Je ne sais pas qui réécrit quoi : il est écrit noir sur blanc dans le lien que j’ai donné plus haut (c’est facile à retrouver, c’est Wikipédia) qu’il y avait déjà des doutes sur la dangerosité et que le labo avait connaissance de l’inefficacité.
Il est quand même formidable d’être autant à charge contre HCQ et si laxiste sur Remdésivir. Si dans les 2 cas on fait face à un traitement inefficace, qu’est-ce qui peut bien expliquer ce 2 poids 2 mesures ? HCQ n’était pas assez cher ?
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Sans oublier que corollairement, la « saturation » semble à géométrie variable. Et que bien sûr, moins le système de santé a de moyens, moins il peut faire face à une crise d’ampleur.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
vacciner 60 millions de personnes afin de limiter le nombre de malades critiques restera toujours plus efficace en logistique (peu de personnel médical dans un même lieu pour vacciner énormément de personnes en un temps limité) que de "simplement" suivre les malades à l’hôpital (énormément de personnel pour suivre un nombre limité de malades) .
En passant, tu iras demander à tout ceux qui sont passer sous respirateur (disponible ne nombre limité aussi) si c'est sympa.
Ben avant d’essayer de vacciner 60 millions de personnes, on pourrait d’abord se demander quelles sont les personnes à risques (un indice : 90 % des morts avaient plus de 60 ans). Ça limite considérablement la logistique à mettre en place.
Quant à savoir si être sous respirateur c’est sympa ou pas, on s’en fiche du moment que ça sauve les gens. Mais j’oubliais, l’important, c’est de vacciner !
Sans oublier qu’on s’est rendu compte qu’une « mise sous oxygène à débit rapide » (je n’arrive plis à me souvenir du terme exact) était suffisante (pour éviter l’hypoxie « heureuse ») : il n’y a pas besoin de grande connaissance médicale pour superviser ce type de traitement.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Au choix :
- une prise en charge des malades : quand j’ai pris la mesure des moyens mis en œuvre pour vacciner (réquisition de soignants, de locaux, etc.), je n’ai pas bien compris pourquoi il n’était soi-disant pas possible de prendre « simplement » en charge correctement les malades (suivi, mise sous respirateur, etc.) ;
- corollaire de ce qui précède : un assèchement de tous les moyens hors ceux préconisés par les labos. L’exemple de Remdésivir est encore une fois éloquent : comment a-t-on pu envisager de dépenser 1 milliard d’euros pour un traitement dont l’inefficacité était connue : « [au moment de la négociation du contrat], selon Libération, des mises en garde sur d’éventuels effets secondaires avaient déjà été faites et Gilead était informé de l'imminente publication de nouveaux résultats « très défavorables à la molécule »»;
- le bien commun : j’ai beau penser que la vaccination n’était pas le bon moyen, comment n’a-t-on pas pu lever les brevets sur les vaccins (merci Mr Gates) ?
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
C’est évident que la personne qui dirigeait l’unique institut français contre les infections était un incompétent.
Ça ne vous jamais interloqué qu’un tel expert en virologie (je suis juste factuel, pas idolâtre) ait pu être écarté du « débat » dès qu’il a émis un avis sur une prise en charge des patients sans passer par la case vaccin ?
C’est un peu comme si on considérait qu’en cas d’accident radioactif, l’avis de IRSN n’avait aucune importance, voire qu’il faudrait s’en méfier.
D’ailleurs, il est cocasse qu’alors , il a été le premier à parler de variants et donc d’expliquer les « vagues » successives, qu’évidemment, on l’a traité de fou.
À côté de ça, nous avons eu le ministre de la Santé, qui a claironné sur tous les plateaux télé que la vaccination PROTÉGEAIT contre la contamination et qui avec des trémolos dans la voix a défendu la vaccination des moins de 50 ans sur l’exemple d’une personne de 32 ans très certainement morte AVEC le Covid et non du Covid. Pour rappel, sur 160 000 morts comptabilisés de l’épidémie, moins 750 avaient moins de 40 ans (je suis à peu près certain du chiffre, il apparait dans d’autres commentaires anciens sur le sujet). À ce propos (ça nous fait un lien avec le libre) comment se fait-il que les chiffres sur la mortalité par âge soit si difficile à (re)trouver ?
Et que récemment, le professeur Delfraissy ait reconnu s’être trompé sur l’effet anti-contamination, ça n’interpelle que moi ?
Pour rappel également, c’était l’unique raison de pousser à la vaccination : pour tous les autres vaccins, on se protège soi, on ne protège pas les autres (indirectement d’une certaine manière mais ça n’est pas l’effet premier voulu).
