Lien Afin de contrer les procès pour plagiat, 68 milliards de mélodies mis dans le domaine public

Cher Journal,
Suite à mes petites retrouvailles avec l'infographie (libre et pas libre ) (cf journal sur Gimp et interface PS-like), je me suis souvenus qu'au cours de mes années lors de mon cursus en infographie et mon exploration du libre, j'étais tombé sur le glossaire de l'infographiste linuxiens d'André Pascual*, via une news notamment relayé par DLFP merci à Pierre Jarillon en passant :) , qui m'avait fait aussi découvrir Linuxgraphic à l'époque. Je me suis dis que (…)
Comme je suis en train de redécouvrir les snippets qui m'ont amusés, marquée etc. Je ne resiste pas à vous partager le poème bouddhiste auto-génératif en python développer en tant que code as art en 2007
source : https://honestpoet.wordpress.com/2007/12/23/worlds-first-poem-written-in-python/
Ps : le poème ne fonctionne plus chez moi , je dois dire que cela fait longtemps que je n'ai plus fais du python , quelqu'un sait pourquoi ?
python poem.py
Traceback (most recent call last):
File "poem.py"
(…)
Comme vous le savez peut-être, cette année j'ai tordu le concept d'Inktober et m'en suis servi pour écrire des textes au lieu des dessins qu'impliquent normalement cet exercice.
Maintenant que c'est enfin fini, qu'est-ce que je retire de cet exercice ?
Mine de rien, quand on voit la liste, il y a du monde !
PikoPixel est un éditeur de pixel art pour GNUStep et macOS sous licence AGPL v3. Depuis la bêta 5, il tourne sous GNUStep et les bonnes remarques de l’auteur ont permis d’améliorer la compatibilité Cocoa.
L’ergonomie de PikoPixel est très travaillée ; elle le rend facile à utiliser, avec des retours en arrière (annulations) illimités, il prend en charge les couches multiples, possède des fonds de canvas personnalisables, des panneaux activables par raccourcis clavier, exporte des images à une plus grande échelle, et tourne sur GNUStep et OS X 10.4 Tiger et supérieur.
Une version « finale » a été attendue pour clore cet article, hélas depuis deux ans l’auteur ne sort que des bêtas ! C’est une bonne façon d’avoir un logiciel « peaufiné », mais…
L’Album d’autocollants du Libre est un projet initialement proposé par la LDN (Lorraine Data Network, fournisseur d’accès à Internet associatif français), puis repris par l’association LILA, association d’Art libre et de création artistique avec les logiciels libres (vous avez peut‐être entendu parler de notre projet principal : le film d’animation ZeMarmot).
Il s’agit d’un album d’autocollants « comme quand on était petits », pour y coller les autocollants divers des associations francophones. Vous savez, ces autocollants que vous récupérez dans divers évènements autour du logiciel ou de l’art libre, que vous collez sur votre portable, votre frigo, votre porte…
Seuls deux ateliers furent mis en place à ce jour (Ubuntu Party et RMLL 2015). Nous souhaiterions passer la seconde vitesse avec des ateliers plus réguliers. Ce jeudi soir 15 décembre sera le premier atelier de cette série régulière, pour lequel nous allons nous greffer à la Soirée de contribution au Libre parisienne, organisée par Parinux, au moins dans un premier temps.
Nous expliciterons un peu plus le projet dans la seconde partie de la dépêche. Vous y trouverez aussi l’adresse exacte.
Bonjour,
Je suis à la recherche d'exemples de biens communs informationnels incluant des photographies.
J'ai l'exemple de Wikimedia Commons (https://commons.wikimedia.org/wiki/Accueil).
En connaîtriez-vous d'autres, où les photos sont couvertes par les CC, LAL ou tout autre licence "ouverte" / libre ?
Je recherche également des informations sur l'organisation de ce type de projet (on en parle un peu ici : http://framabook.org/histoiresetculturesdulibre/).
Des suggestions ?
Merci,
Cordialement,
Robert.
Salut 'nalbookmark !
