Oliver a écrit 243 commentaires

  • # Abandon du fork Glimpse depuis un an

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Compte rendu de GIMP en 2021 et sortie de GIMP 2.10.30. Évalué à 4. Dernière modification le 25 février 2022 à 21:44.

    Merci à la communauté GIMP. J’utilise GIMP depuis une vingtaine d’années. Au début, je n’y comprenais pas grand-chose. Mais à force de l’utiliser et d’expérimenter ses menus j’arrive de mieux en mieux à sortir des résultats impressionnants. Mais, je suis conscient que je maîtrise seulement 1 % de ses possibilités. En même temps, je n’ai pas le courage (ni le temps) de lire les tutoriels (ni regarder des tutoriels vidéos).

    Pour info, le fork Glimpse n’est plus maintenu depuis un an pile. Le dernier post explique que le contributeur principal, Bobby Moss, croulait sous les tâches annexes : modération, tri des bogues, empaquetage, échanges avec le projet GIMP, médias sociaux, administration système, tests, documentation… Cette situation était due à la raréfaction des contributeurs durant la pandémie, malgré le nombre croissant d’utilisateurs.

    Mais Bobby avait besoin de son job à plein temps pour subvenir à ses besoins financiers, et son employeur ne voulait pas qu’il s’implique autant à Glimpse. Son employeur lui a conseillé d’arrêter temporairement sa participation au projet, ce qu’il a fait.

    Au bout de 10 semaines, Bobby revient et découvre le projet au point mort. N’ayant plus l’énergie, ni le temps, pour tout redémarrer, Bobby a préféré quitter le projet, en fermant ses droits d’accès. Personne d’autre ne voulait/pouvait s’occuper du projet et tous les dépôts de code source ont été passés en mode « lecture seule ». Les donations que le projet Glimpse continuait à percevoir (800 $) ont été rendus à l’Open Collective.

    C’est dommage, car ce fork pouvait apporter de bonnes idées à la structure du code source de GIMP, et tenter d’inventer une nouvelle UX/UI.

    J’espère que ce type d’abandon n’arrivera pas à GIMP (Jehan arrête la moto, c’est trop dangereux). Continuons de soutenir financièrement les contributeurs, et toute la communauté GIMP. ;-)

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  • [^] # Re: Openclipart

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Tour d'horizon des images libres (et pas libres). Évalué à 2.

    Merci Stéphane, 👍 je ne connaissais pas l’initiative OCAL
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Open_Clip_Art_Library
    Mon article se concentre essentiellement sur les photos.
    Il faudrait également compléter avec tous les sites qui proposent des images vectorielles libres…

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  • [^] # Pas con d'avoir des peaux supplémentaires !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Ça y est!! Je suis passé au bépo…. Évalué à 2.

    Pas con d'avoir des peaux supplémentaires !

    Ma femme peine à utiliser mon clavier BÉPO (pas de peau, les caractères sont imprimés directement sur les touches).

    Je compte donc commander une peau AZERTY…

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  • [^] # Re: Je suis débutant BÉPO depuis 6 ans !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Ça y est!! Je suis passé au bépo…. Évalué à 2.

    Oui, tu pourrais avoir mon TypeMatrix BÉPO… mais je commence à m’y habituer et je pense être à l’aise dans quelques mois… Si tu récupères mon TypeMatrix BÉPO, je me lancerais aors dans une étude de marché des claviers ergonomiques de type DWORAK (en deux morceaux).

    Si c’était à refaire, je ne prendrais pas un clavier TypeMatrix, ni aucun clavier qui force les doigts des deux mains à s’aligner sur la même ligne. J’opterai plutôt pour un clavier en deux morceaux (un demi-clavier pour chaque main).

    Pour la disposition des touches, je ne prendrai pas BÉPO non plus. Quand mon GRUB est passé en mode console, ou quand mon kernel linux passe en mode recovery, ou encore quand j’ouvre une session TTY avec [Ctrl]+[Alt]+[F3] je galère grave avec mon TypeMatrix BÉPO. Je sais que je peux charger mon mapping keyboard sur GRUB et kernel linux, mais j’ai la flemme. En plus, c’est rare de trouver des laptops vendus avec la disposition BÉPO. :(

    Je ne connais “pas bien” / “plus trop” les différentes dispositions de clavier, mais je privilégierai une disposition proche du QWERTY qui permette un accès facile aux caractères internationaux. Je pense que je ferai un peu comme toi : un QWERTY américain international ou le canadien multilingue avec la possibilité de brancher un clavier en deux morceaux et passer en DVORAK (ou autre disposition du même style).

