Sygne a écrit 628 commentaires

  • [^] # Re: un client texte connecté

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Je lis mes mails avec. Évalué à 1.

    Du coup, moi aussi je me suis intéressé d'un peu plus près à la suite de logiciels "heirloom".

    Gunnar Ritter, le développeur et mainteneur de ces logiciels fait un travail étonnant: Il conserve les algorythmes de logiciels ancestraux, mais les adapte aux normes actuelles (UTF-8...).

    Son projet semble être plus esthétique qu'utilitaire, mais jusqu'en 2008 mailx faisait l'objet de nouvelles versions régulières. Que ce logiciel convienne aux besoins de certaines personnes semble être accidentel.

    Probablement que mailx souffre de cette équivoque: Ni un logiciel destiné aux vitrines des musées, ni un logiciel destiné à un usage quotidien.
  • [^] # Re: un client texte connecté

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Je lis mes mails avec. Évalué à 1.

    Oui, j'utilise ça pour lire mes mails.

    Et depuis que j'utilise ça, je ne supporte plus les autres clients (du moins les clients graphiques, vu qu'il semble que je sois passé à côté des fonctionnalités de mutt).

    J'apprécie la vélocité du logiciel, qui n'a rien de comparable avec les clients graphiques: lister le contenu de ma boite mail est instantané.

    J'apprécie son ergonomie, qui repose sur le principe de la ligne de commandes:
    * t7 affiche le mail 7.
    * d 1 3 5 7-12: supprime les mails 1, 3, 5 et les mails 7 à 12.
    * w enregistre le mail courant sur le disque dur.
    * q quitte.
    Je crois que la vélocité de mailx est liée à cet usage de la ligne de commande.

    J'apprécie sa souplesse: je l'interface avec vim et w3m. Il doit être possible d'ouvrir les pièces jointes directement avec son gestionnaire de fichiers. Je fais une copie dans /tmp/ des mails html pour pouvoir les ouvrir avec mon navigateur si les images sont nécessaires.

    Je l'appelle depuis certains programmes:
    * pour envoyer des logs: si la connection au net est close, il dépose le mail dans un fichier local.
    * depuis conky pour dénombrer mes nouveaux mail, en profittant de starttls.

    J'ai posté un exemple de fichier de configuration ici: http://www.souffles.eu/index.cgi?file=Nail
  • [^] # Re: un client texte connecté

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Je lis mes mails avec. Évalué à 2.

    * Pour le MTA: heirloom mailx peut utiliser l'existant, donc 1 partout.
    * Pour le filtre anti-spam: heirloom mailx peut aussi utiliser l'existant. Je ne crois pas que son filtre intégré en fasse une usine à gaz: il est certainement moins performant que ceux cités ci-dessus, mais aussi certainement plus léger. AMHA, l'adage «un programme - une tâche» n'est pas toujours synonyme de KISS. Je comprends cependant que la question du filtre de spams soit une raison de préférer un autre logiciel.

    Mais là n'est pas mon propos: Je m'étonne du fait que heirlooom mailx soit peu utilisé. Je ne suis pas convaincu que cela soit le fait d'un problème de conception du logiciel, bien qu'il ait certainement des défauts.

    Je crois simplement que s'il est peu utilisé, c'est parce qu'il est peu renommé. D'où son éloge - maladroit il est vrai - ci-dessus.
  • [^] # Re: un client texte connecté

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Je lis mes mails avec. Évalué à 0.

    Ah, je me suis trompé, recevez toutes mes excuses.

    Cela fait maintenant 5 ou 6 ans que j'ai essayé mutt. C'était justement au moment ou découvrant qu'il ne convenait pas à mes besoins, j'ai choisi nail.

    Dans mon souvenir c'était à cause du MTA, mais c'était peut-être autre chose...
    Ou alors j'étais trop niais pour trouver une documentation qui va bien.
  • # un client texte connecté

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Je lis mes mails avec. Évalué à 2.

    Et pas n'importe lequel, une pure merveille de logiciel: Heirloom mailx (anciennement nommé nail), qui mérite, à mon humble avis, d'être élogieusement cité ici:

    * Contrairement à mutt, il n'a pas besoin de MTA, ni de serveur de mail.
    * Connexion en pop3, imap, pop3s, imaps, smtp, smtps.
    * Sécurisation avec openssl, nss, starttls, smtp-auth, signature.
    * Contient un filtre de pourriels.
    * Scriptable à souhait: Il est possible d'importer des commandes du shell depuis nail, il fournit quelques commandes basiques pour affiner sa configuration (tests...), et bien sur, il s'utilise en script.
    * Tellement rapide que l'usage des autres clients mails me semble maintenant impossible.
    * La création du fichier de configuration demande de se pencher un peu dans son manuel, mais à l'usage, il est très intuitif.

