Fedora devient une grande fille

Posté par  . Modéré par baud123.
6
25
août
2011
Fedora

La bonne fée Dora devient une grande fille. Et voilà, 16 printemps pour cette distribution majeure, laboratoire et plateforme de développement pour la un peu plus commerciale RedHat.

Du nom de code "Verne", cette version suit la stratégie habituelle : proposer ce qu'il peut y avoir de plus moderne dans le monde Linux avec pour objectif de proposer quelque temps plus tard une même version éprouvée et stable sous la marque RedHat.

Et c'est ainsi que sort la première version Alpha de cette Fedora 16 dont la version finale est prévue pour novembre 2011.

Au menu, l'introduction de nouvelles technologies et évidemment de nombreuses mises à jour majeures de logiciels.

Journal Valeur légale d'un affichage sur la garantie d'un produit

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6
26
mar.
2010
Bonjour

En broutant sur la toile je suis tombé sur http://www.surcouf.com/composants-stockage/produit/enermax/9(...)

En consultant la fiche technique, mon oeil de lynx s'est fait épinglé par : Garantie constructeur ...................90 Jours

Je pensais que la garantie légale en France était de au moins 1 an (si pas 2 mais je crois que peu de sociétés l'appliquent, pas même les constructeurs de produits de très bonne facture comme Apple) (ah si il y a Asus qui garantit 2 ans ses produits).

Donc ma (…)

Adèle Blanc-Sec ou l'aventurière franchouillarde

Posté par  . Modéré par tuiu pol.
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3
20
avr.
2010
Culture
Adaptée d'une série de bandes dessinées de Jacques Tardi, publiées chez Casterman, Les extraordinaires aventures d'Adèle Blanc-Sec est le dernier film d'un talentueux réalisateur français, j'ai nommé Luc Besson. Nous lui devons entre autres des films mémorables comme Léon, Le Cinquième Élement, et plus récemment (et peut être moins mémorables) les films d'animation de la série Arthur et les Minimoys. Cette dépêche n'a pas pour but de présenter le film mais constitue plutôt une critique.

Scénarisé, produit et réalisé par Luc Besson, le film met en scène une femme d'action, Adèle Blanc-Sec, interprétée par Louise Bourgoin qui tient dans ce film un de ses tout premiers rôles en tant qu'actrice principale, épaulée de Jean Paul Rouve et Nicolas Giraud entre autres personnages secondaires. Le film se veut sérieux et dramatique. Et c'est là que le bât blesse.

Journal Giant GCC versus Mega LLVM

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2
9
sept.
2009
Phoronix a publié le 4 septembre un dossier comparatif entre GCC et GCC-LLVM.
Ce comparatif consiste à tester les performances de logiciels compilés d'une part avec GCC et d'autre part avec GCC-LLVM.
La plateforme utilisée est la suivante :
- un Mac Mini avec core2duo 2GHz
- le système d'exploitation le plus abouti du moment: Apple Mac OS X Snow Leopard ®©™.
- GCC 4.2.1 et GCC-LLVM 4.2.1 , tous deux de chez Apple.

Les logiciels compilés sont Lame, John (…)

Steve Jobs (1955-2011)

Posté par  . Modéré par patrick_g.
2
7
oct.
2011
Apple

Steve Jobs, ce nom vous dit forcément quelque chose, comme Bill Gates, Linus Torvalds, Richard Stallman, Mark Shuttleworth, Mark Zuckerberg. Il s'est éteint le 5 octobre 2011 et laisse à l'industrie de l'informatique et du multimédia grand public un sacré héritage. C'est peut-être l'occasion de faire une petite rétrospective sur la relation particulière entre Apple et le libre.

Aux yeux du grand public, il a apporté le renouveau et l'innovation dans de nombreux domaines. Il a été un des premiers « gus dans son garage » qui bricolait les idées qui germaient dans sa tête. Commençons par une petite rétrospective.

NdM. : les illustrations initialement retenues par l'auteur ont été remplacées par d'autres équivalentes sous licence libre, la plupart en provenance du Wikipedia. L'auteur de la dépêche raconte ici sa vision de l'histoire d'Apple et de Steve Jobs, ainsi que les rapports de ces derniers avec les autres acteurs, dont les communautés du libre.

KDE devient multiplateforme

Posté par  . Modéré par Amaury.
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24
jan.
2008
KDE
Parmi les différentes nouvelles sur la prochaine mouture de KDE, la version 4.0, peu d'attention a été portée sur une autre nouveauté majeure de ce projet : la compatibilité avec les deux plateformes historiques de l'informatique de bureau que sont Microsoft Windows et Apple Mac OS X.
Divisé en deux projets distincts, ils visent à permettre l'utilisation des applications KDE sur chacun de ces deux systèmes d'exploitation.

