Bon ok, sous mac c'est pas pareil j'ai mon curseur qui disparaît tout seul lorsque je tappe du texte, comme à l'instant.
J’utilise aussi le focus qui suit la souris, et Unclutter me fait disparaître le curseur quand je tapes du texte ou après un certain temps sans mouvement de souris (tout ça se règle) sans que je sois obligé de supporter un système qui m’impose un menu global et gère si mal la maximisation des fenêtres ;-)
Cela devrait pourtant arrêter notre calendrier vers 2016 si l’on en croit la phrase parfois attribuée à Einstein : « sans abeille, l'humanité ne tiendrait pas plus de 4 ans ».
En même temps, si c’est Maya l’abeille qui fait le calendrier (de) Maya…
Non, ça va être une vraie guerre senfoutistes un peu/senfoutistes complet, parce-que les éclairés seront de toute façon passés à Jappix/Movim/Loréa/etc, devenus entre temps tous parfaitement fonctionnels et interopérables via XMPP.
Par exemple, tout ce qui est fait avec matlab n'a pas vraiment besoin de grosses performances.
[...]
un calcul de supercalculateur qui tourne pendant des jours
Dans le cas de calcul scientifique, je me cite, « je doute que de pouvoir approcher la valeur des expressions par une série de multiplications et d’additions soit vraiment un enjeu majeur [, ce] sont plutôt les méthodes numériques pour linéariser les problèmes qui affectent les performances ». Du coup, on trouve du code Matlab susceptible de tourner des jours entiers sur des « petits » super-calculateurs (même si c’est vrai que ce n’est pas l’idéal). Même sans aller jusqu’à Matlab, dans les codes de calcul scientifique, ce ne sont vraiment pas les évaluations d’expression lourdes qui sont coûteuses, notamment car l’essentiel de ces expressions est linéarisé avant d’être résolu, et quand elles ne le sont pas ce sont rarement des goulets d’étranglement gênants.
Après, bien sûr, je ne cherche pas à dénigrer ton objectif et toute amélioration est bonne à prendre, mais si tu voyais la qualité générale des codes scientifiques, tu verrais que l’efficacité des algorithmes de résolution et la parallélisation sont des enjeux qui passent bien avant l’optimisation purement au niveau du code.
Par contre en parlant de « arctan() présent dans un logiciel temps réel qui a besoin de tenir 2ms de temps de réaction », tu parles d’un domaine auquel je ne connais rien. Il y a peut-être un vrai besoin qui correspond à ton objectif.
Il y aussi OpenWeb qui contient des informations de très bonne qualité et des trucs et astuces pratiques pour commencer. En plus, il propose des articles classés par profils (débutant, expert, décideur pressé).
Je fais aussi un peu de pub pour un document qui sert très peu sinon : j’avais une formation sur le sujet pour des tout débutant. Ça pourra toujours te servir, notamment en mode diapos+texte complet car le texte est prévu comme un cours d’initiation. La formation a même été filmée, mais je ne pense pas que ça t’apporterait grand chose si tu as déjà commencé à apprendre par toi même.
Désolé, pas le but, mais je ne savais pas du tout où se situait ton objectif.
Pour moi, tu as un problème scientifique coûteux en temps, tu as une belle équation complexe: soit tu utilises math.h, soit tu essais différent méthode comme les séries de Taylor (ou les fractions continues?). Mon but est de voir si il est possible de faire ces transformation automatiquement.
Et je pense que tu fais fausse route. Dans le cas des problèmes scientifiques complexes fortement non linéaires, la difficulté n’est pas d’évaluer une expression donnée très lourde. En règle générale, la solution au problème n’admet pas d’écriture analytique, alors l’expression à évaluer est inconnue. Du coup, la décomposition de Taylor n’a pas lieu au moment de l’interprétation des expressions, mais dans la formulation du problème lui-même en le discrétisant en temps et en espace (cf. les différents schémas numériques existants : différences finies, éléments finis, volumes finis, éléments spectraux, etc).
De manière générale, comme l’écriture analytique de la solution du problème n’existe pas, on cherche la solution de manière itérative pas succession d’approximations. Pour trouver les solutions approximatives, le problème posé est transformé en un problème linéarisé pour lequel on est capable de trouver une solution, et la résolution du problème complet passe par une résolution itérative du problème linéarisé.