    Bref, ce n'est pas un logiciel vers lequel on se tourne parce qu'on est un fanatique de la console, c'est au contraire un de ces logiciels qui font aimer la console.

    Son manuel est ici: http://heirloom.sourceforge.net/mailx/mailx.1.html
  • # Propriété collective

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 42. Évalué à 1.

    Je doute que l'application de la notion de «propriété collective» aux œuvres de l'esprit nous soit bénéfique:

    * Les licences libres et dérivées (partage à l'identique) militent au contraire pour faire reconnaître la contradiction qui consiste à appliquer de la notion de propriété aux œuvres immatérielles, itérables à l'infini.
    * Mais elles peinent à combattre l'antinomie «propriété intellectuelle».
    * La notion de «propriété intellectuelle collective» pourrait faire avancer la cause des licences libres en affirmant qu'une propriété intellectuelle est toujours en un sens collective, ou en montrant que le propriété collective est aussi bien, voire mieux gérée que la propriété privée.
    * Si ce n'est que c'est faire les choux-gras des lobbyes qui clameront qu'on respecte leur droit à ce que leur propriété intellectuelle ne soit pas collectivisée.
    * D'autant plus qu'il sera très facile de faire surgir l'épouvantail du «collectivisme» pour critiquer les licences libres.

    Bref, à moins que numérama ait mal retranscrit son propos, j'ai peur que de telles positions ne jouent pas en faveur d'une libération des œuvres de l'esprit...
  • [^] # Re: Ras le bol.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le scandale. Évalué à 1.

    Exactement, vous avez raison.

    C'est donc pour éviter toute perte de temps dans des procédures quelconques que j'ai pris soin de posséder les éléments coupant court à toute discussion, car:

    « Mieux vaut prévenir que guérir »
    (Adage du bon président d'association)
  • [^] # Re: Ras le bol.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le scandale. Évalué à 4.

    C'est du vécu...

    Néanmoins, je crois me souvenir qu'après explications téléphoniques l'envoi de la lettre n'a pas été nécessaire. Il m'avait cependant paru indispensable de la demander à l'artiste: j'étais en situation de devoir prouver mon innocence, à l'écrit ou à l'oral.

    C'est vrai que c'est un scandale, dont je ne m'étais pas rendu compte à l'époque.
  • [^] # Re: Ras le bol.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le scandale. Évalué à 2.

    Le fait est que le contrat qui lie l'artiste à la SACEM n'est pas un contrat de travail, mais un contrat de gestion des droits voisins. L'artiste demande à la SACEM de veiller à ce que la diffusion de ses oeuvres soit rémunérée. La SACEM fait payer un forfait à tout diffuseur, puis redistribue l'argent (en partie, il va s'en dire).

    L'artiste demande ce service à la SACEM pour ses oeuvres produites durant une période déterminée (10 ans tacitement reconductible).

    La SACEM fait son travail: organisez le moindre concert dans le village le plus paumé du fin fond des pyrénnées, et vous recevrez un gentil appel de la SACEM vous demandant pour quelle raison vous n'avez-pas pris contact avec eux pour respecter le droit financier des artistes. Une lettre de l'artiste affirmant qu'il n'est pas affilié à la SACEM vous dédouanera de cette tâche.

    Elle le fait même avec beaucoup de zèle, en récoltant par exemple les droits d'auteurs d'artistes non affiliés (Daft-Punk par exemple: [http://saceml.deepsound.net/archives/archi57.html])
  • [^] # Re: Ras le bol.

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Le scandale. Évalué à 10.

    Sur le forum de Jamendo [http://www.jamendo.com/fr/forums/search/?PostBackAction=Sear(...)], il y a une foule de discussions autour des droits et devoirs des sociétaires de la SACEM.

    Ce n'est pas une source officielle, mais le fait est que la SACEM est assez discrète sur ces questions...

    Ce qui en ressort n'est pas bien joli:
    * Le contrat est de 10 ans, tacitement reconductible.
    * Il y a un an de préavis pour se désengager.
    * La difficulté (voire l'impossibilité) à mettre fin au contrat à fait l'objet d'un site, maintenant mort: quitterlasacem.net.
    * C'est une personne qui est affiliée, pour toutes ses productions: il suffit qu'un musicien soit affilié pour qu'un groupe ne puisse diffuser ses oeuvres sous licence libre ou assimilée.
    * Comme tout organisateur d'évènement musical, les personnes affiliées doivent s'acquitter d'un forfait (de l'ordre de 50 euros je crois) à la SACEM s'ils auto-diffusent une de leur oeuvre (lors d'un concert auto-organisé par exemple).
    * Il semblerait que cette règle s'applique aussi à la diffusion d'oeuvres via un site web. Mais la sacem est en train d'assouplir sa position sur ce point.
    * De nombreux artistes affiliés ne sont pas au courant de leurs devoirs, et diffusent des oeuvres sous licence libre. La licence libre est alors caduque.