    Actuellement, j’utilise le mapping “Bepo AFNOR” qui remplace l’apostrophe traditionnelle par une autre, ce qui est incompatible avec le code source et le mot de passe qui contiennent ce caractère :( C’est dommage j’aimais bien… je sens que je vais me faire mon propre mapping et inverser < et «…

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  • [^] # Re: Flutter et le libre...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Changeons ces logiciels open source qui nous espionnent. Évalué à 2.

    Salut

    Pour Nuxt, nous n’avons pas vraiment investigué (d’où mon retour tardif). Il semble que ça marche bien pour des features frontend avancées comme les PWA, et des trucs pour le référencement d’après notre compréhension.

    Sans l’avoir utilisé, Nuxt nous parait un peu un framework de niche, non ? On ne voit pas trop l’avantage de Nuxt pour notre landing page (présentation du projet), ni pour notre webapp. En utilisant directement Vue3, nous pensons avoir plus de liberté.

    Pourquoi Nuxt pourrait nous simplifier la vie ?
    Quels sont les avantages d’utiliser Nuxt pour un site web statique (site institutionnel du style One-Page Website) ? pour une webapp avec des interactions avec l’API backend ?

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  • [^] # Re: On en parle dans zdnet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Tour d'horizon des images libres (et pas libres). Évalué à 6.

    Incroyable !   Merci Ysabeau de l’avoir signalé. ;)
    Ça fait plaisir de voir du travail libre réutilisé. :D

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  • [^] # Re: Changement de licence

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Tour d'horizon des images libres (et pas libres). Évalué à 5.

    Moi aussi je trouve ça débile.

    J’avais lu ce cas « Le Voyage dans la Lune » dans un article (ou une discussion sur Wikipédia), écrit par une personne calée sur le sujet.

    Essaye de téléverser la version colorisée sans sa bande son sur commons.wikimedia.org   ;-)

    Jehan narre une anecdote connexe. Je résume :

    J’avais préparé une super défense. La juge m’a répondu que mon explication avait carrément du sens, puis elle a lu à haute voix la loi et a dit qu’elle ne voyait pas d’échappatoire, bien que ce soit totalement absurde et injuste : la loi faisait que ça pouvait pas en être autrement. Avec la loi, l’avis ou la logique a peu d’intérêt.

    Perso, je vois les députés comme des codeurs, la loi comme le code source, et les juges comme des processeurs exécutant le code source et ses bugs.

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  • [^] # Postgres est bien plus robuste/fiable que InfluxDB

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Virevoltantes valses de licences libres et non libres dans les bases de données. Évalué à 3.

    En gros, de nombreux·ses DB admin considèrent qu’une DB est fiable quand elle a été utilisée en prod pendant de nombreuses années par tout plein d’organisations différentes dans des conditions variées, et que tous les problèmes rencontrés ont été corrigés depuis des années. Le cœur de TimescaleDB étant Postgres, celui-ci est considéré suffisamment sûr pour lui confier les données les plus critiques de l’organisation. Par contre, le moteur de InfluxDB a été complètement réécrit 4 fois en 8 ans… no comment.

    Et ça ne suffit pas, faut aussi proposer tout plein d’outils d’administration, réplication, archivage, récupération, réparation, détection des corruptions… TimescaleDB bénéficie d’une multitude d’outils de l’écosystème Postgres. Par contre, InfluxDB est parti de zéro et propose très peu d’outils.

    Tiens, voilà une comparaison de la robustesse bien expliquée dans le chapitre Reliability de cet article : https://blog.timescale.com/blog/timescaledb-vs-influxdb-for-time-series-data-timescale-influx-sql-nosql-36489299877/#reliability

    Attention, c’est écrit par Timescale pour vanter la supériorité de TimescaleDB sur InfluxDB, donc à lire avec discernement. Cependant ça explique bien la notion de robuste pour une DB.

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  • [^] # Re: Pour ma part, je passe à d'autres solutions

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Virevoltantes valses de licences libres et non libres dans les bases de données. Évalué à 4.

    depuis, je n'ai pas trouvé un use case que MongoDB avait et que PostgreSQL ne savait pas faire.

    L’écosystème PostgreSQL est très riche (il y a même du time series), la communauté est large et active, et la techno est considéré comme sûre depuis longtemps.

    MAIS (parce qu’il y évidemment un grand MAIS après tant d’éloges flatteuses), PostgreSQL est considéré comme difficile à clusteriser (haute disponibilité). Cela a peut-être changé… (merci de me corriger)

    Les DB plus récentes comme MongoDB, RethinkDB, InfluxDB sont conçues pour être facilement déployables, même dans une configuration cluster.

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  • # TimescaleDB est également devenu non libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Virevoltantes valses de licences libres et non libres dans les bases de données. Évalué à 3.

