Sygne a écrit 628 commentaires

  • [^] # laisser / laissé

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Les fautes des Linuxfriens. Évalué à 5.

    leur créateur a laisser vivre

    leur créateur a laissé vivre

    Pour le reste, je plussoie le journal, en particulier pour la révision du participe passé du verbe avoir, qui est excellente.

  • # Bof

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Intel NUC, un PC complet Core i5 sur 10 cm de côté. Évalué à 2.

    tout le monde attend un mini PC silencieux, économe en énergie, avec un minimum de puissance

    Sauf que là, il ne sera ni économe en énergie, ni silencieux (sur une photo, on croit voir un ventilateur).

  • # Savoir faire

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Manuel sur les fontes libres enfin publié. Évalué à 10.

    Cela fait longtemps que j'ai envie de m'essayer à la création de fontes, et je suis bien heureux d'apprendre ici l'existence de ce manuel, qui a l'air fort utile pour faire ses premiers pas.

    Pour l'avoir parcouru rapidement, je regrette néanmoins qu'il ne prenne pas en compte la dimension artistique de la création de fonte. Par exemple, selon les caractères, il est admis que la hauteur d'x doive changer légèrement (ainsi, le « o » déborde légèrement en haut et en bas pour que l'œil ait l'impression qu'il soit parfaitement aligné); ce sont souvent les mêmes caractères que les typographes aiment dessiner en premier (a, e, o, g); et j'ai aussi entendu dire que le didot convenait aux premiers essais. Autant de choses qui pourraient avoir leur place dans ce manuel.

    Vu que les créateurs du livre ont une expérience dans la création de fontes, ils auraient pu partager un peu de leur expérience, et enrichir ainsi leur ouvrage.

    Peut-être qu'on peut espérer cela pour une prochaine version.

  • [^] # Re: La condamnation ne veut pas dire grand-chose

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Brevets : condamnation de Microsoft en Allemagne. Évalué à 10.

    le juge US a interdit a Motorola d'empêcher MS de vendre ses produits en Allemagne

    C'est vrai quoi, pourquoi on laisse pas le juge US juger pour l'Allemagne?

  • # Droits

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Brevets : condamnation de Microsoft en Allemagne. Évalué à 4.

    Il faut dire que l'article est si mal écrit, que de toute manière, on ne comprend rien – l'auteur ne doit pas tout à fait comprendre lui non-plus.

    Wikipédia indique:

    Le fait de savoir si [les licences sur H.264] sont nécessaires pour une implémentation logicielle en Europe fait l'objet d'une controverse.

    Dans l'article sur les brevets logiciels en Europe, l'encyclopédie ajoute:

    En l'absence d'harmonisation […] la jurisprudence des différents États membres restera relativement hétérogène, et certains d'entre eux continueront à se montrer plus généreux que d'autres dans la délivrance de brevets concernant des inventions de ce type.

    On peut aussi supposer que ce n'est pas le droit d'utiliser H.264, mais le code d'une certaine implémentation qui est vendu, et dans ce cas, il peut y avoir litige sur le prix à payer. Mais alors, il faudrait substituer « brevet » par « droit » dans l'article.

  • # Les origines du mal

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Remise en ligne d'anciennes dépêches de 1999 et 2000. Évalué à 5.

    L'article indique que les premières dépêches ne furent pas ré-importées lors du passage à Da-Code, mais que la tâche semblait prévue, car repoussée aux calendes grecques.

    Qu'est-ce qui s'est passé entre ce moment et la perte des archives? Il y a espoir de les retrouver quelque part avec les commentaires, ou on les sait définitivement perdues?

    Parce qu'une des grandes questions de la vie, c'est bien de savoir qui le premier a écrit « lapin compris », « c'est triste ton avis », « plussoyer », « moinsser », « c'était mieux à vent », « 42 » et autres dlfpismes.

  • # Rien de nouveau sous le soleil

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Plaidoyer pour la réforme du droit d'auteur. Évalué à 10.

    Rien de nouveau sous le soleil, ce sont toujours les mêmes arguments ressassés depuis des lustres – du moins, une partie d'entre-eux.

    L'argumentaire me semble en outre maladroit: la focalisation sur le partage des produits culturels a un aspect clientéliste, et ignore l'ampleur des enjeux d'une réforme du droit sur les œuvres de l'esprit:

    • qui pourrait concerner, outre les produits culturels, le logiciel, la production des pouvoirs publics (recherche, enseignement, données…), et les brevets industriels;
    • qui pourrait être le moteur d'une politique de croissance économique et de rayonnement international;
    • qui pourrait tirer de la notion de réseau une théorie de l'économie décentralisée, proposer une autre idée de la mondialisation (savoir international, production locale), et de l'écologie (la maison comme client mais aussi comme serveur d'énergie),
    • qui pourrait proposer une autre idée du libéralisme et du communisme (favoriser la concurrence par la mise en commun du savoir),
    • etc.