Donc, je ne pense pas que ton objectif s’applique aux problèmes scientifiques « lourds ». Tu trouveras des expressions « lourdes » en trigo pour des problèmes géométriques typiques de logiciels de conception mécanique par exemple, mais tu devras te contenter d’une « lourdeur » relative. Dans ce cas les exemples d’arc-tangentes cités précédemment sont bien représentatifs des cas usuels rencontrés pour de telles expressions.
J’ai vraiment du mal à cerner ce que tu veux faire. Je suis plus physicien qu’informaticien, mon incompréhension doit venir de là, mais qu’espères-tu faire ? Résoudre une équation donnée en la décomposant auto-magiquement en opérations élémentaires simples ?
Je ne sais pas à quel contexte tu veux appliquer ça… mais quand je vois les méthodes numériques de résolution de problèmes fortement non-linéaires comme les équations de Navier-Stokes citées précédemment, je doute que de pouvoir approcher la valeur des expressions par une série de multiplications et d’additions soit vraiment un enjeu majeur. Ce sont plutôt les méthodes numériques pour linéariser les problèmes qui affectent les performances de la résolution, de sorte qu’au final les opérations réellement calculées ne seront pas assez « lourdes » pour toi. La complexité du problème fait que l’on cherche de toute façon à le ramener à « une suite à base de multiplication/addition ».
En fait, telle que tu l’as notée, cette équation est incomplète, tu n’as que le bilan de quantité de mouvement. Tu dois y ajouter une équation de continuité. Pour un fluide Newtonien incompressible, ton système d’équations devient :
∂u/∂t + u·∇u = -ρ⁻¹ ∇p + νΔu + f
∇·u = 0
où ∇ est l’opérateur gradient (et par extension ∇· la divergence) et Δ le Laplacien. Tu as alors un problèmes à DIM+1 équations et DIM+1 inconnues (DIM étant la dimension) : DIM composantes de vitesse et la pression p (scalaire). ρ (densité) ν (viscosité) et f (terme source) sont ici connus. Pour le résoudre, en général on réécrit l’équation de continuité pour s’en servir pour calculer la pression avec une équation de Poisson.
Au delà de la complexité de l’équation, avant de penser à résoudre quoi que ce soit, il va falloir penser à ce qu’elle représente. Sa solution dépend des conditions limites que l’on impose au problème, et la définition de ces conditions peut être un problème en soi.
Bon courage pour t’essayer à ce genre de problème sans une formation préalable en mécanique des fluides !
qui permettent de se passer du shell (certaines permettant toutefois de générer les mots de passe pour un autre navigateur, au besoin).
Ce n’est pas tout à fait comme utiliser Revelation ou apg et un gestionnaire de trousseaux car les mots de passe restent dépendants les uns des autres, mais si l’algo de génération est correct cette dépendance ne devrait pas être un défaut de sécurité (mais je n’ai pas lu les algos des extensions ci-dessus).
En l’occurrence avoir deux journaux appelant à signer une pétition l'un détaillé et argumenté l'autre laissant le soin au lecteur curieux de se faire sa propre opinionn'apportant aucune information complémentairene gêne absolument en rien la démarchen’a aucun intérêt.
Parce que tu configures l’accès aux site Web toi ? Si dans ton navigateur, pour aller visiter un site, tu dois créer un nouveau profil dans lequel tu renseignes le protocole, le nom de domaine, etc… je comprends que tu n’es pas à la disparition du protocole dans la barre d'adresse près !
Plus sérieusement, si tu veux comparer le « http:// » avec le courriel, ce ne sont pas POP et IMAP ses équivalents mais « mailto: ». Peut-être que finalement le fait qu’on ne le précise pas pour les courriels a donc eu un effet regrettable sur ta compréhension de l’outil ? Faisons que ça n’arrive pas pour le Web alors et gardons « http:// ».
En fait, pour les courriels, cela vient du fait qu’usuellement une adresse se distingue assez bien des autres URI du fait de sa forme (avec « @ » et tout). Mais on trouve toujours des contextes dans lesquels le préfixe est utile (distinction avec un compte SSH ou FTP par exemple). Ce n’est pas parce-qu’une simplification particulière est passée dans les usages courants qu’il faut tout faire disparaître de la vue des utilisateurs.
