Marc Quinton a écrit 1566 commentaires

sauf que la solution proposé est aussi en partie dans la spec : comment installer Linux "sur" Windows(7). Et puis rappeler que cette solution (WSL) existe me semble un bonne chose.

c'est limite hors-périmètre par rapport à la demande. Pour le reste, c'est tout de même une solution très efficiente. Est-ce qu'elle est élégante, surtout sur le plan de la doctrine du libre ?

tout à fait : https://docs.microsoft.com/en-us/windows/wsl/install-win10 (Windows 10 + WSL). Du coup, depuis le store Windows, on peut installer simplement une Debian, une Ubuntu, …

merci pour cette explication ; moi aussi j'ai un F2 en poche depuis 83. Ca me rappelle bien des souvenirs, mais je ne pratique plus. Je pense bientot faire de la CNC sur plaque de cuivre. Voici une démonstration très bluffante : https://www.youtube.com/watch?v=9DhPwtCZ9u4

sinon, comment tu procèdes pour l'insolation aux UV ?

concernant les classes, le mot clé static, c'est pour ceux qui font du C++ ? personnellement, ca me me cause pas plus que ca. C'est vraiment une drôle(mauvaise) idée.

contacter son député des "francais à l'étranger" et lui faire part de cette problématique. Pourquoi les francais partis à l'étranger n'auraient pas droit de bénéficier des médias culturels francais au même titre qu'un résident.

je pense qu'il y a une erreur sur la ligne 3 du fichier de config : /etc/network/interfaces

lien : pertinent ou inutile ; ça devrait suffire.

Comme tu le dis si bien, tu n'y connais pas grand chose …

ha bon ??? ton argumentation est tout de même un peu légère.

bonjour et merci pour ce retour d'expérience, concernant en particulier BTRFS.

Pour ma part, j'ai mis en place un mécanisme permettant de dupliquer l'ensemble de nos sauvegardes, avec rsync. Les données arrivent sur un serveur dédié qui à terme sera sorti de notre salle serveur et localisé quelques centaines de mètres plus loin. C'est pour cela qu'on l'appelle PRA, bien qu'on ne se concentre que sur les données.

Les données sont collectées sur une grosse partition BTRFS de 20To extensible à 40 via LVM. Nous avons actuellement une volumétrie de 17To pour 15 millions de fichiers. Je réalise, via un script un snapshot quotidien et efface les snapshots les plus anciens. Je n'en garde que 30. Les opérations de snapshot sont pratiquement instantanées : entre 2 et 5 secondes pour la création et moins de 30ms pour la suppression.

Le couple BTRFS + rsync me semble un très bon remplacement à RSYNC + rsnapshot. Le premier permet en théorique de faire des synchros différentielles par blocs avec rsync (--inplace --no-whole-file), ce que ne permet pas rsnapshot qui ne peut en aucun cas opérer sur les snapshots en mode différentiel (contrairement à BTRFS). L'organisation en layers de BTRFS permet de conserver 2 copies d'un même fichier en différentiel par bloc.

concernant la supervision, j'ai mis en place sur certains volumes, la création d'un fichier .backup-timestamp créé par une tache cron. Il suffit de surveiller l'age de ce fichier pour lever une alarme si celui-ci prend de l'age de façon inexpliquée. J'ai couplé cela avec le plugin telegraf/filestat :

marc$ cat input.filestat.conf
# https://docs.influxdata.com/telegraf/v1.9/plugins/inputs/#filestat
# Read stats about given file(s)
[[inputs.filestat]]
  files = ["/extra/backup/*/.backup-timestamp"]
  interval = '1d'

concernant BTRFS, j'évite de m'appuyer sur les fonctionnalités avancées : la gestion des volumes est faite par LVM. Le RAID est géré matériellement. Cela m'évite d'avoir des soucis avec les bugs résiduels liés à la maturité de BTRFS. Je dois encore expérimenter la fonctionalité send/receive. J'aimerai bien faire mettre en place un snapshot de type hourly localement sur chacune de nos machines en réseau : un snapshot local est pratiquement instantané et n'induit aucune charge réseau. Il ne reste plus qu'a envoyer sur les serveurs de backup une daily pendant la nuit.

J'ai expérimenté le couple restic + rest-server. J'ai eu quelques déconvenues et par ailleurs, la sauvegarde génère une charge CPU non négligeable, mais non apparente sur nos applications.

ou renommer le disque en "usb", tout court. Pour le reste, le lien me semble très utile. Pour ma part, ca marche nickel sur mon installation domestique.

sur la dernière version de Ubuntu, il est possible de faire une installation minimaliste, en environnement Gnome. Elle ne contient que le nécessaire : un navigateur, le bureau gnome et toute l'infra de gestion des paquets. Ensuite, il est très simple pour qui sait le faire de compléter l'installation de base.

