"mettre l'accent sur le fait que la vie privée et la propriété intellectuelle sont toutes les deux des droits fondamentaux." - Cécile Despringre, qui assure la représentation de la SACD à Bruxelles.
C'est fou de lire çà. Surtout quand on connait l'histoire du droit d'auteur prévus pour s'émanciper des éditeurs et non du public.
Et la "propriété intellectuelles" est censé être constitue d'ilot de d'exception au milieu de la liberté total. C'est ce que dise les cours de droit...
Si on parle de droit d'auteurs, il ferait mieux de remettre en cause le principe d'exclusivité qui lit auteur et éditeur. Ainsi, n'importe qui pourra vendre un auteur du moment qu'il paye les 7% de droits (ou plus par négociation). Cela serait étonnant que les éditeurs soient d'accord :)
J'avais laissé tomber le thread mais je suis surpris de trouver quelqu'un qui défende les brevets logiciels.
Certe, ils protèges les investissements par rapport au pays à bas couts. C'est peut-être le seul avantage mais c'est un usage bien faible.
Le but des brevets étaient de rendre la découverte public contre un temps de monopole.
Aujourd'hui, le contenu des brevets n'a aucun intérêt et il faut être un expert judiciaire pour comprendre leur porté. Il est même déconseillé de les lire pour avoir le bénéfice de la bonne fois en cas de procès.
Le système des brevets est utilisé comme un champ de mine pour essayer de coincer tout compétiteur. Il sert juste à garder le monopole sur un produit ou un secteur. Il sert aussi à interdire l'entrée de petit nouveau qui ne bénéficie pas de cross-licensing.
En fait, un gros avec plein de brevet peut agir comme si les brevets n'existaient pas car il peut menacer tout le monde de représailles. C'est d'autant plus facile en informatique où un produit peut violer des milliers de brevets.
Comment justifier l'intérêt économique général d'un fabricant de médicament qui à certes investie des centaine de millions de dollars sur 10 ans de recherche, mais qui fait 2 milliards de chiffre d'affaire pendant 20 ans avec sa découverte ? Si encore, il trouvait d'autre molécule mais même pas. Après le passage dans le domaine public, un labo qui faisait 2 milliard d'euro de CA est parti en faillite !
Dans l'informatique, c'est pire. Les maths qui relève du domaine des idées, ne sont pas brevetable. Mais quelle différence entre des algo et des maths ? Il suffit de trouver un domaine à un algo pour le rendre brevetable, par exemple, la moyenne est breveté en traitement d'image !
Les brevets en soi comporte des problèmes difficilement soluble. Par contre, dans le domaines de l'informatique, on sait que cela marche très bien sans. Tout les géants de l'informatique ont été créer pendant une aire sans brevets (année 80 en gros).
Si IBM avait eu des brevets, Microsoft n'existerait même pas.
Imaginez des fonctions de base comme le copier/coller ou le correcteur orthographique était breveté, cela serait l'horreur.
La grosse différence entre un objet et un programme c'est la quantité de brevet applicable. Il est tout à fait possible d'imaginer un gros programme qui viole tout les brevets logiciels, c'est impensable pour le matériel.
il ny a que 6000 CLB sur le spartan 3. Jai vraiment mal lu :)
Par contre, cela doit être un tout nouveau FPGA pour avoir une tel différence de prix par performance., il ne devait même pas exister lorsque que le spartan a été choisi.
La logique sera surement plus rapide mais pas plusieurs fois. Ensuite, il n'y a pas plus de ram mais 2 fois moins. 7,5 plus de slices certe elle sont plus grosse sur le virtex, mais globalement on peut dire qu'il y a 7 fois plus de ressources dans le FPGA d'opengraphics.
Il reste les multiplieurs en plus, mais ce n'est pas là la limite (pour le coeur 3D).
C'est simple. Ils ont à investir quelques centaines de milliers de dollars de leur poche pour créer la puce. Il n'ont pas envie de se faire copier immédiatement par un chinois. C'est du hard ici, il faut de l'argent à investir.
J'avais lu qu'enregistrer un disque coute quelques centaines de milliers de dollars, à mettre en perspective avec le prix d'un DVD et le cout d'un film.