    Bref, qu'on soit d'accord avec ces idées ou pas, le parti pirate serait autre chose qu'une bande de joyeux drilles s'il nous proposait une vision de la société qui déborde la champ du salon, de sa chaîne hi-fi, et de son lecteur dvd.

  • [^] # Re: Environnement de bureau

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Pourquoi le monde libre me gave de plus en plus.. Évalué à 4.

    Bof, je ne suis pas convaincu par ton objection…

    Pour le wifi, tu peux essayer Wifi-radar, Wicd, ou l'outil maison de ta distribution (souvent en ligne de commande, mais parfois avec une interface graphique).

    Pour la mise en veille, tu peux rajouter sudo pm-suspend dans un menu, ou créer un script acpid pour que ce soit fait lorsque tu fermes l'écran. Je reconnais que ça suppose une configuration qui n'est pas très adaptée à l'utilisateur final, mais une fois que c'est fait, tu es tranquille.

  • # Environnement de bureau

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Pourquoi le monde libre me gave de plus en plus.. Évalué à 6.

    J'ai l'impression que ce qui n'est pas stable sous linux ce ne sont pas les distributions, mais certains environnements de bureau, soit parce qu'ils ont changés radicalement il y a peu, soit parce qu'ils changent tout le temps, soit parce que ce sont de vraies usines à gaz.

    Il y a plein de logiciels qui évoluent peu ou très lentement et qui permettent de composer un bureau stable et pérenne, tout en utilisant une distribution à évolution rapide pour avoir le dernier noyau, son navigateur à jour, et sa suite bureautique inter-opérable.

    Linux, c'était mieux à vent, tant mieux, l'avant est toujours présent.

  • [^] # Re: ISO hybride?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de SliTaz 4.0. Évalué à 2.

    Depuis le live-cd, man tazusb devrait t'aider.

  • [^] # Re: ni de la gauche ni de la droite

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le parti pirate sur France Inter. Évalué à 4.

    Je crois qu'ici, à l'exemple du logiciel libre, « ni… ni » a un sens positif: La concurrence non faussée suppose la mise en commun des savoirs.

    D'une manière caricaturale, disons que la droite défend une idée de la concurrence libre, mais tend à mettre en place cette concurrence par la privatisation des biens. La gauche défend l'idée d'une mise en commun, mais tend à faire de l'état le dépositaire unique du commun, ce qui limite la concurrence.

    Être « ni… ni », c'est répartir autrement les termes de l'équation, et cela a des conséquences sur l'ensemble de la sphère sociale et économique.

  • [^] # Re: ordi

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Comment prenez-vous des notes (en conférence, en cours, en réunion, ...) ?. Évalué à 1. Dernière modification le 25 mars 2012 à 20:53.

    Même en sciences humaines la prise de note à la main a ses avantages: Il y a tout un ensemble de liens logiques aisés à représenter par un effet de mise en page (listes imbriquées, divagations, citations, exemples, parallèle entre deux auteurs, etc.). In fine, à la simple vue d'une feuille de notes bien prises, on peut avoir une représentation de la structure du raisonnement (un peu comme l'indentation et la coloration syntaxique du code mettent en évidence la structure de l'algorythme).

    On pourrait très bien utiliser les effets de mise en page d'un traitement de texte, mais ce serait trop long pour être utilisable sur le vif. C'est par contre peut-être possible avec un langage de formatage de textes et une réflexion préalable sur les balises dont on peut avoir besoin.

  • # Pédagogie de l'internet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Un prof pourris internet pour piéger ses élèves. Évalué à 10.

    Le problème face auquel font face les enseignants est abyssal:

    1) C'est un savoir-faire plus qu'un savoir qu'il faut communiquer à un étudiant, mais le résultat du savoir-faire est un savoir caractérisé par une forme d'universalité. Il est donc souvent difficile de savoir si un devoir est le fruit d'un travail véritable de réflexion ou une compilation de sources diverses.

    2) L'acquisition du savoir-faire s'articule à l'acquisition d'un savoir. On ne peut pas apprendre le savoir-faire dans le vide, le savoir faire s'améliore lorsqu'il est mis à l'épreuve d'idées précises. Aussi, le travail de réflexion véritable s'accompagne d'un travail d'appropriation de la culture existante. On ne peut pas reprocher à un étudiant d'être aller chercher une idée ici où là, car c'est une étape nécessaire à sa progression.

