Sygne a écrit 628 commentaires

  • # Insécurité juridique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Sony: Ma propriété intellectuelle vaut plus que la vôtre. Évalué à 4.

    Je crois que Matthew Garret soulève un problème d'insécurité juridique dans la licence GPLv2. Un article de la licence indique que toute société qui contrevient une fois à la licence ne peut plus profiter des quatre libertés. Et la GPLv2 entretient le flou concernant deux questions:
    - pour combien de temps le droit d'user des quatre libertés est perdu?
    - cela concerne-t-il uniquement le logiciel irrégulièrement distribué ou tout logiciel sous GPLv2?

    Or, la FSC joue sur ce flou pour faire pression sur les entreprises qui ne respectent pas la GPLv2: elle est en situation d'imposer son interprétation de la GPLv2 au contrevenant, c'est ce qui lui permet d'intervenir à propos de logiciels sous GPLv2, mais dont elle n'a pas la responsabilité juridique.

    Je comprends qu'une entreprise voit ici à s'inquiéter. En dehors de la vision binaire du méchant tricheur et du gentil libriste, il y a tout un tas de situations où il n'est pas évident de savoir si la licence est respectée ou pas. Si une erreur d'interprétation se paie au prix d'une interdiction illimitée d'utiliser tout logiciel sous GPLv2, il est clair que l'entreprise peut préférer éviter cette licence. Ou du moins éviter d'utiliser les logiciels qui jouent sur cette clause dans la défense de leurs droits, éviter busybox donc.

    La GPLv3 clarifie l'article litigieux de la GPLv2 en faveur du contrevenant: la perte des quatre libertés n'est que provisoire à condition de bien se comporter durant une période d'essai. En ce sens, elle est une réponse au problème ici en question, qui semble sous entendue dans l'article de Matthew Garret: n'est-ce pas un appel discret à passer busybox en GPLv3, qui est certes plus exigeante, mais qui, en même temps, limite le flou juridique?

    Une autre réponse serait une GPLv2 bis: Sans élargir la GPLv2, une clarification de l'article litigieux pourrait être bienvenue.

    Loin de se contenter de dénoncer Sony, Matthew Garret pose à mon avis une question difficile concernant la stratégie à adopter dans la défense des logiciels libres, car la force que donne cet article à la FSC dans la défense de ses droits conduit au résultat inverse de celui escompté: la restriction des libertés de l'utilisateur final.

  • [^] # Re: Parasitisme

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vous avez internet, vous financez la musique française. Évalué à 1.

    Il y a une contradiction inhérente à l'organisme qui lance l'appel, la fédération des arts de la rue, qui défend des intérêts corporatistes (ceux des arts de la rue), et qui, du fait de l'histoire des arts de la rue, défend une utopie.

    Bien souvent, l'utopie sert d'argument pour la défense des intérêts corporatistes. Mais en même temps, la fédération a au moins pour elle le fait que la défense des intérêts corporatistes est nécessaire pour défendre l'utopie.

    Ici, le slogan « l'art est public » est une formulation contemporaine de l'utopie des arts de la rue, tandis que les signataires sont les représentants de corporations alliées parce qu'elles partagent grosso-modo le même réseau de diffusion, les mêmes techniques et styles artistiques, et les mêmes difficultés financières.

    Je n'ai pas trouvé de lien plus pertinent concernant l'utopie des arts de la rue (je n'ai pas non plus cherché longtemps). C'est surtout une tradition orale, et il faut croire qu'elle se perd.

  • [^] # Re: Parasitisme

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vous avez internet, vous financez la musique française. Évalué à 3.

    C'est ce que les artistes de rue défendent depuis des lustres sous le titre « d'utopie des arts de la rue »: L'art est public !.

  • [^] # Re: Parasitisme

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vous avez internet, vous financez la musique française. Évalué à 6.

    Je répondais à Grunt qui parlait de la politique culturelle en général.