- Publicité (ça coûte du pognon, beaucoup! faire une vidéo, frais de TF1 etc...)
euh combien de CD en vente chez un disquaire ? 1000 ? 10 000 ? Combien de pub de CD ? 10 ? 20 ?
- Pressage de CD
- Faire la pochette du CD
Sur internet, tu trouves des boites qui te font pressage de CD, pochette en quadrichromie pour .50€ par centaine. Imagines ce que peuvent négocier les majors...
J'ai lu d'après des textes de musiciens star (bassistes de je ne sais plus trop qui) qui expliquait que signer avec une majors était le truc le pire qui pouvait t'arriver.
Mais il n'expliquait pas les détails. si j'ai bien compris tu touches tes 7% mais ensuite tu payes dessus les "directeurs artistiques" et autre studio , le tout n'étant pas indexé sur les ventes et toi, tu touches ce qui reste. Ce qui peut être faible. Personne ne sait à quoi sert les 93% qu'il reste.
Sauf que dire "coeur risc" n'a strictement aucun sens.
Je sais que les x86 transforme les instructions en µinstructions voire en suite de µinstructions mais on est plus proche du vliw que du risc. Pour le pentium 4, on parlait de 118 bits ce qui réduisait de beaucoup le cache L1 instructions.
Un GPU surtout de bureau a plusieurs ordre de grandeurs de puissance qu'un DSP surtout de mobile.
Si on ne regarde pas les shaders qui pourrait être des x86 avec des instructions en plus, il reste le pipeline de coloration des triangles qui lui demande une puissance énorme mais qui se réalise très bien en hardware avec plein de multiplier et d'additionneur.
Dans le projet open-graphics, la question revient souvent dans l'utilisation de dsp mais la réponse est toujours la même : cela sera bien trop lent.
Au début, le RISC correspondait à une architecture load/store (load/store clairement séparer des opérations ALU, avec donc moins de mode d'adressage et un pipeline plus court). En général, le RISC a une taille d'instruction fixe (32 bits en général) pour simplifier le décodage et le pipeline.
Donc le x86 est du vrai CISC bien complexe et ne sera jamais du RISC quelques soit la micro architecture en dessous.
D'ailleurs, ARM avec son thumb2 est entrain de devenir de plus en plus CISC avec des instructions de tailles 16 ou 32 bits.
Hum, quid des FPGA qui vont se reconfigurer pour offrir la puissance de calcul (et ses outils) adaptés en fonction de la demande de logiciel ?
Bon, c'est pas trivial, mais ça se fait.
Les FPGA ont de gammes de fréquences autour de 100 Mhz et des prix autour de 1000€ (pour les plus gros vraiment capable de quelques choses) et il chauffe beaucoup.
Il ne faut pas oublier que la finesse de ce trait est la largeur de la grille, sur un transistor beaucoup plus gros genre 1 µm de haut. Vu de haut, un transistor ressemble à table de ping pong, la grandeur donnée est celle de l'épaisseur du filet.
Il y a donc une marge énorme sur la manière de dessiner les transistors.
Le titre de la dépêche est trompeur ("Gestion de l'énergie : se dépêcher de ne rien faire").
C'est juste un jeu de mots. Aujourd'hui, on sait qu'il faut couper tout ce dont on a pas besoin. Le dilemme concerne les temps de réveilles, il faut donc bien choisir entre coupé les horloges et les alimentations des modules.
Ensuite, il reste le problème des cpu eux-mêmes lorsqu'ils ont du boulot à faire.
Le paradigme actuel de Linux est "Race to idle". D'où le titre. Qui veut dire en gros, "on se dépêche d'aller dans l'état idle", d'où le tickless, et autre powertop.
L'autre paradigme est "spread to deadline" qui veut dire en gros, ralentir le cpu mais en garantissant une borne "temps réel". Cela consiste a diminuer la fréquence pour diminuer la tension. Typiquement, c'est d'avoir un "gouvernor" qui tend à avoir une charge de 1 au lieu d'une charge inférieur à 1.