American Gangster

Posté par  . Modéré par Pascal Terjan.
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23
nov.
2007
Culture
American Gangster, de Ridley Scott, prend place dans le New York des années 1970, avec Denzel Washington dans le rôle du chauffeur d’un parrain de Harlem qui, à sa mort, devient discrètement le plus puissant des barons de la drogue à l’insu de tous, y compris les siciliens et les flics ripoux.

Parallèlement à son histoire est comptée celle d’un flic incorruptible interprété par Russell Crowe qui après s’être mis à dos tous ses collègues pour son excès d’honnêteté, se voit mis à la tête d’une nouvelle brigade de lutte contre les stupéfiants, constituée d'incorruptibles et visant à stopper les gros poissons du marché de la drogue.

On retrouve une trame déjà utilisée dans Les Infiltrés de Martin Scorsese où les activités professionnelles des 2 héros sont narrées en parallèle et parsemées de divers épisodes de leur vie privée. On voit tout au long du film leur histoire se rapprocher à coups d’erreurs pour l’un et de bons coups pour l’autre, pour une confrontation finale inévitable.

J’ai adoré ce film et y ai tout de suite trouvé un air de Les Infiltrés (auquel j’avais un peu moins accroché tout de même). Contrairement aux Infiltrés qui s’écoulait de 1970 à nos jours, celui ci reste dans les seventies et on repense de temps à autres forcément aux vieilles séries américaines des années 80 avec leurs voitures rectangulaires, leurs styles vestimentaires bien à eux, les armes à feu à barillets, tout ceci dans une ambiance parfois glauque, merci aux scènes décrivant le monde tournant autour de l'héroîne et du trafic de drogue.

Bref, je le recommande à tous, c’est 2h30 de bonheur !

Asus lance son Eee PC

Posté par  . Modéré par j.
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17
oct.
2007
Matériel
C'est ce mardi 16 octobre qu'Asus a annoncé officiellement son ultra portable (ou UMPC) bon marché : le tant attendu Eee PC. Présenté lors du Computex dernier, il avait tout pour plaire aux technophiles en tout genre : petit, communiquant, silencieux, livré avec Linux. Le voici donc, dans une première version avec un écran 7 pouces, disponible sous 4 variantes.

La base commune aux 4 modèles est la suivante :
  • Ecran 7 pouces
  • CPU Intel Celeron M ULV 353 cadencé à 900Mhz
  • LAN 10/100Mbits et Wifi 802.11G
  • 3 ports USB et 1 slot pour carte mémoire SD-Card
  • HD Audio, enceintes stéréo, entrée micro, micro intégré
Les différences entre les 4 modèles concernent la mémoire RAM, l'espace disque (constitué de mémoire Flash), la capacité de batterie et la présence ou non de la webcam intégrée de 0.3 Mpixels.

Le modèle de base est pourvue de 256 Mo de RAM, 4 Go d'espace disque et d'une batterie pouvant tenir 2h40 environ et le modèle de haut de gamme de 1 Go de RAM, de 8 Go d'espace disque, de la webcam intégrée et d'une batterie de 3h30. Il sera disponible dans plusieurs coloris, même en rose pour ces dames. Il est livré pourvu de la distribution Linux Xandros, mais n'intègre pas GNOME ou KDE mais plutôt une interface permettant un accès rapide aux différentes applications (navigateur, courrier électronique, messagerie, bureautique, Skype, etc.). Windows XP pourra toutefois être installé sur cet ordinateur, Asus fournissant sur son site les pilotes pour les différents périphériques.

Je suis une légende

Posté par  . Modéré par rootix.
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28
déc.
2007
Culture
Malheureusement non je ne suis pas une légende (un jour peut être !), il s'agit du titre d'un film sorti en salle ce mercredi 19 décembre, film dont vous connaissez peut-être le roman éponyme, chef-d'oeuvre de Richard Matheson sorti en 1954, en pleine guerre froide.

Second film de Francis Lawrence ( son premier étant Constantine), il met en scène le célèbre Will Smith dans un contexte post-apocalyptique où il est le dernier survivant de la ville de New York et peut-être du monde entier. Coté casting, le moins qu'on puisse dire c'est que ça n'a pas du coûter trop cher, vu le peu d'acteurs qu'on y trouve.

