tout blanc hein. On peut trouver ça justifié ou simplement utile dans certains cas, et pas dans d'autres.

    Sans compter que j'ai plus confiance dans ma banque que dans la RATP pour ne pas faire un mauvais usage de mes données personnelles.
  • [^] # Re: carte orange

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Campagne STIF. Évalué à 2.

    De mémoire le "découverte" est vendu (aussi?) dans les bureaux de tabac.
  • [^] # Re: Accepter la licence?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Sauvez le monde, mangez un juriste. Évalué à 2.

    Oui je l'ai lu, souvent, trop souvent presque ;)

    Mais, si tu n'acceptes pas le contrat de licence au nom de quoi peux tu te prévaloir d'une clause de ce contrat privé ? (qui n'a d'ailleurs pas eu lieu le contrat, justement parce que tu ne l'as pas accepté).

    AMHA la formulation est hautement tendancieuse.

    De toutes façons ça ne change pas grand chose vu que tant que tu te contentes d'exécuter, cette acceptation de la licence (ou pas) ne change strictement rien (puisque tu n'as aucune contrainte).
  • [^] # Re: Accepter la licence?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Sauvez le monde, mangez un juriste. Évalué à 5.

    > c'est un droit qui t'est accordé d'office, sans rien demander en retour.

    Par qui ? au nom de quoi ? D'office avec les lois sur le droit d'auteur tu n'as aucun droit. point.

    Parce que moi j'ai un joli document qui me dit que j'ai le droit d'exécuter le logiciel, c'est la licence. Sauf que si je ne l'ai pas cette licence ben .... non, rien ne m'est accordé nulle part justement.
    Après on peut ne rien te demander en retour (ce qui est faux d'ailleurs puisque les derniers paragraphes reviennent à te demander de ne pas tenir le développeur pour responsable, ce qui aurait été le cas sinon), mais ça n'empêche que seule la licence de tonne ce fameux droit.

    D'ailleurs si tu veux une preuve par l'absurde :

    - Rien dans la licence ne m'impose explicitement de donner le droit d'exécution à des tiers quand je modifie et redistribue le logiciel, on m'impose juste de relicencier sous les mêmes termes
    - Rien dans la loi ne m'impose de donner le droit d'exécution à des tiers, même s'ils ont les droits de modification et redistribution (je peux très bien les autoriser juste à modifier mais pas à exécuter).

    Si réellement la licence n'était là aussi pour couvrir les droits d'exécution, ça voudrait dire que je peux poursuivre tous les gens qui exécutent mes modifications de logiciels GPL. rien ne m'a obligé à donner ce droit, je ne l'ai pas fait explicitement, et la licence ne m'oblige pas à le faire.

    En fait justement si, la licence couvre bel et bien l'exécution même si la phrase dit à peu près le contraire dans la licence. Il y a explicitement un passage qui dit que l'exécution du logiciel n'est pas restreinte. Et ce passage fait bien partie de la licence elle même sinon ce droit ne serait pas sauvegardé à chaque redistribution.



    Après la dernière question c'est si on peut se prévaloir de cette mention sans accepter la licence. j'aurai là deux arguments :

    - Il y a un diffuseur et un receveur. Le diffuseur n'a le droit de diffuser *que* sous les même termes. Il a donc une obligation de faire accepter ces termes (la licence) à celui qui reçoit, ou à défaut ne pas considérer qu'il a diffusé ce logiciel au receveur. Si le receveur a recu le logiciel c'est soit qu'il a accepté la licence, soit que le diffuseur vient de la violer.

    - Une licence est bêtement un contrat privé entre deux personnes. Je ne peux certainement pas me prévaloir de clauses d'un contrat que je n'ai pas accepté et qui ne me concerne pas (puisqu'on ne parle que de celui qui reçoit la licence, jamais de "tout le monde"). Comme le droit d'exécution n'est que sur la licence, je ne peux pas m'en prévaloir sans accepter cette même licence.
  • [^] # Re: Accepter la licence?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Sauvez le monde, mangez un juriste. Évalué à 4.

    > La distribution d'un fichier ne suffit pas à impliquer que tu l'as lu, donc encore moins que tu es d'accord avec ce qui y est mentionné.

    C'est vrai, mais si tu n'as pas lu la licence rien ne t'autorise à distribuer un fichier sur lequel tu n'as pas les droits, donc tu es en violation du droit d'auteur de toutes façons.
  • [^] # Re: Accepter la licence?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Sauvez le monde, mangez un juriste. Évalué à 4.

    Ah que si la licence en parle. La licence dit que la possibilité d'exécuter le programme n'est pas restreinte. C'est la *seule* chose qui le dit. Sans la licence tu n'as pas le droit d'exécuter le programme.
  • [^] # Re: Accepter la licence?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Sauvez le monde, mangez un juriste. Évalué à 2.