Et je passe l’épisode du passe sanitaire qui promis, ne sera pas un passe vaccinnal, tout ça tout ça… Je rappelle au passage que pour faire Paris - Le Mans direct (et terminus) en TGV en 55 minutes il faillait un passe, mais pas pour faire le même trajet en TER en 2 heures avec moult arrêts…
En résumé, vouloir faire le bilan de la gestion calamiteuse de cette « épidémie » est louable, mais comme le dit l’adage, à trop regarder la paille dans l’œil du voisin, on en oublie la poutre qu’on a dans le sien.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
GIMP, VLC, Tiddlywiki, JOSM, Peertube, parmi le peu que je connais, sont des logiciels fantastiques qui existent malgré leur anonymat.
Il va falloir s’y faire : l’époque n’est pas propice à la publicité des communs.
La question à se poser est : cette absence de publicité risque -t-elle de nuire au libre ?
Je pense que non. D’ailleurs, le libre a émergé dans l’anonymat quasi complet.
Je crois par contre à la percolation (avec le temps, l’eau finit toujours par traverser le café), et ce d’autant plus que le non-libre peut parfois faire très fort pour se tirer une balle dans le pied : le cas de Google avec Maps est édifiant. À tellement vouloir gagner de l’argent (de mémoire certains tarif avaient été multiplié par plus de 10 000 !), ils ont juste réussi à faire fuir une partie de leurs utilisateurs vers Openstreetmap. Rappelons-nous aussi de Windows 7, qui m’a permis d'installer tant d’Ubuntu !
Il n’en reste pas moins qu’il faut soutenir le mouvement, et que ma foi, des équipes comme Framasoft ont (largement) de quoi nous donner la banane !
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Pour avoir écouté la vidéo en entier, je n’en retiens qu’une chose : je ne vois pas pourquoi il faudrait « faire plaisir » aux journalistes.
Loris a d’ailleurs montré que le libre dispose de qualité qui pourrait en faire un sujet de choix.
Je pense qu’il est bien plus intéressant de se dire qu’il existe déjà une foultitude de contenus disponibles qui simplement ne passe pas par les canaux traditionnels.
Finalement, l’information est disponible, mais masquée par la toute puissance médiatique de nos milliardaires « préférés ».
Exactement comme l’a compris Framasoft avec Peertube, le libre ne doit chercher pas à contrer, mais juste à exister.
Il ne s’agit pas de baisser les bras, mais de placer judicieusement ses efforts.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Il y a une différence entre rejeter des déchets radioactifs dans une rivière et les enfouir à 500m de profondeur dans des containers munis de 47 couches étanches. Ces précautions ne sont pas liées au niveau de risque
C’est assez cocasse de toujours prendre les contradicteurs de certaines techniques / technologies pour des « demeurés » anti-progrès.
Il faut bien réaliser que les promesses du radioactif et des OGM n’ont pas été tenu, et ça n’est pas les fautes des opposants :
- pour le radioactif, il est maintenant plus rentable de déployer du renouvelable. Et le désastre de l’EPR tant au niveau des coûts que des délais n’est pas prêt de le contredire. Ces différents articles (bien que partiaux) sont sans ambage ;
- pour les OGM, la contestation n’est pas venu originellement des OGM pour eux-mêmes, mais des brevets qui vont avec : impossibilité de ressemer, assignation à payer lors d’ensemencement involontaire, etc.
Sans oublier que ces sujets portent une vision stratégique dominatrice : imposition des implantations sans discussion, pas de demande d’avis des citoyens, etc.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
C’est effectivement un des premiers combats à mener : retrouver la maitrise de la gestion des cotisations.
Il suffit de se rappeler l’épisode de la dernière réforme attaque sur les retraites, avec l’éclairante passe d’arme entre le COR et le gouvernement sur l’état réel des comptes et sur la projection de ceux-ci à long terme.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
« Soit les deux questions se résolvent par la privatisation : chacun est libre de cotiser où il souhaite avec la gestion qui lui convient, soit l'État contraint tout un chacun à la cotisation et s'octroit au passage l'administration du fond. Ton système c'est quoi : l'État contraint à la cotisation mais n'administre pas ? »
En fait un mixte des deux, et c’est là que je réalise combien « la parole » de Friot mérite d’être bien plus « répandue ».
D’ailleurs il parle souvent de 1946 comme un acte de subversion : ces ordonnances ont rendu obligatoire les cotisations tout en en confiant la gestion aux représentants élus des caisses (et donc hors du contrôle de l’État).