    L’écosystème univers PostgreSQL est tellement vaste qu’il y a même du time series : TimescaleDB, un concurrent de InfluxDB qui hérite de la robustesse de PostgreSQL (contrairement à InfluxDB) et de la richesse des outils de la communauté PostgreSQL.

    Par contre, TimescaleDB n’est plus libre depuis 2019, lire la Timescale License :
    https://www.timescale.com/legal/licenses

    As of December 2018, we began categorizing features as Apache-2 or Community. Roughly speaking, as long as you are not offering TimescaleDB as a hosted Database-as-a-Service, you can use all Community features for free.

    Ma traduction/reformulation :

    En 2019, une partie des fonctionnalités sont passées de la licence Apache-2 vers la licence Timescale. En gros, tant que vous ne proposez pas TimescaleDB en hébergée, vous pouvez utiliser gratuitement toutes les fonctionnalités sous licence Timescale.

    Je n’ai pas regardé la liste des fonctionnalités libres / pas libres, mais je crains que certaines fonctionnalités actuellement libres pourraient devenir non libres.

    Avant, je considérais que le plus grand avantage de TimescaleDB par rapport à InfluxDB était la possibilité d’avoir un cluster haute dispo sous licence libre. Maintenant, je ne sais plus…

    Notons que InfluxDB est précurseur dans le changement des licences : en 2015, avec la sortie de InfluxDB v0.9, la version cluster n’était plus libre.

    Note : L’avantages d’InfluxDB est l’occupation disque : environ 10 fois moins que TimescaleDB. Mais, attention, TimescaleDB est bien plus robuste.

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  • [^] # Re: Changement de licence

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Tour d'horizon des images libres (et pas libres). Évalué à 4.

    Le film muet colorisé est dans le domaine public. En rajoutant une bande son, tu crées une œuvre dérivée qui elle n’est plus dans le domaine public. D’un point de vue juridique, si tu retires la bande son tu ne reviens pas à l’original, mais tu crées une œuvre dérivée de cette dernière.

    • version A = film muet colorisé (domaine public)
    • version B = film colorisé (A) + bande son (non libre)
    • version C = version B, avec sa bande son supprimé (non libre)

    Il te faut l’accord des auteurs de la version B, pour partager la version C sous licence libre (peu importe que le film vienne par une copie illégale ou pas).

    Apparemment, le législateur (les députés) ne semble pas avoir prévu ce cas où une modification de l’œuvre est réversible et permet de revenir à l’œuvre originale.

    Si le propriétaire d’un des films colorisés originaux (domaine public) réalise une copie à l’identique, la copie sera automatiquement dans le domaine public. Mais il n’existe plus de versions originales en bon état. La restauration du film colorisé original retrouvé à Barcelone a coûté 400 000 €.

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  • [^] # Changement de licence

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Tour d'horizon des images libres (et pas libres). Évalué à 3. Dernière modification le 22 février 2021 à 20:09.

    Je vois que Jehan s’y connait bien mieux que moi. Pour ma part, je considère que pour qu’une licence soit libre, elle doit forcément offrir les 4 libertés irrévocablement et internationalement. Par conséquent, les photos libres, comme les logiciels libres ne peuvent perdre/changer leur licence. Sauf si on effectue des changements.

    Attention, je ne suis pas juriste, c’est juste mon avis.

    Si la photo a été modifiée (améliorée), son auteur peut retirer la licence libre pour la nouvelle révision de la photo. C’est pareil pour le logiciel. Pour une photo, la nouvelle révision est appelée une œuvre dérivée.

    Par exemple, le film Le Voyage dans la Lune (1902) est tombé dans le domaine public et sa version colorisée a été restaurée en 2010. Cette restauration fidèle à l’original est donc également dans le domaine public.

    Cependant, les sociétés ayant financé/restauré ce film ont rajouté une bande son. Par conséquent, le film publié est une œuvre dérivée, et ces sociétés n’ont pas voulu que le « film restauré + bande son » soit libre. Si on retire la bande son à cette œuvre dérivée, nous obtenons une autre œuvre dérivée d’un point de vue juridique, donc ce n’est toujours pas libre.

    Nous avons aujourd’hui :

    1. « Le Voyage dans la Lune » muet en noir et blanc dans le domaine public conservé grâce au piratage (de très nombreuses copies illégales ont été conservées dans de bonnes conditions) ;
    2. « Le Voyage dans la Lune » muet colorisé dans le domaine public, mais dont le public n’a pas accès ;
    3. « Le Voyage dans la Lune » colorisé + bande son non libre ;
    4. « Le Voyage dans la Lune » colorisé avec sa bande son supprimée, pas libre.

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  • [^] # Re: libre un jour, libre toujours ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Tour d'horizon des images libres (et pas libres). Évalué à 5.