    AMHA, cette société est un véritable poison des eaux culturelles.
  • [^] # Re: Autant prendre un téléphone

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Les netbooks. Évalué à 2.

    J'y ai pensé. Mais ça augmente beaucoup le prix, et surtout, ça rend l'objet tout de suite moins portable.

    [ma vie]En fait, sous la question du lecteur de DVD se pose celle de savoir si la destinatrice du netbook s'en servira comme d'un outil de travail (en l'occurence mails, traitement de texte, et visionnage de vidéos) lors des déplacements, ou si les limitations de l'objet font qu'il ne servira finalement qu'au mail...[/ma vie]
  • # Autant prendre un téléphone

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au sondage Les netbooks. Évalué à 5.

    Je cherchais un netbook pour faire un cadeau. Mais vue l'utilisation qui en sera faite (surtout du mail, un peu d'internet), et l'argument massue qu'on m'a opposé: « je ne pourrai pas regarder de dvds », je me demande si une solution qui tient dans la poche ne serait pas plus adaptée.

    Les smartphones neufs sont trop chers, mais il y a des solutions intermédiaires: ipod (je sais saimal), openpandora [http://www.openpandora.org/], smartphone d'occasion...

    Bref, je me demande si « autant prendre un téléphone » ne serait pas pertinent...
  • [^] # Re: Distribution

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Filtrer l'édition d'un wiki.. Évalué à 2.

    J'aimerais bien.
    D'autant plus que certaines ficelles peuvent être utiles à d'autres (nottament le script sed de génération de liste à puce), et qu'il est fait pour se contenter du shell de busybox.


    Mais comme j'ai emprunté deux bouts de code (un bout de urldecode [http://www.shelldorado.com/scripts/cmds/urldecode], et les tests de sécurité de wikish [http://wikish.do.homeunix.org]), il faut que je le publie dans une licence compatible. Et il me faut un peu de temps pour étudier la question.

    En attendant, le résultat est visible ici: [http://www.souffles.eu].
  • [^] # Re: simple question:

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Filtrer l'édition d'un wiki.. Évalué à 2.

    Mes raisons sont mauvaises:

    - Mon hébergeur utilisant Apache et moi Lighttpd, cela fera deux filtres à créer.
    - Dans les deux cas, se sont toujours des fichiers de configuration à éditer, tester... Ça ne m'amuse pas, alors que coder m'amuse.
    - Il faut filtrer les requettes post. Si le fichier htaccess semble permettre de faire cela facilement, je n'ai pas trouvé comment faire avec lighttpd.
    - Enfin, la plus mauvaise raison est la plus importante: l'esthétique. J'aime beaucoup le fait que mes 200 lignes de code se suffisent à elles-mêmes.

    Si l'utilisation d'un filtre inclus dans le code est une hérésie, j'utiliserai un filtrage par le serveur. Mais mon site étant tellement modeste, tant dans son contenu que dans sa fréquentation, que je crois pouvoir me permettre de prendre quelques risques.

    Ce qui m'importe surtout c'est de pouvoir mesurer ces risques, pour les prendre (où pas) en connaissance de cause.
  • [^] # Re: gtk

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche VLC 1.0.0 : Nom de code "Goldeneye". Évalué à 3.

    À mon avis,
    ceux qui veulent une version GTK, la veulent plus pour éviter d'installer les bibliothèques QT,
    que pour améliorer l'intégration visuelle de VLC.
  • # et LFS?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Publication de Saevia 0.1.3. Évalué à 2.

    Comment le projet Saevia se situe par rapport à LFS?

    La dimension pédagogique est très présente dans LFS. Pour ma part, j'ai compilé une LFS dans ce seul but.

    Pourquoi choisir Saevia plutôt que LFS si on veut construire un système pas à pas dans le seul but d'apprendre les tréfonds d'une distribution linux?
  • [^] # Re: wifi

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Test de Slitaz 2.0. Évalué à 2.

    Ben non, c'est pas débutant du tout...

    Mais justement, le débutant, qui se contente de cliquer, n'a normalement pas à le faire.