Il ne faut pas s’étonner que ça ne soit pas appris à l’école ni comme je le rappelais plus tôt dans la discussion des efforts gigantesques menés par les dominants pour « effacer » cette conquête.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Effectivement, nous disons presque la même chose, mais je maintiens :
- je ne vois pas en pratique quand des consommateurs ont réussi à faire « plier » une entreprise en dehors d’un passage en justice ;
- dans les 2 cas, c’est la dépossession des producteurs réels, les salariés / agents, de la possibilité de choisir comment produire qui conduit à ces résultats désastreux.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Comme je l’ai écrit plus haut, les débuts de la sécurité sociale (au sens de 1946) se sont faits sans l’État : l’administration des caisses se faisaient par des représentants élus.
On peut même dire que ça c’est fait contre l’État : il suffit de voir les efforts démesurés depuis plus de 40 ans pour détruire cette institution.
Une gestion collective peut se faire sans État au sens de l’absence « représentant » permanent non élu.
D’où d’ailleurs l’existence desdites caisses : la gestion en direct et la nécessité d’une proximité du terrain imposait un maillage conséquent.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
C’est fou d’être aussi péremptoire quand il suffit de réviser un peu son histoire pour rappeler que le Public en France, c’est ou a été :
- la sécurité sociale, et par ricochet l’hôpital qui pourtant déjà bien abimé a permis à la France d’avoir l’un des meilleurs système de santé du monde dans les années 90. Entièrement bâti avec de l’argent public et sans crédit (lire Bernard FRIOT, un puits de connaissance sur le sujet, aussi bien sur sa mise en place que son dépeçage) ;
- corollairement, un système de retraites qui avait fait disparaître la pauvreté chez les seniors ;
- les télécoms avec le minitel : les français achetaient en ligne bien avant Amazon ;
- (même si je suis anti-radioactif) un producteur d’électricité de premier plan avec EDF ;
- le TGV, qui détient toujours le record du monde de vitesse sur rail ;
Et j’en passe. Malheureusement, un bonne part de cet héritage du public est en cours de délabrement suite à plusieurs décennies de politiques de destruction systématique des services publics pour les « offrir » au privé.
Quant au si rationnel et efficace privé, si on parlait merdification ?
Les faits sont têtus.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
La moindre personne ayant ouvert un magazine tel que 60 millions de consommateurs sait que beaucoup d’entreprises se fichent pas mal du sort des consommateurs de leurs produits, ça n’est pas l’apanage du public tel sous-entendu de ce commentaire.
Quand au sous-entendu d’inefficacité du public et d'efficacité du privé qui seraient « naturels », il suffit de se rappeler du désastre du rail au Royaume-Uni, de la gestion privé de l’eau en France (avec retour en force de la régie publique), ou de la privatisation de la fourniture de gaz et de l’électricité en France pour rappeler la fausseté d’une telle assertion.
Au final, bien souvent — que ça soit dans le public ou le privé — les difficultés rencontrées sont le fait de politiques / stratégies qui échappent le plus souvent aux agents / employés qui cherchent généralement à faire correctement leur travail.
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Ben tiens. Et il sert à quoi le service marketing alors? Les commerciaux, ces gens qui vendent du rêve et dont le travail consiste à créer le besoin, et qui déclenchent ensuite la R&D pour y répondre, ils ne sont pas salariés?
Et les ingés de la R&D, ils ont le pistolet sur la tempe peut-être?
Et qui fixe la stratégie desdits salariés si ce n’est la direction et dans le cas de Tesla, qui peut bien chapeauter la direction ?…
Le tort est partagé, très clairement, et je doute qu'il y aurait production de masse s'il n'y avait pas achat.
Vous n’avez pas bien compris où se situe le problème : bien évidemment, avec des milliards d’êtres humains, il y a production « en masse ». Le souci actuel est que ça n’est ni ceux qui produisent ni ceux qui consomment qui peuvent choisir ce qui est produit et comment c’est produit. Pour ne donner que quelques exemples, quel est l’utilité sociale des jets privés, des yatchs, des voitures à 4 millions € ?
Notez bien que je me moque totalement du fait que ça soit des biens inabordables pour le commun des mortels, il s’agit juste de se demander pourquoi c’est produit. Ce questionnement est également valable pour la plupart des projets d'infrastructure qui va de l’autoroute A69 (dont le projet alternatif moins couteux ne reçoit curieusement aucune attention de la part de nos dirigeants) au rond-point près de chez moi dont le réaménagement « pour les cyclistes » s’est fait sans concertation avec des cyclistes.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Pourquoi un produit que tu demandes et achètes, donc que toi tu déclenches la production, devrait être considéré comme consommé par le producteur et non pas par l'acheteur?
Faut arrêter avec ce délire que c’est la consommateur qui décide de tout.
Et puis c’est factuellement faux : personne n’a jamais demandé d’ordiphone à 2 000 € ou de SUV de 3 tonnes.
Et c’est bien là tout le problème : ce ne sont pas plus les clients ou les employés d’Elon MUSK qui choisissent ce que Tesla va produire. C’est Elon Musk.
