Obsidian a écrit 5292 commentaires

  • [^] # Re: Je ne supporte plus les "supportés"

    Posté par  . En réponse au journal L'Etat du Massachusetts pourrait rejeter Microsoft Office. Évalué à 2.

    Tout-à-fait, et c'est dans la liste que je propose. D'ailleurs, le supporter des terrains de football s'entend dans ce sens-là aussi : La personne venue soutenir son équipe.

    Effectivement, dans le texte présent, cette phrase est un cas d'école en traduction : Le sens premier est probablement ici celui de « prendre en charge » mais OOo « soutient » l'utilisation de ce format, en plus de simplement le reconnaître. Et c'est intéressant.
  • [^] # Re: Un standard bien à lui ...

    Posté par  . En réponse au journal L'Etat du Massachusetts pourrait rejeter Microsoft Office. Évalué à 4.

    Je n'ai pas suivi récement les tribulations des produits de chez Kro, mais je vois écrit "Open XML" standard. Il y a peut-être des chances que le format en question soit disponible quelque part (à condition que ce Open ne signifie pas "distribution sous license Open" ou autre ânerie du même acabit).
  • # Je ne supporte plus les "supportés"

    Posté par  . En réponse au journal L'Etat du Massachusetts pourrait rejeter Microsoft Office. Évalué à 10.

    d'adopter un format de fichier ouvert et standardisé comme par exemple le format OpenDocument (OASIS) supporté par OpenOffice.org


    Par pitié, cessez de traduire to support par "supporter". On dit, selon les cas, reconnaître, prendre en charge, ou bien soutenir. On peut utiliser assistance sous sa forme non conjuguée.

    "Supporter" est non seulement un faux-ami, mais c'est également très laid, et le sens français est beaucoup plus lourd qui ne l'est en anglais, en plus d'être différent. Alors, de grâce, oeuvrez pour que cet anglicisme ne passe pas définitivement dans le langage courant.

    Merci.
  • # Repered

    Posté par  . En réponse au message Qui se connecte sur ma base?. Évalué à 2.

    Bonjour, j'administre un jeu en php et je soupconne une tricherie... Avant de changer mes pass, j'aimerai savoir si d'autre que moi se connecte sur ma base.


    Merde, ça s'est déjà vu ? :-)
  • [^] # Re: Chroot

    Posté par  . En réponse au message reparer LILO sans disquette. Évalué à 2.

    Si si, je confirme : C'est comme ça que je répare les miens.
    Sinon pour lilo, as-tu bien lancé la commande « lilo » après avoir modifié ton fichier de config ?
  • [^] # Re: Je sais ou il est.

    Posté par  . En réponse au journal Surprenant. Évalué à 2.

    Quelqu'un sait où en est sa grève de la faim, d'ailleurs ?
  • [^] # Re: Je sais ou il est.

    Posté par  . En réponse au journal Surprenant. Évalué à 1.

    « Un beau jour, je me lèverai et il fera beau »

    Abel Chemoul ! :-)
  • [^] # Re: Et le Cell?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie du noyau Linux 2.6.13. Évalué à 8.

    Oui, car quand l'Intel pleure, le Cell rit !
  • # Disque dur et SSH

    Posté par  . En réponse au journal Récupérer de vieux ordis pour bidouiller. Évalué à 4.

    Pour les sessions graphiques, on utilise VNC pour prendre un bureau à distance, cela devrait correspondre à ce que tu cherches. Sinon, avec ssh, tu peux utiliser l'option -X pour activer la redirection du flux X-Window et ouvrir sur ton bureau local les applications qui tournent sur ta machine de test, et ce de manière transparente.

    Pour le reste, tu peux effectivement acheter une machine de test mais cela va te coûter cher et te prendre de la place chez toi (sans compter la température, le bruit et l'électricité consommée qui n'est pas négligeable). Et de toutes façons, tu ne pourras faire des tests que sur ce qu'étaient les machines à l'époque où elles sont sorties. Et Linux lui-même a beaucoup évolué depuis également. En revanche, il est vrai que plus les machines sont anciennes, plus elles sont faciles et agréables à bidouiller. À toi de voir donc.

    Ce que je te conseille donc, c'est de faire tous tes tests dans un premier temps sur ta machine de travail, avec un compte dédié à cet usage. Il est beaucoup moins facile de planter un système Unix qu'un Windows. Un bon petit su, chrooté comme il se doit, devrait suffire à te définir un terrain de jeu suffisament éloigné de ton travail.