    « Quand bien même on pourrait prouver que la photo a été libre avant de changer de licence, à qui revient la charge de prouver que la copie qu'on utilise a bien été faite AVANT le changement de licence ? »

    C’est à celui qui dit que la photo est libre de prouver qu’elle est bien libre.

    « Ou bien est-ce que "libre un jour implique forcément juridiquement libre toujours" ? »

    Oui, libre un jour implique forcément juridiquement libre toujours.

    Oui, une photo qui a été sous licence libre sera toujours libre, et son auteur n’a pas la possibilité d’empêcher l’usage libre de sa photo.
    Sauf, bien sûr si la photo ne pouvait pas être libre, ou pour un changement de la législation, ou encore suite à une décision de justice.

    (l'exemple des forks logiciels n'est pas pertinent ici si la photo n'évolue pas)

    Je pense que Tanguy faisait référence au fait qu’une image libre sur Flicker peut être copiée (fork) sur commons.wikimedia.org avec une preuve que l’image était bien libre au moment du fork.

    Pas besoin d’effectuer des modifications après un fork. D’ailleurs, sur les forges comme GitLab/GitHub, de nombreuses personnes forkent des dépôts de code source (repo Git) sans jamais les modifier. Cela permet de conserver un duplicata au cas où l’auteur upstream supprime son dépôt (et donc les codes sources).

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  • [^] # Re: libre un jour, libre toujours ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Tour d'horizon des images libres (et pas libres). Évalué à 10. Dernière modification le 22 février 2021 à 14:39.

    Oui, une photo qui a été sous licence libre sera toujours libre, et son auteur n’a pas la possibilité d’empêcher l’usage libre de sa photo. Sauf, bien sûr si la photo ne pouvait pas être libre (œuvre dérivée), ou pour un changement de la législation, ou encore suite à une décision de justice. Mais je pense que la question de mahikeulbody concerne les œuvres (les photos) qui appartiennent pleinement au photographe, comme la photo d’un paysage naturel dépourvu d’œuvres sous droit d’auteur.

    Imaginons maintenant que l’auteur supprime toute mention de la licence libre associée à sa photo. Comment prouver que la photo avait bien une licence libre dans le passé ?

    Cela m’est arrivé en 2012-2014 : j’avais détouré/modifié les photos libres de l’ours et du buffle trouvées sur Flicker pour une présentation. Puis, j’ai voulu téléverser sur commons.wikimedia.org mes images en citant l’auteur originel des photos. Mais, la page web qui présentait ces deux photos n’indiquait plus qu’elles étaient sous licence libre. /o\ Donc, je n’ai jamais pu partager ces photos qui étaient pourtant libres, car il m’était difficile de prouver qu’elles étaient libres !

    Statues de l’ours et du taureau devant le Frankfurt Stock Exchange Statues de l’ours et du taureau devant la Börse Frankfurt. Photo prise par Eva Kröcher en 2006 et disponible sous les licences libres CC-BY-SA-2.5, GFDL-1.2 et FAL/LAL.

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  • [^] # Re: Sur idiotphone

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Ça y est!! Je suis passé au bépo…. Évalué à 2.

    Peut-être que l'auteur·e fait référence aux deux touches “A” et “À” du clavier physique.

    clavier BÉPO

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  • [^] # Je suis débutant BÉPO depuis 6 ans !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Ça y est!! Je suis passé au bépo…. Évalué à 3.

    Salut,

    Personne ne t’a répondu, donc je me lance en BÉPO. Je suis débutant BÉPO depuis 6 ans !

    J’ai un clavier BÉPO pour ma tour sur-puissante, et mon vieux laptop (2008) en AZERTY. Je tape le BÉPO sans regarder le clavier ou presque (je me suis entraîné), mais ma vitesse de frappe est lamentable. Pour l’AZERTY, ça fait 30 ans que je regarde le clavier, mais ma vitesse de frappe est satisfaisante, donc je ne cherche pas à apprendre à taper l’AZERTY à l’aveugle.

    Mon cerveau cherchant à économiser ses forces, va instinctivement vers le laptop. Et ma tour sur-puissante est quasiment inutilisée. Mon vrai problème est de ne pas m’être suffisamment entraîné pour acquérir les réflexes musculaires. Par conséquent, j’imagine que de nombreuses personnes essayent, mais ne passe pas le cap, sinon on ne trouverait pas de clavier BÉPO sur le bon coin.

    Mon conseil : ne te torture pas le cerveau, sauf si tu n’as aucune autre priorité dans ta vie que de recommencer de zéro la frappe au clavier : entraînement sérieusement pendant un mois.