Ça ne veut pas dire que c’est un « méchant », ça veut juste dire que vous ne pouvez pas m’affubler d’un pouvoir que je n’ai pas pour ensuite m’accuser de ne pas l’exercer.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Encore une personne qui pense individu et non système, comme si chacun était (entièrement) libre de ses choix !
Un seul exemple : suis-je libre de choisir un PC le plus libre possible si l’un de mes gamins va dans une école qui utilise une quelconque application non-libre incompatible avec mon installation et l’empêche de faire ses devoirs ? (la réponse c’est ma faute puisque je n’ai visiblement pas choisi la bonne école n’est pas acceptée…).
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Et pourtant, je suis le premier à dire qu'une interface texte, même pour des utilisateurs lambda, et du code backend en Cobol, c'est le truc qui marche pendant 20 ans avec pratiquement que des évolutions fonctionnelles, pas de la maintenance de framework à la mords-moi-le-noeud ou du contournement de bug mystérieux.
\o/
Je suis tout-à-fait d’accord : rien ne vaut en terme de productivité une interface texte bien foutue !
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Quelqu'un a essayé de faire communiquer du Mainframe avec autre chose que du transfert de fichier ou du messaging ? De faire du reporting évolué et personnalisable par le end-user ? Du web un peu sérieux ?
Je ne sais pas ce que c’est « du web un peu sérieux », mais je sais que :
- derrière de la souscription de crédit avec virement instantanée, front-end mobile, middle qui attaque le site central en API REST, ça tourne comme un moulin 24/7 ;
- des alimentations d’ELK par le site central ça marche juste ;
- qu’au passage le reporting, c’est l’essence du site central : considérer que chacun doit pouvoir choisir l’ordre des colonnes d’un rapport, c’est un peu du caprice : il n’y a pas 36 façon de faire parler pertinemment une même source de données (si on ne compte pas les besoins cosmétiques) ;
- pour finir que le reporting en site central ça doit se faire par DFSORT et pas par des multitudes de programmes COBOL dont on peut-être sûr qu’au moins un comporte une erreur de rupture… (et en plus DFSORT ça consomme quasi-rien).
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
Par exemple, Je suis par confronté « régulièrement » à des soucis sur des modules assembleurs.
Le manque de développeurs n’est pas tant liés au manque de hype de ce vénérable langage que :
- l’incapacité des entreprises à entretenir les compétences (je parle de boite de 50 000+ d’employés dont plusieurs centaines d’informaticiens), pas de la « PME-du-coin » ;
- l’incapacité des entreprises quand elles choisissent de plus entretenir les compétences dans un langage de se débarrasser des composants dans ledit langage.
Et même pour des langages « non-abandonnés », on peut se retrouver avec des applicatifs critiques (j’ai en tête un module qui compte plusieurs dizaine de millions d’appel par jour) avec 1 seule personne compétente qui commence à prendre de l’âge…
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ont-ils bien modélisé les milliers de morts dus à l'Hydroxychloroquine ?
Posté par PhRæD . En réponse au journal jeu libre Covid-25 !. Évalué à -7.
Je ne sais pas qui réécrit quoi : il est écrit noir sur blanc dans le lien que j’ai donné plus haut (c’est facile à retrouver, c’est Wikipédia) qu’il y avait déjà des doutes sur la dangerosité et que le labo avait connaissance de l’inefficacité.
Il est quand même formidable d’être autant à charge contre HCQ et si laxiste sur Remdésivir. Si dans les 2 cas on fait face à un traitement inefficace, qu’est-ce qui peut bien expliquer ce 2 poids 2 mesures ? HCQ n’était pas assez cher ?
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ont-ils bien modélisé les milliers de morts dus à l'Hydroxychloroquine ?
Posté par PhRæD . En réponse au journal jeu libre Covid-25 !. Évalué à -5.
Pour cela, peut-être qu’avec plus de 100 000 lits fermés depuis 1998 (vous savez, l’époque où l’on possédait le meilleur système de santé du monde), dont 18 000 entre 2016 et 2020, on aurait pu l’éviter.
Sans oublier que corollairement, la « saturation » semble à géométrie variable. Et que bien sûr, moins le système de santé a de moyens, moins il peut faire face à une crise d’ampleur.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ont-ils bien modélisé les milliers de morts dus à l'Hydroxychloroquine ?
Posté par PhRæD . En réponse au journal jeu libre Covid-25 !. Évalué à -8.
Ben avant d’essayer de vacciner 60 millions de personnes, on pourrait d’abord se demander quelles sont les personnes à risques (un indice : 90 % des morts avaient plus de 60 ans). Ça limite considérablement la logistique à mettre en place.