Son synopsis est un grand classique du genre "zombie" : Un vaccin contre le cancer qui a muté et qui s'est propagé par voie aérienne a transformé tous les habitants en créatures asociales et très agressives qui veulent assouvir leur instinct de survie le plus primitif : manger. Will Smith interprète le scientifique de l'armée qui essayait de le vaincre. Le hasard a fait qu'il soit naturellement immunisé et le film retrace quelques tranches de vie, sa lutte contre les créatures et ses recherches pour fabriquer un vaccin.

Présenté comme un film catastrophe où un héros doit sauver le monde, il en ressort qu'il ne s'agit pas vraiment de cela, ce qui m'a réellement ravi. Contrairement au récent Resident Evil Extinction, on n'a pas affaire à un énième film où un soldat d'élite invincible et téméraire casse du zombie avec n'importe quel ustensile qui lui passe sous la main, et ce film s'éloigne heureusement de cette trame qui commençait un peu à me lasser.

Contrairement à ce que nous laisse penser la première scène (une course poursuite dans New York au volant d'une vrombissante Ford Mustang Shelby), nous avons pas affaire à un film 100% action mais plutôt à un anti-héro on ne peut plus humain (qui n'a quand même pas oublié comment faire des tractions ou comment se servir d'un fusil d'assaut, formation militaire oblige) et le film essaie de se focaliser sur ses faiblesses, sa sensibilité, sa peur, son désespoir, parfois son courage, bref tout ce qui fait de lui un humain par rapport aux créatures. Ponctuée de scènes sursautantes, ou d'autres humoristiques (parfois cyniques), ce film de "zombie" apporte une certaine fraîcheur au genre, qui nous avait plutôt habitué (ou même lassé) à des "slash'em all", tout en entretenant un certain suspense par moment.

Coté mise en scène, la désertion de New York est plutôt réussie, mais pas encore assez vertigineuse à mon goût, j'aurais aimé voir un peu plus le vide laissé par les habitants. Du coté des créatures, je trouve que leur "animalité" et déformations physiques ont été un peu exagérées, mais cela a permis d'appuyer sur l'impuissance du héros face à eux.

Mon sentiment final est donc qu'il s'agit d'un très bon film de zombie, qui nous change de ce à quoi on a été habitué, j'y ai passé un très bon moment, même si je suis un tout petit peu resté sur ma faim, sûrement à cause du final pas spécialement surprenant. Je le recommande à tous ceux qui veulent passer un bon moment de détente, qui aiment sursauter de temps en temps et qui aiment avant tous les films de zombies. Râleur en tout genre à la recherche de films d'auteurs à-la-festival de Cannes, bien évidemment, passez votre chemin !

AMD/ATI va libérer ses pilotes

Posté par  . Modéré par rootix.
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14
mai
2007
Matériel
C'est lors d'une conférence au Red Hat Summit que Henri Richard, vice-président d'AMD (qui a racheté ATI, entreprise connue pour ses puces graphiques), a annoncé que la société allait libérer le code source des pilotes. Cette annonce fait l'effet d'un coup de tonnerre dans le monde très secret des pilotes pour GPU, et les applaudissements qui suivirent l'annonce montrent l'engouement qu'elle va susciter. Henri Richard a précisé qu'AMD allait tenir un rôle proactif dans la façon dont ils communiquent avec la communauté Linux.

Cette libération va peut être sonner le glas d'une ère de secrets dans le monde des pilotes. AMD, qui semble un peu en retrait technologique vis-à-vis de son concurrent nVIDIA (au vu des derniers benchmarks GPU), cherche peut être à reprendre la main sur d'autres aspects. Il est certain que libérer ces pilotes permettrait de donner un coup de fouet à du code qui a un grand besoin d'améliorations et permettrait aux développeurs et intégrateurs de distributions de les certifier pour le matériel AMD/ATI. Ceci ouvre ainsi la porte à de potentiels nouveaux partenariats entre éditeurs et AMD.

En ralliant à sa cause la communauté open-source, AMD abat une carte importante qui va ravir de nombreux utilisateurs et développeurs. N'oublions pas les OS alternatifs, comme FreeBSD et OpenBSD qui, espérons-le, pourront bénéficier de cette libération et fournir un environnement desktop aussi bien fourni que sous Linux (notamment avec les bureaux 3D tels que Beryl/Compiz).

Aucun détail sur la libération n'a pour l'instant été donné (quand, comment, où). Espérons que les conditions d'accès de la communauté soient les meilleures possibles. Enfin, une question se pose face à cette annonce : comment va réagir nVIDIA ?