En plus, c’est une action que je trouve vraiment courante de copier un une adresse parfois avec et parfois sans le préfixe (passage en HTTPS, en FTP, etc). Si l’on veut s’aligner sur les gens qui cherchent « google » sur Google, ce n’est pas le préfixe qu’il faut enlever mais toute la barre d’adresse. C’est ça la simplification que tu veux ?
Ca tombe bien, enlever http:// a autant de problème de sécu que :80.
Non, si tu te connectes en HTTPS sur le port 80, tes données sont chiffrées, si tu te connectes en HTTP sur le 443, tes données sont non chiffrées… ça fait une grosse différence. Et le fond vert, bleu ou rouge du navigateur comme seule information, ça n’a rien d’intuitif non plus, ça dépend du navigateur et ça ne correspond à rien.
Comme j’en ai parlé dans un commentaire récent et que j’ai trouvé cette présentation très instructive, je t’invite à te rendre compte par toi même à quel point les utilisateurs « avancés » comme toi se laissent berner par une fausse sensation de sécurité : vidéo.
Un très bel exemple avec SSLstrip (voir la vidéo). Ce genre de choses tournant sur un nœud de sortie TOR (et c’est ce qu’a fait l’auteur pour le tester) fait très très mal… et très peur quand on voit le nombre de sites qui ne supportent pas SSL de bout en bout. Même la page d’accueil pour la télédéclaration des impôts en France n’est pas accessible en HTTPS.
Bon, eh bien cette réponse et celles du dessus confirment ce que je craignais, je vais devoir sortir le test de mes boucles manuellement… Merci pour toutes vos remarques. En vrac :
ce ne sont pas forcément des appels à fonction dans les boucles;
MPI viendra probablement se greffer la dessus plus tard;
je préfère éviter les macros en Fortran car elles ne sont pas habituelles, dépendent du pré-processeur utilisé et que j'aimerais à terme ne pas être le seul capable de travailler sur ce code (éventuellement le libérer un jour mais je doute qu’il suscite beaucoup d’intérêt);
et question profiling, c’est tout vu, il s’agit d’un code de calcul scientifique avec presque aucune IO et presque toutes les boucles présentent ce genre de défaut.
simplicité d'utilisation et la compatibilité avec les serveurs Windows déjà déployés
Je pense que ces arguments ne s’adressent typiquement pas aux usagers de machines présentes dans le Top 500 qui nécessitent de toute façon un entretien particulier. Quant à savoir si ce Windows HPC marche réellement sur les plus petits clusters, je n’en ai aucune idée mais je ne l’ai jamais vu utilisé. Mais même s’il était massivement adopté, je ne m’attendrais pas à un effet perceptible dans le Top 500.
Moi aussi j’utilise Debian depuis longtemps et là je suis carrément dégoûté ! Ils m’ont forcé à passer à GTK2, j’ai pourtant rien demandé !
Bon, t’as le droit de pas aimer Pulseaudio, mais accuser Debian de mettre à jour des composants de Gnome qui entre temps se sont mis à dépendre de Pulseaudio, c’est vraiment de la mauvaise foi !
En attendant, pour le moment Gnome est encore un environnement bien découpé et l’un des plus utilisables partiellement dans un environnement alternatif. Son agent GPG et SSH est tout à fait utilisable sorti de Gnome, son gestionnaire de troussaux est un élément que l’on peut piocher sans entraîner tout le reste, sa gestion des systèmes de fichiers exportés via fuse fait que n’importe quel programme Gnome ou pas est capable d’en bénéficier, etc.
GTK a été bien nettoyé et les différents composants des applis Gnome sont bien séparés (toolkit graphique, gestion des calendriers, trousseaux, réglages des utilisateurs, gestion des périphériques de stockage, …) ce qui fait qu’il est très aisé d’utiliser un « demi-gnome » au quotidien. Et je n’ai pas l’impression que la tendance change.
Je déteste l’environnement Gnome complet (encore plus maintenant avec Gnome3) mais j’en utilise de gros morceaux en permanence avec grande satisfaction.