Quant à savoir si être sous respirateur c’est sympa ou pas, on s’en fiche du moment que ça sauve les gens. Mais j’oubliais, l’important, c’est de vacciner !
Sans oublier qu’on s’est rendu compte qu’une « mise sous oxygène à débit rapide » (je n’arrive plis à me souvenir du terme exact) était suffisante (pour éviter l’hypoxie « heureuse ») : il n’y a pas besoin de grande connaissance médicale pour superviser ce type de traitement.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ont-ils bien modélisé les milliers de morts dus à l'Hydroxychloroquine ?
Posté par PhRæD . En réponse au journal jeu libre Covid-25 !. Évalué à -10.
Au choix :
- une prise en charge des malades : quand j’ai pris la mesure des moyens mis en œuvre pour vacciner (réquisition de soignants, de locaux, etc.), je n’ai pas bien compris pourquoi il n’était soi-disant pas possible de prendre « simplement » en charge correctement les malades (suivi, mise sous respirateur, etc.) ;
- corollaire de ce qui précède : un assèchement de tous les moyens hors ceux préconisés par les labos. L’exemple de Remdésivir est encore une fois éloquent : comment a-t-on pu envisager de dépenser 1 milliard d’euros pour un traitement dont l’inefficacité était connue : « [au moment de la négociation du contrat], selon Libération, des mises en garde sur d’éventuels effets secondaires avaient déjà été faites et Gilead était informé de l'imminente publication de nouveaux résultats « très défavorables à la molécule »»;
- le bien commun : j’ai beau penser que la vaccination n’était pas le bon moyen, comment n’a-t-on pas pu lever les brevets sur les vaccins (merci Mr Gates) ?
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ont-ils bien modélisé les milliers de morts dus à l'Hydroxychloroquine ?
Posté par PhRæD . En réponse au journal jeu libre Covid-25 !. Évalué à -8.
Ah bah oui, ça change tout : c’est comme ça qu’on a (pas) eu le choix du vaccin pour « arrêter » les contaminations !
S’il y a bien une chose que tout le monde a compris au cours de l’épisode Covid, c’est que l’avis des labos comptent bien plus que tout le reste.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ont-ils bien modélisé les milliers de morts dus à l'Hydroxychloroquine ?
Posté par PhRæD . En réponse au journal jeu libre Covid-25 !. Évalué à -8.
C’est évident que la personne qui dirigeait l’unique institut français contre les infections était un incompétent.
Ça ne vous jamais interloqué qu’un tel expert en virologie (je suis juste factuel, pas idolâtre) ait pu être écarté du « débat » dès qu’il a émis un avis sur une prise en charge des patients sans passer par la case vaccin ?
C’est un peu comme si on considérait qu’en cas d’accident radioactif, l’avis de IRSN n’avait aucune importance, voire qu’il faudrait s’en méfier.
D’ailleurs, il est cocasse qu’alors , il a été le premier à parler de variants et donc d’expliquer les « vagues » successives, qu’évidemment, on l’a traité de fou.
À côté de ça, nous avons eu le ministre de la Santé, qui a claironné sur tous les plateaux télé que la vaccination PROTÉGEAIT contre la contamination et qui avec des trémolos dans la voix a défendu la vaccination des moins de 50 ans sur l’exemple d’une personne de 32 ans très certainement morte AVEC le Covid et non du Covid. Pour rappel, sur 160 000 morts comptabilisés de l’épidémie, moins 750 avaient moins de 40 ans (je suis à peu près certain du chiffre, il apparait dans d’autres commentaires anciens sur le sujet). À ce propos (ça nous fait un lien avec le libre) comment se fait-il que les chiffres sur la mortalité par âge soit si difficile à (re)trouver ?
Et que récemment, le professeur Delfraissy ait reconnu s’être trompé sur l’effet anti-contamination, ça n’interpelle que moi ?
Pour rappel également, c’était l’unique raison de pousser à la vaccination : pour tous les autres vaccins, on se protège soi, on ne protège pas les autres (indirectement d’une certaine manière mais ça n’est pas l’effet premier voulu).
Et je passe l’épisode du passe sanitaire qui promis, ne sera pas un passe vaccinnal, tout ça tout ça… Je rappelle au passage que pour faire Paris - Le Mans direct (et terminus) en TGV en 55 minutes il faillait un passe, mais pas pour faire le même trajet en TER en 2 heures avec moult arrêts…
En résumé, vouloir faire le bilan de la gestion calamiteuse de cette « épidémie » est louable, mais comme le dit l’adage, à trop regarder la paille dans l’œil du voisin, on en oublie la poutre qu’on a dans le sien.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ont-ils bien modélisé les milliers de morts dus à l'Hydroxychloroquine ?
Posté par PhRæD . En réponse au journal jeu libre Covid-25 !. Évalué à 5.