    Je me répond à moi même car quelqu'un au dessus cite l'article 5 qui, en tronquant le paragraphe, dit "You are not required to accept this License". Et effectivement rien n'oblige à accepter la licence. Mais comme c'est rappelé par la suite, seule cette licence te permet d'exploiter les droits qu'elle contient.
  • [^] # Re: Accepter la licence?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Sauvez le monde, mangez un juriste. Évalué à 0.

    > on n'est pas obligé d'accepter la licence

    Attention légende urbaine.

    Le texte de la GPLv2 dit explicitement :
    "Activities other than copying, distribution and modification are not covered by this License; they are outside its scope. The act of running the Program is not restricted, [...]."

    En gros le texte de la licence ne couvre que les conditions pour copier, distribuer ou modifier le code. Ce même texte dit qu'il n'y a aucune restriction pour exécuter le programme.
    il n'est dit nul part que tu n'as pas à accepter la licence pour mettre en oeuvre ce droit (que tu n'as pas par défaut).



    Pour utiliser le logiciel tu *dois* accepter la licence, et c'est logique pour au moins deux raisons :

    - C'est la licence qui contient les exonérations de responsabilités, utiliser le logiciel sans accepter la licence serait risquer que dans certains pays le distributeur reste responsable des bugs du code.

    - La licence est un contrat qui te permet d'étendre tes droits sur le code, sachant que par défaut tu n'as pas le droit d'exécuter le code (ni d'en faire rien d'autre d'ailleurs). La seule chose qui te donne le droit d'exécuter le logiciel c'est la licence elle-même qui dit que tu en as le droit sans restrictions. Pour t'en prévaloir il faut bien contracter cette licence.
  • [^] # Re: on s'en tape

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Douce France, pays rétrograde. Évalué à 1.

    > Le mariage a-t-il été annulé parce que la mariée n'était pas vierge, ou bien parce qu'elle avait fait croire à son mari qu'elle l'était ?

    En fait ni l'un ni l'autre, mais parce que le mari a cru qu'elle l'était.

    Mentir n'est pas illégal, même en vue du mariage. Par contre un mariage fondé sur une erreur peut être annulé. Le fait qu'elle ait menti simplifie juste la preuve qu'il y a eu erreur pour le mari.

    Comme quoi cette histoire n'a définitivement rien à voir avec la condition de la femme.
  • [^] # Re: Honte à la justice française

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Douce France, pays rétrograde. Évalué à 4.

    > 2°) Tu considère qu'un comportement lié au but du mariage c'est le même que le comportement lié au cul et à la volontée de tout controler du mari ?

    A voir, dans notre société moderne, et justement quand on enlève le biais de la religion, le mariage est beaucoup plus là pour unir deux personnes qui ont envie de baser leur vie sur le couple, que pour procréer (qui n'a plus besoin de mariage même vis à vis des tiers).

    Du coup mentir et tromper l'époux sur un point qui lui semble important comme fondement du mariage, ça me parait bien plus aller contre le mariage (on ne fonde pas une relation sur une tromperie et ça démontre difficilement une volonté de fonder la vie sur le couple) que la simple impossibilité d'avoir des enfants (dans un contexte général, si le couple ne se base pas explicitement sur ce point pour son mariage).
  • [^] # Re: mouais

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Firefox est-il toujours libre ?. Évalué à 5.

    à modérer tout de même. Je sais que la plupart voient bien la nuance mais il vaut mieux que ce soit clair :

    Ce n'est pas le droit sur les marques qui empêche éventuellement la totale liberté. C'est le propriétaire de la marque qui l'empêche (éventuellement grâce au droit des marques).
    Sinon ça serait comme dire que le droit d'auteur empêche la liberté, et on sait bien que c'est faux.
    Dans ces deux exemples les responsables des restrictions sont bien Mozilla et RedHat, pas la loi
  • [^] # Re: hum...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Firefox est-il toujours libre ?. Évalué à 4.

    > En même temps, si je me mets à devoir signer un accord de licence à chaque paquet installé

    Signer non, pas plus que tu ne signes quoi que ce soit ici.
    Maintenant tu contractes un accord de licence pour chaque paquet installé. Plus loin on parle de la GPL qui a ce passage ambigue qui dit que tu n'as pas besoin de la licence pour exécuter le logiciel (mais sans la licence qu'est ce qui te donne le droit de l'exécuter ce logiciel sinon ce passage de la licence elle même ?) mais il y a au moins tout ce qui est BSD/X11/Apache par exemple.

    C'est juste que Firefox a voulu donner plus de visibilité à leurs conditions, mais tous tes paquets ont des conditions.
  • [^] # Re: mouais

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Firefox est-il toujours libre ?. Évalué à 4.

    Il s'agit du même code source, mais justement, ils ne veulent pas appeler ça Firefox (ce nom ils l'attribuent seulement à leur version avec tout le branding qui va avec). Mais si tu met de côté le nom, si, c'est bien le même logiciel et si, il est libre.
  • [^] # Re: question de public

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Firefox 3, c'est bien ... ou pas. Évalué à 3.