Oui, enfin dénaturer, c'est juste un terme péjoratif pour parler d'œuvre dérivée. Pour le roman, si tu es un prétentieux égocentrique, pourquoi pas le ND, mais pour une diatribe c'est particulièrement débile. Par exemple, ça veut dire que si j'étais sensible à son argumentaire, je ne pourrais même pas m'en inspirer pour rédiger le mien. Ou comment limiter la portée de son propre message…
Donc, « de ce que [tu] peux voir et comprendre, beaucoup de monde » n’est pas « prêt à diffuser » son travail sous une licence libre. C’est ce que te faisais remarquer Tanguy.
D’autant que diffuser son travail sur Youtube en voulant éviter que d’autres se fassent de l’argent avec… il y a comme une contradiction.
[^] # Re: Focus qui suit la souris
Posté par jyes . En réponse au journal Pourquoi cet engouement pour les "menu globaux". Évalué à 0.
J’utilise aussi le focus qui suit la souris, et Unclutter me fait disparaître le curseur quand je tapes du texte ou après un certain temps sans mouvement de souris (tout ça se règle) sans que je sois obligé de supporter un système qui m’impose un menu global et gère si mal la maximisation des fenêtres ;-)
[^] # Re: un dessin mieux que des mots
Posté par jyes . En réponse au journal Des livres verrouillés. Évalué à 5.
20 minutes de matraquage publicitaire sur son gamin ? Je ne sais pas quel parent en serait content !
[^] # Re: Un autre mystère s'éclaircit
Posté par jyes . En réponse au journal [Bookmark] Abeille : le mystère enfin résolu ?. Évalué à 1.
Cela devrait pourtant arrêter notre calendrier vers 2016 si l’on en croit la phrase parfois attribuée à Einstein : « sans abeille, l'humanité ne tiendrait pas plus de 4 ans ».
En même temps, si c’est Maya l’abeille qui fait le calendrier (de) Maya…
[^] # Re: Je confirme
Posté par jyes . En réponse au journal Google+ : dix jours d'usage. Évalué à 3.
Non, ça va être une vraie guerre senfoutistes un peu/senfoutistes complet, parce-que les éclairés seront de toute façon passés à Jappix/Movim/Loréa/etc, devenus entre temps tous parfaitement fonctionnels et interopérables via XMPP.
[^] # Re: En complément
Posté par jyes . En réponse au journal Google+ : dix jours d'usage. Évalué à 5.
Je dirais Allemagne pour la 1, car il me semble y avoir un logo S-Bahn à l’arrière plan (à gauche) !
[^] # Re: Pi
Posté par jyes . En réponse au journal Cherche exemple d'expression de calcul lourd. Évalué à 2.
Dans le cas de calcul scientifique, je me cite, « je doute que de pouvoir approcher la valeur des expressions par une série de multiplications et d’additions soit vraiment un enjeu majeur [, ce] sont plutôt les méthodes numériques pour linéariser les problèmes qui affectent les performances ». Du coup, on trouve du code Matlab susceptible de tourner des jours entiers sur des « petits » super-calculateurs (même si c’est vrai que ce n’est pas l’idéal). Même sans aller jusqu’à Matlab, dans les codes de calcul scientifique, ce ne sont vraiment pas les évaluations d’expression lourdes qui sont coûteuses, notamment car l’essentiel de ces expressions est linéarisé avant d’être résolu, et quand elles ne le sont pas ce sont rarement des goulets d’étranglement gênants.
Après, bien sûr, je ne cherche pas à dénigrer ton objectif et toute amélioration est bonne à prendre, mais si tu voyais la qualité générale des codes scientifiques, tu verrais que l’efficacité des algorithmes de résolution et la parallélisation sont des enjeux qui passent bien avant l’optimisation purement au niveau du code.
Par contre en parlant de « arctan() présent dans un logiciel temps réel qui a besoin de tenir 2ms de temps de réaction », tu parles d’un domaine auquel je ne connais rien. Il y a peut-être un vrai besoin qui correspond à ton objectif.
[^] # Re: Tout dépend
Posté par jyes . En réponse au message Débuter en création de pages web. Évalué à 2.
Il y aussi OpenWeb qui contient des informations de très bonne qualité et des trucs et astuces pratiques pour commencer. En plus, il propose des articles classés par profils (débutant, expert, décideur pressé).