Ça serait chouette d’avoir les mêmes chiffes pour le Remdésivir, vous savez, l’antivirus acheté à prix d’or par l’Europe (2 000 € la dose pour un coût de fabrication estimé de 5)
et que l’OMS considère comme inefficace contre le Covid-19 et dangereux ?
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Ben tant pis !
Posté par PhRæD . En réponse au lien Un journaliste (Loris Guémart) explique pourquoi les journalistes ne parlent pas du logiciel libre. Évalué à 3.
GIMP, VLC, Tiddlywiki, JOSM, Peertube, parmi le peu que je connais, sont des logiciels fantastiques qui existent malgré leur anonymat.
Il va falloir s’y faire : l’époque n’est pas propice à la publicité des communs.
La question à se poser est : cette absence de publicité risque -t-elle de nuire au libre ?
Je pense que non. D’ailleurs, le libre a émergé dans l’anonymat quasi complet.
Je crois par contre à la percolation (avec le temps, l’eau finit toujours par traverser le café), et ce d’autant plus que le non-libre peut parfois faire très fort pour se tirer une balle dans le pied : le cas de Google avec Maps est édifiant. À tellement vouloir gagner de l’argent (de mémoire certains tarif avaient été multiplié par plus de 10 000 !), ils ont juste réussi à faire fuir une partie de leurs utilisateurs vers Openstreetmap. Rappelons-nous aussi de Windows 7, qui m’a permis d'installer tant d’Ubuntu !
Il n’en reste pas moins qu’il faut soutenir le mouvement, et que ma foi, des équipes comme Framasoft ont (largement) de quoi nous donner la banane !
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
# Ben tant pis !
Posté par PhRæD . En réponse au lien Un journaliste (Loris Guémart) explique pourquoi les journalistes ne parlent pas du logiciel libre. Évalué à 6.
Pour avoir écouté la vidéo en entier, je n’en retiens qu’une chose : je ne vois pas pourquoi il faudrait « faire plaisir » aux journalistes.
Loris a d’ailleurs montré que le libre dispose de qualité qui pourrait en faire un sujet de choix.
Je pense qu’il est bien plus intéressant de se dire qu’il existe déjà une foultitude de contenus disponibles qui simplement ne passe pas par les canaux traditionnels.
Finalement, l’information est disponible, mais masquée par la toute puissance médiatique de nos milliardaires « préférés ».
Exactement comme l’a compris Framasoft avec Peertube, le libre ne doit chercher pas à contrer, mais juste à exister.
Il ne s’agit pas de baisser les bras, mais de placer judicieusement ses efforts.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Vision idéalisé du privé
Posté par PhRæD . En réponse au lien L’intelligence artificielle à l’assaut des emplois publics. Évalué à 1.
Et ça, ça vous va mieux ?
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Vision idéalisé du privé
Posté par PhRæD . En réponse au lien L’intelligence artificielle à l’assaut des emplois publics. Évalué à 2.
Rien n’est moins sûr que la certitudes des experts : il y a 50 ans, l’endroit choisi était la panacée ; aujourd’hui, on se demande comment sortir les déchets de là !
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Vision idéalisé du privé
Posté par PhRæD . En réponse au lien L’intelligence artificielle à l’assaut des emplois publics. Évalué à 4.
C’est assez cocasse de toujours prendre les contradicteurs de certaines techniques / technologies pour des « demeurés » anti-progrès.
Il faut bien réaliser que les promesses du radioactif et des OGM n’ont pas été tenu, et ça n’est pas les fautes des opposants :
- pour le radioactif, il est maintenant plus rentable de déployer du renouvelable. Et le désastre de l’EPR tant au niveau des coûts que des délais n’est pas prêt de le contredire. Ces différents articles (bien que partiaux) sont sans ambage ;
- pour les OGM, la contestation n’est pas venu originellement des OGM pour eux-mêmes, mais des brevets qui vont avec : impossibilité de ressemer, assignation à payer lors d’ensemencement involontaire, etc.
Sans oublier que ces sujets portent une vision stratégique dominatrice : imposition des implantations sans discussion, pas de demande d’avis des citoyens, etc.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Vision idéalisé du privé
Posté par PhRæD . En réponse au lien L’intelligence artificielle à l’assaut des emplois publics. Évalué à 3.
C’est effectivement un des premiers combats à mener : retrouver la maitrise de la gestion des cotisations.
Il suffit de se rappeler l’épisode de la dernière
réformeattaque sur les retraites, avec l’éclairante passe d’arme entre le COR et le gouvernement sur l’état réel des comptes et sur la projection de ceux-ci à long terme.« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Vision idéalisé du privé
Posté par PhRæD . En réponse au lien L’intelligence artificielle à l’assaut des emplois publics. Évalué à 2.