    En théorie le CA reconnu est une autorité qui est sensée vérifier sérieusement les identités avant de certifier, et avoir un process et une sécurité à toute épreuve. C'est le rôle du navigateur, du système ou de l'état que de mettre telle ou telle autorité dans la chaîne de confiance, en fonction de son sérieux et de ses garanties.
    Après pour que le système fonctionne tu peux aussi retirer certains CA en qui tu as moyen confiance ou ajouter ceux en qui toi tu as confiance (comme CaCert si c'est ton cas).

    Bref, si le CA est réellement de confiance ça te garanti que si Amazon.fr est signé par eux, c'est effectivement amazon.fr (et pas quelqu'un d'autre) avec qui tu converses et à qui tu envoies tes coordonnées bancaires (mais ça ne te garantit rien sur ce qui est fait de tes données ou que Amazon est lui même de confiance).
    Tout ça c'est en théorie, parce qu'en pratique les vérifications des CA de confiances ne sont pas toujours si fortes.

    Ce que j'entendais c'est que si tu acceptes un certificat non reconnu dans ta chaîne de confiance, c'est certainement que tu reconnais que la signature est valide (celui qui répond est bien le réel propriétaire du site et pas un pirate intermédiaire).
    Si tu confirmes que c'est bien le bon propriétaire tu as tout intérêt à faire une autorisation permanente. Le bonus c'est qu'en plus si un jour le certificat change (ce qui peut être révélateur qu'un pirate répond à la place du site), tu sauras qu'il a changé. Autoriser le certificat de manière temporaire à chaque fois, c'est comme si tu redemandais à chaque fois la carte d'identité de quelqu'un dont tu as déjà accepté l'identité et que tu reconnais déjà. C'est inutile et en plus ça risque de t'inciter (à force du nombre) à regarder toutes les cartes d'identité avec un oeil distrait, et à louper la personne qui effectivement te montrera une fausse carte.
  • # mouais

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Firefox est-il toujours libre ?. Évalué à 8.

    Notes que ce n'est même pas contradictoire avec la vision primaire de la FSF :
    L'outil est libre, la connaissance diffusable, la capacité de contrôler son logiciel ou d'aider son voisin est bien présente. Devoir utiliser une version sans logo, sans nom ni branding ne contredit aucun de ces points.

    Bref, le logiciel est libre. Le produit, l'image et la marque par contre .... mais en quoi serait-ce nécessaire moralement ?
  • [^] # Re: ne pas être vierge ou avoir menti ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Douce France, pays rétrograde. Évalué à 8.

    Pas sur le contenu lui même, mais sur l'importance du contenu vis à vis de ce mariage.

    Si l'un des deux était maniaque maladif sur le brossage de dent que l'autre avait consciemment et volontairement menti sur cet aspect, ma compréhension et que ça aurait aussi pu être cause d'annulation.

    L'important ce n'est pas la pertinence de la cause à tes yeux, aux miens ou à ceux du juge, mais l'importance de la cause aux yeux des époux tels qu'ils l'ont vu pour le mariage. Visiblement pour eux et en tout cas pour lui cette question était annoncée dès le départ pour essentielle
  • [^] # Re: ne pas être vierge ou avoir menti ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Douce France, pays rétrograde. Évalué à 10.

    > En fait si quelqu'un demande à faire annuler son mariage parce que sa femme lui a menti en prétendant utiliser openoffice à la place de word (ou emacs à la place de vim) ou savoir recompiler son kernel toute seule (une valeur essentielle pour lui), aucune chance d'aboutir...

    Si il était entendu entre vous que c'était un des fondements de votre mariage (comme c'est le cas ici), ça a effectivement des chances d'aboutir
  • [^] # Re: Dans le même genre ...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Firefox 3, c'est bien ... ou pas. Évalué à 0.

    > si l'utilisateur se fait niquer, c'est son problème

    Certes, mais le but de la MoFo c'est d'aider l'utilisateur, pas de créer un prototype technologique (contrairement aux buts déclarés de Mozilla il y a pas mal d'années).

    Du coup si c'est un problème pour l'utilisateurs, ça devient logiquement un point important pour la MoFo
  • [^] # Re: question de public

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Firefox 3, c'est bien ... ou pas. Évalué à 2.

    > Et du coup, je n'ai aucun moyen rapide de me rendre compe si un site sécurisé à un certificat accepté par une autorité de certification reconnue ou non. Je considère que c'est un problème de sécurité important.


    Oh si !
    Cliques sur le favicon, tu as une zone claire et net qui te dit que c'est un certificat que sur lequel tu as fait une exception, avec un lien pour avoir plus d'info sur le certificat.
    Si tu veux l'enlever ou jouer sérieusement avec tu le retrouves aussi dans les options avancé/sécurité/certificats servers, et tu peux l'enlever ou voir toutes les exceptions.
  • [^] # Re: question de public

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Firefox 3, c'est bien ... ou pas. Évalué à 3.

    J'ai du mal à voir un cas où tu veux accepeter temporairement un certificat mais pas de manière permanente. Tu te réfères à quelle utilisation ?