    Par la suite, quand tu en seras à modifier le MBR avec un dd bien configuré, à recompiler le noyau et à faire des bidouilles en espace root ou kernel, le mieux que tu aies à faire à mon avis est d'acheter un rack et un second disque dur. Tu installes un système de travail à l'identique sur ton second disque, puis tu t'amuses à le bidouiller. Si tu le crashes complètement, soit tu le réinstalles, soit tu fais un « cp -R » depuis ton disque de production. La seule chose à laquelle il faut veiller est de mettre en place un code couleur bien visible sur tes deux disques histoire de ne pas te tromper de volume lorsqu'il te prendra l'envie de jouer aux apprentis-sorciers :-)

    Sinon, si tu décides d'acheter tout de même une ou deux machines, fais l'économie du moniteur, du clavier et de la souris et prends à la place un switch vidéo. Leurs prix ont également bien chuté sur Montgallet. Tu pourras mettre tes machines là où elles ne gênent personne et c'est infiniment plus confortable de ne pas avoir à changer de console.

    Pour l'anecdote, je m'éclate avec le même genre d'exercices. L'un de mes derniers petits programmes est un bootloader à deux entrées, un barre de sélection, et un scrolling d'étoiles horizontal en trois plans différentiels à la mode 1985-1990. Il est écrit entièrement en assembleur et tient en 446 octets, ce qui me permet de l'installer directement dans le MBR sans écraser la table des partitions et sans avoir à écrire de bootstrap. Ce genre de bidouilles est vraiment aussi instructif que ludique. Les plus jeunes commencent aujourd'hui directement sous Windows et n'ont que rarement l'occasion d'aller extraire les tripes de leur machine. Dommage ...
  • # IOI ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Médaille d'or pour la France aux Olympiades Internationales d'Informatique. Évalué à 9.

    Moi, je dis qu'une compétition qui se déroule sous le sigle IOI, c'est un coup à se faire kicker de tous les canaux IRC ...

    (Vous pouvez envoyer les « - », maintenant).
  • [^] # Re: Synaptic

    Posté par  . En réponse au message Insatllation d'un .deb. Évalué à 2.

    Rassures-toi, j'utilise également Synaptic (et en plus j'utilise Ubuntu) ! Mon post était au second degré.

    Ceci dit, la ligne de commande n'est pas un signe de reconnaissance entre linuxéistes membres d'un cercle privé. C'est un outil extrêmement puissant, bien plus que ne peut l'être une interface graphique pilotée à la souris. Faire l'effort d'apprendre à s'en servir paye presqu'immédiatement. Sans cela on perd la majeure partie des avantages d'un système Unix. Pas l'intégralité certes, mais la majeure partie quand même.

    Il est dommage de voir des gens se braquer dans un domaine particulier simplement parce que le premier pas coûte un peu plus que les autres.
  • [^] # Re: Synaptic

    Posté par  . En réponse au message Insatllation d'un .deb. Évalué à 2.

    En ligne de commande (que j'utilise le moins possible) ça donne :
    apt-cache search <fichier>, pour voir s'il est dispo et
    apt-get intall <fichier> pour installer


    - Un mauvais point pour ne pas utiliser la ligne de commande,
    - Un bon point pour connaître les commandes quand même !
  • # Ah ?

    Posté par  . En réponse au journal vive ouinedoze vista !!. Évalué à 10.

    Je ne voudrais pas jouer les rabats-joie mais ne serait-ce pas ce que l'on entend à chaque fois que Bill sort une nouvelle version de son système ?
  • [^] # Re: Mea Culpa

    Posté par  . En réponse au message [mount] '/dev/hdc : ne peut lire le super bloc'. Évalué à 2.

    J'espère bien parce que /dev/cdrom n'est pas un device officiel. C'est tout le temps un lien symbolique qui pointe le bon périphérique. Et sur 99% des PCs, le CD-ROM est installé sur /dev/hdc (le secondary master du port IDE).

    Donc tu es dans le cas de figure le plus courant.
  • [^] # Re: Passerelle par défaut ?

    Posté par  . En réponse au message Accéder à tous les ports avec connexion internet partagée. Évalué à 2.

    Ben si c'est de Internet vers ta machine Linux, derrière ta passerelle Windows, que cela ne fonctionne pas, c'est tout-à-fait normal ! Imagine qu'il y ait plusieurs machines derrière ta passerelle, chacune disposant de son adresse IP locale en 192.168.0.x : vers laquelle de ces adresses ton port 80 (ou n'importe quel autre) devrait-il être redirigé ?

    Dans ce cas, oui, il faut configurer Windows. C'est vrai d'ailleurs pour toutes les passerelles, qu'elles soient mises en oeuvre à l'aide d'un PC sous un système d'exploitation quelquonque ou par un appareil dédié, comme un modem routeur, ou une Freebox par exemple. Cette dernière est d'ailleurs administrée par le site de Free, et une fonction pour faire cela existe. Je m'en sers personnellement pour rediriger mon port 22.