    Bon, je chipote, mais dans le fond, j'agréé ta remarque sur le wifi (comme sur le reste d'ailleurs).
  • # wifi

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Test de Slitaz 2.0. Évalué à 5.

    Mon bémol concerne les étapes pour faire tourner le wifi, connaissant certains débutants, consulter de la documentation pour faire marcher leur carte n'est pas vraiment quelque chose qu'ils font.

    Il est à noter que Slitaz propose dans cette version 2.0 des outils graphiques pour installer le wifi. De fait, les demandes d'aides postées sur le forum concernant le wifi ne concernent généralement que des cartes qui demandent effectivement une manipulation en ligne de commande pour être installées.

    Voici un petit tutoriel résumant l'installation du wifi depuis le clickodrome [http://forum.slitaz.org/viewtopic.php?pid=10433#p10433].

    Mais il est vrai que cet exemple du wifi met en évidence un des paradoxes de Slitaz: vouloir être à la fois KISS et KISS, avoir un système épuré, évitant les surcouches et les modules inutiles, tout en étant utilisable par les débutants.

    Mais il me semble que ce paradoxe est en voie de résolution non?
  • [^] # Re: Paquets (et JWM)

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Publication de SliTaz GNU/Linux 2.0. Évalué à 2.

    Ce qui distingue Slitaz des autres distributions, c'est AMHA, sa gestion des paquets.

    Un paquet.tazpkg, contient non seulement le binaire, mais aussi la recette permettant de le recompiler en une commande "tazwok cook paquet". Qui veut ajouter ou supprimer une option de compilation n'a qu'a modifier la recette. Tazwok permet par ailleurs de recompiler tout le système en une commande (et un peu de patience...). Ceci fait de Slitaz une distribution à la fois source et binaire.

    À ceci s'ajoute que tout, dans Slitaz, est fait pour qu'elle soit réplicable facilement: génération de clef usb bootable à l'image du système en trois commandes, gération d'un livecd en trois clics, gpxe...

    Bref, Slitaz invente l'auto-réplication.

    Il suffit d'y goûter pour ne plus pouvoir s'en passer.
  • [^] # Re: cite

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Latex, bibliographie et citations. Évalué à 1.

    Merci Ernest H!
    C'est exactement ce qu'il me fallait.
  • [^] # Re: mediawiki

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Wiki couplé à un logiciel de formatage. Évalué à 2.

  • # Bonne nouvelle!

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Analyse de 13 ans de gouvernance sur le projet Debian. Évalué à 8.

    Alors que nous pouvions défendre les avancées sociétales ouvertes par le logiciel libre concernant le couple consommateur-producteur, nous avons maintenant une base pour comprendre l'autre appendice politique du logiciel libre: la gouvernance communautaire.

    Y'a plus qu'à lire...
    ... avant de pouvoir en discuter ...
  • [^] # Re: Modifier les styles

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche AbiWord 2.6.0. Évalué à 1.

    >> Il suffit juste d'utilisé media=print et les attributs qui vont avec.

    Je ne connaissais pas çà, merci!
  • [^] # Re: Modifier les styles

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche AbiWord 2.6.0. Évalué à 2.

    C'est vrai que la solution html + css est à la fois simple et robuste.
    Je me suis d'ailleurs demandé plusieurs fois pourquoi aucun traitement de texte n'utilisait cette solution comme format natif.

    Après tout, les modifications à apporter au css + html pour qu'il s'adapte à l'impression (format du papier et marges) sont minimes et pourraient être glissées en commentaires, de sorte que le format du fichier produit soit réellement inter-opérable, et probablement plus pérenne que le .abw voire même les ISOs actuels...

    Ça me semble simple, mais si personne ne s'est penché là dessus, c'est probablement que c'est une fausse bonne idée...

  • [^] # Re: Modifier les styles

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche AbiWord 2.6.0. Évalué à 2.

    «L'avantage» d'abiword, c'est qu'il est très facile de modifier les styles à la main: il suffit d'ouvrir le fichier en texte, sa syntaxe est très claire.

    L'inconvénient d'abiword c'est que je n'ai souvent que cette solution. Ma version 2.4 refuse certaines modifications de styles par les fenêtres.

    Ceci dit, Ooo avait lui aussi (de temps en temps) un comportement étrange du styliste lorsque je suis passé à Abiword (2007): numérotation anarchique, modifications du style non répercutées...

    Ça à l'air compliqué la programmation des fonctions styles et numérotations...

    Quitte à être face à ces problèmes, je préfère que ce soit avec abiword, qui allie souplesse d'usage, simplicité et légèreté.