L'auteur sort les chiffres intel 24W à 50% de fréquence, 35W à 100%. Conclusion : baisser la fréquence est idiot, il vaut mieux tourner à 100% pour aller plus vite en idle (qui bouffe 5W).
C'est vrai sous Intel, mais c'est pas gagné pour d'autre plateforme (system on chip).
Sachant que ce qui est lent sous linux, c'est le démarrage des services et la découverte des périphériques, je pense que BeOS n'avait pas beaucoup de service activé par défaut.
Coté driver, il devait être limité mais si j'ai bien compris son architecture micro noyau lui permettait de réutiliser les drivers linux. Donc, la phase d'init est la même.
Si vraiment les programmes de gestion d'énergie ne servent à rien, clairement, ici je ne vois pas pourquoi...
L'article parle de variation de fréquence. La gestion d'énergie c'est aussi couper tout ce qui ne sert à rien (l'horloge voir le courant) c'est déjà complexe.
# Une honte !
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Légalisation riposte graduée / spyware : Le Monde.fr confirme. Évalué à 5.
C'est fou de lire çà. Surtout quand on connait l'histoire du droit d'auteur prévus pour s'émanciper des éditeurs et non du public.
Et la "propriété intellectuelles" est censé être constitue d'ilot de d'exception au milieu de la liberté total. C'est ce que dise les cours de droit...
Si on parle de droit d'auteurs, il ferait mieux de remettre en cause le principe d'exclusivité qui lit auteur et éditeur. Ainsi, n'importe qui pourra vendre un auteur du moment qu'il paye les 7% de droits (ou plus par négociation). Cela serait étonnant que les éditeurs soient d'accord :)
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Cause toujours
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Le brevet logiciel revient au travers d'un traité bilatéral US-Europe !. Évalué à 3.
Certe, ils protèges les investissements par rapport au pays à bas couts. C'est peut-être le seul avantage mais c'est un usage bien faible.
Le but des brevets étaient de rendre la découverte public contre un temps de monopole.
Aujourd'hui, le contenu des brevets n'a aucun intérêt et il faut être un expert judiciaire pour comprendre leur porté. Il est même déconseillé de les lire pour avoir le bénéfice de la bonne fois en cas de procès.
Le système des brevets est utilisé comme un champ de mine pour essayer de coincer tout compétiteur. Il sert juste à garder le monopole sur un produit ou un secteur. Il sert aussi à interdire l'entrée de petit nouveau qui ne bénéficie pas de cross-licensing.
En fait, un gros avec plein de brevet peut agir comme si les brevets n'existaient pas car il peut menacer tout le monde de représailles. C'est d'autant plus facile en informatique où un produit peut violer des milliers de brevets.
Comment justifier l'intérêt économique général d'un fabricant de médicament qui à certes investie des centaine de millions de dollars sur 10 ans de recherche, mais qui fait 2 milliards de chiffre d'affaire pendant 20 ans avec sa découverte ? Si encore, il trouvait d'autre molécule mais même pas. Après le passage dans le domaine public, un labo qui faisait 2 milliard d'euro de CA est parti en faillite !
Dans l'informatique, c'est pire. Les maths qui relève du domaine des idées, ne sont pas brevetable. Mais quelle différence entre des algo et des maths ? Il suffit de trouver un domaine à un algo pour le rendre brevetable, par exemple, la moyenne est breveté en traitement d'image !
Les brevets en soi comporte des problèmes difficilement soluble. Par contre, dans le domaines de l'informatique, on sait que cela marche très bien sans. Tout les géants de l'informatique ont été créer pendant une aire sans brevets (année 80 en gros).
Si IBM avait eu des brevets, Microsoft n'existerait même pas.
Imaginez des fonctions de base comme le copier/coller ou le correcteur orthographique était breveté, cela serait l'horreur.
La grosse différence entre un objet et un programme c'est la quantité de brevet applicable. Il est tout à fait possible d'imaginer un gros programme qui viole tout les brevets logiciels, c'est impensable pour le matériel.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: glop !
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le projet Open Graphics vend sa première carte. Évalué à 3.
Par contre, cela doit être un tout nouveau FPGA pour avoir une tel différence de prix par performance., il ne devait même pas exister lorsque que le spartan a été choisi.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: glop !