    3) L'enseignant n'a pas seulement un rôle de pédagogue, il doit aussi valider un cursus, et justifier de l'acquisition ou non d'un diplôme ou d'un niveau d'études. Or, ce contrôle des connaissances tend à privilégier le savoir acquis sur le savoir faire.

    L'équilibre entre savoir acquis et savoir faire se maintenait lorsqu'il fallait fournir un effort véritable pour acquérir un savoir (travail sans moteur de recherche). Maintenant qu'en trois clics on a accès à une information précise (concernant un sujet très précis, ce qui ne signifie pas qu'elle soit vraie), on ne peut plus vraiment faire confiance au savoir manifeste dans une copie pour juger de la qualité du travail d'un étudiant.

    En même temps, le savoir faire n'apparaît pas autrement que sous la forme d'un savoir acquis… Ce sont plutôt des astuces qui permettent de repérer qu'une information a été glanée sur le net: copies semblables, formulations qui ne correspondent pas au style de l'étudiant… C'est un travail étrange, désagréable, et encore plus chronophage que la correction des copies que de pister cela.

    Mais en y réfléchissant, je me dis que la solution est pourtant simple: citer ses sources. C'est ce que nous apprend internet. En lettres, on devrait apprendre en outre à commenter ses sources. Par exemple, une copie excellente aurait consisté à discuter les incohérences entre les diverses interprétations de ce texte présentes sur internet, voire à les remettre en cause, en les comparant au texte lui-même.

  • [^] # Re: À Paris

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal [HS] Les bidonvilles aux portes de Paris. Évalué à 1.

    À mesure que je deviens vieux, je m'en aperçois mieux j'ai le cerveau qui flanche. Soyons sérieux disons le mot, c'est même plus un cerveau c'est comme de la sauce blanche! Voilà des mois et des années que j'essaie d'augmenter la portée de ma bombe; et je ne me suis pas rendu compte que la seule chose qui compte c'est l'endroit où c'qu'elle tombe!

    Y-a quelqu'chose qui cloche là d'dans. J'y retourne immédiatement.

    (B. Vian)

  • [^] # Re: moinssé

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Mon système de composition de documents préféré est :. Évalué à 2.

    Il y a déjà une différence dans les capacités typographiques des programmes. InDesign fait partie des quelques logiciels qui gèrent le gris typographique des paragraphes, et savent jouer sur la taille des glyphes pour un meilleur résultat.

    Scribus, en est, aux dernières nouvelles, toujours à cette ancestrale méthode qui consiste à construire les paragraphes ligne à ligne.

  • # [X] Autre: Troff.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Mon système de composition de documents préféré est :. Évalué à 7.

    J'en ai déjà parlé ici, moi j'utilise Troff. Mais pas n'importe lequel: Heirloom Troff.

    D'un côté, c'est comme Latex:
    - C'est un langage de formatage de texte.
    - Gestion automatique des références bibliographiques (avec refer).
    - Mini-langages pour entrer des formules mathématiques, des formules chimiques, des dessins basiques, etc.
    - Sommaire, table des matières, et index sont automatiques.
    - Toutes les options de typographie et de micro-typographie existantes sont supportées (certains algorythmes sont d'ailleurs hérités de pdftex).
    - Support des polices opentype.
    - Tout utf8.
    - Export en pdf.

    D'un autre côté, ce n'est pas comme latex:
    - les macros prédéfinies sont correctes pour un usage basique, mais l'usage est plutôt d'adapter une macro à ses besoins.
    - Justement, le langage de macro est accessible, concis, et bien documenté.
    - La syntaxe du langage est spéciale ("." en début de ligne), mais peu verbeuse, et AMHA, lisible.

    Du coup, je me suis fait une macro qui convient à mes besoins, avec support de la norme ISO 690 pour les références bibliographiques, affichage des références différent selon qu'elles sont en bas de pages ou collectées en fin d'ouvrages, remplacement des références par « idem » lorsque nécessaire, index des références, mode recto-verso (page de gauche et de droite symétriques), sommaire en début de document, tables à la fin, mise en évidence des veuves et des orphelines pour traitement manuel, rétro-références…

    Je crois que je ne pourrai trouver aucun outil plus souple.

  • [^] # Re: Bravo

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche TZ est hors de danger. Évalué à 8. Dernière modification le 24 février 2012 à 11:37.