On peut aussi parler des long-term support qui ont commencé sur Ubuntu et qu'on commence a voir sur Debian.

sinon : même avis : kiffkiff entre les 2 distribs. On peut passer de l'une a l'autre simplement. Les 2 existent en version épurée (serveur). Snap est effectivement un peu désagréable : c'est une sorte de container applicatif et un peu bloatware ; comprendre gourmand en espace disque (et mémoire).

Coté installation : Ubuntu est bien plus simple a installer. L'installateur Debian, il y a pas bien longtemps posait plus de questions qui n'intéressent pas le quidam.

je peux me tromper, mais il n'y a pas de lien bijectif entre devops et Web. On peut très bien mettre en prod des applis qui n'ont pas de lien avec le Web. Bon, je suis d'accord, par les temps qui courent, cela reste marginal. Les applications métier sont souvent codées sur des technos hors Web, en tout cas, cela est vrai pour ce qui concerne mon secteur d'activité, non marchand.

le répertoire HOME qui contient tes données est chiffré, avec un outil portant le doux nom de ecryptfs. Un mécanisme permet de lié le mot de passe de connexion au mot de passe du volume chiffré. En principe les 2 mots de passes sont indépendants. Depuis que tu as changé le mot de passe permettant l'ouverture de session il se trouve que tu ne peux plus ouvrir le volume chiffré de ton HOME. Et c'est indispensable pour ouvrir une sessions graphique (gnome, ou autre). Ce n'est pas clairement indispensable en console.

sauf erreur de ma part, tu peux utiliser "ecryptfs-rewrap-passphrase" pour te sortir du pétrin, en mode console.

le couple rsync + les snapshots btrfs est assez pratique. Un peu de bash ou snapper pour faire tourner les snapshots.

rien sur un service de blockchain publique d'état. Snifff

• manifestement, les applications Snap sont un sous-ensemble des containers Docker (https://askubuntu.com/questions/808524/whats-the-main-difference-between-docker-and-snap).
• containeriser une application dont on ne gère pas bien les dépendances me semble une bonne chose. Il y a sans doute plusieurs façons d'y parvenir avec des effets de bords (ps, mount, …)
• de là à mettre en container des mini-applications basiques de l'environnement gnome y'a un pas
• il me semble que les applications android sont sur certains aspects mis en container ; sachant que les perfos d'un smartphone android convient à 95% des utilisateurs, il me semble que parfois, il faut savoir ignorer les mécanismes sous-jacents bien que je comprenne que l'exercice soit difficile pour bien d'entre nous.

je n'ai pas lu dans le détail ton message. Mais j'aurai tendance à lire les formats binaires assez complexes avec Kaitai-struct dont il existe un portage Rust : https://github.com/kaitai-io/kaitai_struct_rust_runtime

sur une breadboard avec des fils volants, à la MacGyver :-)

oui, et avec un serveur MQTT, c'est la solution idéale. Il est un peu difficile de changer le firmware de ces petites bestioles, mais on finir par y arriver sans avoir a ouvrir et souder quoique ce soit.

question puissance, c'est pas top. Les relais sont un peu justes et pas nécessairement adaptés à une charge inductive.

compte créé en … 2003 :-) mdr.

socat ? http://heapspray.net/post/using-socat-to-proxy-ssl-connections/

socat TCP-LISTEN:LPORT,fork openssl:IP:PORT,verify=0

peut-etre : cat fichier.txt | tr ' ' '.' ; cela devrait remplacer les espaces par des . ; voir ci-dessous :

marc@gigabyte:~$ cat /etc/passwd | grep NVID
nvidia-persistenced:x:129:138:NVIDIA Persistence Daemon,,,:/nonexistent:/sbin/nologin
marc@gigabyte:~$ cat /etc/passwd | grep NVID | tr ' ' '.'
nvidia-persistenced:x:129:138:NVIDIA.Persistence.Daemon,,,:/nonexistent:/sbin/nologin

chez OVH, on voit des quotas à 200, 300 mails par heure et par IP. Il faudrait regarder au niveau des autres. Y'a du choix : Gandi, Amazon, Online, …

J'espère que tu fais pas ça dans un cadre professionnel … ou que c'est pour te former, pas pour de la prod …

tant que ce n'est pas sur Internet, le risque semble limité. Mais dans le fond, tu as bien raison.