NdM : cette annonce méritera une dépêche de première page quand du concret sera disponible.

Red Hat étoffe son offre : Red Hat Global Desktop

Posté par  . Modéré par j.
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10
mai
2007
Red Hat
Décidé à revenir en force sur le marché des distributions Linux et reprendre quelques parts sur Ubuntu et SuSE, Red Hat a annoncé lors d'une conférence à San Diego la disponibilité d'une nouvelle distribution Linux : Red Hat Global Desktop dont on pouvait pressentir l'arrivée il y a quelques semaines quand Red Hat annonçait un "Linux Desktop for the masses".

En effet, après la mise à disposition d'Ubuntu sur des machines Dell, ainsi que la version « Desktop » de la SuSE Entreprise, Red Hat se devait de répondre à ses concurrents. L'objectif de cette distribution est de fournir « une expérience utilisateur moderne avec une suite d'applications d'entreprise ». Cette distribution cible les marchés émergents, dont la demande sur ce type de produit est croissante. Ainsi, Red Hat Global Desktop n'est pas une version spécialisée de la Red Hat Entreprise Linux sortie il y a peu, mais est plutôt le résultat d'efforts fournis en partenariat avec Intel pour créer, distribuer et prendre en charge un système peu coûteux et optimisé pour les architectures Intel.

L'expérience que Red Hat a acquise lors du travail sur le projet OLPC (One Laptop Per Child) sera mise à contribution, et on retrouvera sur Global Desktop la technologie Mugshot (qui remplace l'approche « fichiers » par une approche « activités »).

Pour le moment, aucun détail n'a été dévoilé, ni sur les prérequis matériel, ni sur les logiciels disponibles. Avec cette distribution « Desktop », Red Hat compte bien couper l'herbe sous le pied à ses concurrents et, avec un allié tel qu'Intel et ses réseaux mondiaux, pourrait fort bien réussir.

La Chambre 1408

Posté par  . Modéré par Nÿco.
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21
jan.
2008
Culture
Histoire de nous changer des articles sur un énième jeu libre pas très joli mettant en scène un pingouin, voici un petit article sur le film "La chambre 1408" sorti mercredi 16 janvier au cinéma, lui aussi inspiré d'un livre, plus précisément d'une nouvelle de Stephen King, que je n'ai pas lue.

Présenté comme un film d'épouvante/horreur, il met en scène Mike Enslin, joué par John Cusack, écrivain renommé de livres d'épouvante qui ne croit pas du tout aux fantômes et dont l'un des démons est la perte de sa fille quelques mois auparavant. Il passe le plus clair de son temps dans des hôtels prétendus "hantés" pour s'inspirer et démasquer les supercheries. Jusqu'au jour où il reçoit une invitation à ne pas aller dans une chambre numérotée 1408 d'un hôtel de New York. Il n'en fallait pas plus pour faire mordre à l'hameçon ce pragmatique auteur qui prend alors la route de New York, pour se rendre à l'hôtel Dolphin. Malgré l'intervention du directeur de l'hôtel, rôle très secondaire incarné par Samuel L. Jackson, qui tente de le décourager d'entrer dans la chambre à coup d'anecdotes sanguinaires, voici notre héros qui se jette dans la gueule du loup.

Vous vous en doutez, au bout de quelques minutes se manifestent alors aux yeux de Mike Enslin des évènements plutôt étranges, qu'il essaie d'expliquer par des raisonnements terre-à-terre. S'enchaînent alors les manifestations paranormales de plus en plus surprenantes dans cette chambre d'hôtel, jusqu'à en faire perdre la tête à son locataire. Apparitions, météo insolite, télékinésie, illusions, visions, spectres, on a droit a beaucoup d'élément propres aux films d'épouvantes, et on n'échappera pas au classique et inévitable spectre que l'on découvre en se regardant d'un miroir.

Dans la même veine que "La Maison de l'horreur" ou d'autres films à base de maison hantée, on sursaute un bon nombre de fois et un certain suspense est très bien entretenu par moment. On appréciera des effets spéciaux plutôt réussis et une certaine originalité, pas facile pour un genre déjà bien éprouvé. Néanmoins j'ai trouvé qu'il lui manquait un peu de profondeur, peut être à cause de l'interaction quasi nulle avec d'autres protagonistes (le second rôle est très très secondaire) ainsi qu'un scénario un peu vide sur la fin du film, qui reste totalement sans explication et qui laisse les spectateurs dans l'expectative.

En conclusion, amateurs de films-de-la-peur, n'hésitez pas, mais n'espérez pas y trouver un renouveau du genre.