    Il ne faut pas se tromper d'enjeu: cette politique culturelle est mauvaise parce qu'elle confond œuvre artistique et produit de consommation, intérêt national et intérêt des lobbyes. Ça ne veut pas dire que toute politique culturelle est insensée.

  • [^] # Re: Parasitisme

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vous avez internet, vous financez la musique française. Évalué à 1.

    Je ne sais pas...

    Il y a une difficulté connue: faut-il subventionner les compagnies qui créent où les lieux qui les diffusent? Si on subventionne les compagnies, on a tendance à conforter l'existant, et à ne pas pouvoir organiser le développement territorial. Si on subventionne les lieux qui diffusent, on favorise la fluidité, on peut orienter le développement territorial, mais une partie des subventions nourrissent des personnes qui ne créent pas, de sorte que tout un ensemble de personnes vivent de la culture mieux que les artistes (emplois stables, salaires réguliers et viables). La politique actuelle consiste à faire les deux. Depuis quelques années, l'idée de subventionner les lieux plus que les compagnies a reçu un coup de pouce politique. C'était la réponse politique à la crise de l'intermittence (de 2003): si vous avez des difficultés à faire le nombre d'heures nécessaire pour avoir droit au chômage, c'est qu'il n'y a pas assez de possibilité de diffuser votre travail. C'était, je crois, le fond du rapport Latarjet de 2004.

    Quant au réseau, oui, c'est important. Le milieu artistique est extrêmement concurrentiel, car il y a beaucoup plus d'artistes que de possibilités de diffusion. À qualité égale, tu choisiras toujours quelqu'un que tu connais.

  • [^] # Re: Parasitisme

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vous avez internet, vous financez la musique française. Évalué à 4.

    Ça pose un sacré problème de subventionner la culture, par rapport à d'autres secteurs économiques.

    Analyse à courte vue. La subvention de la culture française, c'est une subvention au tourisme détournée. Et je crois que c'est très efficace comme subvention: J'ai vu et entendu, lors d'un festival, alors que les artistes manifestaient et faisaient grève pour éviter en vain qu'on ne change leur statut, une commerçante pleurer et leur crier: « vous êtes en train de nous ruiner ». Effectivement, les commerces de la ville doivent faire la moitié de leur chiffre d'affaire annuel durant la semaine du festival. Ceci est particulièrement vrai en France, qui vit pour une bonne part de son tourisme et de son rayonnement culturel.

    c'est forcément une affaire de goûts personnels.

    Bof. le regard esthétique s'exerce, et un regard exercé sait faire abstraction de ses goût personnels pour donner un jugement objectif sur une œuvre d'art. Que la plupart aiment ou pas ne change rien à la qualité intrinsèque d'une œuvre.

    on se retrouve avec une approche conservatrice de la culture, qui vise surtout à faire connaître la culture d'avant aux gens de maintenant (ce qui est positif et nécessaire), mais pas forcément dénicher et soutenir la culture de maintenant faite par les gens de maintenant.

    En partie faux. Les subventionneurs passent leur temps à s'interroger à ce sujet. Bien souvent, l'approche pragmatique consiste à dire qu'ils ne sont pas les mieux placés pour dénicher les talents. Ils laissent faire ceux qui s'en font une spécialité: les diffuseurs, les tourneurs, les organisateurs de festival, les galeristes, et interviennent pour donner une sorte d'aide au développement des nouveaux talents repérés. Si tu n'es pas convaincu tu peux aller faire un tour dans ton FRAC (Fonds Régional d'Art Contemporain), et tu verras que ce n'est pas de l'art d'il y a trente ans.

