Lien Sortie du raspberry pi pico, un microcontrôleur programmable en micropython

Nous avons déjà parlé du RISC-V dans un article précédent avec la carte HiFive dotée d'un microcontrôleur pas si intéressant. Celui présenté cette fois-ci semble beaucoup plus standard : il fait le plein de périphériques et de mémoire Flash embarquée.
Nous avons déjà un peu présenté l'historique du RISC V dans l'article précédent. Essayons maintenant de découvrir le modèle de programmation ; cela nous servira plus tard lors de débogages et développement bas niveau.
La (…)
Une révolution, tout simplement. Depuis que je travaille dans le domaine embarqué, j'ai connu quelques changements intéressants avec notamment l'arrivée de l'architecture Cortex-M, mais là, c'est un cran au-dessus. Une architecture de microcontrôleur Open Source, j'en ai rêvé, maintenant elle existe.
Petite piqûre de rappel : les microcontrôleurs sont de très petits processeurs équipés de périphériques pour contrôler le monde extérieur au composant : des actionneurs ou des capteurs. De plus, ces composants disposent de leur (…)
À l'heure où j'écris ces lignes a lieu le 5 ème workshop sur jeux d'instruction libre (ISA Risc-V au campus google à Mountain View.
Et c'est à cette occasion qu'est présenté la carte HiFive1 composée d'un microcontrôleur Freedom Everywhere 310 (FE310) à cœur SiFive (utilisant le jeux d'instructions Risc-V). Une carte compatible Arduino mais 10 fois plus puissante et entièrement libre, jusqu'au silicium.
La description hardware en Chisel/Verilog est disponible sur github et il est possible de simuler intégralement le (…)
Suite à une entrée sur le blog hackaday.com, j'ai découvert ce projet mené par une université Colombienne.
Les specs sont visibles sur la page de financement participatif : https://www.crowdsupply.com/onchip/open-v. En bref :
- 8 KB SRAM
- 160 MHz, architecture RISC-V
- SPI, I2C, SDIO, and JTAG
- ADC 10-bit et DAC 12-bit, maxi 10MS/s
- 16 GPIO
Bon, ça casse pas trois pattes à un canard… mais c'est libre. En tout cas pour l'instant. Il n'y a pas (…)
On entend de plus en plus parler de cette carte esp8266 qui permet facilement de se connecter et d'échanger sur un réseau WIFI. Des cartes tels que NodeMCU sont de plus en plus populaires et permettent d'utiliser l'esp8266 plus facilement, presque comme un Arduino.
Il est possible de la programmer en Lua, de créer des firmwares avec l'IDE d'Arduino et de nouveaux projets fleurissent tous les jours. Seulement, toutes ces possibilités amènent de la confusion lorsque l'on commence à s'intéresser à l'esp8266 et c'est pour éclaircir les choses que j'ai eu envie de créer cette dépêche.
Eh bien voilà, très (trop) longtemps après le premier épisode, me revoilà pour reprendre avec vous la série sur l'écriture d'un système d'exploitation pour un microcontrôleur STM32F103. Pour rappel, mon système d'exploitation MOS est écrit dans un but d'apprentissage. Il vise à être simple à appréhender et à permettre à chacun de découvrir les entrailles d'un OS. Cela implique deux conséquences :
Voilà, tout ceci étant dit, on va pouvoir attaquer les choses sérieuses. Dans cet épisode, nous allons organiser notre projet et configurer nos outils. Bonne lecture !
HWA est un outil d'abstraction du matériel pour la programmation de microcontrôleurs en C (ou en assembleur).
Ce n'est pas une bibliothèque mais un ensemble de macros qui permettent d'écrire un code plus porté vers la description du résultat attendu que sur les valeurs à écrire dans les registres.
Une première version avait été sortie (un peu prématurément) il y a environ trois ans. HWA a depuis été entièrement réécrit pour proposer des instructions génériques acceptant des listes d'arguments de (…)
Bonjour à tous,
Pour ce premier journal, je vous propose de vous raconter un peu les différentes étapes de mon projet du moment : écrire un petit OS pour un microcontrôleur STM32.
J'ai récupéré une carte de développement construite autour d'un STM32F103RBT6. C'est un microcontrôleur basé sur un cœur ARM Cortex-M3. Il est un peu daté mais bon, on fait avec ce qu'on a (surtout quand c'est gratuit :). Pour situer un peu le bouzin (…)
Duke Nukem Forever est finalement sorti. Maintenant, il ne manque plus que le Hurd, car le fils de la vengeance du F-CPU arrive !
Mais si, le F-CPU, souvenez‐vous, de 1999 à 2002, on ne parlait que de ça ici ! Si vous aviez raté cet épisode marquant de l’histoire du matériel libre, jetez un œil aux liens ci‐dessous.
Depuis, ce projet très ambitieux stagne pour de nombreuses raisons, dont l’absence d’un framework totalement libre pour la conception de microprocesseurs. Les efforts se sont donc reportés sur la mise au point d’outils et de méthodes fondamentales et indispensables, comme des extensions au simulateur GHDL (cocorico, encore un Français !) et surtout, la démocratisation de… JavaScript, qui a permis de mettre des fenêtres partout !
L'objectif de HWA est d'aider à l'écriture de code C de bas niveau compréhensible sans commentaire, le plus portable possible et sans pénalisation en occupation mémoire ou en vitesse d'exécution.
En gros, HWA fournit trois niveaux d'accès au matériel :
Domogik est une solution libre, sous licence GPL v3+, de domotique ou automatisation d’habitat, basée sur le protocole xPL. La documentation Wiki, très complète, détaille l’installation, l’utilisation ainsi que les possibilités d’extension de Domogik.
La version suivante contiendra la fonctionnalité la plus attendue de Domogik, à savoir la possibilité de créer des scénarios. De nouveaux greffons devraient également faire leur apparition : Zibase, Zwave, notifications Android et iPhone, envoi de SMS, rfxcom, TTS, tellstick, etc..