    Manifestement, loin de reconnaître ses torts, l'éditeur reconnait qu'il fait face à plus fort que lui. Parce qu'avant que FSF ne le menace d'un long procès, il était indiqué partout sur internet que cet éditeur avait une conception bien étrange du copyright, et que c'était bien dommage pour les deux mainteneurs de la base de donnée qui ne faisaient pas le poids pour faire valoir le droit.

  • # Mauvaise foi²

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La loi sur le secret des affaires en conflit évident avec les logiciels libres. Évalué à 2.

    Un risque de sur-classification. [...] En fait, pour le comprendre, il faut imaginer une entreprise de mauvaise foi.

    Je veux bien essayer d'imaginer ça, mais j'ai vraiment du mal... Heureusement que nos députés ont les pieds sur terre et ne votent pas les lois en imaginant des hypothèses si délirantes!

  • # économie locale

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mageia et Creolinux fork ever !. Évalué à 7.

    La dépêche est assez laconique à ce sujet, mais entre les lignes, on remarque comment un appel d'offres bien pensé peut développer l'économie locale:

    • Tant d'ordinateurs portables sous linux.
    • Une distribution initiée semble-t-il bénévolement se dote d'une société et réponds à l'appel d'offre.
    • La distribution semble pouvoir rémunérer des développeurs.
    • Et s'offre en outre le luxe d'arroser les producteurs locaux de jeux-vidéos.

    Vu ainsi, c'est une belle réussite. Je serais curieux d'en savoir plus sur l'économie sous-jacente à Créolinux.

  • [^] # Re: retour d'expérience (bis)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Cherche soudeur. Évalué à 0.

    L'Audio-prothésiste est soudeur de circuits électroniques? Étonnant...

    J'essaierai, merci du conseil!

  • [^] # Re: Boutique d'éléctronique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Cherche soudeur. Évalué à 0.

    Démonter un thinkpad est très simple. Je l'ai déjà fait. Je présenterai la carte mère démontée.

  • [^] # Re: retour d'expérience

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Cherche soudeur. Évalué à 0.

    Merci, tes conseils sont précieux.

    Je pense au dock en effet, mais ce n'est qu'une demi-solution, étant donné que j'apprécie l'aspect portable de mon portable.

  • [^] # Re: Boutique d'éléctronique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Cherche soudeur. Évalué à 2.

    Dans mon ignorance, je ne pensais même pas qu'on pouvait encore trouver des boutiques d'électroniques...

  • [^] # Re: Pas compris

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Qui maîtrise le code?. Évalué à 3.

    Je ne vois pas pourquoi le succès de l'open source irait à l'encontre de la philosphie du libre.

    Il faudrait que je développe, effectivement, et je ne suis pas vraiment en mesure de le faire faute d'avoir les idées vraiment claires à ce sujet. Surtout que ça rejoint en partie le problème difficile de savoir s'il y a une éthique du logiciel libre.

    Mais j'essaye ici, quitte à faire mieux une autre fois:

    Je crois - mais peut-être ai-je tort - que les quatre libertés ont été pensées comme un étant un moyen en vue d'une fin. La fin est éthique, le moyen est le texte juridique qui offre quatre libertés à l'utilisateur.

    Cela a peut-être fonctionné à merveille durant un temps au sens où le moyen n'était pas détaché de la fin. Mais, le succés des licences libres est tel qu'on en arrive à une situation où la fin est parfois perdue de vue, et où le moyen est devenu une fin en soi.

    À titre d'exemple, le logiciel libre sert aussi à développer des applications qui enferment l'utilisateur. C'est légal donc légitime disent certain, d'autres trouvent que c'est illégitime bien que légal, car c'est détourner l'esprit de la licence, renier la raison pour laquelle le logiciel a été publié sous licence libre. La défense de ceux qui considèrent qu'il y a une éthique associée au logiciel libre consiste alors à modifier la licence (clause affero, clause anti-tivoisation, et d'autres à inventer) pour qu'elle continue à être le moyen correspondant à une certaine fin. Mais dans cette course, ils ont toujours un train de retard, leurs logiciels servent d'ores et déjà des fins qui vont à l'encontre de celles qu'ils espéraient lui donner via les licences libres.

  • [^] # Re: Mmm... de quel côté sont les gentils?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sony : Ma propriété intellectuelle vaut plus que la vôtre. Évalué à 3.

    Arnadeus a raison:

    Contrairement à ce que laisse entendre cette dépêche, l'enjeu de l'article de Matthew Garret n'est pas de dire que Sony qest le mal, mais bien de mettre en évidence un flou juridique dans la GPLv2, et de se demander quelle stratégie de défense adopter sachant que ce flou existe.

    J'en discutais ici même au moment où le journal se transformait en dépêche.