    Au lieu d'essayer de faire participer chacun, de le pousser à s'impliquer

    On peut estimer que la politique culturelle moderne hérite des idées de Malraux, et consiste à mettre l'art élitaire à la portée de tous, ce qui est déjà une façon d'impliquer chacun. Mais bon nombre d'artistes considèrent que l'art ne devrait pas être élitaire, mais populaire, et touchent des subventions pour cette raison même qu'ils savent impliquer directement les citoyens dans une démarche artistique. Par exemple, une compagnie de théâtre a travaillé plusieurs mois avec les habitants d'une tour d'hlm qui allait être détruite, pour faire un spectacle à la mémoire de la tour.

    on reste dans un schéma de "créateurs de culture professionnels" qui sont financés (y compris par l'état) par les "consommateurs"

    Faux. Le théâtre amateur et les écoles d'art sont subventionnés, l'art à l'école est était subventionné. C'est du reste l'enjeu principal de la politique culturelle de Lang que de nuancer cette distinction entre consommateurs et créateurs de culture. Pense à la fête de la musique (ce n'est pas une subvention, mais c'est emblématique de l'esprit d'une politique culturelle).

    Après, je veux bien entendre que la politique actuelle confond culture et commerce, comme elle confond citoyen et consommateur. Mais il y a bon espoir que ce soit juste un mauvais moment à passer, et que dans quelques mois, on retrouvera les fondamentaux d'une politique culturelle intelligente.

  • [^] # Re: Juste pour signaler…

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Quelques logiciels qui sonnent sioux. Évalué à 1.

    Pour moi, la prise en main de zathura est vite vue: j, k, +, -, :info, Tab, et parfois f, pour suivre un lien. Le reste, je ne m'en sers pour ainsi dire jamais.

    Quant à Jumanji je le trouve étonnamment stable, plus que midori que j'utilisais il y a cinq ou six mois. Mais je me souviens qu'une option de configuration concernant flash ou les plugins externes le rendait instable.

  • [^] # Re: Hein ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La SACEM autorise l'utilisation des licences Creative Commons Non Commerciales. Évalué à 4.

    Sachant que:
    1. Les compositeurs inscrits à la sacem n'ont pas le droit de diffuser de la musique sous licence libre.
    2. La plupart des musiciens sont inscrits à la sacem.
    3. La plupart des musiciens ne lisent pas les petites lignes du contrat qui les lie à la sacem et diffusent certaines de leurs compositions sous licence libre.

    Alors, oui, tu peux devoir payer une dîme à la sacem pour de la musique diffusée comme libre, mais qui ne l'est finalement pas. Il y a quelques années, on en parlait ici, à propos de Jamendo, qui s'apercevait que dans son catalogue de musique libre, une bonne partie ne l'était finalement pas du fait que les compositeurs étaient inscrits à la sacem.

  • # Spoliation !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La SACEM autorise l'utilisation des licences Creative Commons Non Commerciales. Évalué à 10.

    Une fois de plus, la Sacem confirme que loin d'être la société de défense des droits d'auteurs, elle est l'organisatrice de leur spoliation systématique.

    Il est scandaleux qu'une société censée défendre les droits d'auteurs interdise aux auteurs le choix de leur licence.

    Il est scandaleux que la mission de cette société soit encore reconnue d'utilité publique, car en spoliant les droits des auteurs, elle spolie les droits publics.

    En « autorisant » les licences CC by sa nc, elle affirme qu'elle interdit tout autre type de licences libres, et met fin au flou qui pouvait jouer en la faveur des auteurs choisissant de vraies licences libres.

    En privilégiant les licences CC by sa nc, elle entrave directement la multiplication des œuvres sous licences libres.

    Toute la stratégie de cette société consiste à conserver son monopole de fait, et à imposer sa vision restrictive du droit d'auteur à la société.

  • [^] # Re: Autre choix.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La SACEM autorise l'utilisation des licences Creative Commons Non Commerciales. Évalué à 10.

    Pas obligatoire, mais relativement incontournable...

    De mémoire, la Sacem inscrit des personnes physiques, pas des personnes morales. Et dès que tu es inscrit à la Sacem, tu t'engages à lui confier la gestion des droits de toutes des productions.