    Et puis de toutes façons, ta passerelle relaye en son nom, comme un proxy, les paquets provenant de ses ouailles. Si tu attaques le port 80 depuis Internet, c'est le port 80 de ta machine Windows que tu interrogeras, indépendement de ses fonctions de passerelle ...
  • [^] # Re: Et les packages ?

    Posté par  . En réponse au message Installation de Tux Racer (glx.h out of date). Évalué à 2.

    Oui, c'est vrai, la majorité de ce qui est graphique ayant été développé récement sous Linux, pratiquement tout ce qui est intéressant dans ce domaine nécessite une carte 3D avec accélération graphique, même lorsque les jeux sont en 2D (exemple : Chromium) ! D'un autre coté, tout est basé sur OpenGL ce qui est à mon goût une chose relativement bonne.

    Autrement dit, on se sert presque partout des fonctions d'OpenGL, qui les délègue ensuite à la carte graphique si elle est capable de les prendre en charge. Dans le cas contraire, on utilise Mesa, qui est une implémentation logicielle de ces fonctions. Autrement dit : le rendu 3D va se faire, mais Mesa prendra tout le temps qu'il veut pour y parvenir.

    Prérequis : As-tu bel et bien une carte graphique 3D NVidia dans ta machine (c'est idiot mais tu serais surpris d'entendre les réponses que l'on reçoit parfois) ?

    Ensuite, où as-tu récupéré ces pilotes ? Depuis les packages de ta distribution ou directement depuis le site de NVidia ?

    Parce que là, pour le coup, je n'ai jamais vu une distribution packager ces pilotes correctement, pas même sur Ubuntu. À la place, il te faudra d'abord recompiler un noyau (pas forcément très compliqué mais il faut s'y préparer un peu la première fois). De toutes façons, tout linuxéiste doit passer par là tôt ou tard. Ensuite, tu choppes le pilotes directement sur le site de NVidia et tu lui demandes de se recompiler tout seul. Comme l'interface est propriétaire, tu n'auras pas de --configure ou autres options à passer. Simplement une suite de questions de type OUI/NON et tu obtiendras un module tout chaud pour ta carte graphique.

    Je l'ai encore fait pas plus tard qu'hier sur mon portable et tout s'est très bien passé.

    Bonne chance.
  • # Passerelle par défaut ?

    Posté par  . En réponse au message Accéder à tous les ports avec connexion internet partagée. Évalué à 3.

    Il est probable si tu ne l'as pas déjà vérifié que ton PC sous Linux ait une carte réseau proprement montée mais que tu n'aies pas défini de passerelle par défaut :

    # route add default gw 192.168.0.1 eth0

    Tu pourras déjà pinguer des adresses IPs en dehors de ton réseau local. Ensuite, il faudra configurer les DNS. Mets les adresses que t'a filé ton fournisseur d'accès dans /etc/resolv.conf, ferme puis rouvre ton navigateur web préféré puis essaye de te balader sur le net.

    À noter que la commande route fait la modif' à chaud mais en aucun cas ne la sauvegarde. À toi de paramétrer les fichiers de config de ta distribution avec les outils adéquats.

    D'autre part, si ta passerelle est également équipée d'un serveur DHCP, c'est plutôt par ce biais que tu devrais récupérer les DNS.

    Bon courage.
  • # Et les packages ?

    Posté par  . En réponse au message Installation de Tux Racer (glx.h out of date). Évalué à 2.

    Question bête : Tuxracer n'existerait-il pas sous forme compilée dans les packages de ta distrib ?

    Dans ce cas, tu insères le CD qui convient, tu montes le lecteur le cas échéant, tu vas dans le bon répertoire et tu fais rpm -i tuxracer en root. Cela devrait suffire.

    Sinon, d'une manière générale, changer un fichier isolé comme un .h, tout seul, c'est une mauvaise idée. Cela veut dire que la version de la bibliothèque que tu utilises est incorrecte et qu'il faut mettre à jour cette dernière. La encore, tu peux la recompiler, et c'est fortement recommandé pour apprendre, mais si tu veux avoir un système bien intégré et qui fonctionne, il vaut mieux passer par les RPMs une fois encore.
  • [^] # Re: Va voir ici

    Posté par  . En réponse au message Unix. Évalué à 5.

    J'aime beaucoup l'arbre généalogique d'Éric Lévénez, c'est tout de suite beaucoup plus clair ! Clique sur la frise en tête de document pour savoir exactement où se situe chaque clône dans la filiation. Si tu regardes la droite du graphique, tu t'apercevras également qu'il en reste beaucoup moins aujourd'hui.

    Pour le Wikipédia, voici la page qui traite de ce système d'exploitation :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/UNIX(...)