    Un de mes collègues a fait un choix pertinent : apprendre le DVORAK (facile) avec un clavier en deux morceaux. J’avais lu avec intérêt un site web de comparaison des différentes dispositions de clavier, mais aussi des formes des claviers qui concluait que la forme était plus importante que la répartition des touches et qu’un informaticien frappait peu au clavier par rapport à d’autres métiers (l’informaticien passe aussi du temps à lire/apprendre/discuter/réfléchir/concevoir/tester/déboguer…).

    PS : je devrais peut-être revendre (ou donner) mon clavier TypeMatrix BÉPO…

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  • [^] # Re: Flutter et le libre...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Changeons ces logiciels open source qui nous espionnent. Évalué à 2. Dernière modification le 28 janvier 2021 à 10:14.

    Pourquoi pas NuxtJS ?

    Je ne sais pas trop. La personne qui met les mains dans le cambouis front-end connaît bien Vue, ce qui est cohérent avec NuxtJS. De plus nous souhaitons coder en TypeScript plutôt qu'en JavaScript, ce qui semble être possible avec NuxtJS : https://typescript.nuxtjs.org/

    C'est français en plus

    Ah oui, c'est top 👍 je vais lui en parler.

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  • [^] # Re: Précisions sur la décision allemande pour les rapports de statistiques

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Changeons ces logiciels open source qui nous espionnent. Évalué à 1.

    Tu as raison Francesco, j'ai créé un rapport de bug sur Flutter et une dépêche sur un sujet que je suis loin de maîtriser. Je me suis basé sur le message de Geir Aalberg (geira) du 23 juillet 2020 https://github.com/dart-lang/sdk/issues/39233#issuecomment-662982518

    That is not enough. According to the GDPR and a recent German court decision, analytics are defined as non-necessary services and require explicit, voluntary consent before you can send any data. Opt-out after the fact is illegal in the EU/EEC.

    Also, posting code on GitHub as open source but requiring users to sacrifice their privacy and submit to the Google Service TOS before downloading is exactly the reason why Free (Libre) Software was invented in the first place.

    Je m’excuse de ne pas l'avoir dit plus tôt. Et je serai d'avantage transparent à l'avenir. Désolé aussi de t'avoir répondu sèchement. En ce moment, je préfère investir mon temps disponible sur le projet, et ne pas passer du temps sur les réglementations RGPD et ePrivacy.

    D'autant plus que dans le cadre professionnel le détail de ces réglementations ne m'intéresse pas, car sur notre site web et notre web app, c'est simple, il n'y aura aucune collecte de donnée (pas d'analytics), et pour la création d'un compte tout devrait être optionnel. Nous souhaitons respecter nos utilisatrices/utilisateurs, et ne pas accéder à leurs données personnelles, sauf si celles/ceux-ci nous le demandent (pour les contacter, par exemple, si nous détectons un dysfonctionnement). Et ces données seront supprimées dès qu'elles ne seront plus nécessaires au bon fonctionnement de l'application.

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  • [^] # Re: Flutter et le libre...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Changeons ces logiciels open source qui nous espionnent. Évalué à 4.

    Merci Capitaine 👍 pour ta mise en garde sur la difficulté de sélectionner et de copier du texte, comme si c'était volontaire de la part de Google, et que cela pourrait rendre la tâche d'indexation plus difficile aux autres moteurs de recherche…

    On n'a pas envie de participer à construire le nouveau Flash en mode black box appartenant a Google. On utilisera Dart/Flutter quand ce sera véritablement devenu ouvert.

    Donc, nous investiguons Vue3/TypeScript pour notre web app. Pour info, nous avons trouvé deux frameworks libres pour Vue3 : PrimeVue et Element+ Plus.

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  • [^] # Re: Rigolo comment on peut s'inventer sa réalité

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Changeons ces logiciels open source qui nous espionnent. Évalué à 5.

    Bonjour Zenitram et Bonne Année,

    Ton intention de faire remarquer que le libre n'avait pas été créé pour se protéger des GAFAM est très bien. Mais ta façon de t'y prendre est agressive : ton expression "Rigolo comment on peut s'inventer sa réalité" me donne la sensation que tu m'insultes de rigolo et que je m'invente ma réalité. Je ne pense pas que tu souhaites m'insulter, mais je pense que c'est l'interprétation naturelle des personnes qui te lisent en général. Tu es désagréable et cela te dessert.

    Je ne sais pas ce que tu as enduré pendant ta jeunesse, les frustrations que tu as dû subir pour avoir un comportement aussi méprisant, mais, s'il te plaît, fait un effort quand tu postes un message, surtout sur un site communautaire dont tu apprécies ses buts. Tu peux montrer ton désaccord sans casser tes interlocuteurs.