    Ainsi, si X est membre compositeur du groupe Y, que le groupe Y décide de s'inscrire à la SACEM, mais que X fait aussi partie du groupe Z, qui décide de diffuser ses œuvres sous licence libre, eh bien il ne peut pas, car en tant qu'inscrit à la SACEM, X s'est engagé à lui confier la gestion de ses droits.

  • [^] # Re: Et c'est vrai

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal megafermeture.fbi. Évalué à 8.

    France culture: Des voix qui semblent choisies pour la beauté de leur timbre, une langue orale d'une grande élégance, pas de publicités, au service d'un contenu critique.

    Il y a même des feuilletons, preuve de l'immense savoir-faire radiophonique de ceux qui travaillent là-bas.

  • [^] # Re: comme d'hab en fait

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message cherche distribution. Évalué à 1.

    Je regarde du côté de Frugalware et PCLinuxOS:, mais ça me semble à mille lieues de ce que je cherche:

    Frugalware is a general purpose Linux distribution, designed for intermediate users (who are not afraid of text mode). We have a -current and a -stable branch. The -current branch is updated daily, and we provide security support for our -stable branch till the next release, for approximately 6 months.

    Dixit la documentation. Je n'ai pas trouvé d'indications précisant en quoi la version current serait une rolling release plus accessible aux non-initiés qu'Arch Linux, donc a priori, frugalware est loin de ce que je cherche.

    Quant à PCLinuxOs, c'est vrai que ce n'est peut-être pas mal, si j'en crois le wiki:

    PCLinuxOS est une distribution Linux stable, très conviviale et adaptée aux débutants, localisable dans plus de 60 langues. Elle a pour particularité d’être une distribution tournante.

  • [^] # Re: comme d'hab en fait

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message cherche distribution. Évalué à 1.

    J'aimerais bien leur mettre Arch, mais non, je crois que ce n'est pas une distribution pour eux. À la limite, s'il y avait un gestionnaire de paquet graphique, et une gestion minimale des fichiers de configurations (au moins pour les quelques fichiers qu'il faut configurer régulièrement et qui sont important pour le système: /etc/pacman.d/mirrorlist, /etc/locale.gen, /etc/inittab, /etc/rc.conf), cela pourrait s'envisager.

    Du reste, ton argument, à première vue cohérent, est, je crois, fallacieux: il supposerait que nous ayons non seulement la même distribution, mais en outre le même environnement de travail. Je n'utilise ni gnome, ni kde, ni xfce, ni firefox, comment savoir si la dernière mise à jour de gnome ne casse pas l'extension machin? Dans ce cas là, ils m'appelleront, et me diront « y-a plus machin », il me faudra chercher dans les fora, et trouver la solution, exactement comme je le ferais si ce n'était pas la distribution que j'utilise.

  • [^] # Re: installer ubuntu 11.10 puis passer en LTS en avril (12.04)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message cherche distribution. Évalué à 1.

    Je viens de voir ici que Linux Mint suit le cycle de support de Ubuntu.

    Ce qui est dit ici d'Ubuntu pourrait donc être valable pour Mint, dont l'intégration de Gnome est assez convaincante...

  • [^] # Re: Debian Squeeze + backports.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message cherche distribution. Évalué à 2.

    Cette solution ne semble pas mauvaise effectivement, mais je connais mal Debian.

    Si j'ai bien compris, la méthode est la suivante: il me suffit de rajouter le dépôt backport dans le sources.list, de mettre à jour manuellement les paquets qui m'intéressent depuis ce dépôt, et ensuite, le gestionnaire de paquet (apt-get, aptitude, synaptic), ira directement chercher les mises à jour de ces paquets dans le backport.

  • [^] # Re: installer ubuntu 11.10 puis passer en LTS en avril (12.04)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message cherche distribution. Évalué à 1.

    Ta dernière remarque laisse entendre que Unity est optionnel dans ubuntu, et qu'on peut utiliser gnome3. C'est pratique effectivement.