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le projet Open Graphics vend sa première carte. Évalué à 2.
open graphics un Spartan-III XC3S4000.
http://www.xilinx.com/products/silicon_solutions/fpgas/virte(...)
XC5VSX510T : 8 160 slices, 780kb de mémoire, 288 "bloc DSP"
http://www.xilinx.com/products/silicon_solutions/fpgas/spart(...)
XC3S4000: 62 208 slices, 1 700kb de mémoire, 96 multipliers
La logique sera surement plus rapide mais pas plusieurs fois. Ensuite, il n'y a pas plus de ram mais 2 fois moins. 7,5 plus de slices certe elle sont plus grosse sur le virtex, mais globalement on peut dire qu'il y a 7 fois plus de ressources dans le FPGA d'opengraphics.
Il reste les multiplieurs en plus, mais ce n'est pas là la limite (pour le coeur 3D).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: GPU et DSP
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les GPU promis à une mort prochaine ?. Évalué à 2.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Suite de développement FPGA libre ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le projet Open Graphics vend sa première carte. Évalué à 5.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Que peut-on faire avec
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le projet Open Graphics vend sa première carte. Évalué à 2.
Donc à coté de reprogrammer, je ne mettrais pas "facilement".
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: glop !
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le projet Open Graphics vend sa première carte. Évalué à 5.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: glop !
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le projet Open Graphics vend sa première carte. Évalué à 9.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: model économique
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal De retour.... Évalué à 4.
- Publicité (ça coûte du pognon, beaucoup! faire une vidéo, frais de TF1 etc...)
euh combien de CD en vente chez un disquaire ? 1000 ? 10 000 ? Combien de pub de CD ? 10 ? 20 ?
- Pressage de CD
- Faire la pochette du CD
Sur internet, tu trouves des boites qui te font pressage de CD, pochette en quadrichromie pour .50€ par centaine. Imagines ce que peuvent négocier les majors...
- Réseau de distributeurs
De mémoire la marge est de quelques euros.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: GPU vs CPU
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les GPU promis à une mort prochaine ?. Évalué à 3.
Pour un GPU, il peut y avoir plusieurs ordre de grandeur de perf. (au moins 1 en tout cas, donc un rapport 10) entre le moyen et le haut de gamme.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Je ne peux m'empêcher de me demander
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal De retour.... Évalué à 3.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: model économique
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal De retour.... Évalué à 6.
Mais il n'expliquait pas les détails. si j'ai bien compris tu touches tes 7% mais ensuite tu payes dessus les "directeurs artistiques" et autre studio , le tout n'étant pas indexé sur les ventes et toi, tu touches ce qui reste. Ce qui peut être faible. Personne ne sait à quoi sert les 93% qu'il reste.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Le CPU, limité dans son évolution
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les GPU promis à une mort prochaine ?. Évalué à 2.
Je sais que les x86 transforme les instructions en µinstructions voire en suite de µinstructions mais on est plus proche du vliw que du risc. Pour le pentium 4, on parlait de 118 bits ce qui réduisait de beaucoup le cache L1 instructions.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: GPU et DSP
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les GPU promis à une mort prochaine ?. Évalué à 3.
Si on ne regarde pas les shaders qui pourrait être des x86 avec des instructions en plus, il reste le pipeline de coloration des triangles qui lui demande une puissance énorme mais qui se réalise très bien en hardware avec plein de multiplier et d'additionneur.
Dans le projet open-graphics, la question revient souvent dans l'utilisation de dsp mais la réponse est toujours la même : cela sera bien trop lent.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Le CPU, limité dans son évolution
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les GPU promis à une mort prochaine ?. Évalué à 5.
Au début, le RISC correspondait à une architecture load/store (load/store clairement séparer des opérations ALU, avec donc moins de mode d'adressage et un pipeline plus court). En général, le RISC a une taille d'instruction fixe (32 bits en général) pour simplifier le décodage et le pipeline.
Donc le x86 est du vrai CISC bien complexe et ne sera jamais du RISC quelques soit la micro architecture en dessous.