    Concernant l'argument que des stats anonymes seraient contraires au RGPD, je ne suis pas juriste, et je ne me passionne ni pour le RGPD, ni le ePrivacy, donc je ne suis pas certain de ce que j'avance. Mais cela ne m'empêche pas d'essayer de changer le monde avec une issue GitHub et une dépêche pour sensibiliser la communauté LinuxFr.org.

    Néanmoins, analysons les raisons de la compatibilité de Matomo avec le RGPD, ci-dessous la traduction en français de la page https://matomo.org/gdpr-analytics/ qui liste les conformités avec le RGPD et la CNIL. J'ai mis en gras les parties qui me semblent se distinguer de Google Analytics :

    Comment pouvons-nous garantir la conformité avec le RGPD ?

    • Anonymisation des données ;
    • Responsable RGPD ;
    • Les utilisateurs peuvent refuser tout suivi ;
    • Cookies de première partie par défaut ;
    • Les personnes peuvent consulter les données collectées ;
    • Possibilité de supprimer les données des visiteurs sur demande ;
    • Les données ne sont pas utilisées à d'autres fins (par rapport à Google Analytics) ;
    • Anonymisation de l'IP ;
    • Le journal des visiteurs et les profils peuvent être désactivés ;
    • Les données sont stockées dans l'UE (Matomo Cloud) ou dans le pays de votre choix (Matomo On-Premise).

    En outre, si vous respectez les règles de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL), vous devrez également vous y conformer :

    • Supprimer les données personnelles après 25 mois ;
    • Activez l'anonymiseur IP ;
    • Offrir l'opt-out ;
    • Désactiver le journal des visites et le profil des visiteurs ;
    • Accepter de ne pas exporter les données RAW vers d'autres systèmes tels que le CRM ou l'entrepôt de données sans consentement.

    De ma compréhension, l'expression "cookies de première partie" indique que les données collectées restent sur les serveurs du propriétaire du site web, ce qui n'est quand Google Analytics est utilisé. Comme je l'ai expliqué dans ma réponse à Francesco, ce point semble très important pour le groupe de travail "Article 29" (ce groupe est, sans doute, constitué d'experts de cette réglementation).

    Donc, je suppose que l'anonymisation ne suffit pas pour être compatible avec le RGPD + ePrivacy. De plus, d'après ce que je comprends, le logiciel client ne doit pas envoyer de données non nécessaires à son fonctionnement sans le consentement explicite et volontaire de la personne qui l'utilise, même si ces données sont anonymisées.

    Ne m'en demande pas plus, ce n'est pas mon domaine d'expertise. Demande plutôt au lectorat de LinuxFr.org, ou sur d'autres sites web (forums), ou cherche toi-même les réponses à tes questions. Si tu trouves des informations pertinentes, merci de nous les faire partager. Et le plus important, la prochaine fois que tu t'adresses à une personne, sois bienveillant.

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  • [^] # Re: Précisions sur la décision allemande pour les rapports de statistiques

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Changeons ces logiciels open source qui nous espionnent. Évalué à -3.

    Sommaire

    Bonjour Francesco et Bonne Année,

    Je comprends que tu souhaites en savoir plus, mais, désolé, je ne suis pas juriste, et lire le RGPD et sa jurisprudence dans différents pays européens ne me passionne pas.

    Je suis désolé que tu n'ai pas trouvé ton bonheur dans les liens données dans la dépêche. Néanmoins, je rappelle quelques uns des liens données en fin de dépêche au cas où ils t'auraient échappés :

    1. Cookies and other tracking tehcnologies, April 2020 (rapport de l'équivalent de la CNIL irlandaise)
    2. Le RGPD, un an après (NextInpact)
    3. Est-ce que Google analytics est compatible avec le RGPD ?
    4. Comment rendre votre appli mobile compatible avec le RGPD

    Attention, le premier lien télécharge directement un PDF sans afficher de page web, ce qui peut donner l'impression que le lien ne fonctionne plus être (la redirection pointe sur http://dataprotection.ie/sites/default/files/uploads/2020-04/Guidance%20note%20on%20cookies%20and%20other%20tracking%20technologies.pdf).

    À la page 5 de ce PDF, le terme "cookies" est utilisé dans son sens très très large et y inclue toute forme de collecte de donnée, même de façon inscidieuse avec le fingerprinting qui consiste, par exemple, à prendre la taille de votre écran (souvent le browser est en plein écran), les versions de l'OS/browser, les polices de caractères…

    What other types of tracking technologies are in use?

    The cookies most internet users are aware of are typically browser, or http, cookies.
    However, other types of cookies and tracking technologies include local storage objects (LSOs) or ‘flash’ cookies, software development kits (SDKs), pixel trackers (or pixel gifs), ‘like’ buttons and social sharing tools, and device fingerprinting technologies. The law on cookies generally applies to all of these tools.