En fait un mixte des deux, et c’est là que je réalise combien « la parole » de Friot mérite d’être bien plus « répandue ».
D’ailleurs il parle souvent de 1946 comme un acte de subversion : ces ordonnances ont rendu obligatoire les cotisations tout en en confiant la gestion aux représentants élus des caisses (et donc hors du contrôle de l’État).
Il ne faut pas s’étonner que ça ne soit pas appris à l’école ni comme je le rappelais plus tôt dans la discussion des efforts gigantesques menés par les dominants pour « effacer » cette conquête.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: Vision idéalisé du privé
Posté par PhRæD . En réponse au lien L’intelligence artificielle à l’assaut des emplois publics. Évalué à 2.
Effectivement, nous disons presque la même chose, mais je maintiens :
- je ne vois pas en pratique quand des consommateurs ont réussi à faire « plier » une entreprise en dehors d’un passage en justice ;
- dans les 2 cas, c’est la dépossession des producteurs réels, les salariés / agents, de la possibilité de choisir comment produire qui conduit à ces résultats désastreux.
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[^] # Re: Vision idéalisé du privé
Posté par PhRæD . En réponse au lien L’intelligence artificielle à l’assaut des emplois publics. Évalué à 3.
Comme je l’ai écrit plus haut, les débuts de la sécurité sociale (au sens de 1946) se sont faits sans l’État : l’administration des caisses se faisaient par des représentants élus.
On peut même dire que ça c’est fait contre l’État : il suffit de voir les efforts démesurés depuis plus de 40 ans pour détruire cette institution.
Une gestion collective peut se faire sans État au sens de l’absence « représentant » permanent non élu.
D’où d’ailleurs l’existence desdites caisses : la gestion en direct et la nécessité d’une proximité du terrain imposait un maillage conséquent.
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[^] # Re: Vision idéalisé du privé
Posté par PhRæD . En réponse au lien L’intelligence artificielle à l’assaut des emplois publics. Évalué à 2.
Il ne faut pas confondre service public et État !
Friot montre bien que c’est l’étatisation qui permet la destruction à petit feu de la Sécu.
Ce à quoi il faut arriver c’est à une gestion collective et participative des communs.
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[^] # Re: Vision idéalisé du privé
Posté par PhRæD . En réponse au lien L’intelligence artificielle à l’assaut des emplois publics. Évalué à 9.
C’est fou d’être aussi péremptoire quand il suffit de réviser un peu son histoire pour rappeler que le Public en France, c’est ou a été :
- la sécurité sociale, et par ricochet l’hôpital qui pourtant déjà bien abimé a permis à la France d’avoir l’un des meilleurs système de santé du monde dans les années 90. Entièrement bâti avec de l’argent public et sans crédit (lire Bernard FRIOT, un puits de connaissance sur le sujet, aussi bien sur sa mise en place que son dépeçage) ;
- corollairement, un système de retraites qui avait fait disparaître la pauvreté chez les seniors ;
- les télécoms avec le minitel : les français achetaient en ligne bien avant Amazon ;
- (même si je suis anti-radioactif) un producteur d’électricité de premier plan avec EDF ;
- le TGV, qui détient toujours le record du monde de vitesse sur rail ;
Et j’en passe. Malheureusement, un bonne part de cet héritage du public est en cours de délabrement suite à plusieurs décennies de politiques de destruction systématique des services publics pour les « offrir » au privé.
Quant au si rationnel et efficace privé, si on parlait merdification ?
Les faits sont têtus.
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[^] # Vision idéalisé du privé
Posté par PhRæD . En réponse au lien L’intelligence artificielle à l’assaut des emplois publics. Évalué à 10.
La moindre personne ayant ouvert un magazine tel que 60 millions de consommateurs sait que beaucoup d’entreprises se fichent pas mal du sort des consommateurs de leurs produits, ça n’est pas l’apanage du public tel sous-entendu de ce commentaire.
Quand au sous-entendu d’inefficacité du public et d'efficacité du privé qui seraient « naturels », il suffit de se rappeler du désastre du rail au Royaume-Uni, de la gestion privé de l’eau en France (avec retour en force de la régie publique), ou de la privatisation de la fourniture de gaz et de l’électricité en France pour rappeler la fausseté d’une telle assertion.
Au final, bien souvent — que ça soit dans le public ou le privé — les difficultés rencontrées sont le fait de politiques / stratégies qui échappent le plus souvent aux agents / employés qui cherchent généralement à faire correctement leur travail.
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[^] # Re: celles liées à vos investissements
Posté par PhRæD . En réponse au lien Les 1 % les plus riches émettent autant de gaz à effet de serre que les 66 % les plus pauvres. Évalué à 0.