D'ailleurs, ARM avec son thumb2 est entrain de devenir de plus en plus CISC avec des instructions de tailles 16 ou 32 bits.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: CPU, GPU, autres et langue
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les GPU promis à une mort prochaine ?. Évalué à 6.
Bon, c'est pas trivial, mais ça se fait.
Les FPGA ont de gammes de fréquences autour de 100 Mhz et des prix autour de 1000€ (pour les plus gros vraiment capable de quelques choses) et il chauffe beaucoup.
Ce n'est simplement pas compétitif.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Limites de la finesse de gravure
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Les GPU promis à une mort prochaine ?. Évalué à 9.
Il y a donc une marge énorme sur la manière de dessiner les transistors.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas à l'utilisateur de deviner
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Gestion de l'énergie : se dépêcher de ne rien faire. Évalué à 6.
C'est juste un jeu de mots. Aujourd'hui, on sait qu'il faut couper tout ce dont on a pas besoin. Le dilemme concerne les temps de réveilles, il faut donc bien choisir entre coupé les horloges et les alimentations des modules.
Ensuite, il reste le problème des cpu eux-mêmes lorsqu'ils ont du boulot à faire.
Le paradigme actuel de Linux est "Race to idle". D'où le titre. Qui veut dire en gros, "on se dépêche d'aller dans l'état idle", d'où le tickless, et autre powertop.
L'autre paradigme est "spread to deadline" qui veut dire en gros, ralentir le cpu mais en garantissant une borne "temps réel". Cela consiste a diminuer la fréquence pour diminuer la tension. Typiquement, c'est d'avoir un "gouvernor" qui tend à avoir une charge de 1 au lieu d'une charge inférieur à 1.
L'auteur sort les chiffres intel 24W à 50% de fréquence, 35W à 100%. Conclusion : baisser la fréquence est idiot, il vaut mieux tourner à 100% pour aller plus vite en idle (qui bouffe 5W).
C'est vrai sous Intel, mais c'est pas gagné pour d'autre plateforme (system on chip).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Et les micro noyaux type HURD ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche La fin du verrou global dans le noyau Linux ?. Évalué à 6.
Mais l'ihm de BeOS ne faisait pas ce que fait KDE. Comparre avec icewm ou windows maker dans ce cas.
Ce qui est une bonne conception, ne serait-ce que du point de vue sécurité..
Donc, tu ne compares pas à fonctionnalité identique.
Le matériel compatible était limité oui, mais en quoi cela explique un boot plus lent ou plus rapide?
Beaucoup moins de "probe" à tester pour identifier tous le matériel. C'est la majeur partie du temps de boot du kernel lui-même.
Non, je ne pense pas que BeOS réutilisait les drivers Linux, ne serait-ce que d'un point de vue licence cela ne passerait pas..
De mémoire, il avait fait un tour de passe-passe très limite avec un serveur de drivers qui était en open-source qu'utilisais le reste du noyau.
"La première sécurité est la liberté"
# mandriva 2008 64 bits
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Déclaration d'impôts 2008 sous Linux. Évalué à 2.
A priori, le plugin ns n'existe pas en 64 bits et java 7 n'est pas assez complète pour faire fonctionner le truc des impôts.
Pour faire fonctionner les impots, il faut une JVM mais aussi le lien entre la jvm et le navigateur qui n'existe pas encore en 64 bits.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Et les micro noyaux type HURD ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche La fin du verrou global dans le noyau Linux ?. Évalué à 1.
Coté driver, il devait être limité mais si j'ai bien compris son architecture micro noyau lui permettait de réutiliser les drivers linux. Donc, la phase d'init est la même.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas à l'utilisateur de deviner
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Gestion de l'énergie : se dépêcher de ne rien faire. Évalué à 2.
L'article parle de variation de fréquence. La gestion d'énergie c'est aussi couper tout ce qui ne sert à rien (l'horloge voir le courant) c'est déjà complexe.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: pas convaincu.
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Gestion de l'énergie : se dépêcher de ne rien faire. Évalué à 7.
Surtout que l'on parle toujours d'amélioration, cela ne règle jamais le problème.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: un peu trompeur
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Gestion de l'énergie : se dépêcher de ne rien faire. Évalué à -3.
"La première sécurité est la liberté"