    En ce qui concerne BSD, il faut savoir qu'il y a dans le monde Unix deux grandes tendances : le style SysV et le style BSD. Cela est dù à un fork très précoce, lorsque la très prolifique université de Berkeley a produit sa propre distribution du système, la Berkeley Software Distribution (BSD). Cette distribution a intégré nombre de fonctions logicielles fort intéressantes, leurs ambassadeurs étant les célèbres sockets, qui ont été progressivement repris par les autres grandes branches, et qui ne seront intégrés dans le système de Redmond qu'à partir de Windows 95.

    C'est ce qui fait que globalement les Unix se ressemblent mais que certaines fonctions ne soient historiquement disponibles (en standard) que sur certaines « saveurs » d'Unix et pas sur d'autres, qui utilisent des systèmes légèrement différents.

    On explique souvent cela en prenant en comparaison Debian et Redhat, deux distributions majeures du système Linux, qui ont chacune engendré une descendance de distributions basées sur elles, Knoppix, Ubuntu, etc. pour la première, et Mandrake et compagnie pour la deuxième.

    D'ailleurs, pour éviter de voir se reproduire le fork des années 70 et ses conséquences facheuses (incompatibilités), on a créé le Linux Standard Base (LSB) sur http://www.linuxbase.org/(...) , qui tente de définir ce que doit être une distribution minimum de Linux, et ce que chaque distributeur doit au moins proposer.

    Enfin, il est important de noter que si chaque distribution de Linux a ses propres caractéristiques (qui la distinguent des autres), le noyau Linux lui-même reste le même. Les différents Unices cités dans cet historique proposaient eux-mêmes (en général commercialement) tant le noyau que la suite logicielle qui l'entoure (soit GNU en ce qui concerne Linux), ce qui fait que même les appels systèmes (et pas seulement la façon d'utiliser les commandes) présentaient des caractéristiques particulières selon les systèmes.

    Enfin, il est important de signaler qu'en ces temps reculés, le système était souvent intimement lié à sa machine, qui avait ses propres atoûts, elle-aussi, ce qui faisait souvent la différence. Le système était alors conçu pour la piloter. On était loin du temps où 95% des gens utilisent des PCs.
  • [^] # Re: Un article... trollesque

    Posté par  . En réponse au journal La geek attitude : enfin un article qui a tout compris.... Évalué à 3.

    N'empêche que ça colle ! J'habite en banlieue parisienne (91) et je suis sous Ubuntu ! Et avant ça, j'étais sous Mandrake, mais ce n'était pas autant urbanisé par chez moi ...
  • [^] # Re: Hum

    Posté par  . En réponse au message calcul de la taille d'un répertoire. Évalué à 2.

    en remplaçant le « -h » par « -k », on obtient toujours la taille occupée en kilo-octets, ce qui est beaucoup plus adapté à une utilisation par un script.
  • [^] # Re: Hum

    Posté par  . En réponse au message calcul de la taille d'un répertoire. Évalué à 2.

    Ou encore split dans le programme Perl, histoire de ne pas lancer deux processus pour pas grand chose ...
  • [^] # Re: wikipédia

    Posté par  . En réponse au message Quelle distribution linux choisir?. Évalué à 4.

    Il pourra ensuite aller voir le Linux Distribution Chooser pour faire son choix :

    http://www.zegeniestudios.net/ldc/(...)
  • # XEvent

    Posté par  . En réponse au message Xlib - bords actifs - demande conseils. Évalué à 2.

    man XEvent

    Ton programme n'est pas entièrement mauvais, mais tu ne gères pas du tout les événements renvoyés par X-Window. L'idée générale est de configurer ta connexion au serveur X de façon à ce que celui-ci ne t'envoie que les événements qui t'intéressent, ici les mouvements de souris. Cette première phase rendra déjà beaucoup de temps au système. Ensuite tu te mets en attente d'un signe du serveur X avec XNextEvent().

    C'est en fait comme cela que fonctionnent tous les programmes X-Window, et d'une manière générale tous ceux qui utilisent une interface graphique commune. Une boucle principale, un test de la nature de l'événement avant d'appeler la routine correspondante, avant de retourner dans la boucle et attendre le prochain événement.
  • [^] # Re: Incrustation d'un code d'identification via les Laser Couleur

    Posté par  . En réponse au journal Incrustation d'un code d'identification via les Laser Couleur. Évalué à 5.

    Encore faut-il que tous ces procédés soient de réputation publiques. Jusqu'à la publication de ce journal, je n'étais pas au courant. Je connaissais les watermarks, mais je ne savais pas que les grands noms de l'industrie avaient déjà intégré ce genre de choses dans les machines de tout un chacun.

    Combien d'autres filouteries se cachent encore dans nos machines ?