Et qui fixe la stratégie desdits salariés si ce n’est la direction et dans le cas de Tesla, qui peut bien chapeauter la direction ?…
Vous n’avez pas bien compris où se situe le problème : bien évidemment, avec des milliards d’êtres humains, il y a production « en masse ». Le souci actuel est que ça n’est ni ceux qui produisent ni ceux qui consomment qui peuvent choisir ce qui est produit et comment c’est produit. Pour ne donner que quelques exemples, quel est l’utilité sociale des jets privés, des yatchs, des voitures à 4 millions € ?
Notez bien que je me moque totalement du fait que ça soit des biens inabordables pour le commun des mortels, il s’agit juste de se demander pourquoi c’est produit. Ce questionnement est également valable pour la plupart des projets d'infrastructure qui va de l’autoroute A69 (dont le projet alternatif moins couteux ne reçoit curieusement aucune attention de la part de nos dirigeants) au rond-point près de chez moi dont le réaménagement « pour les cyclistes » s’est fait sans concertation avec des cyclistes.
« Y a même des gens qui ont l’air vivant, mais ils sont morts depuis longtemps ! »
[^] # Re: celles liées à vos investissements
Posté par PhRæD . En réponse au lien Les 1 % les plus riches émettent autant de gaz à effet de serre que les 66 % les plus pauvres. Évalué à 10.
Faut arrêter avec ce délire que c’est la consommateur qui décide de tout.
Et puis c’est factuellement faux : personne n’a jamais demandé d’ordiphone à 2 000 € ou de SUV de 3 tonnes.
Et c’est bien là tout le problème : ce ne sont pas plus les clients ou les employés d’Elon MUSK qui choisissent ce que Tesla va produire. C’est Elon Musk.
Ça ne veut pas dire que c’est un « méchant », ça veut juste dire que vous ne pouvez pas m’affubler d’un pouvoir que je n’ai pas pour ensuite m’accuser de ne pas l’exercer.
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[^] # Re: celles liées à vos investissements
Posté par PhRæD . En réponse au lien Les 1 % les plus riches émettent autant de gaz à effet de serre que les 66 % les plus pauvres. Évalué à 8.
Encore une personne qui pense individu et non système, comme si chacun était (entièrement) libre de ses choix !
Un seul exemple : suis-je libre de choisir un PC le plus libre possible si l’un de mes gamins va dans une école qui utilise une quelconque application non-libre incompatible avec mon installation et l’empêche de faire ses devoirs ? (la réponse c’est ma faute puisque je n’ai visiblement pas choisi la bonne école n’est pas acceptée…).
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[^] # Re: Curseur à géométrie variable
Posté par PhRæD . En réponse au journal Le sophisme du meilleur outil. Évalué à 2.
\o/
Je suis tout-à-fait d’accord : rien ne vaut en terme de productivité une interface texte bien foutue !
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[^] # Re: Curseur à géométrie variable
Posté par PhRæD . En réponse au journal Le sophisme du meilleur outil. Évalué à 2.
Je ne sais pas ce que c’est « du web un peu sérieux », mais je sais que :
- derrière de la souscription de crédit avec virement instantanée, front-end mobile, middle qui attaque le site central en API REST, ça tourne comme un moulin 24/7 ;
- des alimentations d’ELK par le site central ça marche juste ;
- qu’au passage le reporting, c’est l’essence du site central : considérer que chacun doit pouvoir choisir l’ordre des colonnes d’un rapport, c’est un peu du caprice : il n’y a pas 36 façon de faire parler pertinemment une même source de données (si on ne compte pas les besoins cosmétiques) ;
- pour finir que le reporting en site central ça doit se faire par DFSORT et pas par des multitudes de programmes COBOL dont on peut-être sûr qu’au moins un comporte une erreur de rupture… (et en plus DFSORT ça consomme quasi-rien).
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[^] # Re: la fin du site central…
Posté par PhRæD . En réponse au journal Le sophisme du meilleur outil. Évalué à 2.
C’est plus compliqué que ça je pense.
Par exemple, Je suis par confronté « régulièrement » à des soucis sur des modules assembleurs.
Le manque de développeurs n’est pas tant liés au manque de hype de ce vénérable langage que :
- l’incapacité des entreprises à entretenir les compétences (je parle de boite de 50 000+ d’employés dont plusieurs centaines d’informaticiens), pas de la « PME-du-coin » ;
- l’incapacité des entreprises quand elles choisissent de plus entretenir les compétences dans un langage de se débarrasser des composants dans ledit langage.
Et même pour des langages « non-abandonnés », on peut se retrouver avec des applicatifs critiques (j’ai en tête un module qui compte plusieurs dizaine de millions d’appel par jour) avec 1 seule personne compétente qui commence à prendre de l’âge…
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