  • [^] # Re: un clone RHEL ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message cherche distribution. Évalué à 1.

    Je n'ai pas pensé à CentOs, que je n'ai jamais vraiment étudié. Je vais me renseigner, mais si tu as sous la main quelques informations concernant le cycle de versions, je suis preneur.

  • [^] # Re: installer ubuntu 11.10 puis passer en LTS en avril (12.04)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message cherche distribution. Évalué à 1.

    Peut-être... Je ne suis pas convaincu par l'ubuntu actuelle, mais c'est probablement une bonne idée.

    J'y vois trois problèmes:
    - Une grosse mise à jour dans trois mois en mon absence. Si je leur explique bien l'enjeu, peut-être que tout peut se passer correctement, même en cas de bug résiduel.
    - Il faudra alors reconfigurer les dépôts, pour qu'ils restent en LTS, j'imagine. Là aussi, c'est une question de pédagogie.
    - Ils devront supporter la technologie Unity, dont l'obsolescence me semble prévisible.

  • [^] # Re: distrib stable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message cherche distribution. Évalué à 1.

    Oui.

    Pour tout dire, si gnome3 n'était pas sorti il y a peu, j'aurais la vie plus simple. Là, il me faut prévoir que dans quelques mois, les utilisateurs de gnome2 se retrouveront avec gnome3 suite à une mise à jour.

    Au début je pensais éviter ça en proposant gnome3 d'emblée, mais les distributions ayant un gnome3 fonctionnel sont rares pour l'instant, et aucune n'est LTS.

    Mais peut-être que je devrais juste me tourner vers xfce...

  • [^] # Re: Rolling release

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message cherche distribution. Évalué à 2.

    J'utilise personnellement Arch, et suis tout de même très étonné de la voir conseillée à des débutants... C'est très stable, mais il n'est pas rare de devoir modifier un fichier de configuration lors d'une mise à jour. Chose inimaginable pour les utilisateurs ici concernés – le but étant qu'ils n'aient pas besoin de moi pour mettre à jour leur système.

  • [^] # Re: Fonctions typographiques

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Scribus 1.4. Évalué à 1.

    Je crois que je ne vois pas le rapport.

    Ce que je comprends de cette « ferme de rendu » n'est rien de plus qu'une interface en ligne de commande de Scribus. Ça ne dit rien des algorythmes qu'utilise le moteur de rendu typogographique.

  • # Fonctions typographiques

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Scribus 1.4. Évalué à 5.

    Petite question en passant:

    Scribus a-t-il intégré les algorythmes connus liés à la typographie, tel celui de Knuth-Plass, qui uniformise le gris typographique des paragraphes, et ceux de Hàn Thế Thành, qui améliorent le précédent en jouant sur la taille de glyphes et la micro-typographie?

  • [^] # Re: Utiliser les exceptions

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Classe et exceptions: return, stderr, sys.exit, UserWarning, etc. Évalué à 3.

    Je comprends le principe. Il faut que j'approfondisse la documentation de Python à ce sujet, mais je devrais pouvoir m'en sortir tout seul maintenant.

    C'est un vrai plaisir ce langage de programmation!

    Merci beaucoup!

  • [^] # Re: Utiliser les exceptions

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Classe et exceptions: return, stderr, sys.exit, UserWarning, etc. Évalué à 1.

    Si j'ai bien compris:

    • Dans le fichier contenant ma classe, je définis une classe d'exception, par exemple Myerror.
    • Dans la fonction devant gérer les exceptions, j'introduis une ligne "raise Myerror('texte d'erreur')".
    • Dans le script qui appelle ma classe, j'utilise le couple "try...except Myerror as...", et je gère l'exception comme cela me convient.

    J'ai bon?

  • # Merci à tous!

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Ordinateurs portables. Évalué à 1.

    Après discussion ici, c'est un portable ldlc qui a été choisi:
    http://www.ldlc.com/fiche/PB00111855.html

    Encore merci!