Je fais aussi un peu de pub pour un document qui sert très peu sinon : j’avais une formation sur le sujet pour des tout débutant. Ça pourra toujours te servir, notamment en mode diapos+texte complet car le texte est prévu comme un cours d’initiation. La formation a même été filmée, mais je ne pense pas que ça t’apporterait grand chose si tu as déjà commencé à apprendre par toi même.
[^] # Re: Pi
Posté par jyes . En réponse au journal Cherche exemple d'expression de calcul lourd. Évalué à 7.
Désolé, pas le but, mais je ne savais pas du tout où se situait ton objectif.
Et je pense que tu fais fausse route. Dans le cas des problèmes scientifiques complexes fortement non linéaires, la difficulté n’est pas d’évaluer une expression donnée très lourde. En règle générale, la solution au problème n’admet pas d’écriture analytique, alors l’expression à évaluer est inconnue. Du coup, la décomposition de Taylor n’a pas lieu au moment de l’interprétation des expressions, mais dans la formulation du problème lui-même en le discrétisant en temps et en espace (cf. les différents schémas numériques existants : différences finies, éléments finis, volumes finis, éléments spectraux, etc).
De manière générale, comme l’écriture analytique de la solution du problème n’existe pas, on cherche la solution de manière itérative pas succession d’approximations. Pour trouver les solutions approximatives, le problème posé est transformé en un problème linéarisé pour lequel on est capable de trouver une solution, et la résolution du problème complet passe par une résolution itérative du problème linéarisé.
Donc, je ne pense pas que ton objectif s’applique aux problèmes scientifiques « lourds ». Tu trouveras des expressions « lourdes » en trigo pour des problèmes géométriques typiques de logiciels de conception mécanique par exemple, mais tu devras te contenter d’une « lourdeur » relative. Dans ce cas les exemples d’arc-tangentes cités précédemment sont bien représentatifs des cas usuels rencontrés pour de telles expressions.
[^] # Re: Pi
Posté par jyes . En réponse au journal Cherche exemple d'expression de calcul lourd. Évalué à 4.
J’ai vraiment du mal à cerner ce que tu veux faire. Je suis plus physicien qu’informaticien, mon incompréhension doit venir de là, mais qu’espères-tu faire ? Résoudre une équation donnée en la décomposant auto-magiquement en opérations élémentaires simples ?
Je ne sais pas à quel contexte tu veux appliquer ça… mais quand je vois les méthodes numériques de résolution de problèmes fortement non-linéaires comme les équations de Navier-Stokes citées précédemment, je doute que de pouvoir approcher la valeur des expressions par une série de multiplications et d’additions soit vraiment un enjeu majeur. Ce sont plutôt les méthodes numériques pour linéariser les problèmes qui affectent les performances de la résolution, de sorte qu’au final les opérations réellement calculées ne seront pas assez « lourdes » pour toi. La complexité du problème fait que l’on cherche de toute façon à le ramener à « une suite à base de multiplication/addition ».
[^] # Re: FFT
Posté par jyes . En réponse au journal Cherche exemple d'expression de calcul lourd. Évalué à 5.
En fait, telle que tu l’as notée, cette équation est incomplète, tu n’as que le bilan de quantité de mouvement. Tu dois y ajouter une équation de continuité. Pour un fluide Newtonien incompressible, ton système d’équations devient :
∂u/∂t + u·∇u = -ρ⁻¹ ∇p + νΔu + f
∇·u = 0
où ∇ est l’opérateur gradient (et par extension ∇· la divergence) et Δ le Laplacien. Tu as alors un problèmes à DIM+1 équations et DIM+1 inconnues (DIM étant la dimension) : DIM composantes de vitesse et la pression p (scalaire). ρ (densité) ν (viscosité) et f (terme source) sont ici connus. Pour le résoudre, en général on réécrit l’équation de continuité pour s’en servir pour calculer la pression avec une équation de Poisson.
Au delà de la complexité de l’équation, avant de penser à résoudre quoi que ce soit, il va falloir penser à ce qu’elle représente. Sa solution dépend des conditions limites que l’on impose au problème, et la définition de ces conditions peut être un problème en soi.
Bon courage pour t’essayer à ce genre de problème sans une formation préalable en mécanique des fluides !
[^] # Re: Si déjà ton système nécessite un shell
Posté par jyes . En réponse au journal lulz, mots de passe et compagnie. Évalué à 3. Dernière modification le 24 août 2019 à 18:07.