En lisant avec un peu de retard le journal tu dessines ce weekend de postroutine, j'ai découvert pepper & carrot. J'ai vraiment adoré ce web-comic, tant pour la patte graphique que pour l'humour qui s'en dégage. Je ne peux donc que vous le conseiller. Pour ma part, j'ai retrouvé ce que j'aime dans la BD Mélusine.
Si c'était juste pour faire un re-post, ce journal n'aurait pas d'intérêt. Voici (…)
L'association LILA vous propose d'acheter le Calendrier du Libre 2015 pour 15 € (ou plus si le cœur vous en dit), un projet simple de calendrier, à l'ancienne comme vous les vendent les pompiers à cette période. Mais oui, vous savez bien: en papier, pas sur un écran!
Mais quelle est la différence avec votre calendrier de chats que vous ont vendu les pompiers cette semaine? Eh bien, on ne sauve pas des vies — c'est sûr, c'est moins glamour (…)
Bonjour Nal,
Je suis le président d'une petite association d'artistes geeks : les Geeky Goblin Productions (GGP). Nous tâchons d'expérimenter des choses assez diverses et avons à ce jour publié un feuilleton textuel et quelques nouvelles, contes, scénarios… Toutes nos œuvres sont sous licence Art Libre.
D'autres projets sont en cours, dont un, en particulier, pour lequel nous aurions besoin de ton aide. En effet, Ned et les maki (c'est là son titre) sera notre premier jeu vidéo et donc (…)
En ce moment et jusqu'à fin septembre, le festival Normandie Impressionniste regroupe de nombreuses collections de tableaux et d'œuvres d'art diverses liées à l'impressionnisme dans les nombreux musées normands qui participent à cette opération.
Pour l'édition 2013, le thème général du festival est celui de l'eau, « un élément cher aux artistes et indissociable de la Normandie » comme le décrit la brochure de l'exposition.
J'ai eu l'occasion d'aller visiter l'exposition Éblouissants Reflets, au musée des beaux-arts de Rouen, qui participe à ce festival.
Cette exposition précise le thème général, en adoptant celui des reflets, qui a marqué l'impressionnisme, à commencer par le tableau Impression soleil levant qui a donné son nom à ce mouvement, et jusqu'au néo-impressionnisme qui l'a prolongé.
Ce dossier est avant tout un rapport présenté aujourd'hui même pour mon partiel d'histoire de l'informatique, je souhaite simplement le partager avec vous.
Si le sujet vous intéresse, n'oubliez pas qu'il est publié sous CC BY-SA 3.0 et peut être modifié ou étendu à volonté suivant ses règles.
Cela traîne depuis des années mais les discussions que j'ai pu avoir récemment avec certains confirment que la situation devient visible. Il y a une forme actuelle de séparation entre les pratiques graphiques professionnelles et le monde du libre. Malgré un intérêt croissant et une visibilité du libre dans le secteur, les difficultés sont encore nombreuses. Cela est en particulier visible dans le manque de reconnaissance des logiciels de graphisme en milieu professionnel (et les politiques de recrutement qui l'accompagnent), voire le refus de classer le graphisme dans la catégorie profession en l'orientant « loisirs », mais aussi par la difficulté des gros logiciels historiques à évoluer. Cela se voit par exemple aussi sur LinuxFr.org qui n'a pas de rubrique graphisme, ni même communication, preuve qu'il y a encore du chemin à parcourir.
Il me semblait opportun de proposer ici une petite analyse (partagée avec certains) de la situation, de manière à lancer une petite discussion qui trouvera certainement suite au futur Libregraphicsmeeting de Vienne et RMLL de Genève.
L’exploitation des auteurs morts par les Majors de la culture nuit à la création, empêchant la diffusion d’une traduction, ou la représentation d’une pièce de théâtre.
Le domaine public est en train de disparaître, on le cède irrationnellement à des Majors. Les licences libres constituent-elles la seule alternative pour les auteurs qui ne souhaitent pas que « leur mort nuise » à l’exploitation de leurs œuvres et au domaine public ? Il y a urgence à soutenir de nouveaux entrepreneurs innovants sur de nouveaux modèles de diffusion, respectueux des auteurs et de leur public.