    Cookies and other tracking technologies, including pixels, location tracking and device fingerprinting generally require the consent of the user because they involve access to information, or the placing of information on, a user’s device or terminal equipment.
    There are only two circumstances where cookies are exempt from the requirement to obtain consent and these are outlined in detail below.

    À la page 7, nous pouvons lire cette question/réponse:

    Yes. Analytics cookies are used as a measuring tool for websites, including to provide information on the number of unique visitors and the pages they browse during their visits. Some analytics may use first-party cookies with the analytics function carried out by the controller or by another party on behalf of the controller. The Article 29 Working Party has clarified that this other party will be a joint controller or a processor, depending on whether it uses the data for its own purposes or whether it is prohibited from doing so by contractual arrangements.

    Third-party analytics carried out by parties other than the controller, sometimes for their own purposes, may be considered to represent a greater privacy risk to the user.

    The Article 29 Working Party considers that first-party analytics cookies are not likely to create a privacy risk when they are strictly limited to first-party aggregated statistical purposes, and when they are used by websites that already provide clear information about such cookies in their privacy policy, as well as adequate privacy safeguards. This should include a user-friendly mechanism to opt out of any data collection for analytics.

    It is unlikely that first-party analytics cookies would be considered a priority for enforcement action by the DPC.

    Un extrait de la traduction en français :

    Les cookies statistiques nécessitent-ils un consentement ?

    Oui. Les cookies statistiques sont utilisés comme un outil de mesure pour les sites web […].

    Les analyses effectuées par des tiers (comme Google Analytics) […], peuvent être considérées comme présentant un risque plus important pour la vie privée de l'utilisateur.

    Le groupe de travail "Article 29" considère que les cookies gérés directement par le site web ne sont pas susceptibles de créer un risque pour la vie privée lorsqu'ils sont strictement limités à des fins statistiques agrégées (anonymes). […] Il convient d'inclure un mécanisme convivial permettant de refuser toute collecte de données.

    Plus loin, à la page 7, le document mentionne aussi la régmentation ePrivacy Regulations.

    De ma compréhension, les statistiques anonymes utilisées directement par le site web sont compatibles avec le RGPD, du moins avec l'intérprétation du groupe de travail "Article 29". Par contre, quand ces données sont anonymisées par un tiers, comme Google Analytics, c'est considéré comme beaucoup plus dangeureux pour la vie privée. Dans tous les cas, toujours selon ma compréhension, le consentement de l'utilisateur/utilisatrice doit être demandé pour la transmission de toute données non nécessaire au fonctionnement de l'application.

    Merci de ne plus me poser de questions sur ces régementations, je ne suis pas juriste. Merci de lire toi même ces documents, et d'aller en chercher d'autres si tu n'y trouves pas ta réponse. Désolé, mais je n'ai pas envie de refaire ce travail à ta place, je n'ai ni l'envie, ni le temps pour le faire. Par contre, pose la question à l'ensemble du lectorat LinuxFr.org, dont de très nombreuses personnes sont bien meilleures que moi sur le sujet.

    Je veux bien que tu nous en dises plus sur Mozilla/Firefox, c'est justement le sujet de cette dépêche.

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  • [^] # Re: Odoo Community + OCA

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Comment quitter Odoo Enterprise ?. Évalué à 4. Dernière modification le 04 septembre 2020 à 06:33.

    Salut ZeroHeure,

    Moi aussi je constate qu'une partie des bureaucrates sur Wikipédia supprime régulièrement des contributions constructives. Ces suppressions sont rarement accompagnées d'une explication pédagogique qui incite à améliorer sa contribution afin de remplir les exigences idéologiques du bureaucrate. Souvent, les justifications dogmatiques sont du style: Wikipédia est une encyclopédie et n'a pas vocation à lister les fonctionnalités détaillées d'un logiciel sans source secondaire.

    Je te propose d'apporter tes contributions sur le wiki de l'April :
    https://wiki.april.org/w/Comptabilite#Les_logiciels_sous_licence_libre

    N'hésite pas à créer une nouvelle page pour Odoo Community + OCA si tu comptes apporter beaucoup de détails.

    Le wiki de l'April utilise trois licences au choix :

    • Art Libre version 1.3 ou ultérieure
    • Creative Commons CC-BY-SA version 2.0 ou ultérieure
    • GNU FDL version 1.3 ou ultérieure

    Donc, tes contributions pourront être copiées-collées vers Wikipédia (et même vers le wiki de LinuxFr.org) en respectant la compatibilité des licences libres. Par exemple, en apportant des contributions sur
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_progiciels_de_gestion_intégrés

    Un jour, peut-être, nous pourrions aussi traduire en français ces deux autres pages:
    https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_personal_finance_software
    https://en.wikipedia.org/wiki/Comparison_of_accounting_software

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  • [^] # Re: Très intéressant mais…

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le début de la fin pour Intel ?. Évalué à 1.