Et il existe des extensions pour automatiser le procédé. Avec Firefox par exemple :
qui permettent de se passer du shell (certaines permettant toutefois de générer les mots de passe pour un autre navigateur, au besoin).
Ce n’est pas tout à fait comme utiliser Revelation ou apg et un gestionnaire de trousseaux car les mots de passe restent dépendants les uns des autres, mais si l’algo de génération est correct cette dépendance ne devrait pas être un défaut de sécurité (mais je n’ai pas lu les algos des extensions ci-dessus).
[^] # Re: Plus productif que le tournevis...
Posté par jyes . En réponse au journal ÉCRIS PLUS FORT, J'ENTENDS RIEN !!!. Évalué à 2.
Je ne pense pas que le problème vient de Fluxbox… tu as essayé de voir quelle séquence tu envoies avec ton tab ?
Que donne un « xbindkeys -k » par exemple ?
[^] # Re: linuxfr a des problèmes d'accessibilité ?
Posté par jyes . En réponse au journal Oh un journal bookmark. Évalué à 3.
[^] # Re: Plus productif que le tournevis...
Posté par jyes . En réponse au journal ÉCRIS PLUS FORT, J'ENTENDS RIEN !!!. Évalué à 2.
Je ne sais pas ce que tu appelles « naviguer entre les fenêtres » mais :
fonctionne très bien (dans le fichier “~/.fluxbox/keys”).
En plus, si tu as déjà changé le Xmodmap, tu ne devrais même pas avoir à le préciser et :
devrait déjà faire l’affaire.
[^] # Re: moi je pense que
Posté par jyes . En réponse au sondage Que pensez-vous de la nouvelle politique de version de Firefox ?. Évalué à 2.
Mais SimCity serait toujours devant… encore un effort !
[^] # Re: On cache le protocole ? Mais c'est affreux !
Posté par jyes . En réponse au journal Firefox : ça continue. Évalué à 1.
Parce que tu configures l’accès aux site Web toi ? Si dans ton navigateur, pour aller visiter un site, tu dois créer un nouveau profil dans lequel tu renseignes le protocole, le nom de domaine, etc… je comprends que tu n’es pas à la disparition du protocole dans la barre d'adresse près !
Plus sérieusement, si tu veux comparer le « http:// » avec le courriel, ce ne sont pas POP et IMAP ses équivalents mais « mailto: ». Peut-être que finalement le fait qu’on ne le précise pas pour les courriels a donc eu un effet regrettable sur ta compréhension de l’outil ? Faisons que ça n’arrive pas pour le Web alors et gardons « http:// ».
En fait, pour les courriels, cela vient du fait qu’usuellement une adresse se distingue assez bien des autres URI du fait de sa forme (avec « @ » et tout). Mais on trouve toujours des contextes dans lesquels le préfixe est utile (distinction avec un compte SSH ou FTP par exemple). Ce n’est pas parce-qu’une simplification particulière est passée dans les usages courants qu’il faut tout faire disparaître de la vue des utilisateurs.
En plus, c’est une action que je trouve vraiment courante de copier un une adresse parfois avec et parfois sans le préfixe (passage en HTTPS, en FTP, etc). Si l’on veut s’aligner sur les gens qui cherchent « google » sur Google, ce n’est pas le préfixe qu’il faut enlever mais toute la barre d’adresse. C’est ça la simplification que tu veux ?
[^] # Re: et ftp alors ?
Posté par jyes . En réponse au journal Firefox : ça continue. Évalué à 3.
Non, si tu te connectes en HTTPS sur le port 80, tes données sont chiffrées, si tu te connectes en HTTP sur le 443, tes données sont non chiffrées… ça fait une grosse différence. Et le fond vert, bleu ou rouge du navigateur comme seule information, ça n’a rien d’intuitif non plus, ça dépend du navigateur et ça ne correspond à rien.
Comme j’en ai parlé dans un commentaire récent et que j’ai trouvé cette présentation très instructive, je t’invite à te rendre compte par toi même à quel point les utilisateurs « avancés » comme toi se laissent berner par une fausse sensation de sécurité : vidéo.
[^] # Re: Tor, anonyme ?
Posté par jyes . En réponse au journal Parution de la seconde édition du Guide d’autodéfense numérique . Évalué à 3.
Un très bel exemple avec SSLstrip (voir la vidéo). Ce genre de choses tournant sur un nœud de sortie TOR (et c’est ce qu’a fait l’auteur pour le tester) fait très très mal… et très peur quand on voit le nombre de sites qui ne supportent pas SSL de bout en bout. Même la page d’accueil pour la télédéclaration des impôts en France n’est pas accessible en HTTPS.
[^] # Re: Le bon plan : l'enseignement ?
Posté par jyes . En réponse au journal Programmez vous chez vous?. Évalué à 7.
C’est déjà pas mal quand-même…
[^] # Re: sortir le case
Posté par jyes . En réponse au message Optimisation de tests dans des boucles. Évalué à 1.
Bon, eh bien cette réponse et celles du dessus confirment ce que je craignais, je vais devoir sortir le test de mes boucles manuellement… Merci pour toutes vos remarques. En vrac :
Un grand merci à tous !
[^] # Re: De l'écart relatif
Posté par jyes . En réponse à la dépêche Sortie du Top 500 de juin 2011. Évalué à 3.
Je pense que ces arguments ne s’adressent typiquement pas aux usagers de machines présentes dans le Top 500 qui nécessitent de toute façon un entretien particulier. Quant à savoir si ce Windows HPC marche réellement sur les plus petits clusters, je n’en ai aucune idée mais je ne l’ai jamais vu utilisé. Mais même s’il était massivement adopté, je ne m’attendrais pas à un effet perceptible dans le Top 500.
[^] # Re: Chez moi…
Posté par jyes . En réponse au journal PulseAudio ou comment casser ce qui marche (pour le plaisir de casser). Évalué à 5.
Moi aussi j’utilise Debian depuis longtemps et là je suis carrément dégoûté ! Ils m’ont forcé à passer à GTK2, j’ai pourtant rien demandé !
Bon, t’as le droit de pas aimer Pulseaudio, mais accuser Debian de mettre à jour des composants de Gnome qui entre temps se sont mis à dépendre de Pulseaudio, c’est vraiment de la mauvaise foi !
[^] # Re: 1... 2... .3... Trollez !
Posté par jyes . En réponse à la dépêche 13 ans de LinuxFr.org : entretiens avec les visiteurs (4). Évalué à 3.
En attendant, pour le moment Gnome est encore un environnement bien découpé et l’un des plus utilisables partiellement dans un environnement alternatif. Son agent GPG et SSH est tout à fait utilisable sorti de Gnome, son gestionnaire de troussaux est un élément que l’on peut piocher sans entraîner tout le reste, sa gestion des systèmes de fichiers exportés via fuse fait que n’importe quel programme Gnome ou pas est capable d’en bénéficier, etc.
GTK a été bien nettoyé et les différents composants des applis Gnome sont bien séparés (toolkit graphique, gestion des calendriers, trousseaux, réglages des utilisateurs, gestion des périphériques de stockage, …) ce qui fait qu’il est très aisé d’utiliser un « demi-gnome » au quotidien. Et je n’ai pas l’impression que la tendance change.
Je déteste l’environnement Gnome complet (encore plus maintenant avec Gnome3) mais j’en utilise de gros morceaux en permanence avec grande satisfaction.
[^] # Re: ebook vue pour un plublic plus global
Posté par jyes . En réponse à la dépêche Richard Stallman donne son avis sur les e‐books. Évalué à 4.
Oui, enfin dénaturer, c'est juste un terme péjoratif pour parler d'œuvre dérivée. Pour le roman, si tu es un prétentieux égocentrique, pourquoi pas le ND, mais pour une diatribe c'est particulièrement débile. Par exemple, ça veut dire que si j'étais sensible à son argumentaire, je ne pourrais même pas m'en inspirer pour rédiger le mien. Ou comment limiter la portée de son propre message…
[^] # Re: SA ≠ NC
Posté par jyes . En réponse à la dépêche Des vidéos Youtube sous CC-BY. Évalué à 3.
Donc, « de ce que [tu] peux voir et comprendre, beaucoup de monde » n’est pas « prêt à diffuser » son travail sous une licence libre. C’est ce que te faisais remarquer Tanguy.
D’autant que diffuser son travail sur Youtube en voulant éviter que d’autres se fassent de l’argent avec… il y a comme une contradiction.