    La lecture de ce journal n'est pas confortable, et une partie du lectorat est certainement frustrée de ne pas avoir tout compris.

    Est-ce que l'équipe modération pourrait refaire une passe ?

    Ou encore mieux : le remettre dans l'espace de rédaction pour y intégrer des commentaires très intéressants et le republier en dépêche ?

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  • [^] # Export FEC = Fichier des Écritures Comptables

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Comment quitter Odoo Enterprise ?. Évalué à 5.

    Pour votre information, pour exporter le FEC (Fichier des Écritures Comptables) avec Dolibarr :

    • Activer le module Comptabilité en Partie Double
    • Aller dans l’onglet Comptabilité (en haut)
    • Dans, Configuration > Option d’export (à gauche), sélectionner le modèle d’export Export FEC
    • Dans, Comptabilité > Grand livre (à gauche), sélectionner la période du bilan comptable, appliquer avec la loupe (à droite)
    • Puis, cliquer sur l’icône « Exporter liste filtrée »

    Alors, un fichier general_ledger-fec_20200815000603.txt est téléchargé qui est au format TSV avec les colonnes : JournalCode, JournalLib, ÉcritureNum, ÉcritureDate, CompteNum, CompteLib, CompAuxNum, CompAuxLib, PieceRef, PieceDate, ÉcritureLib, Debit, Credit, ÉcritureLet, DateLet, ValidDate, Montantdevise et Idevise.

    Voir cet article qui explique le contenu d’un fichier FEC :
    https://blog.masterfec.fr/fondamentaux-respect-normes-fec

    J’ai fait mon test avec Dolibarr 12.0.3 (en cours de développement, pas encore publiée). Et il est possible que cette fonctionnalité était déjà disponible depuis longtemps (je n’avais jamais fait attention au panneau de configuration Configuration > Option d’export de l’onglet Comptabilité).

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  • [^] # Apple et MasterCard/Visa = pareil, ils profitent de leur position dominante

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Epic poursuit Apple en justice pour le monopole AppStore. Évalué à 10.

    J'ai bossé pour MasterCard dans le passé, et je peux vous dire que toutes les petites commissions, sur l'ensemble gigantesque des transactions bancaires dans le monde leur rapportent des milliards.

    À la base, c'était pour rentabiliser les investissements (la recherche, le déploiement…) et aussi pour rembourser la fraudes (et les bogues). Depuis, les services anti-fraude ont fait d'énormes progrès, et la fraude et négligeable. Quant aux investissements, cela fait depuis belle lurette qu'ils ont été rentabilisés.

    D'ailleurs, j'ai rendu ma carte bancaire (que je payais en plus), et je n'avais qu'une carte de retrait de billet : je ne payais plus qu'en espèces pendant environ une dizaine d'années.

    Pour moi, personnellement, ce sont deux types d'abus de position dominante : Apple avec ses 30% de commission sur seulement des paiements AppStore ; et les 0.3% de MasterCard/Visa/… sur l'immensité des transactions bancaires. Dans les deux cas, nous sommes obligés de toujours passer par les mêmes intermédiaires, entreprises capitalistes, qui n'ont qu'un seul objectif : rémunérer le plus possible leurs actionnaires.

    C'est tout l'intérêt des (crypto-)monnaies basées sur des blockchains publiques : ne plus dépendre d'un intermédiaire unique. À la limite, d'un point de vue éthique, nous pourrions même préférer payer plus cher, et ne pas enrichir un intermédiaire qui profiterait de son monopôle. Mais faut pas pousser le bouchon trop loin quand même !

    Bref, pour moi, ce que fait Apple (et ce que font MasterCard/Visa/…) c'est de profiter d'une position d'intermédiaire unique, et ce n'est pas éthique.

    Note: Sur ma carte bancaire (oui, j'en ai une maintenant), j'ai le logo MasterCard, donc je ne peux pas choisir l’intermédiaire. (Pareil pour le vendeur, il est obligé de passer par l'intermédiaire du porteur de la CB.) MasterCard a signé avec ma banque, et a le même objectif que ma banque, se faire le plus de profit avec mes tunes ! Je peux changer de banque, mais je vais me retrouver coincé avec un autre intermédiaire (ou le même).

    Pour moi, la solution serait dans un autre système de transaction monétaire. Par exemple, les crypto-monnaies, et pour éviter la surconsommation électrique, forger (miner) les transaction avec la preuve d'enjeu (Proof-of-Stake).

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